« Henri Storck » : différence entre les versions

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{{voir homonymes|Storck}}
{{Infobox Cinéma (personnalité)
{{Infobox Biographie2
| image charte = defaut.svgréalisateur
| nom = Henri Storck
| image = defaut.svg
| upright =
| légende = <!-- Légende de l’image -->
| nom de naissance = <!-- Si différent du nom principal -->
| surnom = <!-- Pseudo, autre nom, nom de scène -->
| date de naissance = {{date de naissance|5|septembre|1907|au cinéma}}
| lieu de naissance = [[Ostende]] {{Belgique}}
| nationalité = {{Drapeau2|Belgique|domaine=Gentilé}}
| date de décès = {{date de décès|17|septembre|1999|5|septembre|1907|au cinéma|age=oui}}
| lieu de décès = [[Uccle]] ([[Bruxelles]])
| profession = Réalisateur
| films notables = ''[[Misère au Borinage]]'' <!-- 4 ou 5 max. En l'absence de consensus, renvoyer vers la section Filmographie sous la forme [[#Filmographie|''voir filmographie'']]. -->
| séries notables = <!-- 3 ou 4 max. -->
| site web =
}}
 
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Auteur de plus de soixante films, célèbre pour des courts-métrages comme ''[[Misère au Borinage]]'', son nom reste associé durablement à l’école [[Film documentaire|documentaire]] belge, un peu à la manière d’un [[John Grierson]] dans le cas du mouvement britannique.
Henri Storck commence par tourner des [[essai cinématographique|essais]] documentaires d'[[avant-garde (art)|avant-garde]] sur sa ville natale puis, il expérimente le [[found footage]] et réalise quelques films [[cinéma militant|militants]].
Il travaille pendant l'[[occupation allemande]]<ref>Dans son ouvrage ''La kermesseKermesse héroïque du cinéma belge (Documentaires et farces, 1896-1965)'', [[Frédéric Sojcher]] cite l'extrait d'une lettre datée du 27 mars 1941 et signée par [[Antoon Van Dyck (directeur)|Antoon Van Dyck]], directeur de l'Institut national de radiotechnique de la cinématographie, organe de propagande des nazis, dans laquelle il se réjouit de « la [[Collaboration dans l'Europe occupée par les nazis|collaboration]] de [[Charles Dekeukeleire]] et Henri Storck, ainsi que d'autres personnalités compétentes, afin de créer dans notre milieu une communauté de travail pour le film culturel flamand. »</ref>. À la [[Libération (histoire)|Libération]], il devient en Belgique un cinéaste au statut quasi officiel, le ''Père du documentaire belge''. Il a inspiré de nombreux cinéastes belges et les [[frères Dardenne]], recevant la [[palme d'or]] pour ''[[Rosetta (film, 1999)|Rosetta]]'', lui ont rendu hommage.
 
== Biographie ==
Henri Storck est issu d'une famille de commerçants aisés. Il perd son père à l'âge de seize ans et doit interrompre ses études secondaires pour s'occuper avec sa mère du magasin de chaussures familial. En 1924, il devient président de l'''Association des marchands de chaussures'' de la [[Province de Flandre-Occidentale|Flandre-Occidentale]] mais continue son éducation. Il découvre la littérature française moderne et se prend de passion pour [[Max Jacob]]. Ami de [[Félix Labisse]], il fréquente les peintres [[James Ensor|Ensor]], [[Constant Permeke|Permeke]] et [[Léon Spilliaert|Spilliaert]]. Il dessine lui-même et son ambition est de faire, grâce au cinéma, une œuvre plastique dotée du mouvement. Le photographe ostendais [[Arthur Pottier]] l'initie à sa technique.
Le {{date-|11 février 1927}}, Storck est bouleversé par une projection de ''[[Moana (film, 1926) |Moana]]'' de [[Robert Flaherty]] au ''Club du Cinéma'' de Bruxelles. Il crée en 1928 un ciné-club à Ostende et y projette les films d'[[Sergueï Eisenstein|Eisenstein]] et de [[René Clair]].
 
