Les fictions d'Ashley D McTwips

Là please(c'est le blog de mes fictions du moments )

Et là mais c'est pas si grave

Salut les Darling's, ça gazouille? Je vais vite faire une petite présentation de moi.

J'ai un certain nom, qu'une certaine mère (ou plutôt frère) m'a donné. Je le renie completement. Alors j'ai décider de m'auto-proclamer Ashley D. McTwisp.

Explication du "D.": D signifie Devil, en rapport avec mon côté démon, prsychopathe assumé.

Bref, j'ai un certain âge dû à la certaine date de naissance où j'ai polué l'air de cette planète - parfois moche soit dite en passant- avec mon oxygène... J'aime les mangas-cela va de soit-, les trucs TRES pervers, lire des fics(perverses) sur les blogs et écriredes histoires...

Alors vous verrez souvent apparaître des personnages de mon subconscient. Le principale se nommant Kissuh, est mon fidèle acolyte sadico-maniaque. Et il y les autres comme Conscience- qui meurt et revient à chaque fois-, Raison, Logique, Intelligence et Mémoire. Je pense que c'est tout. Au fait, je suis

• SADIQUE
• PERVERSE (et pire encore)
• MANIPULATRICE
• HYPOCRITE (mais pas trop quand même)
• CINGLEE
• et IMPERATRICE DE LA GENTE MASCULINE...*

*:Mon rêve --> Être l'Impératrice du Monde Masculin et les tenir sous la soumission...( Ne cherchez jamais à essayer de me comprendre ou alors... à vos risques et périls...)

Bon, j'éspère que vous lirez mes fics, que j'écrirais à thème (schoolfic, fic, lifefic, syfic).

Bye bye...

D-Ash.

...

Alors, comme je n'aime pas perdre trop de temps, je vais de suite faire l'intro de ma fic. Ce sera une fic romance, perverse, et life.

Résumé:

Devil Hell n'a jamais menti a ses parents. Mais un jour en allant au lycée, elle fait la rencontre du fils de Dieu, Alexander Paradis et de son frère jumeaux Shane. Elle tombe immédiatement amoureuse d'Alex. Mais le cache a sa famille. Que se passe-t-il quand Shane, qui est aussi amoureux de Devil, la veut pour lui tout seul au point de s'allier avec Damon(se lit démone) le frère jumeaux de Devil qui l'aime aussi? Entre Terre et Ciel, se joue un défi pour la conquête du coeur de la jeune fille...

D-Ash.

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Yo! Alors? J'espère que juste que je vous ferait mourir d'envie avec mon premier chapitre...^^

Ben, déjà je vous préviens, mes chapitres sont toujours supers courts, alors j'essayerai de faire plus long.

Disclaimer: Les personnages de cette fics appartiennent tous - ou la plupart- a MOI. Les images par contre ne le sont pas... Merci de respecter les gens qui se donnent du mal à écrire.

Quelque part dans une dimension de Shéol, une jeune fille dort paisiblement. Soudain, une boule de météorite lui fonce dessus lui arrachant au passage, un cri strident…

- Abruti !! Tu ma fais mal !! s’écria-t-elle en le frappant à l’épaule.

Le jeune garçon -en fusse-t-il un pour autant- rit, dévoilant des dents blanches et aiguisées. Il s’excusa en embrassant furtivement les lèvres de sa petite-sœur jumelle qui rougit instantanément comme toujours. Elle sauta sur le dos de son aîné et il la porta jusque dans la salle à manger où des gorgones servaient le petit-déjeuner. Comme toujours, Damon nourrit sa sœurette en lui donnant à manger comme les parents le faisaient avec nous quand nous étions encore de petits-enfants. Devant ce petit portrait de famille si beau, le père, Lucifer, réprima son envie de vomir et la mère, Satanie, de prendre ses petits bébés dans ses bras.

- Vous devriez y allez mes chéris,les prévint-elle en leur donnant un baiser sur le front.

- Tuas fini de me prendre pour un gamin !s’énerva l’adolescent qui virait au rouge.

- Non, je n’ai toujours pas fini. Et puis il y en que ça ne dérange pas,dit-elle en désignant sa fille qui restait accroché à elle.

Les deux frangins partirent vers la navette, main dans la main, en faisant de grands signes à leurs parents…

***

Quelque part, dans une demeure situé sur un nuage… Deux jeunes hommes déjeunaient à l’air en songeant que dans moins d’une minute, ils allaient devoir descendre en bas pour aller au lycée…

- Tu crois qu’on va se faire des amis rapidement ? demanda le plus jeune des deux.

- Tu penses vraiment que ça m’intéresse ?! Tu m’agaces à toujours vouloir tout savoir.

- Mais !

- T’a un père divin qui connaît nos futur, pourquoi pas lui demander ? répondit-il en s’allongeant.

- Tu sais très bien ce qu’il répondrait ! Allons-y si nous ne voulons pas arriver en retard pour notre premier jour.

- Pff, tout ça pour apprendre des choses qui ne me seront jamais utiles…

- Elles le seront ! Et puis tu peux toujours faire des rencontres intéressantes… Qui sait ? dit-il un petit sourire au coin de la bouche.

- T’es toujours comme ça ?demanda-t-il en se s’étirant et se levant.

- C'est-à-dire ?

- À voir seulement le bon côté des choses ?

Il rit d’une manière mélodieuse, si agréable que les oiseaux vinrent y mêler leurs chants matinaux.

***

Encore une fois, le jeune homme avait décidé d’enquiquiner sa sœur pour être sur que cette journée allait commencer en beauté. Et qu’avait-il trouvé cette fois-ci ? L’idée de remplir le sac à dos de sa cadette d’asticots et d’araignées malodorantes. Ce fut donc dans un cri étranglé qu’elle lança son sac dans la rivière où les bestioles, disparurent dans un écran de fumée noire. Son frère, plié en quatre, venait de tomber à terre les larmes aux yeux. Un peu plus loin, un duo de garçons marchait. En entendant les cris de la jeune qui pleurait, ils s’y dirigèrent.

