Gerhard Plattner est un autrichien spécialisé dans la conduite économique. Depuis de nombreuses années, il s’évertue à démontrer que l’on peut consommer encore moins que les données constructeurs.

Son dernier exploit en date est celui d’avoir parcouru 2006 kilomètres avec seulement 45 litres de carburant,au volant d’une Skoda Fabia 1.2 TDi Greenline de 75 chevaux.

Ce nouveau record nous porte à une consommation seulement 2,2 litres/100 km, prouvant au passage que le TDI à la sauce downsizing est bien la solution la plus “propre” du moment…

Mais c’est une suite logique puisque le même Gerhard avait déjà établi un record presque similaire avec 2,34 litres/100 km au volant d’une Seat Ibiza Ecomotive. Normal me direz vous ce sont les même motorisations.

C’est un gain de plus d’un litre d’économiser aux 100 kms si l’on se réfère aux données techniques du constructeur 3,4 l/100 km, ce chiffre est aussi atteint grâce aux systèmes Start&Stop avec récupération d’énergie au freinage.

Malgré tout, nous devons un peu relativiser aussi ce chiffrequi a été obtenu que grâce à un roulage uniquement réalisé sur autoroutes entre l’Autriche et le Danemark et sans doute à allure plus que modeste.

Nous sommes donc assez loin des cycles mixtes de calcul des consommations moyennes employées par les constructeurs.

La Porsche 911 a beau arriver en fin de vie, avec sa remplaçante attendue à l’automne, le constructeur continue à multiplier et à décliner les versions. Voici à présent la variante 4 roues motrices de la GTS, la Carrera 4 GTS, qui pour faire bonne mesure est proposée en coupé ou en cabriolet.

Dévoilée au dernier salon de Paris, la Carrera GTS se positionne en intermédiaire entre la S et la GT3. L’adoption de deux roues motrices ne change pas la donne, et on retrouve le Flat6 3,8l poussé à 408 ch et 320Nm, toujours disponibles avec la boîte manuelle 6 rapports ou la boîte double-embrayage, elle aussi à 6 rapports, PDK. Deux roues motrices de plus, cela sous entend bien entendu un poids supplémentaire, et une petite perte en performances. Une parte limitée, puisque la Carrera4 GTS avec la boîte PDK annonce 4?4 sur l’épreuve du 0 à 100, soit deux petits dixièmes de plus que la version propulsion. La boîte manuelle demande deux dixièmes de plus, et le cabriolet deux  dixième également.

La GTS ayant repris les ailes et la voie arrière élargies des modèles à transmission intégrale, la Carrera 4 GTS se deveit de trouver un moyen de se distinguer des autres GTS… Elle conserve donc son bandeau arrière entre les feux, qui reste l’apanage des versions 4 roues motrices. Pour le reste, les détails stylistiques et les équipements sont identiques à ceux de la GTS, et le tarif est annoncé à 113.538€ en France pour le coupé, et 123.704 pour le cabriolet. A titre de comparaison, la Carrera GTS est facturée 106.481€ et le cabriolet 116.647€. Soit 7.357€ de supplément pour le passage à 4 roues motrices.

Avec ces deux nouvelles variantes, la gamme 911 comporte à présent pas moins de 22 versions (sans compter les édition limitées) : Carrera, Carrera Cabriolet, Carrera S, Carrera S Cabriolet, Carrera 4, Carrera 4 Cabriolet, Carrera 4S, Carrera 4S Cabriolet, Targa 4, Targa 4S, Carrera GTS, Carrera GTS Cabriolet, Carrera 4 GTS, Carrera 4 GTS Cabrriolet, Turbo, Turbo Cabriolet, Turbo S, Turbo S Cabriolet, GT3, GT3 RS, GT2, Speedster.

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Début de saison parfait pour Red Bull et Sebastian Vettel qui s’impose au grand prix de Malaisie après la manche inaugurale disputée en Australie. Malgré un souci de Kers qui handicapait le champion du monde de pas moins de 0.8 seconde au tour, sa monoplace lui a quand même permis de tenir tête à la McLaren de Lewis Hamilton. Cela en dit long sur les qualités de la monoplace franco-autrichienne…

Second, Jenson Button doit cette place sur le podium à sa conduite tout en douceur qui épargne ses pneumatiques, dont la dégradation sur ce circuit était très rapide. Troisième, Nick Heidfeld confirme que l’écurie Lotus-Renault est bien la troisième force de ce championnat d’autant que les Ferrari ont beaucoup souffert, malgré la belle performance de Fernando Alonso, parvenu un temps à se hisser en troisième position.

Malheureusement pour la Scuderia, le pilote espagnol verra rouge lorsqu’il attaquera son vieil ennemi intime, Lewis Hamilton, et le percutera à l’arrière, endommageant son aileron avant. Le passage au stand condamnera le pilote espagnol à la sixième place finale. Les deux pilotes seront d’ailleurs conjointement pénalisés pour cette manoeuvre, le britannique perdant une place au classement général.

