La Machine à écrire

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La Machine à écrire est une pièce de théâtre en trois actes de Jean Cocteau, inspirée par l'affaire de Tulle[1] et jouée pour la première fois le au Théâtre Hébertot, à Paris, dans une mise en scène de Raymond Rouleau.

La Machine à écrire
Le Théâtre Hébertot, lieu de la première de La Machine à écrire en avril 1941.
Le Théâtre Hébertot, lieu de la première de La Machine à écrire en avril 1941.

Auteur Jean Cocteau
Genre Pièce de théâtre, comédie dramatique policière
Nb. d'actes 3
Durée approximative 1 h 30
Dates d'écriture 1941
Lieu de parution Paris
Éditeur Gallimard
Date de parution 1941
Nombre de pages 213
Date de création en français 29 avril 1941
Lieu de création en français Théâtre Hébertot, Paris
Metteur en scène Raymond Rouleau
Rôle principal Jean Marais

Avec La Machine à écrire, qui va voir le jour au théâtre Hébertot, Jean Cocteau s'inspire en effet d'un affaire criminelle qui fit du bruit à son époque : l'affaire des lettres anonymes de Tulle.

Argument

Toute une ville affolée, exaspérée par des mystérieuses lettres s'abattant sur chaque famille, où les tares secrètes des uns et des autres étaient mises à nu, dénoncées, menacées de révélation publique. Un drame balzacien, dont Jean Cocteau fait un bizarre divertissement psychologique et policier, sorte de ballet pour intellectuels désœuvrés, auquel il ne faut demander ni vraisemblance dans les péripéties ni vérité dans les caractères.

Personnages et distribution à la création

Notes et références

  1. Jean Touzot, Jean Cocteau. Qui êtes vous ?, La Manufacture, , p. 150

Adaptation à la télévision