- Qui y a-t-il mademoiselle ? demanda l’un deux.

Elle se réfugia dans ses bras et pleura de plus belle. Elle bégaya des mots incompréhensibles et du attendre que ses convulsions se calment pour pouvoir raconter ce qui lui arrivait. Elle désigna son ainé qui, entre-temps s’était calmé et assis dans l’herbe en tailleur.

- Comment peux-tu faire un truc aussi horrible à ta sœur !! Tu es vraiment cruel ! s’indigna-t-il.

« Merci du compliment » fut sa seule réponse.

- Et maintenant vires tes sales pattes de ma sœur si tu ne veux pas mourir carbonisé, le menaça-t-il en se relevant.

- Moi au moins, j’essaie de la réconforter des stupidités de son frère !

Vexé par ce qui venait d’être dit, Damon transforma son bras en une longue lance et se rua vers Alexander et Devil. Mais juste au moment de les toucher une flèche lui transperça l’épaule. Il gémit de douleur et tomba à terre. Derrière lui, un arc en position de tire en main, le sosie d’Alex venait d’entrer en scène. Il s’approcha du jeune homme blessé et lui extirpa violement la flèche encré dans son omoplate, ce qui lui arracha un deuxième gémissement.

- Personne, je dis bien personne, ne fait de mal à mon frère, compris ? dit-il d’une voix dure et cassante.

- Sal…

- Dit un mot et je t’achève, saleté,dit-il en dégainant une épée -d’on ne sait où- et la mettant sous la gorge du garçon.

- Non !cria-t-elle, en le poussant à terre. - Ne lui fait pas de mal !

Elle s’accroupie près de son frère et chuchota « curere ». L’instant d’après, la blessure de son aîné n’était plus qu’une cicatrice. Elle l’aida à se relever et lui demanda pardon.

- Je suis désolé, je m’appelle Devil Hell, et voici Damon, mon grand-frère jumeau. Il me fait souvent des blagues, mais je suis une grande froussarde, je vous présente mes excuses pour vous avoir dérangé, dit-elle en s’inclinant en avant.

- J’avoue que mon frère Shane a réagit de manière excessive. Présentes-leurs tes excuses toi aussi.

- Plutôt mourir ! Tu as entendu leur nom ? « Hell », tu as la mémoire courte ?!

- De quoi diable parles-tu ?

- Ça tu l’as dit, ce sont les enfants du Diable !!

- Est-ce vrai ?demanda-t-il.

- En effet, mon père se nomme Lucifer et ma mère Satanie.

- Oh…

Il y eut un moment de silence pendant lequel seul le bruit du vent dans les feuilles résonnait.

Au bout d’une petite seconde, Alex leur offrait son plus beau sourire.

Il s’excusa à son tour pour la flèche de son frère.

- Enchanté, je suis Alexander Paradis et c’est mon frère jumeau Shane qui a malheureusement blessé Damon.

Navré, dit-il en affichant une mine triste et en penchant ma tête sur le côté.

- Ce… n’est pas grave. Damon, tu devrais tout de même consulter maman pour ton bras.

- T’a raison, et n’espère pas me revoir au lycée, j’irais pas aujoud'hui…dit-il en ramassant son sac et en le donnant à sa sœur.

-  T’es affaires sont quand même fichues.

C’est sur ces paroles qu’il disparut dans un épais nuage de fumée opaque. Elle resta avec les deux jeunes hommes. Elle parla un long moment avec Alexander, Shane préférant rester un peu à l’écart. Il ne savait pas pourquoi, mais voir son frère avec cette fille avec quelque chose d’envieux… Sa mère lui disait souvent que quand il serait amoureux, il le saurait tout de suite. Il chassa cette horrible idée de son esprit et continua d’avancer tout en se demandant comment faisait Alex pour parler à un démon -aussi séduisant qu’-elle.

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Hi !! Alors ? Normalement Shane ne devait pas les rencontrer tout de suite mais je change si souvent d’avis… J’ose espérer que ça vous à plus. J’attends aussi vos avis et vos jugements.

Merci

D-Ash.

"Ses cheveux blonds ondulaient dans l'eau,

formant de magnifiques boucles d'or...

Son visage cireux, comme sculptée dans le marbre,

rendait témoignage de tout ce temps passé dans les abysses...

Ses yeux -l'un bleu azur, l'autre vert pomme- noyaient les observateurs dans un monde de gaieté et d'allégresse profonde...

Son corps, souple et svelte, se faufilait partout,

donnant toujours cette impression de mirage optique...

Ses écaillesluisantes aux reflets du soleil dans l'eau,

renvoyaient son visage sur un millier de cristaux incrustés dans sa peau...

Sa voix, telle un milliard d'anges louant sa grâce et sa bonté,

soulageait les peines de coeurs...

Et enfin, son amour, dédié à ma personne,

me transperçant à chaque regard de mille baisers à l'oeil...

Je l'aime. Ma sirène.

Le marin...

D-Ash.

En fin de journée - oui, déjà- Devil sortit de son cours de piano en chantonnant.  Elle avait fait une partition à quatre mains avec Alexander et ce dernier l’avait  complimenté… Elle ne remarqua même pas qu’elle venait de percuter son frère  qui l’attendait à la sortie.

- C’est quoi cette tête joyeuse que tu me tires ?demanda-t-il suspicieux.

Elle ne répondit, et se mit à courir le long du canal. Elle trébucha plusieurs fois,  mais joyeuse comme elle l’était, une bombe nucléaire aurait très bien pu exploser  qu’elle ne s’en n’aurait même pas rendu compte.

- Bon tu me dis à quoi rime ton petit manège ? demanda-t-il une fois qu’elle fut calmée.