Les Mercedes, en plus d’être de moins en moins rapides, ont été engluées dans le trafic et incapables de s’en sortir, ce qui devient franchement inquiétants… Michael Schumacher se classe péniblement neuvième et Rosberg est en dehors des points en se classant seulement douzième. Ce n’est rien de dire qu’il y a déjà le feu à la maison Mercedes ! Le classement final de la course est à la suite, ainsi que quelques photos.

1. Sebastian Vettel, Red Bull-Renault
2. Jenson Button, McLaren-Mercedes, à 3.2 secondes
3. Nick Heidfeld, Lotus Renault, à 25 secondes
4. Mark Webber, Red Bull-Renault, à 26.3 secondes
5. Felipe Massa, Ferrari, à 36.9 secondes
6. Fernando Alonso, Ferrari, à 37.2 secondes
7. Lewis Hamilton, McLaren-Mercedes, à 49.9 secondes
8. Kamui Kobayashi, Sauber-Mercedes, à 66.4 secondes
9. Michael Schumacher, Mercedes, à 84.8 secondes
10. Paul Di Resta,Force India-Merdedes, à 94 secondes
11. Nico Rosberg, Mercedes, à 1 tour
12. Sebastien Buemi, Toro Rosso-Ferrari, à 1 tour
13. Jaime Alguersuari, Toro Rosso-Ferrari, à 1 tour
14. Adrian Sutil, Force India-Mercedes, à 1 tour
15. Heikki Kovalainen, Team Lotus-Renault, à 1 tour
16. Timo Glock, Marussia Virgin-Cosworth, à 2 tours

Kimi Raïkkönen a tiré un trait définitif sur la F1, il ne cesse de le marteler à chaque fois que la rumeur annonce son retour dans la discipline qui l’a consacré en 2007. Désormais, les yeux du Finlandais devraient se tourner vers les Etats-Unis où il envisage de piloter en Nascar.

Selon le journal Turun Sanomat, Kimi Raïkkönen négocierait avec Foster Gillett, ancien responsable du Richard Petty Motorsports, pour créer une nouvelle équipe en Nascar Truck Series. Le but avoué de l’actuel pilote de la DS3 WRC est d’intégrer à terme la prestigieuse Sprint Cup où il retrouverait Juan-Pablo Montoya, son ancien co-équipier chez McLaren.

« J’ai vraiment hâte de me familiariser avec le monde du Nascar » a déclaré l’ex-pilote Ferrari au journal finlandais. « Je suis ce championnat depuis longtemps. Je sais que c’est une série très difficile et extrêmement compétitive. J’aime l’esprit de la course automobile américaine. Je serai très heureux d’en faire partie. Bien entendu ce sera difficile mais aussi très amusant pour moi. »

La Nissan GT-R a établi une nouvelle marque sur le Nurburgring en 7 minute, 24 secondes et 22 centièmes. C’est 2 secondes de mieux que son précédent temps réalisé en 2007.

2 secondes de gagnées donc grâce à l’augmentation de puissance et de couple de la nouvelle génration, le moteur est passé de 485 à 530 ch et le couple de 588 à 612 Nm.

Voilà qui repousse encore un peu plus loin Porsche (à niveau de puissance équivalent) qui ne tardera pas à répliquer avec la nouvelle 911. Le duel est relancé !

Comme à l’accoutumée, Sebastian Vettel a remporté la pole position lors des qualifications du Grand Prix d’Australie de Formule 1. Avec un temps de 1:23.529, il devance Lewis Hamilton de 8 dixièmes, pris en sandwich entre deux Red Bull Renault puisque Mark Webber a signé le 3è temps, devant Jenson Button. Confirmation donc des essais libres, les McLaren et Red Bull dominent.

Fernando Alonso, très performant en essais, se contente d’une 5è place sur la grille, devant un étonnant Vitaly Petrov, 6è, au volant de la Lotus Renault R31. Quant à son coéquipier, Nick Heidfeld, il est débarqué en 18è position, « J’ai connu un problème avec le KERS », explique-t-il, « après, je me suis retrouvé piégé dans un trafic dense ».

Autre bonne surprise , le prodige Kamui Kobayashi, qui à abord de sa Sauber a arraché sa place en Q3 et pris le 9è temps, à seulement 30 millièmes de la Ferrari de Felipe Massa ! Le coéquipier du japonais, Sergio Perez, débutant en F1, se classe à une honorable 13è place. Autres débutants, Pastor Maldonado sur Williams décroche le 15è chrono, tandis que le belge Jérôme d’Ambrosio ne tire pas profit de sa Virgin, seulement 22è.

Deux exclus pour ce premier Grand Prix de Formule 1 de la saison 2011, les pilotes HRT, que sont Vitantonio Liuzzi et Narain Karthikeyan, n’ont pu se qualifier, car leur temps étant supérieur à 107% de celui de la pole position. Cela s’explique pas des préparations retardées, les monoplaces n’ayant quasi pas roulé avant ces qualifications.

Rendez-vous demain pour la course, et les résultats du GP.

