Romantisme
Romantisme : Idées et rédactions personnelles, qui s'inspirent du passé et versent dans le futur.

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Date de création : 03.10.2006
Dernière mise à jour : 08.01.2012
54 articles


Romantisme triste

Publié le 08/01/2012 à 17:35 par romantisme
Romantisme triste

Comme par Amour :


Quand un sourire se fait voler

Sur les bouches des âmes éperdues

Et le murmure des rires immolés

Jette le froid sur les espoirs vendus


Quand les sentiments se laissent violer

Pour des cris, pleurs ou malentendus

Et les flammes de la douleur voilée

Brûlent le vert et le sec confondus


Les vendanges de la solitude exaltée

Et ses fruits noirs, amers et fendus

Comme des larmes rouges étoilées

Qui brillent sur des rêves encore attendus


Portent des masques plats et irrévélés

Sans sourire tendre ni regard mordu

Qui laisse le cœur fondre ou ébranlé

Dans les âmes des plus tristes individus

Romantisme sensible

Publié le 05/11/2011 à 11:55 par romantisme
Romantisme sensible

Etat de vie :


Dans le grand affairement du quotidien et le contact continué avec la réalité, la tendance à s’oublier soi-même prend des proportions abyssales et la monotonie, comme des mites qui rongent des étoffes, devient le cerveau agitateur, qui présente la mièvrerie des jours inchangés sous un revêtement innommable mais étrangement commun.


La plongée dans des manières d'être de routine, l’activité immuable de la matière grise et la rencontre récurrente des mêmes gens, transforment l’être humaine en des éléments de bois, des machines qui fonctionnent automatiquement. Aussi, tout ce que nous signifions âme-et-cœur devient l’objet de controverses comiques, qui examine la vie sans rien comprendre.

 

Nombreux que nous sommes, nous ne connaissons vraiment pas. Sur une grande place, dans un lieu public ou au coin d’une rue isolée, chacun court dans le souci d’éviter l’autre, ne pas le regarder d’yeux ou le frôler du corps. Nous ne faisons rien d‘autres que de consacrer notre temps à réfléchir religieusement comme un fort joueur et construire des projets utopiques, que nous porterons dans nos coeurs et qui ne se réaliseront peut-être jamais.


Nous sommes entourés de bâtiments gigantesques, destinés à marcher sur des chaussées bitumées et véhiculés par des idées reçues, que nous acceptons volontiers. Nous oublions d’arrêter parfois le temps, pour méditer le ciel bleu et ressentir la chaleur du soleil, qui continuent d’exister parmi ces empêcheurs de joies, qui poussent comme des champignons.


La vie citadine plait par ses lumières éblouissantes et satisfactions factices. Nous courrons plusieurs lièvres à la fois, un tas de rêves sans plus attendre, sans savoir que nous devrions certainement faire des sacrifices et y laisser malheureusement des plumes.

Romantisme du self

Publié le 05/11/2009 à 12:33 par romantisme
Romantisme du self
Qui sommes-nous ?


Les jours passent sans en prendre conscience, et nous nous demandons ce que l’avenir pourrait réserver de coups de théâtre, ce que nous devrions être si demain parcourt son passage ordinaire, qui fait patienter les ambitieux, les assembleurs de nuées et les mendiants de la gloire, et, désenchanter les désespères, les dépossédés de patience et les piégés des espoirs irréalisés.

Nous sommes censés faire partie prenante de cette spirale existentielle, où s’entrechoquent les souvenirs de l’ancien temps et les craintes d’un futur inconnu, que nous créons toutefois selon nos propos intérêts et intentions. Se pourrait-il que nous nous prendrions à nous-mêmes, si nos choix font naufrage et s’échouent sur les rives de la déchéance ? Ou Contenterions-nous d’en faire abstraction, à croire que tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ?

