Nouvelles et textes de jean-christophe
Je publierai des nouvelles et de couts textes en plus des poèmes...
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Rechercher Derniers commentairesjoli texte! j'avoue qu'il y a trop de 'massage". normal. rien ne fait du bien que'un bon massage de la part de
Par isaacnaira, le 24.02.2014
salut ! je propose un jeu d'écriture gratuit à tous ceux qui aiment écrire et je vois que tu en fais partie. p
Par damien, le 22.05.2012
merci de vos écritures ! j'avoue ne pas avoir de temps mais j'y pense bon week-end !http://lajust iceetnous.c
Par lajusticeetnous, le 31.03.2012
de la seule ! je lui est dît " je veux un enfant avec toi " , de la seule , avec elle j'oublie tout ! elle me
Par alias, le 21.03.2012
j'aimerais avoir écrit a mon amoureuse ces quelques mots , merci ça me touche énormement !http://lajust iceetn
Par lajusticeetnous, le 21.03.2012
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Date de création : 17.11.2011
Dernière mise à jour :
29.04.2013
56 articles
C'est une salle de bains éclairée par une douce lumière...La baie vitrée donne sur la mer et le ciel est étoilée. Le sol est recouvert de larges carreaux rouges,la baignoire rectangulaire est entourée de bougies, des masques Africains décorent les murs et un parfum de lavande flotte légèrement.
Lina branche le lecteur de CD et un concerto de Mozart s'élève.Lina verse dans l'eau un savon à l'eucalyptus, se glisse dans la mousse et pose sa tête sur un coussin.
Un jeune homme arrive en silence, s'installe derrière elle et masse ses épaules, ses pouces dessinent des cercles sous la nuque de Lina, tandis que ses doigts massent les trapèzes. Les mains remontent vers le visage, massent le menton, les joues, le front.Son index remonte l'arête du nez et les pouces massent le front en étirant la peau vers les tempes. Ses majeurs massent les tempes de Lina, en traçant des cercles, lentement et vers l'arrière.
Le mélange de lavande et d'eucalyptus se mêlent à la musique.
Les mains du jeune homme massent les épaules et les bras jusqu'aux coudes, il caresse le visage et la nuque de Lina une dernière fois et contourne la baignoire en gardant une main sur le corps de Lina.
Il s'assoit sur un coussin et prend dans ses mains un pied de Lina. Il masse le talon, le contour des malléoles et la plante du pied. Il passe ensuite son index entre chaque orteil et masse le sommet de la plante avec son pouce et termine en massant le mollet. Il renouvelle l'opération avec l'autre pied.
Il prend à présent une main de Lina et masse chaque doigt après les avoir étirés.Il masse la paume avec les pouces en décrivant des cercles vers l'extérieur et massent les poignets et les avant-bras.
Lina a plongé l'autre main dans un saladier et mange des fraises, des tranches de melon et des pêches.
La nuit a recouvert les amants de son silence et de son manteau de velours.
Une jeune femme sensuelle, aux courbes généreuses, avec de longs cheveux noirs, dance dans une salle au plafond voûtée, dont le sol est recouvert d'épais tapis. Des hommes sont assis sur de larges fauteuils entourés de grands coussins.
La danseuse caresse son ventre et ses seins avec une sucette. Elle tourne, se retourne, offrant son corps séduisant, ses seins lourds et bien constitués, ses cuisses fines, sa croupe callypige aux rêves des hommes qui ont bon gout...
Elle enfonce lentement la sucette dans son ventre et continue à dancer... Elle ondule en s'approchant de moi, retire très lentement la sucette de son ventre, me regarde droit dans les yeux en me tendant la sucette et me demande :
_ Tu veux goûter?
_ Ah! Madame! Que n'ai-je de cesse de vous revoir!
_ Mais quand vous voudrez mon ami!
_ En vous voyant, mon coeur s'est emballé, je nous imagine nus, allongés sur la plage en mangeant des fraises...
_ Et moi, je nous imagine à la claire fontaine, prenant un bain pour nous rafraîchir...
_ Oui! Que diable, allongez-moi sur votre couche, dîtes-moi des gros mots, prenez-moi dans vos bras...
_ Pendant que vs amins coquines se promènent sur mon intimité,jeune intrépide...
_ Soyons fous! Soyons audacieux! Laissez vos baisers et vos caresses se mêler aux miens et faisons ripaille, vaille que vaille, de notre chairferme et appétissante....
_ Surprenez-moi, mon ami, dit la dame en retirant sa nuisette et de grâce, soyez simple et sans chichi!
_ J'irai droit au but, madame!
