RT 16
RT 16
RT 16
DE
TRAVAUX RELATIFS
A LA
PHILOLOGIE ET A L'ARCHOLOGIE
GYPTIENNES ET ASSYRIENNES
POUR SERVIR DE BULLETIN A LA MISSION FRANAISE DU CAIRE
PUBLI SOUS LA DIRECTION DE
G. MEMBRE DE L'iNSTITUT
PROFESSEUR AU COLLGE DE FRANCE, DIRECTEUR D'TUDES A l'COLE PRATIQUE DES HAUTES TUDES
MASPERO
2163S9
PARIS.
LIBRAIRIE EMILE BOUILLON, DITEUR
67,
RUE DE RICHELIEU, 67
M DCCC
Tous droits
XCIV
rsercs.
Le Recueil parat par volume compos de quatre fascicules. Les abonnements se font pour le volume entier, il n'est pas vendu de
Paris
30 32
Un sommaire
dtaill
est
OUVRAGES
relatifs
d').
1 fort
vol. in-8".
50
sainte
fr.
(E.). In-4".
Frasmeuts de
la
version
thbaine de
l'criture
(Ancien Testament).
15
fr.
AURS
(A.).
Trait de mtrologie assyrienne ou tude de la numration et assyrien considrs dans leurs rapports et dans leur ensemble. In-8.
(A.).
du systme mtrique
6
in-8,
fr.
BAILLET
Le dcret de Meniphis
et les inscriptions
une planche.
avec 5 fr.
BAR-BAHLUL
BERGAIGNE
et
(H.). Lexicon syriacum voces syriacas graecasque cum glossis syriacis et arabicis complectens. E pluribus codicibus edidit et notulis instruxit R. Duval. Fasc. I, II et 111. 3 vol. gr. in-4''. 60 fr.
la
langue sanscrite.
Chrestomathie-Lexique-Principes de 12 fr.
HENRY
(V.).
Manuel pour
in-8.
Lexique. Gr.
12
fr.
BERTHELOT.
3 vol.
Histoire des
in-4'',
M. Rubens
Sciences. La Chimie au moyen ge. Publi avec la collaboration de Duval pour l'alchimie syriaque, et celle de M. O. Houdas pour l'alchimie arabe.
le texte.
45
I". In-4.
:
fr.
fr.
BOISSIER
(A.).
Documents assyriens
relatifs
12
Gr.
in-8.
BRUGSCH
1
(H.).
fr.
Examen
en
Phnicie,
M. Chabas
au
Au
lieii
de 50
fr.
DERENBOURG
(H.). Essul sur les formes des pluriels arabes. Gr. in-8.
(LE), Papyrus du Muse de Turin publi en fac-simil par le professeur R. V. Lanzonc, do Turin, 11 planches et 2 j)ages de texte. In-f. 30 fr.
DUTENS (A.), tissai sur roiigiue des exposants casuels DUVAL (R.). Trait de grammaire fcyHaque. Gr. iu-8".
L*^?
en sanscrit.
In-8.
6
20
de
la
fr. fr.
dialectes >'oo-Aranit'ehs de
l'tat
actuel
Perse
et
ConteS
GUIEYSSE
Au lieu de 8 fr. 4 fr Rituel funraire gyptien, chapitre 64'. Textes compars, traduction et commentaires dapres les Papyrus du Louvre et de la Bibliothque Nationale. In-4, pi. Au lieu de
(P.).
'^^
"
INSCRIPTIONS
10
60
fr.
LEFBURE
LEPSIUS
hiroglypliiques copies en Egypte pendant la mission scientifique de M. le vicomte E. de Rouge, publies par M. le vicomte J. de Roug. 4 vol. in-4. Au lieu de 120 fr.
fr. fr.
fr.
Le Mythe Osirien. Premire partie Les Yeux d'Horus. Deuxime partie Osiris. In-4". Au lieu de 20 fr.
(E.).
: :
In-4.
Au lieu de
20
fr.
15
15
(C.-R.) Les mtaux dans les inscriptions gyptiennes, traduit de l'allemand par W. Berend avec notes et corrections de l'auteur. In-4% avec 2 pi. 12 fr.' LIEBLEIN (J.). Index alphabtique de tous les mots contenus dans le Livre des Morts publi oar R. Lepsius d'aprs le Papyrus de Turin. In-8. Au lieu de 12 fr. 6 fr MARIETTE-PACHA Dendei^ah. Description gnrale du grand temple de cette ville. 4 vol. in-f et suppl. contenant 339 pi. ace. d'un vol. de texte in-4\ Au lieu de 390 fr. 200 fr. Le volume de texte se vend part. Au lieu de 60 fr. "3O fr! Le supplment aux planches. Sparment. Au lieu de 10 fr. 5 j^
'
RECUEIL
DE TRAVAUX RELATIFS A LA PHILOLOGIE ET A L'ARCHOLOGIE
GYPTIENNES ET ASSYRIENNES
Vol.
XVI
:
Fascicules
et II
Contenu
Il Recherches sur plusieurs Plantes connues des anciens gyptiens, par Victor Lorkt. 2) Monuments gyptiens de la Collection Dugas. par Alexandre Moret. 3) Demotische Miscellen, von \V. SpiEniLBKRG. 4) Varia, von W. Si'iigki.dirg. h) Notes d'pigraphie et d'archologie assyriennes, par Fn.-V. Scheii., O. P. 6) Note sur un groupe hiroglyphique de basse poque, par Victor Loret. 8) Textes recueillis dans quelques 7) Notes et Remarques, par G. Daressy. collections particulires, par G. Lec-.rain. 9) Ostraca hiratiques du Louvre, par W. .Spiegelrrrg. 11) Johannes Dmichen, 10) Des Papyrus hiratiques indits du Louvre, par W. Spiegelherg. 13) Notes von W. Spiegelberg. 12) A travers la vocalisation gyptienne, par G. Maspero. d'pigraphie et d'archologie assyriennes, par Fr.-V. Scheil, O. P. 14) Recherches sur plusieurs Plantes connues des anciens gyptiens, par Victor Loret. 15) Sur un fragment de papyrus grcocopte, par Victor Loret. 16) Le nom d'pervier du roi Sozir au Sina, par Georges Bndite.
RECHERCHES
SUR
PAR
Victor Loret
X.
LE POIREAU
Si l'on fait abstraction des passages satiriques de Juvnal (xv, 9) et de ses imitateurs
.sur
passages
fait
imprudent de con-
comme
Pline
.
est
ma connaissance, parmi
et
Poireau gyptien,
flatteurs
:
encore
l'a-t-il
Laudatissimus in yEgypto,
mox
Ni Hro-
du Poireau parmi
tel
point que,
si
la Bible,
Porrum
Nombres
(xi, 5) cite le
la
du manque de nourriture
Il
nous souvient.
qu'il
s'crient-ils
avec regret,
des poissons
t.
1.
Pour
les
numros I-IX.
voir Recueil,
VIF, p. 101-114, et
t.
XV,
p. lOr-130.
RECUEIL, XVI.
Le Poireau
Pourtant, G.
dans
les
Schweinfurth
a cru
AUium
M. E. Schiaparelli de tombes de
publi, ce sujet,
mme
d'intressantes
L.,
remarques sur
VA.
les
Ampeloprasum
Porrum
microscope par
le D"" Volkens, se sont trouvs tre des Aulx et non des Poireaux, et Schweinfurth lui-mme a cori'ig son erreur dans la traduction allemande de son
mmoire
tienne
'.
mot dont
la
retrouver
la
forme
mot
^^
comme
moi
la
du copte
h-xi.
Depuis,
le
doute a
place
fiiez
documents nouveaux,
et je crois
que
la dter-
mination de
Aaqi peut tre considre comme ac(|uise. C'est un passage du Papyrus Westcar qui m'a ini.s sur la. voie de cette identificav est mentionne comme un lgume ordinairement attach tion*. La i)lante n v\
plante
1
_e^olll
"
en botte. Le
traitement
^^XltlTl^fW^WHW^r:
buf
et cent bottes d^^
roi
Chops. en
efet.
hal)ile. lui
accorde un
'^'
,-
l"-
poireaux
"
Je sais que d'autres lgumes que les Alliaces peuvent tre attachs en bottes, par
les
navets ou
les carottes.
Mais jamais,
ma connaissance,
ces der-
tombeaux parmi
les objets
comestibles, tandis
reaux tombe
si
naturellement sous
presque pas de
monument
d'olrandes. Je ne crois pas, d'autre part, qu'il y ait lieu de cli.scuter bien
longuement
le
sens
botte
(pie j'attribue
au mol
^^^^^
Dj,
lien.
si
le
dterminatif
"-s*,
indique bien
qu'il s'agit
tombes, de l'Ancien-Empire
la
XIP
dynastie
'.
Dans ce
1.
les
anciens tombeatcv de
l'f/y/ite {Bull,
l'Inst. f/i/pt.,
Die let^ten botanischcn Entdcrkunf/rn in don Grbern ^tiyyjttens, mit Vcrbesserunyen und Zust^en
p. 10-11).
M. A. Erman,
l'a/).
Ziciebcl.
5. 6.
Westc,
pi.
L\,
1.
20-21.
pi.
VIII.
XXXVIII; Miss, du
Caire,
t.
p.
il
de
jfjfr
ou de
Mr.
Enfin, suivi
\ de
',
signe Air% le
^
/
1
\
I I
mot <p> dsigne les bottes d'herbages, faits aux temples '.
les
Un
Ci
texte range
VAaqi
ct de l'Oignon,
comme
le faire
pour
c^
Poireau
1K
UlA
ci|oc=^R
!
cSzQ
[I
I
bOd n
c=^^
-M^
J
^g^ I ii^f^Tw
^"^
.
c^ cSzo rn-| ^
1
c^
j\
Ll
I1|a^^
c^
y^^
oignons
et les
Un
ment
le
VAaqi
^^
\\
Porrum capitatum
^^^^
Z5
^.
raisins secs,
La composition connue sous le nom de Papyrus des mtiers nous montre, propos du maracher, que VAaqi est un lgume, et mme un lgume communment cu ltiv en (OQ :^ 8 /wvwv gvpte sous les Ramessides Il >k: \\ W'
"
I
LS^
les
{P^ip- ^(^11-
II Q/Q-7
>
= Pap.
est
il
se lve
matin
pour arroser
poireaux;
(j
il
se
choux
"
Sous l'orthographe
^^
'^,
le
mot
mentionn parmi
Poireau pil
o
"^
"^^
il
r'
pour gurir
la
morsure
faite
par l'homme
la
80
f^ ^
c^T
Pap. Ebers,
64/6).
quente, d'ailleurs, cjue peu dangereuse; mais tous s'accordent pour prconiser
et
de toutes
btes venimeuses
h-xi, H(^e;
^'.
Le mot Aaqi
phontique du copte
s. BiRCH, The Coffin of Amamii, pi. XXII. Miss, du Caire, t. I, p. 136. 3. J. DM., Kal. Op/.-List., pi. IX, I. 27; A. Mar., Karnak. pi. XV, 1. 13. 4. Louvre, C 57. 5. Gr. Pap. Harris, pi. XXl b, I. 5, et XL a, 1. 4. 6. J. DtJ.M., loc. cit., III, 25; IV, 9, 20; V. 34; VI. 20. 7. Le mot Khcrs/i, ou plutt quelque forme dialectale encore inconnue de ce mot, doit peut-tre se rapprocher du copte g^wA.S', g^coA-^i, g^coAK. amplecti, coinplecti; adhrere, conjunctus esse. 8. Le IIpitTov y.cpaXcoTov ou Porrum capitatum est le Poireau proprement dit (Alliuin Porrum L.) par opposition au Ilpaov xapTov, Porrum sectivum, qui est la Ciboule (Allium Jistulosum L.).
1.
2.
9.
Cf. Tti-igigHO-y,
p. 879).
v_^5C_JI.
le
Chou
(Le. cet.
MS. Oxon.,
p. 151, in
latinum,
11.
10. J. DiJ.M.,
Kalend. Inschr., pi. XXVII. ,_ Diosc, De Mat. med., II, 178; Pline, Hist.
21.
nat.,
XX,
21-22; Garg.
Mart., Medccin ex
oler.
et
pomis,
1*
runis du mot, seuls qui soient parvenus ce sont connaissance, s'appliquent on ne peut mieux au Poireau. Je crois donc que
exemples que
j'ai
et
les
ma
l'identi-
amen par
XL
La
plante
L'ACHE
Me-(.io,
.=^ "^
Crocus hortensis.
MM.
J.
LiEBLEiN
'
et L.
Stern ',
ce sens a t
le
dissi-
phique, abandonne
la transcription
-==^"^ pour
qu'il
rapproche du
terme
lieu,
.^ '^v'^v
En second
M. Ebers', adoptant pour son compte un rapprochement suggr dj par M. Stern ', considre le mot ^^'^ comme rpondant, non au copte Mc-e.io, mais au mot |jioe0, que Dioscoride' cite comme dnomination gyptienne du XsXioo-nov fiya ou Chelidonium majus L.
Avant de proposer une identification nouvelle,
fond
les identifications
je crois
doit se lire
proposes jusqu'ici
et,
le
mot
tJt
ou
-^ '^.
le
Au Papyrus Ebers,
il
mot
"^
est crit,
comme nous
le
les
formes intermdiaires
^ =*^
O
cii
:^
O o
^^
tables, la lecture
si
du mot pourrait
comme absolument
les
le
dfinitive,
le
nom
et
orthographes
'y
-^
Du
reste,
il
groupe
=^ ^^"^^
:
terme
qu'il lit
,^'^,
il
du mot
'**^^\'^^
qu'il existe
^1^^ ^^*
nom de
dont
je
la
un mot hiroglyphique
^"^,
connais au moins quatre exemples. Mais cela n'empche pas l'existence d'un
le seul
mot --=^"^,
dont
je veuille
m'occuper pour
le
moment.
1.
Il
existe bien,
au Papyrus Ebers
brlures
(69/8-10).
une plante M
vw
"
pile,
^ S
^"
A!
pour
,^-V:^
Ht
les
(5
Ijl.
soit la
mme que
ouvrages de mdecine classiques, pour gurir les brlures. Par contre, le Ssame y est spcialement cit comme possdant cette proprit. Or, le Ssame porte en copte le nom de oue, et je suppose que ce nom drive du mot gyptien Aotiqi.
VAacji.
Le Poireau
dans
2.
3. 4.
ait.
5.
6.
Glossaire du Pap. Ebers, s. voc. Mati. Pap. Ebers : Die Maasse und dos Kap. ber die Auc/enkranklieiten
p.
231
|99].
7. jLoc. cit.
8.
9.
Que
le
Safran,
dnues de fondement,
Safran.
Il
y a
efet
un nouvel exemple du
danger, signal plusieurs fois dj, que l'on court en utilisant Kircher sans contrler
ses traductions latines.
qu'il a publie porte
en
Me-e^io,
crocus hortensis,
X^cs-,
et trois autres
irfit.
exemplaires que
dsigne
la fleur
je
connais de la
galement Me-o-i^io^
elle-mme, mais
Ov,
jt^as-
la plante
jamais
le
Safran, dont le
nom
Egypte,
et n'y a
jamais pouss; on ne
mme
nomme
jamais rencontr
lyos-
l'tat cultiv.
Abou-Hanifa,
cit
par Ibn-Baithar
',
est le
nom
de
la fleur
du
mme distinction*. Les dictionnaires arabes originaux dpouills par Freytag disent de mme\ Abou '1-qasim al-Ouizir crit que la plante nomme ordinairement Ao^ porte au Maroc le nom dey^&\ Forskal fait de Enfin, 'Aacpopi est, en grec moderne, le nom du Carthame*. Jl^s. un synonyme de Jsy
'.
Il
rsulte de cet
si
-==^
Ci Ci
'^ rpond au
le
copte
Ave.io,
il
doit dsigner le
Carthame
non
le
Safran. Or,
il
ne peut dsigner
cette plante,
Carthame. Outre
AA/W\A
'^
"^
qui est
^Sf "^
(s'o-irc^,
-xott-x),
qui
me
parat certain,
est,
du Mati
n'est applicable
au Carthame. Le Mati
en
efet,
remarqu depuis longtemps, tantt une plante de marais, tantt une plante de dsert ou
de montagne. Tel n'est pas
le cas
du Carthame
comme
La
le
plante cultive dans les champs de bl, mais n'y a jamais t trouv l'tat
spontan'.
raison qui
empche
le
Mati
,
d'tre le
rapprochement avec
ixoe
la
grande Chlidoine
s'est
qu'a propos
rcemment
A. Kircher, Lini. gypt. restituta, p. 189. A. Peyron (Lejcic. ling. eoptic, p. 92) avait dj, sans qu'oa y ait prt attention, relev Terreur de Kircher Kirchero est Crocus hortensis, sed ex vi vocis Arabicas est Cnicus lierba ejuscejlos, qui fulva?
1.
2.
tincturae inservit.
3. 4.
d. J. V. Sontheimer, t. II, p. 196. Delile, Flor. gypt. illtistr.. n'TSS; Aschers. et Schweinf., Illustr. de la Flore d'Egypte, n" 622.
arabico-latin.,
t.
5. Leceic. 6.
III, p. 168.
indit que je possde de cet auteur. Flora gyptiaco-arabica. p. LXXIII, n 431. 8. C. Fraas, Synopsis jilantarum Jlor classic, p. 206. 9. A. DE Candolle, Orig. des plant, cultic, 1886, p. 131; P. Ascherson de la Flore d'Egypte, p. 96-97.
P. 155
du manuscrit encore
7.
et
G.
