Le mécanisme de cette réaction, qui fait intervenir successivement les enzymes E1, E2 et E3, chacune avec ses cofacteurs, est assez complexe, et peut être résumé par le schéma simplifié ci-dessous :
↑A. Mattevi, G. Obmolova, E. Schulze, K. H. Kalk, A. H. Westphal, A. de Kok, W. G. Hol « Atomic structure of the cubic core of the pyruvate dehydrogenase multienzyme complex », dans Science, vol. 255, 1544-1550, 1992.
↑(en) Ute Neveling, Stephanie Bringer-Meyer et Hermann Sahm, « Gene and subunit organization of bacterial pyruvate dehydrogenase complexes », Biochim. Biophys. Acta, vol. 1385, , p. 367-372 (PMID9655937)
↑M. Smolle, A. E. Prior, A. E. Brown, A. Cooper, O. Byron, J. G. Lindsay, « A new level of architectural complexity in the human pyruvate dehydrogenase complex », dans J. Biol. Chem. vol. 281, 19772-19780, 2006.
↑(en) S. Vijayakrishnan, S. M. Kelly, R. J. C. Gilbert, P. Callow, D. Bhella, T. Forsyth, J. G. Lindsay et O. Byron, « Solution Structure and Characterisation of the Human Pyruvate Dehydrogenase Complex Core Assembly », Journal of Molecular Biology, vol. 339, no 1, , p. 71-93 (ISSN0022-2836, lire en ligne) DOI10.1016/j.jmb.2010.03.043