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Certaines traditions provinciales on fait varier le nom de certains titres :
Termes utilisés qualifiant les notables et les nobles de Picardie
Il faut remarquer que ces qualificatifs de civilité ne furent pas utilisés dans les mêmes espaces chronologiques, ou géographiques, la société évoluant. Il faut donc ne pas hésiter à comparer.
N’oublions pas que l’ommission des qualité noble n’est nuissible qu’au bout de 3/4 génération consécutive, dans ce cas il faut des lettres de réanoblissement ou des lettres de reliefs, mais sauf si la no noblesse est de possécion plus que centenaire, et que cette famille soit reconnue comme noble
Les pairs sont des chevaliers qui se distinguent, au sein du groupe aristocratique d’une principauté, d’un comté ou d’une simple châtellenie, par leur appartenance à un collège restreint de vassaux effectuant des prestations spécifiques au château principal de leur seigneur. Cette dignité nommée en latin « paria » ou « paritas » conférait au possesseur de la terre le titre de « pair » qui signifie « égal ». Il s’agit de vassaux supérieurs .
Les pairs exerçaient une fonction militaire compagnon d’armes du Comte et une fonction judiciaire. René de Belleval et Lucien Groué nous donne la liste des pairies picardes, le titre de pair était un titre honorifique, réservé aux hauts dignitaires nobles. Ce titre était héréditaire de mâle en mâle, grâce à ce titre le dignitaire avait le droit de siéger au parlement, et pouvait même assister au sacre du Roi., dont voici les plus connus :Abbeville, Mons-Boubert, Mareuil, Embreville, Fontaine, Valines, Grand-Laviers, Vismes, Pont-Remy, Helicourt, Coucy, Soissons, Noyon, Beauvais, Saint-Simon, Warty, Guise, Poix, Cagny, Chaulnes, Laon, Chauny, Noailles, Gauchy, Picquigny, Clermont, Boulogne, Montreuil, Roye et Albert.
La pairie se révèle surtout dans le courant du XIIe siècle. Son aire de diffusion est étroitement circonscrite : sud de la Flandre, Artois et Picardie pour l’essentiel, avec une extension dans la vallée de la Meuse. La pairie soulève de nombreuses questions, touchant ses origines, son développement, le statut des individus concernés, leurs fonctions, leurs rapports avec le seigneur qu’ils entourent et, partant, la signification politique et symbolique de l’institution. Ces lacunes s’expliquent à la fois par la pauvreté de la documentation et par l’absence d’approche globale du phénomène dans l’historiographie .
Qu’ils soient dits « de château » et/ou « de principauté », les pairs sont toujours recrutés parmi les chevaliers les plus en vue de la circonscription commandée par leur forteresse d’attache. Les rédacteurs de chartes ont pour habitude de les distinguer des autres vassaux cités en même temps qu’eux. Lorsque les sources le permettent, l’enquête confirme leur statut socio-économique élevé au sein du groupe aristocratique dont ils émanent. L’effectif d’un groupe de pairs avoisine normalement la douzaine, nombre idéal dont il ne faut pas chercher longtemps la signification : le spectacle du seigneur flanqué de ses douze pairs, c’est tout à la fois l’image du dépositaire de la puissance publique assisté de sa cour de jugeurs, du Charlemagne de la Chanson de Roland suivi de ses comtes palatins et du Christ entouré de ses apôtres.
Charges conférant la noblesse
Sénéchal de France, Connétable de France, Chancelier de France Garde des sceaux de France, maréchal de France, amiral de France, général des galères, grand maître des arbalétriers, grand maître de l’artillerie, porte-oriflamme de France, colonel-général de l’infanterie, colonel-général de la cavalerie, colonel-général des Suisses, grand aumônier de France, grand-maître de France, grand-chambrier de France, grand-chambellan de France, grand-écuyer de France, grand-bouteiller de France, grand-échanson de France, grand-panetier de France, grand-veneur de France, grand-fauconnier de France, grand-louvetier de France, grand-queux de France, grand-maître des Eaux et Forêts de France, grand-maître des cérémonies de France.
Grand-maître de la maison du Roi, grand-maréchal des logis, grand-prévôt de France et de la maison du Roi, capitaine des gardes du corps, capitaine-colonel des Cent-Suisses, capitaine-colonel des gardes de la porte, .
Les descendants des ministres, comme ceux des grands-officiers de la couronne, étaient admis aux honneurs de la cour sans preuves de noblesse chevaleresque.
(Il est à noter que les dignités qui précèdent donnaient la noblesse aupremier degré par suite d’anciens usages et non en vertu d’un texte de loiformel.)
- Paris : par édit de 1577. Privilège étendu au procureur du Roi, au greffieret au receveur de l’Hôtel de Ville en 1706, révoqué pour ces trois derniersemplois et pour les échevins par édit d’août 1715. – La Rochelle : édit du 8 janvier 1372, révoqué en 1628, rétabli en 1691 – Poitiers : édit de décembre 1372, révoqué en 1667, rétabli en 1686 pour lemaire seulement lorsqu’il aurait été élu deux fois et aurait servi quatreannées – Angoulême : édit de 1373, révoqué en 1667, rétabli le 4 février 1673 – Saint-Jean d’Angély : édit de Charles V, révoqué en 1667, rétabli en 1691 – Saint-Maixent : édit de 1444, révoqué en 1667, rétabli en 1691 – Tours : édit de 1461, révoqué en 1667, rétabli en 1691 – Niort : édit de 1461, révoqué en 1667, rétabli en 1691 – Toulouse : édit de 1471, révoqué en 1667, rétabli en 1691 – Bourges : édit de 1474, révoqué en 1667, rétabli en 1673 – Angers : édit de 1474, révoqué en 1667, rétabli en 1670 – Lyon : édit de 1495, révoqué en 1667, rétabli en 1691 – Péronne : édit de 1539, révoqué en 1667, rétabli en 1691 – Nantes : édit de 1539, révoqué en 1667, rétabli en 1669 – Cognac : Origine inconnue. Ce privilège est mentionné pour la première foisdans l’édit qui le supprime en 1667. Il fut rétabli en 1691. – Abbeville : Même observation que pour Cognac – Bordeaux : Ce privilège est indiqué comme ayant été révoqué en 1667 parl’édit de 1691 qui rétablit la noblesse municipale. En réalité il n’en n’estpas parlé dans l’édit de révocation, et il y a lieu de croire que la mentionde Bordeaux dans l’édit de 1691 est le fait d’une erreur.
Les secrétaires du Roi paraissent n’avoir joui d’abord que de la noblesse personnelle. Des lettres patentes de Charles VIII, de l’an 1484, leur reconnaissent la noblesse héréditaire et les anoblissent en tant que besoin, sans conditions. Mais, en vertu d’un usage suivi pour toutes les magistratures, on ne les considérait comme pouvant transmettre la noblesse à leur postérité que s’ils avaient exercé vingt années ou étaient morts revêtus de leurs charges. Des lettres patentes de 1549 et les édits de 1669 et 1724 semblent avoir modifié ces conditions auxquelles, dans la pratique, on s’est toujours conformé.
Charges ne faissant pas dérogé en Picardie
Ancien pays de France, de chef-lieu Abbeville, compris entre les cours de la Somme et de la Canche.
Les débuts du comté de Ponthieu ne sont pas formellement attestés. Il semblerait que pour défendre la Picardie contre les vikings, les rois des Francs successeurs de Charlemagne aient créé une marche autour d’Abbeville, dont Angilbert aurait été l’un des premiers bénéficiaires. Le marquis chargé de ce commandement administrerait le Ponthieu et pour disposer de revenus suffisant pour financer des troupes, eut la charge d’avoué de Saint-Riquier. Après Angilbert et son fils Nithard, le Ponthieu fut attribué aux Welfs, puis à la maison de Montreuil, dont les membres prirent le titre de comte de Montreuil. Les Robertiens l’annexèrent dans la seconde moitié du Xe siècle, et Hugues Capet le donna en fief à un de ses gendres, le chevalier Hugues Ier de Ponthieu. Le fils de ce dernier Enguerrand Ier, ne prit le titre de comte de Ponthieu qu’en 1024, après avoir tué le comte de Boulogne et épousé sa veuve.
