Oo Musika Ayanakata oO
Ici, c'est une grotte d'une Otaku/Fujoshi/ect, grandement fofolle! WELcoME! (~ ° 3° ) ~

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Date de création : 13.10.2015
Dernière mise à jour : 28.10.2016
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Oo WELcoME oO

Publié le 28/10/2016 à 13:28 par paradise-dreams-musika
                                          Oo WELcoME oO

↑ C'est moi version manga °3° ↑

WELcoMe dans une grotte d'une Otaku!

 

Moi? Qui suis-je? Je m'appelle Musika Ayanakata ! ~

Je suis une grande Otaku, une Fujoshi (= yaoiste ewe), encore folle cinglée comme dirait mes proches!

Mon blog consiste (= ouais il "consiste") à donner du plaisir sur tout ce que j'aime. C'est-à-dire mes envies, je les met ici. Pour expliquer/argumenter mes amis, j'écris des OS, des drabbles, des poésies, je met mes coups de coeurs ect ainsi que des images de tout genre *q* On peut pas dire que je suis une writter professionnelle, sachant que je ne fais que lire les écrits des autres.

Quoi dire de plus? Je ne poste pas d'hentai sales perverts U_U Mais j'écris peut-être du lemon °3°

 

Coup de coeur n°2

( ~ ° 3°)~ REGLES POUR FAMILIARISE MA GROTTE ~(° 3°~ )

 

Les miettes sont: - Insultes + Dragueurs + Rageurs + Plagiat + Pubs

Les délicieux gâteaux sont:- Commentaires + Délires + Conseils + GÂTEEEAUUUUX/PATATEESSSS

 

( ~ °3°)~ FIN DE LA REGLE DE SANTE ~(° 3°~)

 

En espérant que ma grotte vous plairas! *3*

Coup de coeur n°3

Oo One Shot n°5 oO

Publié le 28/10/2016 à 12:48 par paradise-dreams-musika
Oo One Shot n°5 oO

Ooooh que ça fait hyper longtemps que je n'ai pas écrit!

J'ai l'impression de retrouver des doigts. Juste sur mon clavier hein.

J'avais prévu me faire un drabble, mais je crois que c'est plus long. °^° Pas très grave! ~

Bonne lecture, les oiseaux! ~ ♥

_________________________________________

Oo One Shot n°5 oO

 

Je courais dans le pré, où le foin se faisait porter par un doux souffle venant non loin de l'horizon. Ce vent fit voler mes cheveux lisses de couleur violet, d'où mes pointes étaient plus pâle. De loin, dans une autre époque, peut-être m'aurait-on prise pour une sorcière? Ca m'emporte peu à présent, j'étais si joyeuse, tellement rayonnante que je pouvais dépasser la luminosité du soleil qui brillait dans le ciel dégagé.

    « Attends-moi soeurette ! » Me cria soudainement une petite voix fébrile.

En faisant volte-face, quelques mèches rebelles caressaient ma joue, tandis que mon long tee-shirt galaxie suivait mon mouvement. J'ai prêté alors attention au petit garçon aux cheveux bleus foncés dont ses yeux étaient d'un turquoise étincellant. Il était habillé d'un short bleu, d'une paire de chaussettes blanches et de basket noires. Son tee-shirt court était blanc. Tout d'un coup, il glissa sur un caillou puis tomba, écrasant le blé sur son passage. Je soupirais, agacée.

     « Shhh... Yukimura, tu n'es qu'un gosse stupide et aveugle! Lui balançais-je.

- C'est toi qui ne m'attendais pas! Se défendit le dernier en se relevant, le tee-shirt salie par la terre.

- Et c'est encore moi qui vais m'en prendre plein la tronche car t'es sale! Pff, grand-mère va me gifler.

- Je dirais que c'est de ma faute... Se blâma le petit garçon, le visage attristé.

- Nan, j'assumerais. »

En effet, Yukimura et moi étions en vacances en campagne, plus au Sud du Japon. On vivait à Hokkaïdo, étions dans la même école et le même club de football. Certes, il avait deux ans de moins que moi, il était casse-pieds, mais adorable. Un jour, il se trouvera une jolie petite-amie, qui sera prendre soin de lui. Je l'espère.

Toutes ces années de joie, de fraternité étaient sans doute, mes meilleurs souvenirs.

Arrivée en fin de troisième, mon année allait enfin se terminer. J'étais acceptée au lycée où je souhaitais aller, or, c'était à Tokyo. Il fallait que je me sépare de mon petit-frère. Cela allait être sans doute déchirant, mais à ses cotés, il avait finalement eu sa petite-amie. Moi, j'étais toujours en couple. Je l'enviais.

Mais qu'est-ce que je souhaitais faire plus tard?

Ô désespoir, ô tristesse, ô crainte.

Arrivant chez moi, mes parents m'ont sautés dessus, les larmes aux yeux. Malgré moi, je ne pleurais pas. J'étais avide, j'avais tout simplement un vide à l'intérieur. Que voulais-je faire plus tard? Tout le monde avait leur idées, pas moi. J'admirais mes amies pour leurs rêves. Je me mordis les lèvres, avec lassitude du comportement de ma famille, qui étaient beaucoup trop fiers de moi. Que souhaitais-je réellement faire?!

J'étais effrayée, inquiète, je broyais du noir, craignant le pire pour mon avenir. J'avais pris le train pour aller jusqu'à Tokyo. Je me suis débrouillée toute seule pour rechercher mon appartement. Alors, chemin de droite et...

Une seconde, c'est pas moi qui ait noté ça!

Oh bordel, je suis conne.

C'est ma mère qui a mauvais sens d'orientation qui l'a fait!

Achevez-moi.

Je me suis laissé tomber sur mes genoux, sur le trottoir, comme dans scène de théâtre sur un acte dramatique.

Sans même faire attention, je venais de gêner un passant. Il s'accroupit vers moi, le sourire aux lèvres et tendit sa main vers moi.

         « Tout va bien? » Me demanda t-il avec une voix douce et rassurante.

En relevant ma tête, je pus admirer son visage masculin. Il avait des couettes roses, ses yeux en amande bleu océan. Je me suis mise à rougir, rien qu'en le voyant. Mon dieu, personne ne m'as dit qu'il y avait des beaux gosses ici?! Timidement, j'acquiesçais et je me relevais en prenant sa main, comme aide.

           « Je suis juste perdu. Pardon du dérangement. Lui répondis-je.

- Oh mais je peux t'aider si tu veux!

- Non, t'embête pas!

- J'insiste. »

Dur de refuser.

           « Euuh... Il y a un appartement pour les élèves du lycée Akaido... Et... je sais pas où il se trouve.

- Oh, c'est justement dans le lycée où je vais aller!

