Chacun de mes déplacements professionnels suit désormais un rituel immuable : quelques annonces postées sur des sites de rencontre en y joignant mon numéro WhatsApp, et mes soirées se retrouvent agrémentées de rencontres aussi brèves qu’intenses. Des hommes de tous âges, de toutes origines, aux désirs aussi variés que leurs corps. Certains me glissent des adresses, des coins discrets pour des parties fines en plein air ; d’autres, plus audacieux, me proposent des plans à plusieurs.
Comme ce soir-là, dans ma chambre d’hôtel Lilloise.
Un Black africain, imposant et bien monté, m’a d’abord prise avec une brutalité calculée. Sa queue a envahi ma bouche, puis ma chatte, avant de déverser son foutre chaud en poussant des râles rauques. « Je reviens plus tard avec des potes », m’a-t-il soufflé en se rhabillant, « Ils vont kiffer te baiser, sale pute. ». J’étais flattée par sa proposition mais à l’hôtel je reçois un mec après l’autre dans ma chambre, question de sécurité et de discrétion et cela je n’en dérogerais pas.
C’est ainsi que pendant mes déplacements Lillois qui ont suivis, un rituel s’était engagé avec lui.
Il arrivait avec un pote qui patientait en voiture. Il montait le premier, me baisait la bouche en gorge profonde avant de me retourner comme une crêpe et de m’enculer sans préambule avec sa queue bien raide. Il me défonçait pendant une bonne dizaine de minutes puis se contractait et déversait tout son foutre au fond de ma chatte. Il partait alors, laissant la porte entrebâillée… et son pote black lui aussi prenait le relais, me trouvant à quatre pattes au bord du lit, le cul tendu, pour me défoncer en pataugeant dans le sperme de son pote, puis se contracter et jouir à son tour.
Mais ce soir-là, après un passage en début de soirée, il me prévient que ce soir ce sera différent. Je vais revenir te chercher plus tard pour t’emmener sur un parking à quelques kilomètres au sud de Lille.
Comme j’avais lié un certain lien de complicité avec lui, j’acceptais sa proposition.
Toute la soirée, pendant que d’autres hommes venaient se soulager en moi en plans rapides comme j’aime, sans blabla, je ne pensais qu’à ça. J’adore ces moments où je ne suis plus qu’un trou à bites, mais quand c’est orchestré par quelqu’un qui sait y faire, ça me met encore plus en confiance.
Peu avant minuit, il m’appelle et me dit : « Je t’attends dans la voiture en bas ».
J’étais prête, j’ai enfilé mon manteau par-dessus ma tenue de pute, guêpière en dentelle, bas résille et talons hauts, rien d’autre et l’ai rejoint. Pendant le trajet, il m’a doigté tandis que je palpais sa queue déjà dure sous son jogging. Nous passons Seclin et nous voici arrivé en lisière d’une forêt ou trois voitures sont garées sur le parking.
Il me dit : « Laisse ton manteau et ton sac dans la voiture et va te mettre à 4 pattes, cul tendu sur la deuxième table de pique-nique là-bas ».
Mon excitation est intense et j’obéis rapidement. Il reste dans la voiture à observer.
J’entends plusieurs portes de voiture se claquer et deviner des silhouettes s’approcher de moi. Rapidement un gland se positionne contre l’entrée de ma chatte. Je sens que la queue est bien dure mais peu importe je suis déjà bien ouverte et lubrifiée par les exploits de la soirée. Elle pousse et me pénètre sans difficulté, pataugeant dans tout le foutre déjà pris dans la soirée. L’homme derrière moi m’encule fort maintenant.
Un autre homme vient d’arriver. Il me présente sa queue à sucer. L’homme qui m’encule lui dit : « Attends, je vais te donner la place » et au bout de 3 minutes, il se contracte et me féconde. Humm, j’adore ce moment.
Il ressort et se met en retrait. L’autre en profite pour se positionner derrière moi et m’annonce qu’il va tout tasser. Il rentre sa queue et commence à m’enculer avec fougue. J’aperçois dans la nuit quasi noire qu’il y a 2 ou 3 mecs autour de nous la bite à la main. Tout en me prenant, il me fait faire un quart de tour sur la table de pique-nique et je me retrouve avec une nouvelle queue dans la bouche. Je m’applique à bien la sucer. L’homme derrière moi gémit et jouit dans ma chatte qui ne restera pas longtemps inoccupée. Celui que je suce, lâche la sauce à son tour dans ma bouche de pute, j’avale tout. Mon dernier baiseur ressort sa queue de ma chatte et se finira en faciale. Et là je reconnais la voix de l’homme qui m’a amené ici dire « J’ai vu que ça t’a plus, grosse pute ». Je lui réponds « Oui, j’ai adoré tes potes ». Il me répond : « Maintenant ne bouge pas je vais tout tasser ». Et comme en début de soirée à l’hôtel je sens cette queue bien raide patauger dans mon cul et le foutre qui s’y échappe en coulant le long de mes cuisses inondant la table de pique-nique. Au bout de trois minutes à m’enculer il se raidit et me féconde une dernière fois de son foutre chaud se mêlant à celui des autres dans mon cul béant.
Avant de remonter dans la voiture, je prends dans mon sac un plug prévu dans ce genre de situation et le place entre mes fesses en guise de bouchon pour limiter les fuites pendant le trajet du retour à l’hôtel de mon cul complétement souillé de foutre.
Mon manteau cachait les traces de la soirée, mais pas le sourire de satisfaction sur mes lèvres. Quelle soirée !!!
Demain matin au travail personne ne devinera qu’hier soir, j’étais à quatre pattes sur une table de pique-nique en train de me faire remplir comme une chienne en chaleur.