Christine Kelly
Christine Kelly, née le à Lamentin (Guadeloupe) sous le nom de Christine Tigiffon[1], est une animatrice audiovisuelle, journaliste et écrivaine française.
Membre du conseil d'administration Commission nationale française de l’Unesco (d) | |
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Présidente Fondation Alice Milliat | |
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Membre du Conseil supérieur de l'audiovisuel | |
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Naissance | |
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Nom de naissance |
Christine Eugénie Tigiffon |
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A travaillé pour |
CNews (depuis ) LCI (- Voyage () La Chaîne Météo () Archipel 4 (- Guadeloupe La Première (années 1990) Demain.TV (d) (années 1990) France 3 (années 1990) Chérie FM (années 1990) Sud Ouest (années 1990) |
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Site web | |
Distinctions |
Travaillant dans le secteur des médias à partir de 1992, d'abord en Guadeloupe puis en métropole, elle est membre du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) de 2009 à 2015. Elle préside ensuite la fondation Alice Milliat, formation européenne pour le sport féminin.
Sur CNews, elle anime depuis 2019 Face à l'info, une des émissions phare de la chaîne.
Biographie
modifierOrigines et enfance
modifierChristine Kelly est née le à Lamentin en Guadeloupe[2]. Fille d’enseignants habitant un logement de fonction dans une école, Christine Eugénie Tigiffon grandit ensuite dans une maison construite par ses parents à Lamentin[3],[4]. Elle est la deuxième enfant d'une fratrie de quatre[4].
Enfant battue, elle fera part de maltraitances subies dans un climat malveillant durant sa prime enfance, entre une mère violente et un père alcoolique[4],[5],[6]. Sa mère quitte la Guadeloupe avec ses enfants pour s'installer chez des cousins à Paris[4] ; son père, devenu sobre, les rejoint un an plus tard[4].
Après plusieurs tentatives de suicide, Christine Kelly quitte le foyer parental à l'âge de 20 ans[7],[5].
Carrière professionnelle
modifierAprès une formation scientifique, Christine Kelly se destine initialement à être hôtesse de l'air mais renonce à cette idée pour se tourner, encore sans formation, vers la télévision[8].
Animatrice dans les médias guadeloupéens (1992-1996)
modifierEn 1992, Christine Kelly rejoint la télévision privée Archipel 4, en Guadeloupe, pour y animer Caribscope, un rendez-vous bilingue (français-anglais)[9]. En parallèle, elle anime une émission de libre antenne sur la radio K’danse FM. Deux ans plus tard, elle devient présentatrice sur RFO Guadeloupe[10].
Débuts en métropole (1996-2000)
modifierEn 1996, Christine Kelly abandonne la présentation pour devenir journaliste, en suivant à 27 ans une formation à l'Institut national de l'audiovisuel puis à l'Institut de journalisme Bordeaux-Aquitaine[10],[11]. Elle réalise ensuite des reportages pour plusieurs stations régionales de France 3, en travaillant parallèlement pour le service politique de RFO, la radio Chérie FM et le quotidien Sud Ouest. En 1997, elle participe à la création de Demain.TV, la chaîne de l'emploi de Canal+[12] En 1999, elle travaille sur La Chaîne Météo et Voyage[13].
Journaliste à LCI (2000-2009)
modifierEn , elle rejoint la chaîne d'information en continu LCI pour y présenter les journaux du matin[14], tout en animant une émission mensuelle sur RFO et en devenant consultante pour l'UNESCO[10]. Elle est alors la première présentatrice noire en métropole[13]. De à , elle est la rédactrice en chef et présentatrice d'une émission sur le développement durable, Le Magazine, sur Ushuaïa TV[10],[8].
Après six mois d'enquête pour écrire une biographie de François Fillon, elle retrouve l'antenne en pour animer les journaux de l'après-midi sur LCI et coprésenter Terre-Mère, un rendez-vous hebdomadaire sur l'environnement[8].
À partir de , elle anime LCI Matin week-end le vendredi de 6 h à 9 h et les journaux du samedi au dimanche de 6 h 30 à 10 h 30[15].
