Jérôme Guedj

homme politique français

Jérôme Guedj [ ʒeʁom ɡɛdʒ][1], né le à Pantin (Seine-Saint-Denis), est un haut fonctionnaire et homme politique français.

Jérôme Guedj
Illustration.
Jérôme Guedj à Paris, en 2010.
Fonctions
Député français
En fonction depuis le
(2 ans, 5 mois et 6 jours)
Élection 19 juin 2022
Réélection 7 juillet 2024
Circonscription 6e de l'Essonne
Législature XVIe et XVIIe (Cinquième République)
Groupe politique SOC
Coalition NUPES
Prédécesseur Stéphanie Atger

(1 an, 9 mois et 10 jours)
Élection 17 juin 2012 (suppléant)
Circonscription 6e de l'Essonne
Législature XIVe (Cinquième République)
Groupe politique SRC
Prédécesseur François Lamy
Successeur François Lamy
Conseiller régional d'Île-de-France
En fonction depuis le
(3 ans, 4 mois et 26 jours)
Élection 27 juin 2021
Circonscription Essonne
Président Valérie Pécresse
Conseiller départemental de l'Essonne

(6 ans, 2 mois et 29 jours)
Élection 29 mars 2015
Circonscription Canton de Massy
Prédécesseur Canton recréé
Successeur Nicolas Samsoen
Président du conseil général de l'Essonne

(4 ans et 2 jours)
Élection 27 mars 2011
Prédécesseur Michel Berson
Successeur François Durovray
Premier vice-président du conseil
général de l'Essonne
[Note 1]

(3 ans et 1 mois)
Président Michel Berson
Prédécesseur Thierry Mandon
Successeur Francis Chouat
Conseiller général de l'Essonne

(17 ans et 5 jours)
Élection 22 mars 1998
Réélection 28 mars 2004
27 mars 2011
Circonscription Canton de Massy-Est
Prédécesseur Odile Moirin
Successeur Canton supprimé
Biographie
Date de naissance (52 ans)
Lieu de naissance Pantin (France)
Nationalité Française
Parti politique PS (depuis 1993)
Conjoint Émilie Frèche
Diplômé de IEP de Paris
ENA
Profession Inspecteur des affaires sociales

Membre du Parti socialiste, il est suppléant de François Lamy de 1997 à 2002. Il est conseiller régional d'Île-de-France depuis 2021 et candidat à la députation dans la 6e circonscription de l'Essonne aux élections législatives de 2024. Il avait remporté cette circonscription en 2022 avec 53,36 %[2] des voix face à Amélie de Montchalin.

Il a été député de la sixième circonscription de l'Essonne de 2012 à 2014 puis de 2022 à 2024, président du conseil général de l'Essonne de 2011 à 2015 et conseiller départemental de l'Essonne de 1998 à 2021 (élu dans le canton de Massy-Est de 1998 à 2015, puis dans le canton de Massy de 2015 à 2021).

Biographie

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Études et formation

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Issu d'une famille séfarade d'Algérie[3],[4], fils d'un kinésithérapeute de l'Essonne également adjoint au maire de Massy[4], Jérôme Guedj est titulaire d'un baccalauréat C, diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris (promotion 1992)[5] et élève de l'École nationale d'administration (promotion Victor Schœlcher, 1996)[6].

Carrière professionnelle

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En 1996, à sa sortie de l'ENA, il entre à l'Inspection générale des affaires sociales[6].

Jérôme Guedj exerce la fonction de gérant de la société J G Conseils, créée le . Cette société, domiciliée à Massy dans l'Essonne, a pour activité le « conseil aux collectivités locales, administrations publiques, associations, entreprises »[7]

Il est membre de la promotion 2013 du programme « Young Leaders » de la France China Foundation où il côtoie Emmanuel Macron, Chantal Jouanno, Édouard Philippe et Matthias Fekl[8].

Il crée en 2018 une entreprise de conseil qui compte parmi ses clients le groupe Korian[9], domiciliée dans le 6e puis dans le 14e arrondissement de Paris[10].

