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Date de création : 02.02.2013
Dernière mise à jour :
04.09.2018
77 articles
Bonjour à vous toutes et à vous tous. je viens vous presenter mon denier né qui vient juste de voir le jour aux éditions Evidence édition.
Lola est une enfant abusée, maltraitée par ses propres géniteurs.
Malgré le temps qui passe, sa douleur demeure toujours aussi intacte.
Son cœur est un affluent de sang, ses veines sont des montagnes de souffrances, son âme est volcan en décomposition.
De ses violeurs, tout son être en gardera des empreintes irréversibles.
Un enfant torturé dut batailler pour résister à la mort qui la guettait.
Lorsqu’elle se surprend à penser à toutes ses années où elle a volontairement exilé sa souffrance dans une nécropole mortuaire pour y enterrer son abominable fardeau ; elle prend pleinement conscience que ce fût une grave erreur
Mais aujourd’hui, elle en a plus qu’assez de ce poids qu’elle porte dans ses entrailles. Cet épouvantable secret.
- Vous pouvez vous procurais « La malle se souffrance soit en verssion papier où soit en numerrique ; à la Fnac où sur amazonne.
Il est aussi vennte dans toutes les grandes surfaces ainsi dans toutes les librairies. Si vous souhaitais vous le recevoir rapidement, Vous pouvez passer commande dans les boutiques d’évidences Edition
Je vous souhaite bonne lecture.
Le Mendient :
Est un homme au cœur brisé
A l’âme putréfiée
Le corps tétanisé
Par le grand froid
Assis à côté de son chien
Au coin d’un grand boulevard parisien
Le regard hagard
Coupole à la main tendue vers firmament
Implore aux passants
De lui donner un peu d’argent
Le Mendient
L’âme accidentée
Est assis sur le quai d’une gare
Sa guitare à la main
Fredonne inlassablement les gens
De lui donner un peu oseille
Pour subsister dans un « univers des oubliés »
Le Mendient
« Homme » sans emploi
Sa vie
Son honneur
Furent Mutilés
A jamais brisés
Par une société !
A la moralité polluée
Qui le délogea
Le remercia
De ses loyers impayés
Le mendient
Une pancarte devant soit
Demandeur de dons charitables
Pour assurer la subsistance des siens
Le Mendient
Fut chassé de la grande ville
Puisque dans une communauté
Affamé de paillettes et gloire
La mendicité fait tâche !
Le Mendient
Aujourd » huit
Pour que la police !
Point la chasse
Se dissimule derrière les chariots
Des grandes surfaces pour faire la manche
« Vivons dans monde !
Où tous ceux qui nous gouvernent
Ont un cœur de “glace”
Dolorès Trompat : Tous mes écrits sont protégés ©
Humeur du jour
Les cœurs possèdent parfois des plaies inguérissables
Tatoués par des imprimantes inhumaines
- Douleurs et colères
Subsistent des révoltes silencieuses (…)
À vouloir changer son univers journalier
Comment se risque — ton….
À solliciter de choisir entre la peste et le choléra
À savoir que l’un ou l’autre sont aussi périlleux
Dolorès Trompat : tous mes textes sont protégés ©
LE BONHEUR
Est une âme magique
Aux effets énigmatiques
Il » n’a de forme physionomique
Ni de couleur
Ni de senteur
Ni de saveur
Le Bonheur
Est un état physiologique
Qui se vit, mais point se raisonne
Le bonheur
C’est un bien-être en soi
C’est une allégresse
Un pour moment de bonheur
Lorsqu’il nous caresse
C’est une générosité
Une joie de vivre
Que ce vit de l’antérieur
Le Bonheur
Est une petite « âme » au grand cœur
Pareillement qu’un joli bouquet de roses
Lorsque sur notre cœur son parfum il dépose
C’est un rayon de Soleil
Dans un ciel d’hiver
Quand le temps est argenté
Le Bonheur
Analogue au vent
Il court toujours après le temps
Puisqu’il n’a pas la notion
De l’heure
Ni du moment présent
Le Bonheur
N'a pas la notion de l'heure et du temps
Il est contraint de se hâter tout le temps
Puisque dans ce monde fantaisiste
Sa « vie » ne fera que passer
Le Bonheur
C’est un petit « sauvage »
Toujours aux aguets
Redoutant d’être mis en cage
Puisque il sait !
