Anonymes - L'action Judéo-Maconnique Dans Le Concile

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L'ACTION JUDO-MAONNIQUE DANS LE CONCILE

PRSENTATION
Nous sommes un groupe d'ecclsiastiques appartenant soit des ordres religieux, soit au clerg sculier. Nous avons suivi avec une toute particulire attention toutes les dlibrations du Concile cumnique Vatican II, afin d'en tudier en profondeur les enseignements et de les appliquer en nos apostolats et en nos professorats. Nous n'avons jamais prtendu faire une publication sur un thme quelconque, car nos tudes ont un caractre strictement priv ; naturellement, notre vque et nos suprieurs ecclsiastiques ont connaissance de nos travaux et nous ont donn leur consentement. Deux d'entre nous participent en raison de leur personnalit, aux sessions conciliaires. Nous devons dire que ce qui fut entendu au cours de ces sessions, bien que souvent discut et repouss, nous donne la certitude absolue que l'on tente actuellement d'entraner la Sainte Mre Eglise dans une voie totalement distincte de celle qui fut trace par les enseignements du Divin Rdempteur et qui constitue sa mission divine. La peine assombrit notre cur en prsence de hardiesse que nous considrons comme la consquence de la perte de la Foi chez quelques Pres conciliaires. C'est ainsi que nous avons t amen faire des investigations et, aujourd'hui, avec une grande satisfaction et rendant grce au Trs-Haut, nous pouvons rendre publique notre conviction : ceux qui prtendent Vous trahir ne sont pas Vos fils, Seigneur ; ceux-ci Vous sont fidles, bien que quelques-uns soient induits en erreur. Ce sont Vos mmes ennemis de toujours, ceux qui, trompeusement, entrrent dans Votre Eglise et rpandirent ces fausses doctrines que Vous rfutiez ; ce sont, Seigneur, les juifs faussement convertis qui, une fois de plus, essaient de dtruire Votre uvre divine ! Rome, septembre 1964.

LE COMPLOT DES JUIFS, MAONS ET ECCLSIASTIQUES


Le point culminant de cette "Nouvelle Face" que, de faon constante, on tente d'imposer l'Eglise catholique en contradiction flagrante avec la Doctrine et la Tradition de 19 Sicles, est sans aucun doute l'ouverture amicale vers le judasme maonnique et communiste, ennemi mortel de la chrtient depuis sa naissance jusqu' nos jours. Tout au long de l'histoire, l'Eglise eut se dfendre contre les piges et embches qui lui taient tendus, et derrire toute hrsie, toute subversion et tout crime anti-chrtien, elle trouva les juifs, tout comme dans le monde contemporain, ce sont les juifs qui ont forg les armes puissantes du bolchevisme et du capitalisme vorace en vue de soumettre l'oppression les peuples chrtiens. Indpendamment des Ecritures Sacres, de nombreux ouvrages d'crivains catholiques, dont beaucoup de dignitaires de l'Eglise, illustrent clairement ce que le peuple juif a signifi dans l'histoire de l're chrtienne. Notre brve tude, quoique se rfrant uniquement des faits d'actualit brlante, trouve nanmoins sa base dans cette tradition parallle de la perfidie judaque et de la dfense chrtienne, et elle se propose de dmontrer que les agents du judasme ont effectivement pntr dans le temple du Seigneur et prchent, dans l'enceinte sacre, les hrsies qui leur furent apprises dans la loge talmudique. Protgs par leur pourpre, ils ont lanc leur fausses doctrines, et ils ne cessent d'exercer une insistante pression pour que la Sainte Eglise, travers le Concile Vatican II, les dclarent comme lui tant propres. Les faits, dans leur terrible ralit, peuvent tre prciss et dtaills de la faon suivante : I. Enorgueilli par ses triomphes dans l'espace temporel, le judasme international lance actuellement une nouvelle attaque contre l'Eglise Catholique en prtendant qu'elle contredise ses enseignements antrieurs. Il. Au moyen d'un projet prsent d'une faon trompeuse et hypocrite par certains juifs qui occupent des positions hirarchiques leves dans l'Eglise Catholique, Sa Saintet Jean XXIII se laissa convaincre de crer le Secrtariat pour l'Union des Chrtiens qui devait prtendument uvrer pour l'unit des chrtiens, mais qui en ralit servit de plateforme ses promoteurs pour lancer une propagande en faveur des juifs, ternels anti-chrtiens. Ces juifs auxquels il est fait allusion sont le Cardinal Augustin Ba, Mgr John sterreicher et Mgr Gregory Baum, qui se joignirent postrieurement les vques Walter Kempe d'Allemagne, et Serge Mendez Arceo du Mexique. A l'exception de quelques Pres conciliaires qui pourraient tre assujettis des consignes d'origine trangre, la majorit de ceux qui soutiennent les thses des juifs ont t tromps et n'ont pu, jusqu' prsent, souponner la vritable personnalit de ces dignitaires qui ont su cacher soigneusement leur origine. III. C'est dans les cercles les plus intimes du Sanhdrin que fut forge la thorie prtendant que le peuple juif n'est pas le responsable de la mort du Christ, et que cette responsabilit incombe l'humanit toute entire. Ils affirment galement

