« Robert Louis Stevenson » : différence entre les versions

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'''Robert Louis Stevenson''' {{MSAPI|/ˈɹɒbət ˈluɪs ˈstiːvənsən/}}<ref>[[Prononciation de l'anglais|Prononciation]] en [[anglais britannique]] ''([[Received Pronunciation]])'' [[Transcription phonétique|retranscrite]] selon la [[alphabet phonétique international|norme API]].</ref>, né le {{date de naissance|13|novembre|1850}} à [[Édimbourg]] et mort le {{date de décès|3|décembre|1894}} à [[Vailima]] ([[Samoa]]), est un [[écrivain]] [[Écosse|écossais]] et un grand voyageur, connu dans le monde entier pour ses deux [[Roman (littérature)|romans]], ''[[L'Île au trésor]]'' ([[1883 en littérature|1883]]), ''[[L'Étrange Cas du docteur Jekyll et de M. Hyde]]'' ([[1886 en littérature|1886]]), qui en ont fait un objet de vénération dans tout le monde anglophone<ref>"La véritable et étonnante histoire de «L’Ile au trésor»" par Lisbeth Koutchoumoff Arman, dans le quotidien suisse ''[[Le Temps (quotidien suisse)|Le Temps]]'' 26 mai 2017 [https://www.letemps.ch/culture/veritable-etonnante-histoire-lile-tresor]</ref>.
 
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Robert Lewis Balfour Stevenson naît au 8, Howard Place à [[Édimbourg]] où se sont installés ses parents, [[Thomas Stevenson]] et Margaret Balfour, après leur mariage deux ans plus tôt, le {{date|28|août|1848}}.
Sa mère Maggie est la fille cadette du révérend Lewis Balfour, une famille des [[Scottish Borders|Borders]].
Son père ThomasTom est un fervent [[Calvinisme|calviniste]] appartenant à la célèbre lignée d'[[ingénieur]]s qu'est la famille Stevenson :
son grand-père [[Robert Stevenson (ingénieur civil)|Robert]], son père Thomas, ses oncles [[Alan Stevenson|Alan]] et [[David Stevenson (ingénieur)|David]], tous sont concepteurs de phares et ont apporté leur contribution à la sécurisation du littoral maritime écossais<ref>{{en}} La page consacrée aux Stevenson sur le site du [[Northern Lighthouse Board]] [http://www.nlb.org.uk/historical/stevenson.htm]</ref>.
 
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Autres conséquences de sa santé défaillante, les périodes de cure ou de convalescence chez son grand-père, au [[presbytère]] de [[Colinton (Alberta)|Colinton]] (Colinton Manse)<ref>« Le presbytère » (The Manse) in ''[[Référence:À travers l'Écosse|À travers l'Écosse]]''</ref>. C'est là qu'est son {{Citation|Âge d'Or}}<ref>{{Citation|Ce fut mon Âge d'Or : ''et ego in [[Arcadie|Arcadia]] vixi''.}} in [[Graham Balfour]], ''The life of Robert Louis Stevenson'', p. 33</ref>. Situé à quelques kilomètres d'Édimbourg, Louis y retrouve ses nombreux cousins et cousines et tout n'est que jeux et amusements sous la bienveillance de Jane Whyte Balfour {{incise|la fameuse « Auntie » dont il est fait mention dans ''A Child's Garden of Verses''}}, fille aînée de Lewis Balfour. À la mort de ce dernier le {{date|30|avril|1860}}, un nouveau révérend vient le remplacer et c'en est fini de Colinton. « Auntie » quitte le presbytère pour s'installer à [[Spring Grove (Londres)|Spring Grove]] près de [[Londres]].
 