Qualifications et grille de départ du Grand Prix d’Australie de F1 2011 :

1. Sebastian Vettel, Red Bull-Renault, 1:23.529
2. Lewis Hamilton, McLaren-Mercedes, 1:24.307
3. Mark Webber, Red Bull-Renault, 1:24.395
4. Jenson Button, McLaren-Mercedes, 1:24.779
5. Fernando Alonso, Ferrari, 1:24.974
6. Vitaly Petrov, Lotus Renault GP, 1:25.247
7. Nico Rosberg, Mercedes GP, 1:25.421
8. Felipe Massa, Ferrari, 1:25.599
9. Kamui Kobayashi, Sauber-Ferrari, 1:25.626
10. Sebastien Buemi, Toro Rosso-Ferrari, 1:27.066
11. Michael Schumacher, Mercedes GP , 1:25.971
12. Jaime Alguersuari, Toro Rosso-Ferrari, 1:26.103
13. Sergio Perez, Sauber-Ferrari, 1:26.108
14. Paul di Resta, Force India-Mercedes, 1:26.739
15. Pastor Maldonado, Williams-Cosworth, 1:26.768
16. Adrian Sutil, Force India-Mercedes, 1:31.407
17. Rubens Barrichello, Williams-Cosworth, 1:26.270
18. Nick Heidfeld, Lotus Renault GP, 1:27.239
19. Heikki Kovalainen, Lotus-Renault, 1:29.254
20. Jarno Trulli, Lotus-Renault, 1:29.342
21. Timo Glock, Virgin-Cosworth, 1:29.858
22. Jerome d’Ambrosio, Virgin-Cosworth, 1:30.822
23. Vitantonio Liuzzi, HRT-Cosworth, 1:32.978
24. Narain Karthikeyan, HRT-Cosworth, 1:34.293

Source  : Endurance Info

Première manche du “nouveau” championnat du monde d’endurance se déroulant sur le mythique circuit de Sebring, et première confrontation entre Audi et Peugeot, la 908 succédant à la… 908 chez Peugeot mais Audi n’avait pas amené sa nouvelle R18 et se contentait de la R15.

C’est pourtant une ancienne 908 qui s’impose et ce n’est pas celle engagée par Peugeot mais par l’écurie Oreca.

Cette 908 avait même gagné la course l’année passée ! Audi ne fait pas mieux que quatrième et cinquième tandis qu’une HPD ARX prend la seconde position, ce qui est significatif car ce proto est à moteur essence et prouve qu’avec le nouveau règlement, les moteurs à essence ont à nouveau leur mot à dire…

A noter que la première voiture dite de tourisme termine en dixième position, il s’agit d’une BMW M3 GT.

A vos cahiers de notes ! Pirelli, devenu manufacturier unique de la Formule 1 vient de révéler les six couleurs qui permettront d’identifier le type de gomme choisi par tel ou tel pilote à chaque instant de la course. Ce code couleur est bien plus complexe que celui adopté l’an passé par Bridgestone et il faudra probablement quelques Grands Prix avant de l’assimiler.

Ainsi, les pneus à logo argent seront les « dur », les « médium » seront blanc, les « tendre » jaune, les « super-tendre » rouge, les « pluie » orange et les « intermédiaire » bleu.

Pour les trois premières épreuves disputées en Australie, Malaisie et en Chine, seuls les pneus durs et tendres seront proposés aux pilotes.

Paul Hembery, directeur de Pirelli Motorsport, a commenté ce nouveau dispositif: « Nous sommes très excités d’effectuer notre retour dans la discipline pour la première fois depuis 20 ans, et nous avons l’intention d’être un partenaire proactif et coloré en Formule 1. Donc, quelle meilleure manière pour symboliser cela qu’une sélection de couleurs vives de logos Pirelli sur les flancs ? Cela permettra aux spectateurs et téléspectateurs de savoir en un coup d’œil qui est sur quel composé, ce qui sera une connaissance importante car les pneus vont jouer un rôle clé dans la stratégie de course cette année. »

Pas de nouvelle Mercedes sans version AMG et le récent coupé Classe C ne fera pas exception à la règle. Et la division sportive de Mercedes n’a pas fait les choses à moitié puisque, outre la carrosserie sérieusement virilisée, le capot abrite un V8 de 6.2 litres atmosphérique de 457 ch qui peuvent même être 487 grâce au montage d’un kit performance.

Bouclier avant percé de grosses prises d’air, capot nervuré, poupe dotée de quatre sorties d’échappement, diffuseur, becquet, volant à méplats, sièges baquet, couleurs vives et carbone dans l’habitacle, telle est la panoplie de ce “petit” coupé Mercedes. Sans parler de la finition, impeccable. Heureusement vu le prix de l’engin me direz-vous !

Le 0 à 100 km/h est descendu en 4.5 secondes, entre autre grâce à la cavalerie mais aussi à la boîte de vitesses automatique MCT. Le tarif n’a pas encore été révélé mais on peut s’attendre à ce qu’il soit aussi musclé que la voiture…

En vente (presque libre) à partir de 73 000€ auxquels il faudra ajouter 7 150€ pour la pack Performance.