- Cette journée est merveilleuse !! déclara-t-elle en le plaquant au sol.

- Grace à ?

- Alexander quel question !! Il est magique, magnifique, fantastique, héroïque,… Damon ?

Comme son frère ne répondait pas elle se leva et se posta en face de lui. Elle lui  leva le menton d’un doigt pour qu’il l’a regarde dans les yeux. Ce qu’elle vue dans son  regard l’effraya.

- Ça ne va pas ? demanda-t-elle.

- Si pourquoi cette question ?répondit-il en serrant la mâchoire.

- Rentrons d’accord ?

Il la devança vers le portail qui s’était ouvert en direction de leur demeure…

***

Deux beaux jeunes gens discutaient sur le trajet menant à leur immense nuage-maison…

- Tu la trouve comment Devil ?demanda-t-il les bras croisés derrières la tête.

- Ça va, mais qu’est-ce que tu as ?

- Tu me croirais si je te dis que je suis amoureux ?

- De Devil ?

- Je pense bien, je la trouve géniale, elle a quelque chose en elle que je n’ai jamais trouvé chez personne !

- Écoute-moi bien ! dit-il en le prenant par les épaules. - Cette fille est Devil Hell !

- Et puis ? Elle est si…  elle est tellement… C’est indescriptible !

Shane ne répondit pas tout de suite. Ce que son frère disait, il le pensait  également… Il n’avait jamais été amoureux pourtant, Devil… ne le laissait  absolument pas indifférent… Ce qui l’agaçait ! Il rangea ses pensées dans un coin  de sa tête et se remis à marcher… Une fois arrivé à la maison, il alla s’enfermer  dans sa chambre, sans même prendre le temps de saluer ses parents. Il  composa un numéro que jamais il n’aurait cru possible. Une voix sèche  répondit au bout de trois intonations.

- Tu me veux quoi !! hurla ce dernier.

- Oh ! Tu te calmes coco ! J’ai juste un truc à te demander alors tu la boucles et tu écoutes !répondit-il sur le même ton.

- …

- Étonnant, pensa-t-il. - Bref, j’aimerais savoir où est ta sœur.

- Dans sa chambre, pourquoi ?

- Heu… comme ça…

C’est à ce moment-là que Shane se rendit compte qu’il ne savait même pas  pourquoi il avait appelé le frère de Devil… Un rire résonna de l’autre bout du  combiné. Après un long fou rire, Damon respira un grand coup avant de dire :

- Je vois… Je vais récapituler depuis le début, ok ?

Tu es rentré chez toi après avoir pensé toute la journée aux nouveaux sentiments que tu avais pour ma sœurette. Ensuite, sur un coup de tête, tu as fais le numéro que tu n’aurais jamais cru possible de composer, c’est-à-dire, moi…*il rit encore*…

Et donc, tu veux ma sœur, mais, elle n’a d’yeux que pour l’énergumène qui te sert de frère. Et pour la conquérir, tu viens voir la seule personne qui la connaît le mieux au monde, alias… moi !acheva-t-il en éclatant de rire une fois de plus.

- …

- Tiens, le type qui dégainait comme Robin des Bois ce matin ne répond rien ?

- T’es qu’un…

- Si tu dis une gaffe, je te raccroche au nez.

- … Tu veux quoi ?

- Comment ça ?dit-il d’un ton innocent…

- Les démons veulent toujours quelque chose en retour, que me veux-tu ?

- Oh, comme tu nous connais bien ! Et bien, je veux simplement que tu t’excuses envers ma petite personne.

Shane écarquilla les yeux. Bien que cette phrase ne soit en rien d’extraordinaire,  pour lui, c’était encore pire que l’enfer ! S’excuser auprès de démons, était pire  que de souiller son nom… en fait, c’était pareil. Il réfléchit a une vitesse  phénoménale.

- Demande autre chose.

- Veux pa’ !

- Mais…

- Trois… Deux…

- Bon ! Mais jure de m’aider ensuite.

-  Le phrase « n’avoir qu’une seule parole » ne s’applique pas aux gens de mon espèce.

- Je te hais.

- Encore heureux, je ne suis pas gay*.

- Abruti !

- Bon, alors dit-moi ce que toi tu veux je fasse ensuite on verra pour les excuses.

- …

- Allô ?

- Tu… tu vas vraiment m’aider à…

- Sortir avec Devil ? Ouaip.

- Pourquoi ?

- Je n’aime pas Alexander… Il est trop angélique à mon gout. Toi, tu as un côté noir, ça me plait pas mal.

- Je te rappelle que tu viens de me dire que tu n’étais pas gay…

- Haha ha. Donc ?

- Quoi ?

- Hé ! J’veux mes excuses !

- C’est impossible ! Ce serait trahir tout mon pays !

- Tu l’as fait au moment où tu as tapé mon numéro…chuchota-t-il.

- Je te hais, Damon.

- Moi aussi, Shane.

- À demain au lycée.

- Bye.

Le démon raccrocha, le sourire aux lèvres… Shane se dit que finalement son ‘ennemi’ pouvait bien être un allié. Et puis ce dernier n’avait pas tout à fait tort… Ce qu’il détestait le plus c’était bien le fait d’être le fils de Dieu, et donc de toujours devoir tout faire correctement. Lui, bien que secrètement, enviait ses êtres abjects qui tuaient sans vergogne… Il irait présenter ses excuses à Damon demain, de toute façon, ils allaient devoir être amis pour le meilleur -le cœur de Devil- et le pire…

***

Damon se rendit dans la chambre de Devil et la regarda dormir un long moment. Il s’infiltra dans son lit et la prise dans ses bras.

- Tu es tellement mignonne. Je vais surement me briser le cœur à aider Shane, mais vaut mieux lui qu'Alexander. Je t’aime tant, Dev’.

- Au point de lui foutre les pétoches de si bon matin ?demanda une voix derrière lui.

- Je peux savoir ce que tu fous là ?