Carrière politique

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Jérôme Guedj adhère au Parti socialiste en 1993, où il est proche du courant de la Gauche socialiste fondé par Jean-Luc Mélenchon (dont il deviendra l'assistant parlementaire[11]) et Julien Dray. Cette adhésion est la continuation de ses premières années d'engagement politique (1986-1988) au sein de SOS Racisme et d'opposition au projet de loi Devaquet à l'automne 1986.

Lors des élections législatives françaises de 1997, il est désigné suppléant du candidat socialiste dans la sixième circonscription de l'Essonne, François Lamy, élu avec 53,12 % des suffrages[12]. Lors des élections cantonales de 1998, il est candidat dans le canton de Massy-Est et remporte le siège avec 55,89 % des suffrages[13]. Il devient vice-président du conseil général de l'Essonne, passé à gauche, chargé des affaires sociales[6].

Lors des élections municipales de , il conduit la liste d'Union de la gauche à Massy mais ne récolte que 40,67 % des suffrages[14]. Lors des élections cantonales de mars 2004 il est réélu conseiller général dans le canton de Massy-Est avec 56,96 % des suffrages[15].

En 2008, il se présente aux suffrages de la fédération départementale du Parti socialiste pour en briguer la présidence mais est battu par le président sortant Michel Berson[6]. Il est désigné le par les socialistes essonniens comme candidat à la présidence du conseil général[16].

Lors des élections cantonales de mars 2011, il est réélu dans le canton de Massy-Est avec 54,44 % des voix[17]. Le , il est élu président du conseil général de l'Essonne[18].

Désigné suppléant de François Lamy réélu avec 57,77 % des suffrages lors des élections législatives de 2012 dans la sixième circonscription de l'Essonne[19], il devient député à la suite de la nomination du titulaire dans le second gouvernement de Jean-Marc Ayrault. Dans un entretien avec le journal en ligne d'information locale Essonneinfo.fr, il annonce son intention de cumuler les fonctions de député et président de conseil général[20]. En vue du congrès de Toulouse 2012, il est signataire de la motion « Maintenant la gauche »[21] et de la contribution « Le Temps de la Gauche » avec l’ancienne députée de l’Essonne Marie-Noëlle Lienemann[22]. En tant que député, il s'oppose à la réforme des retraites proposée par Jean-Marc Ayrault en raison de l'allongement de la durée de cotisation[23].

Les élections municipales de mars 2014 ayant pour conséquence un large remaniement gouvernemental, François Lamy n'est pas reconduit dans ses fonctions ministérielles. Alors que, selon un article du journal Le Parisien, son nom a circulé dans l'optique d'une éventuelle entrée au gouvernement, contre toute attente, le , Jérôme Guedj refuse d'accorder sa confiance au gouvernement Valls et s'abstient comme dix de ses camarades socialistes. La liste des secrétaires d'État, annoncée le , met fin à tout espoir d'entrée de ce dernier au gouvernement. Jérôme Guedj redevient donc simple suppléant de François Lamy.

Il est membre du conseil d'administration de la Fondation Marc-Bloch[24]. Il a également été membre du bureau national de l'association Pour la République sociale avant la dissolution de celle-ci dans le PG[réf. nécessaire]. Il est membre du Bureau national du Parti socialiste[25].

Il est membre de l'équipe de campagne d'Arnaud Montebourg pour la primaire citoyenne de 2017 ; il est l'un de ses porte-parole[26]. Après la victoire de Benoît Hamon, il devient l'un de ses porte-parole pour la campagne présidentielle[27].

Fin mars 2020, dans le cadre de la pandémie de Covid-19, il est chargé par le ministre de la Santé Olivier Véran d'une mission sur l'isolement des personnes âgées confinées[28].

Lors des élections législatives françaises de 2022, candidat de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale dans son ancienne circonscription, il retrouve son siège de député face à la députée sortante Amélie de Montchalin[29]. Au cours des mois suivants, il fait partie des députés socialistes les plus favorables à l'union de la gauche, y compris avec les insoumis[30], regrettant notamment l'absence de liste commune aux élections européennes de 2024[31]. À l'Assemblée, il travaille sur les dossiers liés aux affaires sociales[32] et notamment sur les questions liés au grand âge[33],[34].

