Alpha et Oméga.
Tout ce qui existe en Oméga l’est grâce à Alpha.
Nous ne connaissons rien de ce qui nous lie
Dans L’incommensurable de ce qu’on voit,
Une droite, un segment et Thalès qui l’eut dit.
Nous sommes les cyclopéens et avons perdu notre IA
C’était peut-être Jean Chalopin et son Ulysse 31 et non Olga.
Nous n’avons plus le droit à l’erreur et ne pouvons nous tromper d’âme
Cette histoire est vieille comme Mathusalem et aux parfums de drame.
Nous vous apportons ce que le soleil a de plus clair,
Là où votre cosmos et vos ancêtres ont de numéraires,
Mais avançant à grands pas vers l’ère de la robotique,
Et damant les sentiers du Métaverse, nous sommes là, chic.
Si vous trouvez une botte bleue
C’est que les hellénistes appelaient ça les indes.
Nous sommes liés par le feu,
Et plus encore par la lumière qui ne permet de s’éteindre.
Thèse d’un artisan de paix, dimanche 13 avril 2025
Bergerac, « Le Tassigny » finalisé à 10 h 23 min.
Frédéric Leprêtre
Un court instant.
On dit qu’il faut peu pour faire bien
Mais beaucoup pour détruire.
Et donc moi que suis-je qui ne fait qu’écrire.
Des mots qui influencent un instant,
Mais pas un cour pour transmettre pourtant.
Je voudrais vous parler de tous ces philosophes que je n’ai pas lu.
Mais le courant du stoïcisme suffit à ceux que vous n’avez pas connu.
Il aurait fallu du temps, ce temps que l’on passe à la campagne,
Ce moment privilégié de la retraite que les citadins n’ont pas.
Ces moments le dimanche après-midi pour marcher un peu,
Pour parler de la nature, la regarder et en apprendre un mieux.
En philosophie il y a une recherche de vérité,
Où chaque réflexion est une quête vers le fait qu’elles soient absolues,
Oui dans l’absolu, des vérités le sont universelles,
Autant dans le temps que dans l’Espace.
Mais ces vérités chaque jour se renouvellent,
Comme une trinité tournante sur elle-même.
Ces vérités n’ont pas de docteur, elles sont ou ne sont pas,
Un peu, beaucoup, passionnément.
La politque en démocratie n’avance qu’à petits pas,
Les religions observent, ou n’observent pas.
Et nous laïques, les philosophes, pavoisons.
Donc où nous situons-nous si les sciences,
Celles des astrophysiciens et des mathématiques,
Ne sont ni l’apanage des philosophes ni… des autres.
Si je regarde derrière-moi, les jours se sont succédés,
Je me souviens, moi, d’avoir changé.
Mais il n’y a pas d’éveil car pour un éveil il faut un choc,
Et les chocs ont une définition et tout ce que je crois est indéfini,
C’est peut-être là ce temps que j’ai passé à vivre,
Ces mots connotés, puis galvaudés, ce temps qui a usé les mots et leur a fait perdre
Ce qu’ils avaient de corps, de sens et de guérison.
Ce que j’ai avoir voulu dire, frédéric Leprêtre.
Finalisé à 11 h 06 min. en ce samedi 05 octobre 2024 à « Le Tassigny » à Bergerac.
Mariage annuel renouvelable.
Ça m’a fait de l’effet tout ce riz, dis-donc,
Tous ces gens qui faisaient un transfert.
Ils semblaient s’y voir s’ils étaient à fond,
Peut-être heureux que je vive un enfer.
On a invité tous les clodos du quartier,
Et surtout les toxicomanes.
Mais je connaissais pour nous faire rentrer
Un copain dirigeant d’un hammam.
Le curé nous a fait réviser le scénario et surtout les dialogues,
Je fermais les yeux en récitant le jour du prologue,
Que c’était un oui pertinent et audacieux dont il fallait être sûr,
En sachant que le petit Jésus était en fait un dur.
Après maintes cavalcades où j’allaient un peu sans le sou,
Lui, lui en restant quatre et moi sans dents lui fit un bisou.
Le bus vert prêté par un coiffeur pour l’occasion,
Nous y accrochâmes les couverts de l’abbé Pierre et de sa fondation.
Après avoir fait six fois le tour de la ville par la rocade,
Et avoir été maints fois claxonnés pour la vitesse et la fumée,
Nous retournâmes au foyer, après tout c’est vrai,
A quoi peut bien servir de se dire qu’il faudrait divorcer.