Schweinfurth,
Illustr.
les
suivants
dans
dans
les dserts
chanes montueuses,
Ci
ill
est
un mot
copte,
iti-AiT,
auquel
je
m'tonne qu'on
n'ait
Le mot
dans
les
Scal\ par
l'arabe ^^.sCJl
et
il
en existe une
dont
le
nom
Jjol". Ce dernier
mot arabe d-
signe l'Ache-Persil
qu'en arabe
trouve
littral
*.
(Apium Petroselinum L.), aussi bien en arabe vulgaire d'Egypte' Le Persil est seulement cultiv de nos jours en Egypte. On ne le
le
l'tat
En
il
dsigrie uniquele
que
l'on
pays
comme
Ache,
et
sXtvov et
Apium
espces
Qazouini divise
^^ seulement en deux
'.
le iX\
^\
et le j^
r ,
soit
l'Ache
Ibn-Baithar
commence
^J^'-
H on
existe
Enlin,
Abou
11
y a beaucoup d'espces de
^^5^
celui d'eau.
On
le
nomme
il y a deux espces, celui de montagne, celui de rocher, Petroselinum et Oreoselinum ; il est connu et clbre. Cette
plante crot dans les jardins, les lieux humides, les prs et
les
haies
'.
Les naturalistes
grecs donnent la
palustre, qui
sXivov. Ils
distinguent
I'eXe'.otD.'.vov ou.
Apium
Cleri sauvage);
ou
sX-.vov xTjTtaTov,
mme
proprement
dit
'"; r'opsodiXtvov
annuum
L.
le iieTpoTiX'.vov
^j- des
enfin,
Arabes, mit
l"i--o7X'.vov
AV.Ke-wouioix
des Coptes et
au moins
1.
2.
A. KiKCHER, Lina.
n"
XLIV,
fol. 82.
3. 4. 5.
6. 7.
8.
Ibn-Baithar, t. IL p. 527. A. DE Canuolle, Orig. des plant. cuUic, p. 72. FoRSK.^ Il" 179; Dkl., n" 347; Sciiw., n 462. dit. du Caire, an 1306 de l'hgire, t. Il, p. 70.
T.
II, p.
352-356.
9.
P. 88 de
mon
manuscrit
_jJUlL)
4!
JlLj c5'^J
^j^^ ij"^
^^-^
^^ c^^.
jjli^^jjl
10. Pour distinguer la forme sauvage de la forme cultive de cette espce, les botanistes conservent l'Ache des marais ou Cleri sauvage le nom A' Apium f/raceolens L. et donnent au Cleri cultiv le nom
(liuitre
le
Mati
ordinaii-e, le
'.
le
Mdti des
inonticLdes dser-
tiques et le
la plante
Mati du Nord
Il
sous
le
le ini)p()rt
de l'extension,
Bati'\
x^i-
lui berbre,
^^
se
nomme
mot
au
:
rappelant singulirement
besoin
lire
mme
et
tombes gyptiennes
de
nombre
tle
graines de
la
mme
r'OoEoaitvov,
le
nom
il
gyptien
existe
vLv.fjL'.
MIT, rit
dans
les
Scal, dsigne
le
^_f
i^aiis
pitlite,
MIT est le
^^
dulce),
forme sauvage du
L'identification
que
je
propose de
la
plante gyptienne
Mati avec
plante copte
somme, sur un
assez
Avant de rechercher
de Mati,
il
convient d'examiner
A/a^<' est
mes
vues.
Le mot
de mdecine.
En
dehors de ces
crits spciaux,
j'en connais
textes religieux, ne peuvent nous tre d'aucune utilit directe. C'est ainsi qu'on
la /*^ram<'(ie
c/e
dans
10
,v
'y
i;=q
^
'
r^
i^=^
<>
V
^
C^
7y
(col. 727),
dont
j'ai
,v
^
^^0
.,.
1-f
^^
\\
'i
^.A N. <:;Z>
1
I
^
AAAAAA
,
(.'/c/.,
coL 650),
et~rn AAAAAA N.
^
S>
l<
<:
:
a lA
.=s=^
^ Vv
A^.
{Mirinri I
col. 751).
N
n(l
Mati tend
avec un
ses bras
Il
l, trs
vraisemblablement, un
D^
nom
de desse form
1
nom
6t
de plante,
comme
Mati
le
(In
D^
/wwv.
Ppi^
trs recule,
une
poque o
elle tait
l'on n'avait
spontane dans
taille
Le dterminatif
mais
la
dterminatif dans
feuille
le
profondment
la
forme -=*^
_M^
\S.
*sU
'^
I
comme un synonvme.
du Papurus Ebers
III
(49/14); cette
^111'
^'^
o OUI
p. 70.
4.
5.
De Mat.
A. KiRciiER,
Une
la
mme
Scala, donne
ni-KpoM.
de
la feuille
de
l'Aclie, et ce
(jiii
rapporterait le
mot
.^"^
.
au radical
1?
couper
seconde
fois le
W que rencontre une ^'^ ^^ L/^ mot Mnti }\'^V ^fT^7:,^.TAT^\ "- ^^ La chose peut Orges en pas coup
un texte
:
^^^
:
reli<iieu.\',
|\
du temps de Ramss
..-^
^^
La
mot
se
8 R
(Z.,
signifier
Je n'ai
les
leur petitesse, ni
les
Mnti en
leur quantit.
Peu importe au
fond.
documents
est
qu'une plante
.=^"^
c^
c:^
O O
Il
se trouve
(lue les
deuxdcrmrcsJ^f
CVI),
((
=
le
ne citerai
|j<^|x
r:_>^
"'(]
" f
(,,.
onliouG, rf/o.
les
Anb
{|ui
Mati
{\i^
thra-
nom an Mati
mdical de
(8/5, 13/2),
commenc par
_J^
au Papyvun Ebers.
1
Au Papyrus
ensuite
crire
et
.^
A?
(7/1); on
(14/2), et enfin
est la
lit
_^
A^
_^
e.st
mme
que
la i)lante
_^
et
que
les
deux o o appartiennent
aux mots
jour,
la d('sinence ti^ ?
la srie
La
cho.se
un
quand
_^ '^.
n
(1
est
nomm
.^
w Ou
iu
Paru/rus Ebers,
-^
du mot
et
Y
le
9-
({ue
Le Mati du Nord
n'est
mentionn
Papyrus Ebers
"^
il!
et
nom
^'^^^(la/G),
c^
cs\\\
Enfin, la
50/14) et
J^^ ^
Ci
I
(90/8).
mcd., 13/2) et
collines.
4,^Q:^^| .^ o
,.,
{ibia., 14/2).
elet,
.
Ci
.^ ^111 ^
(Pan. Ebers),
'
-'
O dllo
fiM
iPap. ^
^
II
III
^li
II
Le mot
"TJ
en
vient
du
radical
A,
s'lever
dsigne
les
monticules de sable,
la partie
de
la
valle gyptienne
du Nil
o,
le sol
campagne verte
le
arrose par l'inondation, pour faire place au dsert accident que n'atteint jamais
fleuve.
Puis
le
et atteint les
longtemps, pour
dans
la
dsignation de
, I
et enfin,
avec
le
temps,
du nom de
Tes-it.
1.
Cf.
V. LoRKT, Manuel do
la
langue gyptienne,
226, 2
commence, non
les
loin
du
Nil, la
o s'arrtent
connaissances go-
au
comme
du Sphinx; Amnophis
le
III, qu'il
parle de
avec raison
mme mot
L expression
groupe Mati
le
.^
tes-it
extension de sens, designer quelque espce trangre; je crois que, oppos au Mati
cultiv et au
le
de
la
dans
les
deux
livres
m-
de parler. Sur
dans lesquels
la sorcellerie
la plante est
recom:
mande,
il
que de
la
mdecine
chasser les dieux, les dmons, les revenants, les incubes ou les succubes est une chose
la recette
dans
les traits
analogues grco-latins
telles qu'il
n'y a gure
orientaux. Quelques autres, je le reconnais, quoique bien prcis et bien spciaux, n'ont
pas leurs correspondants dans les traits non gyptiens. Toutefois, sur les nombreuses
proprits attribues par les anciens gyptiens aux diffrentes varits de Mati, prs
de
la moiti,
moyenne,
a t reproduite par
les
Dioscoride, Pline, Avicenne et d'autres, dans les chapitres relatifs aux reprsentants
multiples du genre
EiXivov,
Apium ou
^f.
^
:
Voici,
un peu au hasard,
principaux
= ^W
.=-j
.:j
(Avic),
est utile
pour
les
maux
de dents
]l
^^
(Pl.);
3
le -suc
Chasser
= 0^!l
;
jdi
^^
.
iTjW (Avic),
xara-
en
est utile
pour l'obscurcissement de
67);
{(
vue
TXaa(T(jivov
(Diosc,
III,
aliisque
membrorum
epiphoris
(Pl.);
,
dans tous
les
membres
(E, 84/2, 7)
xaTa-KajoD-
(DlOSC,
III,
72)
';
Pour
j-hji\
les
tremblements,
les
membres
(E, 84/17)
= Ji^jll
1.
membres
agits de
tremblement
J'indique par
le
Papyrus Ebers
et
par
le
tirs
Papyrus mdical de Berlin. J'emprunte Qazouini les de son Hist. nat., XX, 44, et ceux de Gargilius Martial
des Medicin ex oieribus et promis. 2. 2. Cette proprit est attribue par Dioscoride au S|J^Jpv(ov et non au SiX-.vov. Mais on a vu plus haut qu'une espce de Smyrnium est dsigne en grec sous le nom d''I--ojX'.vov, et, d'autre part, Ibn-Baithar
range sous
le
mot
_j p
RECUEIL, XVI.
10
"
du pain au cur
(E, 51/11)
= Tache
fait partie,
dans
la
thrapeu-
Pour
le
le ct
(Garg. Mart.);
8
Pour
resserrer,
Cr* r^-^
Iiq]'^^
JjJI
^^t
(Avic),
((
est utile
pour
... la difficult
d'urine
to os
<jT.ip-^a.
a-v
opTiTiy.wTEpov
(Diosc, 111,67);
semine urinam
;
(Garg. Mart.)
V^
percer les v\
nombreux dans
[jLauTOj;
membres
(Diosc,
(B, 13/2)
Tumores
et infla-
(Garg. Mart.);
-e /ovop-.wvTac viffi
trita
ejus folia...
III,
pescunt
))
(ibid.);
foliis
67);
maramarum duritiam
impositis
emoUit
le
(Pl.).
En
rsum,
mot gyptien
-^ xTr,
les
= ^^f,
varits de
^/^=
-2>''-vov,
Apium,
et
dont
les proprits
mdicales prsentent
les plus
les
Mati
Carthame
(m-*.io)
ou
je
Chlidoine
(fxoee),
espces qui,
le
ne sont pas
spontanes en Egypte,
trois identifications
proposes jusqu'ici.
^f^
dans
Comme
croissant
le
il
est fait
le
sables,
il
me
Mati simple est, ou bien un Apium cultiv, ou bien un Apium naturellement dans les champs cultivs. En copte, il y a trois espces ' Apium :
AUT ou
Apium
il
sans pithte,
le
kp.m ou
Apium
sauvage, et
le mit
M&Ke-^onion ou
le suit
Apium
dans
toujours
les
Scal,
que
les
deux pre-
X^,
et ^Sj.)
^"^
^f-
Le Mati sans
VApium
Pour
le
Apium
Cleri sauvage ou
'EXe-.oaXtvov.
aise. Dioscoride
nom
gyptien
(vwvjji)
de
T'Opsoj-vov
est
par con-
annuum
dans
la
genre
11
il
n'en est qu'une seule que l'on rencontre dans la rgion dsertique de l'Egypte,
la
c'est le
Crithmum
pyrenaicum Forsk.
(= Pityranthus
espce au
^
ri''pithte jJ^I
de montagne
mme
au
mme
genre que
l"opoaiXivov
des Grecs.
Il
me
des anciens
gyp-
comme
le Persil est
de nos jours en
Egypte, comme
est
mentionn dans
les
Scal coptes
(mit
MwRc-akOition), et
l'a
vu plus haut,
Mati du
XVIII dynastie.
:
comprendrait donc les espces suivantes Le genre gyptien ^^ 10 -^ '^ Mati =?Celeri cultiv {Apium dulce Mill.)
, ;
-^ ^u
-*^'^
,
, Mati
de marais
= Cleri
jJ-l c^jL
sauvage,
graveolens L.);
3
Mati de montagne
/Ci
40 .===^
-^ ^^ Mati du Nord =
Persil
{Apium Petroselinum
XII.
LE JONC
:
Traduire U
ft
MH
.
Brugsch
896) et dans le
(p. 27).
le
moyen de
la philologie,
non
qui,
la traduction
Dans son
4jjjJI
J,M!I,
Ahmed Kaml a fait, propos de la plante Asir, un rapprochement qui m'avait sduit un moment et qui, du reste, je dois l'avouer, m'a mis sur la voie de l'tymologie que je propose
dans
les lignes suivantes.
Il
l'arabe _^^l
mot
qui, d'aprs
/unis quo
1.
2.
jJ-l
Le
Z^.
12
granien,
fnum. Ce
sens,
la plante Asii\
comme
de sparterie.
K.Dg),
On
parmi
la
les
\\
^""''- ' ' ^^/l*^""*' '"'^ ''"""'^'' ^ 1^ 1 & P m m <^'"^e roseaux et joncs . Comme les matires premires aux fabricants de couffes, savoir
fB
k^
une
\\
J^
:
fi
il
^ P
"^
le
mot Gash
s'applique une
est vident
que
le
terme Asir ou
la
doit dsigner
une partie
les
flexible, la tige
comme
ensemble
chaumes
rigides
du
Gash. Or,
le
Au Grand Papyrus
utilises en filerie,
du Roseau
fois
^^
'^^
et
de l'espce de Lin
xT[\ Ce mot
.4s?/-,
dans
le
l<rr>'^, et
ce
la place qu'il
occupe au
milieu des
le
mme mot
se retrouve
deux
^1&P^mllk^kT'rm(P'-"'''-3-'').P-"''-1"'"y-"^
CCAsir des marais
(]
^^^
.
.Jj^^^flE^f1<T=-^
est
(pl-
1-
0). J 'e
char-
rsulte de ce petit
trs
probablement de petite
De
<=>, nous
immdiatement songer
un
mot
d'origine smitique.
,
Le terme j^\
Ahmed Kaml,
conviendrait bien
comme
la
qui-
vague
un objet manufactur,
ficelle
ou cordeau,
que
matire
est
L-l
qui
me semble
le
nom
groupe
<=>
est bien
moins un dveloppe-
1.
dit.,
n"
10 et 31.
ii
2.
lli-l
mot arabe qui dsigne VImperata cylindrica Beauv. (Forsk., n'/S; Dkl.,
61;
V. Loret, Flore pharaonique, n" 21) et YErarjrostis rynosuroicles n" 35; Del., n 9S; Schw., n 1216; V. Loret. Flore pharaonique, n 10).
Scmv.,
Rm.
et
Schult. (Forsk.,
3.
Cf.
l'orthographe
Y W'
b,
1.
et
l'hbreu nntt?B
'
=
1.
Imuni
(E. F.
es
geschichte, Leipzig, 1830,
4.
t.
''
\\
'
1, p.
172-174).
Pl
XIX
6,
1.
9; pl.
LXV
15; pl.
LXXII,
1.
13
Ce mot arabe, en
dsigner justement
le
rendre
M. H. Brugsch.
:
C'est le
comme
considrer
comme
le
Hanifa C'est le 3^f, qui n'a ni bois ni rameaux, mais donne naissance c^ de minces tiges. On en fait des nattes et des cordes; de ses fibres, on confectionne des tamis. Il ne
crot
que dans
la
les
endroits humides \
propos de
S/dvo
plante J-l, le passage de Dioscoride {De mat. medic, IV, 52) relatif au
IXea,
Lam.
'.
propos de
la plante jS:>\
[Andropogoi Schles
mme
espce,
On
la
nomme,
ajoute:
t-il,
Abou
t^ill
y^i
jj.
4!
/'JJli ^^;lj
f^ O^i
/- J?jMl jSjili
l>o
\X
^>^ ^^
AsAL.
fait
Description du port.
des nattes.
Il
Il
et c'est le
jL^
dont on
o sjourne de
ressemblant des aiguilles, s'lvent de terre d'une hauteur d'environ une ou deux
coudes.
lui
Il
y en a deux espces
le
mle
et la femelle.
graines; c'est
La
La
le
plante J-l
comme on
bien
le Sx,oTvo Xsta
de Dioscoride, c'est--dire
le
est d'autant
synonyme jL,
gyptien
comme nom
mentionn dans
les
Forskal
de Schweinfurth
'
comme nom
1.
Je traduis les passages d'Ibn-Baithar d'aprs une collation du texte arabe que m'a remise le D'' L. Lemdecine arabe ainsi que d'une traduction de la Matire mdicale
d'Ibn-Baithar.
J.
2. Cf. C. SPHEtiGEh, Dioscor. opra, t. II, p. 595, et C. Fraas, Synops. plantar. _/lor. classic., p. 294. Le acutus Lam. rpond au J. acutus a L., et le /. maritimus Lxm. rpond au J. acutus ^ L. Les deux dnominations botaniques s'appliquent donc, en ralit, deux varits d'uue mme espce. 3.
4.
Ed.-J. von
Sontheimer,
manuscrit.
t.
I, p.
au lieu de jU_^.
P. 25 de
mon
(loc. cit.) fait la mme distinction de sexes propos du SyoTvo; Xsa. FoRSK., n- 207; Schw.. n" 1074. 7. J'ai demand, par curiosit, M. J. Oppert s'il existait en assyrien un mot, analogue Asir, a,yant le sens de Jonc. L'minent assyriologue m'a rpondu qu'on rencontre dans les textes cuniformes un mot Ashla prsentant la signification de I^'/ov/oc;, Juncus mensorius. C'est donc bien l un mot de la mme famille smi5.
