les larmes des papillons
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Rechercher Derniers commentaireswesh,
de l'image, j'en suis l'auteur, si ça intéresse.
w ww.krakillu.fr
merci.
Par Anonyme, le 10.10.2014
très bel écrit... chaque ligne est émouvante...
bonne soirée
arlet tehttp://arlet te1950.centerb log.net
Par arlette1950, le 12.07.2013
merci pour ton commentaire et n'hésite pas à faire un tour sur le miens
amitié
michelhttp://b ouvetmichel.ce
Par bouvetmichel, le 02.09.2010
bonjour, j'ai adoré ton blog avec de magifiques photos et j'espère que tu viendras faire un tour sur mon blog
Par bouvet michel, le 26.08.2010
c est tro triste d en arrive a ce point la pauvre gamin il m érite pas de vivre comme cela
Par angele, le 06.04.2010
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Date de création : 01.03.2010
Dernière mise à jour :
19.10.2011
37 articles
Face aux sourires mélodieux des,
Différents soleils,
Comme les astres les plus beaux,
Je reste dans l'ombre,
Si grand pourtant,
Je peux tout observer,
Les innocents comme,
Les coupables,
Malgré ce que je vois dans leurs yeux,
Ils doivent être hauts,
Couverts de parures multiples,
Est-ce qu'il est temps pour moi de partir,
Je ne crois pas,
Aux sacrifices,
Et lorsque la route se,
Ferme,
Qui est assez puissant pur de tels responsabilitées?
Chuchotte moi tes crises pluviales,
Le froid ne m'anéantira pas,
Je suis bien plus fort,
Seul face au néant,
Coincé sous la roche,
Risques et adrénaline,
Il devait se produire quelquechose,
La sueur est la même depuis des jours,
La pierre, ne changera pas de couleurs,
Cette fois il n' y aura que mon bras,
Et le sang qui me fait palpiter,
Le divin corbeau est il un quelconque Dieu?
Plonger avec elles,
Ressentir le froid,
Pour arriver le lendemain,
Soigné, aidez-moi,
Désillusionne moi mes idées,
Les manques de chaleurs me font halluciner,
Ca doit être la fin,
Ca doit être comme ça,
Devant la caméra silencieuse,
Personne n'était assez fou,
Hormis moi, qui a eu l'idée,
Ils doivent être grands,
Colle les morceaux brisés,
Le roi ne tue pas d'innocents,
Je le sais, je l'ai entendu,
Buvant la tasse,
Rien n'a de goût désormais,
Qui est tu toi qui pointe le doigt,
Le triple idiot qui vient à ma rescousse,
Pour continuer les périples,
Aventures et adrénalines,
Ils doivent être grands,
Qui est tu ,
Le sourd ou l'aveugle,
Qu'importe puisque le corbeau vole au dessus de moi,
Qu'importe puisque la gourde est vide,
Qu'importe puisque les fourmis ne mentent jamais,
Stupides jusque là,
Dans la fosse froide et rocheuse,
La pierre m'ara soufflée ses secrets,
Partageons nos confessions, elle et moi,
Pendant que le corbeau me scrute,
D'ici, personne n'entends si j'hurle,
Prends ma main, garde mon bras la pierre,
Rocher gourmand,
Siffle les car je n'ai plus de force,
Ca doit être comme ça,
Ils doivent être grands,
Et il croasse encore,
Adrénaline et cocktail de sang,
J'aurai bien compris,
La pierre ne collectionne personne,
Quelquechose en toi qui me plaisait,
Médiatisation adrénaline et nuit glaciale,
Je pourrai à nouveau sentir,
Ce que tu inventes me plaît,
Je peux encore attendre,
Quelques coups de pinceaux,
Quelques noms données en guise de mémoires,
Sur ces traits qui,
Resteront à jamais,
Immobile, tu me sculpte,
Je ne pourrai jamais, me,
Contortionner, pour changer de,
Position, ne pas faire face à la situation,
Mais le vrai est bien là,
Aurevoir,
Si tu me gardes,
Ne m'enferme pas près d'eux,
Dit,
Regarde moi encore au lever du jour,
Ta moustache blanche,
Sous ce regard de certitude,
Qui me,
Berce chaque instants,
Qu'adviendra-t-il de moi lorsque,
Après le spectacle,
Les enfants seront loins,
Mes chagrins ténébreux, qui,
Par le coeur m'engloutisse,
Sculpteur marionettiste,
Au contact de ta peau contre mon bois,
Affirme moi que rien,
N'est lu,
Que le gris n'est pas si triste,
Aurevoir,
Sourires malveillant, j'attendrai,
Aurevoir,
Dit, ne tire pas trop mes ficelles,
Incapable mais palpable non coupable,
C'est toi que je mangerai en premier,
Dit,
Aurevoir,
J'attendrai,
Sculpteur marionettiste.