Il fait l'acquisition d'une caméra professionnelle 35&nbsp;mm Kinamo et réalise en 1929 son premier court-métrage, ''Images d'[[Ostende]]''. L'année suivante, il devient « cinégraphiste » officiel de la ville d'Ostende, dont il relate les évènements marquants. Il installe son propre laboratoire de développement et de tirage. De ces prises de vues d'actualité, il extrait les images cocasses des baigneurs qui constituent la trame de ''Trains de plaisir'' (1930). Il réalise aussi deux films de commande: ''Une pêche aux harengs'' et'' Le sauvetage à la côte belge'', tout en tournant un essai surréaliste, aujourd'hui disparu, dont il a écrit le scénario avec Félix Labisse : ''La mort de Vénus''. ''Ostende, reine des plages'', un montage des trente-cinq reportages tournés pour la Ville, sera sonorisé ultérieurement et bénéficiera de l'une des premières partitions musicales de [[Maurice Jaubert]] (1931).
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''Images d’Ostende'' (1929-1930) peut être perçu comme « un choc poétique et cinétique, sans fiction ni son, qui dégage le cinéma de son obligation narrative pour le rendre au monde des sensations que lui seul peut porter. ». En 1931, il rentre à la [[Gaumont]] dont il démissionne rapidement désavouant la politique mercantile du studio de production.
 
Fort de l'expérience acquise en France, Henri Storck rentre à Ostende au printemps 1931. Il y crée une maison de production (Ankerfilm) et tourne un petit film de fiction qui sera sonorisé à Paris l'année suivante: ''Idylle à la plage''. Storck espère toujours faire carrière à Paris, où il multiplie les contacts à l'occasion de l'achèvement d'''Idylle''. Pour survivre, il tourne à Anvers les travaux du tunnel de l'Escaut. Il réalise à partir d'actualités de 1928 (l'année du [[pacte Briand-Kellogg]] qui devait mettre la guerre hors la loi) un film violemment antimilitariste, ''Histoire du soldat inconnu'' (1932, sonorisé en 1959). Dans cette charge sarcastique de onze minutes qui dénonce de manière radicale les alliances préjudiciables entre les pouvoirs financiers, l'Église et l'armée<ref>[http://www.peripherie.asso.fr/patrimoine_film.asp?id=202 Site de ''Périphérie'', Centre de création cinématographique] et [http://perso.orange.fr/cote.court/2001/eec5.htm Site du Festival ''Côté court'']</ref>, Storck oppose les discours pacifistes des politiciens et les énormes dépenses consacrées à la défense militaire. Le film est interdit par la censure française en [[1932]]. Henri Storck a dit : {{début citation bloc}}Maintenant était venu le temps des marchands de canons, grâce à la politique des grands pays. Mais le pauvre [[Colonne du Congrès|soldat inconnu]], assassiné comme une bête, on ne cessait de lui rendre des honneurs, on l’enterrait en grande pompe… Ce film n’a pas de commentaire. Il est une galerie d’hommes politiques et de chefs d’États.{{fin citation bloc}}
[[Ado Kyrou]] écrit, dans la préface à ''« La Courte Échelle », scénarios non réalisés de Storck'' (éditions Le Daily-Bull), que c’est « un montage de films d’actualités ridiculisant avec une santé toute flamande l’hypocrisie des politiciens qui préparent la guerre pendant qu’ils signent des pactes d’amitié ». Pour ce film, Henri Storck innove en étant l'un des premiers cinéastes à utiliser la technique du [[found footage]]<ref>[http://archives.arte-tv.com/cinema/court_metrage/court-circuit/lemagfilms/010901_film3bis.htm ''Cartographie du Found Footage''] article de [[Nicole Brenez]] sur le site de la chaîne de télévision [[Arte]]</ref>.
 
