Nympheas

Charme d'antan...

Elles font de cette douceur légère...

 La fraîcheur d'une candeur qui nous laissent encore rêveurs. 

  Elles ont le regard des longs silences.

De ceux qui troublent et marque leur indifférence.

 Elles ont la grâce de l'âge...

De celle qu'on encourage.

Belles marquises qui de par leur sagesse acquise, font naître toutes les convoitises.

  Elles ont ce charme d'antan.

Cette beauté fragile qui parle d'ancien temps. 

L'instant d'un sourire naissant.

Nympheas.

Ecrit le 2 mars 2011

Dessous chic.

Hum...

Des dessous chics, qui te mettent en état de choc.

Quand devant ma glace mes yeux s'entrechoquent.

Devant ce défilé de juste corps ajusté.

Ou je rie de me voir ainsi affublé.

Un brin de frivolité, qui me plais à me sentir aimé et qui me scié.

De jouer à ce jeu de charme, ou dévoilant mes armes, tout en toi se désarme.

Devant mes pensées coquines, qui réveillent et câlinent, cette autre devenue féline.

Et laisse parler sur moi, l'envie de tes caresses qui doucement fait naître.

Le plaisir partagé, du tout premier baisé.

hum...

Des dessous chics..qui te mette en état de choc.

Nympheas

Ecrit le 17 mars 2011

Amitié perdu.

Je me souviens.

De deux amies liées,par, le doux mot de l'amitié.

Des longues promenades à travers bois, qui nous faisait se perdre parfois. De nos fous rires et de leurs éclats, qui nous faisait oublier, tout ce que l'ont ne voulais pas.

Les confidences de nos rêves enfouis.

L'image de jeunes adolescentes qui à travers leurs pensées, se cherche et se construise.

Puis viens les moments de solitude, quand tu ne fus plus là.

Que tu me quitte pour cette vie que tu croyais meilleure pour toi.

Qu'il est triste de grandir, on s'en trouve oublié, au milieu de nos larmes versées.

Reste les souvenirs amers, d'une longue vie de prières.

Reste une amitié perdue... Qui déjà elle..n'est plus.

Nympheas.

Ecrit le 28 février 2011

Entre rêve..et réalité.

À quoi pense-t-il, quand il est endormi.

Quand dans ses draps froissés.

reste son parfum et ce corps qui vient à manquer.

Fait elle partit de ses songes, ou bien est elle réelle.

Quant au matin il se réveille et que seul reste le masque.

De ces souvenirs passés, qui hantent sa mémoire et q'il cherche a retrouver.

 Il voudrait ne plus s'éveiller, pour ne plus la perdre et pouvoir ainsi la garder.

 Mais qui est-elle? D’où viens telle ? et ou part-elle, quand les premières lueurs du jour arrivent.  

 Existe t-elle vraiment, ou vient elle juste remplir ces longues nuits de solitude.

les rêves ne suffisent pas, si on ne peut les vivres, les aimer, pour enfin les caresser.

 Il suffirait d'un regard pour qu'il la voie, simplement, regarder en soi.

 Se laissé guider par les traces qu'elle lui laisse, après chaque nuits passées.

 Peut être se sont ils déjà croisés, sans le savoir, sans se voir.

Ne pas se laisser tromper entre le rêve et réalité.

Car même si il est beau de rêver, il n'est plus beau moment, que cette réalité qui attend de vivre .. Pour être aimé.

Nympheas.

Ecrit le 27 mars 2011

Douceur sucré.

Plaisir parfumé aux douceurs vanillées.

Quand dans ma bouche tu fonds, me viens le goût profond.

D'une tentation qui tombe où tout en moi succombe.

A tes rondeurs exquises au goût de friandises.

 Ou dans ce lit de chocolat,  je veux tremper mes doigts.

Et me délecter encore, de la douceur de ce corps.

D'un plaisir désireux, ou je plonge mes yeux.

Sur se met délicieux.

Nympheas.