Ses premières tentatives de scolarisation sont vite interrompues pour raisons de santé : en [[1856]], crises de toux et fièvres découragent ses parents pour le reste de l'année, puis en [[1857]], après deux semaines de classe, une fièvre gastrique suivie d'une bronchite l'immobilisent tout l'hiver. Il entre en {{date||octobre|1861}} dans la petite classe de l'[[Edinburgh Academy]]<ref>Rosaline Masson, ''I Can Remember Stevenson'', p. 14</ref>, mais il se montre plutôt solitaire : sa faible constitution l'empêchant de prendre part aux jeux, il peine à s'intégrer aux autres enfants. Au printemps [[1862]], c'est Thomas qui est pris de quintes de toux et Louis est encore une fois sorti de l'école afin d'accompagner ses parents dans le sud de l'[[Angleterre]], avant de passer un mois à [[Hombourg (Sarre)|Hombourg]] en juillet. Puis les vacances sont prolongées jusqu'en automne en prenant une location à [[North Berwick]], ce qui constitue le premier vrai contact avec la mer pour Louis dans ce qui était encore un petit [[village de pêcheurs]] sur le [[Firth of Forth]], près de [[Dunbar]]. Lorsqu'arrive la rentrée scolaire, Maggie tombe presque aussitôt malade nécessitant une cure plus radicale. Le {{date|2|janvier|1863}}, la famille, accompagnée de Cummy, part pour un long périple : ils traversent d'abord la [[France]] et s'installent à partir du [[{{date|4 février]]}} à [[Menton (Alpes-Maritimes)|Menton]]. Au terme de deux mois de cure, durant lesquels Louis a étudié avec un précepteur français, l'état de santé de Maggie s'est considérablement amélioré. Ils repartent donc tous le {{date|31|mars|1863}} pour visiter l'[[Italie]] durant plus d'un mois, avant de prendre le chemin du retour le [[{{date|8 mai]]}} via l'[[Autriche]] et l'[[Allemagne]]. Le {{date|29|mai|1863}}, après 5 mois de voyage et de dépaysement, Louis regagne enfin Heriot Row et voit s'approcher sans grand enthousiasme la perspective de la rentrée à l'Academy<ref>« La côte de Fife » (The Coast of Fife), ''[[Référence:À travers l'Écosse|À travers l'Écosse]]'', p. 203-204. Stevenson resitue à tort la scène en automne</ref>. Devant la détresse de son fils, Thomas décide de lui changer les idées et lui propose de l'accompagner durant l'été dans sa tournée d'inspection des phares sur la côte de [[Fife (Écosse)|Fife]]. Louis accepte avec joie ce {{Citation|premier voyage en qualité d'homme, sans jupons pour [l']assister}}<ref>« La côte de Fife », op. cit., p. 205</ref>. À leur retour, ils découvrent Maggie à nouveau souffrante et un nouveau séjour dans le [[Midi de la France]] semble s'imposer pour elle. Pour ne pas perturber à nouveau la scolarité de Louis, ses parents décident de l'envoyer en pension à Burlington Lodge Academy près de chez « Auntie » à Spring Grove. Outre un premier contact plutôt négatif avec la société anglaise<ref>« L'étranger de l'intérieur » (The Foreigner at Home), ''[[Référence:À travers l'Écosse|À travers l'Écosse]], p. 148-149''</ref>, c'est là qu'il écrit ses premiers récits d'aventures pour le magazine de l'école préfigurant déjà son œuvre à venir. Mais il vit assez mal cet éloignement et réclame à son père de pouvoir revenir{{référence nécessaire}}. Thomas cède : il rejoint son fils le {{date|19|décembre|1863}} et tous deux vont retrouver Maggie et Cummy à Menton. Thomas repart pour Édimbourg fin {{date||janvier|1864}} après avoir promis à son fils de ne pas le renvoyer à Spring Grove. Ils quittent Menton en {{date||mai|1864}} pour passer les vacances sur les rives de la [[Tweed (fleuve)|Tweed]] près de [[Peebles]]. Quand il ne passe pas ses journées à s'amuser avec ses cousins, Louis s'investit sérieusement dans plusieurs projets d'écriture<ref>C'est à cette période qu'il écrivit ''La cave pestiférée'' (''The Plague Cellar'')</ref>.
 