Le comté passe ensuite à la famille de Montgommery, puis à celle des Dammartin, aux rois de Castille et aux Plantagenêts. En 1336, au début de la guerre de Cent Ans, Philippe VI de Valois le confisque à Édouard III d’Angleterre, son fils Jean II le Bon le rend en 1360 par le traité de Brétigny et Charles V le reconquiert en 1369. Il est ensuite donné en apanage à plusieurs nobles.
Voici notre logo
Notre logo est tourné vers l’ancien, l’histoire de notre pays le Ponthieu, mais aussi vers la modernité, l’aide aux plus faible, comprenez aussi que nous renions pas notre attachement à la Picardie, il est téléchargable gratuitement.
Pourquoi faire un blog sur la noblesse de Ponthieu, et pour quoi pas faire un blog sur la noblesse picarde.
La réponse et simple, la Picardie ne fut que vraiment unifiée après la guerre de cent ans, avant elle fut divisée un de nobreux comtés comme celui du Ponthieu et du Vimeu, de plus à cette époque la Picardie comprenait que le Boulonnais, l’actuel département de la Somme, le nord de l’Aisne et de l’Oise et de ce fait chaque lieux de Picardie avait ses propres coutumes, le blog va bientôt être traduit en picard.
Avez vous projet de faire une association comme l’ANB (association de la noblesse Bretonne), si oui comment pourions-nous y adhérer.
Oui, nous voudrions créer une association, pour y adhérer il suffira de nous envoyer votre généalogie et nous l’examinerons comme garde fou nous avons tout de même rencensé les principales familles noble du Ponthieu et du Vimeu, nous envisageons de l’ouvrir aux noble de coeur comme l’ANB, sans leur donnés le statut de noble bien évidement.
J’ai vu que mon ancêtre est qualifié de Noble Homme et d’écuyer et il porte des armes timbré, pourtant Noble Homme et un titre de politesse donné aux bourgeois, non?
Alors pour cette réponse j’ai deux points à éclaircir.
Premièrement Noble Homme dans le Ponthieu est égale à la qualification de gentilhomme, comme l’indique la charte de commune d’Abbeville et la réformes des coutumes de Picardie, mais nous retrouvons quelques notables qualifié de la sorte, Louis XIV (confirmé par Louis XV) à ordonné que les nobles hommes du Ponthieu doivent justifier leur noblesse par des titres originaux et ancien, sans cela ils furent condamnés à l’usurpation de noblesse.
Les bourgeois…
Les Bourgeois d’abbeville et d’amiens sont confirmés en leur noblesse si il justifient au près des notaires royaux leur noblesse par des titres originaux (ordonnance de Louis XIII), les Bourgeois d’Amiens et d’abbeville ayant prouvé leur noblesse ont droit au ban et à l’arrière ban, et pourrons être convoqués à la guerre (réforme des coutumes de Picardie 1567, 1569 …)
Mon ancêtre fut notaire, déroge-t-il?
En, Picardie les notaires, les clercs et greffiers ne déroge point.
Mes ancêtres n’avait plus la qualité d’écuyer, pourtant il ont des armes timbrés, ont-il usurpés des armes?
Oui et non, selon certains spécialistes la noblesse se perd qu’au bout de quatre générations d’oublis de qualité de noble (en Ponthieu noble Homme, est considéré comme une preuve de noblesse, voire plus haut), donc cela dépend de la duré de cette dérogeance tacite, d’autres pensent que la noblesse immémorial n’ a pas lieu d’être qualifié de la sorte, car leur noblesse est indélébile, de plus il ne faut pas oublier que l’importance est la vie noble.
Selon vous quel est le point le plus important de la noblesse?
C’est l’action de générosité, en vers les plus faibles.
Quel sont pour vous les preuves de noblesse?
Nous pouvons simplement en faire une liste de cinq points primordiaux
1) La vie noble.
2) Le nom de terre.
3) Les armoiries timbrés ou couronnés.
4) La qualité prisse dans les actes.
5) Les maintenues et lettres de sauvegarde, lettres d’anoblissement, ou charges importantes
ABOVAL (D’) Hugues Participe à la troisième Croisade. | D’azur, à trois merlettes d’argent en chef. |
AIGNEVILLE (D’) Gauthier, chevalier, croisés; il emprunte avec Pierre de Belloy et quatre autres 230 livres à Theramus Coyroli, marchand génois, sous la garantie de Mathieu de Roye. Au camp, devant Damiette, septembre 1249. (Bibl. imp., fonds latin, nouvelles. acquisitions. 1080, pièce 260, copié sur l’original de la collection Courtois.) | D’argent, à l’orle d azur. |
AILLY (D’) Gérard, chevalier; avec Eustache de Fontaines et quatre autres, il emprunte, sous la garantie du comte de Soissons, 300 livres à Antoine de Vignole, Edmond Soldi et Salvage de Predis, marchands génois. Saint-Jean-D’acre, mai 1250. (Bibl. imp., fonds latin, nouvelle. acquisition. 1080, pièce 175, copié sur l’original. de la collection Courtois.) | De gueules, à deux branches d’alisier d’argent passées en double sautoir, au chef échiqueté d’argent et d’azur de trois traits. |
Airaines (D’) Anselme, chevalier. Au moment de partir pour la Terre-Sainte, il donne à l’abbaye du Gard la moitié d’un manoir à Airaines, en février l231. (Arch. de l’abbaye. du Gard, A, trés. généal. de D. Villevieille, t. 1, Bibl. imp.) | D’argent, à trois fasces de gueules. |
ALLENAY (D’) Aléaume, figure dans un acte d’emprunt de 200 marcs d’argent à Salvage Testa, citoyen génois, garanti par Jean, comte de Ponthieu. Au camp, devant Saint-Jean-D’acre, mai 1191. (Histoire d’Abbeville, par M. Louandre, t. II, p. 140, d’après le titre original. communiqué par M. Guessard, et provenant de la collection Courtois.). |
ARREST (D’) Hugues. Charte datée de Damiette, en 1249. | D’argent, au lion de gueules. |
AUXY (D’) Hugues, chevalier. Il figure dans un emprunt de 180 marcs d’argent à T. de la Court, Génois, et doit en toucher 45 pour sa part; le sire de Coucy donne sa garantie. Saint-Jean-D’acre, juin 1191. (Bibl. imp., fonds latin, nouvelles. acquisition. 1080, pièce 22, d’après les origine, de la collection Courtois.) Hugues d’Auxy figure encore dans un acte par lequel Raoul, comte de Soissons, se porte garant d’une dette de 530 marcs d’argent contractée par lui et treize autres chevaliers picards envers Ostian Gaioni, Paulin Amandes, Jacques de la Court et François Pausilo, marchands génois; à Saint-Jean-D’acre, août 1191. (Origine. collection. Courtois, pub. in extenso par M. Roger, Noblesse de France aux Croisades, p. 104.) Eustache, chevalier, première croisade de saint Louis, 1267. (Hennebert, Hist. d’Artois.) Philippe, chevalier. Même croisade, 1267. (Musée de Versailles; P. Anselme, t. VIII, p. 104.)Jacques de la Court et François Pausilo, marchands génois; à Saint-Jean-D’acre, août 1191. (Origine. collection. Courtois, pub. in extenso par M. Roger, Noblesse de France aux Croisades, p. 104.) Eustache, chevalier, première croisade de saint Louis, 1267. (Hennebert, Hist. d’Artois.) Philippe, chevalier. Même croisade, 1267. (Musée de Versailles; P. Anselme, t. VIII, p. 104.) | Échiqueté d’or et de gueules |