Membre du CSA (2009-2015)
modifierLe , sans avoir pour autant postulé[16], elle est nommée au Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), l'autorité de régulation de l'audiovisuel en France, par Gérard Larcher, alors président du Sénat[17]. Elle est la plus jeune membre du CSA[18] et la première issue d'un territoire d'outre-mer[19]. À cette époque, il est question que Nicolas Sarkozy lui confie une mission gouvernementale voire un portefeuille mais Christine Kelly indique préférer finir son mandat au CSA[19],[20].
Au CSA, Christine Kelly obtient des chaînes de télévision qu'elles sous-titrent leurs programmes pour les sourds et malentendants et baissent le niveau sonore de la publicité, après vingt ans d'attente en France, une première mondiale[21]. Elle demande également aux chaînes d'information de faire des JT en langue des signes, une première en France[22].
En 2009, un projet de loi est discuté au Parlement visant à encadrer la publicité alimentaire pendant les programmes pour la jeunesse[23]. Face au risque d'interdiction, le CSA établit une « charte alimentaire »[24] dans laquelle les annonceurs formulent des engagements. En tant que présidente de la mission « Santé et développement durable » du CSA, Christine Kelly défend ce texte :
« Si la suppression de la publicité alimentaire dans les programmes pour enfants est loin d'être un instrument efficace dans le combat contre l'obésité, ses conséquences économiques seraient en revanche certaines sur notre secteur audiovisuel »[25].
La charte est considérée comme inefficace par UFC Que choisir[26] et par des experts en nutrition car étant non contraignante et privilégiant, selon eux, le financement par les médias de la lutte contre l’obésité[27],[28]. La réglementation de la publicité pour des aliments qui sont gras, sucrés et salés à destination des mineurs a démontré son efficacité à la suite de travaux scientifiques, d'expériences et même de sa mise en place dans certains pays[29].
En 2013, Christine Kelly rend possible la citation de Facebook et Twitter à la radio et la télévision, ce qui était jusqu’alors interdit, et définit les contours du placement de produits en France dans les fictions[30], jusqu'alors interdit à la télévision[31].
En 2012, elle préconise la réduction de cinq à deux semaines de la période pendant laquelle les candidats à une élection présidentielle ont égalité de temps de parole[32].
Face au manque de médiatisation du sport féminin dans les médias, Christine Kelly, également présidente de la mission « sports » au Conseil supérieur de l’audiovisuel, décide de créer la première journée internationale du sport féminin dans les médias : 24 heures du sport féminin (2013)[33],[9]. Une deuxième édition des 24 heures du sport féminin est organisée par Christine Kelly le [34].
Activités après le CSA (2015-2018)
modifierEn 2015, elle lance le projet d'un Musée européen des médias ou Villa Média, dont l'ouverture au public est programmée pour 2019 à Saint-Denis, dont elle devient présidente[35],[36]. En ligne avec ce projet, elle organise des journées de débat et de réflexions consacrées à l'éducation aux médias, auxquelles participent de nombreuses personnalités[37]. Dans le même temps, elle est élue présidente du jury de l’édition 2015 des Globes de Cristal, récompenses décernées par la presse française dans le domaine des arts et de la culture[9].
Jusqu'en octobre 2020, elle préside la fondation Alice Milliat, seule fondation européenne pour le sport féminin, lancée en 2016 en présence du président de la République François Hollande[38]. Elle est ambassadrice de l'Euro 2016, nommée au « 11 Tricolore » par François Hollande[39],[9].
En mars 2018, elle rejoint l'équipe de Touche pas à mon poste !, sur C8, en tant que chroniqueuse[40]. Durant l'été 2018, elle anime une émission de portraits et retrace le parcours de son invité dans une émission hebdomadaire diffusée le dimanche sur RTL. De plus, elle anime un débat quotidien sur CNews (chaîne au sein de laquelle elle intervient dans l'émission Punchline en compagnie de Laurence Ferrari) à la mi-journée, toujours durant l'été. Depuis la rentrée 2018, elle est également chroniqueuse régulière sur le nouveau magazine de Cyril Hanouna Balance ton post !, sur C8.