Henri Storck rencontre à Paris les artistes d'avant-garde et se radicalise. Durant l'été 1933, [[Louis Aragon]] le charge de créer en Belgique la section belge de l’''Association des écrivains et artistes révolutionnaires'' (AEAR). Il la crée sous le nom d’''Association révolutionnaire culturelle'' (ARC) le {{date-|22 avril 1934}}. Parmi les membres fondateurs, intellectuels et surréalistes, figure [[André Thirifays]], le futur directeur de la Cinémathèque de Belgique, alors animateur du ''Club de l'écran'' à Bruxelles. Celui-ci est alerté par le docteur Hennebert de la misère où sont plongés les mineurs du Borinage après la grande grève de 1932, que le gouvernement a brisé brutalement. André Thirifays propose à Henri Storck de témoigner de ce drame par l'image. Indigné, bouleversé, ce dernier décide d'associer au projet le cinéaste hollandais [[Joris Ivens]], communiste convaincu. Et les deux hommes réaliseront ensemble le documentaire [[Cinéma militant|militant]] ''[[Misère au Borinage]]'' (1933, sonorisé en 1963) qui dénonce la misère des mineurs et la sauvagerie de l'exploitation [[Prolétariat|prolétarienne]] au [[Borinage]].
 
La même année 1933, Henri Storck tourne ''Trois vies et une corde'' (musique de [[Maurice Jaubert]]), l'un des tout premiers films sur l'alpinisme et s'établit à Bruxelles. Il fonde la société Cinéma-Edition-Production (CEP), qui prospère : elle produit vingt films de 1934 à la veille de la Seconde Guerre mondiale.
 
En [[1938]], Storck réalise seul un autre film militant ''Le Patron est mort''. Ce travail de commande<ref>Commande de la ''Société nationale des habitations à bon marché''</ref> relate l'annonce de la mort du président du [[Parti socialiste belge|Parti ouvrier belge]] [[Émile Vandervelde]], ses obsèques et l'émotion de la classe ouvrière<ref>[http://www.humanite.presse.fr/journal/1997-03-19/1997-03-19-774840 ''Pionniers en Belgique''] article d'Emile Breton paru le 19 mars 1997 dans le journal ''[[L'Humanité]]''.</ref>. Avec [[André Thirifays]] et [[Pierre Vermeylen]], il fonde la [[Cinémathèque royale de Belgique]].
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* ''[[Zéro de conduite (film)|Zéro de conduite]]'' de [[Jean Vigo]] (1933), dans le rôle du prêtre
* ''[[Jeanne Dielman, 23, quai du commerce, 1080 Bruxelles]]'' de [[Chantal Akerman]] (1975), dans le rôle d'un client de la prostituée
* [[Babel / Lettre à mes amis restés en Belgique]] (1991), de [[Boris Lehman]].
 
== Cinéma sur l'art ==
Henri Storck est aussi l'un des pionniers du film sur l'art. Dès 1944, il filme quelques tableaux de [[Paul Delvaux]], dont il évoque avec intensité l'univers onirique. La bande sonore de ce film, en noir et blanc, est un mixage de la musique originale d'[[André Souris]] et du poème que [[Paul Éluard]] a consacré à Delvaux, la voix même du poète répondant aux images du peintre (''Le monde de Paul Delvaux'', 1944, sonorisé en 1946). Il consacrera plus tard un autre film, en couleurs cette fois, au même artiste (''Paul Delvaux ou les femmes défendues'', 1969-1970). Réalisé avec le critique d'art [[Paul Haesaerts]], qui en a écrit le scénario, ''Rubens'' (1948) est une longue exploration tantôt didactique, tantôt lyrique, de l'œuvre du grand peintre baroque. Sa nouveauté lui valut le grand prix du documentaire du Festival de Venise en 1949. ''La Fenêtre ouverte'' (1952), une commande des cinq pays signataires du [[Traité de Bruxelles (1948)|Traitétraité de Bruxelles]], plonge le spectateur dans les paysages les plus célèbres, peints par les artistes belges, français, anglais, hollandais. En 1962 il présente en deux volets l'univers du peintre [[Félix Labisse]] (''Le bonheur d'être aimée'', ''Les malheurs de la guerre''). Enfin, il coréalise en 1984-1985, avec [[Patrick Conrad]], un film sur l'expressionniste flamand [[Constant Permeke|Permeke]].
 