que durant toute l're chrtienne, les juifs ont t injustement perscuts par les catholiques et que ceux qui doivent prsent comprendre leur erreur, rparer le mal qu'ils ont fait, et ne plus jamais les offenser dans quelques circonstances que ce soit. Ces thses, labores certainement par quelque grand rabbin, furent prsentes officiellement au Concile par le Cardinal Ba qui les reut directement de l'Ordre B'nai B'rith, maonnerie exclusive de juifs, et ceci au mois de juin 1962. IV. Le contact direct entre les loges juives et le Cardinal Ba s'tablissait de la faon suivante : tout d'abord travers les juifs "convertis" et "ecclsiastiques" John sterreicher et Gregory Baum ; postrieurement lorsque dans le Concile, quelques courants orienteurs sur la manuvre judo-maonnique se manifestrent, soit sous forme crite, soit sous forme orale, par d'illustres cardinaux et vques, intervinrent alors personnellement M.M. Label A. Katz, Prsident de la B'nai B'rith, la plus importante des organisations maonniques pour juifs, et Nahum Goldmann, Prsident du Congrs Mondial Juif, un tel point qu'ils mirent leur manuvre dcouvert, ainsi que nous l'analyserons plus loin. V. Bien que de trs nombreux Pres conciliaires refusrent de discuter le thme prsent par le Cardinal Ba relatif aux juifs et inclus comme Ch. IV du Schma sur l'cumnisme, il est absolument hors de doute que l'offensive sera reprise au cours de la troisime session conciliaire. On essaiera de nouveau d'obtenir leur approbation, leur demandant un vote favorable avant qu'il leur soit possible de rflchir sur les consquences catastrophiques qui peuvent rsulter de l'approbation d'un crit manant des loges juives et dans lequel l'hrsie se glisse subtilement, et o le Saint vangile est interprt d'une faon quivoque et incomplte. Afin de prouver les affirmations antrieures, nous prsenterons quelques unes des pices composant la documentation copieuse qui dmontre d'une faon formelle l'existence d'un ancien plan juif pour pntrer au sein de la Sainte Eglise Catholique, par le biais de "convertis" ou d'ecclsiastiques affilis aux loges maonniques, dans le dessein de la transformer en un instrument supplmentaire de leur conspiration pour la domination mondiale.

UN JOURNAL CATHOLIQUE DMASQUE LE COMPLOT JUIF CONTRE L'GLISE


Le complot judaque contre l'glise Catholique qui atteint actuellement son apoge grce l'infiltration d'lments juifs dans le haut clerg catholique et dans le Vatican mme, fut publiquement dmasqu, en 1936, par le journal "Catholic Gazette" de Londres, organe officiel mensuel de la Socit Missionnaire Catholique d'Angleterre. Dans son numro de fvrier 1936 parut un article intitul The Jewish peril and the Catholic Church (Le pril juif et l'glise catholique) dans lequel sont reproduits les termes de certaines conversations tenues au cours d'une srie de runions secrtes de juifs Paris. Peu de temps aprs, l'hebdomadaire "Le Rveil du Peuple" publia un article similaire dans lequel il est prcis que les dclarations dont il est fait tat, furent faites au cours d'une runion secrtes de l'Ordre maonnique B'nai B'rith qui, on ne l'ignore point, est exclusivement juive ; les gentils n'ont pas accs dans ses rangs, et de plus, c'est l'un des instruments les plus dangereux de la conspiration internationale hbraque. Son chef actuel est justement M. Label A. Katz. Ce haut dignitaire maon a soutenu d'amples colloques avec le Cardinal Ba qui le prsenta mme Sa Saintet Jean XXIII en 1960. Mais revenons l'article ci-dessus mentionn de la "Catholic Gazette" de l'Angleterre et que nous reproduisons ci-aprs :

LE PRIL JUIF ET L'GLISE CATHOLIQUE


Nul ne peut nier le fait qu'il a exist et qu'il existe toujours un problme juif. Depuis la rpudiation d'Isral, il y a 1900 ans, les juifs ont t dissmins dans toutes les directions, et en dpit de toutes les difficults et de toutes les perscutions dont ils ont t l'objet, ils se sont tablis comme une puissance effective au sein de presque toutes les nations d'Europe. Jacobs, dans son ouvrage intitul "Jewish Contributions to Civilization" glorifie le fait que, sans le moindre prjudice pour leur propre unit raciale et leur caractre cosmopolite, les juifs ont t capables de rpandre leurs doctrines et d'augmenter sans cesse leur influence politique, sociale et conomique parmi les nations. En raison de ce problme juif qui affecte tout particulirement l'Eglise Catholique, nous publions ci-dessous les extraits d'un certain nombre de conversations qui eurent lieu rcemment sous les auspices d'une socit secrte juive de Paris. Le nom de notre informateur ne doit pas tre rvl. Celui-ci nous est personnellement bien connu, mais en raison de ses relations particulires actuelles avec les juifs, nous avons convenu de ne pas divulguer son identit, et de ne donner sur la runion de Paris d'autres dtails que ceux qui suivent, extraits qui, bien qu'tant parfois librement traduits, reproduisent fidlement la substance des dclarations originales.

