« Mines de charbon des Cévennes » : différence entre les versions

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Le décret du {{date|28|juin|1946}} et les lois de nationalisation instituant les Houillères de Bassin des Cévennes transfèrent à l'État 8 sociétés : Compagnie des houillères de [[Bessèges]], Société des mines de Cessous, Compagnie des mines de La Grand-Combe, Société des Houillères du Nord d'Alès, Société des houillères de Rochebelle, houillères de Lalle (appartenant à M. Auguste Leydier) et houillères de Trélys et Palmasalade qui appartiennent à la Compagnie des Mines, Fonderies et Forges d'Alès. Le décret du {{date-|16 mai 1947}} viendra y adjoindre quatre concessions appartenant à l'État : Olympie, Malataverne, Les Pinèdes ([[Gard]]) et Doulovy ([[Ardèche (département)|Ardèche]]).
 
Un record de production est atteint en 1958 : {{unité|3.3|millions}} de tonnes avec un effectif de {{nombre|20000|ouvriers}} sur l'ensemble du bassin houiller d'Alès - La Grand-Combe. Mais la fermeture du puits des Oules en 1985 marque la fin de l'exploitation du charbon dans les Cévennes. Entre 1954 et 2008, la population de [[La Grand-Combe]] est divisée par trois. Le {{date-|16 avril 1968}}, les HBC sont intégrées dans les [[Houillères de Midi-Pyrénées|Houillères de Bassin du Centre-Midi]] et deviennent « Unité d'Exploitation (UE) du Gard Gars».
 
== Notes et références ==