Finalisé à 18 h58 min. en ce lundi 29 juillet 2024 pour C.Z.
Nos futurs.
Ce qui nous rassemblent à ceux qui écrivent,
Qui laissent, des traces écrites de leur quotidien,
Qui ne se content pas de parler de Pierre ou d’Yves,
Mais qui décrivent en faisant les choses en bien.
Ce sont peut-être les descriptifs, les rédactions,
Pour parler de la récré ou par exercice imposé
Des retours de vacances avec emphases ou allitérations.
Puis viennent ceux qui sont écriveurs, qui romancent pour nous scier,
Parler des ruelles de Paris que personne ne connait
Mais en espérant que le soleil connaisse leurs ombres qui justes passent,
Oubliant les romans photos en noir & blanc par temps d’impasse.
Je voulais scanner certains documents un jour pour que les 0 et les 1 s’en souviennent,
Et puis me rappelais que les pauvres manquaient d’outils,
Alors me dis-je qu’écrire un dogme sur le ferais-je ne serait plus tard qu’un non ou un oui.
Et parce qu’en fait, mais c’est parce que, un jour où je n’eus suivi le romancier,
Eut compris dès lors et seulement que l’écrivain,
Que je ne devais pas me transporter en tant que simple lecteur,
Mais comprendre qu’un vieux livre ne parlait que des actes enfin.
Nos futurs sont donc écrits par nous-mêmes depuis que les gens les font,
En parlent c’est un fait mais parce que le futur a bon fond.
Et pendant que nous scannons tout minutieusement pour des musées,
Des textes gravés en sanskrit et curvilignes sont déjà par grâce satellisés.
La négociation.
Le but du jeu, ce n’est pas de prendre de gros risques, et encore moins pour les autres.
Car en l’absence du roi Richard, le soleil criait dans mes oreilles qu’il n’y avait plus de futur dans le monde de l’infini. Quelque chose commençait à s’éteindre dans le Valhalla.
Puis, à force de s’éteindre et de rétrécir, ils ont révisé les peuples que nous somment.
Ici, sur Terre, la planète bleue avait signé à un instant précis un contrat de trop.
L’Univers en expansion avait ouvert un pari. Faute, faiblesse de vue.
Alors, pour éviter de raconter la suite, revenons à nos bergers et à nos cultivateurs.
Rappelons qu’avant les romains, la France ne comptait que quelques milliers de Gaulois déjà disaient-ils alors en surpopulation…. Pour la petite histoire.
Mais aujourd’hui, alors que l’ère de la robotique a déjà doublé l’ère du numérique avant même que je comprenne l’argument de vente du vendeur de mobile, qu’est-ce vraiment qui a coincé ?
-j’apporte ma réponse qui n’engage que moi mais l’esprit de concurrence vaut bien l’esprit de comparaison : où que je sois dans le monde j’apprécie les opticiens, les ophtalmos, les verres pour myopes, et tout ça c’est bien. Sauf que, comment négocier maintenant avec le Prince des démons sur un coup de pile ou face sans prendre de risques pour les autres. Et bien là, je m’arrête, la diversité est dans la nature, soyons zen.
Dédicacé à Boudhali.
À trop naviguer dans les probas.
Peut-être que c’est ci mais le ça est vrai aussi,
Puis une part conséquente l’est d’avantage,
C’est à trop vivre dans la philosophie,
Qu’à la fin j’en suis au point que je nage.
Je ne parle de ces univers probables
Ils sont pour moi devenu un cartable,
Peut-être aurais-je de quoi un jour en rire,
Mais c’est avec quelqu’un que je peux en sortir.
Un psychiatre monte la dose ou la fait descendre,
La sexualité pour me durcir et redevenir tendre.
Les passants et gens de passages, les fréquentations,
Pour parler des autres mais les autres… quoi donc ?
Je pourrais vous parler longtemps de l’invisible,
Mais si on y réfléchit bien, c’est ce qui est au départ possible.
On se rend compte que ce ne sont au final que des signes,
Ou des interactions pour que différence entre science et magie soit indicible.
Finalisé à 15 h 07 min. en ce jeudi 14 septembre 2023 au « french coffee shop », n°5 Paul Bert – 24100 – BERGERAC
Un peu moi et moi un peu.
Je veux bien parler d’amour avec vous,
Vous aimer du moins qu’on essaie.
