Elle déteste être au centre de l’attention. À l’approche du sacre de Charles III, la reine a besoin des siens pour résister à la pression
Rodée aux impératifs du protocole, elle a vécu les tumultes de la famille royale pendant plus de quarante ans
C’est un beau roman, mais c’est surtout une longue histoire typique de l’aristocratie. Un tout petit milieu avec lequel les Windsor se sentent autorisés à jouer au polo ou siroter du porto. La future reine n’est encore qu’une jeune fille quand le prince Charles veut lui demander sa main. Elle en frémit : « Pourquoi irais-je vivre dans un aquarium ? Non merci. » Elle lui préfère alors un bel officier, Andrew Parker Bowles. Il la trompera abondamment ; elle lui rendra la politesse avec le prince de Galles. Mais tout est pardonné. Aujourd’hui, l’ex-mari infidèle est son meilleur allié à la cour d’Angleterre.
Mère et grand-mère gâteau, elle cultive un lien privilégié avec Annabel, sa sœur, sa confidente
Charles vient de remplacer son titre de reine