Commentaires

1. Le lundi 2 octobre 2017, 10:16 par Freid

On l'insulterait bien en espagnol cette "prof" ! grr !

2. Le lundi 2 octobre 2017, 10:23 par Chris Dufaun

Au aujourd’hui comme hier, rare sont les profs qui se remettent en question.

Elle savait qu'elle avait tord et refusait de le reconnaître, ou elle estimait que tu ne ferais pas le travail, voire elle s'en foutait estimant que tu aie été bien "punie" d'avoir perdu un weekend à travailler pour rien.

Je suis à fond derrière-toi pour le coup, c'est odieux et si ç'avait été moi je pense que j'aurais gueulé (sur la prof)!

3. Le lundi 2 octobre 2017, 11:00 par melaka

J'ai pas osé... J'avais 13 ans ! Si ça se passait aujourd'hui, je te raconte pas comment j'aurai rué dans les brancards ! Voire, si ça arrive à ma fille, je pense que la prof verrait ma tronche (de très près).
Cela dit, aujourd'hui, on évoque la possibilité qu'en campagne, des chasseurs viennent faire la promo de leur "passion" dans les écoles. Je n'aimerais vraiment, vraiment pas que ça arrive. Mais mes gamins sont déjà pas mal anti-chasse dans leur tête et je pense qu'ils se fermeraient comme des huîtres en attendant que ça passe..

4. Le lundi 2 octobre 2017, 11:21 par Ran

Ce week-end, à titre expérimental et pour remettre un peu d'humanité dans la corrida, les espagnols ont décidé de remplacer les taureaux par des catalans.

5. Le lundi 2 octobre 2017, 21:13 par Youpi

+1 à la jeune Mélaka : Tradition ancestrale mon 'ul. Et le cannibalisme c'est pas une tradition ancestrale?
Bravo pour l'argumentation de la jeune Mélaka!

@Chris Dufaun:
Oui, à l'époque (ou en tout cas à la mienne!) un gosse de 13ans n'aurait pas osé gueuler (sauf certains milieux spécifiques où on leur apprenait que le prof n'était qu'une feignasse de valet payé un centième du salaire de papa). Et s'il avait osé, il y a de bonnes chances que ça aurait été convocation des parents et tout le toutim avec une baffe à la clé au minimum, de la part du proviseur comme des parents.

Sinon je trouve très décevante l'action de la prof. Le coup de l'exposé comme manière d'esquiver, c'est minable.

Au fait, Chris Dufaun : contre-exemple.
Durant un cours sur l'Egypte, un pote n'arrêtait pas de dire au prof "scuzez, m'sieur, sans vous offenser, mais vous vous êtes gourré là..." en rajoutant des détails complémentaires assez précis. Le prof lui a proposé de faire exposé sur le panthéon égyptien. Sauf que le jour en question, le prof lui a vraiment dis: "viens t'asseoir à mon bureau, c'est toi le professeur maintenant". Et mon pote, vachement impressionné mais vachement fier nous a fait un "cours" sur la mythologie égyptienne. :-) Comme quoi il y a des bons profs.
Ceci dit... au contraire de Mélaka et de sa prof, mon pote n'était pas entré en collision frontale avec les propos de son enseignant. Il avait juste rajouté des éléments complémentaires.

6. Le lundi 2 octobre 2017, 21:34 par Youpi

A part ça, un toréador entraîné contre un taureau débutant... c'est vraiment un truc de lâche.
Les minocéens pratiquaient des tauromachies où le taureau s'en sortait en pleine forme et était honoré : cf wikipédia, le "Saut au-dessus du taureau". On retrouve cela dans les courses landaises (entre autre).
A notre époque où la corrida semble déplacée et où le destin de la plupart des vaches est de finir en hamburger, favoriser ce genre d'épreuves pourrait être une solution. Avec pour l'homme, l'honneur d'avoir survécu au taureau/vache, et pour le taureau ou la vache, la garantie de mourir de son grand âge, bien soigné(e) et bien nourri(e), dans une magnifique prairie, avec des copains/copines.

