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lechioulayre
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Catégorie :
Blog Société
Date de création :
07.09.2008
Dernière mise à jour :
29.10.2020

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De l'audace, de l'audace et une vision pour l'avenir de Dax

Publié le 05/08/2020 à 19:23 par lechioulayre
De l'audace, de l'audace et une vision pour l'avenir de Dax

 

Au lieu de lancer des projets délirants et inopérants comme le maintenant trop célèbre parking Chanzy, pourquoi ne pas poser une réflexion sur une vision de l'urbanisme à Dax et sur son développement socio-culturel des dix prochaines années.

 

Un des joyaux du patrimoine Dacquois est ses arénes centenaires, pouvoir les utiliser sur une période plus étendue grâce à une couverture permettant l'organisation d'évènements publics ou privés sans contrainte météorologique serait proposer au Grand Dax cette salle de spectacle qui apparaît épisodiquement revêtue des attributs de l'arlésienne et que l'on ne voit jamais se concrétiser.

 

Pensons en terme de restructuration et de valorisation du patrimoine et préservons l'âme de Dax !

 

image: arénes de Logrono 

Dax, incivilités au quotidien

Publié le 16/06/2020 à 11:07 par lechioulayre
Dax, incivilités au quotidien

 

Nous sommes à Dax et ça fait mal !

 

Le dépôt sauvage est un dépôt d'ordures, quel qu'en soit la nature ou le volume, en un lieu où il ne devrait pas être. C'est un acte d'incivisme. Les dépôts sauvages sont interdits depuis la loi du 15 juillet 1975 mais ils font, hélas, toujours partie de notre paysage Dacquois.

 

Certes il ne faut pas infantiliser le citoyen qui sait revendiquer à cors et à cris la jouissance de sa liberté individuelle, pour autant ces actes d'incivismes d'entrent pas dans le cadre de la prise en compte d'autrui et sont à l'opposé de ce qu'est faire société.

Voilà un domaine dans lequel " la tolérance zéro " devrait s'appliquer.

 

Le Chioulayre

Dax - Le chantier sur berges

Publié le 08/06/2020 à 14:39 par lechioulayre Tags : dax berges adour
Dax - Le chantier sur berges

 

6 ans est le cycle normal au bout duquel les fleurs éclosent et les trottoirs sont refaits, ont ne peut qu'observer que les travaux d'embellissement vont au rythme des périodes électorales, hasard des calendriers certainement.

 

Aussi le citoyen Dacquois s'interroge-t-il sur la vitrine de l'Adour transformée en chantier des berges depuis maintenant plusieurs années. Du bois rongé par un champignon, des dalles disjointes, on ne peut que constater de sérieux problèmes.

 

Pourquoi en 2 mandats la municipalité n'a-t-elle pas trouvé une porte de sortie pour réhabilité ce site adossé à l'hôtel Splendid qui est un des endroits privilégiés pour la promenade des Dacquois et des curistes ? 

 

 Il serait intéressant d'avoir une réponse éclairée ... et chiffrée, il y a des héritages qui sont lourds à porter !

 

Le Chioulayre

 

 

Les manifestations pour Adama Traoré sont une imposture

Publié le 05/06/2020 à 16:36 par lechioulayre
Les manifestations pour Adama Traoré sont une imposture

 

Les manifestations qui prétextent du décès d'Adama Traoré en juillet 2016 sont tristement ironiques : de nombreuses personnes réclament une enquête et des peines sévères pour imprudence ou maladresse ayant conduit au décès de cette personne… tout en commettant de façon grave et répétée l’infraction qu’elles reprochent aux forces de l’ordre ! « Faites ce que je dis, pas ce que je fais ».

 

Ces émeutes sont d’autant plus déplorables qu’elles exploitent un drame humain. Quelles que soient les circonstances, la disparition d’une personne est toujours une tragédie et la disparition de ce jeune homme est infiniment regrettable. On ne peut que pleurer son décès, comme on pleure toutes les victimes de la criminalité.