- SERIEUX?! Gueulais-je, m'emportant par cette excellente nouvelle. Je me suis raidit une seconde, je me forçais de tousser pour me calmer. Je veux dire, quelle chance! »

Grand dieu, la chance est de mon coté. Je viens de trouver une bonne personne qui va m'aider! Il rit et m'y conduisit avec plaisir. Nous pûmes discuter ensemble, faisant connaissance. Ce garçon était Kirino, joueur de foot comme moi et connaissait mon petit frère! Euh, attend, ça veut dire qu'il a son âge? ...C'est mauvais ou pas? Tendis que je le suspectais d'un oeil critique, nous étions arrivés dans le lieu précis. Avant de repartir de son coté, il se retourna:

                 « Ah, et quel est ton nom? S'enquit Kirino.

- Je suis Musika. Je suis la soeur de Yukimura.

- Ah bon? S'étonna t-il.

- Je sais jouer au football aussi! Tu veux un match ce week-end? Lui proposais-je.

- Je ne vais pas refuser! »

Puis il partit, joyeux. Ce qu'il est mignon lui aussi... Attends, à quoi je pense là?!?

Bref, jusqu'au week-end, j'ai fantasmé sur lui. Quelle plaie. S'il est en couple, ahahaha je meurs de rire.

Nous nous sommes retrouvés sur le terrain de football. Nous avons joué, ris, plaisanté comme de bons amis.

A la lueur du crépuscule, dès que j'allais partir, Kirino m'interrompit, comme-ci quelque chose le poussait à me retenir ici. Je levais un cil, je ne comprenais pas pourquoi. Il me sourit puis me déclara:

                    « Je veux te voir plus souvent! Tu n'as qu'à venir me voir tous les jours au collège Raimon ou venir sur le terrain de foot, même si je suis avec mes amis!

- D'accord!

- Et...

- Quoi?

- Tu me plais! »

Petit bug. Attend, quoi? Il s'est confessé? Je me suis mise à rougir violemment, comme une belle tomate farcie. Il en rit puis s'est mit à sprinter à la direction opposé. Oh bon sang.

J'espère que c'est pas un rêve.

 

_________________________________________________________

Coup de coeur n°3

Publié le 12/10/2016 à 13:29 par paradise-dreams-musika

Coup de coeur n°2

Publié le 12/10/2016 à 13:26 par paradise-dreams-musika
Coup de coeur n°2

oooooooooOOOOOOOOooooooooooooooOOOOOOOOOOOOOoooooooooooooooooOOOO

° ~ Poésie n°2 ~ °

Publié le 03/07/2016 à 13:20 par paradise-dreams-musika
° ~ Poésie n°2 ~ °

J'en ai marre.

Je referme la porte de la vie réelle

Je m'y isole,

me laissant porter par un doux son qui sait apaiser mes tensions

je me laisse croire que je suis dans un monde inconnu,

dans des années de lumières,

me dirigeant dans un chemin sans route,

marchant sur de la mousse, avec une odeur de pépin,

un bruit d'eau qui coule, non loin d'un ruisseau,

car une autre saison s'installe dans ce monde inconnu,

me plongeant dans l'aventure,

avec extase, joie, gaiement, je cours

au-dessous de moi, les couleurs de l'automne disparaissent;

devant-moi la neige fond,

sur ma gauche un champ de fleur éclos, avec un doux parfum qui volait

et à ma droite, des tournesols étaient en plein photo-synthèse.

Je me referme.

Ce ciel immense, où on a l'impression qu'il nous aspire dans un vortex,

nous dévoile tant de chose.

Cet amour que ma famille me partage n'est que mensonge.

Je n'y peux rien, ils sont abominables.

Repartons à zéro, dans un autre monde inconnu,

je marche sur des flaques, d'eau de pluie,

les nuages pleurent de mon chagrin

de la pluie coule sur mes joues,

ma gorge asséchée par la tristesse et la solitude,

me ronge l'âme.

Me détruise.

L'automne est derrière moi.

L'hiver est devant moi.

Le printemps est à coté de moi.

Et l'été de me mon autre coté.

Au fil des années de lumières,

je voyage dans le temps,

toujours en emportant mes doutes.

Ils me font la morale sans arrêt,

j'ai tout mon temps,

pas eux.

" Don't give up, little girl. "

Cette voix est si apaisant.

Mon coeur est moins lourd, mes muscles et mon corps se relâchent;

j'avance de pas en pas,

j'ai mes rêves, on me le supprime par des morales,

détestable,

écoeurante,

détestable

et

écoeurante!

Je me referme dans ma chambre,

sur mon lit je ferme mes yeux,

refermant cette porte de ce monde inconnu,

Le ciel se trompe de couleur.

Mon monde change.

" Don't do this... Don't. I will cry... ! "

J'entends des cries,

des pleurs,

je ne veux pas quitter mon monde.

Où mes années de lumières sont passés,

les feuilles d'automne s'envolent derrière moi, portées par le vent,

partez pas.

Je refuse.

Je vous l'ordonne.

Je vous supplie.

Le temps ne doit pas changer.

Personne doit changer ici.

Je suis seule.

J'ai jamais changé de chemin,

mes larmes coulent,

" JE VEUX PAS PARTIR. "

Ici, personne ne peut venir!

Personne ne peut me faire de morale!

Ni me critiquer!

Ni même me tabasser!

J'y peux rien si je suis détestable...

Je me déteste.

Je veux repartir à zéro.

Où dois-je aller?

Le ciel se divise en deux,

séparant ma détresse et ma jalousie

dois-je en être fière?

J'avais mis fin à ma vie,

à mon espérance de vie,

J'ai fais mes adieux à ma vie,

Sans même en parler à ceux qui me tenais.

Ils mentaient.

Ils me détestaient.

Qui suis-je pour douter d'eux?

Je ne rêve seulement d'un monde où je pourrais apaiser mon coeur.

On dit que je suis un monstre, contaminant.

J'ai jamais choissis ma voie.

Jamais j'ai supplié Dieu pour avoir cette maladie,

j'ai peur des opérations,

de ce traîtement contre ma psychologie,

ou physique.

Je suis pas seulement anti-sociale.

J'ai peur.

Je panique.

Ils sont trop différent.

Je suis trop différente.

L'hiver fond, je perçois de l'herbe en ressortir, avec mes larmes en cristaux.

Le printemps s'assombrit par des pensées noires, obscure et malsains.

L'été refroidit par ce vent glacial.

On me crie.

On me supplie.

Le ciel se déchire.

Mon visage se prend l'ombre de ce nuage gigantesque.

C'est plus mon monde inconnu.

Je me déchire.

Ma porte s'ouvre.

Une lumière blanche détruit tout.

Je reprends ma vie.

Je veux pas.

On me fera la morale.

Un son de flûte apaisait mon coeur.

J'ouvre mes yeux.

Les rideaux blancs se font porter par le vent.