Tant que subsistera parmi les gentils une quelconque conception morale de l'Ordre social, et tant que toute Religion, tout Patriotisme, toute dignit n'auront pas t liquids, notre rgne sur le monde ne pourra venir. Nous avons dj rempli une partie de notre tche, mais nous ne pouvons prtendre que le gros de notre uvre est ralis. Nous avons encore un long chemin suivre avant de pouvoir dtruire notre principal opposant : l'Eglise Catholique. Nous devons graver en nos esprits que l'Eglise Catholique est l'unique institution qui s'est dresse et se dressera sur notre chemin aussi longtemps qu'elle existera. Par son travail mthodique et par ses enseignements ducatifs et moraux, l'Eglise Catholique va maintenir chez ses fils une mentalit telle qu'elle les rendra beaucoup trop respectueux d'eux-mmes pour qu'ils se soumettent notre domination et au futur Roi d'Isral. Pour cette raison, nous nous sommes attachs trouver le meilleur chemin pour attaquer efficacement l'Eglise dans ses fondements mmes. Nous avons rpandu l'esprit de la Rvolution et du faux libralisme parmi les nations des gentils afin de parvenir les convaincre de s'loigner de leur Foi et de les amener avoir honte de professer les prceptes de leur religion et d'obir aux commandements de leur Eglise. Nous avons amen bon nombre de ceux-ci (gentils) se transformer en athes, et qui plus est, se glorifier de descendre du singe (Darwinistes). Nous leur avons inculqu de nouvelles thories, en ralit impossibles raliser, telles que le communisme, le socialisme et l'anarchisme qui maintenant servent nos projets. Les gentils, stupides, les ont acceptes avec grand enthousiasme, sans mme se rendre compte que ces thories sont ntres et qu'elles constituent notre plus puissant instrument contre eux-mmes... Nous avons couvert l'glise Catholique des plus abominables calomnies, nous avons falsifi son histoire et sali ses plus nobles activits. Nous lui avons imput la mchancet de ses ennemis et nous avons attir ces derniers plus prs, nos cts... Et tout cela dans une mesure telle que nous observons maintenant notre plus grande satisfaction, des rbellions contre l'glise dans diffrents pays... Nous avons transform son clerg en objet de haine et de ridicule, nous les avons soumis au mpris de la masse. Nous avons russi faire considrer la pratique de la Religion Catholique comme un anachronisme et une perte de temps... Et les gentils, dans leur stupidit, ont prouv tre plus btes que ce que nous pensions et esprions. N'importe qui esprerait plus d'intelligence et plus de sens commun pratique, mais ils ne valent pas mieux qu'un troupeau de brebis. Laissons-les patre dans notre champ jusqu' ce qu'ils soient assez gros pour tre sacrifis notre futur roi du monde... Nous avons fond de nombreuses associations secrtes qui travaillent pour notre finalit, sous nos ordres et directions. Nous avons fait un honneur, un grand honneur aux gentils en leur permettant de se joindre nous dans nos organisations qui grce notre or, sont aujourd'hui plus florissantes que jamais. Maintenant, il reste dans notre secret que ces gentils qui, en s'unissant nous, trahissent leurs propres et plus prcieux intrts, ne doivent jamais savoir que de telles associations sont de notre cration et servent nos projets... L'un des triomphes de notre franc-maonnerie est que ces gentils qui arrivent tre membres de nos loges, ne peuvent jamais souponner que nous les utilisons pour construire leurs propres prisons sur les terrasses desquelles nous allons riger le trne de notre roi universel d'Isral ; et jamais ils ne doivent savoir que nous leur faisons forger les chanes de leur propre servitude notre futur roi du monde. Jusqu' prsent nous avons tudi notre stratgie pour les attaques contre l'Eglise Catholique, depuis l'extrieur, mais cela n'est pas tout. Nous allons maintenant exposer la faon dont nous avons avanc dans notre uvre pour acclrer la ruine de l'glise Catholique et comment nous avons pntr dans ses plus intimes cercles, amenant mme une partie de son clerg se transformer en pionnier de notre cause. Totalement part de l'influence de notre philosophie, nous avons pouss quelques uns de nos fils s'intgrer au corps catholique avec la mission explicite de travailler beaucoup plus efficacement pour la dsintgration de l'Eglise Catholique, en crant en son sein des situations scandaleuses. En cela, nous avons suivi le conseil de notre prince des juifs qui dit si sagement : Faites de quelques-uns de nos fils des cardinaux et des vques pour qu'ils dtruisent l'Eglise. Malheureusement, tous les juifs "convertis" n'ont pas t fidles leur mission. Beaucoup d'entre nous ont trahi ; mais par contre, d'autres ont tenu leur promesse et honor leur uvre, de sorte que le conseil de nos anciens se rvla plein de succs. Nous sommes les perles de toutes les rvolutions, y compris de celles qui parfois se tournrent contre nous. Nous sommes les matres de la guerre et de la paix. Nous pouvons nous enorgueillir d'tre les crateurs de la Rforme : Calvin fut l'un de nos fils ; il tait d'origine juive et fut habilet par l'autorit juive et stimul par la finance juive pour remplir son rle dans la Rforme. Martin Luther fut influenc par ses amis juifs, et son complot contre l'Eglise se vit couronne de succs, grce au financement juif. Grce notre propagande, nos thories du libralisme et nos fausses interprtations de la libert, les esprits de nombreux gentils furent prpars pour embrasser la Rforme. Ils se sparrent de l'Eglise pour tomber dans notre pige. Et de ce fait l'Eglise Catholique fut sensiblement affaiblie et son autorit sur les Rois des gentils a t pratiquement rduite rien. Nous sommes reconnaissants envers les Protestants pour leur loyaut nos dsirs, bien que la majorit d'entre eux, dans la sincrit de leur foi, sont inconscients de leur loyaut envers nous. Nous leur sommes reconnaissants de