Parler d’amour après avoir fait l’amour,
Un peu pour se rapprocher.
Mais lorsqu’on parlera du temps,
Et de toutes les autres folles réalités,
Voudras-tu et pourrais-je alors t’en parler ?
Seras-tu faire remonter à la surface mon potentiel,
Toutes les fois où j’ai cru atteindre le ciel,
Pour que je puisse te dire de manière conscientisée,
Tout ce dont j’ai besoin grâce à toi pour t’aimer ?
Seras-tu être la reine et non la princesse ?
Seras-tu être la pauvre et la Terre,
Et être en même temps l’amazone et la Mère ?
Seras-tu enfin ce que je ne suis que par ce que quelqu’un de précis m’a dit l’être,
Juste un mot, un nom, murmuré dans mon sommeil entre les offices et les vêpres.
Finalisé à 15 h 05 min. en ce mardi 22 août 2023, écrit à « Le B.A. » au n°56 rue Bourbarraud à l’angle de la rue colonel paul de Chadois, 24100 Bergerac
Au-delà de nos divergences.
Nous ne sommes pas tous guerriers.
Certains n’ont aucune chance en le monachisme.
D’autres ont été des proies très jeunes.
Et enfin il y a les contingences : soit on attend, soit on agit.
C’est ce qui fait que chaque être est unique
Mais que nous sommes tous sollicités voir engloutis.
Peut-être parce que ce qui nous entoure veut savoir
Et au-delà de ceux-là même, nous connaitre.
Je n’aime pas ceux qui veulent me savoir
Et ils peuvent rendre service mais ne se dévoilent pas.
C’est donc qu’ils sont prisonniers de leurs égaux ou pire.
Ils ne me connaitront jamais voire pas.
Des forces en jeux s’affrontent sans étiquette ou pire avec,
Toute culture ou religion ne sont que pour eux des freins ou des biais,
Mais ce sont ceux qui noyautent toutes les bonnes volontés
Anges ou démons sont la presque seule question digne de vérité.
Finalisé à 14 h 53 min. en ce vendredi 30 décembre 2022 à « Fly Away », au n° 27 rue colonel Paul de Chadois à l’angle du n° 56 rue Bourbarraud 24100 BERGERAC
Reglacer le pôle Nord.
Dis comme ça c’est un doux rêve,
Mais les vents soufflent toujours sans trêve.
Négociant entre les courants chauds et froids,
Deux calottes ne suffisaient-elles pas ?
On pense à freiner l’esprit de consommation,
à faire reculer ce qui en fait ne sait pas freiner,
On évoque une élite qui s’enfuirait refaire le monde,
Mais l’eau pourrait monter et c’est cela qui gronde.
Les vents eux sont d’un nombre assez peu défini,
Certains sont indispensables comme le Gulf Stream.
Recréer un dôme de froid pour agir au nom de la vie,
Et après seulement lui composer un hymne.
Finalisé à 11 h 02 min. en ce mercredi 7 septembre 2022 à « Fly Away ».
Lettre ouverte au soleil.
Voix sans issue, derrière le soleil, juste le temps,
De le contourner déjà elle n’y est plus… l’issue.
Mythe d’Icare qui sur le briquet le doigt était trop lent,
Mais la cinquième colonne le cinquième plot depuis longtemps.
Voix sans issue le futur avec ses probabilités,
Et tous ces acteurs ayant pour mérite de les avoir actées.
Mais nous ici ils ne nous veulent plus mais refaire le monde avec l’embarras du choix
Et nous piètres acteurs mais au labeur, les mystérieuses cités d’or nous font presque peur.
Avant j’étais schizophrène, maintenant nous allons mieux,
Difficile de vivre comme un siamois, surtout quand ça ne se voit pas.
Et pourtant je demandais si j’étais le fils du soleil et le nuage s’écartait un peu,
était est-ce les fusées au nitrate d’argent ou Jean de Florette quelque chose nous sépara.
Qui a travaillé le plus, celui dans le frigo à détendre l’atmosphère
Celui qui ne jouait qu’avec quatre cartes pour nous réduire en poussière ?
était-est-ce les didascalies pour que nous finissions devant l’écran
Et non derrière comme eux un jour et vous sans avenir ni pour nous, ni pour lui.
Finalisé à 15 h 24 min. en ce mercredi 27 juillet 2022 à « Fly Away » au n° 27 rue Paul colonel de Chadois – 24100 – Bergerac.