7. Le lundi 2 octobre 2017, 21:48 par L'air de rien

Francis Cabrel approuve cette note!^^

En tout cas +1 la jeune Melaka / -1 la prof.
Olé!

8. Le lundi 2 octobre 2017, 22:44 par Jacques C

Je plussoie la référence à Cabrel. Sa chanson "La corrida" est un pur chef-d’œuvre. L'addition progressive des détails, les incises sobres "Andalousie, je me souviens", et quand il arrive à "Je ne pensais pas qu'on puisse autant s'amuser autour d'une tombe" j'en ai toujours les larmes aux yeux. Est-ce que ce monde est sérieux ?

[Mais pourquoi, sur requête google ou youtube, la première version qui sort est-elle une version de merde où un imbécile a ajouté des bruitages grossiers ?]

Bien sûr, l'argument de la "tradition" est indéfendable (voire barbare), mais en outre la seule forme de "jeu" autour des bovins qui soit réellement traditionnelle en France est la course à la vachette, où il n'y a aucune mise à mort et où l'exploit est simplement d'échapper aux cornes. La corrida monstrueuse est importée d'Espagne -- et n'est de toute façon pas tolérable, où que ce soit.

9. Le lundi 2 octobre 2017, 23:06 par Pericoma

La prof était dans le pétrin en trouvant dans sa classe une personnalité suffisamment forte et structurée, avec une opposition argumentée. La pauvre prof n'a pas su gérer le sujet conflictuel et l'affectif a pris l'ascendant sur le rationnel. Echec pour les deux protagonistes : la prof a perdu son crédit, Mela son intérêt pour le cours en question. Quand deux passions s'affrontent, l'injustice et la rancœur gagnent.
Pas facile l'enseignement industriel !

T'as pas récupéré ton exposé dans la poubelle ? Il aurait pu (re-)servir ? Et si la prof t'avais vu faire, même sans rien lui dire, elle se serait peut-être sentie suffisamment mal pour se remettre en question ? Peut-être ? J'imagine. Facile à dire, à penser a posteriori, après 25 ans ... Ta réaction et ton travail motivés étaient déjà de bons témoignages ! Bravo.

10. Le mardi 3 octobre 2017, 07:11 par Julien

@melaka La chasse c'est pas nouveau ! Quand j'étais en CM1-CM2 (1993), les chasseurs venaient mobiliser l'école pour battre les champs et faire le comptage du gibier. (je suis pas sûr qu'on ait distingué plus que 3 lapins) D'ailleurs une année il a neigé en avril, j'étais glacé entre deux sillons et j'ai été "évacué" pour me réchauffer dans une voiture...

11. Le mardi 3 octobre 2017, 08:42 par Andre Cailloux

Yé né veux pas mettre la olio sur el fuego, pero la prof était sans doute espanol pur race, y pas assez pédago por comprender la différence de culture...

Laissons à chacun sus tradiciones, a condicion que elles restent a casa...
On ne démolit pas les bouddhas couchés, ni les mausolées anciens, ni Babylone, ni Sumer, ni les troupeaux de bisons, si on est [même autrement] civilizado...

12. Le mardi 3 octobre 2017, 12:05 par Lou Bataille

Si j'adore les animaux, je ne suis pas du tout anti chasse. C'est la SEULE manière éthique de manger un animal : une proie (donc ''prevue'' pour être chassee), abattue rapidement, qui a vécu sa vie en totale liberté et qui, pour le coup, a une réelle chance de s'échapper. La chasse comme me l'a apprise mon père est respectueuse, et c'est lui qui m'a transmis ses connaissances et son amour de la nature. Par contre le problème de la chasse, c'est que comme beaucoup de choses ça devrait être pratique EXCLUSIVEMENT par des gens intelligents, et ce n'est évidemment pas le cas.

