6 Ans À Bord D'un Vaisseau Spatial
6 Ans À Bord D'un Vaisseau Spatial
6 Ans À Bord D'un Vaisseau Spatial
À l’époque du début des faits, bien avant la seconde guerre mondiale, le mot «
extraterrestre » n’existait même pas encore, et a fortiori des néologismes tels qu’«
Aliens », « Zétas » ou encore « petits Gris ». Il semble bien cependant, au vu de son
témoignage, que le vaisseau dans lequel séjourna ce paysan pendant cette longue
période était habité par des êtres qui n’avaient rien d’humain, mais rien non plus de
terrifiant, comme pourraient se l’imaginer ceux qui ont encore une vision dualiste et
manichéenne des civilisations de l’espace.
Non, il n’y a pas d’un côté Ashtar Sheran à la tête des bons extraterrestres, ceux qui
ont une forme humaine comme nous et qui seraient nos alliés virtuels, et de l’autre les
Gris, les Reptiliens et toute la faune des mécréants de l’espace. En réalité, les choses
sont bien loin d’être aussi simples !
Ce qui se passe actuellement, c’est que notre humanité est progressivement en train
d’émerger dans une communauté plus étendue de vie intelligente. Plusieurs races
extraterrestres et plusieurs organisations formées de diverses races nous « visitent ».
Leur va-et-vient est devenu constant depuis une cinquantaine d’années. Ces visites de
notre planète ont d’ailleurs eu lieu depuis la nuit des temps, mais la fabrication
d’armes nucléaires par les humains et la destruction progressive de notre
environnement naturel ont attiré vers notre planète certains êtres, dont la survie
même pourrait s’avérer menacée en cas de cataclysme planétaire.
Même si ceux dont il va être question sont d’apparence un peu grotesque, selon nos
critères, et qu’ils n’ont ni sentiments ni émotions, cela semble largement compensé
par leur extraordinaire intelligence. Un assez bon exemple en est qu’ils se méfient
beaucoup du concept de « démocratie » dont continuent de se gargariser la plupart des
habitants de notre planète. Selon eux, pour chaque problème il ne peut y avoir qu’une
réponse possible : celle qui est la plus rationnelle et la plus logique. « Si un problème
se présente, il n’ont pas besoin de communiquer et encore moins de polémiquer entre
eux ; tous sans exception trouvent en même temps la réponse la mieux adaptée ! »
Ces feuillets manuscrits, je les connais par cœur, car je les ai lus et
relus de nombreuses fois. Je n'ai jamais su quoi en faire et quoi en
penser. Les publier ? Je n'ai pas osé en parler à qui que ce soit, par
peur des moqueries. Un temps, c'est vrai, j'ai pensé écrire un article
dans un journal. Auparavant je voulais prendre l'avis d'un
spécialiste, un homme de science, mais d'Afrique où je résidais, ce
n'était guère possible. Quoi qu'il en soit, personne ne m'a répondu.
J'ai donc renoncé.
Laisser moi aussi une lettre à mon propre fils pour lui
retransmettre celle de mon père l'aurait plongé dans le même
problème que moi. Mais maintenant, vieux à mon tour, je suis
moins sensible à l'opinion des autres, j'ai donc décidé finalement de
publier ces feuillets. A vous de juger si j'ai bien fait. Je n'ai
absolument rien changé au récit de mon père. J'ai simplement tapé
son manuscrit tel quel, l'expurgeant des considérations familiales.
Comme cette lettre était écrite sans plan, considérations familiales
et renseignements sur les extraterrestres mélangés, j'ai pensé un
moment remettre son récit en forme. Finalement, sans le vouloir,
j'aurais pu le déformer. Il est probable que, malade, il écrivait
quand il le pouvait et en cachette de ma mère et qu'il tenait à me
raconter son histoire avant de mourir. J'ai simplement ajouté
quelques annotations pour la compréhension, car la plupart des
lecteurs ne connaissent pas l'environnement social de l'époque.