Animatrice de Face à l'info (depuis 2019)
modifierÀ partir de la rentrée 2019, Christine Kelly anime sur CNews l'émission Face à l'info, qui est diffusée de 19 à 20 heures du lundi au vendredi[41].
L’émission fait polémique en raison de la place accordée à l'écrivain et polémiste d’extrême droite Éric Zemmour[42]. Dès son lancement, des personnalités annoncent boycotter la chaîne, tandis que Christine Kelly reçoit des menaces de mort[41],[43]. Elle fait l’objet de nombreuses pressions et critiques, ses détracteurs l'estimant trop complaisante avec les idées exprimées par son chroniqueur. Elle a publiquement pris ses distances[Quand ?] avec les opinions[Lesquelles ?] d’Éric Zemmour[41].
Rapidement, Face à l’info devient l’émission-phare de la chaîne télévisée et réalise des audiences records, ce qui permet à CNews d’arriver en tête des chaînes d'information en continu sur cette tranche horaire, devant BFM TV[41],[44]. Selon le service CheckNews de Libération, elle y assène les idées de la droite dure en l’absence de tout contradicteur, en « enchaînant fake news et affirmations non ou mal sourcées »[45].
À partir de janvier 2021, Christine Kelly anime chaque dimanche sur CNews l'émission La Belle Histoire de France, en compagnie de Franck Ferrand et Marc Menant[46].
En novembre 2021, Christine Kelly porte plainte après avoir reçu des menaces de mort par SMS. En janvier 2022, l'affaire est saisie par le parquet de Paris[47]. Le harceleur est condamné en octobre de la même année, à 18 mois de prison avec sursis, un stage de citoyenneté contre le cyberharcèlement et une interdiction d'entrer en contact direct et indirect avec Christine Kelly durant cinq ans[48].
En avril 2023, elle devient marraine du média en ligne Factuel, orienté « nettement à droite »[49],[50].
Par sa décision du , l'Arcom sanctionne CNews à hauteur de 50 000 euros pour le Face à l’info du , animé par Christine Kelly, en raison d’un manquement à l’obligation d’honnêteté et de rigueur dans la présentation et le traitement de l’information[51],[52].
Engagements associatifs
modifierÀ partir de 2006, Christine Kelly est membre du comité d'orientation de l'agence Reporters d'espoirs[53].
Elle crée, en , la Fondation K d’urgences, sous l’égide de la Fondation de France, une entité consacrée à l’aide des familles mono-parentales. Cet engagement fait écho à une partie de sa propre enfance, pendant laquelle elle a fait l'objet de maltraitance et s'était retrouvée seule avec son frère et sa mère[4],[6].
Un fonctionnement de speed-dating gratuit a été mis en place par cette fondation entre des huissiers de justice et des familles monoparentales pour que ces dernières puissent récupérer les pensions alimentaires non payées[54],[55]. Elle est soutenue, entre autres, par Charles Aznavour, Claire Chazal et Michel Drucker[56]. La fondation organise chaque année la journée K, qui accueille près de 3 000 familles, en faisant le plus grand rassemblement de familles monoparentales en France. En 2017, la cinquième édition de la journée K a été organisée sous le patronage de Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France[57],[58].
Début 2013, Christine Kelly fait dix propositions pour aider les familles monoparentales qu'elle remet à François Hollande. En , elle lance la charte de la monoparentalité, qui est signée par 22 entreprises, en faveur de l'emploi pour les familles monoparentales[59].
Nommée en 2015 par Gérard Mestrallet, elle est administratrice de la Fondation Engie, qui soutient des projets notamment au profit de l'enfance et de l'emploi[9].