13. Le mardi 3 octobre 2017, 14:24 par Youpi

@Lou Bataille
M'est avis que tu vas recevoir une dégelée de commentaires. Bon courage. Ceci était peut-être l'objectif (troll?)? Pas faux non plus que le sujet abordé par Mélaka était à risque. Bon courage Mélaka :-D
Je ne te cache pas mon opinion globalement anti-chasse.
Tout à fait d'accord avec toi: beaucoup de crétins chez les chasseurs. Même des gens ordinairement intelligents qui une fois un fusil dans les mains deviennent très... sot.
Le fait que l'éthylotest ne soit pas obligatoire pour la chasse me semble aussi un grave problème de sécurité élémentaire.
Là je ne suis franchement pas d'accord avec toi, c'est sur la notion de:
"une proie (donc ''prévue'' pour être chassée)"
Techniquement, tout être vivant peut être qualifiée de proie, y compris toi. Ou ton père. Ou ta sœur. Ou tes enfants. M'autoriseras-tu donc à débarquer chez toi avec un fusil pour tuer tes enfants et les manger rôtis à la broche? J'en doute. Ou alors à les traquer jusqu'à épuisement dans une forêt (chasse à courre)? Ou à les abattre de loin (au viseur/ à lunette)?
Je suis omnivore, et surtout non autotrophe, donc j'accepte le destin qui m'est fait de devoir tuer pour vivre. Mais quitte à manger de la viande, je préfère qu'elle soit abattue façon euthanasie, et pas après une course épuisante et angoissante en forêt ou en espace découvert.

14. Le mardi 3 octobre 2017, 15:38 par Pandora

Félicitations Melaka, vous êtes la digne fille de votre mère.
I
J'ai fait espagnol en LV2 2/3 ans après vous. Je me crois pas que ma prof ai jamais mentionné la corrida.

15. Le mardi 3 octobre 2017, 16:44 par mighty_axolotl

@Melaka
Enorme Merci pour ton travail d'une manière générale, et en particulier pour cette note que je vais m'empresser de partager !
<3

@Youpi
Je m'adresse particulièrement à toi parce que ton discours fait écho à ce que je pense :)
Ce que tu dis me semble très sensé, et sache que si tu veux aller au bout, un régime végétalien équilibré (ce qui n'est pas compliqué) est tout a fait adapté aux omnivores que nous sommes : il faut juste veiller à se complémenter en vitamine B12. Personnellement ce compromis me convient tout à fait, après tout je n'accepte pas non plus mon "destin" pour ce qui est de me faire vacciner, de prendre des antibio ou le jour ou je chopperai un cancer...
L'abatage des animaux quelle que soit la manière n'est pas du tout rapide ou non-traumatisant malheureusement.
(mon message n'est en aucun cas du prosélytisme, je pense que j'aurai apprécié lire ce message quelques années en arrière, et j'aurai sans doute gagné du temps :D )

16. Le mardi 3 octobre 2017, 21:10 par Lucie

Merci de ne pas mettre tous les profs dans le même sac (en disant "les profs" dans certains commentaires sous cette note).
Pour ma part, j'exècre aussi la corrida et je respecte le travail de mes élèves :-) comme la majorité de mes collègues d'ailleurs !

17. Le mercredi 4 octobre 2017, 00:13 par melaka

Oh mais je n'ai pas de problème avec la chasse, en théorie. J'ai un problème avec les armes, le fait qu'à peu près n'importe qui puisse les manipuler en toute légalité, et le fait que dès la fin de l'été et jusqu'au printemps, chaque week-end et chaque mercredi, je sais qu'il est imprudent d'aller dans les bois avec mes mômes. J'essaye de ne pas trop être empathique pour les bêtes qui vivent autour de chez moi ces jours là, pour ma préservation mentale ^^ Et je remercie également mes chattes de ne pas avoir la fugue facile parce que quand j'entends les bruits de guerre autour de chez moi (alors que la campagne est si apaisante, les autres jours), je flippe un peu.