 

Commençons par un peu de contexte

 

Le 19 juillet 2016, les gendarmes interviennent à Beaumont-sur-Oise pour interpeller Bagui Traoré, soupçonné d’extorsion de fonds avec violences. Dès le contrôle d’identité, Adama Traoré s’enfuit et échappe à plusieurs policiers qu’il bouscule à plusieurs reprises. Quand il est enfin arrêté, les gendarmes jugent son comportement suspect et le maintiennent au sol puis dans le fourgon menotté avec plaquage sur le ventre, afin qu’il ne leur échappe plus. Adama Traoré décède à l’arrivée à la gendarmerie.

 

Les expertises judiciaires en présence de toutes les parties ont conclu à l’innocence des policiers. Aujourd’hui, la famille nie la valeur probante de ces analyses en produisant une « expertise non contradictoire », c’est-à-dire une expertise réalisée par une personne payée uniquement par la partie civile et à l’insu des mis en cause. Chacun jugera de l’impartialité d’un tel « expert » et de la valeur probante d’une « analyse » si convaincante qu’on l’a cachée aux autres parties.

 

Le débat judiciaire porte d’abord sur l’application de l’article 221-6 du Code pénal, qui réprime l’homicide involontaire :

« Le fait de causer, dans les conditions et selon les distinctions prévues à l'article 121-3, par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, la mort d'autrui constitue un homicide involontaire puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende.

En cas de violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, les peines encourues sont portées à cinq ans d'emprisonnement et à 75 000 euros d'amende ».

Pour faire bonne mesure, les membres de la famille ont ajouté une plainte pour non-assistance à personne en danger. Cette qualification s’efface toutefois devant l’homicide involontaire car les mêmes faits ne peuvent donner lieu qu’à une seule condamnation pénale, généralement l’infraction la plus grave. Par exemple, une tournante dans une cave en banlieue est aussi une agression sexuelle mais cette incrimination est écartée au profit de la qualification plus grave de viol en réunion.

 

Personne ne reproche aux gendarmes d’avoir volontairement fait périr Adama Traoré ; le seul reproche est d’avoir commis un homicide par « maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement ». Aux yeux des manifestants, le scandale serait qu’aucune sanction ne serait prise contre les auteurs d’actes qui pouvaient causer la mort même d’une seule personne.

Comme disent nos amis britanniques, « Be careful what you wish for, because you might just get it » : « Prenez garde à vos souhaits, car ils risquent d’être exaucés. »

 

Et les manifestations là-dedans

 

Pour rester dans l’euphémisme, les manifestants ont probablement entendu parler de la pandémie de Covid-19, qui a entraîné quelques interdictions (certes peu appliquées dans certains quartiers) et qui a bénéficié d’un certain écho médiatique comme sur Internet. Ils savent qu’en se réunissant serrés les uns contre les autres ils entretiennent des chaînes de contamination par le coronavirus et qu’une partie des contaminés risque le décès. Au moins une personne décédera vraisemblablement en raison d’un tel rassemblement. L’article 1 du décret n° 2020-548 du 11 mai 2020 interdit d’ailleurs les réunions de plus de dix personnes et impose de rester au moins à un mètre des autres sur la voie publique.

 

En se réunissant, ces manifestants commettent donc le délit d’homicide involontaire par imprudence et même par violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement. L’infraction est d’autant plus grave que le coronavirus peut causer plus d’un décès, comme l’ont tristement démontré les derniers mois.

 

En outre, ces manifestants exposent autrui (y compris les personnes qu’ils rencontreront après les émeutes) à un risque de décès ou d’infirmité permanente en raison des séquelles pulmonaires de la Covid-19. Ils commettent donc le délit réprimé par l’article 223-1 du Code pénal : « Le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende. »

 

Comme la non-assistance à personne en danger, ce délit moins grave est écarté par l’homicide involontaire mais l’insistance des émeutiers à invoquer aussi cette non-assistance ne commande-t-elle pas d’être exhaustif pour suivre leur modèle.

 

Pour autant, les émeutiers ne sont pas tout à fait assimilables aux gendarmes qu’ils poursuivent de leur haine car ils commettent aussi une autre infraction, les menaces envers les magistrats dans l’exercice de leurs fonctions pour qu’ils condamnent les gendarmes. La manifestation devant le Palais de justice et les annonces que la prochaine fois les manifestants investiront ce palais visent manifestent à intimider les magistrats. L’appel très applaudi de Camélia Jordana à « prendre les armes » confirme la volonté d’intimidation de la justice.