En {{date||octobre|1864}}, Thomas l'inscrit dans une école pour « enfants à problèmes ». Son intégration parmi les autres élèves se passe mieux, mais il ne montre pas un grand intérêt pour les études{{référence nécessaire}}. Le but qu'il s'est fixé est déjà tout autre, et il y consacre le plus clair de son temps : apprendre à écrire. Il travaille notamment sur une pièce de théâtre inspirée de la vie de [[William Brodie|Deacon Brodie]], homme d'affaires respecté le jour, criminel et voleur la nuit<ref>Projet qu'il mène à bien en collaboration avec [[William Ernest Henley|William E. Henley]] en [[1880]] (date à vérifier)</ref>. S'étant découvert avec un autre élève de l'école les mêmes influences et la même passion de la littérature, ils se lisent à tour de rôle leurs compositions et collaborent à la publication d'un magazine. Sa rencontre avec l'une de ses idoles, l'auteur du célèbre ''The Coral Island'', [[Robert Michael Ballantyne]]<ref>Dans le cadre d'un projet de roman, [[Robert Michael Ballantyne|Ballantyne]] venait prendre des renseignements sur les [[phare]]s auprès de l'oncle de Stevenson, [[David Stevenson (ingénieur)|David]]. Il en résulta ''The Lighthouse'' publié en {{date||novembre|1865}}.</ref>, renforce sa passion pour l'écriture. En {{date||février|1865}}, nouvelle interruption de scolarité pour suivre Maggie en cure à [[Torquay]] jusqu'en octobre. Au cours de la nouvelle année scolaire, Louis se lance, seul cette fois-ci, dans un autre projet de revue, dont trois numéros paraissent au début de l'année [[1866]]. La revue ne survit pas au nouveau séjour à Torquay, d'avril à mai, que nécessite la santé de sa mère. Durant l'été qui suivit, Stevenson entreprend d'écrire un roman avec en toile de fond le soulèvement covenantaire de [[1666]] dans les [[Pentland Hills]] : l'[[Bataille de Rullion Green|Insurrection des Pentland]]. Mais son père, à la lecture de ses premiers brouillons, qualifie le travail de raté et l'encourage à abandonner la voie de la fiction au profit d'un simple récit historique. Louis, pour faire plaisir à son père, passe tout l'automne à la réécriture de ''Pentland Rising''<ref>[[Graham Balfour]], ''The life of Robert Louis Stevenson'', p. 52</ref>. En récompense, Thomas fait imprimer l'œuvre de son fils à cent exemplaires chez un libraire d'Édimbourg et rachète la totalité du tirage<ref>Ce qui fait de ''The Pentland Rising'', à proprement parler, le premier livre écrit par Stevenson et donc lui confère une valeur inestimable auprès des collectionneurs.</ref>.
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=== Mariage ===
En 1879, malgré l'opposition de sa famille, il part rejoindre Fanny Osbourne en Californie. Partant de [[Glasgow]] le [[{{date|7 août]]}}, il atteint [[New York]] le [[18 août|18]] et retrouve Fanny à [[Monterey (Californie)|Monterey]], après un voyage en chemin de fer.
 
Il lui est cependant impossible de vivre immédiatement sa passion car elle est encore mariée<ref name =capustafahi>{{Ouvrage |prénom1=Alex |nom1=Capus |lien auteur1=Alex Capus |titre=Voyageur sous les étoiles |éditeur=[[Actes Sud|Éditions Actes Sud]] |année=2017 |isbn=}}.</ref>. En attendant qu'elle divorce, ce qui ne se produit qu'en {{date-|janvier 1880}}<ref name="capustafahi" />, Stevenson doit vivre très chichement<ref name="capustafahi" />, rédigeant quelques articles pour le ''Monterey Californian'', une gazette locale. Il prend le train pour [[San Francisco]]<ref name="capustafahi" /> cherche du travail dans les journaux et sur le port, sans en trouver de durable, décrit le hurlement de la foule toute la journée devant la [[San Francisco Stock Exchange|Bourse de San Francisco]]<ref name="capustafahi" />, effondrée depuis le krach du [[Comstock Lode]], scènes dont s'inspire [[Jules Verne]] en [[1879]] aussi, pour son roman ''[[Les Cinq Cents Millions de la Bégum]]''.
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Le {{date-|31 octobre 1879}}<ref name="capustafahi" />, un article du grand quotidien local, ''[[The San Francisco Call]]''<ref name="capustafahi" />, révèle que deux navires différents ont lancé une expédition pour retrouver un [[Trésor ecclésiastique de Lima|trésor pirate]] sur l'[[Île Cocos]]. Parmi eux, la [[Goélette]] ''Vanderbilt'' est revenue bredouille<ref name="capustafahi" />. Le mois suivant, Stevenson rédige ''[[Le Pavillon sur la lande]]'', nouvelle à peine ébauchée en 1878, publiée l'été suivant dans un magazine londonien. Ce récit d'un vagabond par choix qui parcourt l’Angleterre avec sa roulotte, puis est témoin d’événements mystérieux autour du pavillon qu’il partagea dans sa jeunesse, sera perçu comme un rite de « transgression de la morale », menant à « une sorte d’enthousiasme romanesque », de « l’homme qui peut enfin agir »<ref>[https://www.roman-daventures.com/auteurs/angleterre/stevenson/stevenson.htm R.L.S Bibliothèque des grandes aventures]</ref>.
 