BACOUEL (DE) Guillaume. Le comte de Ponthieu se porte garant d’un emprunt de 200 marcs d’argent fait à Salvage Testa et ses associés, Génois, par ses amés et féaux Jean de Monsures, Regnier de Eskinecourt, Gilles de Soyecourt, Gauthier d’Occoche, Guillaume de Bacouel, Théobald de Montemare, Aléaume d’Alnet, Philippe et Simon de Sauflieu, à Saint-Jean-D’acre, mai 1191. (Hist. d’Abbeville, par M. Louandre, t. 1, p. 140, d’après l’original. de la collection. Courtois, communiqué par M. Guessard.) | De gueules ? semé de croisettes recroisettées, à deux bars adossés, brochant. |
BAILLEUL (DE) Enguerrand, chevalier. Il donne quittance de 300 livres de petits tournois reçus du roi pour prendre part à la Croisade; » Monsieur Joinville le compte parmi les chevaliers de l’hôtel du roi. | D’hermines, à l’écusson de gueules. |
BELLOY (DE) Pierre, écuyer. Avec Gauthier d’Aigneville et quatre autres, il emprunte 230 livres à Teramus Coyroli, marchand génois, sous la garantie de Mathieu de Roye; au camp, devant Damiette, septembre 1249. (Bibl. imp., fonds latin, nouvelles. acquisition. 1080, pièce 260, originale. collection. Courtois.) | D’argent, à trois fasces de gueules. | |
BIENCOURT (DE) Humphrey ?. Avec Jean de Chambly, Robert de Longueval, Renaud de Tramecourt, Hugues d’Auxy, Jean de Raineval, Nicolas Cossart, Asselin de Louvencourt, Pons d’Anvin, Simon de Wignacourt, Humbert de La Grange, Hugues du Sart, Guillaume de Gaudechart et Robert d’Abancourt, il emprunte à Ostian Gaioni, Paulin Amandei, Jacques de La Court et François Pausilo, Génois, 539 marcs d’argent, Raoul, comte de Soissons, se substitue à eux et endosse leur créance, parce que ces chevaliers lui ont cédé des joyaux d’or et d’argent, des armes et des livres qu’ils avaient acquis à Acre; Saint-Jean-D’acre, août 1191. (Orig. collection. Courtois; pub. par Roger, Noblesse de France aux Croisades, p. 104.) Humphrey de Biencourt avait fait, avec deux autres, un emprunt particulier à T. de la Court, de 40 marcs d’argent, devant Saint-Jean-D’acre, juin 1191. (Bibl. imp., fonds latin, nouvelle. acquisition. n° 1080, pièce 21. – Musée de Versailles.) | De sable, au lion d’argent, armé, lampassé et couronné d’or. |
BOUFFRERS (DE) Henry, chevalier. Sixième Croisade, 1248. (Musée de Versailles, P. Anselme, t. V, p. 78.) | D’argent, à trois molettes d’éperon de gueules, accompagnées de neuf croisettes recroisettées de gueules, 3, 3 et 3. |
BOULAINVILLIERS (DE) Aléaume, écuyer. Simon de L’Etoile, Raoul du Mesnil, Guillaume Le Roy, Raoul Cannesson et Jean de La Haye, écuyers, empruntent, sous la garantie de Marie, comtesse de Ponthieu, 120 livres tournois à Theramo Coyroli, Andriolo Honesto et leurs associés, Génois. A Césarée, en juillet 1252, (Bibl. imp., fonds latin, nouvelle. acquisition. 1080, pièce 95, original. collection. Courtois.) | Fascé d’argent et de gueules de six pièces. | |
BOURNEL Enguerrand, chevalier. Il emprunte à André Grilli, Génois, 300 livres, avec trois autres, sous la garantie de Gaucher de Châtillon; Damiette, août 1249. (Collection. Courtois, originale. ) | D’argent, à l’écusson de gueules, à l’orle de huit perroquets de sinople, becqués et membrés de gueules. | |
BOUTERY seigneur de Mareuil, de l’an 1199, confirmant une donation faite par son père à Vironchaux, vers 1188, deuxième Croisade. (Cartulaire. de Valoires, n° 193.) | D’argent, à trois bouteilles d’azur. | |
BUS (DU) Régnier, écuyer, Simon de Lancry, Enguerrand de Grouches, Guillaume Le Boucher, Jean Gourle et Gilles Clément, tous écuyers, empruntent 120 livres tournois à Theramo Coyroli, Andriolo Honesto et leurs associés, Génois, sous la garantie de leur dame et maîtresse, Marie, comtesse de Ponthieu; Césarée, juillet 1251. (Louandre, Hist. d’Abbeville, t. 1, p. 162, d’après. l’original. de la collection. Courtois, communiqué par M. Guessard.) | D’azur, au chevron d’argent chargé de trois trèfles de sable et accompagné de trois molettes d’éperon d’or. | |
CAMPDAVAINE Hugues, chevalier, seigneur de Beauval. Etant sur le point de partir pour la Terre-Sainte, il donne à l’église de Saint-Sulpice, hors le château de Doullens, pour son anniversaire, ce qu’il avait au moulin appelé Barthélemy le Molinier, en 1219. (Archives. de l’abbaye. de Corbie) | D’azur, à une gerbe d’avoine d’or. | |
CANCHY (DE) chevalier, en 1190, troisième Croisade. (Louandre, Hist. d’Abbeville, t. 1, p. 139.) | Coupé de sable sur or à trois lions de l’un à l’autre? | |
CANNESSON Raoul, écuyer, emprunte avec cinq autres, 120 livres tournois à Theramo Coyroli et Andriolo Honesti, Génois, sous la garantie de Marie, comtesse de Ponthieu; Césarée, juillet 1251. | D’azur, à trois couronnes ducales d’or. | |
CAUMONT (DE) Guy, chevalier,. | De gueules, semé de croix recroisettées au pied fiché d’or, à trois molettes d’éperon, de même. | |
CAYEUX (DE) Anseau, chevalier. Il était au nombre des chevaliers qui assistèrent à la prise de Constantinople en 1202. » En 1237, il fut créé régent de l’Empire: » Le Baron de la Terre firent baille et garde de l’empire un vaillant homme qui avait le nom Anseau. » ( Musée de Versailles.) Eustache, chevalier. Il prit part à la Croisade des Albigeois et fut tué devant Toulouse, en 1218. » Au passage d’un petit pont, don Eustache de Caux reçut un coup, dont il ne put se relever, d’une lance de frêne à pennon de diverses couleurs, et il ne se trouvait point là de prêtre pour l’assister, le confesser, ni lui donner de pénitence. Quand les Français l’ont vu frapper, ils s’en vont tous l’aider … ce que pleurent ceux de l’host, c’est celui qu’ont tué les routiers, car c’était un puissant et éminent personnage. Ses hommes font transporter son corps dans son pays, où il sera enterré avec honneur. » (Histoire de la croisade contre les Albigeois, écrite en vers provençaux par un contemporain, pub. par Fauriel, p. 135, collection. des documents inédits.) | Parti d’or et d’azur, à la croix ancrée de gueules. |
Cholet BEAURAIN DE LA TOUR (DU) | cf plus bas | |
CHOLET DE BEAURAIN (DU) | cf en bas | |