Que tout chacun veut l’apprivoiser
Et le préserver pour l’éternité
Dolorès Trompat : Tous mes textes sont protégés ©
« La fille à la chevelure argentée »
Si je savais remonter le temps
Grand Dieu !
Comme j’aimerais savoir le faire
Si je pouvais revenir dans le temps
Prendrait tout mon temps
Pour donner de mon temps
À cette fille que j’aime
Si l’on pouvait retourner dans le passé
Referait le chemin à l’envers
Pour lui dire !
Oh combien je l’aime
Si elle savait ….
Comme je voudrais !
Avoir l’occasion de lui redire
Tous ses mots que je ne sus lui dire
Si je savais faire marche arrière
Comme j’aimerais le faire
À genoux sur le rocher
Lui demanderait pardon
Pour tout le mal que je lui suis fais
La fille à la chevelure argentée
Je n’ai cessé de l’aimer
Si elle me le demandait
À plat ventre sous l’olivier !
Où pour première fois nous sommes aimés
Lui demanderait de tout oublier
De tout recommencer
Si je pouvaisJ
Ferait n’importe quoi
Pour cette fille que j’aime
Me revienne !!!
Si savait comment remonter le temps
Si je pouvais retrouver
La fille à la chevelure argentée
Pendrai — tout mon temps !
Pour passer du temps avec elle,
J’inventerais des mots nouveaux
Rendent son univers encore plus beau
Veux me faire pardonner !!!
Mes erreurs du passé
Si j’étais fortunée !
Lui offrirait une rivière diamantée
Comme je suis fauché
Je veux lui offrir mon amour éternel
Dans un univers d’extraordinaire
Ou nous vivrons heureux rien que tous les deux
Comme de vrais amoureux
Si je savais remonter le temps
Rien que pour elle !
A pieds nus je gravirais
Montagnes et volcans
Jusqu’à perpétuité
S’il le fallait…
Si elle me le demandait !
Donnerait ma vie
Pour qu’elle me revienne
Pour me faire pardonner
Tout le mal que je lui suis fait
Quand je pense à elle
Comprends !
Réalise…
Ô combien je le suis fait souffrir
Par mes bêtises d’insipidités
Si je savais remonter le temps
Comme un oiseau migrant
Dépolirait la vigueur de mes ailerons
Survolerais monts et volcans
Traverserais terres et rivières
Sous mon plumage l’emporterait
À des années de lumière
Si je savais (…) Où la retrouver
Escaladerais !
Les monts
Survoleraient mers et océans
Traverserait les marécages à la nage
Pour retrouver !
Cette fille à la chevelure argentée
Que le temps m’a emporté
J’étais la pluie
Elle était mon soleil éternel
Elle était mon paradis
J’étais son enfer
Depuis qu’elle est partie
J’ai perdu mon sommeil
La nuit dans mes rêves l
Les draps « cajolent » mon corps
Je souille mon lit en pensant
Que fait l’amour avec elle
Sans elle ! Mes nuits sont des abîmes
Si je savais remonter le temps
Grand Dieu !!!
Comme j’aimerais me faire pardonner
Par cette fille superbe !!!
À la chevelure argentée
Que je n’ai cessé d’aimer
Si elle me revenait
Prendrait du temps !