- Je viens voir ma petite fiancée quel question !

- Death, tu n’es pas le bien venu, de toute façon je vais tout faire pour qu’elle tombe dans les bras de Shane.

- Shane... Paradis ?

- Oui.

- Intéressant. Tu préfère un ange à un faucheur ?

- Tu lui ferais trop de mal.

- À qui ? Shane ou Devil ?

- Abruti de premier ordre.

- C’est vexant. De toute manière Devil sait qu’elle n’a pas le choix. Bon je te laisse j’ai des âmes à récupérer.

- Bon vent…

Le jeune homme qui venait de surgir disparu dans un nuage qui s’évapora par la fenêtre. Damon ce dit qu’il aurait bien du mal à faire ce qu’il devait faire. Mais laisser sa sœur tant aimé à un ange valait mieux qu’un homme méchant qui passait tout son temps à tuer des gens pour le ‘plaisir ‘… Sur ce, sa sœur se blottit davantage contre lui, ce qui renforça ses convictions. Pas Alexander, ni Death ne l’auraient. Ce serait soit lui soit Shane.

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Hi! What do you thing about that?

Personnellement je ne l’aime pas ce chapitre mais bon.

Death : Death Hell, pas le frère de Damon et de Devil, mais le fiancé de cette dernière. C’est la Mort, celui qui fauche la vie des gens, plutôt l’ombre -donc l’âme- des personnes qui sont sur sa liste. Parfois, lui et son meilleur ami -aussi faucheur- tuent des gens pour des paris stupides. Il a un caractère impulsif et jaloux. Il pète souvent des câbles, et se bat souvent avec Damon - et aussi Shane.

* Je vous préviens, je n'ai absolument rien contre les homosexuels.

D-Ash.

Fiction pour le concours du blog d'une amie -la flemmardise de mettre un lien...- auquel je participe...

Inspiré de ma rencontre avec un Abruti séduisant par paroles et actions...

Cut Brother complex, résumé -ou ce qui s'en rapproche du moins...- :

Chloé et Jules sont frères et soeurs depuis seize années. Chloé avoue un jour ses sentiments pour son frère qui se demande quoi faire. Que se passera-t-il?

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D-Ash

-Jujuleeuhh !! s’écria une toute petite voix au creux de mon oreille.

Les couvertures qui couvraient mon visages furent si violement enlevés que le soleil me tapant dans le visage me firent poussé un grognement d’ogre.

-Pourquoi tu peux jamais faire ça en douceur ? demandais-je en me frottant les yeux.

-Et toi pourquoi tu fais toujours du nudisme, hein ?

Je l’observais et suivit son regard qui se dirigeait vers mon corps… nu. J’essayais de me remémorer ma soirée de hier après que Dante soit venu avec son éternel pack de bière. J’avais… ah oui, pris une douche et crevé comme j’étais, je ne m’étais pas habiller. Je fis mine de me lever, car je sais que timide comme elle était elle s’enfuirait à toutes jambes. Étonné je fus quand la couverture tomba sur le bas de mon ventre, et qu’elle n’avait toujours pas bougé.

-Y’ a un problème ? demandais-je surpris.

-Non pourquoi ? répondit-elle.

Elle avait les yeux rivés sur… mon torse ? Remarquant que je l’observais elle rougit et se leva en disant que si je ne descendais pas, elle mangerait touts mes toasts en disant aux parents qu’elle m’avait tué : étrange petite-sœur… Je m’habillais et allais dans la salle à manger. Elle souriait aux anges devants sa demi-tonne de crêpes au sucre brun. J’avalais mon bol de chocolat chaud et mis ma veste.

-Tu te dépêches demi-portion ? demandais en enfilant mes converses noires.

-Non.

-Comment ça non ? dis-je en me dirigeant vers le salon.

Elle était assise en pyjama dans le salon devant « Pichi Pichi Pitch », le manga mettant en scène des jeunes princesses sirènes… totalement débile.

-Je peux savoir ce que tu fous dans cette tenue ?

-Tais-toi elles vont chanter !

-Non mais ho ! Tu te crois quel jour ?! m’exclamais-je, remarquant au passage que je ne le savais pas moi-même.

-Ben, dimanche, pourquoi ? dit-elle avec un sourire à faire fondre un iceberg.

-Pardon ?

-Où vas-tu mon chaton ? me demanda ma mère qui passait.

-Bah je pensais aller en cours.

-Oh mon Dieu, Frédéric !! Jules veut aller en cours un dimanche ! Il doit faire un traumatisme crânien, vite !

-T’as une copine ? me demanda mon beau-père.

Je regardais ma sœur avec l’envie de meurtre qui me prend quand elle me pique mes toasts. Je me jetais sur elle, mais ayant prévue mon coup, elle s’enfuit dans le couloir. Je la poursuivis pendant au moins un quart d’heure avant qu’elle n’aille s’enfermer dans… non mais attendez, c’est MA chambre !

-Sors de la Chloé !

-Seulement si tu ne me frappe pas !

-Rappel-moi le jour où je t’ai frappé ?

-…

-Chloé ?

La porte s’entrebâilla pour me laisse entrer. Elle était adossée à la porte la tête entre les genoux en position fœtal.

-Qu’est-ce que t’a ? demandais-je en la prenant dans mes bras.

-Je… Pardon.

-Ce n’est pas grave, du moment que tu me jures de plus le refaire.

-Promis.

-D’ailleurs pourquoi t’as fait ça, tu sais que je suis venue vers trois heures du mat’, je suis crevé.

-Je voulais te le dire.

-Quoi ?

-Je suis amoureuse de quelqu’un au lycée.

-Quoi ! C’est qui ?

-Je ne peux pas te le dire.

Bien qu’ayant seize d’existence avec moi, ma petite-sœur est ce qu’on appelle une grande-enfant.

-Ah ouai ? Et pourquoi pas ?

-Parce que.