Résumé de ses activités professionnelles
modifierPublications
modifier- L'Affaire Flactif : enquête sur la tuerie du Grand-Bornand, Paris, éditions Calmann-Lévy, , 224 p. (ISBN 2-7021-3655-9)Enquête sur le meurtre de Xavier Flactif et sa famille le (affaire Flactif)[60]
- François Fillon : le secret et l’ambition, Paris, éditions du Moment, , 345 p. (ISBN 978-2-35417-020-2 et 2-35417-020-3)Première biographie du Premier ministre français[61]
- Avec William Gallas, La Parole est à la défense, Paris, éditions du Moment, , 175 p. (ISBN 978-2-35417-035-6 et 2-35417-035-1)Autobiographie du footballeur William Gallas, en collaboration avec Christine Kelly[62]
- Le Scandale du silence : familles monoparentales, Paris, éditions Léo Scheer, coll. « Documents », , 213 p. (ISBN 978-2-7561-0368-6)
- Invitée surprise, Paris, éditions du Moment, , 220 p. (ISBN 978-2-35417-455-2 et 2-35417-455-1)
- François Fillon : les coulisses d'une ascension, L'Archipel,
- Libertés sans expression, Paris, Cherche Midi, , 157 p. (ISBN 978-2-7491-7219-4)
- avec Marc Menant, Ces destins qui ont fait l’Histoire, Paris, Plon, , 240 p. (ISBN 978-225931763-4)
- Femmes en politique : premier bilan, Cherche Midi, (ISBN 978-2-7491-7828-8)
Parcours dans les médias
modifier- 1992-1996 : Caribscope sur Archipel 4
- 1997 : animatrice sur Demain TV
- 1999 : animatrice sur La Chaîne Météo
- 1999 : animatrice sur Voyage
- 2000 : animatrice sur RFO
- 2000-2007 : journaux du matin sur LCI
- 2005-2006 : Le Magazine sur Ushuaïa TV
- 2008-2009 : LCI Matin week-end sur LCI
- 2008-2009 : journaux du samedi au dimanche de 6 h 30 à 10 h 30 sur LCI
- 2018 : Et si : animatrice sur RTL
- 2018-2019 : Touche pas à mon poste ! sur C8
- 2018-2019 : Débat sur CNews
- 2018-2020 : Balance ton post ! sur C8
- 2019 : Présumé innocent sur C8
- Depuis 2019 : Face à l'info sur CNews
- 2021-2022 : La Belle Histoire de France sur CNews
- 2023 : Mourir n'est pas tuer : le débat sur C8
- 2024 : Familles monoparentales : leur combat au quotidien sur C8
Distinctions
modifierDécorations
modifier- 2010 : Chevalier de l'ordre national du Mérite[63].
- 2021 : Officier de l'ordre national du Mérite[64].
Récompenses
modifier- 2002 : prix de la meilleure journaliste de BlackWorld Victories Awards[65].
- 2003 : prix de la European Federation of Black Women Business Owners, remis à Londres lors d'une soirée de gala des femmes d'affaires noires d'Europe parrainée par Cherie Blair[66].
- 2004 : trophée Africagora des femmes[10].
- 2008 : prix de la biographie politique pour François Fillon, le secret et l'ambition lors de la 13e édition de la Forêt des livres[67],[8].
- 2010 : prix du Gotha Noir de la catégorie « Hauts cadres » pour la promotion de l'égalité des chances des Noirs et de la diversité culturelle afro-caribéenne[68].
- 2021 : Grand Prix humanitaire de France.
- 2024 : Prix Richelieu décerné par l'association Défense de la langue française.
Notes et références
modifier- Prisma Média, « Christine Kelly - La biographie de Christine Kelly avec Voici.fr », sur Voici.fr, (consulté le )
- « Qui est vraiment Christine Kelly, animatrice de « Face à l’info » ? », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- P.L.N, « Christine Kelly : la Grande-Bretagne la voit ministre », voici.fr, 25 mars 2009.
- Christine Kelly, interviewée par Karine Grunebaum, « Le jour où j'ai pardonné à mes parents », Paris Match, semaine du 28 juin au 4 juillet 2018, p. 122.
- Rania Hoballah, « "Je me suis longtemps cachée derrière mon sourire" : Christine Kelly revient avec émotion sur son passé d'enfant battue », sur LCI, (consulté le )
- François Rousseaux, « Christine Kelly, l’animatrice de “Face à l'info” sur CNews : l’alibi parfait d’Éric Zemmour ? », sur Télérama, (consulté le )
- Elise Poiret, « Christine Kelly, son passé d'enfant battue : "Ma mère me frappait avec une rallonge électrique" », sur femmeactuelle.fr, (consulté le ).