À rechercher le temps qui m’a dépassée
Qui m’a déroutée
Qui nous a séparés
Si elle me le demandait
Je monterais tout en haut de la falaise
Pour lui écrire dans aires
Tous ses mots d’amour
Que je ne susse lui dire quand j’étais avec elle
« Poème de Dolorès Trompat » Le 17/03/2011
Tous droits réservés ©
Le dernier train
Dans le silence de ton cœur
Discerne tes peurs
Entends tes doléances
Lorsque tu implores au seigneur
Lui confient tes angoisses
Au moment même que ton cœur pleure
Je saisis le sens de ta sensibilité
Je lis dans tes yeux
La souffrance de tes maux
Que pudeur de tes lèvres
Ne t’autorisent à articuler
Refusent de m’alarmer
Même si point tu m’en parles
Je sais que la maladie (…) est un mal
Qui te ronge
Une douleur qui te mine
Qui ruine ton esprit
Brisent ton âme
La nuit dans tes songes
La souffrance occupe ton mental
Endommagent ton moral
Morbidité
Syndrome saumâtre
Mal ironique
Te polluent la vie
Du jour où par malheur
En dépit de ta volonté
Il vint s’installer dans ton corps
Avec qui tu as appris à cohabiter
A coexiste avec « lui »
T’emprisonnant dans ses chaines
Ou tout ton être se déchaîne
À résister à la cruauté
De ce mal « violateur »
Destructeur de ton corps
Et de ta vie
Tu dissimules tes craintes
Refusent d’alarmer
Ceux qui te chérissent
Qui t’entoure avec amour
Qui a conscience (…) de la terreur de tes frayeurs
J’ai besoin de te dire
Veux que tu puisses m’entendre
Lorsque sans cesse je te répète
Admirer ton courage !
A vouloir combattre
Le symptôme qui t’habite
Affaiblissent ton corps et ton épris
Pareillement qu’un petit oisillon
Tomber de son nid
Lorsque le mal qui te ronge
Viens défier ton corps affaibli
Ton cœur mutilé
S’accroche aux moindres petites branches
Dans l’insomnie de tes nuits
« Voyages » dans ton esprit
Médite
Cogite
Tu réfléchis
Que ta « vie danse avec la mort »
Cela te fait peur
Même si point tu te confies
Tes prunelles articulent pour toi
La douleur de tous ses maux
Ou tu refuses d’émettre des mots
Quand ton regard me fuit
La rougeur sur tes paupières
Confirment la souffrance qui t’empoisonne
Je sais !
Nombreuses sont tes interrogations
Tes préoccupations
Quand ton cérébral…
Pose mille et une questions
Sur la souffrance de tes frayeurs
J’ai pleinement consciente
Des affres de tes maux
Sai ! Oh combien ce mal qui t’habite
Douleur pathologique
Au fil du temps
C’est transformé en souffrance morale
Douleur cervicale
Quand ton âme a si mal
Maladie …
Dangereux influent
Qui a pris ta liberté
Voler ta féminité
Brisent tes espérances
Sur cette terre où l’on vit
Nous sommes tous des passagers
Que Madame sa propriétaire
Un jour lointain nous a invités
Ne sois plus triste
Tout chacun sait…
Que vie est long voyage
Qui prendra un jour fin…
Le jour où ! Madame sa « maîtresse »
Décidera de nous congédier
Sans aucune complaisance
Nous chassera de son » territoire »
Sans se poser la moindre question
Ne démoralise pas !!!
Je ne veux pas te savoir triste
Savons toi et moi
Comme tout chacun sait
Que chaque jour nous cheminons ver le déclin
Du jour de notre naissance
Nous décédons tout doucement
Comprends – tu (…) Cela !
Je concède que tu sois triste
Je comprends
Que tu veuilles prolonger ce merveilleux voyage
Néanmoins, vivons dans un monde
Qui n’a pas de compassion
Pour la souffrance de tes maux
Je m’associe à ta douleur
Ou les maux non plus de mots
Ou les phrases perdent les valeurs de leurs sens
Comment puis — je te dire ?
Comment puis – je te faire comprendre ??
