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Date de création : 02.02.2013
Dernière mise à jour : 04.09.2018
77 articles


La malle de souffrance

Publié le 04/09/2018 à 20:03 par dolorestrompat Tags : prix bonne roman chez sur mort bonjour enfant papier lecture
La malle de souffrance

Bonjour à vous toutes et à vous tous. je viens vous presenter mon denier né qui vient juste de voir le jour  aux éditions Evidence édition.

 

Lola est une enfant abusée, maltraitée par ses propres géniteurs. 

Malgré le temps qui passe, sa douleur demeure toujours aussi intacte.

Son cœur est un affluent de sang, ses veines sont des montagnes de souffrances, son âme est volcan en décomposition.

De ses violeurs, tout son être en gardera des empreintes irréversibles.

Un enfant torturé dut batailler pour résister à la mort qui la guettait.

Lorsqu’elle se surprend à penser à toutes ses années où elle a volontairement exilé sa souffrance  dans une nécropole mortuaire pour y enterrer son abominable fardeau ; elle prend pleinement conscience que ce fût une grave erreur

Mais aujourd’hui, elle en a plus qu’assez de ce poids qu’elle porte dans ses entrailles. Cet épouvantable secret.

 

-        Vous  pouvez vous  procurais  «  La malle se souffrance soit en verssion  papier où soit  en numerrique ; à la Fnac où  sur amazonne.

Il  est aussi vennte  dans toutes les grandes surfaces ainsi dans toutes les librairies. Si vous souhaitais vous le recevoir  rapidement, Vous pouvez passer  commande dans les boutiques d’évidences Edition

Je vous souhaite  bonne lecture.

Comment pourrait-on oublier

Publié le 18/02/2018 à 18:05 par dolorestrompat Tags : vie monde amour mort voyage aimer anges tendresse
Comment pourrait-on oublier
Ceux que la mort nous a enlevés
Les emportent cruellement
De l’autre côté des nuages
Vers l’univers du silence
Monde qui nous est méconnu
Macrocosme étrange
Patronnent anges et âmes sages
 
Chers disparus
Depuis que vous êtes parti
À des années-lumière
Univers des immortels
Paradis de sérénité
Lieu de paix
Dôme abritant anges et âmes sages
 
Depuis votre départ pour un grand voyage
Vers l’univers du silence
Nos cœurs sont fragilisés
Refusent de vous oublier
Votre amour nous manque
Par vos absences
Nos cœurs sont en déficience
Nos âmes en souffrance
 
Chers disparus
Tout en vous nous manque
La magie de vos regards
L’éclat de vos rires
Vos sourires
Vos paroles rassurantes
Surent illuminaient nos quotidiens
Exprimant tous ces mots d’amour
Que modestie de vos lèvres
Ne surent nous dire
Ne purent nous dire
Par pudeur…
Par timidité…
Par respect de notre originalité
 
 
Du jour ou abandonniez cette terre misérable
Sans votre présence à nos côtés
Nos âmes seront à jamais annihilées
Sans la clairvoyance de vos bons, conseilles
Avons le sentiment d’être….
Oubliés
Abandonnais
Notre vie ne sera plus jamais la même
Qu’elle fut par le passé
Lorsque vous étiez à nos côtés
 
Nous avons besoin de votre tendresse
Avons besoin de votre sagesse
Elles seules surent guider nos chemins
Lorsque nos âmes se sont égarait
 
 
Chers disparus
En désertant impitoyable terre
Ou les injustices vont en s’amplifient
Vos départs précipités
Inexpliqués
Vers un monde Prodigieux
Royaume des cieux
Nous ont déconcertait
Nous ! Ne Savons plus où cheminer
Nos vies ont été bouleversées
Nos cœurs sont brisés
Sommes des orphelins
Oubliés
Désappointés
Désemparés
Sans vos présences à nos côtés
Avons le cœur tétanisé
 
Tant que la vie !
Nous donnera vie
Ne pouvons accepter votre absence
Jamais nos cœurs ne cesseront de
Vous aimer
De vous pleurer
Dolorès Trompat : Tous mes textes sont protégés ©