== Henri Storck, producteur ==
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Le scoop annoncé n'a pourtant rien de neuf : en 1999, le livre ''La Kermesse héroïque du cinéma belge'' de [[Frédéric Sojcher]] avait déjà fait état de certains faits troublants concernant l'implication de Storck avec l'occupant allemand durant la Seconde Guerre mondiale. Il rappelait ainsi qu'Henri Storck fut nommé chef suppléant de la Guilde du Film<ref>Le [[Moniteur belge|Moniteur]] (Journal officiel belge) du 27-28 septembre 1943</ref>. Il rapprochait également la sacralisation de la terre perceptible dans ''Symphonie paysanne'', le film que Storck tourna entre 1942 et 1944, d'un certain "romantisme" fasciste.
 
S'agit-il là de l'activité banale d'un réalisateur contraint à travailler sous l'Occupation pour survivre, ou d'une plus profonde compromission idéologique d'un homme pourtant proche au début des années 1930 du monde communiste ? Sur demande de la Communauté française de Belgique, le [[Centre d'études guerre et société]] (CEGES) a mis sur pied en 2008 un projet d’étude destiné à trancher la question. Cette recherche historique à présent publiée<ref>Bruno Benvindo, ''Henri Storck, le cinéma belge et l'Occupation'', Bruxelles, [[Éditions de l'Université de Bruxelles]], 2010</ref>, s'appuyant sur de nombreuses archives jusqu'alors inexplorées, a montré combien Henri Storck était résolu, malgré l'Occupation, à filmer à tout prix. Peu semblait alors lui importer l'idéologie, sa survie économique et son ambition artistique constituant le ressort de ses activités. À cet égard, la guerre diffère peu du temps de paix : le réalisateur se voit contraint tout au long de sa carrière de multiplier les films de commande, au profit d'institutions parfois antagonistes sur le plan politique. C'est bien à ce prix que Storck put bâtir une filmographie destinée à entrer dans l'histoire du cinéma belge, parsemée de quelques chefs -d'œuvre au premier rang desquels sa controversée ''Symphonie paysanne''.
 
== Vie privée ==
Henri (Henricus Josephus Desiderius) Storck fut l'époux de Simone Callebaut. Le couple eut deux filles, Marie et Françoise. Veuf, il épousa Joséphine de Brocas de Lanause, puis a été le compagnon de Virginia Haggard-Leirens qui fut son assistante photographe.
 
Marie, née en 1934, devient à 17 ans l'assistante de son père et se marie à l'âge de 18 ans avec [[Luc de Heusch]]<ref>{{lien web |titre=Le banquet des fraudeurs, d'Henri Storck |url=https://revues.be/cinergie/178-webzine-septembre-2016/421-le-banquet-des-fraudeurs-d-henri-storck |site=revues.be |consulté le=28-12-2023}}.</ref>, qui aura trois autres épouses<ref>{{lien web |titre=L’ethnologue en proie aux images, Henri Storck, 1962 |url=https://sabzian.be/text/l%E2%80%99ethnologue-en-proie-aux-images |site=Sabzian.be, text |consulté le=28-12-2023}}.</ref>.
 
Veuf, Henri Storck épousa Joséphine de Brocas de Lanause, puis a été le compagnon de Virginia Haggard-Leirens qui fut son assistante photographe.
 