Sa position vis-à-vis des insoumis change après les attentats du 7 octobre en Israël : il subit de nombreuses attaques de leur part après les avoir qualifiés d'« idiots utiles du Hamas » face à leur refus de désigner le mouvement islamiste comme terroriste[35]. Jean-Luc Mélenchon lui-même le prend pour cible lors de la campagne des européennes en mettant en avant sa judéité[36].

Lors de législatives de juin 2024, il annonce se représenter dans sa circonscription de l’Essonne sous les couleurs du Parti socialiste, conformément à l'accord du Nouveau Front populaire, mais refuse de porter les couleurs de la coalition en raison des propos tenus. Ce choix lui vaut d'être confronté, comme d'autres députés de gauche critique à l'égard de Jean-Luc Mélenchon, à une candidature dissidente investie par la France insoumise : son ancienne suppléante Hella Kribi-Romdhane, [37],[35]. Il est finalement réélu au second tour face à la candidate du Rassemblement national[38].

Lors du renouvellement des trois présidences des commissions laissées vacantes après la nomination du gouvernement Barnier, il est désigné par les socialistes candidat du Nouveau Front populaire pour reprendre celle des affaires sociales, tandis que les affaires économiques et les affaires étrangères sont laissées respectivement aux Insoumis et aux écologistes. Les Insoumis et une partie des écologistes refusent de voter en sa faveur, arguant qu'il n'est pas membre du Nouveau Front populaire en raison de son refus de porter son étiquette lors des législatives et préférant le choix initial des socialistes Arthur Delaporte, pourtant non candidat à la présidence, avant de voter blanc lors du dernier tour de scrutin[Note 2],[39],[40].

Parcours professoral

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Dans les années 2000, Jérôme Guedj codirige, avec Maryvonne Lyazid, un executive master de l'Institut d'études politiques de Paris, centré sur les politiques du handicap[41].

Synthèse des fonctions politiques

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Mandats nationaux

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Député de la sixième circonscription de l'Essonne

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À la suite de la nomination de François Lamy dans le second gouvernement de Jean-Marc Ayrault, Jérôme Guedj devient député de la sixième circonscription de l'Essonne. Il est membre de la commission des Affaires sociales[42]. Il redevient simple suppléant en 2014.

En préparation des élections législatives françaises de 2017, les militants socialistes de la 6ème circonscription de l’Essonne ont adopté, à une large majorité, la candidature de Jérôme Guedj, mais ne totalisant que 13,1 % des voix, celui-ci n'accède pas au second tour, battu par les candidats de la République en Marche et de l'UDI/LR dès le premier tour[43].

Il fait l'objet d'une campagne d'attaques qu'il juge antisémites en 2023-2024 dans un contexte de guerre entre Israël et le Hamas. Il est notamment pris pour cible publiquement par Jean-Luc Mélenchon et sur les réseaux sociaux[44],[45],[46]. Cette campagne d'attaques se poursuit lors de la campagne électorale des européennes au printemps 2024 lorsqu'il est de nouveau pris pour cible à plusieurs reprises par Jean-Luc Mélenchon qui met en avant sa judéité[36]. La raison de cet affrontement repose dans leurs vues divergentes de la guerre Israël-Hamas, Jérôme Guedj qualifiant les Insoumis d'« idiots utiles » du Hamas face à leur refus de désigner le mouvement islamiste comme « terroriste »[35]. Guedj déclare au Monde y voir en réalité une intention de Jean-Luc Mélenchon de s'en prendre à la tête de liste PS Raphaël Glucksmann, lui aussi juif[36]. Il dit voir dans les discours de Mélenchon « une sémantique aux relents nauséabonds et qui a souvent été antisémite »[47]. Lorsqu'il est investi candidat PS en vue des législatives de juin 2024, il indique refuser de porter les couleurs du Nouveau Front populaire en raison des attaques subies lors des mois précédents et venant du parti de Jean-Luc Mélenchon[48].