Le mendient

Publié le 13/02/2018 à 18:50 par dolorestrompat Tags : vie monde roman homme société sur chien

Le Mendient :

Est un homme au cœur brisé

A l’âme putréfiée

Le corps tétanisé 

Par le grand froid

Assis à côté de son chien 

Au coin d’un grand boulevard parisien

Le regard hagard

Coupole à la main tendue vers firmament

Implore aux passants

De lui donner un peu d’argent

 

Le Mendient

L’âme accidentée

Est assis sur le quai d’une gare

Sa guitare à la main

Fredonne inlassablement les gens

De lui donner un peu oseille

Pour subsister dans un « univers des oubliés »

 

Le Mendient

« Homme » sans emploi

Sa vie

Son honneur

Furent Mutilés

A jamais brisés

Par une société !

A la moralité polluée

Qui le délogea

Le remercia

De ses loyers impayés

 

Le mendient

Une pancarte devant soit

Demandeur de dons charitables

Pour assurer la subsistance des siens

 

Le Mendient

Fut chassé de la grande ville

Puisque dans une communauté

Affamé de paillettes et gloire

La mendicité fait tâche !

 

Le Mendient

Aujourd » huit

Pour que la police !

Point la chasse

Se dissimule derrière les chariots

Des grandes surfaces pour faire la manche

 

« Vivons dans monde !

Où tous ceux qui nous gouvernent

Ont un cœur de “glace”

Dolorès Trompat : Tous mes écrits sont protégés ©

 

 

 

humeur du jour

Publié le 13/02/2018 à 18:44 par dolorestrompat Tags : roman

Humeur du jour :

Mésintelligence ! Inutilités qui n’a de de conscience  

humeur du jour

Publié le 13/02/2018 à 18:34 par dolorestrompat Tags : roman

Humeur du jour

Les  cœurs possèdent parfois des plaies inguérissables

Tatoués par des imprimantes inhumaines

 

-        Douleurs et colères

Subsistent des révoltes silencieuses (…)

À vouloir changer son univers journalier

 

Comment se risque — ton….

À solliciter de choisir entre la peste et le choléra

À savoir que l’un ou l’autre sont aussi périlleux  

 Dolorès Trompat   : tous mes textes sont protégés ©

Le Bonheur

Publié le 06/02/2018 à 17:34 par dolorestrompat Tags : vie monde roman soi sur

LE BONHEUR 

Est une âme magique

Aux effets énigmatiques

Il » n’a de forme physionomique

Ni de couleur

Ni de senteur

Ni de saveur

 

Le Bonheur

Est un état physiologique

Qui se vit, mais point se raisonne

 

Le bonheur

C’est un bien-être en soi

C’est une allégresse

Un pour moment de bonheur

Lorsqu’il nous caresse

C’est une générosité

Une joie de vivre

Que ce vit de l’antérieur

 

Le Bonheur

Est une petite « âme » au grand cœur

Pareillement qu’un joli bouquet de roses

Lorsque sur notre cœur  son parfum il dépose

C’est un rayon de Soleil

Dans un ciel d’hiver

Quand le temps est argenté

 

Le Bonheur 

Analogue au vent

Il court toujours  après le temps

Puisqu’il n’a pas la notion

De l’heure

Ni du moment présent

 

Le Bonheur

N'a pas la notion de l'heure et du temps

Il est contraint de se hâter tout le temps

Puisque dans ce monde fantaisiste

Sa « vie » ne fera que passer

 

Le Bonheur

C’est un petit « sauvage »

Toujours aux aguets 

Redoutant  d’être mis en cage

Puisque il sait !

Que  tout chacun veut l’apprivoiser

Et le préserver pour l’éternité

 Dolorès Trompat : Tous mes textes sont protégés ©

 

« La fille à la chevelure argentée »

Publié le 04/01/2018 à 18:17 par dolorestrompat Tags : pouvoir heureux vie roman amour dieu nuit fille sur poème oiseau amoureux

« La fille à la chevelure argentée »

Si je  savais remonter le temps 

Grand Dieu !