Pétille devant moi princesse,
Afin de déserter d'ici pour aller nulle part,
Regarde au delà des collines, j'aimerais partager tout ça aussi,
Ne dis pas que mon nom est sale,
J'ai tâché d'être bref,
J'ai obscurcit la totalité des choses,
Tout autour de toi,
Le meilleur du blasphème vaginal,
Je ne sais pas si tu dois partir ou rester,
J'ai jamais vraiment écouter en fait,
Prétendre être circonscit au milieu de connards castrés,
Abjecte mais sans regret,
Plane du dessus de ma tête,
Culpabilité miséricordieuse et encore de nouveaux arrivants,
Détale sur ces petits corps innocents,
Intéréssant ou non je peux faire semblant,
Rien n'est compliqué en fait,
Le temps d'attente me contortionne,
Mes rêves si remplis de folies,
Fume mais n'avale pas de travers,
Nous vomirons plus tard les pourritures du quotidien,
Sur un lit de rivière froide à palper mes souvenirs,
Attrape moi par les pieds si je m'éloigne trop,
Frissonnant comme une ingurgitation de cyanure,
Qui me guide au travers des broussailles,
Je ne suis pas si coupable peut être,
Putain d'enfoiré, je l'ai extirpé,
Oh petit trésor auquel j'attache quoi,
Armure et compassion,
Attends mon retour, je sourirai de toi,
Pour écouter la voix d'un pourri,
Ne me tourne pas le dos si tu entends,
Laisse moi frissonner d'un cocktail empoisonné,
Bulles toxiques et agitation cardiaque,
C'est tout ce que tu suit qui te rends mal à l'aise?
Au travers de la vallée,
Tu es peut être trop vaseux,
Rends tes menottes si tu ne veux pas continuer,
Tu es bien hilarant, ivre de blasphème,
Sur ces petits corps innocents.
Avale toutes les drogues que tu veux,
Je peux courrir après des reflets de flaques de gerbes,
Vous pourchassant pour fêter quoi,
Je ne sais pas ce que j'ai à faire ici mais ça me plait,
Comme un zombie je déambule pendant qu'il règle le son,
Je t'aperçois là-bas, tu aimes voir nos putains de gueule se secouer,
J'ai écrit tout ça sans avoir pris de drogue mais comme ils disent je ne suis pas commun,
Tu aimes me voir agiter ma saleté de charisme,
Enchainez vous entre les riffs, bébé bébé tu aimes prendre ces saloperies dans ma piaule?