En mars [[1880]], Stevenson manque de mourir d'une pneumonie: il ne doit son salut qu'à l'attention de Fanny, qui se dévoue six semaines à son chevet. À peine rétabli, il l'épouse le [[{{date|19 mai]]}} à [[San Francisco]] et ils partent en lune de miel, accompagnés du fils de Fanny, Lloyd. Cette lune de miel, qu'ils passent à [[Calistoga]] en Californie dans une mine d'argent désaffectée, est relatée dans ''Les Squatters de Silverado'' publié en [[1883]]. Dès le {{date|17 août 1880}}, tous deux sont de retour en Écosse<ref name="capustafahi" />, mais dès l'été 1881, exceptionnellement pluvieux, son médecin lui interdit de sortir, sa santé se dégradant<ref name="capustafahi" />. Lors de l'un des derniers jours d'{{date-|août 1881}}<ref name="capustafahi" />, il trace une carte d'une île au trésor, à la demande de son beau-fils de 12 ans<ref name="chev">"Romans maritimes : « L'Ile au trésor », un livre en or", par Philippe Chevilley, dans ''[[Les Échos]]'' du 24/07 2016 [https://www.lesechos.fr/week-end/culture/livres/030452395056-romans-maritimes-lile-au-tresor-un-livre-en-or-2103789.php]</ref>, [[Lloyd Osbourne|Lloyd]], puis débute la rédaction du [[L'Île au trésor|grand roman d'aventure éponyme]], pour laquelle s'enthousiasme son père Thomas Stevenson<ref name="chev" />, avant de perdre toute inspiration après les quinze premiers chapitres<ref name="capustafahi" />.
 
[[Image:Sargent - Robert Louis Stevenson and His Wife.jpg|vignette|<center>''Portrait de Robert Louis Stevenson et de sa femme'', 1885<br>[[John Singer Sargent]]<br>[[Crystal Bridges Museum of American Art|Cristal Bridges Museum]], [[Bentonville]]</center>]]
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En {{date-|novembre 1881}}, l'éditeur, satisfait, lui envoie 30 livres. Cette œuvre, la première à connaitre un vrai succès, ne sera traduite en français qu'en 1885. Dans une lettre de juillet 1884, il demande à son ami Sydney Colvin de lui envoyer une copie du livre écrit par [[Daniel Defoe]] en 1720, "La vie, les aventures et les pirateries du capitaine Singleton"<ref>"Arthur Ransome's Long-lost Study of Robert Louis Stevenson" par Arthur Ransome, chez l'Éditeur :Boydell Press en 2011 [https://www.google.fr/books/edition/Arthur_Ransome_s_Long_lost_Study_of_Robe/QEDPyDj85fAC?hl=fr&gbpv=1&dq=stevenson+%22LE+SCARAB%C3%A9e+d%27or%22&pg=PA120&printsec=frontcover]</ref>, lui-même inspiré par des textes<ref>récits de [[William Dampier]] et Voyages and travels" de J. Albert de Mandelslo</ref> imprimés à Londres au début du 18e siècle<ref>"Représentations d'Afrique dans le Capitaine Singleton de Daniel Defoe : une fiction cartographique ?" par
Erzsi Kukorelly, dans la revue ''[[Dix-huitièmeHuitième siècleSiècle]]'' en 2012 [https://www.cairn.info/revue-dix-huitieme-siecle-2012-1-page-273.htm#no8]</ref> et qui inspireront "[[Swallows and Amazons]]", roman d'aventure de son futur biographe Arthur Ransome.
 
