Le Tremblay-sur-Mauldre

commune française du département des Yvelines

Le Tremblay-sur-Mauldre est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Le Tremblay-sur-Mauldre
Le Tremblay-sur-Mauldre
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Yvelines
Maire Françoise Chancel
Code postal 78490
Code commune 78623
Démographie
Gentilé Tremblaysiens
Population
municipale
957 hab. (2021 en évolution de +3,13 % par rapport à 2015)
Densité 154 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ 41″ nord, 1° 52′ 37″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 175 m
Superficie 6,23 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Saint-Rémy-l'Honoré
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubergenville
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web letremblay
surmauldre.fr

Géographie

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Situation

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Le territoire de la commune du Tremblay-sur-Mauldre, en pente vers le nord-est, s'étend sur le versant ouest de la vallée de la Mauldre au nord du massif forestier de Rambouillet, la rivière formant la limite est de la commune.

Ce territoire est majoritairement rural, à 80 %, avec des parties boisées vers le sud. Il englobe dans sa partie nord une partie du parc du château de Pontchartrain. L'habitat est groupé dans le bourg qui jouxte le château du Tremblay.


Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Le Tremblay-sur-Mauldre
Neauphle-le-Vieux Jouars-Pontchartrain
 
Bazoches-sur-Guyonne Saint-Rémy-l'Honoré

Hydrographie

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Transports et voies de communications

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Réseau routier

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Les anciens panneaux directionnels.

La commune est desservie par la route départementale 34 d'orientation nord-sud et la route départementale 13 d'orientation est-ouest. La commune est traversée dans sa partie nord par la route nationale 12, voie express à 2x2 voies, sans échangeur local ainsi que par la route départementale 23 dite route de Bazoches à Montfort.

Desserte ferroviaire

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La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Villiers - Neauphle - Pontchartrain qui est situé à 5 km de la commune.

La commune est desservie par les lignes 5, 49, 61, 79, P et V du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 661 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Trappes à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 686,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Le Tremblay-sur-Mauldre est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Rémy-l'Honoré[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 81,44 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 11,65 % d'espaces ouverts artificialisés et 6,91 % d'espaces construits artificialisés[13].

Toponymie

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En 1351 : Trambleium, Trambleyum[14]. Avant la Révolution française : Tremblay ou Tremblay près Montfort[15].

Tremblay : De *trembletu-, ancienne forme masculine désignant un endroit planté de trembles, aujourd’hui une tremblaie, du latin tremulus[16]. Le nom populus tremula est le nom savant du peuplier commun, couramment appelé "tremble" en raison du tremblement de ses feuilles au moindre souffle de vent.

La Mauldre est une petite rivière de 35,4 km de long[17], affluent de rive gauche de la Seine, qui coule dans le département des Yvelines.

Histoire

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Le monument aux morts.

Le territoire du Tremblay-sur-Mauldre est tout d'abord connu par la présence de la ferme d'Ythe, autour de laquelle un site archéologique a été découvert et fouillé, notamment lors de la déviation de la RN 12 au niveau de Jouars-Pontchartrain.

Politique et administration

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Liste des maires

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Les maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2020 Joseph Le Foll    
2020 En cours Françoise Chancel[18]    

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].

En 2021, la commune comptait 957 habitants[Note 4], en évolution de +3,13 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
425388369404425408406402435
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
424413385359360352344330293
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
312282318305297289272283339
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
355353476625668813956931958
2014 2019 2021 - - - - - -
917951957------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,9 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 515 hommes pour 425 femmes, soit un taux de 54,79 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,68 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[23]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
0,9 
4,7 
75-89 ans
6,9 
15,2 
60-74 ans
20,1 
18,3 
45-59 ans
23,9 
12,1 
30-44 ans
18,2 
33,4 
15-29 ans
16,3 
15,4 
0-14 ans
13,7 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2021 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,8 
20,7 
45-59 ans
20,1 
19,6 
30-44 ans
19,9 
18,5 
15-29 ans
16,8 
21,2 
0-14 ans
19,2 

Enseignement

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Enseignement primaire : la commune possède une école élémentaire[25] publique (La Fermette).