- « Christine Kelly », sur Premiere.fr (consulté le )
- « Christine Kelly », sur Christine Kelly, (consulté le )
- « Christine Kelly », gala.fr.
- Fiche de Christine Tigiffon, Institut de journalisme Bordeaux-Aquitaine, consulté le 15 février 2013
- Cyrille Nono, Hervé Mbouguen, Christine Kelly, journaliste sur LCI Grioo.com, 11 novembre 2003.
- Marc Pellerin, « Christine Kelly, une sage qui s’engage », Le Parisien, , p. 38 (lire en ligne).
- Guy Dutheil, « Christine Kelly, sur LCI, assume volontiers son rôle d'icône », Le Monde, 27 novembre 2005.
- Emmanuel Galiero, « Christine Kelly : « Oui, je souhaite relever de nouveaux défis » », TV Magazine, .
- « L’ex-journaliste de LCI a décidé de changer de vie », csa.fr, 27 février 2009.
- « Françoise Laborde et Christine Kelly nommées au CSA », sur ozap.com, .
- « Christine Kelly (membre du CSA) présente au Festival de Cannes du 17 au 19 mai 2013 », hellocoton.fr, 29 avril 2013.
- Laurent Telo, « Qui est vraiment Christine Kelly, animatrice de « Face à l’info » ? », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « L'Elysée dément l'entrée de la journaliste Christine Kelly au gouvernement », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Publicité : bientôt la fin du son plus fort à télévision », lci.tf1.fr, 14 octobre 2011.
- « Christine Kelly sur tous les fronts au CSA », tvmag.lefigaro.fr, 21 septembre 2009.
- « Publicité : enfants au régime ? », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- « La charte alimentaire - CSA - Conseil supérieur de l’audiovisuel », sur www.csa.fr (consulté le )
- « Lutte contre l'obésité infantile : Les paradoxes de la télévision, partenaire d'une régulation à la française, par Christine Kelly », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Réalité des engagements de l’agro-alimentaire sur l’obésité infantile… », sur www.quechoisir.org (consulté le )
- « Lutte contre l'obésité : soyons cohérents ! par François Bourdillon, Serge Hercberg », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Michel Desmurget, La fabrique du crétin digital - Les dangers des écrans pour nos enfants, éditions du Seuil, (ISBN 978-2-02-142332-7, lire en ligne).
- Serge Hercberg, Mange et tais-toi : Un nutritionniste face au lobby agroalimentaire, HumenSciences, , 288 p. (ISBN 9782379313257).
- « Christine Kelly dans Média +, au sujet de la citation des réseaux sociaux à l'antenne », csa.fr, 9 janvier 2013.
- Marie-Catherine Beuth, « Le placement de produits entre en vigueur à la télé », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
- « Temps de parole : de nouvelles règles ? », lefigaro.fr, 12 octobre 2012.
- Deuxième édition des "24 heures du sport féminin", le samedi 24 janvier 2015, CSA - 04.11.2014
- 24 heures du sport féminin : une 2e édition en janvier, le Figaro TV, 11.11.2014
- « Christine Kelly : "Pour le musée des médias, nous avons choisi Saint-Denis" », Le JDD, [1]
- « Christine Kelly confronte les «pro» des médias au grand public », TV Mag Le Figaro, (lire en ligne)
- Journée d’éducation aux médias : Christine Kelly lance la deuxième édition, Le Figaro TV, 21 novembre 2016
- http://alicemilliatchallenge.com/fr/foundation
- « Euro 2016: François Hollande a présenté le Comité des 11 Tricolores », sur L'Équipe (consulté le )
- V. J., « «TPMP»: Christine Kelly, ex-membre du CSA, rejoint l'émission de Cyril Hanouna », 20 minutes, (lire en ligne, consulté le ).
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- François Rousseaux, « Christine Kelly, l’animatrice de “Face à l'info” sur CNews : l’alibi parfait d’Éric Zemmour ? », Télérama, 23 juin 2021.