Dioscoride
6.
14
une plante
aux vanles
niers, tout
comme
les tiges
du
n<:i=>"^; de
mme
endroits marcageux. J'ajouterai que des fragments de cette espce ont t retrouvs
par F.
plante
Unger dans des briques de la pj^ramide de Dashour'. Asir me parat donc dfinitivement acquise.
Lyon, 11
juillet 1893.
L'identification de la
Alexandre Moret
La
Collection d'antiquits gyptiennes de
:
sries
de pices
deux
cercueils, dont le
second
PREMIRE SRIE
L Premier
d'une simple
toile
le
cercueil.
recouverte d'un stuc peint et goudronn. Cette enveloppe est actuellel'tat primitif, elle
ment fendue
ficelles
symtriques. La
momie
avait donc une robe de toile stuque lace dans le dos; procd
d'ensevelissement sans doute moins coteux que la confection d'un cercueil en bois.
Dans
fendue sur
les cts,
revers du cercueil distincts l'un de l'autre. Aussi allons-nous dcrire ces deux parties
sparment.
l**
Couoercle
(pi. I).
La
est de
toile,
les
jambes,
des
saillies.
La longueur
la largeur
21.
L'ensemble
:
de couleurs
rouge, jaune, ocre, verte. Mais une paisse couche protectrice de bitume amortit les
teintes, dissimule les scnes peintes et les lgendes
si
ritrs l'alcool,
de
la dcoration.
Dans
1"
le
sens de la longueur,
La
tte,
d'un voile raies rouges et vertes, orne d'un large collier cinq rangs qui descend
jusqu' l'abdomen, et dont on ne distingue plus les couleurs;
2<*
Un
Au
1.
dit.,
n" 40.
15
deux
scnes.
De chaque
ct,
dans
la
pose de
l'adoration; on ne distingue que les chevelures noires, les pagnes rouges, les colliers et
les bracelets peints
en jaune
clair.
^^,
l'il
symbo-
lique
du
soleil, et
3-
Le troisime
clair, le
On ne
une couronne
en jaune
4
signe de la vie
se dtachant
Au
quatrime registre (0
forme momifie.
A gauche,
un dieu
lui,
une desse
tte
droite,
un dieu /^^ \
A/NA/WA
1
tte d'pervier, suivi d'un personnage qui porte au-dessus de lui les
mots
le
/wwvA dans un cartouche. Au milieu des deux groupes, une table d'offrande avec Si WWV\ V signe de la vrit [1 deux fois rpt;
Dans
le
O'"
24,
il
gauche, un
homme,
couronne
Ven tte,
le
en mains; derrire
sonnage.
la
lui
on ne distingue que
un trne ^, le double sceptre /^S^ bras, tendu vers son paule, d'un second perassis sur
droite, le dieu
l'homme couronn;
ceux de gauche,
la
quatrime figure
est indistincte.
le
personnages de droite
crit
et
lgende jl'^
6
'|^i^^ ^R.
du
de droite gauche;
Sur
les pieds
une lon-
gueur de 0
16.
nom du dfunt
est
Reoers
(pi. II).
le disions
au dbut,
le
mais
est actuellement
fendu sur
les cts, si
bien que
le
revers
la
du couvercle. Ce revers
et
et
jaune
long du corps
il
couvercle.
En
effet, la
momie
rpandu sur
sarcophage
;
en contact avec
le sol
ou
le
y a eu seulement ruissellement
les ficelles, n'a
la
et infiltration la surface et
non pas
dont
les
le liquide.
A l'intrieur de ce cercueil,
cularit intressante.
II.
momie du
dfunt a t conserve.
Aucun
objet n'a
Deuxime cercueil.
Ce cercueil,
les
l"^
le
couvercle
sans fond, est en bois, recouvert d'une toile stuque, peinte, et trs bien conserve.
toile
La
La hauteur
totale est
de
66.
La
16
0 73
de
Le
bois,
le
de nature spongieuse,
est pais
025
0""
04.
Le couvercle
tait
maintenu sur
ils
mme
bois que
le
Nous distinguerons, dans l'tude du couvercle, le ct extrieur du ct intrieur. 1 Extrieur (pi. I). Premier i^egistre. Il comprend la tte et le collier, sur une
longueur de 0 42. La
tte,
le
menton,
un trou profond de
0*
02 servait encastrer
barbe.
La
d'un large collier raies vertes, jaunes, rouges, bleues. Ce collier est arrt au dfaut
sait
du
collier, et
le
en contrebas, se dtache
la
nom
figure et
Le dessus de la tte constitue une plate-forme longue de 0"" 24, qui comprend une deux lgendes. La desse Nephthys, sur d'Isis, spcialement charge de
le
la tte
son
nom
[T.
droite,
|X^TT
est
J)
gauche
1 ^
de
^m- L criture
la desse
de droite
gauche.
Deuxime
large de 0"
38.
registre.
Il
Au-dessous du
collier et
verticales,
:
dont
sont crits de
_Zi
o\ <=>
fl
F==^
Il
r:;^
>
^ c=e.
:
/vvAAAA
Ji
00
Troisime registre.
hauteur,
lit
Au
une inscription
<
jCD>~
^/-o
'^'*'vv/v\
t\
^
iiii|
tv
1*"^*^
I
1
^ ^ W W
^^ .
.j
1^
rn
VW^-
]l
Quatrime
registre.
Au
centre,
le
registre et porte
De chaque
ct,
la
le
COLLECTION DUGAS
^1.
Wmiir
"jWi
m
c'&
COLLECTION DUGAS
^1.
II
Tournus
Phototypie H. Bretm
17
A droite, Thotli
le
la tte d'ibis, le
et la desse
Ma
(la
Vrit) introduisent
la scne.
Anubis
et
Horus surveillent
la
pese du
cur du dfunt;
dans
un des plateaux de
la
balance, avec,
comme
signe de
Vrit
la
de
A gauche, la scne est analogue, mais Anubis tend bras vers l'aiguille balance, et dieu qui juge a la tte d'pervier. Ce jugement term.in au profit
[3.
le
du dfunt,
le
la
du
Cinquime
registre.
inscription horizontale.
Au
:
commun
deux phrases
::^6
.-te^
W
crit de droite gauche.
W
cercueil,
Sixime
registre.
Il
s'tend sur
comprenant
trois divisions,
une longitudinale, o
Premire
gauche.
division.
Elle
crites de droite
La
le
au registre prcdent;
est peinte
:
la
scne suivante
la
au-dessus de
le
lui,
forme de
l'oiseau
^-
Sous
le lit
du dfunt.
Premire colonne
c=^=c=^=.
I
IA
I I
jl'^fllh
I I I
'
''W
'W 'W
Cl
j^
AAAAAA
I
u
AAAAAA
n
W
I
il
W
'?j:
/L_
V -JLL
U <^
>
ilJ
!<
'I
AA/'yVW
^
1
AAAftAA
Deuxime colonne
I]'
r]'^/
~ww
[1
(1
iy
Cl
A^WW\
AWWS
Troisime colonne
^/\^
Q
^f]
^ ^_ h^ ^71 k71
AAAAAA AAAAAA
AAAAAA
n
D
AA/\AA^
AAAAA^
^
]/
/L_fl
AAAAAA
Quatrime colonne
UKCUEIL, XVI.
C|l
fi'^
crJ
1
/"
^^^^11
AAAAAA
1
11
/vwvw\
-==3
AVyV^
18
J|
J/ww^n
l-mmiir
Cinquime colonne
U fS 3l ^ ^
J
\J <IIIII!>
|v
S^
1
-,_
K_ \ \ZZ^
'VZIV'O
1<
^*^
V^
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AAA^/vA A^/\A/W.
rr_l
'
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<^
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^
I
^^'^''WVV
I
1
lUUimu,
,0X0.1.1.,
^=^
-<2>-
l^
Q
H
^
t_l
A/W^A^
Aftr^W\
A(^/^/\A^
^^^s/v^^
Deuxime
Les signes sont
comprend cinq
le tout
perpendiculaire
premire division.
La premire
AJW^\ L
inscription
i^
>
I
n H^
^
wi'^v
1>
'J
fl'^/'l
cil'
\\
\\
1 _Z1
C_l
1=0
1 I
AA^Wi^
//
U <;
AA^^A^
^
^^
I
AftAAWV
^A AA/V^/v^ -CH->-
C_-L
C==0
AAA^^^^ A/V^/^A^
.<!/LD
_i^>
C=G>
AAAAA^ ^
A^AAAA,
mane du dieu
llapi a tte
La seconde
Ci!
inscription
rT| ^
fl
J^lvilii]
i
jl'i
/"^
AAAAAA
AAAAAA
A/W^A^
\\
W
>
^A/^/^^A
o
I
AAAAy\A
n V
//
*~-
--*
i'
t'
AA^V^Vv
-=3
^^\AAAA
<}>-
1.
AV^/^A^
--j
UJ
_ffiO>
1-i.
>
^"^''^i
AA/>AAA
Ce discours est attribu un second dieu, Qeba<rz> -/&i o sencf, tte d'pervier, debout, momiforme, sceptre en mains.
,
.(j ^ ^
^ D
1)
AwvAA
s^
^o-
La troisime
AAAAAA
AA/V^A^ A^VNAA^
I
inscription
comprend
trois colonnes
|^
e=o
\\
r^ [|[h
LJ jl'i
/j
aaaaaa
AAA^^A AA^V\^A
c_l'
v>
v>
ri
c=-e>
(''') ^'v
<J
a/w\aa
M<\S
"^^
V_
L'inscription
.sceptre
en mains,
momi-
La quatrime
inscription
trois
colonnes
il
^^ J
I
llljl'l^dl}
Ci
1-
e>
/VVAAAA
A^^^AA^
A/W^VA -<2!>-
C-ll
>
A/^^\AA
A^V\AA
^LD
-ijL^
HI
A/V\A/^
^^1
V^
T
I
^^
^.
L'inscription
tte humaine,
o
"V
AAAA^VV
^ v^
et
comprend qu'une
ligne et n'est
.
que
la
continua-
<=r>
^
^^ v\
'
>M\ 3
AAAAAA
_Cr^
de figures ne
V ^ suffit
pas atteindre
la
longueur de
la
le
signe
^^
de grande dimension, et
le
par un dieu tte humaine, momiforme, sceptre en mains. Ces deux figures sont dans
nages de
la
la
gauche.
19
seconde division,
comprend
La premire
imiiiii
inscription
l]l(l
J
/M<vv\A^ 1
1^ J| i
I
aaaa^a
rl"^/
'
^wvwv M
A/Wn/V\
1
AAAA/V\ cLl
'
"^
W
=^ U
W
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I
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Ce discours
celui de
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La quatrime
'1
comprend
colonnes
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L'inscription
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ibiocphale, debout,
momiforme,
nom Gerkhsef
La cinquime
prcdente
:
inscription ne
^'^
C==-G> AAAAAA
-^ AAAAAA
et n'est
que
la suite
de
la
NA^^^ ^T^^
'^ ^
-^
====>V
Comme
dans
la division
prcdente,
le
fin
de l'inscription du
tte d'pervier,
combl par
signe
'^^
et
debout, momiforme. Les deux figures, parallles la premire division, regardent vers
la droite.
2 Intrieur (pi.
II).
forte toile stuque, sur lac|uelle sont peintes des raies alternativement jaunes et blan-
de droite gauche.
A la hauteur
du
du visage
et des paules
du cadavre,
la toile a t
racle et laisse
nu
le bois
du corps
avait-elle dtle
lui-mme;
les
endom-
le
cadavre
tait-il trop
volumineux pour
20
ce serait alors
le
moment mme de
si
couvercle; mais
l'on considre
la
soit, la
k^:fj^oki n.
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-J-J^
A/VAA,
Ce
relatifs
texte,
aux
sorties
que
le
au dehors de
la
tombe.
De
se
nommait
im ^iiii
g])''^^
d'Amon. On me ntion ne
de
aaa/w\
^\ Tk
le pre, le
^ Menti'dou^.
W
^^
^ Adidi
/^
il
tait prtre
lequel tait
q Il
lui-mme
grand-pre et
Khana, qui avait pour pre un autre aaa^ l'aeul ' Adidi tnient dj prtres d'Amon.
Mentrdous ;
que
est noter
22
'^^^^x
rll
Shepestam,
qui avait
le titre
de
Dame
de tnaison
ni
la
tels
que o pour
I
^^,
les sicles
contenus entre
Jsus-Christ.
XXI'' et
la
XXVP
DEUXIME SRIE
Outre
les
la description, la Collection
III
dont
la
planche
donne
la
reproduction
le
numro
la
planche
111.
Statuettes.
1.
0"" 10,
brise la hauteur
des genoux. Elle comprend un personnage sur chacune de ses faces. D'un ct,
mitre, tte de blier; de l'autre ct, une desse tte de lionne.
2.
Amon
Pas d'inscription.
momiforme, sans
Amon
mitre, tte de
blier,
inscription.
3.
Hauteur:
0"*
13.
(3)
:
Statuette en bronze
flau.
La
Hauteur
0" 08.
O"*
0 09.
06.
6.
Isis allaitant
le front
surmont de
la
main droite
.son sein,
main
10.
gauche soutient
7.
le
nourrisson. Hauteur
:
0 10.
dore. Hauteur
:
8.
9.
mme sujet; la statuette a t mme sujet. Hauteur 0" 07. mme sujet. Hauteur 0"" 05.
: :
0""
traits
0"'
11.
le
devant. Hauteur
16.
:
0""
15.
les
13.
personnage momifi,
le
yeux,
la
barbe, la
tient en
main
signe
"'=::3l.
Inscription longitudinale,
'^^^^^^^'"
'
de gauche droite
14.
P^^^^Q^Mil^^^^' Hauteur
(5).
:
^'" ^'*-
0'" 12.
1.
Four
premire iuscription
(1
et
les
variantes
du Lirrc
1
les
formes allonges
Adldi
et
wV\r IJI^
U
COLLECTION DUGAS
^\.
III
Phototypie H. Brctin
Tournus
23
(1).
Hauteur
(4)
:
0"^ 11.
derrire le personnage
:
momiforme, on
lit
O-"
:
09.
0'"
17. Statuctie de porcelaine verte (2). 18. Statuette de terre cuite (9).
Hauteur
O'"
08.
09.
:
0"^
09.
II.
Animaux.
:
1.
Un
un
socle (20).
Hauteur
O'"
05;
largeur
0"'05.
Le
Deux
un
socle (22),
:
demi
Le
Hauteur
0 03; largeur
0 05.
Le
Hauteur
4.
O-"
03; largeur
0'"
06.
Le corps
est
mince
et trs troit.
Hauteur
5. 6.
7.
0 02; largeur
0 12.
(34),
8.
Un Un Un Un
:
crocodile en bronze
debout sur un
socle (21).
socle.
Hauteur
:
0 03 largeur
;
:
0""
04.
un
Hauteur
:
O""
02; largeur
:
0 05.
O""
03; largeur
0 06.
le lion est
:
en bronze
la
hauteur du thorax,
0^
03
largeur
9.
0"
02.
(38),
Le dessus de
en bleu;
0'"
en rouge;
10.
les
yeux,
en noir. Hauteur
05
largeur
O"*
(37).
Longueur
0"^ 15.
III.
Objets divers.
1.
Flacon d'albtre
(7),
de
0"'
05.
2.
O""
:
24.
3.
4,
(28).
Hauteur
:
0 09.
;
Largeur
hauteur
0'"13.
5, 6, 7.
Corde
et cordelettes (39).
(42).
toile
stuque
porte
:^^-^^^^^^^^^
Lyon,
juillet 1893.
\A>^
1^.
24
DEMOTISCHE MISCELLEN
DEMOTISCHE MISCELLEN
VON
WiLHELM SpIEGELBERG
I.
1.
'
gelesen, obwolil
Maspero
'
schon vor lngerer Zeit ihre Entstelmng aus der hieratisclien Ligatur
1 scharfsinnig
hat.
hn^ vorgesclilagen
Den end-
in hieratischer Cursive
gescliriebenen Briefe der Bibliotlique Nationale, mit deren Verfentlichung ich augenbliclclich bescbftigt bin. In der belvannten BriefEormel
^
| Q
geben
sie
hn^
A/WWV
'.
Damit
ist
die
Lesung
endgiiltig gesichert.
II.
Die
u
Ci \i
f
I
I
knbt
in
demotisdicn Texten.
jetzt
Litteratur
in
'
hufig
fol'
den
hieratisclien
Form
In der letzteren
Gruppe
ist
Complementstrich
'
beigefugt.
ist,
tiM noTHHfL
n Pth
Ti-tnr
o*^
n pr Pr-0 THpoY^
1. So von Brucsch. Rkvillout und Hkss. Naohtrglicb ersehe ich aus dem Glossar zu dem Loudoner gnostischen Papyrus, dass sich der letztere Gelehrte jetzi fur Masperos Lesung entschieden hat. 2. gy/jtischc Zeitschrifi, 81/118.
3.
\,
ihid..
365.
Auch
die demotischen,
ar-
chaischen Texte (z. B. T/ies. Pap., 9/2), welche fur /m vorgeschlagene Umschrift bevveisend.
.
die hieratische
Form
^^^ ^^
4.
5.
Spikgklfjerg, Stuclicn und Matcrialicn, p. 13 ff. Vgl. a. O. die verschiedenen hieratischen Formen.
6.
ist
schon
^/6
:
in
8/10
2JL3 K
-^
''"^"'
-S"^'"^^'" ^'
^\k\^
,
(
|
Q 1
'^
^''"^'"
'
'"
*^''
Schreibung der
Ngation
Im, so
ij^
Anast. V, 22/3:
JL
Sallicr
F
I,
4/3
ist
^"T
ein
breites Zeichen.