CHOlET DE BEAURAIN Robert, chevalier. Etant de retour de Jérusalem, il fait un accord avec l’abbaye de Dommartin, en 1155. (Cartulaire. de Dommartin, pièce 628.) Hugues, premier échevin de la ville d’Abbeville; il assiste à la troisième Croisade. (Louandre, Histoire d’Abbeville, t. l, p. 139.) Eustache, chevalier, tué en 1167. | De gueules au sautoir d’or cantonné de quatre croisettes d’argent ou De sinople fretté d’or | |
CLEMENT | cf en Bas | |
CLÉMENT Gilles, écuyer, emprunte, avec cinq autres (voir du Bus), à Theramo Coyroly et Andriolo Honesti, Génois, 120 livres tournois, sous la garantie de Marie, comtesse de Ponthieu; Césarée, juillet 1251. (Louandre, Hist. d’Abbeville, t. 1, p. 162, d’après l’orig. de la collection, Courtois, communiqué par M. Guessard.) | D’azur à trois clefs d’or | |
CRÊSECQUES (DE) Robert, chevalier, tué en Palestine, en 1249. Jean, chevalier, maréchal de l’armée de Hongrie, tué à Nicopolis, en 1396 (Généa1. de la famille.) | D’azur, à deux tierces d’or, au chef aussi d’or. | |
DOMART (DE) Gauthier, chevalier, , assiste à la journée d’Antioche, le 28 juin 1098. (Guillaume de Tyr, liv. VI, p. 263, Historiens des Croisades, pub. par l’Institut; Bongars.) Bernard, chevalier. Première Croisade, 1098. (Bongars.) Anseau, chevalier, accompagne le comte de Nevers, en Hongrie, et assiste à la bataille de Nicopolis, en 1390. (Arch. de la Côte-d’Or, Froissart, pub. par Buchou, t. III, p. 229, note 1re.) | D’argent, au chevron de gueules, accompagné de trois merlettes de sable. | |
DOMART EN PONTHIEU (DE) | cf en Haut | |
DOMPIERRE (DE) Baudouin. Charte d’Acre, 1250. (Mss. de dom Grenier, Bibl. imp.) | D’argent à trois chevrons de gueules | |
DOURS (DE) Guy, sire, chevalier. Sur le point de partir pour la Terre-Sainte, en 1l98, il confirme aux religieux de Molesmes, demeurant sur l’Authie, tout ce qu’ils tenaient de ses ancêtres ou de ses vassaux dans son fief, en dîmes, moulin, prés et viviers. (Arch. de l’abb. de Molesmes, Trés. généal. de D. Villevieille, vol. 35, Bibl. imp.) | D’argent au lion de gueules Ou D’azur au chef d’or au lion de gueules brochant sur le tout | |
ESQUINCOURT (D’) Régnier de Esquincourt, et huit autres, avaient emprunté 200 marcs d’argent à Salvage Testa, Génois; Jean, comte de Ponthieu, se porte leur garant (voyez Allenay et Bacouel), en mai 1291. (Louandre, Hist. d’Abbeville, t. I, p. 140, d’après l’original. de la collection, Courtois, communiqué par M. Guessard.) | De gueules, à trois tours d’or. | |
FLOURIE Robert, jadis maire de Blangy, au moment de partir pour la Terre-Sainte, donne à l’abbaye de Sery une demi-livre de poivre de rente annuelle à recevoir de la personne qui occupe sa maison à Blangy, en 1220. (Hist. de l’abbaye. de Sery, par dom Sauvage, p. 237, aux Mss. de la Bibl. imp.) | D’azur à trois roses d’or? |
FONTAINES (DE) Aléaume, chevalier, troisième Croisade. (Musée de Versailles.) Raoul, chevalier, assiste au siége d’Antioche en 1098. (Guillaume de Tyr, liv. VI, p. 240.) Eustache, chevalier. Avec Girard d’Ailly et quatre autres, il emprunte à Antoine de Vignolo, Aymon Soldi et Salvaggio de Predio, Génois, 300 livres sous la garantie du comte de Soissons, Saint-Jean-d’Acre, mai 1250. (Bibl. imp., lat., nouv. acq. 1080, pièce 175, collect. Courtois.) | D’or à trois écussons de vair. | |
DE FONTAINE SUR SOMME | CF en Haut | |
FRANQUEVILLE (DE) Jean, troisième Croisade | D’argent à trois forêts de gueules, au lambel d’azur en chef. | |
SALEZ FRENCQ (DE) Thomas Salez, chevalier, dit l’Assotté, déclare qu’ayant pris la croix, il vend à l’abbaye de Saint-Saulve, moyennant 20 livres, tout le droit qu’il avait sur la grange possédée par l’abbaye à Frencq; mai 1248. (Arch. de l’abbaye. de Saint-Saulve, trés. généal. de D. Villevieille, t. XLI.) | D’argent à la croix ancrée d’azur | |
GOURLÉ Jean, écuyer, avec Gilles Clément, Régnier du Bus, Simon de Lunery, Enguerrand de Grouches et Guillaume Le Boucher, aussi écuyers, emprunte 120 livres tournois à Theramo Coyroli et Andriolo Honesti, Génois, sous la garantie de Marie, comtesse de Ponthieu; Césarée, juillet 1251. (Louandre, Hist. d’Abbeville, t. 1, p. 162, original. de la collection. Courtois, communiqué par M. Guessard.) | D’argent à la croix ancrée de sable. | |
GROUCHES (DE) Enguerrand, écuyer | D’or, à trois fasces de gueules. | |
LA CHAUSSÉE(DE) Guillaume | D’azur semé de croissants d’argent à trois besants d’or. | |
LA HAYE (DE) Jean, écuyer, | ||
LANCRY (DE) Simon, écuyer, avec Enguerrand de Grouches, Guillaume Le Boucher, Jean Gourle, Régnier du Bus et Gilles Clément, aussi écuyers, emprunte à Theramo Coyroli et Andriolo Honesti, Génois, 120 livres tournois sous la garantie de Marie, comtesse de Ponthieu : Césarée, juillet 1251. (Louandre, Hist. d’Abbeville, t. 1. p. 162, charte communiqué. par M. Guessard, collection. Courtois.) | D’or à trois ancres de sable. | |
LE BOUCHER Guillaume, écuyer.. | d’or au sautoir engrêlé de sable, cantonné de quatre aiglettes de même; ou d’azur à la fasce d’or surmontée de deux roses et accompagnée en pointe d’une épine, le tout d’argent. | |
LE ROY Guillaume, écuyer | Tiercé en fasce, au 1 d’or au lion léopardé de gueules, au 2 de sinople et au 3 d’hermines. |
MORIVAL (DE) Pierre, chevalier, fait une donation de terres à l’abbaye de Sery au moment de partir pour la croisade, en 1191. (Trés. généal. de D. Villevieille, au cab. des titres, Bibl. imp.) | ||
MUSNIER Philippe, dit, figure dans le même emprunt que Théobald de Monthomer (voir à ce nom), emprunt garanti par Jean, comte de Ponthieu. Saint-Jean-d’Acre, mai 1191. (Louandre, Hist. d’Abbeville, t. 1, p. 140, d’après l’orig. comm. par M. Guessard.) | De sinople au lion d’or lampassé de gueules au chef de sable ch de trois hermines passantes d’argent | |
NEMPONT Robert, sire, chevalier, fait une donation à l’église de Dommartin, avant de partir pour la Terre-Sainte, août 1248. (Cartul. de Dommartin, n » 288.) | ||
NOUVION (DE) MGR de Nouvion assiste à la troisième Croisade, en 1190. (Louandre, Hist. d’Abbeville, t. 1, p. 139.) | D’azur, à trois aigles éployées d’or. | |
NOYELLES (DE) Guy, chevalier ; sur sa demande et celle d’Hugues Le Ver, de Robert de Saint-Riquier et de Raoul de Vismes, Jean, comte de Ponthieu, se porte garant des dettes contractées par les croisés de la commune d’Abbeville: Saint-Jean-D’acre, juin 1191. (Louandre, Hist. d’Abbeville, t. 1, p. 140, d’après l’original. communiqué. par M. Guessard, collection. Courtois.). Guy de Noyelles, autrement dit Guy de Ponthieu, sire de Noyelles et de Maisnières, était le frère puîné de Jean, comte de Ponthieu. | D’or à trois bandes d’azur. | |