Ecrit le 10 avril 2011

 Parenthèse...

Je ne suis pas triste.

c'est juste une parenthèse.

Un état d'inertie; un sommeil qui m'accompagne et me nourrit en son sein.

Déjà l'orage passe et j'entrevois les couleurs de l'arc-en-ciel plongeant dans les eaux.

Après que la nuit l'est évincé, le soleil ne se relève-t-il pas.

Comme lui je m'éveille et avance vers cette terre promise, ou je renais à chaque pas, chaque pensée, chaque espoir que la vie met en moi.

Pour que demain soit une invitation, un rendez-vous de chaque instant Qui referme la parenthèse.

Nympheas.

Ecrit le le 14 mai 2011

Perdu.

Mes mots se perdent.

Peut-être ressentent-ils le silence qui s'installe et viennent-ils s'échouer dans l'Olympe de mes tourments.

Comme un souffle de vie qui s'échappe, un vide qui s'installe.

Plus fort, plus lourd.

Une lassitude au ressentit de ma vie.

Un regard qui s'estompe et se fane.

Je voudrais m'endormir et me réveiller dans ce passé ou je viendrais changer ce qui renaîtra en moi.

Ou je choisirais mes rires, mes mes larmes et ces instants silencieux qui les accompagnent.

Peut-être ne serais-je pas celle que je suis aujourd'hui.

Peut-être faut-il traverser ces abîmes pour trouver son chemin.

Qui devient long, si long que mes pas ralentissent, s'essoufflent.

Quand vais-je déposer les armes, dans ces moments qui semblent sans fin. Pour enfin me relever et me laisser bercer par celui qui un jour à vu en moi.

Je n'ai pas perdu ma foie, je n'ai pas perdu mes croyances, je me suis juste perdu moi, au milieu d'une vie qui n'est plus là.  

Nympheas.

Ecrit le 3 juin 2011.

Elle attend.

Loin de ces incertitudes.

Loin de ces réflexions.

Au milieu de ces doutes.

Elle attend.

Tout ce qui en elle ne parle pas.

Pourtant il y a.

L'attention, des regards qu'on lui porte.

La voie des mots portée par l'au-delà.

L'amour, qui déjà a fait renaître le souffle d'un désir.

Mais...elle se perd.

Dans une errance qui ne lui appartient pas.

Dont elle ne veut pas et qui pourtant est là.

Elle attend.

Que lui revienne le goût de son appartenance.

Que le reflet de ses pensées lui renvoie.

Ce quelles seules, encore, peuvent lui montrer.

Elle attend.

La délivrance, qui viendra la sauver.

Et que lui seul, peut être, saura lui donner.

 A toi qui m'entend.

A toi...qui me voie.

Et me délivrera.

Je t'aimé...je t'aime...et je t'aimerais.

A tout jamais.

Nympheas.

Ecrit le 12 janvier 2013 .

Les silences

Ils s'offrent comme une invitation.

Nous plongent dans la méditation.

Ils peuvent se montrer mystérieux,malicieux,capricieux.

Nous dérouter,nous ensorceler,ou bien nous peiner.

Moi,ils me parlent,me réconfortent,me bercent aussi, parfois.

M'accompagnent,là, ou personne ne va, ou seul je m'évade à la recherche de ce qui ce cache en moi.

De cette autre qui me parle tout bas, me frôle du bout des doigts.

Cette autre qui m'aime et que je n'entends pas.

Par pudeur,par lenteur, ou peut-être juste, par peur.

Il y a des silences qui me disent tout ça.

Quelquefois, un peut...parfois.

Quand je les laisse doucement s'approcher à petits pas.

Me susurrer tout bas, encore une dernière fois.

Ces simples mots qui seuls s'offrent à moi.

Je t'aime, je t'aime, jet'aime .. Toi.

Toi et seulement toi.

Qui est juste là.

à, juste pour moi.

Nympheas

Ecrit le 1er février 2013

A regarder..à contempler...

Et..à aimer...