" Welcome back. "

Mon premier ami.

Si je pouvais dire cela.

Il m'enclase.

Je ne bouge plus.

Mon âme est déchiré.

Le suicide n'est pas une bonne idée?

Mes parents vont me haïr.

Ils sont là, m'enclasant à leur tour.

Je ne comprends pas.

Qui sont-ils?

Et qui suis-je pour douter d'eux?

Mon monde disparait.

Mes larmes coulaient avec le long ruisseau.

Je suis qu'une.

Quoique je fasse, tout me suis.

Je suis seulement l'eau, écoutant l'Homme jouer de la musique.

Je suis l'expérience des sentiments inconnus.

Jamais je ne pourrais m'accepter.

Désolé.

Je pleure, sanglote.

Pathétique.

L'hiver est toujours en face

L'automne est toujours derrière

Le printemps est toujours à droite

L'été est toujours à gauche.

Je souris.

Je referme mon livre

quelles sont mes pensées?

Je ne suis plus seule à présent.

Car des gens m'acceptent.

Jamais je ne referais mon erreur.

Je continuerais de sourire

de résister aux morales

et de vivre.

 

-Sans Titre,Musika Akanotsika

Poésie 1

Publié le 12/03/2016 à 14:10 par paradise-dreams-musika
Poésie 1

" Très cher à mes yeux.

Auparavant, j'étais seule, désignée étant comme fantôme d'une classe.

Abandonnée d'un monde auquel je vivais,

j'avais peur de mon entourage,

puisque je me trouvais si différente.

On me lance que je suis indifférente, antisociable,

hélas, que savent-ils de qui je suis?

Je suis juste effrayée,

paniquée de mon entourage,

je ne suis pas comme eux, je suis trop réservée, j'ai peur,

peur de décevoir, peur d'être délaissée.

Ici, on classe les gens, par leur valeurs.

Quant à moi, je classe la sincérité

mais c'est plus dur de trouver

ça se prétend "amis" dès une rencontre, te laisse jamais,

jusqu'ils trouvent quelqu'un pour nous remplacer,

pour nous lâcher,

pour nous utiliser comme pantin s'il est seul,

nous utiliser pour une note.

Se fichant de nos problèmes en soi.

On aide toujours, nous, on reçoit rien. Plus rien?

Plus aucune gentillesse et de sincérité?

Voyez, ce comment l'entourage est advenue,

avec cette mode qu'on appelle les "thugs", "les swag" et encore autres.

Hélas, nous on reste tel qu'on est.

Ca dérange.

Ca demande harcèlement, pour notre façon de vivre,

par notre différence par rapport à eux.

Ils ne connaissent point nos différences, point de ce que nous souffrons chaque jours.

Chaque jour, on se dit qu'on devrait pas exister.

Ou, que faisons-nous ici, dans un monde aussi stupide?

Assez égoïste, que peu de gens comme nous vivons?

Nous, on rêve.

Au point de pleurer chaque soir, après un sourire caché sous un visage malheureux.

Sans espoir, on est vidé.

On va sur internet, regardant ce que font des autres personnes, avec ceux qui ont une passion,

sans comprendre pourquoi on regarde.

On trouve un blog,

sans comprendre, on devient obsédé, par son travail,

qui redonne le sourire pour un rien?

Qui nous fait rire sans comprendre la raison?

Qui a un petit talent?

Quelque part, dans un monde, est-il peut-être,

une personne bien?

On a peur de décevoir

même derrière notre écran, on se méfie, même par l'âge,

est-ce raisonnable? Dit-on.

Répondra t-il?

Que pensera t-il de nous?

Chaque jour, on regarde ce qu'il fait.

On ne peut s'empêcher d'être fan de sa vie.

Même si on se demande pourquoi il a fait ceci, s'il a un âge différent du notre.

Ca nous donne espoir, ce qui change notre façon d'être

jusqu'au jour où est forcé à lui parler

et qu'il répond aussitôt,

tellement innatendu

il dit un simple enchanté, un remerciement, ce qui nous touche

peu à peu, devenir ami, sans connaître pourquoi, même par même goût?

Cette personne qui nous fait sourire de loin par cette distance, qui nous encourage, qui n'est certes, pas près de nous,

mais tellement près de notre coeur,

tellement près de notre imagination,

qui nous ouvre grand ses bras.

On prétend être abandonné,

mais un simple geste, ou une action, change notre histoire,

donnant un but à notre vie,

de celui de la voir en vraie.

En demandant aux étoiles de ne pas la faire changer,

de vouloir garder contact avec cette personne,

que vous détesterez votre vie s'il changeait,

une simple personne, un meneur change notre façon de vivre,

nous redonne un sourire.

Cette personne si précieuse,

très cher à mes yeux.

Jusqu'au jour où on pourra se rencontrer,

face à face,

soit la première à me prendre dans tes bras, avec ton sourire scintillant;

me laissant te dire mes remerciements,

de m'avoir sortit d'un monde noir et blanc,

parce que, tu es mes couleurs,

c'est toi qui me sors de mes songes, de mes remords, de mes regrets,

car tu es toujours sincère,

souriante, encourageante, et si précieuse

qui même par la distance,

qu'importe les années qui passera,

tu feras tout pour me retrouver,

me faire sortir de ma cave,

pour me montrer un monde splendide, à tes cotés,

tu me montrera les vrais couleur du monde,

sous ton visage heureux,

avec mon visage heureux,

toi qui m'es si précieuse,

reste avec moi, pour toujours.

Pour l'éternité.

Même si je suis possessive, que tu rencontres d'autre gens,

ne m'en veux pas par ce trait de caractère,

c'est simplement que j'ai peur de te perdre,

comme ceux qui m'ont abandonnée,

alors pardonne mon pêcher de la jalousie, de la colère, de la gourmandise, de la luxure, de l'avarise, de la paresse, de l'orgueil,

puisque je t'aime,

toi qui est si très précieuse à mes yeux.

Car je serais toujours là pour toi,

pour te sécher tes larmes si tu en a besoin,

laisse-moi être ton soutient cette fois,

et devenir ta précieuse à tes yeux. "

 

-Ma précieuse à mes yeux

Musika. Ayanaka

One Shot n°4

Publié le 29/11/2015 à 12:28 par paradise-dreams-musika
One Shot n°4

oO One Shot n°4 Oo

 

J'espère de ne jamais partir de cet endroit.

D'où j'ai vécu.

D'où je suis né.

Nous sommes qu'un petit village, peu en nombre, mais nous sommes tous unis dans ce monde, notre campagne à nous tous.

Nombreux sont ceux qui veulent vivre en ville, mais ont-ils cette paix? Cette harmonie avec ces animaux?

Ces loups, ces lapins, ces poissons dans les rivières, ces cerfs, ces oiseaux chantant de bonne humeur, ces petits renards, quelques ours qui ne s'en prend jamais à notre village.