Que je m’associe à ta peine
Je sais ! Oh combien tu as mal
Je sais que grande est ta souffrance
Qu’immense est ta peine
Comprends que tu puisses avoir le moral au plus bas
Conçois que tu es peur
De laisser derrière toi
Tous ceux qui te pleurent déjà
Mais sais — tu oh ! Combien je t’aime
Tous ceux qui te chérissent
Jamais ils ne t’oublieront
Ne te renferme pas… dans ta souffrance
Ne t’emprisonne — pas !!
Dans un mur du silence
Parle – moi !
De tes attentes
Parle-moi de tes regrets
Parle-moi de tes peurs
Perle-moi de tes souffrances
De tes appréhensions
Je veux t’aider
Veux être avec toi
Veux être auprès de toi
Pour surmonter les craintes de tes peurs
Je veux t’aider
T’aider a traversé cette terrible épreuve
Veux t’aider à porter ta croix
Une amie est faite pour ça
Je t’en prie
T’en supplie
Sors de ta prison
Sors du cachot de ton malheur
J’aimerais !
Je voudrais….
Que tu arrives à me faire confiance
Que tu me parles de toutes tes appréhensions
De ce mal qui te fait mal
Qui te détruire progressivement
Si tu arrivais à te confier à moi
Je serais — t’écouter
Au besoin te porter
Comme on porte un enfant
Qui a peur d’avancer dans un monde qu’il ne connait pas
Te bercerais dans mes bras
Te cajolerais
Te parleraient tout bas à ne pas réveiller tes pressentiments
Te rassurerais (…) Que tu es encore là
Si j’étais le Divin
Serais lire dans ton cœur
Ou tu y caches douleurs et peurs
Avec amour et douceur
Dissiperaient tes fractures au fin fond des océans
Gommeraient tes blessures…
Effaceraient tes morsures
De ce mal qui te fait mal
Qu’annihile ton moral
Je le brûlerais ton mal
Pour ne pas qu’il te détruise
Rassure – toi !!!
Ma douce amie
Rassure-toi…
Lorsque l’heure aura sonné
Quand le derrière train rentrera en gare
Serais – être là
Te prendrais la main
T’accompagnerais
T’aiderais à porter tes bagages
Te regarderais partir (…) vers ce lieu mystérieux
Dans le haut — delà
Qui te conduira au Royaume des Cieux
Te souhaiterai de faire un bon voyage
Te murmurerais tout bas !
N’aie pas peur de l’inconnu
Serai aux prés de toi
Te veillerais
T’accompagnerais
Prendrait ta main
Te serrent dans mes bras
T’embrasserais
Tu m’embrasseras
Pour que l’on se dise à demain
Puisque toi et moi
Savons qu’ici — bas
L’affection qui nous a réunies
Est une force surnaturelle
Qui perdurera dans haut — de — là
Un jour prochain toi et moi
Comme de vieilles amies !!! On se retrouvera
Avant ton grand voyage
Pour l’univers des Cieux
Lieu de paix où sommeillent nos ancêtres
Avant que tu abandonnes à la terre
Ta belle enveloppe corporelle
Que ton âme s’envole vers le firmament
Je te fais cette promesse
Chaque soir au coucher du soleil
Dans le silence du crépuscule
J’observerais la voûte céleste
De l’autre côté des nuages
Une fervente lumière brillera
Avec sa belle plume
Tremper à l’ancre de mon amie Lune
Dans un ciel obscur
Dessinera ton doux visage
Quand -tu me souriras !!!