Comme j’aimerais savoir le faire 

Si je pouvais revenir dans le temps 

Prendrait tout mon temps 

Pour donner de mon temps 

À cette fille que j’aime 

 

Si l’on pouvait retourner dans le passé 

Referait le chemin à l’envers

Pour lui dire !

Oh combien je l’aime 

Si elle savait ….

Comme je voudrais !

Avoir l’occasion de lui redire

Tous ses mots que je ne sus lui dire

 

Si je  savais faire marche arrière 

Comme j’aimerais le faire 

À genoux sur le rocher

Lui demanderait pardon 

Pour tout le mal que je lui suis fais 

 

La fille à la chevelure argentée 

Je  n’ai cessé de l’aimer

Si elle me le demandait  

À plat ventre sous l’olivier !

Où pour  première fois nous sommes aimés 

Lui demanderait de tout oublier 

De tout recommencer

Si je pouvaisJ

Ferait n’importe quoi 

Pour cette fille que j’aime

 Me revienne !!!

 

Si savait comment remonter le temps 

Si je pouvais retrouver 

La fille à la chevelure argentée 

Pendrai — tout mon temps ! 

Pour passer du temps avec elle, 

J’inventerais des mots nouveaux 

Rendent son univers encore plus beau 

Veux me faire pardonner !!!

Mes erreurs du passé

 

Si j’étais fortunée !

Lui offrirait une rivière diamantée 

Comme je suis fauché 

Je veux lui offrir mon amour éternel 

Dans un univers d’extraordinaire

Ou nous vivrons heureux  rien que tous les deux 

Comme de vrais amoureux 

 

Si je  savais remonter le temps 

Rien que pour elle !

A pieds nus je gravirais

Montagnes et volcans 

Jusqu’à perpétuité 

S’il le fallait…

 

Si elle me le demandait ! 

Donnerait ma vie 

Pour qu’elle me revienne

Pour me faire pardonner 

Tout le mal que je lui suis fait 

 

Quand je pense à elle

Comprends !

Réalise…

Ô combien je le suis fait  souffrir  

Par mes bêtises d’insipidités

 

Si je  savais remonter le temps

Comme un oiseau migrant 

Dépolirait la vigueur de mes ailerons 

Survolerais monts et volcans 

Traverserais terres et rivières 

Sous mon plumage l’emporterait 

À des années de lumière

 

Si je  savais (…) Où la retrouver 

Escaladerais ! 

Les monts 

Survoleraient mers et océans 

Traverserait  les marécages à la nage 

Pour retrouver ! 

Cette fille à la chevelure argentée

Que le temps m’a emporté 

 

J’étais la pluie

Elle était mon soleil éternel

 Elle était mon paradis

 J’étais son enfer

 

 

Depuis qu’elle est partie 

J’ai perdu mon sommeil

La nuit dans mes rêves l

Les draps « cajolent » mon corps 

Je souille mon lit en pensant 

Que fait l’amour  avec elle 

Sans elle ! Mes nuits sont des abîmes

 

Si je savais remonter le temps 

Grand Dieu !!! 

Comme j’aimerais me faire pardonner 

Par cette fille superbe !!!

À la chevelure argentée 

Que je n’ai cessé d’aimer 

 

Si elle me revenait 

Prendrait du temps !

À rechercher le temps qui m’a dépassée 

Qui m’a déroutée

Qui nous a séparés 

 

Si elle me le demandait 

Je monterais tout en haut de la falaise 

Pour lui écrire dans aires 

Tous ses mots d’amour 

Que je ne susse lui dire quand j’étais avec elle 

« Poème de Dolorès Trompat » Le 17/03/2011

Tous droits réservés ©

 

 

Le dernier train

Publié le 01/01/2018 à 17:52 par dolorestrompat Tags : vie moi monde amour fond belle mort nuit enfant sur voyage douceur poème danse voyages

  

 

 

 

Le dernier train

 

Dans le silence de ton cœur

Discerne tes peurs 

Entends tes doléances

Lorsque tu implores au seigneur

Lui confient  tes angoisses 

 