J'ai vécu dans la paix, avec ma douce famille adoré. Je me demandais presque si je pouvais être immortel pour vivre dans un confort comme tel.

Mais ce ne sont que des légendes. Après tout, je suis bien trop jeune pour penser ainsi. Je n'ai que 9 ans, j'aimai cette harmonie remplit de paix et de bonheur d'où je vivais avec ceux que j'aimais.

Les montagnes refletaient les couleurs du ciel, qu'il soit bleu, orangé, rosé, violet, bleu foncé ...

Les champs se faisaient porter par le doux vent par ce climat si agréable, les agriculteurs tous souriant, aimant leur métier, les éleveurs prenaient plaisir à être entourés par des vaches, des chèvres qui venaient demander des câlins.

Chaques matins ceci est un bonheur de s'y réveiller et d'en sourire, même des jours pluiveux.

Pourquoi dit-on du mal de notre campagne? Puisque on ne possède rien? Aucune patinoire, aucun bowling, aucun cinéma, aucune mer, aucun hôtel, aucun bus qui nous emmène en ville...

Pourquoi vous critiquez notre paix, même si nous avons pas ces choses, avez-vous le calme? Possédez-vous l'air frai d'une liberté, mélangé d'harmonie et de paix? Pouvez-vous observer comme il se doit ce dont nous offre ce ciel et cette nature accompagné d'animaux?

Mais que faîtes-vous à dame nature? Vous la déforesté!

Je regardais ces odieuses machines dont vous en servez pour arracher ces inoncents arbres ou sapins, vous détruisez la forêt et ces habitants de la forêt. Les écureils s'enfuient, cherchant une nouvelle habitation, sans vous rendre compte, vous tuez des bébés oiseaux qui ne savent pas encore voler.

Vous détruisez des familles: des cerfs, des lapins, des poissons pour votre priorité: manger. Attendez, vous en faîtes même des trophées, vous les transformés en tapis. Vous tuez pour vos satisfactions. Quelle horreur.

Vous détruisez ce que la Terre nous a offert, vous vous rendez compte de vos actes des années plus tard, en vous intéressant les vies des autres dans d'autres continents. Quelle blague. Vous avez rasé notre monde, si paisible et harmonieux. Notre terre, notre Terre, notre planète.

Tous unis, nous faisons planter de nouveaux arbres, sapins, des oliviers, des pommiers...

Nos champs rasés, nous les remettons sur pied du mieux que nous pouvons. De nouveaux habitations arrivaient, virant nos travaux si dur que nous avions remis sur place. Notre petit village devint moins unis. Qu'avec vos critiques, vos manques de politesse et de sincérité. On se sépare.

Sur ce nouveau monde dont les Hommes ont fait subir sur ce qu'on avait du protéger.

Protégeons notre Terre, notre planète. On refuse de tout perdre.

 

ooooOOOooooooOOOoooooOOOOoooooOOOOOoooooOOOOOoooOOOOOoooOOO

Je devais le mettre. J'y ai songé depuis un moment. Comme j'habite en campagne, je me comprends. ^^'

One Shot n°3

Publié le 08/11/2015 à 18:02 par paradise-dreams-musika
One Shot n°3

oO One Shot n°3 Oo

 

 

Souvent. Souvent, je me le demandais.

Qui suis-je? Qui j'étais? Pourquoi m'a-t-on fait vivre, dans un Monde quelconque ? Je me sentais si seul, depuis que je suis entré dans une "école". J'apercevais tout le monde, souriant, ne se rapprochant de les uns aux autres, tandis que j'étais seul.

Je ne croyais pas aux fantasmes, la fantaisie ne me plaisait guère, puisque j'étais un garçon ennuyeux, avec mes cheveux blancs aux yeux gris. Je me disais que peut-être, j'aurais une chose, un but dans ma vie?

Alors que je n'en avais point.

J'haïssai chanter, j'haïssai ceux qui m'ignorait, me lançant des regards de dégoûts, d'ennuies. Chaque récréation, j'étais posé près d'un mur, mon dos contre ce mur, regardant le ciel, tout en rêvassant.

Qu'avais-je rêvé, qu'ai-je pensé autrefois?

Je ne sais même plus. J'ai toujours été dans un autre monde. Dans un Monde sans couleur, surement.

J'étais si nul, ayant tellement de difficultés, je pensais être vraiment un bon à rien, étais-ce normal d'être laissé de coté pour un tel comportement? Ou étais-ce dû au physique ? Mes yeux faiblissait, j'ai dû porter de simple lunettes. A ce moment là, je semblais tellement invicible...

Ma rentrée au collège ne fut rien. Les professeurs répétaient la même chansons: penser à votre avenir. Je n'en avais pas, je ne savais rien, j'étais juste un animal perdu dans la forêt, cherchant un chemin ou suivre, vers lumière ou obscurité.

Rien ni personne ne pouvait m'éclaircir, j'étais tout simplement une honte pour une civilation. Je ne pensais juste être une sale tâche dans ce Monde, je me trouvais bien trop différent des autres, l'amitié ou l'amour n'existait même pas pour moi, tellement que j'étais seul.

Souvent, on a voulu me manipuler, je n'y croyais guère à leurs propos, hélas, j'étais bien trop adulte, ou bien serais-je juste un humain sans rêve, ni voie, ne possédant rien?

Qu'avais-je aimé autrefois?

Souvent, je me posais près d'un arbre, lisant un roman policier, j'aimais juste les énigmes, pas leur Monde. J'étais oublié de la civilation entière, parmi toute l'éducation qui m'autorisait seulement de passer si je me redressais sur mes devoirs en tant que citoyen. Qu'est-ce être un bon citoyen? Non, je perdais juste qui j'étais, je songeais sûrement à ces mots, peut-être m'avaient-ils seulement dit que je dois fournir plus d'efforts si je ne veux pas redoubler. Aiment-t-ils déstabiliser? Aiment-ils dire qu'ils veulent nous aider, ces professeurs? Non au contraire, ils n'agissent plus sous les ordres des parents.

Parfois, j'ai commencé à me dire si je savais parler. Je n'écoutais juste toute ces voix qui parlaient dans la cour, à l'extérieur, à la télévision.

Qu'aimais-je réellement? J'ai juste pensé à être un bon policier, comme sont les romans que je lisais? Qui j'étais? Que pensais-je?

Le fait d'être perdu, ne disant jamais mes avis ou mes songes à ma famille, seulement une main se tendaient devant moi, avec un doux sourire, qui me regardait seulement moi. Pourquoi moi? Je ne pensais juste être invicible aux yeux d'une population?

" Sympa ce livre. " Me dit la fille avec un sourire chaleureux.

Je ne savais pas comment je devais réagir. Cela faisait tellement d'années que je n'ai fait quoique ce soit.