Chacun conceptualise différemment son bonheur ou malheur, dans un système de réflexion relatif, où l’absolu reste une lumière non-éteingnable, pour laquelle nous avons tous des vues. Jamais atteinte de quiconque, nous nous persuadons que l’avoir nous permettrait de ne plus battre de l’aile.

Nous sommes au juste milieu, nous avons donc la possibilité de n’appartenir à aucun champ clos. La solution est de vivre pleinement chaque moment de notre existence, en nous empêchant de nous livrer à des retours sur nous-mêmes, bien que la tentative soit d’extrême complexité, à cause de cette voix intérieure qui nous y appellent sans jamais se lasser, ni fléchir.

Romantisme religieux

Publié le 29/08/2009 à 19:08 par romantisme
Romantisme religieux
Au secours ! :


Ohé ! Monsieur
Avec la tête renversée sur la table
L’œil éteint et humecté de larmes
Alors ! Mon vieux
Quel malheur aurait pu t’atteindre
Pour devenir blême et vide à craindre
Fi ! Soucieux
Tu te demandes quelle fin prendre
Sans savoir que souvent se plaindre
Sous peu ! Les cieux
N’auraient pas d’oreille à tendre
Ni d’ailes, ni d’étreinte à pendre
Boh ! Curieux
Maintes fois tu crois le bonheur aveindre
Ton destin s’emmêle exprès l’enfreindre
Chut ! Mieux
Vaut-il te contenter de peindre
De ton souffle sur les pages de ta vie
Qui ne se lèvent qu’à demi et se plient
Puis se rabattent comme pour te feindre
Ho ! Dieu
Tu devrais tout de suite adjoindre
Sans sa pitié tu ne cesserais de geindre
Ah ! Pieux
Pourquoi ne pas différent poindre
La lumière naîtrait sans jamais s’éteindre
Ouf ! À dieu
Aujourd’hui, ton souvenir, le moindre
S’effacerait et le salut viendrait te ceindre
Délicieux, tant mieux !
Mais sache-le tout pourrait encore se perdre
Il te suffirait de seulement comprendre !

Romantisme perdu

Publié le 26/07/2009 à 11:47 par romantisme
Romantisme perdu
Notre intérieur :

Il nous arrive parfois d’avoir de l’aversion pour la vie et de vouloir attenter un voyage sans destination, et nous traverse également l'esprit des idées d'extrême étrangeté, que nous désirons toutefois réaliser à tout prix.

Nous prenons par la suite conscience qu'il ne s'agit que de certaines sensations maussades, des illusions que nous nous permettons involontairement, pour satisfaire aux caprices d’une âme mange-tout, sans jamais avoir le ventre plein, puisqu’au bout du compte nous rebroussons chemin, à la recherche d'images plus ensoleillées, pour enfin sourire à l'existence que nous avions en horreur autrefois.

L’état d’âme a réellement quelque chose de je-ne-sais-quoi d’énigmatique, une sorte d’omnipotence fascinante, qui agit en maître absolu, malgré sa dépendance à notre propre volonté et son implication des les décisions que nous prenons nous-mêmes. Le sentiment qui véhicule notre attitude, et détermine notre valeur humaine peut être indéfini, à force de présenter des facettes multiples et des contradictions sans fin. C’est pourquoi nous avons parfois l'impression d'être heureux, ou malheureux, sans disposer de raisons explicites, qui puissent entre autres définir notre penchant pour la grande solitude, ou mettre au net les saisissements de joie qui nous envahissent sans prévenir.

Il existe sans doute une force supérieure, qui commande à notre subconscient, au niveau du quel nos pensées les plus vertueuses, ouvrent les yeux, pour se soumettre sans attendre au traitement manipulatif de notre cerveau.