_ Ne vous en privez pas jeune homme! Soyez à la fois rude et délicat, gentilhomme et brigand, soyez sensuel et vous trouverez la lune! Ferez-vous preuve d'originalité mon ami? Je brûle de vous voir à l'oeuvre!
_ Prenez ma main, madame et montrez-moi...
_ Votre main? Que diable ferais-je de votre main? J'ai l'intention de prendre autre chose...
_
Ah! Madame!Que n'ai-je rêvé
De votre tendre beauté
Dans un instant de sérénité
Par un clair matin d'été...
Dans la chaleur d'une nuit
L'Amour s'avance sans bruit
Dans la douceur d'une étreinte,
Tu peux t'endormir sans crainte....
Et parfois, lorsque le soir se dérobe,
C'est l'heure où glisse les robes
Comme des caresses de velours
Sur des mots d'Amour....
Ah! De grâce,Madame!
Laissez-moi poser ma tête sur votre épaule,
Je fermerai les yeux pour y laisser mon âme
Et loin de la vile Métropole,
Je me régalerai de votre douceur,
Vos caresses et vos baisers effacent la douleur
Madame, les mots d'Amour se mêlent à la nuit
Et amènent la fraîcheur,
Le Plaisir nous emporte sans bruit,
Et peut-être un jour
Poserais-je ce fardeau si lourd
Pour me laisser flotter
A la surface d'un lac étoilé...
Madame, mon membre dans votre ventre
Ne peut connaître de nid plus douillet
Et je veux simplement mourir sur vos lèvres mouillées
Où ma semence coulera, épaisse
Chaude et tendre,
Pendant que mes mains gourmandes
Caresseront vos fesses
Lourdes, rondes et bandantes...
Madame, je vous en prie, le temps presse,
Laissons le Plaisir, ce bourreau généreux et perfide
Glisser sur nos corps passionnées et avides...
Ces roses, madame, sont comme vous,
Fraîches comme la rosée,
Belles comme le jour,
Douce comme du velours,
Sensuelle comme l'Amour,
Ma chérie,mon Amour,je pense à vous,
Comme je ne l'ai jamais osé....
Je suis un chercheur de rimes,
Je marche en équilibre sur la cîme
Des phrases où avant tout le plaisir prime
Sur le reste, je suis un voyageur qui passe
En silence, sans laisser de traces,
Le voyage est l'essence de la vie,
Il stimule, il préserve de l'ennui,
Les mots sont des paysages,
Les rimes sont des visages
Croisés pendant des voyages interminables
Qui vous lancent des défis redoutables...
Je suis un chercheur de rimes,
Pour moi, la prose est un crime...
De grosses Amoureuses
Aux parfums de vaisselles,
Exhibent leurs humides aisselles
Dans le coeur de la Creuse,
Elles cherchent une armure,
Pour que les hommes murmurent
Des mots qui soignent les blessures
Et pour que Les Fleurs du Mal
Aux bras des Contemplations ouvrent le bal...
Des femmes nues avec de gros seins
Tournent en chantant autour d'une fontaine.
Agité de louables desseins,
Je rentre dans la ronde
Où se suivent leurs croupes fermes et rondes...
Leurs chants et leurs rires m'entraînent
Vers des courbes douces et lointaines
Où le plaisir, ma chère,
A le tendre goût de votre chair...
Il est des soirs qui ressemblent à un sourire,
Où les mots sont superflus, il n'y a rien à dire,
Les caresses et les baisers remplacent les mots d'Amour,
Et la mer veille sur nous pour toujours...
Il est des soirs où la vie reprend ses droits,
Où l'on est sûr que le plaisir s'accroît..
Au fur et à mesure que la nuit s'avance,
Le plaisir des yeux se mêle aux plaisirs des sens...
Il est des nuits qui ressemblent aux soirs,
Où dans les bras d'une belle, je dors comme un loir,
Il est des soirs qui ressemblent aux nuits
Où des femmes aguerries nous préservent de l'ennui..
Il est des soirs ma chérie, qui ressemblent à la vie
Que j'aimerais embrasser, comme toi, à perdre haleine,
Mes baisers glissent sur ton corps
Comme le vent glisse sur la plaine,
Ton corps est un navire qui m'emmènera au port..
Il est des soirs qui ressemblent à l'envie
De vivre et d'être heureux,
De ne pas être lâche et peureux,
D'être audacieux et de vivre une vie
De voyages et de rêves, d'Amour
Et de rires, de femmes aux tendres atours...
A l'heure où le soleil rejoint l'horizon,
Les vieux tournent en rond et prononcent des oraisons
Qui célèbrent la morte saison....
Après avoir tourné et prononcé plus que de raison,
Les vieux, qui n'ont plus rien à faire,
Rangent leurs affaires
Et rentrent à la maison.