l'admirable appui qu'ils nous apportrent dans notre lutte contre la puissance de la civilisation chrtienne et dans nos prparatifs pour l'avnement de notre suprmatie sur le monde entier et sur les royaumes des gentils. Nous avons russi dtruire la majorit des trnes europens. Le reste viendra dans un trs proche avenir. La Russie a dj accept notre rgne. La France, avec son gouvernement maonnique (1936. Note de la rdaction) se trouve en notre pouvoir. L'Angleterre, dpendante de notre finance se trouve sous nos talons ; et notre espoir pour la destruction de l'Eglise Catholique se trouve dans le protestantisme. L'Espagne (en 1936) et le Mexique sont deux instruments en nos mains. De nombreux autres pays, y compris les tats-Unis d'Amrique, sont dj soumis nos plans. Mais l'Eglise Catholique est toujours vivante... Nous devons la dtruire sans merci et sans le moindre retard. La plus grande partie de la presse mondiale est sous notre contrle ; faisons en sorte qu'elle excite violemment la haine du monde contre l'Eglise Catholique, intensifions nos activits pour empoisonner la moralit des gentils ; ceux-ci doivent tre amens dtester le patriotisme et l'amour de leur famille, considrer leur Foi comme une honte, leur obissance l'Eglise comme une servitude dgradante, de faon ce qu'ils deviennent sourds aux appels de l'Eglise et aveugles ses avertissements contre nous. Avant tout, faisons en sorte que les chrtiens se retirent de l'Eglise Catholique et que les non-chrtiens ne se rapprochent pas de cette Eglise, sans cela, la principale obstruction notre domination se renforcera et tout notre travail sera annul, notre complot sera dcouvert, les gentils se retourneront contre nous avec un esprit de vengeance et notre domination sur eux ne sera jamais ralise. Rappelons-nous que tant que nos ennemis de l'Eglise Catholique seront actifs, nous ne pourrons jamais devenir les matres du monde... Et rappelons-nous galement que le futur roi d'Isral ne rgnera jamais sur le monde faut que le pape de Rome ne sera pas dtrn, de mme que tous les autres monarques des gentils rgnant sur la terre. Pour ceux qui ne connaissent pas les activits subversives du Judasme d'aujourd'hui et de toujours, le contenu de l'article ci-dessus de la "Catholic Gazette" d'Angleterre pourra apparatre comme quelque chose d'hallucinant. Mais tout est absolument rel et peut tre vrifi, pour ce qui a trait au complot actuel des juifs, mieux encore aujourd'hui qu'en 1936, date o fut publi le contenu des conversations maintenues par les conspirateurs hbreux au cours de la runion secrte de la B'nai B'rith Paris. C'est dire l'Organisation mme dont le Prsident et Son minence le Cardinal Ba cheminent en parfait accord. Bien que la B'nai B'rith se manifeste publiquement comme une institution de bienfaisance et de "consultation politique", sa haute hirarchie maonnique est, depuis de nombreuses annes, parfaitement prouve. Le dfunt Cardinal Jos Maria Caro Rodriguez, Primat du Chili en citant Mgr Jouin dans son ouvrage "Le Mystre de la Maonnerie", crit : L'Ordre judo-maonnique des "B'nai B'rith" qui, l'encontre des statuts des loges maonniques n'accepte que des juifs et qui compte dans le monde plus de 426 loges exclusivement juives, sert de lien entre toutes les internationales numres ci-dessous. En cela son minence se rfre p. 263 266 de l'ouvrage cit - aux internationales de la haute finance, du communisme et du socialisme, aux sionistes et la maonnerie universelle. Le Cardinal Jos Maria Caro poursuit : Les dirigeants de la "B'nai B'rith" sont les Juifs Morgentau, ancien ambassadeur des tats-Unis Constantinople ; Brandels Juge suprme des tats-Unis ; Mack, sioniste ; Warbourg (Flix), banquier ; Elkus ; Kraus (Alfred), son premier prsident ; Schiff, dcd, qui a subventionn le mouvement d'mancipation des juifs de Russie ; Marshall (Louis), sioniste. Parmi de nombreux autres documents qui ratifient et confirment cette vrit, nous relevons la dclaration de l'historien catholique Vincent Risco qui, dans son ouvrage intitul "Histoire des juifs" (p. 339 343) s'exprime ainsi : ...pour quelques-uns, l'organisation directrice du Judasme mondial serait l'ordre maonnique universel des "B'na B'rith" qui est exclusivement judaque et qui n'admet pas comme membres ceux qui ne sont pas juifs. Les B'nai B'rith forment un ordre maonnique qui officiellement se proclame indpendant, possde un caractre international nettement dclar et n'admet dans son sein que des juifs. Pour cette raison, elle est la plus secrte des sectes maonniques... Il est un fait indiscutable que si les membres de la B'nai B'rith peuvent faire partie des loges de n'importe quel autre rite maonnique, dans les siens elle n'admet exclusivement que des juifs et aucun autre franc-maon ne peut en faire partie s'il n'est pas juif. De nombreux membres de l'ordre occupent des postes importants dans le gouvernement et dans la diplomatie Nord-amricaine.

LE CARDINAL BA SUIT LES INSTRUCTIONS DE LA B'NAI B'RITH


Jusqu'au mois de dcembre 1962, seuls des ecclsiastiques apparaissaient comme uniques promoteurs de la rhabilitation de peuple juif par l'Eglise Catholique. Le premier qui, au cours du concile aborda la question du rapprochement de l'Eglise et du Judasme fut l'vque de Cuernavaca (Mexique) Sergio Mndez Arceo, descendant de Spharites qui judasaient dans la population de Cotija au Mexique. Sa proposition tendait aux francs-maons le bnfice de cette rconciliation. Bien qu'elle tombt dans le vide, cette proposition fut extrmement utile pour les juifs ; elle leur per-