Wird
wie
in
dem
^/
so erhall
man
eine
fiir
das gyptische
Weisen
in eine
quadratische vcrwandelt werden kann. Entweder behlt der Schreiber die ursprngliche Schreibung
bei
W'_
l^
,
und
schliesst das
'
j^
o^c
Buchstaben
|
und
beigefgten Strich
/L^
das Quadrat.
Ich mochte hier uur eine kurze vorlufige Noiiz ber das von mir angewandte Transcriptionssystem
beifiigen. Uberall,
wo
die
DEMOTISCHE MISCELLEN
Mit
deti Priestern des Ptali, dein
25
f-knb n Pr-O
also die eben
wm. hothhi
P^A n-nir
igiue
n P^/
AVAie^g^
P/ -O
ist liier
kurz
genaniit
und entspricht
^^
3
"^''
A'/t^^'
/i^
Die
riclitige
m"^ verdanke
icli
Herrn Professor Brugsch. Gerade die angefiihrten Stellen, Avelche die Gruppen fur
oithhA
stiitzt
bersetzung
'
p/tepe; irn
32*'''"
Dcret
von Canopus. Ob
aus
dem
Jahre des
Amasis genannt
IIL
'Eopxr;
ist,
dahingestellt.
sicli
in
demotischen Texten.
:
auf Papyrus
in folgenden
Schreibungen
XJl
ir
aI/^"
A] I h im
Plural.
Revillout' und spter auch Brugsch" haben das Wort mit o^poT
identifiziert,
Freude
Mich
hatte die
Gedanken gefhrt,
und
eingesetzt, im audreu Falle habe ich das fur die lteren Epoohen der Sprache angewandte System der vocalloseu Umschrift befolgt. Als besoiidere Dialectform des Koptischen habe ich das Sahidische gewhlt, jedoch wrde ich in Fllen, \\o die Form eiaer aiidern Muiidart dem demotischen besser gerecht wird als die Sahidische, die erstere vorziehen. Dass sich dabei manche Inconsequenzen ergebeii werden, weiss ich wohl. Jeden-
gewinnen wir so reale Formcn und keine homuncuU, die trotz scharfer Combinatiouen doch nur Kimstproducte unsrer Willkr sind. Natrlich soll damit nicht behauptet werden, dass eine durch eine koptische Form umschriebene demotische Gruppe deren genauen Lautwerl besessen habe. Nur soviel lsst sich sagen. dass das entsprechende demotische Wort der koptischen Form am nchsten steht. Ausserdera sind auch die griechichen Unischriften in gewisser Weise heranzuziehen, doch kann ich mich hier nicht auf nhere Ausfhrungen einlassen. Vielleicht knnen dise Zeilen eine fruchtbringende Discussion einleiten. Fur das Demotische giebt es noch kein irgendwie anerkanntes Transcriptionssysiem, denn bislang transcribiert noch jeder Demotiker nach seiner Schablone; eben deshalb aber wiirdo am chesten eine Einigung ber ein einheitlichcs System zu erzieleu sein. 1. S. Spiegeiberg, Studien und Materialien, p. 54.
falls
2.
3.
6.
Corpus Papyrorum ^gypti, pap. I/Tafel IX. vgl. Revillout Reue gyptologirjuc, III/190. 4. Harfner. 25. 5. Brugsch, T/icsnurus Inscriptionum yEgyptiacarum,
:
p. 3.
1015.
7.
A.
Z.. 88/16.
KECUEIL, XVI.
26
VARIA
Fest
beweist der Umstand, dass die oben genannten Gelehrten an zwei Stellen' bereits
in freier
Ubertragung die
VARIA
WlLIlELM SpIEGELBERG
VIII. Eiii
DupUcat
',
::uni Papijra?.
Peter^burg
I.
Liverpooler
Musums
den
icli
XIX
C^ AAAAAA
/NA/SAAA
T Ci
,^^,y^^^^,,mMil
kw[^r^i]
-"
^
(?)
(?)
^S^
n
I I I
n]
10
III
("0
Ml!
KM
Daruntc. Mil
IA'NAA/V\
AAAAAA
I I
(')o
Gi uppe
verzeichnet.
'
I I
I I
I I
ihre
Zu-
geborigkeit zu einem Marchen verraten, enthalten die Abschrift der Einleitung des
Petersburger Papyrus
I,
Majest du
roi
del Haute
:
^^
(
yh
Jl
fe^^"^^
^'"
J*"^'''
'"^I^''^'"^
^1"*' '*^^
rf dputs de
Silsilis
"^
/i5^
le
Pharaon
I
fort),
ahn de
tenir conseil
'
(<=> T OaA
\
I
yif <;2I>
'=^=^ )
I
/->
conseil
comme
c'tait prescrit
/
Sa Majest
les
dit au chancelier
Silsilis
(t^^^^w)
o\
(1/0^ \\
(
Q
,
l'M
I I I
, ) ^^^z^ /
\a, amne-moi
de tenir conseil
dputs de
<==> ^
? j
afin
amena sur-le-champ.
p. 9.
1.
2.
Catal.. 1:^624.
3
4.
Wie
Nach GoLNiscnEPF
cine Anzalil schlecliter Hs. des N. R. schreibt auch unser Text ht fur das correcte Ar<. giebt der Petersbiirger Papyrus die Formel im Tempus sfluinf, whrend unser
Text ebenso wie Pap. Sallier I 1/1 das Tempus .Wm/setzt. 5. A. Z., 76/lO) ff. 6. Fur die Bericbtigung der Umschrift und Cbersetzung
s.
meinc Studieu,
p. 54.
VARIA
Unser Text,
27
iii
littcrarisclies
Werk
eiiialton bat.
Namens
Wiifiir
j^flegen
den
Namcn
',
dises
das Siibenzeichen
'm nebmen.
so liegt
welcbe nicbt
liisst,
"]
Ko nson anten
nii
eines
fiir
folgen
^^
die hiutlicbe
zu balten.
den Pyramidentexten
P. I/ibo
^ ^^;
((
AL 1/296
]^'^ %; P. 11/898
iinsern
^ ^^1
citierten
ist
5:5
Damit
zu sehen
ist
die
Namen
''
Gtternamen
als
.
Beduine
erklren.
a
X.
aller
binaufgeben
Prtin derBedtg.
/)r^ r/)^
herausgehen
alten
Epocben
dem Verbuni im
Bedtg. eignete,
vom Emporsteigen
:
des Verstorbenen
zum
Himmel
'\
folgende Passus
Du steigst binauf zum Tbinitiscben Gau. Du steigst binab in das grosse Tha.
h\t,
grossen Thaes
in
binabsteigen
bestimmt
dem
fol-
gestellt,
AAAAAA
m
1.
Bekanntlich liegen uns fur zwei Stellen der Sinnheeizlihlnng Abschriften des N. R. vor.
S.
2. 3.
Erman, a.
Z., 91 28.
/?=,
Hns
u. a.
1.S7
4.
A.
auch den
Namen
L. D.. Il,
a,
^\
'
5. Z.
7.
B. W./2J9, P. 1/90.
^^^^
vl^ '^=^
J^'^er
6.
P. 11/694.
\^
Himmels
J r-,\
^^ ^^= f l ^
Slern ^velchor au
emporsteigl.
'
28
VARIA
Du steigst mit dem Orion empor am Osten des Himmels. Du steigst mit dem Orion hinab am Westen des Himmels.
So wird aucli das Aufsteigen des Sonnenballs am Firmament durch prt bezeichnet \
Zum
'
hierher
^M^n-^
((
ri
c^p ^ nn
Die Leiter des Horus, welche Osiris gemacht batte damit er auf ibr zum
Himmel
emporstiege.
Wie
Bedeutungen
zii
hinaufsteigen
die ursprungliche
/Jf
Herausgehens
'
binabsteigen
die Bedtg.
eintrcten
lsst sicb
binalten
:
nicbt anfecbten.
f=iii
nun
in
Formeln
vorallem
in
der Weibeformel
<r>
und <=>
rhvrt
<=^
I
<2
Hier
ist
wie
lioljr.
erbobte Opferstiitte gebiaucbt. Vielleicbt diirfen wir so aucb die viebunstrittene Gruppe
^ V-* erklren. Icb weiss sebr wobl, dass bereits die Texte des N. R. hric
setzen, also olenbar
= ^pooir Stimme
Masperos
es
Ideeengang vertreten.
AUein ob
die
Tbeologen des N. R.
nicbt bier wie fter den alten Sinn vergessen batten, bleibt nocb zu untersucben. Die
itltesten
Texte macben
Wort
als
Ausdruck
Damit
sei in
Beweise zu
stiitzen
und zu recbfertigen
XI. Der
Tilel
"^"^^
Maspero
'
4. Rec, XIll/71. 3. Z. B. Wni, Z. lU. FiKin, bat Mashichos Erkliirung mit gulem Gruude abgelehnt, allein die dafr au die Stelle gcsetzte Cbciliagung le conseiller intime, qui coule, l'unique ist grammatiscli unhaltbar, da das t unerklrt bleibt. Cber das Verhliniss des ic' od. ic' li zu .--Vm lasseu die ciiierien Stellen der VV/ inscbrift kciuen Zweifcl bestehen Dazu mag man noch den folgenden Passus einer Inschrift ans dem Grabc
1.
p. 11/918.
2.
P. 11/010.
f.
f).
P. S. B. A. 90/122
v\
v\
die
Worte
als
allemiger hrt
a.
Die Phi-
ralziriche
irrige
um
O. gelieferle
|
Der
in
Frage
kommende
Satz
'
^^
""^
(]
vAAAA^
('/
il
s' h
(sic)
nb
Is
pn
VARIA
29
ist
ist.
Was
die
Variante
n'^v^'^'^r
ist
^^v
anlangt, so
ist,
falls
das
unter
^j^^-
nicht
wHt zu
lesen
und zu iibersetzen
Gelieimrat
allein
Geheimrat des
zu iibersetzen und
nehmen
ist,
LJber die
Bedeutung des
Titels
^^/ww^^
(2
J mn__
indem ich
. .
allein
ini
Namen
Hiiuser*.
Und in einer solcben geheimen Angelegenheit dem Process der Knigin imtisi thtig
:
Beamten auch
"^
'
^
U
^^
^C^^ ^A
ik ^v.
'
J _iC^
Lu A
en
_M^
^z:^
_a^
JLo
Cl
^9
Jj
W ^3:7(1 ^^^ \J
knigliche Geuiahlin
Als im kniglichen
Harem
inits
um
und Vezier
(oder) irgend
mir
allein
da
in
war^
^^
folgenden Verbindungen:
n %^P
'"
Geheimrat des
allein
der W/< n'nsc lirift) und in der Titulatur derselben Person'' mit den richterlichen Titeln
wenn
ich
den besprochenen
Titel auf
Grund
dieser
geheimer
Auditeur))
cum grano
salis
d. h.
olmc
militarischen Organs
ntr 'J. Jeder Edle, jeder Grosse, jeder Meiisch, welcher einen Stein oder einen Ziegel {sir) von diesem Grabe wegnimmt, mit ihm werde ich durch den grossen Gott recbten. In der That vvaren die Materaliei). aus welchen das zngehrige Grab des Nnki erbaut war, K alkstein und Ziegel (S. Maspeuo, Mission, I/197K
Ubrigens vergleiche
man
\\
(^
^^^^ Q
snk
h'.tk
h\t
",t
M.
_(q_
r-
^^
i;
sf,
fiir
sn, auf
welche
bertragung
sttzt.
Fur
cjbt giebt
M. 1/176 die
var.
j|)
^g^
danach
1^
v\
flndet sich
z.
B. in
dem
weiter unteii
citierten
2.
A.
90/14.
3.
W/i/inschrift, Z. 3-4.
Zu dem
:
ic''t
vgl. die in
Anm.
Ib., Z. 10-11.
4.
hnlich Louore. C 176. (Pikruet /2ec., Hofkalender der Saiten wiederfindel, in jener
6.
11/35.)
Zeit,
5. Mission, 1/196. P. S. B. A., 90/124. Dass der hier besprochene Titel sich auch in dem als man die Kultur des alten Reiches wieder ins Lebeii
Wunder nehmen.
v y
Vgl. Piehl, H.
/.,
I,
88 ^
"^^
^
"^
Pinki: ^
zu verbessern
sein).
30
VARIA
XII. Die Lesunrj von <=^3.
ist
Erman
'
fur
den
in
lit,
Zweifel gezogen worden, so dass es nicht berflssig erscheinen mag, noch einmal auf die
fur die
Lesung Bhdt
ist
die von
Brugsch
f/
{^HrBhdtV
figen.
(^
hierogl.
ich
XIX
im Berliner Musum'
J |
_
ist.
die Edfuische
d. h.
Edfu zu deuten
Vocalisation
^
Was
den moderncn
anzusetzen)
Namen Edfu (kopt. *.t&io) anlangt, so ist er J (as Grundform mit mutmasslicher erklart. Da nun andrerseits die Lesung dbh fiir
'
_^
Opfergabe
ausser Zweifel
Stadtname und
die letztere
Gruppe
Tliron
Namen
man
mit bhd
also die
stadt
crwahnte Hypothse gclten, so wiirde man zuniichst ein <=^^> b/idtals ThronCi etwa mit zu erganzendem nwt anzusetzen haben erst auf diesen Stadtnamen
kann
///
erwahne
Thron
in der
bhd
(sic)
jM
y;)l^lL
XIII.
bekannten Alabastervasen
".
Amon
geliebt, als er
den
n
o
I
nr
Messstrick
'^
'-hj)r-R' spannte.
Da der Fundort
I
I
ist,
so lsst sich
Qn
I
ibcr
I
I
die
liegen
zahlrciche
Ziegel mit
man
Q
5
c^
Sollte
man nun
Weststadt verstehen
.V. Z.,
zu fern liegen,
1.
1882, p. 8, A.
2.
Nachtrglich werde
fiir
icli
welcher glcichfalls
die
Le-ung Bh<H
Mit
dem
nioderneti
fiir zuliissig
welcher auf
anfangen. 2. . Z.. 91/63 ff. 3. Lex. SuppL, VII 1365. der spteren hierogl. Texte das tt dev Adjcctivbildung. 4. Die beiden $<> bezeichnen ganz wie 7. S. Eh.man. a. O. 5. Catal., 2091. 6. Dtct. f/oijr., 921. 8. Loucre. E .331, Catal., p. 83, \vo selbst die Bedeutung der Inschrift nicht erkannt ist.
9.
GoschicJite, p. 374.
VARIA
;u
unsern Tempel an
deii
nrdlicli
vom Ramesseum
zu verlegen. Alelir als eine A'erautuiig will ich dannit jedoch niclit gegeben haben.
welche die Bruchstiicke einer mysterisen Geistergeschichte enthalten, sind bis auf das
worden. Das gesamte Material
thun
bleibt, als
ist
von
Maspero
'
eingehend
den noch
stitzt
Schriftstiickes,
den Herren Pierret und Revillout, mchte ich auch an dieser Stelle fur ihr freundliches
i(^iW-]fiP l
\^
;.=_
I
^m^
o mil
CiM^^
(?)
Zu
der Lesung des Knigsnamens, welcher in seinem ersten Bestandteil durch die
1. Contes populaires, p. 199 S., s. dort auch die einschlagige Litteratur. Hiiizuzufiigen ist Jetzteiu WieneiOstracon (s. v. Bf.rgmann Hicratischo und dcmotische Texte, pi. IV'). 2. Mnlw-h', ist aso der Name des Wekils vom Amoiisterapel . Freilicii ist die Wortstellung etwas ungewhnlich, demi in der Regel steht der Eigenname zwiscliea dem Tiiel und dem abhngigen Genetiv. Als
:
Ausnahmen
citieie ich
Loucre, C 9S
^^ ti==iJ
L=Z]
^v^^^
\mi
N.
il,..
110
A/WNAA
t/
/^A
32
ist,
icli
'
Form
fur das
M. R. nachgewiesenen Gruppe
ist
,1
und
fiir
Fr.-V. Scheil, 0. P.
I.
Habiri.
Les
par M.
Halvy [Journal
aux Habira.
M. Halkvy en trouve
la
preuve dans
le
le
nom
passage de
WAI,
Je viens corroborer cette seconde prmisse par une citation analogue d'un texte
encore indit.
au bazar de Stamboul, porte ces lignes que nous citons en entier, cause des divers
noms
Colonne
12 zru
I.
Bt-Pir-sad-rab,
A-KAR
as 1
rabitu
'^^
T-
^^1" k^l,
HI mat Bt-Pir-sad-rab
'
^'
T ^^^'''
^"P^^^"'
'^^'
^'^^
Arad-Ea,
^^^''
y Sin-bl-ilni
" T-
^"^^1^
mr Ka-an-di
5
sa
^^P'^^^ ^^ "^'^^
Bit-Pir-sad-rab.
ugar
al
al
Sasarri(ki)
',
l.iarri
T Kas-sa-a,
asana(ki)
kisad nr al asarri(ki)
^^
umu-ilu-aAipuA.
mr
J Ba-si-is
(?)
.
.
.
Ha-bir-a-a, arad
us-mu.
10
ptu el
ki.sad
nr Sasarri(ki)
asana(ki)
est
Colonne
II.
etc.
ptu sapl
tilu al
Notes.
royal. Cf.
(18) (19)
(4)
Kandi
videmment rapprocher du
I,
nom
30.
Kass
Harbi-Bcl
SAR-bi (dingir)
Seigneur
est Bel,
1.
A. Z., 91/54
Vgl.
ff.
:
2.
Maspeuo
Momies
royales, p. 636.
3-4.
Peul-tre
lire
nom
est celui
de
SAR-HIR,
Kir.