Il a confirmé qu'en effet, pris dans une rafle en 1942, il avait été
envoyé le soir même en Allemagne pour travailler dans une usine de
munitions. Pour l'argent, il avait une explication plausible. Mon
père a mis l'argent dans la valise, celle-ci sur l'armoire, et dit à ma
mère qu'elle pouvait se servir de cet argent. Puis plus personne n'en
a parlé.
Mon père ne savait pas conduire une voiture, mais il aimait bien
rouler avec sa mobylette. Très souvent, le dimanche, il allait visiter
un village nouveau de la région. Il faisait de longs trajets. Par
exemple, de Poitiers, il allait visiter le village d'Oradour-sur-Glane.
Au cours de ses rares congés, il lui arrivait d'aller à la mer. Pour le
travail il roulait beaucoup aussi. Il était employé sur des chantiers
de construction. A la pioche, il creusait des tranchées. Souvent son
patron l'envoyait sur des chantiers éloignés, à vingt ou trente
kilomètres. Il partait très tôt le lundi matin et ne revenait que le
samedi. C'est du moins ce qu'il disait, car bizarrement il n'arrivait
pas à avoir de fiches de paye. Ma mère ne disait rien mais supposait
qu'il lui arrivait de travailler au noir.
Je savais que mon père, le samedi, aimait bien aller au marché,
seul, pour acheter du fromage de chèvre et du saucisson de
campagne. Je savais aussi que lorsque j'étais en permission, il
aimait bien me voir en uniforme. Apparemment il était fier de moi.
Un jour donc, c'était en 1955, revenant d'Indochine, j'étais en
permission. Habillé de mon plus bel uniforme, j'ai décidé de le
rejoindre au marché pour lui faire une surprise. Arrivant dans son
dos, je le vis discuter avec des gens qui, d'après leur costume,
ressemblaient plus à des cadres de haut niveau qu'à des
ouvriers. Avant qu'il s'aperçoive de ma présence, j'ai entendu
mon père parler sinus et cosinus avec ces gens. Il semblait très
à l'aise. Je ne savais même pas qu'il connaissait ces mots.
En 1985, j'étais en Afrique lorsque l'on m'a informé par fax que mon
père était gravement malade et hospitalisé. Je suis arrivé deux jours
avant son décès. Comme mon épouse était restée seule dans un
camp de réfugiés mal sécurisé, je ne pouvais m'attarder en France.
Je ne suis donc resté que quelques jours, le temps de régler les
funérailles et prendre quelques dispositions pour ma mère.
C'est peu après que j'ai trouvé dans son blouson une grande
enveloppe grise, avec quelques feuillets manuscrits. Sur l'enveloppe
il était bien écrit qu'elle était pour moi, son fils. Mon père n'écrivait
pas beaucoup, mais c'était bien son écriture. De plus, les
considérations sur la famille ne pouvaient venir que de lui.
Cette lettre va beaucoup t'étonner, mais c'est bien moi, ton papa, le
rédacteur. Même si les médecins ne me le disent pas nettement, je
vais mourir bientôt. J'espère seulement avoir le temps de te
raconter mon histoire et si possible te donner quelques détails pour
satisfaire ta curiosité.
Il n'est pas impossible que dans les années à venir, des gens voient
des choses bizarres dans le ciel, aussi je vais te dire de quoi il s'agit,
car moi je sais.
Pendant que nous nous regardions les uns les autres, dans un
éclair l'OVNI a non pas disparu, mais s'est rétréci d'un seul coup
pour ne devenir que gros comme, disons, une pomme. J'abrège
beaucoup, car je ne suis pas certain de pouvoir tout te raconter.
Comme vous avez besoin d'air, vous ne pourrez pas venir chez
nous. Même moi, pour vous parler, je dois porter cette petite boîte
qui me délivre l'air nécessaire pour cela. Quand vous aurez épuisé
les questions personnelles, votre instruction proprement dite
commencera à votre rythme. Mais vous verrez, ce sera très rapide.