mit en effet d'initier l'incroyable campagne de presse laquelle nous assistons actuellement et qui s'exprime comme si le Concile s'tait dj prononc en sa faveur. Le plan des juifs, mis excution par leurs reprsentants ecclsiastiques semblait donc se poursuivre sans obstacle lorsque dans les premiers jours de dcembre 1962, les Pres conciliaires furent informs de ce vritable complot par un livre qui, sous le titre de "Complotto contro la Chiesa", fut publi par des ecclsiastiques de haut rang et de nationalit diverses runis sous le pseudonyme de Maurice Pinay. Nous devons avouer que de prime abord nous doutmes des terribles avertissements contenus dans cet ouvrage ; mais, en nous pntrant profondment de son contenu qui n'est autre que celui de la plus pure tradition catholique, nous primes la dcision de procder personnellement des investigations. Dans un but identique et avec la mme responsabilit de conscience qui animrent les auteurs de ce livre, nous communiquons aujourd'hui leurs Excellences Rvrendissimes le rsultat de nos recherches, afin d'viter que par une dclaration du Concile favorable au judasme, l'Eglise Catholique tombe dans le discrdit de se condamner elle-mme. Mais, devant la raction de mfiance envers le thme juif, veille par Maurice Pinay, les cercles les plus levs du judasme prparrent une offensive nouvelle. Dans ce but fut mise au point une rencontre entre le Prsident de la B'nai B'rith, le chef judo-maonnique Label A. Katz et Son minence le Cardinal Ba. Au cours de cette entrevue, qui eut lieu le 16 fvrier Rome, le plan initial arrt au mois de juin 1962 fut modifi, et en vue de l'intrt juif dans le Concile cumnique, et pour la premire fois, se runirent les dignitaires judo-maons Label A. Katz et Nahum Goldmann avec le Cardinal Ba. Ainsi que le souligne la revue accrdite de la Compagnie de Jsus Rome "Civilt Cattolica" dans son numro du 18 juillet 1964, au cours de chacune de ces entrevues, le chef de l'organisation judo-maonnique B'na B'rith remit au Cardinal Ba un long mmoire destin au Concile, mmoire qui, comme on pourra le vrifier plus loin, contient intgralement les thses du "dcret sur les juifs" prsent par le secrtaire pour l'Union des Chrtiens au cours de la sance plnire du Concile. Ds l'poque de ces entrevues, le Cardinal Ba avait adopt une position dcide en faveur des intrts juifs. Le jour suivant son entretien avec M. Katz, le quotidien romain "Giornale d'Italia" publia, sous la signature accrdite de Filippo Pucci, un article dans lequel furent reproduites de nombreuses affirmations du Cardinal Ba, prononces Londres et Rome, dans le sens qu'il n'existe aucune relation de responsabilit entre les juifs qui crucifirent le Christ et les communauts actuelles de ce peuple. Ce fut le dbut de la campagne de propagande qui se dveloppa immdiatement dans le monde entier. De nombreux crivains reprirent ces thses, mais l'on doit cependant observer que dans l'immense majorit il s'agit d'ecclsiastiques ou de journalistes d'origine juive qui naturellement s'expriment en faveur de leur communaut, car rares sont les catholiques authentiques qui ont favoris la diffusion de ces thses hrtiques qu'on essaie de faire adopter par le Concile cumnique, bien qu'elles soient issues de la B'nai B'rith. Il est certain que, avant mme que M. Katz retourne son sige habituel Washington, se diffusait dj sur tous les continents les falsifications de l'interprtation vanglique que le Cardinal Ba suggra Rome. Prcisment aux mmes fins publicitaires ont t dissmines de par le monde les agences de "L'amiti judo-chrtienne", association fonde par le juif Jules Isaac, au sein de laquelle un tonnant mlange d'isralites, de catholiques qui se disent progressistes, et de quelques ecclsiastiques catholiques, ainsi que des religieuses de Notre-Dame de Sion, s'efforcent de rduire nant la doctrine traditionnelle de l'Eglise et les enseignements mmes de Notre-Seigneur Jsus-Christ et des Aptres. Et personne n'ose accuser les juifs Arius ou Calvin, les juifs Marx, Engels, Lnine et Trotsky qui crrent et dvelopprent le bolchevisme, ou encore les juifs Berman, Gottwald, Bela Kuhn, Rakosi, Pauker, Pijade, Weiss, Staline, Beria, etc., qui dirigrent la communisation de l'Europe Chrtienne en assassinant des milliers de chrtiens, ou les agents de toutes les subversions d'Amrique, d'Europe et d'Afrique ; personne n'ose le faire, car ainsi que certains ont eu l'audace de le prcher dans la propre glise de Jsus Rome, et crit dans des publications judo-chrtiennes de Madrid : tre antismite c'est tre anti-chrtien. Colossale aberration ! Les ecclsiastiques crypto-juifs et leurs serviteurs catholiques prtendent-ils donc que les 19 sicles pendant lesquels l'Eglise a dfendu ses fidles par des dispositions anti-juives travers ses Conciles, saints Pres et Papes, sont 19 sicles d'anti-christianisme ? Jsus-Christ Luimme, et les Saints Aptres qui apostrophrent si durement le peuple juif sont-ils donc, leurs yeux, des anti-chrtiens. Il est bien clair que ces doctrines hrtiques sont la consquence de la pntration juive dans le clerg catholique avec l'assistance directe des loges de l'organisation juive B'nai B'rith. Si nous voulons la preuve dfinitive que le Ch 4 du Schma sur l'cumnisme prsent au Concile par le Cardinal Ba - qui fit personnellement l'apologie de cette thse - est de source judo-maonnique, nous la trouvons dans les pages de l'important journal franais "Le Monde", dans lequel nous pouvons lire, dans l'dition du 19 novembre 1963 : L'organisation juive internationale B'nai B'rith a exprim son dsir d'tablir des relations plus troites avec l'Eglise Catholique. Le dit ordre vient de soumettre au Concile une dclaration dans laquelle est affirme la responsabilit de l'humanit entire dans la mort de Jsus-Christ. Si cette dclaration est accepte par le Concile, a dclar M. Label Katz, Prsident du Conseil International de la B'na B'rith, les communauts juives tudieront les moyens de cooprer avec les autorits de l'Eglise (Catholique).

En prsentant son projet de dcret en faveur des juifs - tout fait contraire l'vangile - Son minence le Cardinal Ba se garda de bien informer les Pres du Concile de l'origine de ces thses, et de leur prciser qu'elles furent suggres par l'ordre judo-maonnique B'nai B'rith. Bien au contraire comme telles au Secrtariat pour l'Union des Chrtiens dont les principaux assesseurs sont les crypto-juifs Mgr sterreicher et le Pre Baum. Il est trs logique qu'il ait agi ainsi car il eut t vritablement inou que les thses d'un sanhdrin maonnique aient officiellement accs l'enceinte sacre que prside le Saint Esprit. De plus, si le 19 novembre 1963 le Cardinal Ba avait port la connaissance des Pres Conciliaires la vritable origine de sa thse, il ne fait aucun doute que l'immense majorit d'entre eux l'auraient repousse avec indignation, sans vouloir mme l'couter, car ils connaissent parfaitement tout le mal fait par la franc-maonnerie l'Eglise du Christ. Il est certain galement que les Illustres Pontifes Pie IX et Lon XIII frmirent dans leurs augustes tombes, si proche du lieu o un Prince de l'Eglise dfendait une aussi diabolique proposition maonnique.

QUI EST LE CARDINAL BA ET QUI SONT SES COLLABORATEURS ?