33
Seigneur
est
hl, tait
nom commun
et
Kudurra,
fils
(car Habira,
en bonne
grammaire, peut
Kudurra), porto
un
nom
Kudur-Turgu ou Kudur-Bl_,
p. 44.
ou lamite.
Dans Basis,
voir
la lecture
i,
certaine. Cette terminaison, avec les prsomptions que justifie le contexte, suffit pour y
un nom
kassite.
On
listes
Le
final n'tait
On aKande etKandiii,
Kasbe
et
Kasbeyas.
(22)
Habira
est crit
comme WAI,
Conclusion.
Un nom tranger,
kassites de race.
mme
temps
comme un
noms
kassites. Ils
eux-mmes
Yaudu.
{Journal Asiatique,
t.
XVIII,
p.
347-349) la
prsence du
nom Yaudu
si
dans
la lettre 39^
de toute identification,
M. Sayge
se
rangea
mon
avis.
{Records ofthe
Past, 2 srie,
V,
p. vi.)
Le P. Delattre (S. J.), sans contester la lecture matrielle;, refusa de voir dans Yaudu un nom ethnique, ou autre chose qu'une troisime personne pluriel d'un temps
verbal. {Journal Asiatique,
t.
XX,
p. 286-291.)
En
le
dernier lieu,
P.
Delattre
le
sens gnral de
Yaudu
pour ne
de ce
nom
nom, dans
les
mmes
parages.
foi
II
prouve que
Yaudi de
avec
Tiglatpilser,
les
Yaudi ^e^
l'Oronte. Les
Yaudu
lors,
d'El-Amarna ont
n'est-il pas
affaire
Tunipa,
de voir
les
Jastrow on ne maintienne pas la lecture istu Yaudu d'El-Amarna dans les Yaudi de Tiglatpoques (1400-740)?
pilser II et de Zindjirli,
III.
malgr
l'cart des
le
Khamsin.
fort
Lenormant
identifiait ainsi
La Magie
le
ches
:
les
Chal-
dens
(p. 48),
Louvre
C'est l'image
d'un horrible
RECUEIL, XVI.
dmon
34
gardant encore
ouvertes.
les
ailes
le
Un
le
dos est trace une inscription en langue accadienne qui apprend que ce
personla
nage est
et
porte
ou
la fentre
En
effet,
en Chalde,
le
vent du
Sud-Ouest
mmes
ravages que
le
Khamsin en Syrie
Semoun en
L'exemplaire de M.
Maspero
est,
en
effet, la tte
le vent,
La mchoire
tempe
:
^^H"///^A:,.
^
sa^
gSTrW
J.
^\'^^\^]^ a^
^ff "'^
^nf 'tt^
^
-y
^
^
tT
^s-
-usa
rg
;flr<
-j^
;%T
@
^
ISI
t=
*!
f%/A
j4jT_^nM
B^
A^
lPTU
AT-TA DAN-[nu].
MA-HI-RU.
SA-A-RU IZ-ZU
.
.MU-JNA-'l-RU KiBR.VTI
MU-AH-RIB
. .
S.AD[-I ELTI]
MU-UB-BIL.
QAN-SU
MU]-TR
IS.
('?)-iR
1.
mme
auteur,
Choix de
textes, etc.,
95, p. 249.
Ou
n'y trouve
35
I-IR-PU-'U KIB-RA-A-TI
15
MURSU A-PA-A
A-NA BIT
(?)...
TETI-'l.
RU
L ..
.
A-NA [ZUMRU].
LA TETIH-HI
Conjuration
Tu
es le puissant.
le
premier.
le
la
pousse
[produit] l'obscurit, vent imptueux qui accable avec violence les rgions^ balaye les
.,
retourne
(?),
il
les arbres.
... Sur
le fleuve,
il
rpand
la dvastation
(?)^ il
...
sur le fleuve,
rpand
il
la
dvastation sur
la
terre ferme.
L'homme
laisse l
femme
et
maison
brent!...
De
la
maison
Lenormant
jaune,
connaissait {La
Magie chez
la tte
Chaldens,
p.
48) au
Muse Britan
repoussante du
mme dmon,
.
Tun en
le
pierre
mme
bronze
du Louvre,
de M.
Je dois l'ama-
bilit
tannique.
En
ttes monstrueuses,
La premire en
ntre porte
et qui
un
texte babylonien qui ressemble fort celui que nous venons de publier
:
La deuxime
1S!
4fii <f(
tte
comil
gff^
rft
ne
:
que quelques
traits
au commencement
^m
et vers la fin
:
*r
t^]}
MT
^^-El^*r
f
La
1.
-w-i
-+-+-
tort.
36
sumro-accadien, d'criture assyrienne, qui ne sont nullement identiques (sinon peuttre pour le sens gnral) avec celle publie par
Lenormant, Choix,
Il
etc., n 95.
se trouve actuellement
au Muse de
le
fac-simil
La
tablettes
tablette n
du
roi
mme lieu
et
en
centaine au moins de documents ayant presque tous trait aux livraisons, argent ou biens
le
d'Ellil
aux
serfs et
aux fermiers de
ou
37
reste,
endommage
soit-elle,
en
un chemin; probablement
dpendances du temple
voit,
en
effet,
les quantits
dieu ou
le roi
qui
une
trs
nombreuse population,
il
tait
maintenir en portions gales chaque grande section de terrain. Cela simplifiait aussi
calcul des redevances.
Par exemple,
le
saient sur un terrain d'une autre culture et qui, d'un tenant, occupait l'autre grand ct.
(?)
ou 100 sosses
(??).
Cette seconde
purement thole
lecture est trs suspecte, la valeur de sosse pour le second signe tant
rique.
Dans
le
tait divis
+-^|,
et
un terrain d'une
le
nom
est illisible.
Victor Loret
Il
a,
assez
frquemment
si je
ne
me
tion satisfaisante.
Ce groupe
compose de
pour
le
la
com-
les lignes
qui suivent,
groupe
3|.
(p.
1682),
M. H. Brugsch,
6,
se rfrant
le
un
mmoire de
S. Birch,
On two
et
egyptian tableis, p.
les
considre
:
groupe
'^^^^^^
comme
Horus
quivalent de _r|
en donne
^^
^
3} y
Temp.
an
Ins.,
I,
38/8]; ;^J^fl
4^2^^ ^^=:^,
Dans
le
Wagen
(p.
[Stel. Harris].
Supplment du
mme
ouvrage
1388-1389),
tir
^L H. Brugsch maintient
la lecture -ir| et
du temple d'Esnh
III
38
A S\
iln^^^'
ist ilir
n'
"
das Sein selber, oline geboren zu sein, dessen Gestalt nicht erkannt
vor
dem
keine
Gtter und er bat gemodelt die Gttinnen, er bat werden iassen je ein Mnnliches und
je ein
etc.) .
Le sens
lui-mme
peut en
le
effet s'appliquer
aux
trois
pbrases prcdentes.
groupe
^1
^^
est emploj'
cite trois
exemples
H 1
^^
sl
T ^^'
und
^'
^^^ Gtter
Euergeten, die Herren der Lands cbaft en des Horus, die Inbal)er
und Unt^gyp.en
^3^ y
(BHI. 34);
fir
^=i,
er bat
gleiclnvie Thuti,
um
[Friesinscb. v.
^^ T
3I
(Br.,
Rech.,
pi.
X,
2, 6),
Beiname oder
le
Tbot
Comme
on
le voit,
sens
lui-mme
les trois
Je ne crois pas
groupe en question.
promis de
Pour
lui
ma
part,
la
il
textes, et je m'tais
donner
M. de
un certain nombre
l'irritant
^1
la solution
de
problme.
comme
il
mot
3^
ne
serait,
si
le
rsultat de
mes recherches
:::!
La chose
maque.
On sait que
ou ne
que ?
d'une part, et
ou
noms de
la
reptiles. Je
^^
il
existe
premire syllabe
le
com mence
par un
mais
seul
mot
^^
suffirait
pour que
le
,
^1
au lieu de im|
la
place de -I^
courage d'y
mot
^^ ^^
,
que c'est l l'origine de la valeur -I^ du groupe 3|. D'ailleurs, ce semble avoir particulirement excit l'imagination des inventeurs de
l'crit aussi i\g^,
ly
.
parce que
le lion est
un <=>
et
qu'un couteau
sedit'^^^ "^^^ou ^
La
la
serpent ^"^
et le serpent ism.
pourrait,
ism. a la
^
il
c'est--dire
est vrai, servir
,.
39
-I^
exemples du groupe
^1
mme
-T^ ne
en
dans
les trois
la lecture
saurait convenir dans la grande majorit des cas. Ces trois premiers exemples,
effet,
, le l'oi est
sublime
quand
il
Les deux dieux bienfaiteurs, matres des terres d'Horus, sublimes de place
Haute
et la Basse-Egypte.
Quant
je
l'expression
la
les
signe
demandant,
une tude
spciale.
la lecture _ir|
Ce
groupe
tre
est
du
3I
c'est la
g| semble
Ainsi, le quatrime
la
construite sur
D.
v^
que
"^^
ri
F P P
(KocHEMONTELX,
tainement
p. 42),
Si
t^^
mme mot
^1
il
sj'nonyme.
fait partie
^ -^^>^^^5^ S^
la salle
de l'ensemble suivant de
J ^^
^
le
Horus d ApoUinopolis,
grand dans
^
\\
titres
i^bid., p.
15),
le
sublime
,
est difficile de
les
mots Tl)
^
{
et
-^ Cl
la
L'expression
P'
^^)'
"
Horus d'Apollinopolis,
^\\
\\
[l^^^
11
Mais, de tous
la
mystrieux
et
les textes
le
mieux
groupe
3J
est
certainement
le titre
entrant dans
le sanctuaire.
Ce
titre est
-"^^
^^ [Ibid.,
On
sait
que
,
le
'
nom du
est trs
frquemment
J'^=^ J
,
personnages
((
groupe ''^
sens
^^
convient admirablement.
Au
reste, voici,
1.
Le signe
doit trs
vraisemblablement se
lire y,
2.
que de
la racine
^'^'^
,
^\ 9-^^.
voir
3.
de loin
Cf.
L'il d'pervier,
^,
tait,
la basse poque,
synonyme du verbe
..^
voir
H. Brugsch, Dict.
hirotjl., p. 1261.
40
ils
de*^
j'aie
54 (deux
fois) et 67.J.
relevs de l'expression
^^
dans X'Edfou de
fois) et
de Roug,
(deux
fois).
aux
planches
CXLVII
Cette expression
qui s'applique
la
la
sublime
justice suprieure
,
Le signe
peut
tre considr
comme une
que
l'on
sent sans
le trait
que prend
1,
le
mes
copies.
On
peut de
mme comparer
ou mieux
le
le
dterminatif
JU
dans
tiques
rait
^^^
:
IQA-
ans ce
cinquime exemple
et
cit par
il
M. Brugsch
se tradui-
par
((
Il
a ])romulgu de
nombreuses
bonnes
il
lois,
formule
0(1^,^^^^
])eti(c
i
^
Thot quand
rend justice.
^
(
IL
Bit., Dict.
comme
la
bouche de
Enfin, cette
tude du groupe
j'y aie
pens tout
orthographes ptolmaques
le
2I
crit
'=^^^)'
i'
^^^ vident
que
avait
un ^H)
initial.
Or, dans
' .
les textes
mot
est partout
galement
il
lettres,
est de
Aux poques intermdiaires, lorsque le mot est crit en toutes | ^_. miuc toujours prcd de la dentale '. Il faut donc en conclure
.
que
la lecture
^^. \^,
bien
fait
dfinitivement corrige en
_3
Par consquent,
le
rapprochement qu'avait
tombe de lui-mme.
le
les
mots
Q()
'^^'
mot
On
tre
la
les
La chose
:^^>
est vraie.
Mais
la
du
cas
verbe
D
o
peut tn; un
,
ou un o, jamais un
lettre radicale et
^^
Il
est
le
de ^Hl
le^
est
une
non une
qu'on
comme
.
^^^"^
^^ ct de
Et puis,
il
faut songer
qu
il
existe un
mot
,4/.
<=> /__^
/,
qui a pu
amener
1.
2.
3.
Pvi>i
Le mot
il
^|
=.
quand
est crit
en toulcs
lettres.
.Si
le
il
faut sans
(lrnsatu.-<,
41
certaines confusions chez les graveurs anciens ou chez les copistes modernes. Cette confusion, au surplus, s'expliquerait pour les signes
\^, %^,
les
le
signe
^^,
la seule
valeur -*^.
Le mot
drive
s'tant
mot
(S'ici.
copte,
s'il
en
la
est,
qui
du mot gyptien
ou
-xici,
-xice,
En effet, ce <=> en
plupart
copte et le
le
remplacent par
e,
mme
les
mots
comme
'^
ou
|
qui conservent
lettre, trs
<r=>
vraisembla-
est vrai,
l'identification
que
je
propose entre *
*7|.
et
-juci
Pour
,
ma
part,
je
est
fort discutable.
il
Qu'un
^^
o, devienne
en copte,
n'y a en
cela rien
que de
c^
un s=J ou un
devienne
-s.
ou
en copte, c'est
J'ai
un
fait
commenant par
c^ antique.
s.
et ^; je n'en ai
le -x
,
ou
le
'
rpondit un
le^^
le Z5.
ou plus rarement
<S
le /6.
la rgle, si
assimilation, jusqu' nouvel ordre, n'est rien moins que prouve au point de vue
p. xvi,
1.
9,
une
^^
si
vl
(et
non
^1 ^ que donnent
que
le
pourrait,
elle est la
mme
X'
une drivation
-xocTCi.
L'identification de
qui, jusqu' prsent, restait
avec
-xici
nous donne
sens exact du
-xici
mot gyptien,
sens
tels sont,
en
effet, les
mot
:
s'en
trouve dans
aueiv,
de Rasette et de Canope
, et
par
svofa);,
glorieusement ; l'expression
ce qui rpond exactement au
magnifiquement
superbiis, magnijcus.
Quant au mot
,
<::=>ra djousiri,
a
n'est pas
,
potentat
une erreur pour <=>ri sari, il driverait de comme -xoeic, dominus, herus, drive de ici.
le 14
avec
le
sens de
suprieur,
Lyon,
dcembre
1893.
KECUEIL, XVI.
42
NOTES ET REMARQUES
NOTES ET REMARQUES
PAR
G.
Daressy
LXXXVII.
fournir
le
dj dcrit donnent
j) comme nom de ka du roi Hathor-nebet-ant-si-Mentouhotep. et qui met ordinaireC'est donc Mentouhotep ^*^ celui dont le prnom est D o r"^ qu'on doit la fondation de ce temple. ment dans son cartouche s=3^ D En ce mme endroit, ou a trouve un bloc de granit noir semiLXXXVIII.
,
',
lit
Ce sont
^,
les
mmes
le
,-
y
:__,^
assise,
M. Naville, Ce savant
que
les
un
Arabes appellent
Rayan,
gravs
et
les
la
^l
o du nom
deux o ont
le
LXXXIX, De
la
mme
place
fragment de
stle
XP dynastie
^w ^^M
ra
I
1
I
AAAAAA
1,
k
J^
C2l
<=>
A/VWV\
III
JJ
A/
"
^Td^
0=^
fv^^
m n
nP
.AAAyVA
\J
AAAA
1^,1
H
I I
_n^ C^^^
i^g^ni?l2P^irjz:;
j^^
13
\'^m:<=^m<^\<=>\^A
ffl
W,
11^
u=^-^
p.
^-
le
il
\'<m.
_M^
^m
ville basse.
XC.
Gcbolein,
J
Stle
du Moven-Empiro. Da ns
cintre, le
entre
AWVv^
/WWSA C2
I I
A
1
j
a.
J^f
-^.j
1
)
I
- -wwvN
^m U Vf ^
:
I
ll|K37ni
un
1
;^j
debout, tenant un
An
bas, gaucho,
homme
N0TE6 ET REMARQUES
Sur divers autres
frajrinents
43
de
O,
IJ
<==* et
XCI.
Edfou.
Stle cintre de la
XVII^
fi
dynastie.
Au sommet,
voit
sou s
le
disque
tte
arm d'une
""^^
un ^P;, on
.il
la tte,
desse
^
ci^sa
adors par
o!S
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""^^
r^'^n
Au-dessous
rn^_^=^vN
XCII.
Gournal.
:
XVIIP
dynastie. Inscriptions
^
A/VNAAA
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XCIII.
le
44
NOTES ET REMARQUES
en une bande verticale
devant on
lit
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(M^Y] "^
^ ^JtMPI
C
:
talement
_2^
XCIV.
Qouft. Inscription
avtokpatopoc
KAICAPOC TITOr AIAIOV AAPIANOV ANTiiNINOV GEBAGTOV EVCEBOVC HAXiiN EDI AOKIOr MOVNATIOV
XCV.
TiN
(3)
(1)
vnEPErXHC
(2)
AiiOV
i.
XCVI.
Toukli,
il
y a des ruines anciennes qui n'ont pas encore t signales, et qui sont connues
dans
le
pays sous
nom
de Kom-Belal.
De
la v ille
il
r este les
T^^^ ]
:
et
(l^'ty M
la
La ncropole entoure
la ville
tailles,
il
dont
chambre
est effondre;
elle tait
du
XCVII.
A Dir el-Ballas,
on voit
les vestiges
Je n'ai pu rencontrer aucune indication prcise d'poque sur les briques, qui sont de
forte -dimension et certainement des se trouve dans le
XVIIP-XX*"
dynasties.
Aucune
inscription ne
dessus de porte en calcaire pr sentant au -dessous du disque ail les deux cartouches
XCVIII.
de l'ancien
important.
de Charonah, sur
le territoire
nome
Un
nom du
roi constructeur,
Ptolme
I".
une seule
porte.