Mandats locaux

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Jérôme Guedj est élu conseiller général du canton de Massy-Est (-).

Il est conseiller municipal d'opposition de Massy du [49] jusqu'à sa démission en .

Il est président du conseil général de l'Essonne de 2011[50] à 2015. À ce titre, il est membre de droit du conseil du syndicat des transports d'Île-de-France où il préside la commission de la qualité de service[51]. Il perd son siège de président du conseil général à la suite de la défaite de la gauche dans ce département qui ne conserve que 6 cantons sur 21 lors des départementales de 2015[52]. Jérôme Guedj est toutefois élu dans le canton de Massy.

Ouvrage

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  • Plaidoyer pour les vieux, éditions Jean-Claude Gawséwitch, .

Notes et références

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  1. 2008-2011 : Vice-président chargé des Solidarités.
  2. Il y a un maximum de trois tours de scrutins lors de l'élection des présidents de commission à l'Assemblée nationale : il est possible de voter pour un député non candidat lors des deux premiers tours. Si l'élection est mené jusqu'au troisième tour, il n'est possible de voter que pour les députés qui se sont déclarés candidats.

Références

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  1. Prononciation en français de France standardisé retranscrite selon la norme API.
  2. « Elections législatives 2022 », sur www.resultats-elections.interieur.gouv.fr (consulté le )
  3. Luc Rosenzweig, « Jérôme Guedj, cible d’un corbeau antisémite », sur causeur.fr,
  4. a et b Chloé AEBERHARDT, « Jérôme Guedj, larmes à gauche », sur Libération (consulté le )
  5. Annuaire des anciens de Sciences Po Paris sur le site officiel de l'association des Alumnis. Consulté le 30 juillet 2018.
  6. a b c et d Annuaire des anciens élèves de l'ENA (Chercher Jérôme GUEDJ). Consulté le 30 juillet 2018.
  7. François Krug, De Fillon à Chatel : enquête sur les députés qui vendent leurs conseils, nouvelobs.com, 18 novembre 2016
  8. Solenn de Royer et Harold Thibault, « Dans les coulisses de la France China Foundation, pépinière à élites entre Paris et Pékin », sur lemonde.fr,
  9. I.B., « Au rapport ! », Le Canard enchaîné,‎ , p. 3
  10. Page de l'entreprise Cabinet Etsa sur le site societe.com.
  11. Sacha Nelken, « Législatives: le socialiste Jérôme Guedj ne sera finalement pas candidat à Paris mais dans l’Essonne », sur Libération (consulté le )
  12. Résultats de l'élection législative 1997 sur le site de l'Institut d'études politiques de Paris. Consulté le 27 février 2012.
  13. « Résultats de l’élection cantonale 1998 sur le site du Figaro. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) Consulté le 27 février 2012.
  14. Résultats de l’élection municipale 2001 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 27 février 2012.
  15. Résultats de l’élection cantonale 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 27/02/2012.
  16. Interview de Jérôme Guedj sur Télessonne au lendemain des « primaires » départementales du 4 décembre 2010. Consulté le 27 février 2012.
  17. Résultats de l’élection cantonale 2011 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 27 février 2012.
  18. Communiqué sur l'élection de Jérôme Guedj à la présidence du Conseil général de l'Essonne sur le site officiel de l'institution. Consulté le 27 février 2012.
  19. Résultats de l'élection législative 2012 dans la sixième circonscription de l'Essonne sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 21 juin 2012.
  20. Article Jérôme Guedj assumera la députation plus la présidence du département paru le 5 juin 2012 sur le site d'information en ligne EssonneInfo.fr. Consulté le 21 juin 2012.
  21. Présentation de la motion Maintenant la gauche sur le site officiel du Parti socialiste. Consulté le 3 octobre 2012.
  22. Présentation de la contribution Le Temps de la Gauche sur le site officiel du Parti socialiste. Consulté le 3 octobre 2012.
