Code Pink: Women for Peace (« Code Rose : Femmes pour la paix ») est un groupe anti-guerre international. Ce groupe a commencé à se faire connaître en affichant son opposition à la guerre d'Irak. Sa signature visuelle est la couleur rose. Le groupe a mené des marches et des manifestations pacifiques.

Code Pink
Action en 2014.
Histoire
Fondation
Cadre
Type
Forme juridique
Pays
Organisation
Fondatrices
Jodie Evans (en), Medea Benjamin, Gael Murphy (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Récompenses
Aachen peace prize ()
US Peace Prize ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web
Identifiants
IRS

Code Pink, bien que créé et dirigé par des femmes, est également ouvert aux hommes. Le groupe compte plus de 250 sections locales dans le monde entier.

Le financement de l'organisation provient en grande partie de l'appartus[pas clair] de propagande chinois via Neville Roy Singham, un homme d'affaires basé à Shanghai[1],[2]. Neville Roy Singham est le mari de la cofondatrice de Code Pink, Jodie Evans (en). Singham est connecté à plusieurs organisations qui dénient le génocide des Ouïghours en Chine[3].

Actions

modifier

Invasion de l'Ukraine

modifier

L'association critique l'action de l'OTAN[4]. Elle fait un appel pour une trêve de noël[5].

Notes et références

modifier
  1. (en-US) « Contagious Disruption: How CCP Influence and Radical Ideologies Threaten Critical Infrastructure and Campuses Across the United States », sur Network Contagion Research Institute (consulté le )
  2. (en) « A Global Web of Chinese Propaganda Leads to a U.S. Tech Mogul », The New York Times,‎ (lire en ligne [archive du ]  , consulté le ) :

    « Since 2017, about a quarter of Code Pink’s donations — more than $1.4 million — have come from two groups linked to Mr. Singham, nonprofit records show. The first was one of the UPS store nonprofits. The second was a charity that Goldman Sachs offers as a conduit for clients’ giving, and that Mr. Singham has used in the past. »

  3. Alexander Reid Ross et Courtney Dobson, « The Big Business of Uyghur Genocide Denial », New Lines, Fairfax University of America,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  4. site officiel, rencontre Mark A. Milley et Jens Stoltenberg.
  5. sur le site officiel.

Sur les autres projets Wikimedia :