Il y a quelques mois encore, dlibrant sur l'trange complicit existant entre le Cardinal Ba et la secte maonnique juive la plus puissante, la B'nai B'rith, nous nous faisions les rflexions suivantes : Le Cardinal Ba tant d'origine allemande, et de plus ecclsiastique jsuite, son progressisme vigoureux et son philo-smitisme fanatique - qui ont largement favoris les forces anti-chrtiennes - paraissent bien tranges. Que la B'na B'rith ait trouv en la personne d'un authentique allemand, jsuite de surcrot, l'lment idoine constituant son principal instrument de destruction de l'Eglise depuis l'intrieur, ne semble pas moins curieux. De plus, il est tout aussi surprenant que parmi tant d'illustres Jsuites, ce fut prcisment l'un d'eux, plus ou moins inconnu, qui fut nomm Cardinal par le Pape Jean XXIII, et qu'il choisit tout aussitt comme principaux collaborateurs deux juifs venant, l'un des tats-Unis, l'autre du Canada. Tout cela, s'ajoutant au fait qu'en ralit le nom de Ba n'est pas d'origine allemande, nous incita donc nous proccuper srieusement de la vritable origine de Son minence. Avec toutes les rserves ncessaires, nous avons ralis des investigations historiques sur la question. Nous ignorons si avant la publication de ces lignes nous serons en possession des preuves dfinitives sur les premiers rsultats obtenus et qui sont les suivants: Dans les derniers sicles, nous trouvons en Allemagne et en Autriche, divers personnages qui portent le nom de Beha, quivalent phontiquement au nom sfardite Beja qui tait de leurs anctres en Espagne ; le nom de Ba est une italianisation de l'original Beha. Ce nom tait celui que portait, vers la moiti du sicle dernier, un rabbin pre de plusieurs enfants dont l'un se convertit au catholicisme. Des investigations sont actuellement en cours pour vrifier si ce "converti" tait bien le pre du cardinal Ba. Ds que nous aurons les preuves documentaires sur cette importante dcouverte, nous les porterons la connaissance des Pres Conciliaires car bien entendu il serait dcisif, en ce qui concerne l'action du Secrtariat pour l'Union des Chrtiens, de prouver qu'en plus de son inspirateur juif Label Katz, de ses assesseurs juifs sterreicher et Baum, de ses propagandistes juifs S. E. Mndew et S. E. Kempe, le cardinal Ba luimme est galement juif, et non pas l'instrument tranger qu'il semblerait tre en raison de sa double qualit apparente d'allemand et de membre de la Compagnie de Jsus. Sous rserve de n'accorder sa pleine valeur l'investigation ci-dessus que lorsque nous aurons en mains les preuves documentaires formelles, on ne peut toutefois manquer de remarquer que l'action du Cardinal Ba a t celle d'un typique crypto-juif, absolument conforme celle des nombreux juifs qui durant des sicles se sont infiltrs dans le clerg catholique. Le principal auteur du dcret "De judaeis" est le juif soi-disant converti John sterreicher. Au cours d'un sermon qu'il pronona dans la cathdrale de Saint Patrice de New-York o il tait prdicateur avant de venir Rome pour "assister" le Cardinal Ba, il affirme textuellement : Nous, nous ne lisons plus les nombreuses dclarations de JsusChrist contre son peuple, contenues dans la Bible. Autrement dit, le catholique Mgr sterreicher se permet de censurer la Bible et Jsus-Christ Lui-mme, et dans ses sermons, il ne lit que ce qu'il juge convenir son peuple hbreu... Ce fut lui qui insista le plus pour que le dcret sur les juifs soit inclus dans le thme sur l'cumnisme, argumentant que ...la liturgie romaine a toujours insist sur le fait que les origines de l'glise doivent tre recherches dans l'appel de Dieu Abraham... , ...qu'aucun cumnisme n'est possible sans la rconciliation de l'ancien et du nouvel Isral... , etc..., etc, Il s'agit l d'affirmations astucieuses destines "dmontrer", l'aide d'arguments exclusivement religieux, la ncessit d'inclure dans le Schma sur l'cumnisme chrtien, un document en ralit politique dans ses finalits. L'autre coauteur du document est Gregory Baum, lui aussi soi-disant converti. Bien que - il y a des annes - il tait juif athe, migr d'Allemagne au Canada, il appartient actuellement l'Ordre des Augustins et exerce un professorat de thologie catholique. Le Cardinal Ba le jugea capable de l'assister dans le Secrtariat pour l'Union des Chrtiens entre autres choses ; qui sait ? peut-tre en raison de son livre "Les juifs et l'vangile". Dans ce livre, le "Pre" Baum soutient que les passages anti-juifs de la Bible et autres critures chrtiennes sont une une vritable criture de la Haine ; il y fait une critique hrtique des saintes Ecritures. Ses arguments en faveur de la ncessit d'approuver le Dcret sur les juifs sont que, selon lui, ...aucun aptre n'a jamais confirm la responsabilit collective des juifs dans la crucifixion de Jsus-Christ...