Au moment même que ton cœur pleure

Je saisis le sens de ta sensibilité

Je lis dans tes yeux                                                            

La souffrance de tes maux

Que pudeur de tes lèvres

Ne t’autorisent à articuler

Refusent de m’alarmer

 

Même si point tu m’en parles

Je sais que la maladie (…) est un mal

Qui te ronge

Une douleur qui te mine

Qui ruine ton esprit

Brisent ton âme

La nuit dans tes songes

La souffrance occupe ton mental 

Endommagent ton moral

 

Morbidité   

Syndrome saumâtre

Mal ironique

Te polluent la vie  

Du jour où par malheur

En dépit de ta volonté

Il  vint s’installer dans ton corps

Avec qui tu as appris à cohabiter 

A coexiste avec « lui »

T’emprisonnant dans ses chaines

Ou tout ton être se déchaîne

À résister à la cruauté

De ce mal « violateur »

Destructeur de ton corps

Et de ta vie

 

Tu dissimules tes craintes

Refusent d’alarmer

Ceux qui te chérissent

Qui t’entoure avec amour

Qui a conscience (…) de la terreur de tes frayeurs

 

J’ai besoin de te dire

Veux que tu puisses m’entendre

Lorsque sans cesse je te répète  

Admirer ton courage !

A vouloir combattre

Le symptôme qui t’habite

Affaiblissent ton corps et ton épris

 

Pareillement qu’un petit oisillon

Tomber de son nid

Lorsque le mal qui te ronge

Viens défier ton corps affaibli

Ton cœur mutilé

S’accroche aux moindres petites branches

 

Dans l’insomnie de tes nuits

« Voyages » dans ton esprit

Médite

Cogite

Tu réfléchis 

Que ta « vie danse avec la mort »

Cela te fait peur

 

Même si point tu te confies

Tes prunelles articulent pour toi

La douleur de tous ses maux

Ou tu refuses d’émettre des mots

 

Quand ton regard me fuit

La rougeur sur tes paupières

Confirment la souffrance qui t’empoisonne

 Je sais !

 Nombreuses sont tes interrogations

Tes préoccupations

Quand ton cérébral…

Pose mille et une questions

Sur la souffrance de tes frayeurs

 

J’ai pleinement consciente 

Des affres de tes maux

Sai ! Oh combien ce mal qui t’habite

Douleur pathologique

Au fil du temps 

C’est transformé en souffrance morale

Douleur cervicale

Quand ton âme a si mal

 

Maladie …

Dangereux influent

Qui a pris ta liberté

Voler ta féminité

Brisent tes espérances

 

Sur cette terre où l’on vit

Nous sommes tous des passagers

Que Madame sa propriétaire 

Un jour lointain nous a invités

 

Ne sois plus triste

Tout chacun sait…

Que vie est long voyage 

Qui prendra un jour fin…

Le jour où ! Madame sa « maîtresse »

Décidera de nous congédier

 

Sans aucune complaisance

Nous chassera de son » territoire »

Sans se poser la moindre question

 

Ne démoralise pas !!!

Je ne veux pas te savoir triste

Savons toi et moi 

Comme tout chacun sait

Que chaque jour nous cheminons ver le déclin

Du jour de notre naissance

Nous décédons tout doucement

Comprends – tu (…) Cela !

 

Je concède que tu sois triste

Je comprends 

Que tu veuilles prolonger ce merveilleux voyage

Néanmoins, vivons dans un monde

Qui n’a pas de compassion

Pour la souffrance de tes maux

 

Je m’associe à ta douleur

Ou les maux non plus de mots

Ou les phrases perdent les valeurs de leurs sens

Comment puis — je te dire ?

Comment puis – je te faire comprendre ??

Que je m’associe à ta peine

Je sais ! Oh combien tu as mal

Je sais que grande est ta souffrance

Qu’immense est ta peine

Comprends que tu puisses avoir le moral au  plus bas

Conçois que tu es peur

De laisser derrière toi 

Tous ceux qui te pleurent déjà

Mais sais — tu  oh ! Combien je t’aime

Tous ceux qui te chérissent   

Jamais ils  ne t’oublieront

 

Ne te renferme pas… dans ta souffrance

Ne t’emprisonne — pas !!

