Et Dieu créa l'Endive
le samedi 17 juillet 2004, 17:18
En reparcourant les archives de mon blog, je me rends compte que j'y écris de moins en moins. Pas glop.
Alors jvais essayer de faire un effort.
Le mois de juillet, à Paris, c'est quand même sacrément crado. Y fait super beau, alors tu te dis que tu vas aller te faire une petite balade, aller dessiner un peu au pied de Montmartre ou un truc du genre, et là, paf, en moins de 10 minutes t'es trempé de sueur. Mais une sueur moite, qui colle à la peau. beurk. Pis quand tu te dis que ben tant pis, faut faire avec, et que tu t'installes avec tout ton ptit materiel, tu t'apercois que ta main laisse des aureoles grasses et un peu grisâtres sur la feuille. Glups. Finalement tu décides de rentrer, et au moment de retirer tes sandalettes noires, tu remarques qu'elles ont généreusement teinté la plante de tes pieds, ca glissouille. Pouet.
Bon evidemment, pour bien s'identifier au texte précédent, faut habiter Paris, dessiner, et porter des sandalettes noires. Désolée pour les autres.
Mais attention jme plains pas hein !! J'adore la chaleur, meme si elle est plus délectable allongé sous un arbre dans un paysage rural. Pis l'appart est bien aéré, je peux y laisser courir librement mon Reno en slip, si y veut. uhuhu.
Bon pis pour la partie illustration de cette note, voici une petite bédé qui a été publiée dans Zoo et que je crois pas avoir jamais mis en ligne sur mon blog (bon OK elle est sur mon site mais bon oh eh hein d'abord c'est chez moi ici je fais C'QUE J'VEUX)
Alors jvais essayer de faire un effort.
Le mois de juillet, à Paris, c'est quand même sacrément crado. Y fait super beau, alors tu te dis que tu vas aller te faire une petite balade, aller dessiner un peu au pied de Montmartre ou un truc du genre, et là, paf, en moins de 10 minutes t'es trempé de sueur. Mais une sueur moite, qui colle à la peau. beurk. Pis quand tu te dis que ben tant pis, faut faire avec, et que tu t'installes avec tout ton ptit materiel, tu t'apercois que ta main laisse des aureoles grasses et un peu grisâtres sur la feuille. Glups. Finalement tu décides de rentrer, et au moment de retirer tes sandalettes noires, tu remarques qu'elles ont généreusement teinté la plante de tes pieds, ca glissouille. Pouet.
Bon evidemment, pour bien s'identifier au texte précédent, faut habiter Paris, dessiner, et porter des sandalettes noires. Désolée pour les autres.
Mais attention jme plains pas hein !! J'adore la chaleur, meme si elle est plus délectable allongé sous un arbre dans un paysage rural. Pis l'appart est bien aéré, je peux y laisser courir librement mon Reno en slip, si y veut. uhuhu.
Bon pis pour la partie illustration de cette note, voici une petite bédé qui a été publiée dans Zoo et que je crois pas avoir jamais mis en ligne sur mon blog (bon OK elle est sur mon site mais bon oh eh hein d'abord c'est chez moi ici je fais C'QUE J'VEUX)