" Est-il bien?"

Je ne savais pas comment réagir. J'ai bégayé, en agitant mes mains qui étaient devenus toutes moisseuses, mes yeux posés sur cette fille, qui semblait âgée, étais-ce une troisième? J'ai lâché mes mains, faisant tomber mon roman sur l'herbe. Je voulus le ramasser mais celle-ci le prit aussitôt, en regardant le résumé du livre sur le dos de la couverture, l'air assez curieuse.

" Oh. Une fois j'ai voulu lire un du genre, mais tellement que c'était trop long, que la fin ne dénonce le coupable assez mal, j'ai arrêté les romans policier moi. Ahah..." M'avouait-elle, avec un rire nerveux en grattant ses cheveux blonds bouclés, longs jusqu'au bas du dos.

." Le suspense est intéressant. Le héro est plus osé que les autres, il a du caractère et fonce toujours. C'est entreprenant."Lui répondis-je vivement.

"Ah oui?"

Ah mais qu'est-ce que je lui ai dis? On me trouve assez ennuyeux comme cela, elle doit être comme les autres, vouloir profiter de ma naïveté pour me manipuler, après, elle va attirer les regards et cela va lui plaire... Elle veut sûrement se faire aimer de tous. C'est si évident. Cela serrait mon coeur, tel une main la serrait avec tant de puissance. Je baissais mon regard vers le sol, je ne savais plus quoi dire. Dans quel Monde suis-je?

" Tu dois beaucoup aimé les romans policier, pour vouloir être toujours seul, me semble-t-il? " Me demanda la fille en me rendant mon livre avec tant de douceur en ses paroles.

Que devais-je lui répondre?

" C'est pas mon choix de vouloir être seul. Je suis juste ignoré."

Elle ne me répondit rien, elle me fixait. Ca en devint gênant.

" Je suis Sarah Hano. Tu es?" Reprit-elle.

" Light Aoga. "

Elle afficha un doux sourire, avec ses yeux de couleur roses pâles. Puis elle regarda le ciel un instant avant d'avoir décidé quelque chose, dont elle m'observa avec un sourire intéressé, ceci fut inquiétant pour moi.

" Que dis-tu de manger avec moi au Mcdo?"

" Je te demande pardon? " Lâchais-je, surprit.

" Y'en a un qui viens d'ouvrir récément. Allons-s'y!! " Déclara la nommée Sarah, toute enthousiaste.

" Au point de me répéter... "

" AAAAAAAH---!!!!" Me coupa Sarah violament en regardant sa montre, "Y VA AVOIR DU MOOONDE!!! ON Y COURS!!!! GROUILLE!!!!! "

Elle m'a tiré le bras gauche, m'entrainant avec elle, pour sortir du collège, mais avec maladroitement, elle trébucha sur un vulgaire caillou et se prit le sol, dont elle ne se relevait pas, ce qui m'a inquiété.

" T-Tu vas bien!?! " Demandais-je, étonné.

Rapidement, elle se redressait, en poussant ses mains à se relever, son nez saignait, je voulus sortir un mouchoir, histoire qu'elle s'essuit avec ... Mais elle recommençais à courir de nouveau, loin de moi.

" POUR LA BOUFFE, NOUS DEVONS ARRIVER PREMIER DE LA FILE!!! DEPÊCHE LIGHT!!!! " Me hurlait Sarah en s'éloignant de moi.

Dieu, je n'ai jamais vu une espèce pareille... Sans trop réfléchir, je l'ai suivi, bizarrement, cela m'amusait loin de là, j'avais retrouvé un sourire, je m'amusais vraiment pour la première fois de ma vie. Je pensais suivre le chemin de la ville, mais la blonde avait prit un sorte de raccourcis, dont une forêt. Mais pourquoi une forêt? Il faisait si frais, ce vent me donnait un frisson, j'avais un impression de vivre un Halloween... Quand elle s'est arrêté en chemin pour m'attendre, ses yeux arrondis, regardant derrière moi. Sarah levait son doigt vers moi, en me disant d'une voix tremblante:

" D-D-Derrière-toi...."

Je me suis retourné, je n'ai rien vu. J'ai pivoté ma tête, elle n'était plus là. Je vois... C'était une blague. Alors que je baissais mes yeux, elle se tenait devant moi, j'étais tout simplement plus grand que elle. Ses doigts étaient en crochet entre ses yeux, ses sourcils froncés, la bouche grande ouverte.

" GRAAAOOOOOUUUUUH !!!! "

" ...Je peux savoir quel est ton délire...?"

" JE SUIS UNE LOUVE!!! PARDIS! " Me cria Sarah, dégoûtée.

" On dirait plus une tarée ouais... " Soupirais-je.

" QUOI!?! MAIS JE TE DIS QUE JE SUIS UNE LOOOOOUVE!!! RRRGHHH!!! " Se plaignit-elle en en grattant ma chemise grise, comme un chaton.

" ...C'est toi qui me disais dépêchons-nous pour la bouffe?" Dis-je en changeant de sujet.

" AAAAAAAH !!! NOOON!!! ON SE DEPÊCHE LIGHT!!! "

Elle repartit comme une cinglée droit devant elle, là où était la sortie de cette forêt. Je lâchais un petit rire, cette fille était l'une des plus bizarre, mais l'une des plus amusante qu'il soit. J'avais juste l'impression de revivre, comme si j'avais trouvé une chose précieuse qui faisait en sorte que je retrouve une petite joie de vivre...

Nous sommes arrivés bel et bien les premiers dans la file d'attente dans le Mcdo. Ce fut la première fois de ma vie que je me trouvais ici, avec en compagnie une fille de mon collège, elle était tellement fière d'être arrivée ici, Sarah avait sortit son portable de couleur rose, avec un loup dessus, j'ai dû l'interpeller, en lui lançant bêtement "oh un loup...". Elle a levée ses yeux vers moi, je me suis sentit tellement pathétique en disant cela. J'ai rougit et tourné ma tête vers la fenêtre, elle en sourit et posa son téléphone vers moi, avec une photo d'une boule de poil, un chien tout blanc.

" J'aime les animaux. Qu'en penses-tu, Light?" Commença Sarah.

" ...C'est des animaux..."

Elle gonfla sa joue en fronçant ses sourcils, cela donnait un air d'une gamine enfantile.

" RroooH... T'aime quoi alors! " Me questionna Sarah.

" ...Bonne question..."

" T'amuser comme un gamin, courant dans la forêt style Tarzan en hurlant OYOYOYHIYOOOOHAAA!!!???!!!" Me cria t-elle.

J'ai remarqué que le fait quelle ait augmenté le son de sa voix, tout le monde nous regardait, j'avais l'impression d'être aperçu comme un fou avec cette folle, bon sang, que c'était gênant d'être autant observer comme cela!!

