Coriolan Petran
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Coriolan Petran (parfois Petranu), né le dans la commune de Șiria et mort le , est le premier historien de l'art roumain de Transylvanie[1].
| Naissance | |
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École d'histoire de l'art de Vienne (en) Université de Vienne |
| Activité |
Biographie
modifierDescendant d'une famille anoblie en 1716 par l'empereur Charles VI pour mérite militaire, et originaire du județ de Sălaj, son père, Ioan Petranu, installé à Mâsca, dans le județ d'Arad, étudie la philosophie à l’université de Budapest et en sort doctorant en 1901. Il marie Aurelia Onu, avec laquelle il a deux enfants : Coriolan et Veturia. Il devient par la suite professeur à l'institut théologique d'Arad [2].
Étudiant de l'université de Vienne de 1913 à 1918, Coriolan Petran a toujours été intéressé par l'art roumain de Transylvanie. Il distingue notamment deux types d'arts : l'art noble et l'art populaire[3].
En 1919, il devient professeur d'histoire de l'art à l'université François-Joseph Ier[3], renommée université Ferdinand Ier en 1927, à la suite de la mort de Ferdinand Ier.
Distinctions
modifier- Chevalier de l'ordre de la Couronne en 1923.
Références
modifier- (en) Université Babeș-Bolyai, « REPERELE METODOLOGICE ALE OPEREI LUI CORIOLAN PETRAN », (consulté le ).
- (ro) Elena Rodica Colta, Administraţie românească arădeană Studii şi comunicări, vol. II, „Vasile Goldiş” University Press, , 383 p. (ISBN 978-973-664-489-4, lire en ligne), p. 170-178.
- Valentin Trifescu, Art religieux et identité régionale dans les écrits de Coriolan Petranu (1893-1945) et d’Aurel Cosma (1901-1983), Editura Universităţii „Alexandru Ioan Cuza”, .
