Benqué-Molère

commune française du département des Hautes-Pyrénées

Benqué-Molère est depuis le , une commune nouvelle française située dans le département des Hautes-Pyrénées en région Occitanie. Elle est issue du regroupement des anciennes communes de Benqué et Molère.

Benqué-Molère
Benqué-Molère
Vue du bourg de Benqué.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau de Lannemezan
Maire
Mandat
Christophe Muse
2020-2026
Code postal 65130
Code commune 65081
Démographie
Population
municipale
136 hab. (2021)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 05′ 44″ nord, 0° 17′ 01″ est
Altitude Min. 329 m
Max. 611 m
Superficie 3,79 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lannemezan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses
Législatives Première circonscription
Localisation
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Benqué-Molère
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Benqué-Molère
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Benqué-Molère
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Benqué-Molère

Géographie

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Entrée du village.
 
Entrée du village avec le château de Mauvezin en arrière plan.

Localisation

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Cette commune de Bigorre se situe dans les Baronnies des Pyrénées. Benqué-Molère est une commune rurale qui compte 136 habitants en 2021. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan. Ses habitants sont appelés les Benquois ou Benquoises.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Bonnemazon, Bourg-de-Bigorre, Capvern, Mauvezin, Sarlabous et Tilhouse.

Communes limitrophes de Benqué-Molère[1]
Bonnemazon Mauvezin
Bourg-de-Bigorre   Capvern
Sarlabous Tilhouse
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Géologie et relief

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Hydrographie

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La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par l'Arros, le ruisseau Tilhouse et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[3],[4].

L'Arros, d'une longueur totale de 130,8 km, prend sa source dans la commune d'Esparros et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Izotges, après avoir traversé 54 communes[5].

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

  • Moyenne annuelle de température : 12 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,1 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 040 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lannemezan », sur la commune de Lannemezan, mise en service en 1970[11] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 159,3 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 27 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[15], à 12,6 °C pour 1981-2010[16], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[17].

Voies de communication et transports

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Cette commune est desservie par les routes départementales D 14 et D 139.

Urbanisme

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Typologie

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Benqué-Molère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[18],[19],[20].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].

 
Le moulin de Benqué en 2020.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Benqué-Molère est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Arros. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[25]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2004, 2006, 2009 et 2018[26],[23].

Benqué-Molère est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[27]

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Benqué-Molère.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[28].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 66 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 91 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 68 sont en aléa moyen ou fort, soit 75 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[30].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[23].

Toponymie

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Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Benqué-Molère.

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[32] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Benqué

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Dénominations historiques :

  • De Benquerio, latin (1313, Debita regi Navarre ; 1342, pouillé de Tarbes).

Nom occitan : Benquèr.

Molère

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Dénominations historiques :

Étymologie : du gascon mola/mòla (= moulin).

Nom occitan : Molèra.

Histoire

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La nouvelle commune est effective depuis le 1er janvier 2017, entraînant la transformation des deux anciennes communes de Benqué et de Molère en « communes déléguées », dont la création a été entérinée par l'arrêté du 9 août 2016[33]. Son chef-lieu se situe à Benqué.

Politique et administration

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La mairie de Benqué en 2014.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
2017 2020 Michel Puech    
mars 2020 en cours Christophe Muse    

Rattachements administratifs et électoraux

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La mairie de Molère en 2014.

Intercommunalité

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Benqué-Molère appartient à la communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses créée en et qui réunit 57 communes.

Services publics

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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Le foyer rural en 2020
Liste des communes déléguées
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Benqué
(siège)
65081 CC des Baronnies 2,05 83 (2014) 40


Molère 65312 CC des Baronnies 1,74 36 (2014) 21

Enseignement

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La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[35].

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Héraldique

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L'église Sainte-Barbe en 2014.
 
Le puits.
 
La table d'orientation.

Benqué

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  Blasonnement :
D'azur au mont alésé d'argent, accompagné en chef de trois étoiles d'or.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

Références

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche communale de Benqué-Molère », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  4. « Carte hydrographique de Benqué-Molère » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
  5. Sandre, « l'Arros »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
  11. « Station Météo-France Lannemezan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Benqué-Molère et Lannemezan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France Lannemezan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Orthodromie entre Benqué-Molère et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  16. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  17. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  18. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lannemezan », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  23. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Benqué-Molère », sur Géorisques (consulté le ).
  24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  25. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  27. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 », sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  30. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  31. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Benqué-Molère », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  32. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
  33. « Recueil des actes administratifs des services de l'État en Hautes-Pyrénées », sur hautes-pyrenees.gouv.fr, (consulté le ).
  34. « Liste des juridictions compétentes pour Benqué-Molère », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
  35. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).