Il passe deux ans en 1883 et 1884 à [[Hyères]]<ref>[[Jean-Luc Pouliquen]], ''Robert Louis Stevenson à Hyères'', CIPP, 2015, {{ISBN|978-1508951223}}.</ref> dans un chalet appelé ''Solitude,'' propriété d'[[Alexis Godillot]]<ref>{{Ouvrage|auteur1=Charles Amic|auteur2=Jacques Olivo|titre=A la découverte de Hyères les Palmiers|lieu=Hyères|éditeur=Aris|année=1993|isbn=}}</ref>''.'' Il écrit alors : « Ce coin, notre jardin et notre vue sont subcélestes. Je chante tous les jours avec Bunian le grand barde. Je réside près du Paradis ». Plus tard, il écrit « Heureux, je le fus une fois et ce fut à Hyères ». Il y reçoit les soins du docteur [[Léon Émile Vidal]] pour traiter son [[emphysème pulmonaire]]<ref>{{Lien web|titre=Hyères en Provence par June Fernandez|url=http://www.as-lashha.com/pages/fond-documentaire/documents.html|site=Société Hyères d'Histoire et d'Archéologie|date=|consulté le=26 janvier 2019}}</ref>.
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== Œuvres ==
=== Romans et nouvelles ===<3
* ''[[L'Île au trésor]]'' <sup>1</sup>(''Treasure Island'', 1883), son premier grand succès, une histoire de pirates et de trésor caché qui a été adaptée au cinéma plusieurs fois. Le livre est dédié à son beau-fils Lloyd Osbourne, qui lui inspira l'idée de l'île, de ses mystères et de son trésor.
* ''[[Prince Othon]]'' (''Prince Otto'', 1885)
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==== Nouvelles ====
* ''La Cave pestiférée'' (''The Plague Cellar'', écrit vers 1864, publié après sa mort)
* ''Quand le diable était jeune'' (''When the Devil was Well'', écrit vers 1875, publié<3 après sa mort)
* ''Lettres édifiantes de la famille Rutherford'' (inachevé, commencé vers 1876, publié après sa mort)
* ''Une chanson ancienne'' (''An Old Song'', écrit vers 1874, première nouvelle publiée de Stevenson en 1877)
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* ''Une amitié littéraire. Correspondance Henry James - Robert Louis Stevenson'', éd. Michel Le Bris, Payot.
* ''{{langue|en|Father Damien: an Open Letter to the Rev. Dr. Hyde of Honolulu}}'' (1890)
* ''Un roi barbare, essai sur [[Henry David Thoreau|H.D. Thoreau]]'', (''Henry David Thoreau : his character and opinions'', 1880), [[éditions Finitude|Finitude]], 2009, trad. Thierry Gillybœuf
* ''[[Une apologie des oisifs]]'' (''An Apology for Idlers'', 1877), Paris, Éditions Allia, 1999, 80 pp<ref>essai philosophique qui fait l'éloge de l'oisiveté contre l'acharnement au travail</ref>.
* ''Virginibus puerisque,'' [[Éditions Allia]], 2003, {{ISBN|9782844851246}}, trad. Laili Dor et Mélisande Fitzsimons
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=== Liens externes ===
* {{AutoritéLiens}}
* {{Dictionnaires}}
* {{Bases}}
* [[Projet Gutenberg]] e-texts de [http://www.gutenberg.org/browse/authors/s#a35 quelques-unes des œuvres de Robert Louis Stevenson]
* [http://www.ebooksgratuits.com/ebooks.php?auteur=Stevenson_Robert%20Louis Ses livres sur Ebooks libres et gratuits]
 
{{Palette|Robert Louis Stevenson|L'ÎleRobert Louis Stevenson au trésorcinéma et à la télévision}}
{{Portail|Écosse|littérature britannique|littérature d'enfance et de jeunesse|fantastique}}
 
{{DEFAULTSORTCLEDETRI:Stevenson, Robert Louis}}
[[Catégorie:Naissance en novembre 1850]]
[[Catégorie:Naissance à Édimbourg]]
[[Catégorie:Robert Louis Stevenson|*]]
[[Catégorie:Auteur britannique de littérature d'enfance et de jeunesse]]
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[[Catégorie:Auteur adapté par Walt Disney Pictures]]
[[Catégorie:Auteur publié dans la Bibliothèque de la Pléiade]]
[[Catégorie:Naissance à Édimbourg]]
[[Catégorie:Naissance en novembre 1850]]
[[Catégorie:Décès aux Samoa]]
[[Catégorie:Décès en décembre 1894]]
[[Catégorie:Décès à 44 ans]]
[[Catégorie:Décès aux Samoa]]
[[Catégorie:Mort d'un accident vasculaire cérébral]]