Romantisme irréel

Publié le 18/02/2009 à 12:00 par romantisme
Romantisme irréel
Comme avant :


À travers les sanglots des murs imaginés
Et la mélodie moelleuse que la poussière
Qui, pour surfaire les sentiers abandonnés
Les ensable zélée de précieuses pierres

Et sur les romances une fois chansonnées
Qui parlent vaniteuses de hautes portières
Et de flammes brûlant aux bouts éloignés
Où les portes ne s’ouvrent qu’aux plus fiers

Il existe un ciel bas s'épanouissant carminé
Ainsi qu'une fleur enveloppée toute entière
Dans un manteau tissé de pétales satinées
Comme pour préserver ses parfums d’hier !

Puis, l'ôte et s'habille d'un autre efféminé
Qui, sous ses formes, le temps se fait taire
Et à la place de tourner les talons inopiné
ou aller clopin-clopant, il fait machine arrière !

Le bonheur et le malheur ensemble combinés
Et l'ennui, comme la chair-de-poule s'affairent
A ramener toutes les choses, qui sont innées
En emportant les désirs sur des contrées chères !

Romantisme inquisiteur

Publié le 28/12/2008 à 12:00 par romantisme
Romantisme inquisiteur
Une simple question :

La préoccupation la plus récurrente chez les gens investigateurs, qui se refusent au rôle de spectateur des événements du monde est, directement la question afférente à la compréhensibilité de notre vie, qui se pose en tant qu’une problématique intellective, dont la résolution demeure souvent une proposition énigmatique ou partiellement concevable.

Il est absolument naturel de vouloir percer le mystère de cette existence que nous croyons façonner, et qui agit comme étant une matière vivante et autonome, en présentant des indications maigres sur sa nature et des explications que personne n’est capable de comprendre complètement.

Si nous essayons d’établir un rapprochement pragmatique, nous opterons certainement pour l’exemple d’un roman historique, avec toutes ses composantes communes, qui structurent son unité et canalisent son déroulement. Dans les deux exemples, nous avons la possibilité de découvrir des histoires différentes, au cours desquelles, et au fur et à mesure, se produisent des événements devinables, et surviennent des péripéties imprévisibles.

L’avantage avec le texte écrit, est que nous avons la chance de sauter les pages, si nous désirons avoir des informations ultérieures. Mais celui de la vie se contente seulement d’émettre des signaux indéfinis, qui donnent du fil à retordre aux personnes qui cherchent à remettre leur vécu en question, ou à avoir connaissance de leur destin dans un futur proche. Telle est en toute simplicité la différence entre ce que nous créons, et ce que nous subissons.

Il semble que les signes que nous recevons et interprétons d’une manière ou d’une autre, sans parvenir à gérer leurs significations, ou mesurer leurs valeurs thématiques, relèvent à la fois du jeu sérieux et drôle, duquel nous sortons perdants ou gagnants, selon notre capacité de manipulation, pour ne pas dire notre expérience acquise à la confrontation des bonnes et mauvaises passes de la vie. Cela veut dire que la difficulté de déchiffrement est relative à l’objectif de divertissement, que la volonté de mieux acheminer nos préférences et nos choix provoque forcément.

Enfin, il est burlesque d’en faire partie intégrante, parce que malgré tout ce que nous vivons ou choisissons, et les choses pour lesquelles nous pleurons ou jubilons, à la fin de notre vie, nous nous rendons compte que nous n’avions eu qu’un seul parcours, étant favorable pour les chanceux, et défavorable, pour les malchanceux.