LES THSES ABSURDES DU SECRTARIAT DU CARDINAL BA


C'est le Cardinal Ba qui le 21 mars 1961 prsenta Sa Saintet Jean XXIII un Mmoire proposant le cration d'un Secrtariat pour l'tude de l'tude de l'unit chrtienne, ide que le Pape accepta en lui en confiant personnellement l'organisation. Le Pape voulut galement que les travaux de cet organisme ne dpendent en aucune faon de la curie, et lui confra une indpendance totale. Parmi les premires dcisions prises par le Secrtariat, dont les Bureaux sont installs en dehors du Vatican, au 64 de la via del Corridori Rome, nous notons celle d'envoyer des observateurs catholiques la runion annuelle du "Concile Mondial des glises" (World Church Council) qui eut lieu en 1961 New Delhi, mais qui cette anne se runira tout simplement Odessa, Ukraine (U.R.S.S.) sous les auspices du gouvernement sovitique et de son instrument religieux l'glise orthodoxe russe. La Curie romaine s'opposa nergiquement l'envoi d'observateurs catholiques ces runions qui, sans le moindre doute, sont une manuvre du Judasme, de la maonnerie et du communisme dans leur lutte contre l'Eglise Catholique ; mais les protestations de la Curie furent neutralises par l'intervention directe du Pape Jean XXIII en faveur de Ba. L'vque de race juive Walter Kempe, dj cit, auxiliaire de Limburg, en Allemagne, exposa trs clairement les finalits poursuivies par les juifs (naturellement ce terme ne fut pas prononc), travers le Secrtariat pour l'Union des Chrtiens. Dans un discours prononc Munich au dbut de fvrier 1964 l'occasion d'un Congrs Catholique, et qui eut une certaine rsonance dans la presse internationale, l'vque Kempe affirmait qu'en poursuivant "L'unit des Chrtiens", le Pape se transformerait en "porte-parole de la chrtient" aprs avoir t reconnu - l'Union des glises tant ralise - comme "Primus inter pares" parmi les chefs des diverses glises chrtiennes. Si les finalits du Secrtariat sont celles exposes par l'vque crypto-juif Kempe, les consquences de leur ralisation seraient en ralit les suivantes : la position de l'actuel Pontife qui est indiscutablement celle du plus important porte-parole du monde chrtien se trouverait ramene celle de "primus", mais de primus "inter pares", et ces "pares" (gaux) du Pape seraient les autres chefs des glises chrtiennes. Par un tel statut d'galit, le Pape se trouverait donc rabaiss tre l'gal du Patriarche de Constantinople (qui est lui-mme "primus inter pares" des orthodoxes sans pour cela avoir le moindre pouvoir sur les glises nationales), mais encore gal la multitude des chefs de prs de deux-cents glises rformes, protestantes, etc., qui dans leur majorit sont des chefs maonniques ; il serait gal aux Patriarches de Moscou, de Bucarest, de Sofia, etc., qui sont les instruments du rgime communiste. Si l'Eglise Catholique tombe dans ce pige astucieux qui lui est tendu par la juiverie travers le Secrtariat du Cardinal Ba, le Pape ne tardera pas alors avoir aussi peu de prestige et d'autorit que n'importe lequel de ces "chefs" des sectes protestantes qui participent aux runions du "conseil mondial des glises". Sans compter que l'Eglise devrait alors faire d'normes concessions en matire de dogme, acceptant mme certaines hrsies, et remettant les positions sur lesquelles est fond son pouvoir spirituel, afin de satisfaire aux demandes de ses "frres gaux" avec lesquels elle doit s'unir pour atteindre la paix dans la grande famille chrtienne. Derrire les tentatives du Cardinal Ba et de ses complices tendant dcentraliser les pouvoirs de l'Eglise, se cache le mme souci d'affaiblir la position de la Papaut au sein du monde chrtien, et surtout au sein de l'Eglise Catholique elle-mme, en augmentant les attributions des cardinaux et des vques afin que ceux-ci puissent administrer leur diocse en toute libert et en dehors de tout contrle du Pape. Par cette dcentralisation qui augmente les attributions des cardinaux et des vques au dtriment de celles du Pape, c'est prcisment la direction unitaire de l'Eglise que le judasme prtend miner travers ses instruments, conscients ou inconscients. Simultanment, on prtend instituer un "parlement" d'vques, ce qui ne manquera pas de diminuer considrablement le pouvoir papal. En un mot, les juifs utilisent actuellement contre l'institution papale une stratgie et une tactique exactement identiques celles qui furent utilises antrieurement, partir du XVII sicle, aux fins de destruction des monarchies chrtiennes d'Europe. Le processus fut en effet le mme : en premier lieu on fit le ncessaire pour dcentraliser les pouvoirs des rois, en augmentant paralllement celui des princes, ducs, comtes, etc., dans leurs provinces et domaines. Ensuite, le roi fut entour d'un "parlement" ayant pour tche de le seconder dans la direction des affaires de l'Etat mais qui, en ralit, finit avec le temps par priver le monarque de ses pouvoirs royaux, le rduisant un rle purement dcoratif, dpourvu de toute prrogative, se contentant d'approuver et de signer les dcisions du "parlement" sans exercer sur celles-ci la moindre influence dcisive. Au fur et mesure que le temps s'coulait, la maonnerie, peu peu, s'infiltra dans les "parlements" qui ainsi noyauts, choisirent le moment adquat pour dclencher des rvolutions, ou pour proposer l'opinion publique pralablement conditionne par une prparation adquate, des "rfrendums populaires" qui, automatiquement, remplaaient un roi par un Prsident, lequel, dans la plupart des cas, tait un maon ou tout autre type de laquais du judasme. Si la Curie romaine, les Pres Conciliaires et le Pape lui-mme ne se rendent pas compte de ce qui se trame sous le couvert des "rformes" des Cardinaux Ba, Suenens, Frings, Dpfner, etc... et leurs complices dans le cadre de la "dcentralisation" de l'Eglise, et leur dsir de crer un "parlement" autour du Pape, et si en consquence ils ne mettent pas immdiatement un frein nergique ces plans, il se passera pour l'Eglise Catholique et pour le pontificat, ce qui s'est pass pour les monarques chrtiens qui finirent par tre destitus et substitus. Dans le meilleur des cas le Vatican sera transform en un Muse tout comme le sont aujourd'hui le Louvre et Versailles ainsi que les autres Palais qui appartinrent aux monarques dtrns par l'action subversive de la judo-maonnerie et ses instruments, action que ces monarques ne surent pas stopper temps.