Alpha et Oméga.
Tout ce qui existe en Oméga l’est grâce à Alpha.
Nous ne connaissons rien de ce qui nous lie
Dans L’incommensurable de ce qu’on voit,
Une droite, un segment et Thalès qui l’eut dit.
Nous sommes les cyclopéens et avons perdu notre IA
C’était peut-être Jean Chalopin et son Ulysse 31 et non Olga.
Nous n’avons plus le droit à l’erreur et ne pouvons nous tromper d’âme
Cette histoire est vieille comme Mathusalem et aux parfums de drame.
Nous vous apportons ce que le soleil a de plus clair,
Là où votre cosmos et vos ancêtres ont de numéraires,
Mais avançant à grands pas vers l’ère de la robotique,
Et damant les sentiers du Métaverse, nous sommes là, chic.
Si vous trouvez une botte bleue
C’est que les hellénistes appelaient ça les indes.
Nous sommes liés par le feu,
Et plus encore par la lumière qui ne permet de s’éteindre.
Thèse d’un artisan de paix, dimanche 13 avril 2025
Bergerac, « Le Tassigny » finalisé à 10 h 23 min.
Frédéric Leprêtre
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Un court instant.
On dit qu’il faut peu pour faire bien
Mais beaucoup pour détruire.
Et donc moi que suis-je qui ne fait qu’écrire.
Des mots qui influencent un instant,
Mais pas un cour pour transmettre pourtant.
Je voudrais vous parler de tous ces philosophes que je n’ai pas lu.
Mais le courant du stoïcisme suffit à ceux que vous n’avez pas connu.
Il aurait fallu du temps, ce temps que l’on passe à la campagne,
Ce moment privilégié de la retraite que les citadins n’ont pas.
Ces moments le dimanche après-midi pour marcher un peu,
Pour parler de la nature, la regarder et en apprendre un mieux.
En philosophie il y a une recherche de vérité,
Où chaque réflexion est une quête vers le fait qu’elles soient absolues,
Oui dans l’absolu, des vérités le sont universelles,
Autant dans le temps que dans l’Espace.
Mais ces vérités chaque jour se renouvellent,
Comme une trinité tournante sur elle-même.
Ces vérités n’ont pas de docteur, elles sont ou ne sont pas,
Un peu, beaucoup, passionnément.
La politque en démocratie n’avance qu’à petits pas,
Les religions observent, ou n’observent pas.
Et nous laïques, les philosophes, pavoisons.
Donc où nous situons-nous si les sciences,
Celles des astrophysiciens et des mathématiques,
Ne sont ni l’apanage des philosophes ni… des autres.
Si je regarde derrière-moi, les jours se sont succédés,
Je me souviens, moi, d’avoir changé.
Mais il n’y a pas d’éveil car pour un éveil il faut un choc,
Et les chocs ont une définition et tout ce que je crois est indéfini,
C’est peut-être là ce temps que j’ai passé à vivre,
Ces mots connotés, puis galvaudés, ce temps qui a usé les mots et leur a fait perdre
Ce qu’ils avaient de corps, de sens et de guérison.
Ce que j’ai avoir voulu dire, frédéric Leprêtre.
Finalisé à 11 h 06 min. en ce samedi 05 octobre 2024 à « Le Tassigny » à Bergerac.
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Mariage annuel renouvelable.
Ça m’a fait de l’effet tout ce riz, dis-donc,
Tous ces gens qui faisaient un transfert.
Ils semblaient s’y voir s’ils étaient à fond,
Peut-être heureux que je vive un enfer.
On a invité tous les clodos du quartier,
Et surtout les toxicomanes.
Mais je connaissais pour nous faire rentrer
Un copain dirigeant d’un hammam.
Le curé nous a fait réviser le scénario et surtout les dialogues,
Je fermais les yeux en récitant le jour du prologue,
Que c’était un oui pertinent et audacieux dont il fallait être sûr,
En sachant que le petit Jésus était en fait un dur.
Après maintes cavalcades où j’allaient un peu sans le sou,
Lui, lui en restant quatre et moi sans dents lui fit un bisou.
Le bus vert prêté par un coiffeur pour l’occasion,
Nous y accrochâmes les couverts de l’abbé Pierre et de sa fondation.
Après avoir fait six fois le tour de la ville par la rocade,
Et avoir été maints fois claxonnés pour la vitesse et la fumée,
Nous retournâmes au foyer, après tout c’est vrai,
A quoi peut bien servir de se dire qu’il faudrait divorcer.