OCCOCHES (D’) Gauthier, figure avec neuf autres dans une charte de Jean, comte de Ponthieu, qui garantit l’emprunt de 200 marcs d’argent fait par eux à Salvage Testa; Saint-Jean-D’acre, mai 1191. (Louandre, Hist. d’Abbeville, t. 1, p. 140; d’après l’originale. communiqué. par M. Guessard.) | D’argent à la fasce de gueules surmontée de trois coqs de sable, membrés, becqués, crêtes et barbelés de gueules. | |
OISENCOURT (D’) Hugues, chevalier, vend à l’église de Dommartin une rente de quatre setiers de blé et quatre setiers d’avoine pour mettre à exécution le vœu qu’il a fait d’aller en Terre-Sainte, juin 1248. (Cartulaire. de Dommartin, nO i85.) | ||
PAN (DE) Arnould, fait son testament avant de partir pour la croisade. | De gueules à la fasce d’argent ch d’un lion léopardé du champ et acc de trois besants du second | |
PONCHES (DE) Odon, chevalier, fait une vente à l’église de Dommartin pour accomplir son vœu d’aller à la croisade, août 1248. (Cartulaire. de Dommartin, n° 500.) | D’argent à huit perroquets de sinople, becqués et membrés de gueules, mis en orle. | |
PONTHIEU (DE) Guy II, comte, se croisa avec Louis le Jeune, et mourut de maladie en 1147 à Éphèse. Il y fut enterré dans l’église. » En la cité de Éphèse, un des barons de France qui estoit moult bons chevaliers, li quens Guiz de Pontif, accoucha malade et fu morz, enterré fu en une des eles de la mestre yglise. » (Guillaume de Tyr, liv. XVI, p. 746.) Musée de Versailles. Jean, comte, tué au siége de Ptolémaïs en 1191. (P. Anselme, t. l, p. 301.) Guillaume II, comte, prend part à la croisade contre les Albigeois, en 1210. (P. Anselme, t. III, p. 302.) | D’or à trois bandes d’azur. | |
MONTREUIL DE PONTHIEU (DE) | cf en Haut | |
FRESTEL DE MONTREUIL (DU) | D’azur au chevron acc en chef de deux roses et en pointe d’un croissant le tout d’or[ | |
RAMBURES (DE)Jean, chevalier, assiste .comme témoin à l’emprunt de 25 marcs d’argent fait par Poucet d’Anvin à T. de La Court, Génois, au camp, devant Saint-Jean-D’acre en juin 1191. (Origal. archives. de M. le baron d’Anvin de Hardeuthun.) André, chevalier. Étant sur le point de partir, par ordre du roi, pour l’expédition contre les Albigeois où il y avait des dangers à courir, il donne à l’abbaye de Sery cinq journaux de terre dans sa couture de Cannessart, octobre 1221. (Cartul. de Sery, Trés. généal. de D. Villevieille, vol. 74, au cab. des titres, Bibl. imp.) | D’or à trois fasces de gueules. | |
RUE ou LA RUE (DE) Jean, écuyer, emprunte, avec quatre autres, 200 livres à Battista de Mogio, Génois, sous la garantie du roi de Navarre: Ascalon, octave de l’Épiphanie, 1240. (Bibl. imp., lat., nouvelle. acquisition. 1080, pièce 228.) | D’argent à trois fasces de gueules. | |
SAINT-HILAIRE (DE) André, chevalier, fait une vente à l’église de Dommartin, avant de partir pour la croisade, juillet 1248. (Cartulaire. de Dommartin, p. 291.) | ||
SAINT-RIQUIER (DE) Robert, chevalier. Sur sa demande et sur celle de Raoul de Visme, de Hugues Le Ver et de Guy de Noyelles, Jean, comte de Ponthieu, garantit l’emprunt de 200 livres tournois fait à Salvaggio Testa, Génois, par les croisés de la commune d’Abbeville, au camp, devant St-Jean-d’Acre, juin 1191, (Louandre, Hist. d’Abbeville, t. I, p. 140, d’après l’orig. comm. par M. Guessard.) | D’azur semé de fleurs de lys d’or, au chef d’argent | |
SAINT-VALERY (DE) Gautier et Bernard, chevaliers, vont à la première croisade et assistent tous deux au siége de Nicée. (Raoul de Caen, Orderic Vital.) Musée de Versailles, pour Bernard seulement. Bernard, chevalier, assiste à la troisième croisade, en 1190. (P. Anselme.) | D’azur fretté d’argent, semé de fleurs de lys d’or. | |
TORTEFONTAINE (DE) Jean, chevalier, fait une donation à l’abbaye de Dommartin, avant de partir pour la Terre-Sainte, juillet 1248. (Cartulaire. de Dommartin, n° 566.) | ||
VISME(S) (DE) Raoul, chevalier. Sur sa demande et sur celle de Robert de Saint-Riquier, de Hugues Le Ver et de Guy de Noyelles, Jean, comte de Ponthieu, garantit l’emprunt de 200 livres tournois fait à Salvage Testa, Génois, par les croisés de la commune d’Abbeville, au camp devant Saint-Jean-D’acre, juin 1191. (Louandre, Hist. d’Abbeville, t. 1, p. 140, d’après l’original. communiqué. par M. Guessard.) Raoul et Guillaume, chevaliers, assistent à la cinquième croisade, en 1215. (Trés. généa1. de D. Villevieille, au cab. des titres, Bibl. imp.) Odon, chevalier; emprunte avec quatre antres 240 livres tournois à Battista de Mogio, Génois, sous la garantie du roi de Navarre. Ascalon, janvier 1240. (Bibl. Imp., lat., nouvelles. acquisition. 1080, pièce 225~) | D’azur fretté d’or, semé de fleurs de lys d’or. | |
DE VISMES (DU FRESTEL…) | cf en haut | |
YAUCOURT (D’) Mathieu, chevalier. Il figure avec cinq compagnons parmi vingt et un chevaliers et écuyers qui, avec soixante-dix-sept compagnons, louent à André Pignolo et Franceschini Spirolo, Vénitiens, patrons du vaisseau la Sainte-Croix, leur vaisseau, pour les transporter à Toulon, ou dans un autre port, moyennant 1,600 livres tournois; Constantinople, mai 1205. (Orig. de la collect. Courtois, publ. par M. Roger, Noblesse de France aux croisades, p. 101.) Thomas et Thibaut, écuyers. Regnier d’Yaucourt, chevalier, engage, en juin 1239, son fief de Beauflos pour 25 livres à l’abbaye de Saint-Riquier, afin de pouvoir ‘envoyer en Terre-Sainte ses frères, Thomas et Thibaut : ceux-ci ratifient, au mois de juillet suivant, l’engagement pris par leur frère. (Cartul. de l’abb. de Saint-Riquier, Trés. généal. de D. Villevieille, vol. XCIII, au cab. des titres, bibl. imp.) | D’or à trois aigles de sable, becqués et membrés de gueules. |
Sources
Etude sur Quelques termes utilisés qualifiant les notables de Picardie
Il faut remarquer que ces qualificatifs de civilité ne furent pas utilisés dans les mêmes espaces chronologiques,ou géographiques, la société évoluant. Il faut donc ne pas hésiter à comparer.
*Discrète personne, terme surtout employé pour les bourgeois.
*honorable, fut un titre de dignité,les dignités procèdent de trois sources différentes ; le savoir, les offices (généralement ceux qui accordés la noblesse) ; des ordres qui donnent quelque titre honorable, et enfin des seigneuries (surtout dans les régions du nord). Cette troisième sorte de Dignité s’acquérait par la possession des fiefs et des justices que l’on y a attachées, dont ils ont emprunté l’usage des fiefs.
Mais également ceux qui possédent des offices qui donnés la noblesse héréditaire ou personnelle.