Le plus grand défaut de ma sœurette : son don à faire des mystères.

-Bon sang ! T’es amoureuse de qui ? M’oblige pas à demander à Doc Mam !

Petite explication : mon père est chirurgien dans une grande clinique et ma mère est psychologue. Vous vous direz surement : « waw, ses parents font des boulots supers cool ! ». Ben je vous réponds, non c’n’est pas ‘super cool !’. Vous croyez que c’est cool que votre mère vous observe comme son patient VIP ? Si vous ne souriez pas tous les matins, elle vous prescrit des pilules antidépressives. Alors si je lui dis que son petit bout de choux d’amour est amoureux, elle va la cuisiner à un point !

-T’a pas le droit ! Je ne voulais pas, je n’ai pas fait exprès !

-Pas fait quoi exprès ? Tu pourrais dire tout d’un coup ?

Elle se redressa et me poussa de sorte à être à califourchon sur moi. Ses longues boucles brunes me tombaient sur le visage en même temps que ses larmes. Elle s’approcha encore plus de mon visage et pressa ses lèvres contre les miennes. J’écarquillai les yeux. Elle progressa forçant le passage de ma bouche avec sa langue. Je la repoussai pour la faire s’asseoir.

-Je vois le genre, chuchotais-je pour moi-même…

Elle repartit dans sa chambre et n’en sortit pas jusqu’au lundi. Nous attendions à l’arrêt de bus avec Dante et Anne-Marie-Laure. Sa meilleure amie ne cessait de me jeter des coups d’œil en coin, j’en déduis donc qu’elle le sait. Une tête rousse me fonça dessus, me faisant tomber à terre.

-Mon amour !! s’écria-t-elle.

-T’es obligé de me plaquer au sol pour dire bonjour ? demandais-je en me relevant.

-Ben ouai, comme ça je peux être à califourchon sur toi et fais des trucs pas très catholiques, si tu vois de quoi je parle, dit-elle en me faisant un clin d’œil.

-Perverse.

Mélanie, la personne la plus étrange du monde. Amoureuse de moi depuis le CE2, elle ne cesse de me harceler pour que je sorte avec elle, alors que je la recale tout les temps. Ps : Dante est fou d’elle.

Du coin de l’œil j’aperçus Chloé viré au rouge. Elle poussa Mélanie par terre et se réfugia dans mes bras. Elle me regarda droit dans les yeux, et pour la première fois de ma vie j’en fus déstabiliser.

Le bus arriva et nous nous montâmes pour le lycée…

…

À la fin du cours Anne-Marie-Laure vint me dire que ma sœurette m’attendait dans une des classes.

Je montais donc à l’étage et l’a trouvai assisse sur le rebord de la fenêtre. Elle ne prit même pas la peine de se tourner pour moi.

-Qu’est ce que tu fais, on rentre.

-Non pas encore, pas tant que tu ne m’auras pas dit ce qu’il y a entre Mélanie et toi.

-On est amis.

-C’est pas vrai ! dit-elle en me regardant, elle te saute toujours au coup et elle tu ne l’a repousse pas quand elle t’embrasse.

-Te fiche pas de moi ! T’es ma sœur on a le même sang !

-Strictement pas ! Frédéric est mon père, le tien je ne le connais pas.

-Mais on s’en fout ! Analyse deux secondes la situation : tu es ma petite-sœur, on partage - que tu le veuilles ou pas- le même sang, et bordel de m*rde oui je t’aime !

Deux petites minutes, je viens de dire quoi là ? Fraternité, sang, amour ?! Je l’observais pour guette une réaction quelconque mais rien. Elle se rassit sur le rebord et répéta la phrase que je viens de prononcer.

-Tu m’aimes ? Comment ?

-J’en sais rien moi, je t’aime c’est tout.

Je commençais sérieusement à avoir chaud. Mes mains étaient moites de sueur, mon cœur battait si vite que j’avais peur qu’elle l’entende.

« Prouve-le »

Mes membres ne me répondaient plus, j’avançais vers elle. Je la soulevais du rebord de la fenêtre et la colla contre moi le plus possible : ce fut la première -et pas la dernière- fois que je remarquais de son 90B était adorablement doux. J’approchais ma tête blonde de son visage et l’embrassai. D’abord lèvres contre lèvres très serrées. Je passais ma langue dans sa bouche et touchais la sienne. Je tournais légèrement la tête sur le côté pour approfondir notre baiser. Au bout de quelques secondes elle me repoussa :

-Ju… jules, dépose-moi par terre. T’es trop collé à moi ! dit-elle en haletant.

Je ne répondis pas et continuai à l’embrasser. Je ne pouvais pas m’en empêcher, sa petite langue qui se tortillait dans touts les sens quand je la touchais était trop mignonne. Au bout d’un certain moment, je l’a déposai et reculai pour mieux l’observer. Elle était toute rouge et tortillait sa plus longue mèche avec son index, signe qu’elle était heureuse.

-Je crois que Anne-Ma-Lau t’attends en bas, dis-je en ramassant mon sac.

-Mais !...

-On se revoit ce soir, dis-je en lui faisant un clin d’œil.

Elle m’offrit son plus beau sourire et je sortis de la pièce… J’ai hâte d’être à ce soir…

D-Ash

Nous étions en cours de musique avec Kakashi-sensei [pourquoi pas ;)]quand la porte du fond s’ouvrit sur la pionne qui laissa entrer une jeune fille blonde avec une guitare simple dans le dos. Elle donna son billet de retard au professeur et s’assit à ses côtés. Quand les filles qui jouaient Buono terminèrent je me levais pour interpréter ceci, mon meilleur ami Quentin Dante à la gratte [en espérant qu’il ne passe jamais !!].La jeune fille monta tout de suite après nous pour chanter une chanson appelée « Why »d’après le refrain. Une voix mélodieuse pour un visage tout aussi angélique. A la fin du cours, elle fut assailli de questions par toute la classe -surtout les garçons. Elle les nia royalement et se dirigea vers la machin à cappuccino du réfectoire.