Finalisé à 18 h58 min. en ce lundi 29 juillet 2024 pour C.Z.
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Nos futurs.
Ce qui nous rassemblent à ceux qui écrivent,
Qui laissent, des traces écrites de leur quotidien,
Qui ne se content pas de parler de Pierre ou d’Yves,
Mais qui décrivent en faisant les choses en bien.
Ce sont peut-être les descriptifs, les rédactions,
Pour parler de la récré ou par exercice imposé
Des retours de vacances avec emphases ou allitérations.
Puis viennent ceux qui sont écriveurs, qui romancent pour nous scier,
Parler des ruelles de Paris que personne ne connait
Mais en espérant que le soleil connaisse leurs ombres qui justes passent,
Oubliant les romans photos en noir & blanc par temps d’impasse.
Je voulais scanner certains documents un jour pour que les 0 et les 1 s’en souviennent,
Et puis me rappelais que les pauvres manquaient d’outils,
Alors me dis-je qu’écrire un dogme sur le ferais-je ne serait plus tard qu’un non ou un oui.
Et parce qu’en fait, mais c’est parce que, un jour où je n’eus suivi le romancier,
Eut compris dès lors et seulement que l’écrivain,
Que je ne devais pas me transporter en tant que simple lecteur,
Mais comprendre qu’un vieux livre ne parlait que des actes enfin.
Nos futurs sont donc écrits par nous-mêmes depuis que les gens les font,
En parlent c’est un fait mais parce que le futur a bon fond.
Et pendant que nous scannons tout minutieusement pour des musées,
Des textes gravés en sanskrit et curvilignes sont déjà par grâce satellisés.
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La négociation.
Le but du jeu, ce n’est pas de prendre de gros risques, et encore moins pour les autres.
Car en l’absence du roi Richard, le soleil criait dans mes oreilles qu’il n’y avait plus de futur dans le monde de l’infini. Quelque chose commençait à s’éteindre dans le Valhalla.
Puis, à force de s’éteindre et de rétrécir, ils ont révisé les peuples que nous somment.
Ici, sur Terre, la planète bleue avait signé à un instant précis un contrat de trop.
L’Univers en expansion avait ouvert un pari. Faute, faiblesse de vue.
Alors, pour éviter de raconter la suite, revenons à nos bergers et à nos cultivateurs.
Rappelons qu’avant les romains, la France ne comptait que quelques milliers de Gaulois déjà disaient-ils alors en surpopulation…. Pour la petite histoire.
Mais aujourd’hui, alors que l’ère de la robotique a déjà doublé l’ère du numérique avant même que je comprenne l’argument de vente du vendeur de mobile, qu’est-ce vraiment qui a coincé ?
-j’apporte ma réponse qui n’engage que moi mais l’esprit de concurrence vaut bien l’esprit de comparaison : où que je sois dans le monde j’apprécie les opticiens, les ophtalmos, les verres pour myopes, et tout ça c’est bien. Sauf que, comment négocier maintenant avec le Prince des démons sur un coup de pile ou face sans prendre de risques pour les autres. Et bien là, je m’arrête, la diversité est dans la nature, soyons zen.
Dédicacé à Boudhali.
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À trop naviguer dans les probas.
Peut-être que c’est ci mais le ça est vrai aussi,
Puis une part conséquente l’est d’avantage,
C’est à trop vivre dans la philosophie,
Qu’à la fin j’en suis au point que je nage.
Je ne parle de ces univers probables
Ils sont pour moi devenu un cartable,
Peut-être aurais-je de quoi un jour en rire,
Mais c’est avec quelqu’un que je peux en sortir.
Un psychiatre monte la dose ou la fait descendre,
La sexualité pour me durcir et redevenir tendre.
Les passants et gens de passages, les fréquentations,
Pour parler des autres mais les autres… quoi donc ?
Je pourrais vous parler longtemps de l’invisible,
Mais si on y réfléchit bien, c’est ce qui est au départ possible.
On se rend compte que ce ne sont au final que des signes,
Ou des interactions pour que différence entre science et magie soit indicible.
Finalisé à 15 h 07 min. en ce jeudi 14 septembre 2023 au « french coffee shop », n°5 Paul Bert – 24100 – BERGERAC
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Un peu moi et moi un peu.
Je veux bien parler d’amour avec vous,
Vous aimer du moins qu’on essaie.