Votre motivation sera la curiosité.
Dès le début j'ai parlé de l'inquiétude probable des mes parents. J'ai
reçu une réponse très concise dans le genre "Ne vous inquiétez pas
trop sur ce qui se passe sur Terre et de votre famille, la vie sur cette
planète y est très courte. Votre avenir ici sera bien meilleur".
Je vais te résumer ci-après le principal.
Cher lecteur, les mots employés ci-après par mon père ne sont sans doute pas très
scientifiques, mais cette lettre qui a sans doute été écrite en 1984-1985 relate des
souvenirs s'étalant de 1928 à 1931!
DIEU
Bien entendu, chaque soleil qui s'éteint est une fin du monde
partielle pour ses planètes. Rassurez-vous, le Soleil de la Terre
durera encore longtemps et la Terre aussi sauf accident. Ce sont
ces possibilités d'accidents que nous sommes en mesure de prévoir
dans notre environnement. Par exemple, nous avons pu prévoir la
fin de notre planète et partir à temps.
Reste des questions que nous n'avons pas résolues. Certains êtres
vivants sur diverses planètes pensent que Dieu est extérieur au
Cosmos. Dans ce cas, même s'il n'est pas possible de changer
l'information initiale, on peut améliorer l'agencement des codes
d'information à l'intérieur d'un cycle par la prière, par des rites et
par la connaissance et le travail. En effet, par l'observation on peut
remarquer qu'un des codes de l'information semble être la
conception d'un Dieu, ce qui ne prouve pas son existence.
Les miens savent tout ce qui se passe sur Terre. Ce qu'ils ne savent
pas, les "espions" peuvent compléter les manques. Ils peuvent
ramener au vaisseau livres et journaux. Ils ramènent également des
objets, ou pour les Terriens à bord, des échantillons alimentaires à
reproduire et aussi toutes sortes de choses et de renseignements
pour enrichir le cerveau central qui est commun à tous les
vaisseaux et accessible à tous, y compris aux Terriens et dans la
langue de leur choix.
Santé – longévité
Ceux qui parmi les Terriens sont là depuis des milliers d'années
finissent par acquérir des changements. Ils mutent de leur
vivant. Certains organes s'atrophient puis disparaissent.
Il n'y a jamais de décès ni chez les extraterrestres ni chez les
Terriens, et c'est la principale raison pour laquelle aucun de ces
derniers ne veut retourner sur Terre.
C'est ainsi qu'un matin, je suis arrivé à la ferme des parents, valise
à la main. Quelle "engueulade" ! Mais enfin ils étaient bien
contents. Les récriminations concernaient surtout le fait que les
vaches étaient rentrées toutes seules à la ferme, ce qui aurait pu
causer des accidents ou des dégâts dans les champs des voisins.
Après des commentaires acerbes concernant ces jeunes de
maintenant dont on ne sait plus ce qu'ils ont dans la tête... etc.,
tout est rentré dans l'ordre d'autant plus facilement que j'avais bien
précisé que j'avais toujours travaillé de fermes en fermes et avais
donc un pécule. Après avoir acheté, pour le prouver, du tissu noir
pour les jupons de ma mère et une montre pour le gousset de mon
père, plus personne ne parlait plus de ma disparition.
C'est ainsi que je me souviens d'une planète, qui sans nul doute
était habitée, le cerveau central qui recevait les analyses le
confirmait. Pourtant, il n'y avait aucune trace au sol. Jamais
n'a été détecté un être vivant en déplacement. Pouvait-il
exister du vivant invisible ? Ce vivant vivait-il dans les
profondeurs de la planète ? Au moment où j'écris, je suppose
que cette planète est toujours à l'étude.