18. Le mercredi 4 octobre 2017, 09:56 par melaka

En fait, si, j'ai un problème avec la chasse parce que je ne comprendrai jamais le plaisir qu'on peut ressentir en tuant volontairement un être vivant, un animal est une merveille de mécanique et d'évolution et je ne comprend pas qu'on puisse apprécier voir la terreur dans leurs yeux, les spasmes de la mort, qu'on puisse prendre du plaisir à retirer la vie. Parce que la chasse, quoi qu'on dise, c'est ça. Si tu aimes la nature et que tu n'aimes pas être la cause de la souffrance d'un être vivant, on prend des photos bordel !! Et à ceux qui sortiront l'éternel argument "ouiii mais tu manges de la viande, et les conditions d'abattage sont bien pires", je dirai que c'est pas parce que la lèpre existe que je lui préfère la vérole. ET c'est un AUTRE problème. Problème qui ne risque pas de s'arranger avec le ténia ignoble qui nous sert de président et tous ses petits vers parasites qui occupent les bancs de l'assemblée.

19. Le mercredi 4 octobre 2017, 14:34 par L'air de rien

Mélan(ron)choniste!^^

Je taquine, je taquine, c'était juste pour faire un jdm.
D'ailleurs j'avais bien aimé votre note en duo avec le sieur Reno sur son programme, même si je ne partage pas votre avis sur notre président.
Par contre concernant la chasse, on est bien d'accord et pas seulement au sujet des animaux mais aussi de l'humain: moins celui-ci a accès aux armes à feu, mieux le monde se porte (accident de chasse stupide récemment en France et évidemment le pire aux USA où un civil a pu légalement se procurer des armes militaires pour faire un massacre).

Allez, assez digressé allégrement^^
salut les cocos, et bises aux copines! ;)

20. Le vendredi 6 octobre 2017, 01:51 par Jacques C

Hu hu... Il fallait pas nous énerver Mélaka sur la chasse :-).

Quoi qu'il en soit, je la rejoins largement. L'argument de "chasser pour manger" ne tient pas une seule seconde, puisqu'il n'y a que les peuples de cueilleurs-chasseurs pour qui la chasse est l'unique source de protéines animales. Même si je peux comprendre la logique défendue par Lou Bataille, elle reste hypocrite (sans vouloir le blesser, et même si c'est involontaire de sa part) : ça m'étonnerait qu'il ne mange que les animaux qu'il tue, et ça m'étonnerait qu'il ne chasse que pour se nourrir, par défaut, et sans plaisir, par contrainte et esprit de sacrifice.

Car il y a une chose que les défenseurs de "la chasse pour se nourrir" oublient un peu vite, c'est que les cueilleurs-chasseurs ne tuent JAMAIS POUR LE PLAISIR. Chez toutes les sociétés de cueilleurs-chasseurs, et même si la chasse est un élément de structuration sociale et de statut (donc de fierté), toute mise à mort est une souffrance et un regret. Lorsqu'un chasseur de ces sociétés-là tue un animal, il s'en excuse TOUJOURS, il exprime à haute voix son regret d'avoir dû ôter une vie, et il laisse toujours une partie de l'animal sur place pour marquer sa volonté de conserver la continuité avec le vivant et les lieux. Et ce n'est pas qu'un constat statistique livresque. J'interpelle régulièrement des collègues anthropologues en leur demandant s'ils connaissent des contrexemples à cette règle : pour l'instant aucun ne m'en a jamais cité ! En l'absence du moindre contrexemple, c'est jusqu'à nouvel ordre une règle universelle des cueilleurs-chasseurs.