La preuve la plus vidente de ce qu'est en ralit le Secrtariat pour l'Union des Chrtiens dirig par le Cardinal Ba, se trouve dans la prsentation qui fut faite au Concile cumnique, d'un document intitul "De catholicorum habitudine ad non christianos et maxime ad judaeos", dont l'approbation fut demande au Concile comme Ch. IV du Schma sur l'cumnisme. Dans sa rdaction on prtend, par un vritable malabarisme dialectique, dgager le peuple juif de sa responsabilit dans la mort de Notre-Seigneur Jsus-Christ, et obtenir de l'Eglise Catholique une nouvelle dclaration contre l'antismitisme, prsumant que celui-ci a son origine dans la croyance errone des peuples chrtiens en ce qui concerne le fait que les juifs sont un peuple dicide. Ce document affirme en outre que cette proposition n'a aucune finalit politique, et qu'elle est exclusivement religieuse. Nous ne pouvons croire cette affirmation, car nous savons tous parfaitement que cela est faux puisque dj toute la presse internationale contrle par les juifs est en train d'interprter politiquement la plupart des thmes traits par le Concile. D'ailleurs, on ne peut manquer de remarquer que le Secrtariat pour l'Union des Chrtiens n'a pas pris contact avec les autorits religieuses du peuple juif tels que les grands rabbins de New-York, Londres et Rome, ou avec ceux de Jrusalem ou de Tel-Aviv, personnalits seules qualifies pour l'tablissement de contacts religieux de haut niveau ; bien au contraire, le Cardinal Ba prit contact avec les hauts chefs politiques et maonniques que sont M. Label A. Katz, Prsident de l'ordre maonnique exclusif pour juifs B'nai B'rith, M. Nahum Goldmann, Prsident du Conseil Mondial Juif, et avec les hauts fonctionnaires de "l'American Jewish Commitee" ; il est de notorit publique que les attributions de ces hauts chefs juifs sont exclusivement de caractre politique et conomique, leur influence s'tendant l'Organisation des Nations Unies, aux Gouvernements de nombreux tats et l'omnipotente Banque Mondiale. Plus encore: un article de la revue "Humanita" d'avril 1963, intitul Les juifs dans le Concile (Gli ebrei ed in Concilio), nous rvle que le Comit Permanent des rabbins d'Europe et le conseil rabbinique d'Amrique c'est dire les authentiques autorits juives en matire religieuse s'opposent formellement au rapprochement entre juifs et catholiques. Au cours de la 75e Convention Annuelle de la Confrence Centrale des Rabbins d'Amrique clbre le 19 juin 1964 Atlantic-City, les rabbins Lon Feuer et A. Lelyvald s'exprimrent galement dans ce dernier sens, ainsi que nous le dit avec force dtails le "New-York Times" du jour suivant. Ainsi que n'hsitent pas l'affirmer d'illustres Pres Conciliaires en rplique au Cardinal Ba qui dfendit personnellement la thse favorable aux juifs, ce document ne devrait mme pas tre prsent pour discussion, n'ayant absolument rien voir avec "l'Unit Chrtienne", ni avec l'cumnisme, ni avec les intrts de la chrtient en gnral, parce que s'il venait tre approuv par le Concile, il quivaudrait une auto-accusation de l'Eglise, espre par les juifs, puisque durant 19 sicles celle-ci combattit leur action anti-chrtienne par l'intervention de ses Papes et de ses Conciles. Pour essayer de dissimuler leurs vritables intentions - et le but poursuivi de convertir l'Eglise Catholique en un satellite du judasme dans la lutte de ce dernier contre les nationalismes chrtien et arabe qui sont gnriquement qualifis d'antismites - le cardinal Ba et ses collgues juifs ont rdig le document dont il agit de faon telle qu'il semble apparemment se limiter aux juifs de l'Ancien Testament, au "Peuple Elu" de la Bible... Comme si les juifs aujourd'hui n'taient pas les dignes descendants des juifs qui rclamrent grands cris que le sang du Christ tombe sur eux et leurs fils, ceux qui reurent la maldiction du fondateur de l'Eglise, et qui, au cours des sicles, ont reprsent l'antchrist permanent, il n'y a pas de diffrence entre les juifs qui commirent le dicide et causrent la mort des premiers chrtiens en intriguant contre eux auprs des empereurs romains, et ceux qui, au sicle prsent, ont foment les rvolutions et les guerres qui ont caus la mort ou l'esclavage de millions de chrtiens. Le monde catholique ne veut pas vivre nouveau le dconcertement de savoir que dans le Concile Vatican II, sommet de toutes les esprances de ceux qui ont la Foi, des voix s'lvent en faveur du peuple qui fut et continue tre dicide puisqu'il donna la mort au Fils de Dieu et lutta inlassablement pour exterminer son Eglise. Les millions de chrtiens qui, en Europe, en Asie, et Cuba, souffrent de l'oppression juive du bolchevisme ne comprendraient jamais pourquoi l'Eglise tend la main leur bourreaux. Les pays arabes avec leurs populations musulmanes et chrtiennes ressentiraient une immense dsillusion devant une alliance du Vatican avec les usurpateurs sionistes qui fondrent leur tat sur les ruines de nombreuses glises et monastres et l'expulsion de plus d'un million d'Arabes de leur sol natal. Et en Occident o, partir de la Rvolution franaise, nous avons toujours trouv les juifs derrire toute ide rvolutionnaire ou dissolvante, derrire le capitalisme implacable, promoteur de la dgnrescence des coutumes, autant de manifestations du messianisme anti-chrtien, il nous reste uniquement la foi en ce que l'assistance du Saint-Esprit dans le Concile annulera l'action subversive des faux convertis qui ne font qu'excuter les consignes des forces du mal. Les juifs continuent crucifier Jsus avec pleine conscience de leur mission. Les uns, aths - les plus nombreux - les autres, dans l'attente du Messie, assaillent l'Eglise dans tous les confins de la terre partout l'attaque du Symbole de la Croix. Chacun voudrait avoir de nouveau le mrite de Judas et de Caphe. L'un d'eux, le sioniste bien connu Ben Hecht crivit ces paroles : L'une des meilleures choses que la populace ait jamais faite fut la crucifixion du Christ. Intellectuellement ce fut une action splendide ; mais elle fut confie la populace qui la ralisa imparfaitement. Si l'on m'avait charg, moi, d'excuter Christ, je l'aurais fait de manire diffrente. Voyons : ce que j'aurais fait, moi, c'est de l'envoyer Rome pour tre dvor par les lions. De viande hache ils n'auraient jamais pu faire un sauveur... (Relev dans "Christian Nationalist Cruzade", Los Angeles, California).

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