Le disque
ail
j|
plane au-dessus du
Les
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IL
L^ 111
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AA/SAAA
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nagre
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au lieu de bouclier,
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\^m
1.
Dans
le texte, l'animal,
lient
un couteau.
NOTES ET REMARQUES
45
S'-j
l^-^E
Khonsou
et
i^j
XCIX. Sur
il
^^R
le
mur
Karnak,
dblaye
y a deux
rempereur
^j,
Qg
^
surnomm
f|f ^QQ^
coiffe
^cA
A gauche, "
P
prsente
Amon
dieux l-
eux-mmes d'Hathor
du naos entour
de
fleurs.
Discours ou
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46
NOTES ET REMARQUES
DiscoursdePtah:
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C.
iiaut
Granit
noir.
Homme agenouill,
il
du naos
Dans
et la partie suprieure
du corps manquent.
la chapelle
d..oite:(l)aygaP|^,;(2)l^^C
Le nom du personnage que reprsente
la
statue est
Sur
le socle
du naos, au-dessous de
la
niche
NOTES ET REMARQUES
47
48
NOTES ET REMARQUES
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CIL
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sur les
crocodiles,
:
trouve Sais. Sur une face sont reprse nts scul^pts en relief un dieu et une desse
entre les deux on lit j"-^^ ^]] a deux textes et trois scnes superposes.
:
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V"
Texte horizontal
t\fsf\t\t^
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la face
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A^^\AAA VH
Ci
II
2 aj Horus,
griffon, perce
de ses flches
les
animaux
du
une
gazelle,
un
Horus hiracocphale,
main.
: ;
un scarabe et une grenouille. 6^ De gauche R: un dieu (Neb-heka-u) tenant deux longs serpents, avec ses mains croises
tte,
entre
sur la poitrine; Hor-chef. tte de blier, coiff de l'atef; Thot et l'pervier sur la
U'azelle.
iP Srie de divinits
;
Min; pervier
coiff des
attributs, tenant
crocodiles, en face de Thouris; puis cinq dieux accroupis, les trois premiers tte
humaine,
5
de crocodile.
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AAAAAA AAAAAA
Texte
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NOTES ET REMARQUES
49
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Dans
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avec des toiles
couvert d'un
reoivent
cm.
et le
le cintre, le ciel
disque
l'atef,
grand manteau,
la libation
Il
et Isis, avec
un
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que
la prcdente.
Au
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sommet,
le
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Osiris assis
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1
UO
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tenant un vase
Isis
autel devant
"riS^=^'^^'^' (?).
ri^J) et
Nephthys
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111
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V AAAAAA
WW
On remarquera
CV.
les bizarreries
d'orthographe du
texte.
la
principaux
Des
toutes de
elles
datent
Ramss
Ce
du grand
:
V_^ V.
I
(1)
N.
colosse qui est assis devant le AAAAAA Q <=> ^ >* (2) S. (JlJ ... ^^^
r.
p.
V\
Ci 7
50
NOTES ET REMARQUES
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(8) S.
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AAAAAA
-(7)N.
N.
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S.
(9)
^ ^^ ,^_^
Ct oppos
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(2)
;S.
Statue debout devant
le
:
pylne. 1 Devant
(1)
^i<=>. 2 Ct ouest
(3)
^^?;
J^'|<=>;
(3)
=?^
(1)
homme
turban,
(5)
nom
nom
dtruit;
yi
il
(4)
Smite
"^^s,
^=^;
Khta
^D^cizd;
.
Smite
(7)
Khta,
:
nom
(1
Ct est
(7)
^
(Ngres)
3) dtruits;
S ^'^i (5)0^
Ramss
II.
. I
Mur extrieur
duits
(j^ n^i'U
la
<=>U
:
'
iczzd'
ouest de la cour de
Amon par
le roi et Tlibes.
:
au nord de
porte
Premier rang
H^%d](1
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Deuxime rang
"fP^X "Ix
czzd;
D'i^H
D
Troisime rang
-2^1
:
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(^)
Au
sud de
la
porte
(1)
^^^^Bj
prcdents
:
%.s^ ;(3)
(2
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(9)
'C^'rZ^^
PczzD.
Affronts avec
les
(1)
^^B;
""^^^i^c^; (3)^K^;^;
Dans
la
cour de Ramss
:
II.
du
(1)
~-=^;
(2)
est
(3)
de
la
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au corps
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NOTES ET REMARQUES
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les
Ct ouest (Smites)
(1
3) dtruits; (4)
'
^;
(5)
Ramss
II, il
y a une srie
de personnages reprsentant
les
montagnes
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52
NOTES ET REMARQUES
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il
a,
dans
la
Ramss
II,
compos de
aux
trois
grandes divinits de
Thbes.
Il
est bti
anciennes, et prcd d'un portique dont les architraves (et probablement aussi
colonnes) ont t prises un difice de
Thotms
le
III.
La chambre d'Amon
Sur
la
le
est
au centre. Dans
du temple d'Abydos.
mur
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etc.
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NOTES ET REMARQUES
Deuxime
rane:
5:{
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TT
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Sur
le
mur
ouest,
Ramss
est reprsent
encensant
la
Ijanjuc
d'Amon.
offrandes
Chambre de Maut. Paroi est. Le roi, suivi de Klionsou, prsente l'encens et les Maut et Neitli de Sais assises dans un uaos. Lgendes en colonnes verticales
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prsente l'huile
Maut en
disant
54
NOTES ET REMARQUES
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le roi
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IV
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1. 2.
Le vrai signe
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le
est
Thot apportant
il
l'ut'a.
monument,
a ici le roi
avec
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NOTES ET REMARQUES
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la
cour de Ramss
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la galerie
Pour prvenir
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NOTES ET REMARQUES
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NOTES ET REMARQUES
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AAAAAA
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AAAAAA
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JT
favori
d'Amon-R,
devant
d'Amon-R,
Amon, enveloppant
Maut, matresse du
ciel;
la
d'Amon-R,
du
roi
8
roi
d'Amon
de
la
d'Amon, protecteur de
dans
gardien du
lit (?)
classe; j-eux
RECUEIL, XVI.
58
NOTES ET REMARQUES
la
Haute-Egypte; invoquant
flabellifre la droite
les
du
roi;
dans
le palais;
ami de l'Horus
du
prophte d'Amon-R, roi des dieux, qui voit l'Horus saint du palais, Nes-pa-n-nub
fils
de
la
Il
dit
Salut vous,
hommes
les sicles,
ma
louange, pour
la
me
[devez].
mon
mrite parmi
les
mon
administration
ma bouche
pour discuter
Ma bienveillance
Ayant pris garde ma bouche, travaill de la tte En rpliquant je n'aime pas une chose mauvaise. Les hommes me comptent comme suprieur
:
Ils
fet
je.
me
baisent la
main
et disent
de moi
l'a
pre, sa
mre
enfant
face
;
comme un
dieu.
On
Ils
ma
qu'ils trouvent
la valle;
en mon inspiration.
dans
gens sous
ma direction
se souviennent de
moi
Car
ils
me
renouvelle la race.
On m'a
Chacun
Ils
devant moi;
voient
ma
Les grands de
me "rendent hommage
en m'imitant,
roi.
A cause de la grandeur de
Je ne
me
palais,
Je ne m'carte pas de
mon
je l'ai
J'ai t
le
blouissante est
mon
ma
:
perfection;
La vnration
Aprs
de Thbes,
[les
humains.
1.
II,
de la XXII' dynastie.
NOTES ET REMARQUES
dfendu qu'on m'adresse des louanges
je n'ai fait
le
59
J'ai
Lorsque
roi.
J'y protge
Repoussant
la
main qui
s'en
empare.
Quand
Il Il
le roi est
occup empcher
le
mal
ma
bouche,
l,y.
moi qu'en
ses conseillers.
Quand
Ayant
[ma
Que ma
face
purifi
ma bouche pour
je [conduis]
discuter,
Mes amis
Il
s'en sont
augments en quantit;
dans l'obissance
mon
seigneur,
tablissent leurs
demeures en face de
la
double maison.
(?),
Ayant t lev en honneur en servant son pre Leur amour les fait me glorifier. Ayant dvoil mes intentions
Tous
se
tout le
monde,
conforment
mon
inclination.
j'ai
Ayant
dtest la mdisance,
aim
l'quit;
les connat.
Ma situation
Je suis leur
Ils
qu'il
m'a accordes.
commandant pour
le service
du
roi;
ma
:
pense.
me renouvelant
la suite.
en leurs gnrations;
Quand
je partirai,
dans
Ne
du dieu.
1 1 1
1
nmI
rt
AVsAAA
AA/SAAA
A^A/v^^
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AAAAAA
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To
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/S/\r-AAA
mil mil
A/WNAA
AAA/vA^
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10,
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Ay
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AA/W/V\
Cil
n^M-n^i
60
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1
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A/VW\A
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^A/VW\
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Jl
-M^
'
q"' _fL_
^Q
<2
ly
AVNAAA
AA^sAAA
Le dvou
d'Amon-Rc,
roi des dieux,
du prophte d'Amon-R,
,
dit
Ce qui a
Ce sont
t en moi,
comme une
(?)
les
principes
ma
ville;
Je ne me rebute pas du manque de rcompense. Le mauvais intendant n'est pas favoris, celui qui transporte
Je ne
le laisse
ses biens,
Pour reprendre
dessus de
.
la
mauvaise direction
qu'il a prise,
Je suis heureux de
Je
lui
ses intentions.
On ne vient pas derrire ce que j'ai fait en toutes Je ne me mets pas en colre contre mes membres
Ce Que dieu
serait tre sans
fait
qui
me
font soutrir
sa volont.
G. Legrain
II.
COLLECTION MENASC
La
Collection de
M.
le
verselle de 1889, a t
M.
le
baron de
Menasc.
tions.
1.
J'y renvoie
pour
la
me
stle
devant
lui.
Cintre
^^Q'^^-
Texte
61
Tiin
o
I.
(ZEH
-Jl
A^AAA^
A O
/i
"^
A/W\^\
^ /w
;j
On
lit
qu'Amen-
hotpou
mains
qi
CX,
"
:
Calcaire.
2.
Amon debout
Calcaire.
11.
M
\.
o
fl
mmxvni
A 8-^.^^-^
pervier
^)
ltt^*L:^
'mm-rr^m. y-^
A/VA/V\ AA/V^A^ AAAftAA
Calcaire.
lui
11.
d'Osiris.
Naos.
I
Face. Ligne de
droite
1)
In 1 r ^
:
r sV
0]] Q
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^.
Ligne de
Naos. Ct gauche
"^^2^^=^^
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Basalte noir
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62
53.
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Pierre
verte.
58.
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^^(Itl J4.
112.
^
[)
[^
^^
[^
[1
[11
fil
^^
rouge.
120.
m-^
'mi \M'
mail vert
p^i=[:i-i^]^iiiM[s:](Hi[ciis]
:Aiirj:']j_[fiP'j^^Zn]--f]^x^
Perle accole de deux crocodiles S^ ___^M ,uu^^ mail 203. - Plaquette rectangulaire =^^1^ ^^'T^^'l'lQ ^^^ 202.
:
j|-
vert.
vert.
:
(I
Bois,
^pra:
i(*'0
jl^
I
317.
-Harpocrate
^'"^'^-
342.
Osiris Ounnoi.
^^
Sur
le
ct droit
du
socle
^ ^^
A -9-
f t'
1%
izn
n.
D
lit
:
l\\^\
D^^
Bronze.
iiiimmiiimi^iziiiiiiimimiim
1.
Ce texte a
compll d'aprs un document semblable publi par Bkugsch, Ueber ein merkrdiges cf. le fac-simil dans le Recueil,
scarabe Meuasc.
63
344.
ReshliershoLi Bronze.
|.
ra
<r\
rw~\
r:^ii-^rji^^Z^
Qi
409.-Nofir-ToumoL,:
410.
^A*
"
I
Ci
-k
T;
Jj
A'y^AA^
1 AA/\AA/\
[j
A-r-^v
/:=^;
411.
Bronze.
^^M
n\\ w
d"!!-
" ^
ii/^'^i^^
W
^^Wmiw-
Bronze.
Lin
n
^
m
(]
427.
Sur
la
Anr
!.
,e
Mt de
colonne:
Bronze.
458.
:^f^^^^^ = oq^qq
:
Sur
ri'^
_ ^^\^m^^mvu\\
La
Bronze.
AfP-jr^Zliil
La majeure
les
partie pro-
venant de
tant connues
d'ailleurs.
diverses
AA/WW
I
~''-nt\J^^%'^^mls n
I
\/Jgl[]l.
fwn
80.
L=fl
i^^^O!-
i-Pk^^[li:Z.!3l
64
WiLHELM SpIEGELBERG'
La
par
les
du Louvre
n'est
Cato/o^/ Me de
les
main de matre.
J'ai tudi
dans
les derniers
originaux, et c'est
grce l'amabilit
Louvre,
MM.
Pierret
renomme des deux conservateurs du dpartement gyptien du et Revillout, que j'ai pu faire loisir mon travail, dont je souc
l'tat
le
du Catalogue.
',
L Ostracon 2262 \
mais incompltement. En
souvent oprer
avec des traces de signes, oppose au dchiffrement pas mal d'obstacles. Ce n'est donc
(ju' la suite
j'ai
manire tout
Voici
la transcription
hiroglyphique
onn ^7r"..Mrr^^^iniV?^r
5MBRii
Traduction.
(3) irt, la hlle
(1)
L'an XLII,
le
roi (2)
Ramss
II
du capitaine Bln-nt'i
(5)
(est
(4) la
femme du
prince royal
Spnniw
du temple de Ramss
irt
Memphis.
Commentaire.
mais
la
Le groupe derrire
ici.
<:r=> et
^tC==q,
dernire
la
d(;
Le nom B^n-nt'i, dont la forme fminine est connue comme celui de la fille favorite Ramss II, se retrouve dans un papyrus de Turin *. C'est sans doute le nom smitique njy-p lils de la desse Anat . Du reste, il n'est pas sans intrt qu'un autre hr mn,
connu par un papyrus de Bologne
',
est
de
mme un
tranger.
Ce qui
jette
une chappe
1.
;\
la
Reue gyptolorjique;
il
a t crit
il
n'y ai presque rien chang ou ajout depuis lors, except la note concernant la date du J'aurais dsir joindre des fac-simils aux textes transcrits; mais mes clichs, que
Toulu me renvoyer, ont t entirement casss dans le transport par Je donnerai donc les fac-simils dans un numro suivant du Rcrueil. 2. Devria, Catalogue, XI, p. 4. 3. WiEUEMANN, Hieratische Texte, pi. IX, texte, p. 17.
4.
5.
la poste, faute
A/VN/W\ AAAAAA
1.
\J
12.
65
de lumire assez curieuse sur l'inlluence commerciale des trangers de cette poque de
riiistoiro (\i2;yi)tienne.
C'est donc la
fille
le
priuce
les
S\-mntw
pharaons
comme
La
de vin,
dont
je
compte publier
d'ici i)eu
je
voyer
le lecteur.
billet
si
de
Mais, vu
le
caractre crmoniel de
la
nous
nous rappelons par exemple des phrases pistolaires, rptes sans cesse au commence-
ment
style
et la fin
me
le
sommaire
croire que notre pice contient l'annonce de cette affaire de cour un bureau quel'
conque
.1.
Ostra .on22e^'.-\{l--
^\-M7^Lnm'^.{23Z^
lA^
ITIc
Je n'ose pas donner une traduction de ce texte; les remarques suivantes justifieront,
je l'espre,
mon
hsitation. Or, en
:
examinant de prs
I
le squelette,
aa/vw.
I
pour ainsi
dire,
de
la
^^
(^
's^
la
^
de
AAftAAA
/VV\/\/V\
Q'^^ '^^'^
NN.,
la phrase,
yeux un des
les
mais
je n'ai
la
surtout
lecture trs
msw
stn qui
m'a arrt*.
1.
mencement
2.
3.
Du manque complet d'uue formule officielle (cf. Erman, Agyptische Zcitschrift, 1891, p. 117) au comet la fin, il me semble rsulter que cette communication tait d'un caractre peu public.
Devria, Catalogne, XI, p. 5. La forme extraordinaire du (3 doit son existence l'intention du scribe de remplir l'espace libre. Pourtant je veux ajouter en note une solution possible. Le icnnw pourrait avoir ici le sens temporel
9
4.
RECUEIL, XVI.
66
Je
me
ici le
il
ne faut
ne
le
frapp par ce fait que deux des cinq personnages occupent une charge qui se ratici
mme
avec
les
tombeaux royaux?
traduction
C'est
ainsi
que
me
venait l'esprit une des tessres publies la dernire planche des papyrus
la transcription
hiroglyphique et
la
P^
El
\
c^\
J}E1 0<z=>l
Traduction.
enfants royaux.
a
(1)
El
fille
:
La
'
royale de
Thutmes
III
(3)
Sa
suite
(4) l'inspecteur
gardien
Nfrw-r-hHf,
une
(7) l'habilleur
Nfr-rnpt.
Le sens de
fille
du grand Thutmosis,
la
maison
des enfants royaux, c'est--dire pour un tombeau royal. Ce n'est que par cette manire
la
la
ncropole'. Je
me tromper
comme
membres dcds de
la
famille royale
*.
Or, en examil'an
le
modle du dernier, on
fils
dans
LUI de
Ramss
II,
deux de
ses
Les noms de
III.
la faiiulle
*.