" B-Baisse le ton s'il te plaît...!! Et je te paye un double de hamburger..?" Lui suggérais-je, en croisant mes mains, faisant comme si je faisais ma prière.

Elle se tue.

" OKAY~ Je te rembourserai seulement si tu me dis ton animal favoris!! Nyehe~ " M'accorda Sarah, toute joyeuse.

Je lui ai sourit. Puis une question me traversa l'esprit, je voulais le savoir. Pourquoi moi?

Quand je lui ai demandé cette question, ses yeux se sont figés vers moi, elle tapait la table avec ses doigts, nerveusement, baissant timidement sa tête, en rougissant légèrement.

" Excuse-moi de mon comportement osé. Mais je n'apprécie pas voir les gens malheureux dans la solitude, ma curiosité est certes, un vilain défaut. Mais c'est plus fort que moi, je veux observer ce qui m'entoure, je veux voir les gens sourire, apprécier la vie, en leur faisant comprendre que personne n'est seul sur Terre. Qu'importe la distance, ou dans les rêves. Il en existera toujours un. Je l'ai comprit en t'observant un certain temps, je pensais qu'on pourrait devenir ami, tu me semblais sympathique... Je m'excuse... D'être si égoïste. "

La blonde mordait ses lèvres inférieures, se détestait-elle pour cela? Elle avait enlevé ses mains de la table, les posants sur ses cuisses, tout en les serrant, ses cheveux blonds cachaient ses yeux, répétant sans arrêt qu'elle en était désolée. Une épée me transperça sur mon coeur, mes songes d'auparavant disparaîssait, il existait une seule qui m'observait, qui prêtait attention à moi, ne serais-ce qu'une seule. Cela me réchauffait tellement, qu'une larme coula sur ma joue, dont elle le remarqua, elle ne pleurait pas, elle. Mais moi si.

" A-Ah...j-je...Pourquoi tu pleures?" S'inquiéta Sarah.

Je séchais mes larmes, avec ma main, lui souriant jusqu'aux dents.

" Je me disais seulement que tu m'as ouvert les yeux envers ce monde. "

Elle levait un cil, elle ne comprenait absolument pas, c'était tellement normal. J'étirais mes bras vers le haut.

" Les chiens. J'adore les chiens, j'en possède un chez moi."

Elle m'a regardé, les yeux grands ouverts.

" Dois-je alors te considérer comme une amie? Ou tu ne le veux pas? " L'interrogeais-je sérieusement en posant mes mains sur la table.

" J-Je... veux être ton ami... " Bégayait-elle, rouge pivoine.

" Tiens? La folle a disparu? " Me moquais-je avec un sourire malicieux.

" EH!? J'suis pas folle d'abord! Finalement, tu payes tout pour moi! " M'informa Sarah, complètement gênée.

" C'est pas toi qui m'a dit, non je ne te ferais pas payer si tu me dis ce que j'aime~?" La taquinais-je une seconde fois.

" J-J'ai dis ça!!!?? "

J'ai explosé de rire à ce moment-là. Je l'a considérait comme ma vraie amie. Tellement. Elle m'avait redonnée le goût de vivre.

Chaques jours étaient les meilleurs de ma vie en sa compagnie.

Sa gentillesse et son honnêté étaient ses grandes qualités que j'appréciais le plus chez elle. Enormément. Elle restait toujours à mes cotés, quand je me sentais mal, toujours elle me réconfortait, chaques jours avec elle...

Peu à peu, mes sentiments ont changé.

J'ai connu mon premier amour. Mais je l'ai comprit au dernier moment de ma scolaritée. Oui, nous étions en même année, mais pas dans la même classe. Le moment décisif sur notre orientation. Que voulais-je réellement faire?

" Tu n'as pas une idée?" S'étonna Sarah, en mangeant son sandwich près de l'arbre où on traînait toujours.

J'ai secoué ma tête en réponse de non.

" Une idée sur ce que tu aimes?"

" Voir les autres sourires. " Répondis-je vivement en lisant mon roman.

Sarah commença alors à réfléchir, mettant son doigt sur ses lèvres, pensive. J'aimais cette expression, j'aimais absolument tout chez elle, même ses défauts. Elle a toujours été là pour moi, je rêvais de la prendre dans mes bras en lui disant à tel point que je l'aimais. Mais que pouvais-je faire d'autre? Je me sentais si lâche à ne rien avouer sur mes sentiments...

" Tu coupes avec beaucoup de précision... Barbier~? Hinhinhin... " Se moqua t-elle de moi.

" Couper des barbes? C'est assez barbant non? " Plaisantais-je.

" Hihi, pas faux. Alors coiffeur? Cela peut-être une bonne idée, certes c'est assez féminin, mais un homme, ça rend très unique! " Me proposa Sarah.

" ...C'est confus ce métier... Drôle de choix..." Critiquais-je.

" C'est toi qui vois. Tu peux faire cela, en rendant visite chez les autres pour ça. C'est aussi sympa, tu peux apprendre la vie des autres."

Je faisais ma moue sur sa réflexion. Puis je lui demandais son choix.

" Vétérinaire. " Me répondit-elle. "Cela va être dur, mais j'abandonnerai pas. "

J'ai posé ma main sur ses cheveux, en les frottant doucement. Je l'encourageai dans sa voie. Alors j'étais décidé de faire de même pour coiffeur. C'est son idée, mais il me plaisait, elle me verrait très unique, si cela peut lui plaire, je ferais le tout.

" Je deviendrais le meilleur coiffeur. " Déclarais-je.

Elle m'en sourit à mes paroles.

La fin d'année arriva à son augure, c'était bien trop rapide, mes cheveux avaient légèrement poussés, je me trouvais plus adulte. Hélas, elle et moi on était pas dans le même lycée, ce qui m'a fait attristé, mais on allait toujours s'appeler, s'envoyer des messages, cela nous rassurait. Moi, je m'étais décidé de devenir le plus doué et un bon coiffeur, comme elle me l'a demandé. A la sortie du collège, je me suis mis devant elle, j'étais bien décidé à lui dire une chose avant qu'on ne se sépare dans nos lycées.

" Je deviendrais coiffeur. C'est une promesse. Et quand je le serais devenu, je te dirais quelque chose. "

Elle en a rougit et hocha sa tête pour me dire d'accord.

- 3 ans plus tard -

J'étais devenu enfin coiffeur. J'ai téléphoné celle que j'aimais, afin de lui dire de venir dans mon appartement et de lui faire part de mes sentiments qui n'avaient point changé.

Elle était arrivée, affolée, tenant un oiseau dans ses mains, grièvrement blessé, elle ne savait pas quoi faire, pourtant elle était encore dans ses années d'études pour devenir vétérinaire. J'ai posé mes mains sur ses épaules, je voulais la rassurer, éviter de la voir paniquée alors que je croyais en elle, Sarah savait et connaissait quelques guérison envers des blessures comme cela.

