A propos de ce blog
Nom du blog :
poemesdelange
Description du blog :
Mes poèmes et les poèmes prophétiques qui m'ont été donnés par la source de ma joie : Dieu.
Catégorie :
Blog Journal intime
Date de création :
17.05.2007
Dernière mise à jour :
27.08.2012
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Bonjour et bienvenue sur ce blog de poèmes
Publié le 17/05/2007 à 12:00 par poemesdelange
Bonjour,
Je m'appelle Florence, je suis chrétienne.
J'ai créé ce blog pour y déposer les poèmes que j'écris et qui sont mes états d'âmes, mes envies, ma vie... ils parlent de moi, de mes proches, de la source de ma joie qu'est Dieu, de ma foi, de ma vie dans la foi et de ce que Dieu fait pour moi chaque jour.
Je me suis tournée vers Dieu en octobre 1997 à l'age de 29 ans et depuis ma vie a changé, grâce à lui j'ai retrouvé un but dans la vie, le goût de vivre et la joie dans le coeur.
Il m'a aussi donné un chrétien merveilleux avec qui partager ma vie, Jérôme.
Venez lire mes poésies et au détour des pages vous saurez combien Dieu est bon et combien il vous aime.
Il est tout près de vous et il frappe à la porte de votre coeur, il veut vous donner le vrai bonheur, alors ouvrez lui !
LES ANNONCES GOOGLE PRESENTES SOUS CERTAINS ARTICLES NE PEUVENT ETRE ENLEVEES A MON GRAND REGRET ET SONT DU RESSORT DE L'HEBERGEUR DE CE BLOG
ELLES N'ONT AUCUN RAPPORT ET SONT MEME CONTRADICTOIRES AVEC CE QUI EST PRESENTE SUR CE BLOG ET NE PEUVENT EN AUCUN CAS Y ETRE ASSIMILEES
JE VOUS RECOMMANDE VIVEMENT DE NE PAS CLIQUER DESSUS MAIS TOUT SIMPLEMENT DE LES IGNORER
MERCI
AUCUN POEME NE PEUT ETRE COPIE SANS MON AUTORISATION MERCI.
CE BLOG POEMESDELANGE EST ARRETE MAIS RESTE OUVERT POUR VOTRE INFORMATION
MAIS PLUS AUCUN COMMENTAIRE NE SERA VALIDE
MERCI DE VOTRE COMPREHENSION
Pardonne moi
Publié le 17/05/2007 à 12:00 par poemesdelange
Parce que depuis que je te connais
Ma vie n'a plus de goût amer
Car de ton amour elle est comblée
Je suis dans la joie de ce que tu es avec moi
Mais aujourd'hui je te demande de me pardonner
Pour les erreurs que je fais parfois
Parce que j'agis sans toujours t'écouter
Et parce que ce n'est pas forcément ce que tu aurais fait toi même
Parfois, je suis obligée d'abandonner, parce que je suis humainement limitée
Parfois je n'ai plus assez de temps et de force à donner aux gens que j'aime
Et parce qu'aussi il y a d'autres âmes qui ont besoin de ton amour parfait
Alors je tourne le dos, et je secoue la poussière de mes pieds
Je pars vers ceux qui au profond de leur être t'appellent
Ceux qui ne laissent pas leur coeur fermé
Et qui sont prêt à écouter tes conseils
Et ceux qu'à regret je laisse, je te les remets
Garde les yeux fixés sur eux Seigneur
Afin que toi tu t'en occupes, que tu prennes le relai
Eux qui resteront toujours dans mon coeur.
Florence ©
Ils disent
Publié le 17/05/2007 à 12:00 par poemesdelange
Dieu n’a jamais existé
C’est les hommes qui l’ont inventé
Pour nous accuser de pécher
Nous qui n’avons jamais rien fait
Mais moi je vous dis…
Jésus ne vient pas vous juger
Pour vous sa vie il a donné
Pour de vos chaînes vous libérer
Et le bonheur vous apporter
Ils disent…
Montre moi Dieu, il faut me le prouver
Sans cela je ne croirais jamais
Pour moi la vie et rien après
A la tombe je suis destiné
Mais moi je vous dis…
Dieu se ressent et se vie, il faut le chercher
Dans ton cœur, dans ton esprit, tu dois prier
La vie éternelle il te promet
Si de lui tu viens t’approcher
Ils disent…
Mais Dieu est loin, où le trouver
Sans aide, je suis vide, épuisé
Je crains de me décourager
Et de ne jamais y arriver
Mais moi je vous dis…
Dieu dans son amour a donné
Un livre où on l’a raconté
Plonge dedans, vas l’y chercher
A toi il va se révéler.