== Filmographie ==
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*''[[Les Carillons]]'' - 13 min
*''[[Les Jeux de l'été et de la mer]]'' - 14 min
*''[[Sur les routes de l'été]]'' (Produit par le ''Service Belgo-Luxembourgeois du Tourisme'', court métrage de quatorze minutes destiné à mettre en évidence les attraits touristiques du sud de la Belgique<ref>{{Citation|Storck écrit ce scénario avec son ami surréaliste, l’écrivain [[Camille Goemans]], sur base d’une abondante documentation. De 1931 aux approches de la Seconde Guerre mondiale, ce dernier est sous-directeur puis directeur de l’Office belgo-luxembourgeois du Tourisme. Il est aussi chef du service de la propagande et secrétaire du Conseil technique du Tourisme. Camille Goemans devient dès lors un collaborateur précieux d’Henri Storck, car c’est en ces qualités qu’il lui est permis de commander à la CEP une série de films touristiques}} "L'ambition cinématographique d'Henri Storck, de 1907 à 1940" par Vincent Geens ; page 231 http://www.cegesoma.be/docs/media/chtp_beg/chtp_07/chtp7_06_Geens.pdf </ref>.)
*''[[Regards sur la Belgique ancienne]]'' - 20 min
 
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1952
*''[[La Fenêtre ouverte (film)|La Fenêtre ouverte]]'' - 18 min
 
1953
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== Bibliographie et sources ==
* Bruno Benvindo,'' Henri Storck, le cinéma belge et l'Occupation'', Bruxelles, [[Éditions de l'Université de Bruxelles]], 2010
* Bruno Benvindo, "Les ambiguïté du cinéma belge sous l'Occupation. Autour d'Henri Storck", in : Philippe Mesnard et Yannis Thanassekos, ''La zone grise entre accommodement et collaboration'', Éditions Kimé, Paris, 2010, pp.139-160&nbsp;139–160.
* Michele Canosa (dir), ''Henri Storck, : il litorale belga'', Udine, Campanotto, 1994
* Emile Cantillon, Paul Davay, Josette Debacker, Jacques Polet, Daniel Sotiaux ...[et al.], ''Henri Storck'', Bruxelles, Association des professeurs pour la promotion de l'éducation cinématographique
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*[[Emile-Georges De Meyst]], réalisateur belge. Pendant l'[[Europe sous domination nazie|occupation allemande]], il écrit pour la presse clandestine interdite. En prétendant tourner des [[Film documentaire|documentaires]] culturels, il parvient à détourner une quantité suffisante de pellicule et réalise un film sur la résistance : ''Soldats sans uniforme''.
 
*[[Antoine Castille]], réalisateur belge. Entre 1921 et il 1938, il tourne de très nombreux documentaires. En filmant les fêtes de Belgique, il se lance dans une vaste entreprise ''d'[[ethnologie]] intérieure''. Il filme aussi les gestes du travail traditionnel. Ses films sont des documents [[anthropologie|anthropologiques]] sur une époque révolue.
 
* En 1936, [[Charles Dekeukeleire]] réalise ''Processions et carnavals / Processies en karnavals'' et, en 1962, [[Paul Flon]] réalise ''[[Processions célèbres (film)|Processions célèbres]]'', deux courts-métrages documentaires sur les patrimoines folkloriques belges.
 
*[[Henry-Alexandre Parys]], réalisateur belge. En 1921, il tourne un film documentaire sur [[Ostende]], ''Ostende, reine des plages''.
 
*[[Isidore Moray]], réalisateur belge. Il tourne de nombreux films documentaires de 1913 à 1930.
 
*[[Cinéma belge]]
 
=== Liens externes ===
* {{AutoritéLiens}}
* {{Dictionnaires}}
* {{Bases audiovisuel}}
* [http://fondshenristorck.be/ Fonds Henri Storck] (distribution films, photos et archives)
 
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[[Catégorie:Naissance en septembre 1907]]
[[Catégorie:Naissance à Ostende]]
[[Catégorie:Décès en septembre 1999]]
[[Catégorie:Décès à Uccle]]
[[Catégorie:Décès à 92 ans]]
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