" Calme-toi... Tu le sais faire!"

Elle a rougit en me regardant ce qui m'a fit rougir à mon tour, j'ai lâché mes mains de ses épaules, elle reprit son sang-froid et soigna l'oiseau blessé, dont je n'ai laissé aucun morceau de la scène. Une fois terminé, elle se retourna vers moi, les joues roses.

" M-Merci... Et félicitations pour toi... "

" Merci... Tu es devenu moins folle." Me moquais-je.

" J-Je suis plus adulte!!" Me répondit-elle vivement.

" Je sais..."

Nous avons rien rajouté de plus puis je l'ai regardé en face de moi, j'étais décidé à faire part de mes sentiments, je voulais devenir un homme accomplit.

" Sarah. Je t'ai toujours aimé..."

Elle avait rougit et sourit timidement.

" M-Moi aussi... Depuis longtemps...je..."

J'ai posé ma main sur sa tête.

" Merci pour tout, ma petite folle de vétérinaire."

" Tu pourrais me trouver un autre surnom, imbécile..."

J'étais tellement rassuré à ses mots. Je la serrais contre moi, cette fleur si précieuse qui m'a fait vivre, me faisant sortir de mes songes négatifs et de ma solitude. Personne n'est seul, il existera toujours une personne, même si la distance les sépares, toujours quelqu'un qui sera là pour vous. Dont on refuse d'abandonner et de la perdre.

 

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Cela faisait un moment que j'ai rien écrit. ^^

One Shot n°2

Publié le 21/10/2015 à 16:16 par paradise-dreams-musika
One Shot n°2

One Shot n°2:

 

Rien ne pourrait ne me plaire. Puisque nombreuses années je n'étais qu'ombre de moi-même. Je haïssais ma vie, solitude, harcèlement, critiques, le fait que je sois tabasser. Que je ne suis seule dans ce Monde si noir. 

Tuez-moi.

Dieu pourquoi suis-je aussi salie par ces Hommes qui me cible?

Je ne suis accepté nul part, même ma stupide soeur aimait s'en prendre à moi, moi qui n'est seulement que mes 16 ans, elle n'a que une vingtaine d'années.

 

" Aaaah~ Ca soulage après ces putains d'exam's! Après tout, je veux être parfaite pour qu'un boss de Mafia m'accepte en tant que femme! A moi fortune! "

 

Tel est la vie en Mafia, en Italie. Mes indignes parents n'ont pas de yeux, ils ne sont qu'aveugle à ce qu'il m'arrive, tel est mon destin, de mourir comme une poire qui se moisis et qu'on la jette dans une poubelle, tel est ma vie.

Elle me frappait en pleins d'estomac à de nombreuses reprises, jusqu'à je crève. Je ne pouvais que cracher, je ne pouvais hurler ou crier, qu'avec sa main devant ma bouche. Je hais cette vie, me laissant mourir sur mon lit. Je ne suis que pantin.

 

" Eh! Crève pas Musika~ J'ai besoin d'un sac à défouler quand même!! " Se plaignit la soeur.

 

Oh mais oui, pour me faire souffrir toute une vie. Je ne peux oser prononcer son nom, tellement qu'il est écoeurant tout comme elle l'est. Une pure saleté dans ce Monde. Non, ce Monde. La loi du plus fort, celui qui fait sa toile d'araignée, nous les insectes, nous y sommes piégés dedans, se faisant dévorer peu à peu, physiquement et mentalement.

Je n'ose même plus savoir pourquoi je vis, pourquoi je continue de marcher, si je ne crois plus en l'espoir auquel tout le monde y tient et poursuivent leur chemin.

Le lendemain matin, je ne pouvais à peine de me relever de mon lit moelleux, auquel il a été piétiné par cette famille. Je me suis changée, portant mon uniforme scolaire de mon école de Mafia, l'Italie était tant connu pour ces pêchés ou bien ce genres de choses. Je n'ai personne avec qui me confier, après tout, je ne suis qu'une faible personne, prête à se faire manipuler par tous.

Je ne ressentais plus aucune émotion, tel une marionnette qui se faisait jouer par son maître.

Après avoir brossé mes longs cheveux soyeux roses pâles, de les mettre en couette du bas, je suis donc descendu de ma chambre, me dirigeant vers la cuisine, où ma famille s'y trouvait.

 

" Bonjour. " Me lança froidement mon père. "Travaille bien pour ton école."

" Musika. Bien dormis? Oh? Tu as une tâche rouge au coin de tes lèvres...As-tu peint?" M'interrogea ma mère.

" Yo Musika~ " Rajouta ma soeur avec un large sourire narquois sur ses lèvres.

 

Entre mon père qui ne songe qu'à mes résultats, ma mère qui fait l'ignorante avec moi et la battante de service, tout roule à merveille dans ma famille. Je n'avais plus aucune faim à manger avec eux, ou plutôt, je voulais partir loin d'eux.

 

" A ce soir. " Dis-je sèchement sans me retourner.

 

En sortant de chez moi, aussitôt j'essuyais le sang qui n'était pas partit de mes lèvres. Je redressai ma mèche rebelle et j'avançai vers mon établissement, même si tout les passants m'ignoraient, passant leur priorité avant tout, plus aucune politesse, c'est bien le pays de la Mafia. Tout ce que j'étendais n'étaient que le 10ème Vongola et ses exploits entendu par le 9ème du nom. Les Vongola ne m'avait jamais intéressée, puisque ils ne pensent qu'à leur propre personne! Je serrais mes poings, mordant mes lèvres inférieurs en écoutant leur conversation inonde sur ce garçon, qui j'avais fais des recherches avec des documents de l'école, comment un naze pouvait être aussi impressionnant!? Comme si il m'intéressait, lui et sa famille! J'agitais ma tête dans tous les sens pour virer ces saletés de pensées.

 

" Eh, rosette! "

 

Une bande de fille me tiraient mes longs cheveux vers le bas. Depuis ma 6ème, elles ont toujours été comme cela, que des gamines.

 

" Genre, tes cheveux sont encore sublime... " Me cracha une d'elle.

" On fait quoi aujourd'hui? On te noie dans le lavabo? " Me proposa une autre, l'air enjouée.

 

Oui, ce que je vis sans cesse, exactement. Mais j'avais une sensation qu'on m'observait. Je tournais ma tête vers l'est, j'avais bon instinct mais pas de bons réflexes. La meneuse du groupe me poussa dans une rivière qui était sur mon coté gauche, rien qu'en me poussant violament. Toutes ricanaient comme des vipères en partant.

Mes yeux roses foncés regardaient toujours à mon point d'observation où je regardais bien avant. Pourquoi je me sens angoissée? Drôle de sensation...