Or, l’article 433-3 du Code pénal dispose : « Est punie de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende la menace de commettre un crime ou un délit contre les personnes ou les biens proférée à l'encontre d'une personne investie d'un mandat électif public, d'un magistrat […] dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur. »

On peut tout à fait critiquer les décisions des magistrats – c’est même essentiel pour garantir une bonne justice – à condition de ne jamais sombrer dans les menaces de brutalités.

 

Et la liberté de manifester ?

 

Il y a un temps pour tout. Les risques sanitaires sont trop graves pour se presser les uns contre les autres sans masques par milliers dans une des régions les plus contaminées.

 

Il existe un vieil adage en droit : « Patere legem quem fecisti », « Subis la loi que tu as faite. » La raison d’être de l’adage est simple : si vous trouvez qu’une loi est bonne pour les autres, acceptez qu’on vous l’applique aussi ; et si vous jugez inacceptable qu’on vous soumette à cette loi, ne cherchez pas à y soumettre les autres.

 

Tous ceux qui manifestent au cri de « justice pour Adama Traoré » réclament des enquêtes, des interpellations et des condamnations sévères pour tout homicide involontaire. L’Etat doit leur donner satisfaction en leur appliquant cette règle : tous doivent être poursuivis et condamnés pour mise en danger délibérée de la vie d’autrui et homicides involontaires.

 

Source : https://www.valeursactuelles.com/societe/les-manifestations-pour-adama-traore-sont-une-imposture-120161

 

 

Dax une ville entre deux "maires"

Publié le 14/05/2020 à 18:20 par lechioulayre
Dax une ville entre deux "maires"

 

 

Installés le 18 mai, les nouveaux conseils municipaux auront 10 jours pour élire leur maire.

 

Déconfinés, ils pourront enfin élire leur maire et leurs adjoints. Les conseils municipaux élus au complet dès le premier tour des municipales, le 15 mars, disposent désormais du feu vert du gouvernement, donné dans un rapport remis mardi au Parlement. Dans quelque 30.000 communes (sur 35.000), 431.739 élus avaient vu leur investiture reportée en raison de la crise sanitaire, comme le second tour des municipales. Le mandat des équipes sortantes avait été prolongé.

 

Les nouveaux élus municipaux entreront en fonction lundi 18 mai. Entre le 23 et le 28 mai, ils choisiront leur maire et leurs adjoints. Le 28 mai à minuit, l'immense majorité (86%) des communes auront donc à leur tête des dirigeants renouvelés pour la mandature 2020-2026. De leur côté, les 154 intercommunalités déjà pourvues d'élus au complet désigneront leur exécutif au plus tard le 8 juin.

 

Vainqueur du premier tour de ces élections municipales du dimanche 15 mars, Julien Dubois deviendra le nouveau maire de la cité thermale. 

 

 

 

Qui est l'ennemi ? Le pouvoir ou le coronavirus ?

Publié le 02/05/2020 à 23:28 par lechioulayre
Qui est l'ennemi ? Le pouvoir ou le coronavirus ?

 

Par Philippe Bilger

 

Bien sûr, je ne comprends rien à rien. Tous les gens qui savent vont me rire au nez, à l'esprit. Comment peut-on être si naïf dans un monde qui se vante d'être si réaliste, et parfois jusqu'au cynisme qu'on n'est pas loin de présenter comme une qualité de l'extrême intelligence qui serait habile et dupe de rien...

 

Pourtant je persiste et déplore que le dialogue démocratique ne l'emporte jamais sur les antagonismes partisans comme si, avant toute chose, il convenait de montrer ostensiblement qu'on n'écoutera pas l'autre, parce que de lui ne pourrait surgir que du mauvais.

 

Dans une période ordinaire, dans des temps plus tranquilles, cette sorte de guerre civile constituant le camp en charge du pouvoir comme un ennemi à abattre est déjà aux antipodes de dispositions humaines que par ailleurs on célèbre pour se faire élire. Mais qu'on écartera aussitôt dans le vif de l'action ou par exemple dans la fournaise de la bataille parlementaire.