Je te l'ai dit je ne sais pas ce qu je fais là mais ça me plait,
T'es pas obligé de coucher avec moi, je ne suis pas un mac,
Oui, les trompettes retentissent, saute avec moi mais ne viens pas m'emmerder sur ma scène,
Mets tes bras autour de moi et nous descendrons jusqu'au néant,
Mon coeur est vide madame absynthe,
Je suis si belle si jeune, baise moi et tattoo moi ton nom,
Je ne sais pas ce que je fous là, mais ça me plait,
Amère, drôle, humour noir, saturations de guitare, partouzes d'unijambistes,
Rie de mépris sur ta face d'enculé gâté,
Bébé tu reflètes l'illusion de mes rêves, quel rêve, seule la californie rêve,
Trash et obscure gobe mes doigts dans ta bouche si tu veux,
J'allume le siège du fisc, et gargarise mes gerbes d'absynthe,
Si je te baise ça fait un trio puisque tu encules madame france,
Bébé bébé putain t'es trop,
Je ne sais pas ce que je fou là mais ça me plait,
bébé bébé shooters, rampe, avale et let's roll,
Je sais,
Tu sais,
Je ne sais pas ce que je fais là, mais ça me plait.
Toutes les promesses que tu as pu inscrire au devant de nos yeux,
Et maintenant je ne suis qu'une âme vide devant Dieu,
Je n'avance jamais si tu écoutes bien,
La vie ralentie pendant que j'admire mes miens,
Ne partager que le juste milieu des choses,
Mais s'il y avait quelquechose?
Il est le premier des centaines à l'avoir compris pourtant,
Allons y toi et moi, ou rien que moi, du tout au rien je sais que tu me mens,
Mais ce n'est pas dramatique,
Qu'est ce qu'il l'est vraiment, tu pourrais m'en dire des millions de critiques,
Encore ancré en moi je m'inspire de ça,
Secouant la tête ou non, je ne l'oublierai pas ,
Me procurant des frissons, le temps ne m'est pas compté,
Si seulement j'avais écouter plus tôt je ne serai pas attaché,
C'est trop long,
C'est moi le con,
Il y a des secrets qui tranche là bas,
Maintenant je rêve de ça,
Comme des toiles d'arts abstraites, d'une à une autre,
Poursuivant de nouvelles courbes en compagnie de différents apôtres,
Ne reste pas ici éternellement car tout disparaît,
Si seulement j'avais écouter.
La lueur de la lune reflète les draps blancs,
J'aime cette odeur de bien être aussi,
Errant dans les ténèbres les pensées me submergent,
J'aurai peut-être du te demander ça depuis le début,
Quelle rive te ferai aller mieux?
Tu peux me le dire, tu ne comprends pas?
Je reste planté là sur le sentier désert,
Fais au moins un sourire, parce que là je suis à terre,
Et j'en ai marre mais je reviens,
Je ne suis pas apocalyptique pourquoi tu me fuis?
Appuie sur la gachette si tu n'as pas choisi,
Mais sache que les coeurs comme les miens ne repoussent pas,
A des milliers de kilomètres les idées sentent la simplicité pourtant intelligente,
Gaspiller mon temps pour quelques mots,
Pince moi si je dors car le cauchemar est long et ennuyeux,
A toi de voir, appuie sur la gachette, parce que là je suis à terre,
Et laisse moi pourrir au bord du sentier,
Ma sympathie ne t'as jamais ignorée mais s'est plutôt fait absorber,
A quoi bon avoir une armure quand on sais qu'on va se faire détruire,
De quelle rive est tu?
Arrose mes sentiments de ton jet d' amertume,
Continue à me scalper les veines, habitudes qui devient une coutume,
Je recompterai encore 7 fois les fautes que j'ai pu faire,
Docteur, n'anesthésiez pas l'agonie car j'ai oublié les fautes commises des années en arrières,
Je n'ai pas besoin de toutes ces fleurs pour savoir,
Je me contenterai juste de ta chaleur, j'ignorerai ce que j'ai pu voir,
Je ne sais pas si tu changeras, le mal était violent,
La tempête agite les efforts perpétuels, ne hurle pas que je ne suis pas innocent,
Comme toi je saignerai,
Comme toi j'attendrai,
Ne cherches pas d'excuses je prendrai sur moi,
N'hésite pas à enfoncer la lame plus profonds, ça ne me tueras pas,
Retourne toi de ma face,
Complément d'anxiété, j'ai les menottes aux mains, et je me sens corrompu hélas,
Je n'ai pas besoin de toutes ces fleurs pour savoir,
Je me contenterai juste de ta chaleur,j'ignorerai ce que j'ai pu voir
Me faire rêver de toi chaque nuit,
Empoisonner la complicité, je suis addict à toi,
Je ne suis qu'un enfant courant après je ne sais guère quoi,
Mais je ne mets pas de côté tout ce que tu m'as dit,
L'un après l'autre remportant guerre après guerre,
Triomphe qui mène à quoi?