- Attention, monsieur j’ai-dix-sept-ans-et-toutes-mes-dents-donc-je-drague-comme-un-mec-en-manque va faire son entrée, me prévint Dante qui, doit être dit, a la sale manie d’inventer des surnoms de trois cent mots aux gens…

En effet, Marc, le « beau gosse de la classe et aussi fils du proviseur » l’accosta. Je me dirigeai vers la table la plus proche et fis mine de déjeuner pour entendre leur conversation.

-Tu t’es déjà fais des amis ? demanda-t-il.

-Non, cette école est remplie de harceleurs sexuellement dérangés !s’exclama-t-elle dans avec un pur accent anglais -ou américain.

-Haha ha, tant que ça ?

-If I’m telling you so!

-Well, you can also stay with me, no?

-That was my purpose,dit-elle en souriant.

Elle emporta son café et alla s’asseoir avec Marc à sa table d’amis.

- ROXAS !!!! hurla l’abruti de service dans mes oreilles.

En manquant de tomber de ma chaise, je le regardai dans les yeux avec mon éternel regard de meurtrier.

- T’arrête pas de la regarder, tu l’as connais ?

- Quoi ? Heu… non, mais j’ai l’impression de l’avoir déjà rencontré…

- Où ?

- Aucune idée.

Je l’observai toujours quand son attention se porta sur moi. Elle me dévisagea longuement avant que son sourire ne s’illumine. Elle vint à notre table et me pointa du doigt.

- Are you Jules Roxas ?

- Y…yes.

- You don’t remember me ?demanda-t-elle en penchant la tête sur le côté -ce qui lui donnait une tête de hamster frustré…

-Oh! Ashley-Chloé McTwips, right?

- Yeah !dit-elle en me sautant au cou.

- Jules a une copine ? intéressant…

- Mais  non, c’est ma correspondante américaine, on s’est perdu de vue parce qu’elle à déménager en Angleterre dans un internat.

- Oh, oh. Alors comme ça tu chates avec des « mesdemoiselles-je-vis-en-Amérique-et-je-suis-super-canon-comme-les-Anglaises » ?

- What ?

- Let il fall…

- Ash, on y va, tu viens ? demanda le bcbg.

- Oui, on se voit plus tard, Marc va me faire visiter.

Elle me donna une bise et en fit de même avec la totalité de notre table - ce qui fait quand même vingt personnes. Elle s’en alla accrocher au bras blonds de mon ennemi juré !  À la fin de la journée, je retournais dans ma chambre, ouvris la porte et… tombai par terre. Une tête blonde-rousse se releva et me sourit.

- Hello Teddy !

‘Teddy’, est le petit surnom qu’elle ma trouvé après ‘Pussycat’,’Darling’ et ‘Baby boy’… Je me relevai et lui servi un verre de Fanta. Elle n’arrêtait pas de sautiller d’une fesse à l’autre, au point que je me demandais si je devais lui montrer la porte de la salle de bain.

- Il y a un problème ? osais-je.

- No, why ?

- Tu n’arrête pas de bouger.

- Je suis contente, j’ai été vraiment triste de ne pas pouvoir te contacter, et surtout de ne pas t’avoir prévenu que je changeais de numéro, dit-elle en vidant son verre d’une traite.

- Ce n’est pas grave, du moment qu’on s’est retrouvé.

- Yeah ! Alors quoi de neuf ?

- Bah, rien.

- Avant, à chaque fois que je te posais cette question tu me disais que tu souffrais.

- À ouai ?

- Bien sur, et toujours à cause de ton sport de combat, ça me faisait rire.

- Que je souffre ?

- Non, que tu continues quelque chose qui te fasse mal.

- Ha, mais j’aime ça, et puis c’est pratique de savoir se battre ?

- Pourquoi ?

- Comme ça ‘pourquoi’ ? Bah, le jour où quelqu’un essayera te t’agresser on verra bien.

- Je suis armé.

Elle venait de lancer cette dernière phrase comme un ‘salut !’, et le pire c’est qu’elle souriait. C’est à ce moment là que je me souvins que j’avais en face de moi la seule fille au monde ayant comme héritage de ses ancêtres une hache de viking -et qui adore s’en servir [*-*]… Nous conversâmes sur tout et rien, comme avant et cela me rappela qu’en toute bonne foi, j’étais tombé amoureux d’elle. Et je ne le lui avais jamais dit.

- Il se fait tard, et je n’ai toujours pas trouvé ma chambre.

- Tu veux que je t’aide à la chercher ?

- Non, Marc a dit qu’il allait m’aidé, c’est gentil, non ?

Comme je ne répondais que par mon silence, elle me regarda longuement avant de claquer sa langue contre son palais : signe qu’elle avait une idée.

- Tu ne pourrais me présenté à tes amis ? Ce serait gentil de me faire visiter la ville.

- Marc ne va pas le faire ?

-Jealous. We are just friend.

-Layer.

-I know that you fallen in love with me, that not a secret. But I can do what I want.

-I never say that I loved you!

-And you said that I’m the layer…  Good night, Teddy.

Sur ce, elle se retourna et s’en alla. Pourquoi je ne suis jamais capable de faire ce que mes sentiments me dictent ?! J’allais dans la salle de bain m’asperger d’eau froide, et me couchais. Dante ne pourrais en aucun cas m’en vouloir de ne pas être venu m’entraîner ce soir !

PDV* Auteur

La jeune fille rejoint Marc dans le living et s’assis à ses côtés avec une tête de hamster triste.

- Un problème ?

- Les blonds aux yeux gris sont des idiots !

- Vexant, qu’est-ce que je t’ai fait ?

- Jules est un abruti !

- Ah. Et je peux savoir pourquoi ?