 

Cette dérive est encore plus aberrante quand nous sommes contraints de nous situer dans un monde à part, celui d'un fléau tellement inédit et menaçant. Cet adversaire commun devrait imposer à l'ensemble de la communauté nationale, citoyens et élus, une solidarité sans faille, une adhésion forte, un soutien à ce qui est proposé même imparfaitement.

 

A entendre l'opposition s'exprimer après le discours du Premier ministre, j'ai eu l'impression qu'elle accusait le gouvernement non pas de combattre l'épidémie mais presque de l'avoir inventée (France 2).

 

Elle aurait souhaité, par un étrange paradoxe, à la fois un déconfinement plus libéral et une vigilance plus précautionneuse alors que le Premier ministre s'est engagé dans une voie qu'on pourrait qualifier de confinement adouci, avec quelques dates fondamentales : 7 mai, 11 mai et 2 juin.

 

A l'écoute de ces aigreurs systématiques, on est inéluctablement conduit, pour la gestion de la crise elle-même, à s'interroger : "Qui aurait fait mieux ?".

 

Même si le camp adverse est persuadé qu'il a le droit de blâmer l'exercice estimable du Premier ministre, encore aurait-il fallu qu'il le fasse sans cette hostilité, cette partialité, cette démolition univoque qui ne laissent même pas apparaître un consensus républicain sur le fait que le mal nous concerne tous et que personne n'en est responsable, si ce n'est la Chine.

 

Le climat d'aujourd'hui est insupportable. Il ne s'agit pas d'aspirer à une union nationale bêtifiante mais de prendre acte que, face à un pire absolument inédit et aux effets dévastateurs et durables, la critique est aisée mais la réponse sanitaire, sociale et économique difficile.

 

Quand il est impossible de demeurer dans la politique partisane, serait-il inconcevable pour ceux qui ne gouvernent pas, ou pas encore, de l'admettre et d'user d'un autre ton ?

 

L'ennemi est le coronavirus. Suis-je naïf en rappelant cette évidence ?

Dissociation sociale

Publié le 23/04/2020 à 15:43 par lechioulayre
Dissociation sociale

 

Humour ou provocation ? 

 

Le Chioulayre laisse la réponse à l'appréciation du lecteur. 

 

Lorsque que l'on est amoureux des mots on ne peut que s'émerveiller devant la richesse infinie de la langue française et de la subtilité liée au niveau d'interprétation que l'on peut leur donner en fonction du contexte au sein duquel ils sont exprimés.

 

" Dissociation sociale" :

Le sens littérale de ses termes est indiscutable, leurs effets dans la société sont pourtant totalement différents au regard des causes qui la provoquent et des objectifs recherchés. Les outils de dissociation sociale, qu'ils soient utilisés à des fins sanitaires, ethniques ou religieuses ont toujours en corollaire une modification des relations humaines.

 

" Trente ans après la mort de Pierre Desproges, la célèbre citation de l'humoriste, on peut rire de tout mais pas avec n'importe qui,  résonne plus que jamais comme un poncif, tant elle est invoquée à chaque polémique liée à une blague jugée de mauvais goût.

En 2018, après les attentats terroristes de Charlie Hebdo, du 13-Novembre, l'émergence des mouvements #BalanceTonPorc et #MeToo, définir "rire de tout" et surtout avec "qui" reste sujet d'interprétations, de crispations et de polémiques, souvent amplifiées par les réseaux sociaux.

 

 

Dax le jour d'après, ou en sont les finances de la ville ?

Publié le 16/03/2020 à 14:31 par lechioulayre
Dax le jour d'après, ou en sont les finances de la ville ?

 

Maintenant que la démocratie s'est exprimé l'état des lieux s'impose ! 

Le chioulayre, lanceur d'alerte, suggère que soit réalisé un audit des finances de la ville par un organisme indépendant.

 

La municipalité sortante annonce un ratio de désendettement de 8, ce ratio serait artificiellement construit en intégrant le produit de la régie des eaux qui est de fait sorti du plan des finances de la ville.