Enseignement secondaire : il existe dans la commune trois établissements de d'enseignement et de formation professionnelle privés :

  • le « centre horticole d'enseignement et de promotion » (CHEP) qui prépare les élèves aux diplômes du baccalauréat et du BTS dans les métiers du paysage et de l'environnement. Cet établissement, fondé en 1945, est un lycée d'horticulture, géré par une association régie par la loi de 1901, et fonctionne sous contrat avec le ministère de l'Agriculture, de la Pêche et de l'Alimentation[26].
  • « un centre de formation d'apprentis des métiers du transport et de la logistique » (CFATL) qui dispense des formations en alternance (apprentissage et professionnalisation), du niveau CAP au baccalauréat. Ce centre est géré par le groupe AFT-IFTIM créé par les fédérations professionnelles des secteurs du transport et de la logistique[27].
  • le « centre de formation d'apprentis de la navigation intérieure (CFANI)» qui dispense des formations par la voie de l'apprentissage du niveau CAP au baccalauréat dans le domaine de la navigation fluviale.
Ces trois établissements accueillaient 273 élèves internes en 1999, soit 25 % de la population totale de la commune[28].
  • La commune dispose d'un terrain destiné au football ainsi qu'une équipe. On peut également y trouver un club de tennis disposant de deux terrains juxtaposant le stade.
  • Le domaine du château comprend l'un des terrains de golf les plus prisés du département des Yvelines, proposant un 9 trous compact et un 18 trous cheminant à travers la forêt du Tremblay-sur-Mauldre.

Culture et tourisme

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  • La Saint-Gilles, fête communale du Tremblay-sur-Mauldre, a lieu tous les ans le premier week-end de septembre. À cette occasion, un bal populaire est organisé, généralement suivi d'un feu d'artifice ainsi que d'une retraite au flambeau à laquelle participent les habitants du village. Des manèges et attractions à destination des enfants sont installés. Le jour suivant se tient une brocante dont la taille augmente chaque année.

Économie

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Le château du Tremblay.
  • Commune résidentielle
  • Agriculture
  • Tourisme (golf)

Culture locale et patrimoine

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L'église Saint-Leu-et-Saint-Gilles.

Lieux et monuments

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Construit dans la première moitié du XVIIe siècle par François Mansart pour la famille Le Clerc du Tremblay, qui possédait la seigneurie du Tremblay depuis le XVe siècle. À cette famille appartenait alors François Le Clerc du Tremblay, moine capucin plus connu comme "Le Père Joseph", le plus proche conseiller du cardinal de Richelieu qui souhaitait en faire son successeur, mais lui survécut. Des Le Clerc du Tremblay, le château du Tremblay s'est transmis par successions aux familles d'Angennes, de Saint Georges de Vérac[29], puis de Rougé. Cette dernière famille le vend en 1910 au comte et à la comtesse Robert de Vogüé, née Lucie Sommier[30], qui le font restaurer. Les travaux effectués alors se situent dans la ligne de ceux menés quelques années auparavant, sur une échelle beaucoup plus vaste, par les parents de la comtesse, monsieur et madame Alfred Sommier, à Vaux le Vicomte. Les façades du château du Tremblay sont reprises ; les chaînages, aux encadrement des ouvertures, sont restitués ; le parc à l'anglaise est redessiné à la française. Après la mort de la comtesse Robert de Vogüe, en 1946, le château devient en 1947 la propriété de la ville de Neuilly-sur-Seine, qui l'affecte à ses œuvres sociales. Dans les années 1980, le domaine redevient propriété privée pour être aménagé en golf. Depuis 2010, c'est un centre de séminaires, hôtel et club de golf, dans le cadre de la société Chateauform[31]. Les façades et toitures du château et des dépendances sont classées monument historique depuis un arrêté du . Le parc, les intérieurs du château et des communs sont inscrits aux Monuments historiques depuis un arrêté du [32]. La paternité de sa conception a été restituée récemment à l'architecte François Mansart[33].

