Le petit monde de dedans ma tete.
le lundi 5 février 2018, 09:40
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Commentaires
je trouve ça génial !
le pragmatisme dans l'imaginaire, ça fait pas de mal ^^
Haha c'est trop sympa comme façon de voir les choses ! ♥
(pssst, tu as pensé à leur dessiner quelques vibromasseurs ???) :D
Gally > Oh putain, je le fais tout de suite !
Tu joues aux sims, toi, nan ? :3
Y a même l'ange ordinaire♥ !
Y'a du Ptiluc dans Roger, nan? ;-)
@Louna : +1
T'a inventé les Sims avant l'heure Mélaka? Demande leur des sous, des droits d'auteur :D !
PS: t'a pensé à prévoir des WC et des éboueurs pour tes princesses? Parce que sinon je dis pas l'odeur...
Ooooh je faisais pareil quand j'étais petite ! Sauf que je dessinais pas de maison, la feuille sur laquelle je dessinais mes personnages était leur appartement, et je dessinais un milliard d'objets utiles et nourriture sur cette feuille, avec les filles. Des fois je reprenais mes feuilles vieilles de plusieurs années pour dessiner de nouveaux gadgets pour leur faire plaisir (genre à noël).
Mais ouiiii tout pareil, moi je dessinais des chevaux et il fallait qu'ils soient au moins deux, avec de l'herbe, des pommes, du foin, une écurie, une rivière... nan mais c'est vachement de boulot un cheval en fait !
Ioba > à fond, j'adorais les pacush blue !
Youpi > Hum... C'est vrai que je leur ai peut-être pas dessiné assez de poubelles... Elles ont dû créer une sorte de décharge quelque part, je suppose.
Fanny > :))) Là je me sens comprise !
Ma sœur c'est pas des filles qu'elle dessine, c'est des bonhommes moustachus. :D
Ca me fait penser à un truc similaire.
C'est arrivé à ma fille de jouer avec un bébé imaginaire. Sans rien, mains vides.
Et au moment de partir à l'école, de me confier le bébé avec précaution pour que je m'en occupe.
Elle part, et normalement je n'ai rien à faire, mais je cherche ou poser le bébé imaginaire et je me sens vaguement coupable de trahir la confiance de ma fille.
La bd est très sympa, mais le truc le plus incroyable c'est que Frozen Bubble est adapté sur mac ?! Truc de ouf.
(Oui je dis truc de ouf et pas wtf, pasque bientôt 40 ans. Et donc il faut que je me rapproche de mon tonton reloud qui employais des termes vieillots - ainsi va la vie - Pour que la jeune génération se sente branchée et valorisée; dés 40 ans passés nous nous devons d’être has been, pour que eux (qu'eux?) aussi puissent, plus tard, être de vieux cons
C'est le cycle de la vie, "hé connard, ma tata!" comme disait Pumba.)
Une très belle planche, j'adore. Je suis revenu en prendre une louche.
Avec mes deux héroïnes http://nsm07.casimages.com/img/2018...
Dans le genre moi je dessinais mes personnages en croix et ensuite je les découpaient pour jouer avec ma sœur, je leur créait des armes, boucliers, monstres et autres créatures sur lesquelles taper ou partir à l'aventure.
Sa m'avait pris après la découverte de Age of Mythologie et j'avait envie de continuer l'histoire mais j'étais trop jeune pour savoir comment me servir de l’éditeur, alors je faisais mes dessins.
Hé hé hé, ce n'est même pas si loufoque que ça :) Dans le style "vie intérieure intense", je suis le seul à ranger les objets imaginaires que je crée dans l'air avec les mains quand j'explique ?
Hé, je viens de lire trois commentaires plus haut : on dirait que non :D
je faisais plus ou moins pareil petite...! des univers, petits ou grands, en papier, 2D ou 3D, et la question de savoir si mes peluches avaient de l'amour et à manger à égalité...
Une bonne fiction est un bon mensonge.
Dès gamin, je trouvais les histoires des films d'aventure, les fictions, les contes trop partiels dans leurs descriptions : "comment le personnage principal en est-il arrivé là ? Une histoire pareille n'est pas possible. Il y a trop d'improbables, trop de couleuvres à avaler." On doit passer sur tous ces détails pour se faire emporter par la narration.
Puis, j'ai découvert Jules Vernes et puis Frank Herbert. Vernes explique le niveau de science de son époque qui lui permet de développer ses fictions. Herbert explique les mondes étonnants dans lesquels évoluent leurs personnages. Ses descriptions sont poussées, détaillées. J'aime les mondes imaginaires, mais faut m'expliquer comment et pourquoi, quitte à changer les lois physiques.
Une princesse ? Pourquoi pas. Elle a besoin de compagnie, OK. De manger, bien sur. Mais alors, comment est-elle princesse ? D'où viennent ses vêtements, ce qu'elle mange ? Il lui faut une société, une industrie, une agriculture, un passé, une biologie, un métabolisme, une flore intestinale ?
Bref, je ne suis jamais parvenu à produire une seule fiction parce que ça m'aurait demandé trop de descriptions. Trop de travail.
Finalement, je me contente de consommer les rêves des autres.
Et voilà : https://www.france.tv/series-et-fic...