Pendant tous les cours, j'écoutais, étant toujours assise seule sur ma chaise en bois, devant le bureau du professeur. Même si on m'envoyait des boules de papiers vers moi ou bien que mes cahiers étaient déchirés ou même écrit des insultes verbaux à mon sujet. Mais jamais je ne voulais me suicider, à quoi bon cela m'emmèneras? Je ne faisais que de soupirer pendant les cours.

Jusqu'à ce fut le cours de sport, donc de résistance. On m'a refilé l'un des plus mauvais en armes de la classe: une lance avec une pointe en lame à la fin, c'était tout. Alors que les autres étaient très bien équipés. Quelle blague.

Je devais m'entrainer avec un garçon de ma classe, il avait les cheveux courts bouclés bruns et les yeux bleus océan, peu musclé et agile, mais possédant une forte insurmontable. Je ne faisais qu'esquiver de justesse, sans que je puisse me battre ou attaquer une fois. Bizarrement, je me suis sentis refroidis à un moment, me sentant paralysée. Quelqu'un semblait m'utiliser. Sans que je puisse me contrôler, mes mains se sont mis sur le coté, en serrant de plus fort ma lance, j'avançais rapidement, en frappant mon adversaire sur l'épaule droite, ce qui le fit blesser. Je savais très bien que ce n'était pas moi, mais alors qui m'utilisait? Même si, certes, je ne trouvais pas cela désagréable de se venger...

 

" Kufufufufu~ Très bien. Je continue... "

 

Sans que je puisse reprendre contrôle, je visais mon arme vers mon camarade de classe blessé, visant ma lance vers lui, lui tranchant sa gorge, je le regardais gémir comme une puce, alors qu'il allait mourir. Mais ma foi, ce n'est pas si désagréable... Je me sentais juste... Bizarre. Le sourire m'arrivait, mes yeux fixés sur le cadavre, en riant comme une psychopathe, que faisais-je?

Je ne me souviens plus très bien de ce qu'il se passait ensuite, je sais que j'ai attaqué les autres, de mon pleins gré, étant contrôlé. Il y avait les fenêtres de l'école, donc quand je tuais quelqu'un devant la fenêtre, j'aperçus mon reflet. Mon oeil gauche était rouge, portant un symbole dessus. Un symbole qui signifiait que j'étais contrôlé. Je l'avais bien comprit, mais qui pouvait me faire cela, même si je prenais plaisir à ce que j'entreprenais?

 

" Ohé...Shisho' je m'ennuies... " Se plaignit un garçon aux cheveux verts, accroupit à coté d'un homme aux longs cheveux bleus foncés, l'air souriant.

" Kufufufu... Ferme-la. " Lui répondit l'homme en pointant son arme sur le sorte de chapeau de grenouille du garçon qui est à coté de lui.

" Ah-- "

 

Suite aux meurtres, je retrouvais mon corps, je pouvais enfin bouger comme je le souhaitais. Je lâchais mon arme, en remarquant que j'étais entouré de morts, je ne pus m'empêcher de m'écrouler sur le sol, toute tremblante, je ne savais plus quoi faire. Jusqu'à deux personnes sont allés vers moi, dont un posait doucement sa main sur mon épaule droite, ce qui me fit arrêter de trembler.

 

" Olà, Olà. Ne soit pas aussi effrayée... Ce ne sont que des morts. " Me souffla l'homme aux longs cheveux bleus foncés, attachés.

" Shisho, justement, c'est vous qui les ont tué-- "

" Ferme-la. " Lui coupa t-il en pointant son arme de nouveau sur la tête de grenouille.

" Itai. "

 

Je les regardais, ce duo si ... étrange.

 

" Qui ... êtes-vous? " Interrogeais-je, en levant un de mes cils en l'air.

" Kufufufu. Je suis Mukuro Rokudo... " Me répondit t-il, en riant.

" Fran. " Me lança l'autre, l'air vif d'esprit donc naïf et assez tête en l'air.

" Pourquoi...Me faîtes-vous cela?"

 

Cette question les fit taire. J'ai peur qu'ils me tuent, ils me semblaient tellement criminels...

 

" Je cherche des personnes souhaitant détruire les Vongola, kufufufu... Et il me semble que tu ne les apprécient pas. "

" Et puis c'est la fête ! " Balança bêtement Fran. " --Itai." lâcha t-il après s'être prit un coup de la part de Mukuro.

 

Ils semblaient si drôles. Mais je ne pus m'empêcher de sourire à leur disputes, quand il lui envoyait un regard de tueur tandis que l'autre ne comprenait pas pourquoi. Je me suis mise à rire faiblement, coulant une larme de joie sur mon oeil gauche qui fut possédé. Je restais à terre, puis le nommé Mukuro Rokudo me tendit la main, avec un sourire sensuel. Je pris sa main, m'aidant à me relever. Je m'inclinais devant lui en le remerciant, ce qui le fit étonner.

 

" Pourquoi? "

 

Oui. Pourquoi je fais cela? Parce que je suis une Mafieuse? Pourquoi? D'ailleurs, son nom est connu de l'un des plus criminels, il fut enfermé et...

Mais cela m'importait peu. Je relevais ma tête, décidée.

 

" Prenez-moi avec vous. Je vous jure que je vous aiderais... "

" Ce ne serais pas de refus... Ton nom? "

" ...Ito Musika. Enchanté... "

 

Cette lumière d'espoir rien qu'à moi, est arrivé. Alors pourquoi je me sens aussi étrange?

 

" Kufufufufu...Un corps en plus à posséder. "

 

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Coup de tête sur Mukuro-kun.. *^*

Coup de coeur n°1

Publié le 14/10/2015 à 15:44 par paradise-dreams-musika
Coup de coeur n°1

Holà les amis ! Aujourd'hui je vais vous parler de mon coup de coeur du moment en manga: Que j'ai acheté et conseillé par Sayako-chan et Lily-san qui ont tout les tomes.

NIJIKA ACTRICE DE RÊVE.

° RESUME: °Je m’appelle Nijika Kohinata, j’ai douze ans et je suis en sixième ! Mon père est à la tête d’une agence artistique et ma mère, qui est montée au ciel, était actrice. Mais le monde du spectacle ne m’intéresse pas ! Enfin…c’est ce que je croyais. Je vais bientôt comprendre combien le métier d’actrice est passionnant !

 

Bizarrement, de plus c'est de l'auteur de Kilari. Ce manga est vraiment super bien, j'adore. Puis étrangement, je trouve que Nijika ressemble à (Lily-san) ... Ehe. ^^' Sur ce, il est bien mieux que Kilari à mon goût, mais le dommage, ce que la fin est NOOOON !! On veut une suite! T-T Voilà la fin. 

Avis sur ce manga que vous connaissez (ou pas) ? ^-^'/