Dans un mur du silence

Parle – moi !

De tes attentes

Parle-moi de tes regrets

Parle-moi de tes peurs

Perle-moi de tes souffrances

De tes appréhensions

Je veux t’aider

Veux être avec toi

Veux être auprès de toi

Pour surmonter les craintes de tes peurs

Je veux t’aider

T’aider a traversé cette terrible épreuve

Veux t’aider à porter ta croix

Une amie est faite pour ça

Je t’en prie

T’en supplie

Sors de ta prison 

Sors du cachot de ton malheur

 

J’aimerais !

Je voudrais….  

Que tu arrives à me faire confiance

Que tu me parles de toutes tes appréhensions

De ce mal qui te fait mal

Qui te détruire progressivement

 

Si tu arrivais à te confier à moi

Je serais — t’écouter

Au besoin te porter

Comme on porte un enfant

Qui a peur d’avancer dans un monde qu’il ne connait pas

Te bercerais dans mes bras

Te cajolerais

Te parleraient tout bas à ne pas réveiller tes pressentiments

Te rassurerais (…) Que tu es encore là

 

Si j’étais le Divin

Serais lire dans ton cœur

Ou tu y caches douleurs et peurs

Avec amour et douceur

Dissiperaient tes fractures au fin fond des océans 

Gommeraient tes blessures…

Effaceraient tes morsures

De ce mal qui te fait mal

Qu’annihile ton moral

Je le brûlerais ton mal

Pour ne pas qu’il te détruise

 

Rassure – toi !!! 

Ma douce amie

Rassure-toi…

Lorsque l’heure aura sonné

Quand le derrière train rentrera en gare

Serais – être là

Te prendrais la main

T’accompagnerais

T’aiderais à porter tes bagages

Te regarderais partir (…) vers ce lieu mystérieux

Dans le haut — delà

Qui te conduira au Royaume des Cieux

Te souhaiterai de faire un bon voyage

 

Te murmurerais tout bas !

 N’aie pas peur de l’inconnu

Serai aux prés de toi

Te veillerais

T’accompagnerais 

Prendrait ta main

Te serrent dans mes bras

T’embrasserais

Tu m’embrasseras

Pour que l’on se dise à demain

Puisque toi et moi

Savons qu’ici — bas

L’affection qui nous a réunies

Est une force surnaturelle

Qui perdurera dans haut — de — là 

Un jour prochain toi et moi

Comme de vieilles amies !!! On se retrouvera

 

Avant ton grand voyage

Pour l’univers des Cieux

Lieu de paix où sommeillent nos ancêtres

Avant que tu abandonnes à la terre

Ta belle enveloppe corporelle

Que ton âme s’envole vers le firmament

Je te fais cette promesse

 

Chaque soir au coucher du soleil

Dans le silence du crépuscule

J’observerais la voûte céleste

De l’autre côté des nuages

Une fervente lumière brillera

Avec sa belle plume

Tremper à l’ancre de mon amie Lune

Dans un ciel obscur

Dessinera ton doux visage 

Quand  -tu  me souriras !!!

De mes yeux des larmes jailliront

Que douceur du vent essuiera

« Poème de Dolorès Trompat le 30/3/2014 »

Tous droits réservés © 

L'année 2017 nous quitte

Publié le 31/12/2017 à 18:26 par dolorestrompat Tags : voyage monde bonne roman chez enfants amis femmes

Mes chers amis, virtuels où physiques

L’année 2017

Le cœur blessé 

L' âme désobligée

De devoir laisser sa place

Contre sa volonté

À son arrogante concurrente

       « 2018 »

Qui voudra modifier 

Tous les changements qu’elle a réalisés

 

Avant même

Que sa rivale la chasse

Malgré que son cœur soit en pleurs

L’âme brisée de devoir nous quitter  

Et son moral au plus bas

Après avoir préparait son paquetage

2017 partira pour un long et périlleux voyage

Dans un lieu du quel on ne revient pas

 

En adéquation avec son mentale

Respectueuse de sa morale

De sa dignité

Avant de nous saluer

Désire accentuer son élégance

Est allée ce faire une beauté chez son coiffeur

 