Or ce n'est absolument pas ce que l'on retrouve chez les chasseurs occidentaux, même ceux qui prétendent chasser "en respectant l'ordre des choses". Dans notre société agricole, chasser est par définition et par nature (si j'ose utiliser ici ce terme polysémique, et ici paradoxal) un acte de prédation et de domination du monde. Quand je parle de "prédation", ce n'est pas au sens des carnivores qui tuent pour vivre (les "prédateurs" naturels) et donc ce n'est pas au sens de la chasse des cueilleurs-chasseurs qui est un acte d'intégration au milieu, mais c'est au sens de la prédation destructrice, de l'appropriation égoïste, de l'accaparement d'un être. Les chasseurs occidentaux tuent pour s'approprier le vivant, pour en être les maîtres.

Et, bien sûr, la chasse occidentale est une chasse de loisir. Ce simple terme est rédhibitoire et scandaleux. Comment peut-on tuer "pour le loisir", "pour le plaisir" ?

Que ce soit clair :

-- D'une part l'argument de Lou Bataille est irrecevable sur le fond, car niant la réalité anthropologique de ce qu'est l'acte de chasser dans notre société (comparativement à ce qu'il est dans les sociétés de cueilleurs-chasseurs).

-- D'autre part et malgré cela, je pourrais admettre qu'une chasse telle qu'il la décrit resterait supportable si elle était réellement telle qu'il la décrit : aucune battue, aucune chasse collective (et encore moins chasse à cours), uniquement des chasseurs isolés connaissant parfaitement leur milieu, explorant les traces, tuant très peu d'animaux et en choisissant les plus faibles et surtout pas les "trophées" qui sont par définition les animaux dominants et forts qu'il ne faudrait jamais tuer ; donc finalement très très peu de chasseurs et ne chassant que deux jours par semaine (jamais le week-end) de façon à laisser la liberté d'usage de l'espace rural aux autres humains. Oui, sous toutes ces conditions, la chasse en France resterait un loisir douteux et malsain, mais deviendrait supportable. Oui, sous toutes ces conditions (et notamment l'interdiction stricte de toute chasse le week-end), qui supposent des vertus magiques chez des chasseurs dont il est prouvé qu'ils ne les ont certainement pas actuellement !, un compromis serait possible.

Et dans tous les cas, même si la chasse idyllique proposée par Lou Bataille était possible (hem...), l'autoriser resterait un gros cadeaux fait par les citoyens ordinaires aux chasseurs. Car même cette chasse-là n'est pas un droit, ne va absolument pas de soi, et son autorisation resterait une faveur, un luxe accordé par la majorité à une petite minorité.

C'est dire si la situation actuelle, où les chasseurs croient disposer d'un "droit" à commettre leurs actes barbares et dangereux, où ils s'approprient l'espace rural au détriment de la majorité des citoyens, où ils empêchent la majorité des gens de se promener (pour ma part, grand marcheur rural, pendant toute la période d'ouverture de la chasse je dois choisir des sites touristiques ou semi-urbains pour mes balades quotidiennes et suis donc lourdement victime de la terreur et de l'insécurité provoquées par les chasseurs), c'est dire si la situation actuelle est illégitime et aberrante.

Et je conclurai en reprenant la réflexion de Mélaka : quelqu'un qui aime pister des traces, connaître un milieu au point de savoir où trouver tel ou tel animal, trouver l'animal recherché, etc., pourra assouvir tous ces plaisirs en prenant des PHOTOS. Les plaisirs de la traque, de débusquer un animal, etc., ne sont pas malsains, et ils peuvent être assouvis par la prise de photos animalières. Si quelqu'un éprouve le besoin supplémentaire d'appuyer sur une gâchette et de provoquer la mort, il tombe dans une pulsion malsaine. Pas rare (hélas), pas honteuse en soi, mais foncièrement malsaine ; et rien n'est pire qu'une société qui banalise le malsain au lieu d'aider à le dépasser et s'en sortir. Ce qui fonde les sociétés humaines civilisées, c'est la capacité collective à lutter contre les pulsions malsaines (et certainement pas à les banaliser et les accepter). Chasse récréative et corrida en font partie.

21. Le vendredi 6 octobre 2017, 12:44 par melaka

J'applaudis de toutes mes mains (zut, y en a que deux...) ton commentaire, Jacques :)

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