  23. Sophie Huet, « La gauche vote sans enthousiasme la réforme des retraites », in Le Figaro, mercredi 16 octobre 2013, page 4.
  24. Présentation de la Fondation du 2 mars sur son blog officiel. Consulté le 27 février 2012.
  25. « Le Bureau national », sur parti-socialiste.fr via Wikiwix (consulté le ).
  26. « L'organigramme de l'équipe de campagne d'Arnaud Montebourg dévoilé », liberation.fr, 2 janvier 2016.
  27. Boris Manenti, « Qui compose l'équipe de campagne de Benoît Hamon ? », nouvelobs.com, (consulté le )
  28. « Essonne : Jérôme Guedj chargé d’une mission sur l’isolement des personnes âgées confinées », sur Le Parisien, (consulté le ).
  29. « Amélie de Montchalin chute dans l’Essonne lors des législatives et devrait démissionner », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  30. « Jérôme Guedj : « Malheur à celui qui fait péter la NUPES » - Regards.fr », (consulté le )
  31. « Élections européennes : ne pas faire de liste commune à gauche "est une erreur politique", estime le député socialiste Jérôme Guedj », sur Franceinfo, (consulté le )
  32. Rémi Clément, « Le coup de maître de Jérôme Guedj qui a fait voler en éclats la communication du gouvernement sur les retraites », sur Challenges, (consulté le )
  33. « Grand âge : «Notre maison vieillit et on regarde ailleurs», s'alarme Jérôme Guedj », sur Europe 1, (consulté le )
  34. « L’appel du député PS Jérôme Guedj : « Le grand âge ne peut plus attendre » », sur lejdd.fr, (consulté le )
  35. a b et c Juliette Vignaud, Législatives : le socialiste Jérôme Guedj affrontera une candidature dissidente Génération•s-LFI, lepoint.fr, 17 juin 2024
  36. a b et c Sandrine Cassini, « Jérôme Guedj répond à Jean-Luc Mélenchon : « Je ne suis pas un juif de gauche, je suis un universaliste » », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « La France insoumise continue de compliquer la tâche du Nouveau Front populaire », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  38. Il est élu avec 74.26% des voix.« Candidatures publiées par le ministère de l'intérieur »
  39. « Jérôme Guedj privé du soutien des Insoumis, Frédéric Valletoux élu à la commission des affaires sociales », sur Le Média Social (consulté le )
  40. « Présidences de commissions : élection surprise d'Aurélie Trouvé à la tête de la commission des affaires économiques | LCP - Assemblée nationale », sur lcp.fr (consulté le )
  41. Richard Descoings, Sciences Po: de la Courneuve à Shanghai, Presses de la Fondation nationale des sciences politiques, (ISBN 978-2-7246-0990-5, OCLC ocm86113501, lire en ligne), p. 198
  42. Fiche de Jérôme Guedj sur le site de l'Assemblée nationale. Consulté le 26/09/2012.
  43. Jérôme Guedj (PS) emporté par la vague macroniste dans la 6e circonscription de l’Essonne, leparisien.fr, 12 juin 2017
  44. Saïd Mahrane, « Jérôme Guedj, cible et symbole de l’acharnement de Jean-Luc Mélenchon », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. Maurice Szafran, « Israël, Gaza, antisémitisme : Les turpitudes de Mélenchon, suite… », Challenges,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  46. Lilian Alemagna, « Jean-Luc Mélenchon et Jérôme Guedj », France Inter,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. « Jean-Luc Mélenchon «se rabougrit», selon son ancien complice Jérôme Guedj », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. Cécile Chevallier, « « Je ne peux pas m’associer à LFI » : Jérôme Guedj candidat aux législatives mais sans le Nouveau Front populaire », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  49. Tribunes des élus municipaux sur le site officiel de la commune de Massy. Consulté le 27/02/2012.
  50. Fiche de Jérôme Guedj sur le site officiel du conseil général de l'Essonne. Consulté le 27/02/2012.
  51. Présentation de la commission de la qualité de service du STIF sur le site officiel de l'organisation. Consulté le 26/07/2012.
  52. résultats Essonne, lemonde.fr, 30 mars 2015

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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