Simplement Ce titre, normalement attribué aux nobles, mais est devenu ” un tire de politesse décerné à celui qui détient un rang supérieur sans être encore de la noblesse , mais qui va le devenir”
*honnête, utilisé pour les bourgeois et les officiers des villes
*maître,terme qualifiant surtout les notables ayant des charges telles que notaire, avocat, juge; ou ceux ayant le savoir ou de l’argent.
Mais certains nobles furent qualifiés de maître car il exercèrent des charges qui données ce genre de titre.
NB: En picardie les nobles exerçant les charges de notaire, clerc (de notaire), greffier ne (sous certaines conditions) dérogèrent point.
*messire, Ce titre ne s’accordait qu’à la haute noblesse, dans les actes ou transactions ; et les roturiers qui l’avaient usurpé étaient recherchés et condamnés à l’amende.
*Sire,on se servait également du mot Sire, dans le même sens que seigneur et sieur, et on l’appliquait aux barons, gentilshommes, il n’y avait que certaines familles, d’une noblesse distinguée, qui pouvaient prendre le nom de Sire devant le nom de leur maison.
*noble ou noble Homme, cette qualification pouvait désigné les Bourgeois et échevins, elle n’était pas une vraie preuve de noblesse, sauf pour les régions du nord de la France, le parlement de Paris, Toulouse, et le Languedoc-Roussilon dans ces régions elle désigné la simple appartenance à la noblesse, en Normandie elle était égale à celle d’écuyer, mais seulement pour cette région. De plus la réforme des coutumes de Picardie nous dit que la qualification dans les contrats de Noble Hommeestégale à celle de gentilhomme . Il fut tout de même demandé au généalogistes du roi de la considérée comme preuve de noblesse, de même il fut demander aux notaires du Roi de Picardie de recensé les personne se qualifiants de Noble homme et ces derniers devaient justifier leur noblesse par des actes authentiques auquel cas ils furent considérés comme usurpateur.
*sieur, ce terme pouvait s’employé pour une personne de petite noblesse ou un vassal d’un seigneur, mais pas toujours(ceux qui avaient des fiefs non nobles l’étaient également), mais il fut tout de même demandé au généalogistes du roi de le considérée comme preuve de noblesse.
*Monsieur, en moyen français, est synonyme de Monseigneur et désigne une appellation pour un évêque ; Monsieur de Paris désigne l’évêque de Paris, Monsieur de Rome désigne l’évêque de Rome, le pape, il est régulièrement utilisé pour remplacé Sieur dans le sans de la noblesse, mais se vulgarisa vers le milieu du 18ème siècle, nous retrouvons aussi nombre de bourgeois qualifier de la sorte.
*Bourgeois de… désigne les noble se faisant bourgeois des villes, ce terme en Picardie ne faissait jamais perdre la noblesse aux nobles, mais ne la céder pas non plus.
Les qualificatifs ayant pu désigner un membre de la noblesse ont été “noble, messire,Sire ” et surtout “écuyer”, mais la règle peut souffrir quelques exceptions, tel que sieur, Noble Homme …
NB:*”Messire” pouvait désigner aussi des membres du clergé.
* Attention! En Picardie les nobles pouvaient se qualifiés de bourgeois et de Maître sans déroger (cf charte des communes d’Amiens et d’Abbeville et autres…)
Etude de la dérogence dite “tacite”
Il faut remonter aux temps les plus anciens de la chevalerie pour retrouver l’origine du nom d’écuyer. il semble qu’il vient de ce que les nobles ont toujours porté les écus et les armoiries, qui sont les plus visibles marques de la noblesse, et aussi parce que les écuyers avaient soin des chevaux qui appartenaient aux chevaliers, A noter que l’écu ou bouclier, était si respecté qu’on punissait ceux qui le laissaient, et non pas ceux qui se séparaient la lance, parce que l’écu servait comme de rempart et de défense dans l’armée. L’écuyer, jeune noble faisant sa formation auprès du chevalier, le suivait dans les joutes, lui servait de second et avait la garde de son écu blasonné, de sa devise et de ses symboles.
Puis tous les gentilshommes, même chez les plus importants, en revendiqueront bientôt la qualité ainsi les plus grands seigneurs se qualifiaient tantôt écuyers, tantôt chevaliers, et que les princes de sang royal eux-mêmes ne rougissaient pas de la qualification d’écuyer
Puis la condition d’écuyer va perdre rapidement son prestige. Elle ne le récupérera que lors de la seconde moitié du XVIe siècle, moment à laquelle les qualités d’écuyer et de noble vont se voir de nouveau rattachées l’une à l’autre.
Déjà le 30 septembre 1554, un arrêt du parlement considéra la qualification d’écuyer comme caractéristique de l’état nobiliaire. Puis l’ordonnance des Etats de Blois, en mai 1579, ratifiera certainement la mutuelle dépendance de ces deux qualités Cette ordonnance fut confirmée par un édit du roi en mars 1583.
En plus de ce lien «Ecuyer-Noble», la qualification d’écuyer fut de plus subordonnée à la seule noblesse héréditaire, excluant de ses rangs la noblesse acquise dans les fonctions civiles. Au XVIIe siècle, par le développement important de la noblesse, la qualification d’écuyer se répandit.
Perdant sa signification première, la qualification d’écuyer venait à exprimer simplement la noblesse à celui qui la portait.
Le fils du plus simple secrétaire du Roi ou du plus petit officier municipal, eut désormais autant de droit à cette qualification que les descendants des races chevaleresques. Parmi les nombreuses charges et emplois attribuant la qualité d’écuyer, citons de façon non exhaustive, les gardes du corps du roi et de la reine, les gardes du château, les gendarmes et les chevau-légers, les prévosts-généraux provinciaux et particuliers, vice-baillis et vice-sénéchaux et lieutenants criminels de robe-courte, les lieutenants, assesseurs, les procureurs du roi les notaires du roi, les receveurs des finances…
La liste est longue, même si l’octroi de la qualité d’écuyer ne vaut pour la plupart que tant que l’individu est revêtu de sa charge seulement.
Au-delà de toutes considérations, les qualités d’écuyer étaient devenues, c’est sûr, la propriété de la noblesse, elles en constituaient l’un des témoignages les plus fiables.
En outre, par l’adjonction de certaines mentions, les qualifications d’écuyer étaient censées indiquer l’ancienneté de la noblesse l’extraction n’excluait néanmoins pas que la noblesse n’ait pu être remontée plus haut, mais seulement que le propriétaire n’avait pu produire de preuves plus anciennes.
Mais, devant l’importance de la signification des qualificatifs, l’on comprend parfaitement que ce fut principalement sur eux que se reposèrent, en établissant une filiation, les généalogistes lors de leurs enquêtes et de leurs recherches sur les faux nobles, tellement lors de la grande Réformation de 1668-1672, que lors de celles qui suivirent. Ainsi, pour prouver sa noblesse dans la plupart des Etats du royaume, expliquent les généalogistes, il est nécessaire de produire, sur chaque degré, des titres qui établissent la filiation et dans lesquels les sujets soient qualifiés de nobles, écuyers, chevaliers messires, Sire et et même selon certaines provinces de Sieur ou Noble Homme. A la fin de l’ancien Régime, la qualification d’écuyer perdit de son importance et de sa signification. En effet, l’état s’étant constitué une source de revenu non négligeable grâce aux nombreux anoblissements concédés et s’attachant de moins en moins à l’intégrité de la noblesse, «commença à pratiquer une tolérance qui devint bientôt de la complaisance. »
L’omission de la qualité d’écuyer, pendant cent ans, fait-elle perdre la noblesse dans tous les cas ? Des lettres de relief ou des lettres de nouvel anoblissement sont-elles nécessaires ?
Un certain nombre d’éléments ; non sans avoir rappelé en premier lieu qu’en France aucune loi ne s’explique clairement sur cette question.
