Criquetot-l'Esneval
Criquetot-l'Esneval est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Criquetot-l'Esneval | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Le Havre | ||||
Intercommunalité | Le Havre Seine Métropole | ||||
Maire Mandat |
Alain Fleuret 2020-2026 |
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Code postal | 76280 | ||||
Code commune | 76196 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Criquetotais | ||||
Population municipale |
2 567 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 191 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 38′ 40″ nord, 0° 16′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 94 m Max. 136 m |
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Superficie | 13,47 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Criquetot-l'Esneval (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Le Havre (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Octeville-sur-Mer | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | https://www.criquetot-lesneval.net/ | ||||
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Géographie
modifierLocalisation
modifierCommune de Seine-Maritime au nord-est du Havre, Criquetot-l'Esneval est située dans le pays de Caux.
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Carte de la commune.
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Entrée de l'agglomération.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 994 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Octeville-sur-Mer à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 790,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Criquetot-l'Esneval est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Criquetot-l'Esneval[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,8 %), prairies (14,5 %), zones urbanisées (8,8 %), zones agricoles hétérogènes (2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous la forme Criketot en 1195[14], Criketot le Vennesval en 1198, Criquetot l'Esneval en 1396 (Archives départementales de la Seine-Maritime, Tab. Rouen reg. 6 f. 219 v.)[15].
Il s'agit d'un type toponymique médiéval issu de l'ancien scandinave et composé des éléments kirkja « église »[14] (cf. anglais dialectal kirk et norvégien kirke) et topt, toft « emplacement, terrain »[14] (cf. scandinave moderne toft).
Homonymie avec Criquetot-le-Mauconduit, Criquetot-sur-Ouville et Criquetot-sur-Longueville[14], équivalents du nom commun féroïen kirkjutoft et islandais kirkjutótt et des noms de lieux anglais Kirketoftes, Cockerington, Lincolnshire, Kirketoftes XIIIe siècle et Kirketoftes, f.n., YWR. Kirketoftes, Kyrketoftes en 1365).
L'appellatif kirkja se retrouve également dans les nombreux Criquebeuf (en composition avec le norrois de l'est *bóð, variante de l'ouest búð « baraque, village ») et dans Yvecrique et la Crique[14].
Le déterminant complémentaire -L’Esneval se réfère à la famille seigneuriale du même nom[14]: les barons d’Esneval, dont le manoir se situait à Pavilly, au bord de l’Esne (*Esne-val)[Note 3]. Cependant, les formes les plus anciennes relevées au Moyen Âge, à savoir : In Criketot le Vennesval, 1198 ; Apud Criquetot, assensu domini mei R. de Wesneval, sans date et Criquetot dom. de Hoisneval, vers 1240[15] s'opposent à l’interprétation du nom de personne Esneval comme un *Esne-val. Au contraire, le passage du W- à V- est régulier à partir du XIIe siècle dans le dialecte normand et l'amuïssement complet de W(e)- / W(i)- > -∅ fréquemment observé dans la toponymie normande cf. Elbeuf (Wellebuoth-[sur-Seine] 1070-1081)[14] ou Illeville-sur-Montfort (Willervilla / Willevilla au XIIIe siècle ; Villevilla 1266)[16].
Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de La Hauteur[17].
Histoire
modifierContexte géographique
modifierLe bourg de Criquetot-l’Esneval se trouve au point de rencontre de routes d’importances diverses : chemin de grande communication no 139 de Lillebonne à Antifer, no 39 de Tancarville à Étretat, no 79 d’Octeville à Fécamp. Ces voies ont toutes et, en particulier la dernière citée, des origines fort anciennes. La voie romaine joignant Harfleur à Fécamp passait non loin du tumulus situé au centre du bourg et ce seul fait permet de supposer comment est né le village et comment il a grandi[18]. La région où se trouve Criquetot était une zone de passage des échanges entre ce qui est l’Angleterre et le Sud de la Gaule, avec une industrie du bronze sur les rives de la Seine à Sandouville. L’étain venait par mer dans les ports d’Étretat et d’Yport, puis gagnait la Seine par portage au travers du plateau. Le village de Criquetot se trouvait bien près de l’un de ces sentiers et a pu être un lieu étape ou de refuge pour les marchands, et point de surveillance, étant donné l’altitude du lieu.
Données factuelles
modifierPréhistoire
modifierla présence de l’homme à Criquetot-l’Esneval remonte à la Préhistoire ; la mise au jour de haches en pierre polie entre le manoir de Mondeville et la ferme de l’Écluse, de haches en bronze dans cette même partie de la commune, indique d’une manière certaine le passage d’humains et, probablement, leur séjour sur le territoire[19].
Antiquité
modifierUne fouille archéologique au lieu-dit Le Beuzebosc qui a donné des résultats très modestes, a cependant révélé une occupation (au sens archéologique) rurale gauloises et antiques dont le cœur peut se situer hors de l’emprise étudiée[20].
Le plus ancien monument, appelé « chasteau » est la motte de terre toujours visible dans le jardin de monsieur Golain, du journal de Criquetot. Cette butte de terre de construction artificielle constituait l’un des nombreux postes de surveillance militaire, destinés à protéger les voies de communication[19].
Moyen Âge
modifierUne église romane est bâtie à Criquetot-l'Esneval au XIe siècle. Seule la tour du clocher demeure de ce premier édifice. Reconstruite en 1848 après un incendie, l'église conserve les transepts qui avaient été ajoutés en 1535[21].