Romantisme rêveur

Publié le 10/11/2008 à 12:00 par romantisme
Romantisme rêveur
Le souffle de la vie :


Aux trousses d’aurores poignant tel un timide
Et d’haleines froides que fume le sol très humide
Elle revient toujours sur la pointe de ses pieds algides
Et traverse piano les lueurs rosées de son manteau vide

Pour présenter le même spectacle très rapide
Qui porte des frissons dans son mouvement torride
Ou, peut-être, pour ressembler à des petits rats intrépides
Qui retracent à leur passage, dans les airs, d’agréables rides

Et aller jusqu’aux confins de la terre sans bride
En se servant du soleil pointant à l’horizon de guide
Pour détourner les rivières, et effacer les rideaux languides
Qui empêchent d’avancer, et font trépigner à chaque pas valide

Dans la course vers les terrains de blé placides
Où les fleurs s’épanouissent exprès toutes splendides
Pour dessiner sur les cieux bleus de leur couleur translucide
En cercles jaunes des soleils, et lits blancs des nuages limpides


Romantisme erratique

Publié le 12/10/2008 à 12:00 par romantisme
Romantisme erratique
Une plume perdue :

À travers la clarté limpide de la lumière
Qui tombe d'emblée du vaste firmament bleu
À la manière d’une ribambelle de bulles fort claires
Qui s’éclate en flammes, comme pour exaucer des vœux

Et à la discrétion d’une brise, peut-être, la dernière
Qui glisse sous les plis courbes du silence soyeux
Humecte en douce sa chevelure versée vers l’arrière
Et effleure son visage levé, comme pour appeler Dieu

Elle perçoit une plume descendre mollo vers la terre
Celle, qu’elle n’aie vue, dans toute sa vie, que si peu
Elle papillonne lestement à l’air comme une bannière
De manière à assolir discrètement dans le cœur de ceux,

Qui cherchent confiants une espérance pour défaire
Le nœud bien resserré d’une existence sans aveu
et abandonner ainsi la peau de la solitude amère
Qui déchire cruellement les images du passé vieux

Romantisme pacifiste

Publié le 27/09/2008 à 12:00 par romantisme
Romantisme pacifiste
La fraternité :


Nous nous posons toujours des questions sur l’origine des rapports conflictuels entre les êtres humains, et nous nous étonnons sur leurs discordes continues, sans pouvoir expliquer pourquoi certains critères différentiels, à savoir les apanages sociaux et les propriétés physiques, soient susceptibles d’imprégner irrationnellement l’opinion publique, en apportant des altérations radicales à son diapason démagogique, jusqu’à discréditer ses acquisitions déontologiques.

Il paraît que toutes les opinions concernant les disproportions hiérarchiques entre les individus soient la production personnalisée de certaines idées reçues, voire une pédagogie irréfléchie. Il suffit de vivre au sein d’une famille étrangère, ou de fréquenter des personnes issues de cultures différentes, pour comprendre que les différences que nous engageons collectivement dans la composition des définitions identitaires, sont, sans aucun doute, caduques, et qu’en dépit des apparences présentées, nous sommes semblables dans une conception universelle.

Quelques fois, l'acceptation spontanée des rapports de distinction que nous essayons d’établir forcément, pourrait même transgresser les capacités de compréhension de notre esprit, et enfreindre notre dialectique instinctive. Toutefois, la simple observation de notre société donne lieu de se rendre compte des éléments naturels, qui suscitent ce genre de différenciations humaines, comme les acquis culturels et le pouvoir professionnel. Par conséquent, l’objectif est de déterminer un terrain d’entente entre les générations éloignées, sans que la différence raciale puisse provoquer des hostilités et d’esprits de revanche, plutôt qu’éradiquer définitivement ce fléau comminatoire.

Malgré tous les efforts politiques proposés, pour que les espèces humaines vivent dans des environnements séparés, toutes les solutions entreprises ont échoué d’établir ce genre de projet indépendantiste, puisque nous voyons, aujourd’hui, des nationalités diverses cohabiter dans une concorde réciproque, et se lier sous l’influence de l’esprit d’une fraternité solide, loin de toutes tendances ethniques.

L'espoir repose sur l'existence de plus de dispositions pacifiques, et que les habitants du monde puissent comprendre que l'agressivité n’aboutit nulle part, et que nous pouvons également nous entendre dans la mécompréhension, que dans la confraternité, étant donné que pour chaque problème il y a une solution à portée de main.