Var-Matin du 9 juin 2016.

Bah alors Luc ? On parle encore en mal de la commune de Roquebrune sur Argens... Un véritable acharnement ! Ou disons un manque de chance indéniable ! Sur une commune "dynamisée, embellie, qui existe à nouveau, attire, et est même jalousée", comme vous le disiez récemment dans votre magnifique brochure sur papier glacé "15 ans, Fier du travail accompli".  L'article du journal nous explique donc qu'il s'agit en quelque sorte d'un  gros fait divers environnemental, impliquant  deux couples demeurant à Roquebrune et à Montauroux, dont un homme au lourd passif judiciaire. Mais qu'on se le dise, on ne peut pas raisonnablement penser, bien évidemment, que Luc Jousse, Jean-Paul Ollivier, ou Paul Heim, voire Francesco Lio, aient été au courant de cet affreux trafic de déverse illégale de déchets. Bah alors, une évidence !!!

La Tribune de Roquebrune sur Argens (n° 1).

Var-Matin du 14 mai 2016.

Indemnité parlementaire de base : 5514,68 € (source : www.senat.fr)...

Nice-Matin du 11 octobre 1989.

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Var-matin du 2 avril 2016.

Inutile et coûteux, c'est bien sûr l'avis de Luc Jousse à propos du Smiddev...

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à propos du Parage, nom du quartier médiéval des Arcs-sur-Argens.

Var-Matin du 3 mars 2016.

Décidément Luc Jousse continue à nous faire rire ; celui-ci s'accroche obstinément à toutes les bouées de passage, la haine contre son ex- grand ami Georges Ginesta en faisant bien évidemment partie. On a et on a eu les amis que l'on mérite, mon cher Luc, comme beaucoup de ceux qui vous entourent aujourd'hui, s'accrochant fermement à vos basques et à votre influence protectrice, pour n'en pas perdre une miette, n'est-ce pas ? Et puis hier, c'était hier ; aujourd'hui, ce serait plutôt David...

" Vous faites mentir les miroirs, vous êtes puissants au point de vous refléter tels que vous êtes, cravatés, envisonnés, empapaoutés de morgue et d'ennui, dans l'eau verte qui descend des montagnes, et que vous vous êtes arrangés pour soumettre, à un point donné, à heure fixe, pour vos narcissiques partouzes ; vous vous regardez et vous ne pouvez même plus vous reconnaître, tellement vous êtes beaux. Et vous comptez vos sous..."

Léo Ferré.

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Nice-Matin du 15 décembre 1996.

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