Ostracon 666
On se demande si les L'an LUI... lorsque les princes taient suivis. ainsi qu'on serait tent de traduire deux n ne doivent pas leur exislenre fautive la phrase prcdente nis n par suite d'une ngligence du scribe. Qui [taient] derrire elle. Le 'duplicata de M. Wirdem.\nn (A. Z.. 1883, p. 125) donne 1. Mot mot
: .
qui allaient derrire elle . comme simple variante de sens. Je n'ignore pas que les rdoi signifient les inspecteurs en gnral; cependant ici, ct des hicti, des s'w et des ici, on doit les prendre sans scrupule dans leur rle comme fonctionnaires de la ncropole. 3. M. BiRCH, qui le premier a discut ces plaques, n'a pas bien compris leur sens en prenant n pr n'.n
nti
s;.-?
(sic).
2.
ms
stni
comm&
gnitif
de
Ti-''., tandis
(.A.
Z.,
1883. p.
125)
repose sur
la
\
et
'S'-
Quant aux
mme tombeau
contenant des noms de princesses, on peut bien supposer qu'elles mentionner qu'elles ne pouvaient pas il ne faut gure
le fac-simil
servir
4.
comme
marque
les parties
rudes de la pierre
lisse.
[\li
1
S"
ii^i-^k'L:-!
1
'^
-^
^ ^
C3SZ1 (?)
rS>
^^'^'^
1
/^n
III
Hlllllll
m<^m
=
(.
_^
Q
A/VWV\
I
iX o
^^e'
T AAA/
m
',
rii"i
Les noms de ces quinze princesses, dont deux sont effacs
d'ailleurs et
la
grande
il
liste
se
comprend qu'on
si la liste
un
non
en question
tait puisante.
De mme,
RESSY
pas
*
la dernire publication
de M. Dastn n'a
'.
En
outre, on peut se
demander
si s',t
ici le
sens trs vague qui est prouv pour quelques priodes de l'histoire gyptienne
S'il faut
dterminer
le
sens de cette
liste, je suis
tent de
mme
de la rapprocher
de
la tessre
Il
la fantaisie
du
lecteur.
listes
que
la
les
presque
identiques de
membres de
les
mme
plume. Les
Il
traits
ostracon devenaient plus longs et lancs que sur une toffe poreuse o, empchs par
la
rudesse du fond,
ils
De mme,
la
grandeur
diff-
r=^ <=r>
I'
je
veux rappeler
ici
l'criture
fautive
du
Papyrus Sallier IV
2. 3.
pour dsrt
dsert
\\
La pierre du reste n'en a gure retenu les traces. M.\RiETTE, Ahydos, II, 5. 4. Recueil, t. XIV, p.
dtermin par
le bassin.
32.
5.
p. 721.
68
WiLHELM SpIEGELBERG
Parmi
le
les
je
les
intrt principal
L Papyrus
Hauteur
80 \
le recto.
Couleur brune.
la
( l'tat actuel)
:
longue
59 centimtres 25, b) de
53 centimtres
Largeur
21 centimtres.
la suite
Le protocole de Ramss
II offre
n"
m stn,
Pour
connue de
la titulaturo
ban-
^.
p. 118.
La dterminaison de hb-sd par le vase O ne m'est pas comme videmment les vases portant l'indication do cette fte.
Je passe maintenant aux quelques
d'ailleurs et rappelle
lambeaux
:
rests de
la
la transcription
1.
2.
\(^
OT\-
Evidemment,
le scribe,
avant pass
le nir derrire
/ri,
sauf le
/wvwA
ligne,
il
Ne voulant donc
le
6\
Aussi continuait-il
"
cartouche, rptant
le
(1
JTi,
/WNAAA
i
rectifier sa faute.
3. 4. 5.
On
J'ai
tf'^i::^ r
Maspero, Momies royales, p. 204. chang ici la place d'un petit fragment, mal
69
mr:ii-pp^yiw-[M"]---iBH:iiT;j
Vu
l'tat triste
de ces dbris,
dterminer
le
sens de
mnw
nous
Pour
rtnl
ti
.s;,
w
Le sens de
m s\w
le
n s;w,
Brugscii
*.
prototype du copte
conforme aux
lois
de
la
hingue gyp-
euphonique
En
je
fin
de compte,
'
forme
dmotique de notre
igoY et de jumiga..
s',w
^^
f3
J^T!
"y
^
'.
que dj M, Revillout
a rapi)roche de
la
Pour en
finir
racine s; est
contenue dans
ctge
(avec assimilation
expression dans
les
un de nos dmotistes,
cuje,
prototype dmotique de
que
\{^^les
Papyrus Alle/nant A.
trois
C'est sous ce
la
titre
fragments d'au
moins
que
trs
cite
XXP
nettement par
en outre
la
forme
q pour
Hy,
monuments
ra
1.
Un moyeu
de restitution nous
est
U'
et
Pap. Anast.
VI, 6/3-4
(Q
AAAAAA AAAAAA
m
4(ic)J
Q:^
(2
2,
3.
en
4.
5.
Ce changement, je suppose, a tir aprs lui de mme une construction diffrente de celle du prototype; car, tandis que m sUv se construit avec l'infinitif simple, sou driv Lnujd. introduit un n. Or. nous avons pas mal d'exemples pour ce fait que les Coptes ont souvent perdu le fil de la drivation de leurs mots il se comprendrait donc qu'ils construisaient juinuj*., cliynus, l'analogie d'un mot synonyme comme, par exemple, cuje igiye. (Voir Stern, Kojdisc/ie Grarnmatik, 456.) 6. Cf. Stern, Koptischc Grammatik, 29. J'ajoute un exemple tir des Actes du Concile cl'phse, publis dernirement par M. Bouriant, o CTTpe, partout, est crit eTiiiTpe.
;
:
7.
8.
"
p.
40 et note 158.
les inscriptions
de
la
nom
de
la reine
in-h^pw\ Voici
de notre
fraujment
1.
8.
3.
4.
5.
f(?).g
fl
6.
-<S:>-
-r\
AW^^^
o T Q
~\
(?)
7.
tt.
I
/^^ V-M
8.
9.
0.
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
[i:]
Maspero, Momies royales, p. 55S. [Ibid., 530-531, 598.) Hauteur de ce fragment 20 centimtres. Le verso contient des dbris de signes provenant de quelques notices de compte. Depuis le temps o j'crivais oe Mmoire, j'ai eu l'occasion d'tudier Berlin le Papyrus Reinhard, appartenant au rgne de Psousennes. Or, il est absolument sr que c'est cette poque qu'il faut attribuer le Papyrus Allernant A, et encore il m'est trs vraisemblable que ce fragment fait partie des comptes du Papyrus de Berlin.
1.
2.
..
^-
iM:i^r^^^^4
'
'
'
'A
Traduction
2
3. 4. 5.
Le laboureur.
Tint-hl
6.
7.
(?) ?M7/-S'to^M5
.
sac
+X
8. 9.
10. 11.
12. 13.
14.
15. 16.
17.
Le Le
Le
Le Le
Pn-iJiw-miiw
sac
tisserand
tisserand confiseur
Mntw-wnm
i-k'-Ji-i',
18.
19. 20.
(?)
Hr-n-wsbt
tisserand Hpst-t'ki'tw
.
Le receveur Mntw-.
Le prtre d'Hathor
21.
22.
23.
Hr-n-ddiw
Le
prtre de
sacIX + X
Mntw
Commentaire.
n'insiste pas sur
Vu
si
une explication du
je transcris
douteux. Notons
le
la ligne
suivante
la
correctement
groupe qui
^-^^
'^G*!
L'criture
g"
videmment identique
^^
rappelle celle de
l'ostracon Caillaud
W'-\
1.
t.
XXV,
p. 196.
72
les
la
la
forme
singulire
du | qui
du dmotique
et de son dr iv c opte.
f)
==
mais, tant
la
de ces signes,
je
ne
les transcris
mme
un
raison qui m'a embarrass fortement par rapport aux premiers signes de la ligne
j'ai
suivante o
titre
cru
lire
un
moment donn
pourtant
je prfre
^, comme c'est
En
douteuse.
En me
la 8 marquent la moiti du f\. dispensant d'une explication plus ou moins hypothtique de quelques signes
ligne
je
considre
le
premier groupe de
la
ligne 15
j'ai
comme
la
Le nom Pn-ihw-mnw
forme moins dveloppe
indits
ren-
ihw-mnw
dans
les actes
de
la
spo-
comme
la Biblio-
^^
f=^
au mot ^"^i
:
^^^- <^jui
se trouve dans le
fl
Papyrus Anas-
tasiV\ dans
le
^^
W> A
^nz
W.
charg.
qu'il
(i
D(;
le
mme,
sd a
dit le scribe,
je;
t'ai fait
laiss
de ct
les
XXX'
lui
'.
Je suis [trop]
Or,
il
rece-
veur
IIL
Papyrus AJlemant B.
calame
si fin
est
crit d'un
que
les trait*
d'un texte
ptolmaique.
En effet, jusqu' aujourd'hui, tout ce qui existait parmi les textes hiratiques
Cependant, en examinant de
la fin
le
du Nouvel-
Empire;
je n'ai
donc gure
dmotique.
1.
21/4 et suiv.
2.
3.
4.
Le scribe se rapporte ici un certain nombre mentionn probablement dans une Quant la dernire construction, voir Erman, A''. Gr., 30L Comp. aussi M. Muller, A. Z., 1888, p. 90.
.'i
lettre
prcdente.
73
la
tianscriplion,
autant (]uc
'^
II
:!
^^&.
III
^W
I
e
I
^
\
A^^WAA
S^Waaaa/w
Mil
III
W.^^. f^^.
III
(?)
I I
(^
'WW^A
/V^AA/V\
_2^
[-J] w ^^^
nnn ^
'
ra
I
-^
"^^
^icl ^1
|[^]
la lecture
)
douteuse de (juelques mots qui ne sont pas connus d'ailleurs
tant donne
sous ces formes, je n'insiste pas sur une explication des dernires.
que
je
ne suis arriv
n'ai
reconnatre
je
de longues tudes. Je
donc gure
ma
part.
Nanmoins
renonce donner
la transcription
me contenterai
dbris
et
donc de dterminer
le
mme
le
que
le recto, le
purement
simplement
,
linge
-^
fait
et
-^T
la
partie
de
mme
la
nature.
Car,
si je rtablis
:
bien
de
la
deuxime
du susdit morceau de
manire
suivante
^'"'^I^P-
On
num-
du
pu
tirer
la
valeur prin-
que
j'ai
runis sur
la table jointe
ce
quant
Fragment
1.
Verso
nft
Twili
^W
j
par
On
et
affaire la
mthode de cadrer
de
^
les signes.
^ De mme que
ici
Ton
l^
au
lieu de /a,
L^
1.
au
lieu
^', on substitue
1^
7<=,-
Les
Je
Cf.
traits
devant et deruire ^, ici comme la ligue suivante, sont uae sorte de point de distiactioa exemple, dans les comptes des Papyrus RolUn de la Bibliothque Nationale. marque sur la planche, comme les autres rubra, par une ligne brise.
p. 23, note 99.
mes Studion,
RECUEIL, XVI.
10
74
JOHANNES DUMICHEN
Le
recto porte
^H-R"
a.
'
'
(J
Fragment
2.
Recto
b.
Verso
lin
un
offre encore
un
n
I
JOHANNES DUMICHEN
Geb. 15 Ociober 1833, gest. 7 Februar 1894.
Am
7*^"
Februar schloss
einer ihrer begeistertsten und erfolgreichsten Vertreter nach langem, schweren Leiden
die
Augen.
ist
der
um
so bereitwilliger
nachgekommen,
als es
ihm
ein
Herzenswunsch
war,
dem
folgenden
dem Zauberbann der Romantik stand. Wie sicli Gemt des Jnglings erschloss, so war sie auch fur
als
die
Wundern
des Nilthales.
und seiner
1.
Restitu d'aprs
le
leino
du fragment prcdent.
JOHANNES DUMICHEN
ihm Anfangs
entgegonstollt(Mi.
75
iiiitor
harten Kaini^t'en
oiii
rcichos
Wisson
licss
in (\ov
dii'
ohon
Dann aber
iniiiKM-
gewaltiger aiivvachsonde Begeisterung und damit gepaart die klarc Eckciintiiiss, dass
der Fortscliritt der gyptologie vor allem von der Erscldicssung neuer Quellon zu
erwarten
sei.
in
ilim
ivifen.
abenteuerlicli
er nur in
dem
Was
al)er
])hantastisch
und
Winter
ausgiri'istct,
deren grosserer Tcil, wie mir der Verstorbene erzhlte, fur die Reisevorbereitungen
sicli
dem
Mann
den grssten
Teil seines nicht eben grossen Privatvermgens fur dise Reise geopfert, aber auch so
erste Expdition,
welche ihn
tief in
Riitsel
Vor
allem trug nun Dmichen Sorge, die grossen Resultate seiner Reise so
zum Gemeingut
seine gefUten
am
wenigston
aber zeigte
seiner
sicli
Heimkehr
Mappen
stellte.
fur
zu unbeschriinktester Verfiigung
welcher die jmgsten hieroglyphischen Inschriften zum Reden gebracht hat; insbesondere fur die anigmtischen Texte
ist
so
Krnung
seines
Werkes
dem
Abspannung
die
gel tend,
mehr
der
Arbeit behinderte. So
kam
es,
langer ZeitgeplantenWerken
ich erwhne
m
Nomen^gyptens
im Recueil de Monuments
Patuanienap
,
und den
Grab-
palast des
mit mir,
is in ihm bis zum letzten Atemzuge nicht erloschen. dem Lande seiner Liebe und Sehnsucht noch sein letztes lngeres Gespnich als er mde in dem Lehnstuhl sass, in welchem er von Tag zu Tag vergebens
in dieser reinen
Begeisterung
fi!u^
unsre
dem
idealen
Zuge
wird Dnii-
am
Denkmal zu
Ehren
eliren^
Wir
werden
es in
halten.
76
JOHANNES DUMICHEN
Selbststaiidige
Werke
Leipzig, 1865.
J.
J.
C. Hinrichs.
C. Hinrichs.
Leipzig.
AltgyptiscJie KalenderinscJiriflen.
Leipzig, 1866.
J.
C. Hinrichs.
HistorischInsc/i/'/Y'tenaltdggptisc/ierDenkm("der,2Bde.
Altdgyptisclte Tempelinschriften
,
Leipzig,1866. Hinrichs.
J.
2 Bde.
Leipzig,
etc.
(in
1862.
C. Hinrichs.
Anna
Leipzig,
1868.
J.
C. Hinrichs.
Der Felsentempel con Abu Sinibel, etc. Berlin. 1869. Gustav Hempel. Eine vorSOOO Jahren abgefasste Getreiderechnung . Berlin, 1870. J A. Stargardt.
.
Residtate einev
.avd\(vologi?,ch-photographischcn Expdition.
Teil (auto--
ini
Strass-
Triibner.
Die erste
bis jet:;t
ibcr die
Regierungs^eit eines
dgyptischen Knigs,
etc.
Leipzig, 1874.
Wi'iste.
(in
W.
Engelmann.
J.
Triibner.
Srassburg,
Triibner.
Leipzig,
C. Hinrichs.
Der Grabpalast
des Patuanienap.
I,
Triibner.
logyptische Sprache
1863,
1864,
.
76., p.
p.
49
ft".
81
i.
Namen und
1865, p. 1
il'.
Zwei seltsame kalcndorische Angaben aus Rmischer Zeit. Ib., p. 57 t., Drei Vermulungen, besttigt durch die Inschriften Edfus und Denderas.
p.
71
ff.
Ib.,
110
t.
Altagyptische Kalenderstudien.
1866, p.
t.,
11
ft".
1867, p. 4
i.
Einige Beobachtungen
liber
p.
60
t.,
81
ff.
1867, p. 4
ft'.
Ein graphischer Sc/ier:; aus einem der geheinien Corridore des Tempels von Dendera. 1867, p. 73
flf.
ber her
Die
(lie (lie
fl^(S
8()Si,
]>.
(il)
IV.
1809.
p. G
ff.
und Ziminer des Tempels von Dendera. 1870, Bauurkunde der Tempe/anlnr/c/i von Edfu.
Sii/e
//).,
j).
p.
t.
;
101
t.
1871, p. 25
(T.,
88
(T.,
105
il".
187:L^
\).
33
i.
1873,
p.
109
ff.
ber
Metalle
eini<je
1870,
:
]).
11.
Einige Benierkungen
..
Uber die
1872,
p.
42
\ o
ff..
98
I.
1874,
p.
30
11.
1875,
p.
01
ff.
Ans
Tliebcn.
1870,
p.
p.
25
ff.
Ein Salblrecept aus detn Laboratoriutn des Edfatempels. 1879, p. 97 Die deni Osiris ini Denderateinpel geweildeni Rctume und deren elienialige
ivendung.
ff'.
Vei'-
1882.
88
ff.
148
ff.
1883, p. 11
ff^.
wissenscliaftlichen
Beitrgen,
in
welche Dmichen
Tierleben und
fiir
Werke
seien seine
:
Bemerkungen
Brehms
dem
Werk
Les Bibles
de l'iiumanit
besonders hervorgehoben.
Strassburg.
1/;^,
1894.
WiLHELM SpIEGELBERG.
G.
Maspero
IV.
J'ai
ques
vraiment de ^^^
aaaa^^;
en
fait, elles
ne tiennent
et
^'^AAA^
aucun compte du
Baoukou
RiNiF, et se rattachent
pour
la
plupart des
le ^^ww
noms composs
ainsi de
deux substantifs
prennent ou ne
prennent pas
ou
deux individus
"
diffrents,
"
mais
mme
,
(<^
'^^ww
ou
F^
est l^^^cr::^
ou i^.'^z:^!]