De mes yeux des larmes jailliront
Que douceur du vent essuiera
« Poème de Dolorès Trompat le 30/3/2014 »
Tous droits réservés ©
Mes chers amis, virtuels où physiques
L’année 2017
Le cœur blessé
L' âme désobligée
De devoir laisser sa place
Contre sa volonté
À son arrogante concurrente
« 2018 »
Qui voudra modifier
Tous les changements qu’elle a réalisés
Avant même
Que sa rivale la chasse
Malgré que son cœur soit en pleurs
L’âme brisée de devoir nous quitter
Et son moral au plus bas
Après avoir préparait son paquetage
2017 partira pour un long et périlleux voyage
Dans un lieu du quel on ne revient pas
En adéquation avec son mentale
Respectueuse de sa morale
De sa dignité
Avant de nous saluer
Désire accentuer son élégance
Est allée ce faire une beauté chez son coiffeur
Vêtue de sa longue robe du soir
Aux couleurs sable aurifères
Sa chevelure dorée dansera avec les étoiles
À la cadence du vent
Au soleil couchant
De ses yeux bleutés
Jailliront dès l’armes ensanglantes
De sa voix tremblante
Rappellera à sa remplaçante
La gravite des attentats terroristes
Qui s’est multiplié dans le monde
Pendant la période de son règne
Les quels ont fait nombreuses victimes
Des enfants, femmes et hommes
On était sauvagement assassiné
Par des criminelles terroristes
D’autres ont était a jamais mutilés
Avant de nous quitter pour un long voyage
2017 souhaitera courage et bonne chance
À sa remplaçante
Quand le carillon du temps
Sonnera le dernier coup de minuit
Le cœur gros et l’âme tranquille
D’avoir accompli la mission
Qui lui fut confié
2017 s’en ira la tête haute sans se retourné
Dolores Trompat tous droits réservée ©
Homme, homme, homme
Avec tes propos idiots
Qui n’a ni queue ni tête
Tes jugements indécents
Qui nous embête
À nous prendre la tête
Homme ; homme ; homme
Pour qui te prends-tu
À toujours espionner
Tous nos faits et gestes
Tu ne devrais pas oublier !
Que de notre vie….
Les femmes
Sommes nos chefs d’orchestre
Homme, homme, homme
Tu es un séducteur
Un aguicheur
Un fabulateur
Un beau parleur
Un enjôleur
Tu es incorrigible charmeur
Qui ne cherche !
Qu’à conquérir
Les plus jolies filles de la planète
Les moins belles tu les oublieras
Celles que tu conquerras
Une fois que tu t’en serviras d’elles
Sans le moindre complexe
Tu les jetteras à la poubelle
Comme des malpropres
Homme, homme, homme
Sans tes balivernes
La vie serait que plus belle
Et tellement chouette
Alors ?
Alors.......
Dis — nous le pourquoi
Tu nous compliques l'existence
Avec tes idioties hébétées
Qui nous empoigne la vie
Nous empoisonne nos cervelles
À tout vouloir contrôler
Tu vas toutes nous mystifier
Sans nous laisser la possibilité
De nous affirmer
Homme, homme, homme
Tu te prends pour le Prophète de la planète
Qui ne sait faire
Que de fausses promesses
Tu es machiste
Un antiféministe
Homme, homme, homme
Il faudrait que tu comprennes
Les femmes avons aussi des droits
Qui sont ceux.....
De nous exprimer
D’exister
De subsister
Dans ce monde où tout est bien compliqué
Univers de machistes
Monde antiféministe
Homme, homme, homme
Tu vis à cent à l’heure
Sans te soucier
Si l’autre peut convoyer
Laisse-nous le temps
De démontrer nos capacités
Laisse-nous le temps de nous affirmer
Avons toutes assez
De tes faux jugements
Qui n’est pas authentifié
Dans ce monde où !
Les femmes sont considérées
Comme des femmes « objets »
Homme, homme, homme
Nous les filles avons toutes assez
De tes irritations
Assez !!!
Que tu prennes tout au dernier de gré
Sans même – nous laisser
Le temps de nous expliquer
Homme, homme, homme
Lorsque tu es contre, dis
Tu énerves à devenir « fou »
Tu oublies même de respirer
Homme ; homme, homme
N’oublie pas
Que nous les filles
Tout comme toi, avons aussi un cerveau
Qui raisonne aussi bien que vous les garçons
Avons une cervelle
Qui ambitionne
L'apaisement et sérénité
Alors ...
Alors ......
S’il te plait oubli — nous un peu
Laisse — nous décider de notre vie
Laisse — nous
Vivre en paix
« Poème de Dolorès Trompat » le 11/09/2014
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