« Octave Pradels » : différence entre les versions

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== Biographie ==
 
Octave Frédéric Pradels publie ses premiers monologues, contes en vers et chansons en 1883 à plus de quarante ans. De ses premières années de jeunesse jusqu'en 1883, et après ses études primaires suivies sans conviction, il occupe de multiples fonctions subalternes. Il commence à 12 ans, comme saute-ruisseau chez un huissier et va à [[Saint-Pétersbourg|Saint Petersbourg]] chez son oncle pour teindre des plumes d'autruche. À son retour en France près de ses parents à Calais, il se fait voyageur en vins tout en publiant des satires en vers dans les journaux locaux. Ses mois de mobilisation militaire passées pendant la [[Guerre franco-allemande de 1870|guerre de 1870]], il repart en Russie donner des leçons de français<ref name=":0">{{Article|auteur1=Camille Roy|titre=Octave Pradels|périodique=La Revue du siècle littéraire et artistique|volume=7|pages=201|date=1893|lire en ligne=https://numelyo.bm-lyon.fr/f_view/BML:BML_00GOO0100137001105118363#}}</ref>.
Octave Frédéric Pradels publie ses premiers monologues, contes en vers et chansons en 1883.
 
ParmiEnfin sesil plusrevient grandsà succèsParis figurentpour ''Çase commençaitlancer sidans gentiment'',son ''Laactivité Chula'',littéraire ''Danspremière ld'oasis'',écrivain ''[[Marchede lorraine]]''chansons (écritequi enseront collaborationinterprétées avecà l'[[JulesEldorado Jouy(théâtre)|Eldorado]]). Ses chansons furent notamment créées par [[Kam-Hill]], [[Anna Judic]], [[Amiati]] (à l'[[Eldorado (théâtre)|Eldorado]])ou etencore [[Thérésa (chanteuse)|Thérésa]]. En dix ans, cinq cents chansons sont créées<ref name=":0" />.
 
Parmi ses plus grands succès figurent ''Ça commençait si gentiment'', ''La Chula'', ''Dans l'oasis'', ''[[Marche lorraine]]'' (écrite en collaboration avec [[Jules Jouy]]). Il publie son premier volume intitulé ''Chansons'' en 1886 préfacé par [[Armand Silvestre]].
 
Directeur du [[théâtre des Capucines]], Octave Pradels a également été président de la [[SACEM]] de 1895 à 1898.
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* 1887 : ''L'Agent de la sûreté de Marseille'', Marpon et Flammarion {{BNF |31146038n}} {{lire en ligne|lien=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5776815p }}
* 1905 : ''Agence matrimoniale'', coll. Auteurs célèbres, Flammarion {{BNF |311460379}}
* ''Chansons, monologues, chansons à dire, fantaisies'', préface d'[[Armand Silvestre]], éd. Paul Ollendorff, Paris, 1886 {{BNF |31146052}} {{lire en ligne|lien=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5453974p }}
* ''Rupture de banc'', Librairie théâtrale, Paris, 1887 {{BNF|31146106}} {{lire en ligne|lien=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k144187z }}
* ''Les Amours de Bidoche'', Marpon et Flammarion, Paris, 1888 {{BNF |31146043}} {{lire en ligne|lien=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k68848b }}
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