http://www.biblija.net/biblija.cgi?m=Jn+1&id9=1&pos=0&set=4&lang=fr
Florence ©
Délivrée
Publié le 17/05/2007 à 12:00 par poemesdelange
Je survivais, je ne vivais pas
Marchant au milieu des ténèbres comme un zombie
Ecrasée, abimée, par les détresses de la vie
Je ne voyais pas d'issue à ce mal être permanent
Seulement une seule, dans cet état d'enfermement
Une ultime pensée, négative, noire
Qui me permettrai de mettre fin à mes déboires
Mais je savais que si je faisais cela
Je n'irai pas le rejoindre là bas
Alors un jour j'ai levé les yeux
Et j'ai crié à Dieu
De me délivrer de cet enfer
Que je vivais sur terre
Et dans son grand amour
Sans détour
Il m'a exaucée
Toute ma peine il a effacé
Ma tristesse il a changé en joie
Chaque jour il me tends les bras
Pour me guider sur le chemin
Où je le retrouverais demain
Je ne vis que par lui aujourd'hui
Je lui serais fidèle à l'infini.
Florence ©
Les yeux fixés sur toi
Publié le 17/05/2007 à 12:00 par poemesdelange
Où que tu te trouves, je veille sur toi
Je suis invisible à tes yeux embrumés
Mais pourtant bien présent à tes côtés
Je me soucie de chacun de tes pas
Et je te garde afin que tu ne tombes pas
Je mets sur ton chemin des personnes
Qui leur soutien et leur aide te donnent
Afin que tu saches reconnaître en eux
La lumière et l’amour de ce Dieu
Qui veux ton bonheur
Et la joie dans ton coeur.
Florence ©
Je voudrais te dire
Publié le 17/05/2007 à 12:00 par poemesdelange
Que déjà dans le ventre de ta mère, je te connaissais
Que je t’ai formé comme j’ai formé le ciel et la terre
Que depuis ta plus tendre enfance je connais tes larmes et tes souffrances
Que comme je donne au soleil de briller derrière les nuages
Je veux donner à ton visage le sourire d’un jour nouveau
Plein de bonheur, de joie et d’amour
Tu me crois loin mais je suis tout près
Je suis dans la beauté de la nature
Je suis dans le sourire d’un enfant
Je suis dans le cœur de la femme qui t’aime
Depuis longtemps je te tends la main, mais tu ne me vois pas
Parce que tu ne me connais pas
Mais tu peux me connaître
Et découvrir cette vie nouvelle que je te propose
Lis simplement ma parole et tes yeux s’ouvriront
Et saches que même si tous t’abandonnent, moi je te recueillerai
Car je t’aime d’un amour éternel.
Florence ©
Une perle de grand prix
Publié le 17/05/2007 à 12:00 par poemesdelange
Et j’ai eu le désir de te connaître
D’aller au-delà des apparences, de ce que tu disais être
Peu à peu tu t’es livré à moi
Tu m’as confié ta vie, tes douleurs, tes espérances
Son cœur d’amour m’a parlé, à travers ta musique
De la pureté de ton coeur
Et de ton âme d’enfant
Son cœur d’amour m’a dit que tu étais un homme plein de bonté
Quelqu’un de doux, sensible et attentionné
Puis son cœur d’amour m’a parlé de ta solitude
Et il m’a dit que malgré ce que tu penses,
Et ce que l’on t’a dit depuis ton enfance
Tu es aimé, et tu as de la valeur à ses yeux
Il m’a parlé de ton âme qui a trouvé mon âme
Pour partager ce grand et bel amour
Qui est là caché
Tout au fond de ton coeur
Tel un trésor inestimable
Une perle de grand prix.