A propos de voyages dans l'espace et avant qu'il ne soit trop tard, je
vais essayer de te donner quelques explications sur ces voyages.
Pour cela, il me faut parler du Cosmos.
C'est difficile pour moi de t'expliquer ces choses, car les concepts
scientifiques des extraterrestres et ceux de la Terre sont différents
et les mots me manquent.
Fin de l'aventure ?
En 2003, pour des raisons d'âge, j'ai cessé toutes mes activités
humanitaires. Mon épouse et moi sommes rentrés définitivement en
France.
En général, les amis proches m'ont dit que mon père avait voulu me
faire un canular. C'est une objection valable, mais j'imagine mal un
mourant écrire un canular à son fils.
(NOTE : La revue 'Lumières dans la Nuit' l'a finalement publié dans son numéro de
décembre 2004)
J'ai donc acheté et lu les livres en question et... suis resté sur ma
faim. Comme sur LDLN, le contenu de ces livres n'est en général
qu'une suite de témoignages difficilement vérifiables. À ce jour, m'a-
t-il semblé, aucune preuve matérielle ne vient confirmer l'existence
des OVNI.
En voici la retranscription:
- Voilà, c'est un peu particulier. Il paraît que vous détenez une lettre
de votre père et que vous avez écrit à plusieurs magazines pour la
publier, c'est exact ?
SILENCE
LONG SILENCE
- Oui c'est possible. Mais n'ayez pas peur. Je ne vous veux aucun
mal. Je voudrais seulement que vous renonciez à publier cette
lettre. Le mieux serait de la détruire en ma présence. Mais si vous le
voulez, je peux vous l'acheter très cher.
- Écoutez Monsieur, la question n'est pas là. C'est une lettre de mon
père et j'aimerais savoir quoi en penser. La publier, c'est pour moi
l'opportunité de contacter des gens qui pourraient peut-être
m'éclairer sur les questions que je me pose. Vous comprenez ?
Crop circle de 110 m de long x 76 m de large apparu le 15 août 2002 à Pitt, près de
Winchester dans le Hampshire (Royaume Uni). Le visage alienigène rappelle
étrangement la description des habitants du vaisseau présentée dans l’article d’O. R.
Quant au cryptogramme figuré sur le disque, Linda Moulton Howe l’a décrypté (Cf.
notre page L’avertissement de Winchester) et lui a attribué la signification suivante :
''Prenez garde au porteurs de faux cadeaux et aux promesses bafouées. Beaucoup de
souffrance mais il est encore temps. Il y a du bon ici-bas. Nous nous opposerons à la
tromperie.'', ce qui semble accréditer l’hypothèse de l’origine « hyperintelligente » de ce
message.
- Merci du renseignement.
- Cher Monsieur, pensez à ce que je vous ai dit au sujet de la lettre
de votre père. Ne perturbez pas vos semblables. Je reprendrai
contact avec vous si vous le voulez bien, et peut-être pourrions-
nous nous voir. Merci de votre amabilité.
NOTE DU GREPI :
Sans rapport direct avec ce récit, dans une lettre en provenance de Belgique et
adressée à LDLN, un "correspondant" anonyme, Terrien ordinaire, déclare être lui-
même une sorte de guide et de conseiller de certains "visiteurs". Il lui arrive de les
accompagner dans leur engin, pour récolter des échantillons par exemple. Lors de
rencontres fortuites avec des promeneurs, c'est lui, le guide terrien, qui explique la
présence de l'engin par un exercice militaire pour rassurer et éloigner ces témoins
indésirables.
L'auteur de ce texte désirerait entrer en relation avec des gens qui auraient vécu une
expérience similaire à celle de son père et recherche des informations pouvant
confirmer éventuellement son récit.
Si, par exemple, l'une ou l'autre des personnes présentes à l'enterrement ("tous ces
directeurs de ceci ou ces directeurs de cela") venait à lire cette page, nous lui serions
reconnaissants de contacter le GREPI !