 

Vêtue de sa longue robe du soir

Aux couleurs sable aurifères

Sa chevelure dorée dansera avec les étoiles

À la cadence du vent 

Au soleil couchant

De ses yeux bleutés

Jailliront dès l’armes ensanglantes

De sa voix tremblante

Rappellera à sa remplaçante

La gravite des attentats terroristes

Qui s’est multiplié dans le monde

Pendant la période de son règne

Les quels  ont fait nombreuses victimes

 Des enfants, femmes et hommes

On était sauvagement assassiné

Par des criminelles terroristes  

 D’autres ont était a jamais mutilés

 

Avant de nous quitter pour un long voyage

2017 souhaitera courage et  bonne chance

À sa remplaçante

 

Quand le carillon du temps

Sonnera le dernier coup de minuit

Le cœur gros et l’âme tranquille

D’avoir accompli la mission

Qui lui fut confié  

2017 s’en ira la tête haute  sans se retourné

 Dolores Trompat  tous droits réservée ©

 

 

Homme, homme, homme

Publié le 29/12/2017 à 22:32 par dolorestrompat Tags : vie monde homme belle femmes poème

Homme, homme, homme

Avec tes propos idiots

Qui n’a ni queue ni tête

Tes jugements indécents  

Qui nous embête

À nous prendre la tête

 

Homme ; homme ; homme

Pour qui te prends-tu

À toujours espionner

Tous nos faits et  gestes

Tu ne devrais pas oublier !

Que de notre vie….

Les femmes

Sommes nos chefs d’orchestre

 

Homme, homme, homme

Tu es un séducteur

Un aguicheur

Un fabulateur

Un beau parleur

Un enjôleur

Tu es incorrigible charmeur

Qui ne cherche !

Qu’à conquérir

Les plus jolies filles de la planète

Les  moins belles tu les oublieras 

Celles que tu conquerras

Une fois que tu t’en serviras d’elles

Sans le moindre complexe

Tu les jetteras à la poubelle

Comme des malpropres

                                                           

Homme, homme, homme

Sans tes balivernes

La vie serait que plus belle

Et tellement chouette

Alors ?

Alors.......

Dis — nous le pourquoi

Tu nous  compliques l'existence 

Avec tes idioties hébétées

Qui nous empoigne la vie

Nous empoisonne nos cervelles

À tout vouloir contrôler

Tu vas toutes nous mystifier

Sans nous laisser la possibilité

De nous affirmer

 

Homme, homme, homme

Tu te prends pour le Prophète de la planète

Qui ne sait faire

Que de fausses promesses

Tu es machiste

Un antiféministe

 

Homme, homme, homme

Il faudrait que tu comprennes  

Les femmes avons  aussi des droits 

Qui sont ceux.....

De nous exprimer

D’exister

De subsister

Dans ce monde où tout est bien compliqué

Univers de machistes

Monde antiféministe

 

Homme, homme, homme

Tu vis à cent à l’heure

Sans te soucier

Si l’autre peut convoyer

Laisse-nous le temps

De démontrer nos capacités 

Laisse-nous le temps de nous affirmer 

Avons toutes assez

De tes faux jugements

Qui n’est pas authentifié

Dans ce monde où !

Les femmes sont considérées

Comme des femmes « objets »

 

Homme, homme, homme

 

Nous les filles  avons toutes assez 

De tes irritations

Assez !!!

Que tu prennes tout au dernier de gré

Sans même – nous laisser

Le temps de nous expliquer

 

Homme, homme, homme

Lorsque tu es contre, dis

Tu énerves à devenir « fou »

Tu oublies même de respirer

 

Homme ; homme, homme

N’oublie pas

Que nous les filles

Tout comme toi, avons aussi un cerveau

Qui  raisonne aussi bien que vous les garçons

Avons une cervelle

Qui ambitionne

L'apaisement et  sérénité

Alors ...

Alors ......

S’il te plait oubli — nous un peu

Laisse — nous décider de notre vie

Laisse — nous

Vivre en paix

« Poème de Dolorès Trompat » le 11/09/2014

 

 

 

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