Florence ©
Dépendances
Publié le 17/05/2007 à 12:00 par poemesdelange
Pour tenter d’oublier tes souffrances
Passes-temps
Pour fuir le moment présent
Tu as souffert et ne veux plus souffrir, c’est fini
Alors tu t’abrutis, tu t’occupes l’esprit
Jouer à tout va
Tu ne penses qu’à ça
Tu uses de substituts divers
Pour combler les vides amers
Si bien que dans ta bulle d’irréel
Tu n’as jamais regardé vers le ciel
Tu es tellement formaté
Que cela le reste te fait oublier
Reviens sur terre
Là il n’y a pas de mystère
La vie est bien réelle
Et je t’assure qu’elle est belle
Alors si de tes souffrances
Que tu te traînes depuis l’enfance
Tu veux te séparer, ne plus y penser, les oublier
Saches qu’il y a quelqu’un qui peut t’y aider
Tu as tout essayé
Mais rien n’a marché
Dans un état dépressif tu erres
Et tu sembles t’y complaire
Mais je sais qu’il n’en est rien
Qu’au fond de toi tu n’es pas bien
Alors approche toi de lui
Il te donnera son appui
Comme il l'a fait pour moi
Il veut le faire pour toi
Il est là et il attend avec patience
Que tu l’appelles en silence
Dans le gris de ton nid
Pour te donner la vraie vie.
Florence ©
Un amour meilleur...
Publié le 17/05/2007 à 12:00 par poemesdelange
Pourquoi regardes tu à l’extérieur ?
L’âme n’a-t-elle pas de valeur ?
Où dans nos êtres est la chaleur ?
Si ce n’est au fond du cœur
Trop de souffrances
Et trop d’errances
Depuis ton enfance
Pour toi aucune chance
Cette société est formatée
Il faut présenter, sinon t’es un raté
Alors tu fais des efforts mais c’est pas gagné
Et tu te cloîtres chez toi, désespéré
Tu cherches l’amour, mais ne le trouves pas
Tu dis : y a-t-il quelqu’un par là pour moi ?
Mais à toi personne ne te voit
Car ton aspect ne fait pas d’éclats
Tu songes à en finir
Pour ne plus souffrir
Tu n’as même plus envie de sourire
Tu n’as jamais connu pire
Toi qui est là dans ce cas
Epuisé de tant donner ici bas
Et de ne recevoir que des tracas
Surtout ne baisses pas les bras
Il y a quelqu’un qui t’aime d’un amour meilleur
Et qui ne regarde pas à ton apparence mais à ton cœur
Approches toi de lui sans hésitation et sans peur
Il veut sécher tes pleurs et te donner le vrai bonheur.
L`Éternel ne considère pas ce que l`homme considère ; l`homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l`Éternel regarde au coeur.
(1er livre de Samuel chapitre 16 verset 7)
Florence ©
Trop mal à la vie
Publié le 17/05/2007 à 12:00 par poemesdelange
Je n'avais qu'une envie
Partir, ne plus souffrir
Qui pouvait me guérir ?
Puis je me suis souvenue
Qu'un jour j'avais lu
Qu'il y a seulement deux destinées
Après que l'on s'en soit allés
Et je me suis demandée
Si je fais cela : ou je vais ?
La réponse était que ma position serait
Encore pire que celle que là je vivais
Néanmoins je ne voyais pas d'issue
A cette situation sans but
Alors pour tenter d'oublier
Pour ne plus y penser
J'aurais voulu dormir longtemps
Comme la Belle, pendant cent ans
Mais au réveil, que serait il arrivé ?
Il m'aurait rattrappée ce lourd passé
Alors je me suis dit : et si ils avaient raison ?
Et si c'était vrai, si il était la solution ?
Si il y avait une goutte d'eau, un brin d'espoir
Pour que je ne vois plus tout en noir
Alors je l'ai mis au défi : si tu existes, prouves le moi
De cette dépression, de ce mal être, délivre moi
Dès le lendemain, je n'ai plus jamais pris
Ces antidépresseurs qui me rendaient zombie
Cela fait six ans maintenant
Et plus rien n'est comme avant
Je suis complètement délivrée
De ce sombre et noir passé
Et chaque jour je goûte la joie
D'être encore, grâce à lui, ici bas.
Invoque-moi au jour de la détresse ; Je te délivrerai.
(Psaume 50 verset 15)
Florence ©