L'Absence (film, 1992)
L'Absence (titre original : Die Abwesenheit) est un film franco-germano-espagnol réalisé par Peter Handke, sorti en 1992.
Titre original | Die Abwesenheit |
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Réalisation | Peter Handke |
Scénario | Peter Handke |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Gemini Filmproduktion GmbH Road Movies Filmproduktion Marea Films Canal+ La Sept Cinéma Spica Productions Westdeutscher Rundfunk |
Pays de production |
France Allemagne Espagne |
Genre | Drame |
Durée | 112 minutes |
Sortie | 1992 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Synopsis
modifierQuête initiatique de plusieurs personnages à travers des univers désolés.
Fiche technique
modifier- Titre original : Die Abwesenheit
- Titre français : L'Absence
- Réalisation : Peter Handke
- Assistants : Mathieu Amalric, Friedhelm Mayer, Valérie Mégard
- Scénario : Peter Handke, d'après son roman homonyme
- Décors : José Maria Branco
- Photographie : Agnès Godard
- Son : Hartmut Eichgrün
- Montage : Peter Przygodda
- Musique : Leo Mariño et Jean-Paul Mugel
- Production : Paulo Branco, Ulrich Felsberg, Adrian Lipp et Wim Wenders
- Production exécutive : Ulrich Felsberg
- Sociétés de production :
- Société de distribution : Amorces Diffusion
- Pays d'origine : France - Allemagne - Espagne
- Langue originale : allemand
- Format : couleurs (Eastmancolor) — 35 mm — 1,66:1 — son Dolby
- Dates de sortie :
- Italie : septembre 1992 (Biennale de Venise)
- France :
- Allemagne :
Distribution
modifier- Eustaquio Barjau : l'écrivain
- Jeanne Moreau : la femme de l'écrivain
- Alex Descas : le soldat
- Bruno Ganz : le joueur
- Sophie Semin : la jeune femme
- Jenny Alpha
- Evgen Bavcar
- Luc Bondy
- Arielle Dombasle
Accueil
modifier« Romancier, auteur de théâtre, Peter Handke a souvent réussi pourtant, et dans le style le plus dépouillé, à éclairer de quelques mots simples, de quelques silences, nos zones les plus obscures. Ici, il faut attendre les dix dernières minutes pour être enfin touché. En gros plan, Jeanne Moreau, souriante et blessée, dresse le constat d'une vie de couple gâchée. Elle est belle, lumineuse, si simple, si vraie. Son désespoir tranquille donne, in extremis, à ce film une étincelle de vie. »
— Fabienne Pascaud, Télérama, janvier 1993
Liens externes
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- Ressources relatives à l'audiovisuel :