Je n'ai jamais rêver et j'ai besoin de quelqu'un que je ne pourrait pas perdre,
Dévoile moi tes secrets beauté divine,
La véritable drogue c'est toi, je ne peux me retenir de te prendre,
La vérité est imminente, je n'y crois pas,
Me réveillant loin de chez moi sur un banc près d'une bouteille de jack,
J'écoute ce qu'ils se disent, ça à l'air intriguant,
Mauvaise haleine mon corps collent mes vêtements,
Calme toi octogénaire,
Comme un film sans fin avec de nouveaux acteurs,
Sauf qu'à la place des pop corn j'abuse et je plane, seul spectateur,
Appelle ça comme tu veux,
La fin d'une scène pour en redémarrer un nouveau,
Submergé par les désirs, l'un et l'autre vont s'arracher, voir se trancher la carrotide,
J'écoute, il n' y a que des souvenirs ici,
J'atteinds les fous rires extrêmes je ne sais pas comment,
J'attends patiemment une scène à une autre,
Je crie mais personne n'entends,
Parcequ' à la place des popcorn j'abuse et je plane,
Dévoile moi tes secrets beauté divine,
Ne me regarde pas comme ça,
Guerre après guerre, c'est comme un inexplicable problème,
C'est comme si chaque jour était le même.
Mets tes mains autour de moi et laisse toi aller,
Tu verras nous descendrons dans l'obscurité,
Agités vos gueules de thalidomides de devant la scène,
Embrassez les bouches d'inconnus, ça nous est égal,
Quand vient le méchant?
Avant que le chaperon rouge braque une banque,
Tu aimes mes putains de cris?
Souffle moi tes paroles glorieuses je banderai,
La plupart du temps, les aveugles s'agitent,
Nouveauté d'acclamer les saturations de nos guitares,
N'encule pas n'importe quel animal idiot,
Je me fais masturber mentalement, tu n'entends pas les claquement?
Et l'extase d'éjaculer des métaphores sur vos sales gueules,
Souffle moi tes glorieux mots, je ne suis pas une star,
Quand est-ce que le chaperon rouge braquera une banque?
Embrasse-moi de tes mots,
Je m'habillerai de ton odeur avant qu'ils me crient dessus,
Hôte mes bagues si tu ne veux pas avoir mal,
J'ai pas besoin de te payer pour te manipuler, Je n'en ai pas la foutre habitude,
Je reste honnête, ça ne me lasse pas,
J'ai réentendu des petits cris provenant de toi,
Et je repense toujours à ces putains de yaourt,
Tire la languette et lèche ça,
Insère le biscuit au fond du pot,
La fraîcheur des saveurs réchauffe les papilles,
Serre mes mains je ne suis pas mort,
Eclats de rires hypocrites,
Nous sommes dans une société d'hypocrites alors tu cherches quoi?
N'attends pas que je vienne,
Ce n'est pas moi qui fuit lorsqu'ils bombardent shangai,
Lew le grotesque obscène, et des soupes de vodka au compote d'absynthe,
Absynthe, absynthe,absynthe, ferme ta bouche et bave un peu,
Les tartines de cervelles de singes ne sont pas si mauvaises tu sais?
Parce que je ne me lasse de rien, et de tout à la fois,
Et j'écrirai, j'écrirai...