La noblesse, que l’on appelle naturelle, qui est celle que l’on tient, par droit de naissance, de celui qui en jouissait, soit par bénéfice du prince ou de la loi, soit par une possession immémoriale, à laquelle on ne peut objecter une preuve de roture antérieure, cette noblesse, dis-je, est un droit du sang, un droit de même nature que celui de parenté. Par conséquent celui qui la possède ne peut jamais la perdre, ni l’aliéner : il ne peut pas même y renoncer par une convention particulière.
Le plus grand nombre de Jurisconsultes pense que la Noblesse d’ancienne extraction, sans principe connu, est une propriété inhérente à la race, qui contient en elle-même un caractère indélébile, et qu’altérée ou obscurcie par plusieurs degrés, elle se relève, de sa propre force, par les seules droits du sang.
Il semblerait donc que la noblesse, lorsqu’elle est certaine, et fondée soit sur un anoblissement quelconque, soit sur la possession immémoriale, ne peut s’éteindre que par une dérogeance réelle, et qu’une dérogeance, seulement présumée, n’est pas un motif suffisant pour faire déclarer roturier celui à qui elle peut être objectée.
On pourrait dire que si la possession de la qualité d’Ecuyer ou autre caractéristique de noblesse tel que Messires, Sire, Sieur et Noble ou Noble Homme, ne suffit pas, seule, pour avoir ou conserver la noblesse ; l’oubli de cette qualité ne doit pas plus suffire pour la faire perdre.
Néanmoins il est certain que ce n’est pas la qualité prise dans les actes qui confère ou conserve la noblesse, c’est la vie noble. Lorsque la noblesse est certaine, l’omission de ces qualités n’est point regardée comme une dérogeance, et qu’en de tels cas des lettres de relief ne sont pas nécessaires.
Ce n’est pas une dérogeance d’avoir omis de prendre la qualité d’écuyer ; en sorte qu’un noble, contre lequel on rapporterait des actes qu’il aurait passés sans cette qualité, ne serait pas nécessité d’obtenir des lettres de reliefs, si d’ailleurs il avait d’autres titres qui justifiassent sa noblesse.
Pourtant l’ancienne noblesse qui s’acquérait autrement que par les services militaires, surtout par le service dans les Cours, ne prenait point la qualité d’écuyer, qui était peu adéquat à son état, auquel malgré cela on n’a pu contester jamais les privilèges de la noblesse héréditaire.
Le Conseil rappelle que les «traitants», auxquels il avait été vendu la «faculté indéfinie de mal traiter les nobles», avaient pris soin de notifier plusieurs fois leur avis sur la question, et que jamais ceux-ci n’avaient pu remettre en cause le fait que l’interruption de ces qualifications de noblesse n’soit pas nuisible.
Que l’omission de la qualité de noble ou d’écuyer ou autre ne fait pas perdre la noblesse, lorsqu’elle est prouvée par titres authentiques et recevables et seulement par une possession suffisante (environ 100 ans), antérieure à l’omission, l’omission d’une qualité de noblesse ne fait perdre la noblesse, que lorsque celui qui a omis de la prendre a exercé un état incompatible avec la noblesse, mais ces états furent très différents d’une région à l’autre
En ce qui concerne la noblesse fondée sur un anoblissement certain :
Elle est imprescriptible, elle ne peut se perdre que par la dérogeance: l’absence de qualité de noblesse ne peut nullement la contrarier ; Puis fût-elle continuée pendant cent ans ou plus, il ne faut point de lettres de relief, lorsqu’il est prouvé que ceux qui ont oublié de prendre les qualités de noble ont exercé un état compatible avec celui de la noblesse mais ces états variés d’une province à l’autre.
On peut en dire autant de la noblesse réputée d’ancienne chevalerie, quant à l’omission de qualités : il est certain qu’elle ne peut lui nuire en aucune manière. A l’égard de la dérogeance, il serait facile de prouver qu’il n’en est point qui puisse faire perdre la noblesse à un gentilhomme d’ancienne chevalerie ; Quoique également l’absence des termes nobiliaires ne nuise point, et il ne faut point de lettres de relief, lorsqu’il est prouvé, par titres, que ceux qui ont oublié de prendre cette qualité n’ont pas cessé, pour cela, de jouir des privilèges de la noblesse ou qu’ils ont exercé un état compatible avec elle ; Parce qu’alors il est certain qu’il n’y a point eu de dérogeance.
L’omission des qualités de noblesse, continuée pendant plus de cent ans, fait perdre la noblesse ; lorsque ceux qui ne l’ont pas prise ont payé les impositions roturières sans réclamation et qu’ils auraient exercé un état compatible avec la noblesse, mais ces états variés d’une province à l’autre
En examinant les diverses études réalisées, il paraît incontestable qu’au XVIIIe siècle et avant, le terme d’écuyer reflète uniquement une qualité et se différencie des autres titres de noblesse tels que baron, vicomte, comte, marquis, prince ou duc ; cela en dépit du fait que dans bien des textes l’expression «titre d’écuyer» est de nombreuses fois employée.
Encore que nous pensons qu’en cela le mot «titre» est employé dans son sens original. Du latin «titulus» qui signifie notamment «inscription – titre d’honneur», «titre» doit être considéré alors comme une désignation honorifique, une dignité.
Le premier d’entre eux, qui semble être une évidence, est que le terme d’écuyer, à l’inverse des titres, n’avait pas d’équivalent féminin.
De plus le titre de demoiselle correspondait, pour le genre féminin, à la qualification d’écuyer, Les titres de dame ou de demoiselle, eux, ne sont plus portés aujourd’hui en France. Leur existence juridique est pourtant certaine. Demoiselle est l’équivalent féminin d’écuyer et dame celui de chevalier
Comme on peut le constater, sous-entendu ou pas, le terme d’écuyer ou celui de chevalier, restait la marque de noblesse. Le titre, quant à lui, était directement attaché à la terre, si l’on excepte au XVIIIe siècle les cas particuliers que constituent les titres à brevets.
« Ecuyer» est marque de qualité si l’on conçoit la noblesse comme étant elle-même une qualité. Or, à présent la noblesse n’est bien souvent comprise que seulement comme un titre d’honneur par lequel s’efforcent de se distinguer certains hommes des autres hommes.
NB: Selon certains auteurs la dérogeance tacite est définitive au bout de la 4ème génération
Voici la vraie liste des familles nobles du Ponthieu et du Vimeu:
Abbeville
immémorial 957 (étéinte)
Abraham
noblesse d’extraction et fieffée 1457 (éteinte)
Acheu
extraction 1270
Agenvillers
extraction 1392
Aigneville
mayer de Maisnière en 1218, chevalier en 1230
Ailly
immémorial avant 1090
Ainval
extraction 1180 (éteinte)
Airaines
immémorial 1100
Alegrin
cardinal, chanceliers de france (éteinte)
Aoust
noblesse depuis 1303
Argoules
Arrest
extraction 1323
Au-Costé
mayer d’abbeville en 1228
Ault
prevôt du vimeu 1369
Aumale
noblesse depuis 1287 (éteinte)
Auxy
immémorial avant 1152
Avisse
extraction 1376
B
Bacouel
extraction 1440
Bailleul
extraction 1204 (éteinte)
Ballen
noblesse depuis 1508 (éteine?)
