Monségur (Gironde)

commune française du département de la Gironde

Monségur (Montsegur en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Monségur
Monségur (Gironde)
Monségur, arcades et halle.
Blason de Monségur
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde
Maire
Mandat
Patrick Debruyne
2020-2026
Code postal 33580
Code commune 33289
Démographie
Gentilé Monségurais
Population
municipale
1 591 hab. (2021 en évolution de +6,07 % par rapport à 2015)
Densité 161 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 39′ 05″ nord, 0° 04′ 54″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 111 m
Superficie 9,91 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Réolais et des Bastides
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Monségur
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Monségur
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Monségur
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Monségur
Liens
Site web mairie.monsegur.eu

Ses habitants sont appelés les Monségurais[1].

Géographie

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Localisation

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Le Dropt à Monségur.

Située en Guyenne au sud-est du département de la Gironde, Monségur est établie sur une hauteur dominant la vallée du Dropt, un affluent de la Garonne. La commune inclut également trois hameaux : la Contente, Sarot et Montignac.

Le bourg, implanté au croisement des routes départementales 16 et 668 (l'ancienne route nationale 668), se trouve, en distances orthodromiques, à 11 kilomètres au nord-est de La Réole et à 18 kilomètres au nord-nord-ouest de Marmande.

La commune est également desservie par les routes départementales 234 et 668E1.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Dieulivol, Cours-de-Monségur, Le Puy, Sainte-Gemme, Saint-Sulpice-de-Guilleragues et Saint-Vivien-de-Monségur.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 795 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Talence à 14 km à vol d'oiseau[5], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Monségur est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,1 %), zones agricoles hétérogènes (37,1 %), cultures permanentes (9,6 %), zones urbanisées (9,4 %), prairies (3,7 %), forêts (3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Monségur est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Dropt. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2009 et 2018[16],[14].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Monségur.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 755 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 755 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].

Toponymie

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Le nom de Monségur / Montsegur en gascon, est composé des deux mots gascons mont et ségur[19]. Le premier, mont, a perdu son « t » final en français car il ne se prononce pas en gascon ; le deuxième, ségur, signifie « sûr ». Rien d'étonnant à cela quand on sait que la bastide anglaise est construite sur une colline surplombant la vallée du Dropt, offrant ainsi aux habitants une protection naturelle face à l’envahisseur.

Histoire

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Monségur est une bastide fondée en 1265 par la reine d'Angleterre, Éléonore de Provence[20].

 
Aire linguistique du saintongeais : Monségur se situe dans la petite Gavacherie, enclave de langue d'oïl en terre gasconne.

La tradition locale veut que Monségur et ses environs ont été repeuplés en partie, après la grande peste survenue au cours de la Guerre de Cent Ans, par un transfert massif de colons venus de la Saintonge, de l'Angoumois, du Poitou, de l'Aunis. Les documents assez nombreux à partir du XVe siècle indiquent plutôt une immigration progressive et continue[21]. Cela a entraîné la constitution d'une enclave de langue d'oïl en terre gasconne, où on parle le saintongeais[22]. Cette zone est appelée la Petite Gavacherie ou Gavacherie de Monségur, et sa langue est appelée par les gascons le gavai [ga.baj] ou gavach [ga.baʃ ] ; les habitants eux-mêmes appellent leur langue le marot, et considèrent le terme gavache comme une insulte[23]. Le parler qui se développe dans ce territoire est d'origine saintongeaise, mais adopte de nombreux mots gascons ; aujourd'hui, il n'est pratiquement plus parlé.

Le 31 juillet et le , lors des guerres de religion, la ville est assiégée et prise par Blaise de Montluc, à la tête de l’armée royale et des catholiques ; tous les défenseurs protestants sont massacrés[24].

À la Révolution, la paroisse Notre-Dame de Monségur et son annexe, Notre-Dame de Montignac, forment la commune de Monségur[25].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
? ? Louis Bourgadieu Centre  
? ? Pierre Martaut DVD Conseiller général (1951-1963)
? ? Yves Renard CNIP Conseiller général (1967-1973)
1971 1978 Robert-Étienne Servant[Note 1] PS Instituteur puis professeur de collège
Conseiller général (1973-1978)
1978 mars 2008 Bernard Dussaut PS Artisan, sénateur (1989-2008) et conseiller général (1978-2015)
mars 2008 mars 2014 Jean-Louis Favereau PS Conseiller municipal (1971-1989), adjoint au maire (1989-2008)[26]
mars 2014 novembre 2018 Pascal Lavergne[Note 2] PS puis LaREM Agriculteur
novembre 2018 En cours Patrick Debruyne
(réélu en mai 2020)
LaREM  

Communauté de communes

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Le , la communauté de communes du Monségurais ayant été supprimée, la commune de Monségur s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 1 591 habitants[Note 3], en évolution de +6,07 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5711 4401 4691 3281 3441 4861 5231 5921 639
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7321 6891 7041 6791 7091 6491 5671 4971 511
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5221 5101 4041 2671 3071 2601 2511 3961 443
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 5981 6301 6181 6121 5371 4291 5101 5221 478
2017 2021 - - - - - - -
1 5841 591-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Culture

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L'esclapot de Monségur est un cartulaire municipal du XIVe siècle[31] qui contient les chartes de la commune à partir de 1265, avec les privilèges accordés par les rois de France et d'Angleterre, leur traduction en gascon. L'ouvrage est constitué de deux tables de bois contenant quatre-vingt-trois feuillets manuscrits qui témoignent du fonctionnement administratif de la ville au Moyen Âge, de ses coutumes et de son histoire de 1265 à 1486[32].