Louis XI édifie le marché du village en 1476, Charles IX séjourne en 1563 au camp d’Azelonde, venant assiéger le Havre alors occupé par les Anglais. La région est un important foyer protestant durant le XVIe siècle. Criquetot est le centre de la baronnie jusqu’au XVIe siècle.
Époque classique
modifierLe château a été édifié au début du XVIIe siècle par la famille de Prunelay, au moment où le domaine a été détaché de la baronnie d'Esneval. Les seigneurs de Criquetot y résident jusqu'en 1789[21]. De 1606 à 1654, le patronage de Criquetot est aux mains de Claude de Prunelay. Maximilien Dastron est le dernier seigneur de Criquetot-l’Esneval, seul héritier des terres de ses aïeux, de 1762 à 1789, date à laquelle il dut partir à la Révolution, pour mourir à Rouen en 1806[19].
Temps modernes
modifierL’Empire établit une brigade de gendarmerie de cinq hommes à pied en 1804 dont demeure l'ancien siège de la gendarmerie. Jean-Baptiste Maximilien Fiquet, notaire et maire de Criquetot presque sans interruption entre 1833 et 1854, entreprend de faire édifier une mairie servant aussi de tribunal à la justice de paix. Il se substitue à la commune en finançant personnellement la construction de ce bâtiment, achevé en 1839, face à la halle au blé et à la porte de l’ancien manoir seigneurial[19].
Politique et administration
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].
En 2021, la commune comptait 2 567 habitants[Note 4], en évolution de +1,74 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption de Criquetot-l'Esneval. Cet édifice hétérogène a conservé son clocher originel du XIe siècle et ses deux chapelles latérales du XVIe formant autrefois transept. Reconstruite en 1848, le reste du chœur et le clocher, antérieurement situé à la croisée deviennent l'entrée et le narthex prolongés par la nef en brique qui se termine à son extrémité occidentale par un chevet polygonal[30],[31]. Elle abrite trois grand tableaux d'église dont deux sont inscrits sur la base Palissy[32],[33], deux de ses sculptures font également l'objet d'une inscription[34],[35].
- Le manoir de l'Écluse et son colombier[36],[37].
- Le manoir d'Azelonde a été détruit[38].
- L'ancienne gare de Criquetot-l'Esneval.
- La motte féodale. Trois mottes castrales étaient encore connues en 1840[39].
- L'ancienne gendarmerie impériale.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption.
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Manoir de l'Écluse.
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L'ancienne gare.
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L'ancienne gendarmerie impériale.
Personnalités liées à la commune
modifierVoir aussi
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Criquetot-l'Esneval sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
modifierNotes
modifier- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les seigneurs d'Esneval, dans le Pays de Caux, ont traditionnellement porté le titre honorifique de vidame de Normandie.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Criquetot-l'Esneval et Octeville-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Octeville » (commune de Octeville-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Octeville » (commune de Octeville-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Criquetot-l'Esneval », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Criquetot-l'Esneval ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 64.
- Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 286.
- François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 130 - 131.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Maurice Begouën Demeaux, « Noms de lieux dans l'ouest du pays de Caux (suite) », Revue internationale d'onomastique, vol. 26, no 1, , p. 1–16 (DOI 10.3406/rio.1974.2169, lire en ligne, consulté le )
- « Histoire de la commune, Patrimoine »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur criquetot-lesneval.net (consulté le ).
- David Honoré, « Criquetot-l’Esneval – Le Beuzebosc », Fouille préventive (2019), in ADLFI. Archéologie de la France - Informations, Mars 2022 (lire en ligne sur Journals Openeditions) [1]
- Mairie de Criquetot-l'Esneval, « Criquetot l'Esneval : parcours historique et du patrimoine » (consulté le )
- « Un nouveau maire à ... », Carnet, Association départementale des maires 76 (consulté le ) : « Elu municipal à Criquetot-l'Esneval depuis 1977, Alain Fleuret a été élu maire en remplacement de Charles Spriet, qui avait récememment démissionné de sa fonction. ».
- Annuaire des Mairies de Seine Maritime (76)
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Alain Fleuret élu au premier tour : Les Criquetotais et Criquetotaises ont renouvelé leur confiance au maire sortant. », Le Côte d’Albâtre, (lire en ligne).
- « Municipales 2020 : à Criquetot-l’Esneval, le maire sortant Alain Fleuret brigue un 4e mandat », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Alain Fleuret brigue un 4e mandat à la tête de la mairie de Criquetot et un 8e mandat en tant qu’élu. Maire depuis 2005, Alain Fleuret mène la liste « Continuons à dynamiser Criquetot » avec une équipe renouvelée ».
- « Criquetot-l'Esneval. Alain Fleuret maire pour la quatrième fois », Le Courrier cauchois, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Jean Benoit Désiré Cochet, Histoire communale de Criquetot-l'Esneval, rédigée d'après les manuscrits de l'abbé Lebret, , 26 p. (lire en ligne), p. 8-10
- « Histoire et patrimoine », sur Criquetot l'Esneval site officiel de la mairie (consulté le ).
- « Christ au Jardin des Oliviers », notice no PM76005851, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Jésus tombant sous le poids de la Croix », notice no PM76005850, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Vierge de Pitié », notice no PM76005356, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Saint Fiacre », notice no PM76005355, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Manoir de l'Écluse », notice no PA00101122, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Serge Rouverand (préf. Philippe Manneville), Colombiers en Seine-Maritime, Darnétal, Petit à petit, , 130 p. (ISBN 2-914401-54-X), p. 57.
- « Manoir d'Azelonde », notice no PA00100612, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Jean Benoit Désiré Cochet 1840, p. 12.