- Il dit qu’il ne m’aime pas alors qu’il l’a clairement écrit pendant une de nos discutions !

- Tu connais ce crétin ? [pardon Jujules]

- Oui, c’est mon correspondant depuis quatre ans. Et il m’a dit clairement : « Je veux que tu partes en sachant que je t’aimerais toujours… ». Et là, il nie tout en blocs ! Idiot !dit-elle en fondant en larmes.

- Tu sais, quelqu’un qui ne sait plus ce qu’il a dit, c’est qu’il ne le pensait pas. [Salaud !]

- Il a menti ! Je…

Elle fondit en larmes et Marc passa un bras autour de ses épaules pour la réconforter. Il l’assit sur ses genoux et tout en lui embrassant le front, lui dit qu’elle pouvait lui faire confiance car il ne disait que ce qu’il pensait. [Sal…! Eh bas Jules aussi !!]. Jules qui avait décidé de s’excuser descendit dans le hall et en voyant cette scène -Marc et Ashley-Chloé-, s’en alla en courant, rouge, soit de colère, soit de tristesse. Il alla tambouriner à la porte de son meilleur qui apparu dans la porte habillé d’un slip Bob l’éponge [Pardon monsieur Dante xD].

- Non mais t’es pas bien ! grogna-t-il.

Il le poussa sur le côté, entra et se servit une bière glaciale qu’il but d’un coup sec.

- T’es devenu dépressif ou quoi ? Tu bois jamais sauf quand je te menace. [Sans commentaire]

- Marc est un connard.

- Ça on le savait.

- Il est dans le hall avec Chloé sur les genoux ! Et elle pleure surement à cause de moi !

- Bah pourquoi ?

- Trop longue histoire, faut que je décompresse.

- Heu… à minuit ?

- Oui !hurla-t-il.

- Oh ça va ! J’ai la tête dans le c*l, alors t’arrête de me gueuler dessus !

- Pitié Dante, je suis ton frère, t’as pas le droit de me laisser moisir dans mon coin.

- Je ne vois pas ce que je pourrais faire pour « Le mec-que-essaye-de-me-faire-du-chantage-pour-que-je-le-fasse-decompresser-et-qui-marche ».

- Tu sers à rien !

- Déjà assieds-toi, ok ?

- Pas envie.

- PUTAIN DE MERDOUILLE TU T’ASSEOIS ET T’ARRÊTE DE FAIRE CHIER TON PEUPLE, CLAIR ?

Devant le cri il ne put qu’obéir. Il s’assied, une deuxième bouteille à la main, et alluma la télé. Les seules chaînes qu’on peut obtenir dans un pensionnat son : Rtl Tv, Arte et d’autres chaînes qualifié de barbantes pas les élèves et de instructives pas les enseignants. Mais étrangement vers les minuits la chaîne Arte offrait des programmes assez… explicites de la manière de concevoir des enfants, ou juste ce donner… du plaisir [je vous assure que j’ai été traumatisé par ça !!], ce qui fait fit, bien évidemment, plaisir à nos deux jeunes protagonistes dont les hormones et phéromones sont en folies !! [Pardon je m’emballe…]. Finalement, Dante et Jules décidèrent de s’entrainer un peu pour le grand tournoi tout catégorie [ps : je m’y connais pas, alors je ne sais si ça existe].

Le lendemain…

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Voilà, j'éspère que ça te fais plaisir? (je parle à Jules!) Bon, dans le prochain la futur-petite-amie de monsieur Dante, qui j'espère ne m'en voudra pas pour le caleçon bob l'éponge... Sauf si vous en avez un^^

Bye!

D-Ash

* PDV = Point De Vue

Ps: Les remarques écrite [Comme ça...]sont mes petites apparitions dans ma fic^^ sinon c'est tout, oh et réviser votre anglais!!

Le lendemain…

- Roro !! T’es passé où ? hurla une voix de rousse devant sa chambre vide.

- Pourquoi tu hurles ? demanda-t-il en apparaissant dans la pièce vêtue d’un simple caleçon avec pour mention : « Mange-moi ! », gentiment dit pas une saucisse [Miam…].

- Oh Dieu existe !! dit-elle en lorgnant sur l’habit du jeune homme.

-

Celui-ci retourna dans sa chambre et enfila quelque chose de plus descend. Il se servit un verre de lait chaud et une tartine ‘nutéllaté’. Il déjeuna et alla se brosser les dents. En s’asseyant sur le divan en mousse de son salon, il lui demanda :

- Pourquoi diable me fais-tu pars de ton esprit pervers si tôt le matin ?

- Tu refuses toujours de me prendre ma virginité ?

PDV Jules

Elle me posa cette question comme si elle me demandait la date d’aujourd’hui. Suis-je destiné à ne côtoyer que d’étranges personnages ? Après la fille qui adore les armes blanches voilà, mesdames et messieurs : la fille qui veut absolument que je lui prenne sa virginité…

- Tu te moque de moi ? Tu viens trois siècles trop tôt pour ça !

- Mais, je suis sûre que tu es en manque ! Regarde, ma poitrine à même augmenter de volume.

- Et tu veux que ça me fasse quoi ? Je ne coucherai pas avec toi.

- Je ne veux pas qu’on couche ensem-

- Hello!! My Teddy!fit-elle me sautant au cou.

- Hi, how are you doing?

- Fine, fine, who is that?

- Nobody,tu me laisses, oui?

- Non! C’est qui cette blondinette? Dit-elle en boudant.

- Une amie proche, alors merci de nous laisser en intimité!

- Hé ? En intimité ? Tu es un pervers, Jules ! dit-elle en me tapotant le nez de son index.

- C’est une façon de parler, me défendis-je -non sans une arrière pensée…

- Bref, tu as de la chance que je sois chargé d’arroser les fleurs de la classe.

- Tant mieux, alors dégage !! insistais-je.