Baynast
noblesse fieffé depuis 1302
Beauchamp
extraction 1178
Beauvarlet
noblesse avant 1678 (subsistante en Guadeloupe)
Becquet
extractoint 1233
Bellangreville
extraction 1378
Bellencourt
extraction 1276
Belleperche
extraction 1180
Belleval
extraction 1180
Belloy
extraction 1139
Bernard
éteiente échevin d’abbeville ( avant, 1545, éteinte)
Bersacles
extraction 1370
Beuzin
noblesse prouvé depuis 1466
Biencourt
extraction 1164
Blottefière
extraction 1321 (éteinte vers 1757)
Bommy
noblesse depuis 1423
Bos-Raoul
extraction 1381
Boubers
noblesse immémorial, issue des comte de Ponthieu 988
Boufflers
noblesse depuis 1100 (éteinte)
Boulogne
extraction en 1305
Bourdin
noblesse fieffé en 1440
Bournel
extraction 1330 (éteinte)
Boussart
noble-bourgeois d’abbeville 1320
Boutery
extraction 1406
Bouvaincourt
extraction 1147
Bresdoul
Brestel (éteinte)
extraction avant 1516
Briet
extrtaction 1405
Broullart
Broutin
Buigny
noblesse avant 1561
Buines
Buissy
immémorial avant 1100
Buleux
extraction avant 1257
Bus
noblesse depuis 1254
Busserade
noblesse avant 1515
Bussu
extraction avant 1200
C
Cacheleu
extraction 1449
Calonne
noblesse avant 1532
Cambron
extraction 1107
Canaples
noblesse depuis 1376
Candas
extraction 1200
Cannesson
auditeur du roi en 1431
Carpentin
extraction 1340
Carue
nobllesse fieffé avant 1405
Cateux
noblesse fieffée depuis 1409
Catoire
1239
Caumont
extraction 1177
Cauteraine
Cayeu
extraction 1128
Cholet de Beaurain
actes depuis 1165
Clabault
actes depuis 1174
Conteville
noblesse fieffée depuis 1384
Coppequesne
extraction 1200
Cordier
anoblis en 1387
Cornehotte
noblesse depuis 1243
Cornu
noblesse anant 1415 (éteinte)
Coulars
Noble-bourgeois d’Abbeville citée en 1217
Cramaisnil
Noble-Bourgeois d’Amiens, noblesse fieffée depuis 1337
Crécy
noblesse immémorial avant 1090
Crésecques
extraction depuis 1155
Cromont
anoblis 1387
Croquoison
extraction depuis 1233
D
Damiette
extraction depuis 1414
Danzel
anobli en 1576
Dargnies
noblesse depuis 1211
Descaules
Noble-Bourgeois et mayeur d’Abbeville en 1196
Desrobert
noblesse depuis 1507
Domart
immémorial avant 1100
Dominois
extraction depuis 1155
Doncoeur
Donqueur
extraction avant 1100
Doudeauville
extraction depuis 1333
Doudelainville
Doullens
extraction 1156
Dourier
noblesse fieffé depuis 1288
Dourlens
Drucat
noblesse d’extraction depuis 1143
E
Eaucourt
Noblesse fieffée depuis 1372
Embreville
extraction 1222
Ercourt
Esquincourt
depuis 1489
F
Faffelin
Flexicourt
noblesse avant 1376
Fontaines
noblesse d’extraction 1180
Forceville
noblesse depuis 1489
Framicourt
noblesse depuis 1123
Francières
noblesse depuis 1165
Franqueville
noblesse d’extraction et Bourgeois d’Abbeville avant 1263
Fressenneville
Fretin
noblesse fieffée depuis 1402
Frettemeule
noblesse depuis 1135
Friencourt
noblesse depuis 1196
Frieucourt
extraction avant 1235 (éteinte)
Friville
G
Gaillard
noblesse avant 1360
Gallet
anoblis en 1634
Gapennes
extraction depuis 1103
Gaude
extraction en 1197 (éteinte vers 1743)
Godart
extraction avant 1400
Gourguechon
extraction vers 1344 (éteinte en 1504)
Gourlay
extraction 1325
Gourle (cf en haut)
Grambus
noblesse depuis 1385
Grébaumaisnil
noblesse avant 1344
Gribauval
noblesse depuis 1365
Groiseliers (des)
extraction avant 1370 (éteinte en Ponthieu, subsistante en Artois)
Grouches
noblesse en 1588 (pour le Ponthieu)
Guébienfay
Gueschard
Noble-bourgeois de St Riquier, maître de l’Hotel dieu d’abbeville en 1275
H
Hallencourt
Hallwin
noblesse immémorial avant 1100
Hamel (du)
Noble-Bourgeois d’abbeville 1380
Hantecourt
Harcelaines
extraction 1380
Hardenthum (Anvin de)
extraction 1333
Haterel
Haucourt
Hermant
Hesdin
extraction en 1281
Heudain
anobli 1412
Hiermont
Hocquélus
noblesse depuis 1203
Houdenc
J
Journe
anobli en 1385
L
L’Estoile
noblesse fieffée 1559
L’Yver
noblesse en 1354 (éteinte)
La Caucheteur
La Chaussée d’Eu
immémorial avant 1154
La Fresnoye
extraction 1390
La Houssoye
noblesse anant 1484
Lamaurry
extraction 1200
Lamiré
extraction 1440 (éteinte)
Lanbercourt
Lansseray
Laudée
huisier-sergent du Roi anobli en 1370
Laviers
Le Bel (éteinte)
extraction 1440
Le Blond du Plouy-Vismes
origine de la noblesse en 1634, achat de la seignerie de Vismes en 1785
Le Boucher
noblesse fieffée 1406
Le Briois
noblesse fieffé en 1331
Le Caucheteur
anobli en 1356
Le Comte
anobli en 1320
Le Cordelier
Le Fèvre
noblesse reconnue en 1550
Le Fèvre de Caumartin
noblesse en 1480
Le Flameng
anobli en 1387
Le Fournier
Le Fuzelier
Le Moictier
echevin d’abbeville 1424
Le Prévost
noblesse fieffée 1400
Le Quieu
anobli en 1387
Le Roy
noblesse depuis 1278, une autre famille le Roy en 1556
Le Sage
extraction en 1409
Le Vasseur
nobllesse depuis 1390
Le Ver
mayer d’abbeville en 1194
Lenganeur
Lenglacé
noblesse fieffé depuis 1330
Lesperon
noblesse 1498
Lessopier
nobllese depuis 1543
Levernot
Limeu
extraction 1121
Lisques
extraction 1131
Longroy
Longuecourt
Lourdel
M
Machy
extraction 1260
Macquet
extraction 1405
Maillefeu
mayer d’abbeville 1215
Maisniel (du)
noble-bourgeois d’abbeville en 1359
Maisnières
extraction avant 1335
Maisons
extraction 1234
Malicorne
echevin d’abbeville 1379
Manessier
extraction 1244
Mannay
extraction avant 1415
Manssel
Massue
Matainneville
Matiffas
Maupin
Mautort
May
noblesse depuis 1233
Mérèlessart
Miannay
Monchaux
Monchy
noblesse d’extraction depuis 1180
Monthomer
Montreuil
comte et prince de Ponthieu, noblesse immémorial avant 950
Morival
Moyenneville
N
Neuville
Nibas
Nonvillers
Nouvion
Noyelles
noblesse immémorial 1070
O
Occoches
Oisencourt
Oneux
noblesse Fieffée et d’extraction 1233
P
Pappin
Pocholles
Polhoy
Ponches
Ponthoiles
Pont-Rémy
extraction 1160
Postel
Q
Quesne (du)
Quesnoy (du)
extraction 1324
Quiéret
R
Rabot
Raimbehan
Ramburelles
extraction depuis 1256
Rambures
noblesse immémorial 1090
Rouault
Roussel
nobllesse en 1322
Routier
Rue
extraction 1154
Rumet (éteinte)
extraction avant 1375
S
Sacquespée
Saint-Blimond
noblesse depuis 1200
Saint-Delis
Saint-Josse
Saint-Maxent
noblesse depuis 1121
Saint-Souplis
Sarpe
noblesse depuis 1375
Selincourt
Sorel
T
Ternisien
Teuffles
Tillette
Tofflet
Truffier
V
Vaillant
Valanglart
Valines
extraction depuis 1278
Vaudricourt
V(e)aux
extraction depuis 1220
Villeroy
Vincent
Visme(s)
immémorial avant 1066
W
Waben
Wailly
Wierre
Y
Yaucourt
extraction depuis 1180