Voir aussi : liebe

Étymologie

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Du moyen haut-allemand liebe (« joie, affection »), du vieux haut allemand liob (« fortune, santé, joie »), du proto-germanique *leubą (« amour »), du proto-indo-européen *lubʰ- (« prendre du plaisir à »), degré zéro de *lewbʰ-, lui-même issu de l’indo-européen lubʰ-.[1]

Nom commun

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Cas Singulier Pluriel
Nominatif die Liebe die Lieben
Accusatif die Liebe die Lieben
Génitif der Liebe der Lieben
Datif der Liebe den Lieben

Liebe \ˈliː.bə\ féminin

  1. (Psychologie) Amour.
    • Und konnte ich fürchten, daß diese unglückliche Liebe das kluge Klärchen so bald hinreißen würde? Ich muß es nun tragen, daß meine Tochter [...] — (Johann Wolfgang von Goethe, Egmont, 1787)
      Et pouvais-je imaginer que cet amour malheureux ferait bientôt fuir la prudente petite Klara ? Je dois endurer maintenant, le fait que ma fille [...]
    • Filme sind mein Zeitvertreib, Bücher sind meine Liebe, meine Leidenschaft. Aber Musik ist meine Zuflucht. Wenn ich fröhlich oder ausgelassen bin, was zugegebenermaßen selten vorkommt, dann lege ich eine ebensolche Scheibe auf – von Ella Fitzgerald vielleicht oder Sarah Vaughan –, und dann habe ich fast das Gefühl, dass sich jemand mit mir freut. — (Melanie Raabe, traduit par Céline Maurice, Die Falle, btb Verlag, 2015)
      Les films sont mon passe-temps, les livres mon grand amour, ma passion. Mais la musique est mon refuge. Quand je suis joyeuse ou détendue, ce qui, je dois le reconnaître, arrive rarement, je mets un disque qui l’est aussi − d’Ella Fitzgerald, peut-être, ou bien de Sarah Vaughan –, et j’ai presque l’impression que quelqu’un se réjouit avec moi.
    • Nicht weil die Unversehrtheit die weibliche Jungfräulichkeit symbolisiert, fasziniert sie den Mann, sondern seine Liebe zur Unversehrtheit erhöht für ihn den Wert der Jungfräulichkeit. — (Simone de Beauvoir, traduit par Uli Aumüller et Grete Osterwald, Das andere Geschlecht, Rowohlt Verlag, 1992)
      Ce n’est pas parce qu’elle symbolise la virginité féminine que l’intégrité fascine l’homme : mais c’est son amour de l’intégrité qui lui rend la virginité précieuse.
    • Ich weine niemals, ich lache fast gar nicht, ich mache keinen Lärm; als ich vier Jahre alt war, ertappte man mich dabei, wie ich Salz auf die Konfitüre streute: vermutlich mehr aus Liebe zur Wissenschaft als aus Bosheit; dies jedenfalls ist die einzige Missetat, an die ich mich erinnern kann. — (Jean-Paul Sartre, traduit par Hans Mayer, Die Wörter, Rowohlt Verlag, Hamburg, 1965)
      Je ne pleure jamais, je ne ris guère, je ne fais pas de bruit; à quatre ans, l’on m'a pris à saler la confiture: par amour de la science, je suppose, plus que par malignité; en tout cas, c'est le seul forfait dont j'aie gardé mémoire.

Synonymes

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Antonymes

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Apparentés étymologiques

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Proverbes et phrases toutes faites

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Prononciation

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Homophones

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Références

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