Elle s’en alla en tirant la langue à Chloé, en passant par la porte elle se cogna contre Dante qui arrivait. Je le maudit intérieurement de ne pas me laisser seule avec Ashley-Chloé. Il se servit une canette de coca-cola dans le frigo, s’assied sur le canapé et alluma la télé, comme si de rien n’était.

- Je peux savoir ce que tu fous ? demandais-je intrigué.

- Bah, François m’a appris que ta mère avait payé l’accès au câble satellite, alors je squatte.

- Tu te fous de ma gueule ?!

- Ben ne gueule pas, tu vas réveiller ta copine américaine.

Je baissai la tête vers elle et remarquai qu’elle dormait à point fermé. Je souris quand je l’entendis murmurer un « Teddy bear » et se coller encore plus à moi.

PDV Auteur

Elle se blottit totalement contre lui -collant son 90B contre le torse [il est toujours torse-nu].Il rougit un peu et la serra plus dans ses bras. Pendant la nuit, il s’était en effet rappeler qu’il lui avait dit qu’il l’aimerait pour toujours. Il l’avait fait pleurer et s’en voulait terriblement. Il lui chuchota à l’oreille un « désolé »et lui embrassa le front.

-Tu vas sortir avec ?

-Avec qui ? demanda-t-elle, comme réveillé par les mots prononcés.

-Heu… je demandais à Jules, s’il contait…

-Pas possible, laissa-t-elle tombé.

-Pourquoi ? demandèrent-ils en une seule voix.

Elle se releva, lissa sa jupe froissée et s’assied aux côtés de Quentin.

-Marc m’a déjà demandé.

Jules failli s’étrangler de stupeur. Il se ressaisit et lui demanda plus amples informations.

-C’est hier, après que je sois sortis d’ici, j’ai commencé à pleuré sur ses genoux et il m’a dit que si je sortais avec lui, jamais il ne me ferait de mal. Alors il me la proposer et j’ai accepté.

-Mais enfin ! Tu ne connais rien de lui ! s’écria-t-il.

-Je te ferais quand même savoir, que je correspondais aussi avec lui ! se défendit-elle.

-Même dans ton internat ?

-Oui.

-Je croyais que tu n’avais accès à internet que pour tes devoirs ?

-Ça ne veut pas dire que je n’avais pas le téléphone.

-Mais alors pourquoi ne m’as-tu pas donné ton numéro ? dit-il en se levant et en renversant son verre sur la moquette.

Elle se leva à son tour et ramassa son sac.

-I forget it.

-How ? Why !!

-For nothing! It’s not my fault!

-Because it’s mine?

-Vous ne pourriez pas arrêter de vous crier dessus, on recherche l’assassin… [il regarde esprit criminels *-*].

-Shut up !crièrent-ils en même temps.

-So, I have to go, my baby is waiting for me.

-I will not let you go,dit-il en lui prenant le poignet.

-Tu m’as déjà fait mal hier, recommence pas, dit-elle sèchement.

Il l’a lâche instantanément et recula d’un pas. Il s’excusa et s’enferma dans sa chambre. Elle sortit de la pièce en souhaitant une bonne journée à Dante.

PDV Quentin (Dante)

Franchement, j’ai pas compris ce qui vient de se passer là. Je pose une simple question et tout par en troisième guerre mondiale. Pff, ce Roxas quand il s’y met avec sa jalousie. Bref, au moment ou je pensais ses mots, mon portable se mit à sonner.

-Allô ?

-Heu… est-ce que c’est bien le numéro de Quentin ? demanda une voix de fille timide.

-Ouai, c’est qui ?

-Est-ce… que je peux te demandé de venir me rejoindre sur le toit du bâtiment M ?

-Bah ouai, mais dis-moi qui t’es.

-Je suis Camille… bip… bip.

Alors là ! Curieux comme je suis, je me levais des appartements de mon meilleur ami et rejoins le bâtiment M, celui dans lequel nous avons cours. L’école -super immense- est divisé en bâtiments : F, celui où les filles logent ; G, celui où les garçons logent  [les profs logent avec les élèves]; M, celui où nous avons cours, gymnastiques également, piscine, danse (pour les filles je le précise !), sport de combats et autres diverses choses ; et enfin le reste du domaine s’étant sur un nectar de forêt de pins assez danse. Tout au fond de celle-ci se trouve un ancien amphithéâtre à moitié démolie, un cimetière et un lac. Bref, je me rendis donc dans le bâtiment M, montais les trois étages et arrivait au sommet -non sans être essoufflé… Une fille était assise en tailleur contre le muret de protection. Elle avait son baladeur [ce que ce mot est moche…//SBAFF///]. Je lui tapotai légèrement l’épaule et elle ouvrit les yeux en sursautant. Elle se leva et me serra dans ses bras.

-Heu… d’abord t’es qui toi ? demandais-je en la repoussant un peu.

Elle recula et sortit une lettre de la poche-fusil de sa veste et me la tendit tout sourire.

«  Sors avec moi, s’il te plait », était rédigé d’une main un peu maladroite, penché. Je la regardai dans les yeux pour savoir si c’était une blague. Elle rougit comme une tomate cerise trop mure et osa un regard sur moi. Je déchirai la lettre et la laissant tombé en morceau par terre. Je m’approchais d’elle d’un pas assuré, ce qui la fit reculer. Je lui soulevai le menton avec mon index et plongeai mon regarde dans le sien.

-À compter de ce jour, tu es ma copine, d’ac’ ?

-O…oui !dit-elle en souriant.

Je l’embrassais furtivement et l’emmenais dans mes appartements [je vous jure : j’ai aucunes idées perverses de ma part !! Pour une fois…].

…

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Salut toute  la populasse^^. Je dois dire que ce chapitre est cours parce que... je le voulais, na! Brefouille de chez doudouilles (chercher pas à comprendre), dans le prochain chapitre, la jalousie de Jules contre le narcissisme de Marc.

a++

D-Ash.