 

"La capacité de désendettement de la ville de Dax serait en fait de 13, nous serions concrètement au bord du gouffre".

 

La soutenabilité de la dette d’une collectivité est un critère essentiel de l’appréciation de la situation financière (d’ailleurs, c’est la notion même du déficit public). Le ratio le plus utilisé, y compris par les Préfectures, est celui de la capacité de désendettement.

 

La capacité de désendettement (Encours de dette / Epargne brute ou CAF) : Ce ratio exprime le nombre d’années théoriques qu’il faudrait pour que la commune rembourse l’intégralité de sa dette si elle y consacrait la totalité de son autofinancement disponible. Exprimé en nombre d’années, ce ratio est une mesure de la solvabilité financière des collectivités locales.

 

Plus que le niveau à un instant T, c’est l’évolution de cet indicateur qui compte. Des collectivités peuvent très bien fonctionner avec un ratio en permanence à 10 ans. Par contre passer d’un ratio de 2 années à 6 années d’un coup est plus préoccupant.

 

A compter de l’exercice 2019 (donc en 2020), en cas de dépassement du plafond fixé, l’ordonnateur devra présenter à l’assemble délibérante un rapport spécial sur les perspectives financières, établissant une trajectoire de retour en-dessous des seuils fixés. Cette trajectoire devra préciser la période de retour sous les seuils, et les ratios attendus pour chaque année.

 

A défaut, ou si le rapport ne comporte pas de mesures de nature à respecter le plafond de capacité de désendettement, le Préfet saisit la Chambre Régionale des Comptes, qui rendra un avis sur la situation financière de la collectivité ou de l’EPCI, et des recommandations permettant de revenir en-dessous des seuils fixés.

 

Si les objectifs pris dans le cadre du rapport spécial sur les perspectives financières, ou les préconisations de la CRC, ne sont pas atteints sur un des exercices de la trajectoire de retour à l’équilibre, le Préfet saisit la CRC, qui devra proposer une trajectoire de retour en-dessous des seuils de capacité de désendettement, que la collectivité ou l’EPCI devra inscrire au budget primitif de l’exercice suivant. Si des mesures insuffisantes sont prises au budget primitif, le Préfet pourra appliquer l’article L.1612-10 CGCT et suspendre l’exécution du budget.

 

https://www.collectivites-locales.gouv.fr/collectivites-locales-chiffres-2019-0

 

Dax ... tout peut basculer !

Publié le 28/02/2020 à 09:54 par lechioulayre
Dax ... tout peut basculer !

 

 

 

L'alternance politique est l'expression d'une saine respiration démocratique !

 

En effet, il est vital pour l’opposition Dacquoise d’être en mesure de construire et de développer un projet solide et cohérent, d’être une force de proposition alternative à la gouvernance de la municipalité régnante.

 

L’objectif n’étant pas de reconquérir le pouvoir pour le pouvoir mais de fédérer les compétences afin de proposer une vision, un choix de développement sociétal local pour la génération future.

 

Alors Chioulayre s’interroge sur la voix susceptible de porter avec force et détermination l’espérance de ceux qui sont  condamnés au silence depuis 2008, une voix d’avenir qui pourrait  créer une synergie au dessus des clivages obsolètes.

 

Sans préjuger d’un avenir que nul ne maîtrise, une personnalité locale retient son attention, Julien DUBOIS, il fût décrit en ces termes par un ancien édile.

 

« Julien en trois mots ? : courage, audace et jeunesse et je m’en autorise un quatrième : avenir ... Je sais qu’il sera au rendez-vous, celui qui s’annonce et les suivants. »

 

Ça mérite que l’on y réfléchisse !

 

 

Peut-on encore gouverner à l’heure des réseaux sociaux ?

Publié le 23/02/2020 à 11:09 par lechioulayre
Peut-on encore gouverner à l’heure des réseaux sociaux ?

 

A l'heure des réseaux sociaux, "celui qui crie le plus fort aura le dessus, quelles que soient ses revendications", regrette le politologue Olivier Costa.

 

Lien :  POINT DE VUE. "Gilets jaunes"

 

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