Lieux et monuments

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Patrimoine religieux

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Patrimoine civil ou militaire

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Personnalités liées à la commune

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Évènements

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  • « Les 24 heures du swing », début juillet chaque année depuis 1990[39].
  • Marché nocturne tous les mercredis de mi-juin à mi-septembre depuis 2007.

Héraldique

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  Blason
Parti, au 1er de gueules à un arbre d'abondance d'argent de six branches, 3 et 3, ployées et fruitées chacune d'une pièce d'or, posé sur un mont isolé du même ; au 2e d'azur à une porte fortifiée de deux tours d'argent, ouverte du champ, surmontée de la lettre L d'or, accompagné en chef de trois fleurs de lis mal ordonnées du même et en pointe d'un croissant d'argent[40].
 
Différences entre dessin et blasonnement : Les six branches sont dites 3 et 3, mais sont dessinées 2, 2 et 2.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Marie-Claude Jean, La vie en 1900 dans la vallée du Drot photographiée par Joseph Bugeau, GAHMS Les Éditions de l'Entre-deux-Mers, novembre 2020 (ISBN 978-2-37157-043-6) (très nombreuses photographies en noir et blanc sur Monségur)
  • Patricia Marini, « Monségur, bastide hospitalière », Le Mag no 551, supplément à Sud Ouest, , p. 16-21.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Né le 7 août 1921 à Pessac ; décédé accidentellement en fonctions le 12 septembre 1978 ; conseiller municipal en 1965.
  2. Devenu député en novembre 2018, Pascal Lavergne quitte ses fonctions de maire mais reste conseiller municipal.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Sous son buste est gravé « Docteur G. Rouhet créateur de la méthode naturelle de culture physique ».
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 26 mars 2013.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Monségur et Talence », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Talence » (commune de Talence) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Talence » (commune de Talence) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune de Monségur ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Monségur », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Monségur », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  19. « dicod'Òc - Recherche », sur locongres.org (consulté le ).
  20. Un peu d’histoire, site de la mairie de Monségur, consulté le .
  21. Raymond Doussinet, Le Parler savoureux de Saintonge, Éditions Rupella, La Rochelle, 1958
  22. Le saintongeais est souvent regroupé dans l'ensemble poitevin-saintongeais. Le site de la Délégation générale à la langue française et aux langues de France indique depuis 2010 dans sa liste des langues de France : « poitevin-saintongeais [dans ses deux variétés : poitevin et saintongeais] ». DGLF - Ministère de la Culture
  23. Freddy Bossy, Pour une approche linguistique des gavacheries, 1978 : « À noter que les locuteurs se désignent eux-mêmes sous le terme "marot", "gavache" étant senti comme l’injure occitane atteignant une ethnie d’oïl. »
  24. Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, présentation en ligne)., p 234
  25. Historique des communes, p. 35, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 8 avril 2013.
  26. Jean-Louis Favereau ne se représente pas, Sud Ouest.fr du 7 novembre 2013, consulté le 2 juillet 2014.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « L'Esclapot », sur Monségur, bastide de Gironde (consulté le ).
  32. Marc Malherbe, « Aspects juridiques de l'Esclapot de Monségur », Les Cahiers du Bazadais, no 64,‎ , p. 3-25.
  33. Panneau d'information (à l'initiative du Service départemental d'architecture des Bâtiments de France) à l'extérieur de l'église, côté portail ouest
  34. « L'église de Monségur », notice no PA00083637, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 août 2012.
  35. « Croix de la Passion », notice no PA33000138, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 août 2012.
  36. Panneau d'information (à l'initiative du Service départemental d'architecture des Bâtiments de France) à l'extérieur de la halle
  37. « Halle », notice no PA33000139, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 août 2012.
  38. Marie-Claude Jean, La vie en 1900 dans la vallée du Drot photographiée par Joseph Bugeau, GAHMS Les Éditions de l'Entre-deux-Mers, novembre 2020 (ISBN 978-2-37157-043-6), p. 82-83.
  39. Festival de Jazz en Gironde Les 24 Heures du Swing, consulté le 8 novembre 2013.
  40. 33289 - Monségur, L'Armorial des villes et villages de France, consulté le .