- « « Nous n’irons plus sur CNews » : l’émission de Zemmour suscite une vague de boycott », sur nouvelobs.com,
- « CNews dépasse BFM TV pour la première fois, et c'est grâce à Eric Zemmour », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
- Cédric Mathiot, « «Face à l’info» sur CNews: Christine Kelly ou la désinformation en continu », sur Libération (consulté le )
- Benjamin Meffre, « Franck Ferrand rejoint "Valeurs actuelles" et CNews », sur ozap.com, (consulté le ).
- « Une enquête ouverte par le parquet de Paris après des menaces de décapitation adressées à Christine Kelly », sur guadeloupe.franceantilles.fr (consulté le ).
- La journaliste Christine Kelly réagit pour la première fois à la condamnation d’un homme pour cyberharcèlement envers elle: "On n’a pas le droit d’être harcelée et insultée parce qu’on fait son métier", jeanmarcmorandini.com, 5 octobre 2022
- Brice Laemle, « « Factuel », un nouveau média en ligne parrainé par Christine Kelly et Dominique Rizet », Le Monde.fr, (lire en ligne , consulté le )
- Elsa de La Roche Saint-André, « «Factuel», nouveau média de la galaxie Stéphane Simon marrainé par Christine Kelly: «ni de droite ni de gauche», mais surtout de droite » , sur Libération, (consulté le )
- CheckNews, « CNews et Christine Kelly sanctionnées par l’Arcom pour «manquement à l’honnêteté de l’information» : une décision rarissime », liberation.fr, (lire en ligne , consulté le )
- « Décision n° 2024-43 du 17 janvier 2024 portant sanction pécuniaire à l'encontre de la Société d'exploitation d'un service d'information (SESI) », sur arcom.fr, (consulté le ).
- « Christine Kelly », sur purepeople.com (consulté le )
- Marie-Laure Makouke, Christine Kelly : son combat pour aider les familles monoparentales, Terra Femina, 13 mars 2012
- « Fondation K d'Urgences », sur parent-solo.fr (consulté le )
- Emmanuel Galiero, « Christine Kelly : « Mon combat pour les familles monoparentales » : Elle vient de lancer l'opération 2000 femmes pour 2012 », TV Magazine, , p. 22
- Les parents solo soutenus, Direct Matin, 18 mai 2017
- "Journée K" au Jardin d’Acclimatation : le plus grand rassemblement des familles monoparentales, LCI, 1er juin 2016
- Monoparentalité et emploi: "Dissiper le silence", L'Express - 03.06.2014
- [vidéo] « Face à l'auteur » : Interview de Christine Kelly sur Dailymotion,
- [vidéo] « Christine Kelly présente son livre sur François Fillon » sur grioo.com,
- « Christine Kelly (LCI) va publier une bio de William Gallas » sur le blog de Jean-Marc Morandini,
- Emmanuel Berretta, « La patronne de l'info de TF1 décorée par Sarkozy », sur lepoint.fr,
- « Décret du 24 novembre 2021 portant promotion et nomination dans l'ordre national du Mérite », sur www.legifrance.gouv.fr, (consulté le ).
- « Minorités visibles : Christine Kelly », sur linternaute.com (consulté le ).
- Jean-Michel Maire, « Christine Kelly, déjà reine en Angleterre », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- « Premier prix pour Christine Kelly », Télé Loisirs,
- « Christine Kelly récompensée au Gala du Gotha Noir à Paris », sur jeanmarcmorandini.com,
Liens externes
modifier
- Site officiel
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Guy Dutheil, « Christine Kelly, sur LCI, assume volontiers son rôle d'icône », Le Monde, 27 novembre 2005.
- Vincent Jolly, « Christine Kelly, l’animatrice qui dérange les bien-pensants », Le Figaro, 19 juin 2020.
- François Rousseaux, « Christine Kelly, l’animatrice de “Face à l'info” sur CNews : l’alibi parfait d’Éric Zemmour ? », Télérama, 23 juin 2021.
- « Christine Kelly », sur www.blaque.fr, (consulté le ) : courte biographie de Christine Kelly.