Personnalités liées à la commune

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La « maison des champs » (à droite), où Cendrars écrivit L'Or.
  • François Leclerc du Tremblay, le Père Joseph , ou encore L'éminence grise
  • Olivier de Saint-Georges, marquis de Vérac (1768-1858), officier et homme politique français des XVIIIe et XIXe siècles, pair de France, gouverneur de Versailles, mort au château du Tremblay.
  • Ambroise Vollard (1866-1939), grand marchand de tableaux et galeriste, a eu une résidence au Tremblay. Il est mort dans un accident de voiture à proximité de Versailles.
  • Francis Picabia (1879-1953), peintre et écrivain français, a vécu au Tremblay de 1922 à 1924.
  • Pablo Picasso (1881-1973), peintre espagnol, a résidé au Tremblay en 1936 dans une vieille ferme, proposée par Ambroise Vollard, où il avait installé son atelier et où il réalisa une série de tableaux[34].
  • Blaise Cendrars (1887-1961), né Frédéric Louis Sauser, poète, romancier et journaliste suisse, naturalisé français en 1916, a eu une résidence, sa « petite maison des champs », au Tremblay à partir de 1920-1921, maison qui lui a été offerte par la comédienne Raymone Duchâteau, sa compagne. En octobre 1939, il fait paraître dans le magazine Elle un reportage sur les conséquences du début de la guerre sur la vie quotidienne au Tremblay. Puis il s'engage comme correspondant de guerre dans l'armée anglaise, abandonnant Paris et Le Tremblay-sur-Mauldre où sa « maison des champs » sera pillée par les Allemands. Il se retire à Aix-en-Provence pour ne plus jamais revenir au Tremblay[35]. La municipalité a fait transférer ses cendres au cimetière du Tremblay le . Elle a donné son nom à un espace polyvalent inaugurée en 2005, l'espace Blaise-Cendrars.
  • Salah Stétié (1929-2020), écrivain, poète et diplomate libanais d'expression française, a habité de 1992 à sa mort au numéro 42 de la rue du Pavé.
  • Omar Sy a épousé Hélène Sy au Tremblay-sur-Mauldre en 2007[36].

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Le Tremblay-sur-Mauldre », p. 615–616

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Rémy-l'Honoré comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. « Le Tremblay-sur-Mauldre », sur Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie) (consulté en ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Le Tremblay-sur-Mauldre et Trappes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Trappes » (commune de Trappes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Trappes » (commune de Trappes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 0Saint-Rémy-l'Honoré », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  14. LONGNON (Aug.), Pouillé de la Province de Sens (1904), Trambleyum, p. 160A; Trambleium, p. 213G.
  15. Pouillé du diocèse de Chartres, ou Recueil des abbayes, chapelles,...(1738), p. 70.
  16. Noms de lieu d'Île-de-France – M. Mulon – 1997.
  17. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Mauldre (H30-0400) » (consulté le ).
  18. Conseil Municipal du 23 Mai 2020
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Tremblay-sur-Mauldre (78623) », (consulté le ).
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  25. « Site officiel de l'inspection académique des Yvelines »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  26. « L'école du savoir vert ! », Centre Horticole d'Enseignement et de Promotion – CHEP (consulté le ).
  27. « CFATL (Centre de Formation d'Apprentis des Métiers Transport et Logistique) Tremblay-sur-Mauldre », AFT-IFTIM (consulté le ).
  28. « Données socio-économiques », Mairie du Tremblay-sur-Mauldre (consulté le ).
  29. Etienne Pattou, « Le Tremblay : Mignon, Le Clerc du Tremblay », sur racines.histoire.free.fr (consulté le )
  30. Henri Lemoine, « Le fonds des archives du Tremblay, aux Archives de Seine et Oise », Annuaire-Bulletin de la Société de l'Histoire de France, vol. 83,‎ 1948-1949, p. 93-99 (lire en ligne)
  31. « le domaine du tremblay », sur chateauform (consulté le ).
  32. « Monuments historiques », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
  33. Etienne Faisant, « François Mansart, archiotecte de la transformation du château du Tremblay sur Mauldre », Revue de l'Art,‎ , p. 57-64 (ISBN 9782708014558).
  34. Collectif, Patrimoine des Yvelines, t. 2, Paris, Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), p. 616.
  35. Blaise Cendrars & « L'homme foudroyé » (1989), p. 5.
  36. « La love story d'Hélène et Omar Sy », sur Cosmopolitan.fr (consulté le ).