Parler d’amour après avoir fait l’amour,
Un peu pour se rapprocher.
Mais lorsqu’on parlera du temps,
Et de toutes les autres folles réalités,
Voudras-tu et pourrais-je alors t’en parler ?
Seras-tu faire remonter à la surface mon potentiel,
Toutes les fois où j’ai cru atteindre le ciel,
Pour que je puisse te dire de manière conscientisée,
Tout ce dont j’ai besoin grâce à toi pour t’aimer ?
Seras-tu être la reine et non la princesse ?
Seras-tu être la pauvre et la Terre,
Et être en même temps l’amazone et la Mère ?
Seras-tu enfin ce que je ne suis que par ce que quelqu’un de précis m’a dit l’être,
Juste un mot, un nom, murmuré dans mon sommeil entre les offices et les vêpres.
Finalisé à 15 h 05 min. en ce mardi 22 août 2023, écrit à « Le B.A. » au n°56 rue Bourbarraud à l’angle de la rue colonel paul de Chadois, 24100 Bergerac
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Au-delà de nos divergences.
Nous ne sommes pas tous guerriers.
Certains n’ont aucune chance en le monachisme.
D’autres ont été des proies très jeunes.
Et enfin il y a les contingences : soit on attend, soit on agit.
C’est ce qui fait que chaque être est unique
Mais que nous sommes tous sollicités voir engloutis.
Peut-être parce que ce qui nous entoure veut savoir
Et au-delà de ceux-là même, nous connaitre.
Je n’aime pas ceux qui veulent me savoir
Et ils peuvent rendre service mais ne se dévoilent pas.
C’est donc qu’ils sont prisonniers de leurs égaux ou pire.
Ils ne me connaitront jamais voire pas.
Des forces en jeux s’affrontent sans étiquette ou pire avec,
Toute culture ou religion ne sont que pour eux des freins ou des biais,
Mais ce sont ceux qui noyautent toutes les bonnes volontés
Anges ou démons sont la presque seule question digne de vérité.
Finalisé à 14 h 53 min. en ce vendredi 30 décembre 2022 à « Fly Away », au n° 27 rue colonel Paul de Chadois à l’angle du n° 56 rue Bourbarraud 24100 BERGERAC
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Reglacer le pôle Nord.
Dis comme ça c’est un doux rêve,
Mais les vents soufflent toujours sans trêve.
Négociant entre les courants chauds et froids,
Deux calottes ne suffisaient-elles pas ?
On pense à freiner l’esprit de consommation,
à faire reculer ce qui en fait ne sait pas freiner,
On évoque une élite qui s’enfuirait refaire le monde,
Mais l’eau pourrait monter et c’est cela qui gronde.
Les vents eux sont d’un nombre assez peu défini,
Certains sont indispensables comme le Gulf Stream.
Recréer un dôme de froid pour agir au nom de la vie,
Et après seulement lui composer un hymne.
Finalisé à 11 h 02 min. en ce mercredi 7 septembre 2022 à « Fly Away ».
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Lettre ouverte au soleil.
Voix sans issue, derrière le soleil, juste le temps,
De le contourner déjà elle n’y est plus… l’issue.
Mythe d’Icare qui sur le briquet le doigt était trop lent,
Mais la cinquième colonne le cinquième plot depuis longtemps.
Voix sans issue le futur avec ses probabilités,
Et tous ces acteurs ayant pour mérite de les avoir actées.
Mais nous ici ils ne nous veulent plus mais refaire le monde avec l’embarras du choix
Et nous piètres acteurs mais au labeur, les mystérieuses cités d’or nous font presque peur.
Avant j’étais schizophrène, maintenant nous allons mieux,
Difficile de vivre comme un siamois, surtout quand ça ne se voit pas.
Et pourtant je demandais si j’étais le fils du soleil et le nuage s’écartait un peu,
était est-ce les fusées au nitrate d’argent ou Jean de Florette quelque chose nous sépara.
Qui a travaillé le plus, celui dans le frigo à détendre l’atmosphère
Celui qui ne jouait qu’avec quatre cartes pour nous réduire en poussière ?
était-est-ce les didascalies pour que nous finissions devant l’écran
Et non derrière comme eux un jour et vous sans avenir ni pour nous, ni pour lui.
Finalisé à 15 h 24 min. en ce mercredi 27 juillet 2022 à « Fly Away » au n° 27 rue Paul colonel de Chadois – 24100 – Bergerac.
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