Louis Derthal
romancière française
Louis Derthal, pseudonyme de Valentine Renée Cottron Ferragu, née le à Figeac, et, morte le à Bourges, est une écrivaine de langue française.
Louis Derthal
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Valentine Renée Cottron |
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Biographie
modifierFille d'un chef de chantier au chemin de fer et d'une teinturière, Valentine Renée Cottron naît le à Figeac[1]. Elle épouse le [2] Fernand Ernest Ferragu (1901-1969) [3], un mécanicien d'origine berrichone.
Œuvres
modifier- L'Ermite de Rochemaure (1929)
- L'amour veillait (1930) — publié en feuilleton dans L'Ouest-Éclair lire en ligne sur Gallica
- La Pupille de M. de Bréhant (1930)
- Josette et ses flirts (1930)
- L'Ermite de Rochemaure (1931) — publié en feuilleton dans L'Ouest-Éclair lire en ligne sur Gallica
- La Faute de maître Aurel (1931)
- Les Surprises du cœur (1932)
- L'Amour sans fard (1932)
- La Toile inachevée (1933)
- Le Sorcier du Val-Noir (1934) — publié en feuilleton dans L'Ouest-Éclair lire en ligne sur Gallica
- Un singulier mariage (1934) ; traduction en portugais : Casamento Imprevisto, Romano Torres, 1949[4]
Cœur en attente (1934)
- L'Idylle au crépuscule (1935)
- Le Voile sur l'amour (1939)
- La Cabane du Bord de L’eau (1940)
- Le Rêve interrompu (1942)
- L’Éphémère Tendresse (1943)
- Danièle et son rêve (1947)
- Le Sorcier du Val – Noir (1948)
- La Barque enchantée (1953) ; traduction en portugais : A Barca encantada[5]
- Le Mystère de Noirfontaine (1935 Les romans bleus)
- Le Gardien de son cœur (1956)
- Le Choix du cœur (1958) lire en ligne sur Gallica
- Intrigante par amour (1961)
Bibliographie
modifier- Jacques Michon, Histoire de l'édition littéraire au Québec au XXe siècle: La naissance de l'éditeur, 1900-1939, Fides, 1999, p. 229 lire sur Google Livres
- Revue des lectures, 1933 lire sur Google Livres
- Le Rocambole: bulletin de l'Association des amis du roman populaire, no 41, 2007, p. 225 lire sur Google Livres
Critique
modifier- « En dépit de son titre léger, ce roman touche aux questions les plus graves ! La jeune fille y écrase en un tour de main le matérialisme et la libre-pensée, et y proclame la faillite de la science, représentée par son père, un vieux brave homme de savant un peu fou, et par deux forbans scientifiques, un Italien et un Russe, dont sa personne et sa dot sont l'objectif, et dont l'un tout au moins ne recule pas devant le crime pour réussir, ou se venger. Heureusement tout finit bien, et Josette est sauvée d'un poison microbien [tiré par l'Italien du laboratoire paternel] par un jeune et savant médecin : un sérum de l'Institut Pasteur réhabilite la science au dernier moment, et Josette sera une femme heureuse! »[6]
Notes et références
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Références
modifier- Archives du Lot, commune de Figeac, acte de naissance no 68, année 1889 (vue 18/37) (avec mention marginale de décès)
- Archives de Paris 13e, acte de mariage no 178, année 1935 (page 20/22)
- Archives du Cher, commune de Saint-Ambroix, acte de naissance no 2, année 1901 (vue 105/323) (avec mention marginale de décès)
- Descriptif du livre "Un singulier mariage" en portugais [lire en ligne]
- Ocidente: Revista portuguesa de cultura, p. 524 [lire en ligne]
- M. Lévêque, « Josette et ses flirts de Louis Derthal », La Quinzaine critique des livres & des revues, 25 décembre 1930, p. 810 [lire en ligne]
Liens externes
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