(^^
vAAA
V\
_ctr
ou
^A/^^A f'jvvwy
noms o
le
premier
mme
^^ 4
abon-
ou
1^"^^^
78
^'vw^
/wwsa ?
j'ai
n,
i,
^'^-
C^tte vocali-
le
plus curieux
A
ow[jta,
^^
^^C\
x.h'xi
Cl Za[i]-NI-
FouROU. Je
villas, villi
crois reconnatre ce
comme
M. m,
^iSI
les
Me[riJnephtah;
^,
"^^^^
que
j'ai
transcrit les
noms comme
et
Mirniri, i^^^
1 \^ Baoukouni-
KHONSou, BoivONiKHONSou,
et peut-tre
quc
je lirai i<^^
Baoukounirinif. Bokounirinif,
ne. de
a/vwvn,
les textes
indice
du
un rgime
indirect,
comme
deux noms.
temps
du verbe devra
V
^\
-
AAAAAA
*v
^V
AA/W^^
Mari-ne-i, Miri-ni-i'
Mari-ni-.s, Miri-ne-s
'^^'^
Mari-ni-k, Miri-ne-k
Mari-ni-t, Miri-ne-t
V^
^
Mari-ni-nou. Miri-ne-nou
^^
^
AWW\
^^
II
Mari-ni-f. Miri-ne-f
Il
<:i:>'''~'^
car,
pronoms du rgime
ii*.c,
indirect,
on a une forme en
htii. et
,
associe
nco,
aux formes en
^^
itH
ii*>i.
n*.K. ii.q.
n.n,
^^^SAAA
,
C(M de
A^W^W
.
nm,
,
d'une forme en
A.V\/W\
A/V^W\
A/ys/V\A
suppose, pour
v>^
^^'^^
,
nak, naf, NAS, nan'ou, ct des prononciations ne-ni, nek-nik, nff-nif, nes-nis,
ou
c^,
;
etc.,
est
en
au propre
\>.
D^
final
l'e,
comme
dans l'enclitique
avait dj pass
ne',
bien que
etc.,
rpondait
1.
Azotes
et d'histoire,
dans
la Zcitschrift, 1884,
p.
La vocalisation de
^^~
indique
ici
rcemmeut par Erman, yEgyfitische Grammati/,-, p. 51. 125. ne rpond qu' une des lectures possibles de cette racine que
4.
itek. thbaine de n, voir Stkrn, Koptische Graminati/>\ p. .S.S/, 502. sur dij/ercnts points de grammaire et d'histoire, dans le Recueil de Tracauv. t. VIH.
p. 190-192.
79
etc., et
'^vwsa
siin[)lc
doublet de
que A C) se lisait ANNE-NEKet plus tard quand D Anna-nak, anne-nak, selon les cas.
el (jifou
On
an
v:^
n,
nou
'
derrire un
.-,..-.
pluriel masculin,
^M
on
derrire un duel.
tant
11
le
fminin de
doit se prononcer
et
la
sur
se
prononce sont,
non
NTE. NT.
A/WV\\
comme
relatif
fait.
Les consquences de ce
nt, ce (jue
se
fait
masculin, est
tjn
Merti
est <cr>
Mert,
le
nom
2"
Ci
mot fminin';
et n'est
prononcera donc
le
NTi a
un fminin
Ci
un
pluriel
Ci
v_
^^
'
ntiou au masculin,
la
^^i
nittou, [nitioutou
Aft/VNAA
?j,
n_.
les
l'accent tonique portant sur la finale selon la rgle des fminins gyptiens,
faut accen-
""ntt, et,
avec chute
oblige du t fminin, ^nt, nt, qui est le copte me. Htc driverait donc de la forme
fminine de l'ancien
d'autres
A/^A/^A^
nom
relatif
comme beaucoup
tt.
noms au passage de
11
l'gyptien au copte ou
i)eut-tre
a
mme
beaucoup plus
aaaa^a
NI serait
lui-mme
un
a
nom
ni, se
d'agent driv de
n.
Il
resterait
AVSAAA
la
formation et dans
dveloppement de
la
langue gyp-
tienne, telle que nous la connaissons. C'est un sujet sur lequel je suis revenu souvent
mme
de
le traiter
une
fois
les
dveloppements
comporte
et qu'il a pris
graduellement dans
VI.
mon
esprit.
mots de
trois lettres,
dont
la
dernire
radicale est
rable. Elles
dans
effet,
l'tat actuel
nous permettent, en
de
saisir certains
peut-tre, d'en
la
pour
l'histoire
phontique de
la langue. Je tiens
comme
nombre de
ces
1.
graphe
le
mme
Le
La valeur niou (I'Erman, ^Qt/ptisc/ie Grammatik, p. 51, 125, me parait incompatible avec l'orthodont ils se servent rgulirement en pareil cas est que les gyptiens ont employe le signe
syllabique de
2.
aaaaaa
fait
+
est
v\,
et n'a,
mme
167,
pourtant mi-chemin dans ses conclusions, et continue prononcer nti, ^nte. 43-44.' 3. Notes sur quelques points de grammaire et d'histoire, dans la Zeitschrift, t. XVIIl, 1880, p." XV (cf. t. XX, 188:i, p. 131-132), et Er.man, Altagyptisc/ie Studien, dans la Zeitschri/t, 1881, t. XIX, p. 50.
80
qu'ils
langue voca-
je les diviserai
en deux catgories
cjui
pip
fornax
c^ovep
ikf.,
maledicere
M. m,
navigatio
M.,
tjyiHp, u)ieep
aduncum
in
modum
unguiiim ferarum
M.
ni,
annulus
auxquels
il
M. m,
riibris
macuUs
affectas, -epoig
M.
ru/us esse
juiepuj
rubicundus esse
M.,
Tios"
ujon T.
M.,
u|{kwn
^SwK
igTo
M.,
^u)K, g^cotoK
annare, cingere,
radere, tondere
B. James
M.
decumbere, sternere
^Ko T. M.,famelicus
g^To
esse, 2.^0 T.
M.,
^k*.
T., g-o
M., equus.
Si nous [faons une forme hiroglyphique ct de ceux de ces mots coptes dont
le
dcoulent de
cette juxtaposition
Les quelques exceptions qu'on pourrait signaler ne sont qu'apparentes ainsi, dans &noiyep, witTiopi, secondaire. Il est ou bien cet e^-, e- initial qui s'ajoute certains mots, ou il s'est *"n6.T(x)pi ou *neTcopi ayant perdu leur voyelle atone, dveloj)p aprs coup pour faciliter la prononciation de *iiTCopi a rtabli une voyelle l'attaque du mot, l'etort ncessaire pour prononcer la combinaison
1.
:
le &.,
*kTO)pi
81
Dan.s le plus
grand nombre de
la
du mot
anli(iuc
semble
deuxime radicale
1
indique pour
c^oTp, maledicere,
c<3'Hp, iiacif)are,
^^ | ^
11^
sh_lr
SQ^H
ii^\^,
tliuribuhini.
J^^
I
~~
MSHi.Fi
igTo,
cubare,
eq}i us,
SZJ.R
2_-o,
esse,
^)Sl
V^^^
'""'^
2v.o,fameUcus
2"^
la
HKi.R
et la
Moins souvent,
la voj'elle se
premire
seconde conla
sonne, ce qui semble indiquer pour les mots anciens un accent tonique, plac entre
premire
et la
seconde radicale
Tiopig [Tojigp],
f^'^^'
plantare,
cingere, armare,
^
a
'^r::^
KHJ_PR
Di.QR
^u)K,
^(jok,
S:
Ji
KHi.KR
Je n'insiste pas sur ces premires conclusions qu'il faudra bientt reprendre ou
Ils
se partagent de
mme
en deux
l'ont perdue.
C.
Il
r[l] entre la
mme
voyelle se rencontre
en
premire et
deuxime
deuxime
et la troisime,
la
premire
M.
ni,
reinus navis
M.
instvumentum rostratumfabri
M., vultur,falco
l.
je
donne
en
ici la
par BRunscr,
Le mot
est
un
factitif
de
^\
AX
A \\
11
RECUEIL, XVI.
82
ujcxiHp
g^oKcp
M. n\,fennentum
.
.,
famelicus
oTg^oop,
esse, esurire
oTTg^^p
oTg^op T.
M.,
T., Ciiis
T.
Ti,
2J^v^h\ B.,
M.
TU,
aiichova navis
TieAHA,
xeA?v.
T. oy, lancea,
jaculum ferveum
soKep,
-^^cKcp
Beaucoup de
mais
est
e n'est
pas exprim,
barre
oirocp ct
de
fiocep
XOKp
TtOKep
ce qui nous autorise rattacher cette srie des mots que nous aurions pu rattacher
sans cela
la srie
monosyllabique
ccoTp T.,
limpidus, parus
rJ,'irj'7b%'.,
T.,
a.(oKp T.,
On
la
Jumeau
M.
n, testlS
Ai^^po J/.
m,
noqpe T.
t,
noqpi
n*.^pe T. n, c.^pi
ignHpe T.
Te, lyt^Hpi
M.
i",
portentum, prodigium,
li/^T^pt;
mirum
M. m, sponsorjjideijussor.
D.
la troisime radicale.
Ce sont
nombreux,
et
dont on connat
coni
prototype antique
M.
B.,
.ii*.-
T., lapiS
.go T.
M.
M,
thsaurus, au pluriel
Aenne,
initc
T.
M.
Aeni
jutew-f
M.,
fiene,
M., concenire,
Axt^r^ T.,
83
oviii,
Oi:i,
mots propres
plante IMars
ojj-.jjipT,;, Ojo7'.|jipr,;
rouge, dans
"Epxoji,
nom
de
la
M.
asser
ciKe
7"., ciKi
A/., niolerc
7".,
c*.g^u)M., c.^oT
averiere,
amovere
B., alienigena, peregrinus, Iwspes
J/., Tco(^e r.
Tiois'i
T.
M.,
igwni
M.
B.,
d}
lycone
La place
l'accent est
:
])ar les
dou-
blets monosjilabiques
Tcoa*, TtoTt,
ct de
Tcoa'e, tioxi,
Ttot^e; ujcone.
igoon, igion,
ujcone, ujouni,
Dans
coup
les
sHa
On aura donc
accentu sur
la
premire syllabe,
g^oTep
ojni
cme
ciKC
mais en revanche
___
U}JULJULO
igjUJULO
innc
la
pnultime
:
inite
On
serait
les trilitres
anciens en
finale taient
SHOUROU
I __^_ UJULXIO
(ZSZI'
SHMOUR
;
imite,
Aene
BNER
ANIR
/
pokr[t]
SIKR
mais sans qu'on puisse se rendre compte des motifs qui ont dtermin cette diffrence
d'accentuation, ni savoir priori
si elle
la
langue, ou
84
bien
si elle s'est
maque ou
l'ge copte.
se pose
Le problme
en ces termes
trois lettres,
en <==>
la
mots de
i,
r ayant toujours au
ou,
\\
procd que
j'ai
ordre d'tudes,
chercherai trouver
la
mots de
mots de
mme
telle
que
le
franais,
o l'amuissement des r
finales
Le bas
dont
latin
la
trois syllabes,
syllabe mdiale, ont perdu l'atone finale et sont devenus en franais f^o/or
douleur,
A partir du
pen-
XVIP
sicle, le
final,
se faire entendre
la voyelle initiale du mot suivant, et les mots momentanment doulc, parti, docte : depuis lors,
il
est rest
muet dans
j'ai
certains cas, et
les trois
mots que
pris
pour exemple
et
mmes
classes.
La chute
de
la
voyelle finale a laiss d'abord I'r dcouvert, puis I'r longtemps prononc s'est
:
seulement l'amuissement de
r.
mais
le recul
mots de
rcemment
cette tendance,
combine avec
la
tendance
l'amuissement des
/*
finales
physionomie
/',
comme
sur la
11
report
premire syllabe, et
facte'.
un r
la
me
semble
mots de
j'ai
troisime
que
<=>
garde
KHPR
au dbut,
il
r s'amuissant,
il
mme
le
tableau suivant
KHAOUPIROU
ujojne
Doctre[m]
\
(
Docte[r]
ujtone,
KHAOUPIR, KHOPIR
Doctr, docteur
les
ujoon
Dcto[r]
En rsum,
diane.
mots gyptiens de
trois syllabes
en
<=>
m-
Le groupe
la voyelle finale et
l'amuissement de r
85
dans certains
et la dissyllabisation, puis la
monosylladans
les
sur
la syllalx^
mdiane,
comme
dans
sur
la
premire syllabe
ici (]ue
11
faut
ajouter
ce
mouvement ne
comme
les
mmes
causes,
influence des liaisons dans la langue parle, tude des auteurs devenus classiques, etc.
Ds
dans
le
I
la
chute de r
les
la finale, ainsi
Yr^
si)
<^*'^"'
^oire, et
t-t
pendant
les sicles
de l'Empire tlibain
formes pleines
de certains
^ mots comme ^ U
tt
si le
copte a
comme
de
g^uo.
cgovp ct de
c*,g^co,
tantt sans
diff-
rente de l'ide.
comme
okpi, noqpe,
ne>.gpe,
souvent
i-e.
racine de suffixes
Ci
0='
fminine
i[T], k[tj,
avec
la
la finale
masculine
des
noms
i,
noms d'agent o
(](]
racine est
jointe ce suffixe
La terminaison du fminin
(1(1
s=5,
^ ^=,
,
elle-mme. Le
masculin
reporte sur
t, et l'on a
nofir't; mais,
La
qu'ont
eu
la
elle
tombe
La
flexion en
(](],
\s,
i,
des
ou des masculins
jointe
aux masculins,
^
U
longue l'origine
'Avou'wv,
et
dplace l'accent
^^q
Jj HoR,
'<>p:tov,
l'Horien,
Jj Anoupi,
noms
fminins, elle devient atone, et l'accent tonique de la terminaison fminine reste l'accent
tonique du
nom
d'agent
jnep*.')-,
l'i
\\\\
mirI'ti, puis
AiepiT,
mais au pluriel
ju.ep*.Te,
' .
final
Les mots
comme
Aie-^pe, g^i^Tpe^
].
le
t final des mots de cette forme est en ralit l'ancien x du fminin maint(Miu
i
est tomb. L'i-e n'a d disparatre qu'assez tard, car un certain ont en copte une terminaison grecque -hc, ainsi Kenecl^iTHc M. ni, pistor qui in fornacc occupatar, de qenefti, p*.55iTHC M. ni, Yva'^'J,y'^?o, de rakh'ti, ciiooviiithc M. m,
par la flexion
86
h [m hatri, qui contenaient cette tlexion |j(l i-e, et le mcaMllfl METRi, nisme de la conservation du p dans ces mots a t le mme que dans les fminins du
<=>
De mme que
dans
le
j'ai
fait
mme
je
me
crois autoris dterminer maintenant, d'aprs l'analogie des formes tudies en copte,
mme
squelette,
dont
les
(S
corde
^,
et ainsi
de
du groupe en <r=>
mots anciens avec
Au
contraire, la vocalisation
les
mots coptes
T^^
v\ (XX* dynastie)
la
prononciation
KHATOULOU, KHATOUROU
oT^op, chien
(iroipt;),
"^^ (XX*"
^-^-^
dynastie) la prononciation
H
|
tv,
(XIX^ dynastie)
la
prononciation
OUSIROU, OUOSIROU
Dans
les cas
le
mot
s'est
mme
temps que sous une forme dissyllabique, la comparaison des doublets fournit d'ordinaire
la vocalisation des
c^oTp. c*.^oT,
ce^g^u),
P?
I
^^
y)
^'^
^Top et ^OTcp
celle 8
~
\\.\e
"
ifl
le
HOTOUROU,
plur.
^Ttop, g^^cop, cheval,
mot
g^^o, g^To,
V:^i
hotourou,
^i^
g^^Tpe-y,
i^-opHY,
jumeaux, montrent
ou
I'a.
trs
probablement
qu'il
avait l
l'origine
une diphtongue
descendante, a tourn
De manire
la
pr-
des mots de
rsultat.
la flexiou u'a pu tre amene que par l'aualogie d'un in, Ite final avec le -txT); balnearius, de siounI'ti mme nature en grec, et une finale nue -ir, et, n'aurait pas probablement amen le mme
;
L'i
[li],
seconde radicale,
est
prouv par
l'identit
d'orthographe de
X
dieu
fort, dont la prononciation ousmi, ouosiri. est prouve par des jeux de mots perptuels avec le
nom du
J^-0..?t..
87
l)ortance dcisive
la
pour
l'histoire
le
son a
l'a
emport,
le
premire
s'est ataibli
:
et le
mot
est
la
seconde syllabe
ft
^|
haoutourou,
vfl haoutourou,
voit,
comme on
je
don-
me
:
conduit
les
variantes coptes
J^
[
devenir
KTHp;
cnip
jnujip
]5^0
5^
Ka-azirou\kazirou,ketir,keter,
SaPIROU, SAPIR, SEPIR ^
M'^,
r.
o o o
IZ30
Z]
^
r-
X
\
J\
DOKHIROU, DOKHIR,
KhaOUKIROU, KHOKIR,
Sazourou, sazour, sezour,
>^
0*=^=^
HOUQAOUROU
HOQAR, HOQER,
HOQOUR, HEQOR,
c^Hp
ia^p, m^ep;
UjS'o-irp, (S'ujovp;
^copig et TOSI
Tco^e, TU)^
sStoKC,
^cok
igTo;
^OKcp;
g^KO
loni,
;
wne
[*.n*.-,
ene-].
Je laisse au lecteur
soin de continuer ce
dnombrement. Je veux
faire
remarquer
seulement que l'on peut, en s'inspirant des exemples donns ci-dessus, rtablir presque
coup sr
la vocalisation
AA/VNAA
A Q, passer au
III
les
l'analogie
de noKep'
B>
munir,
aoupirou, pir,
A^ S
e nov^, dieu; de
tone
de OKPI
(Nxwxpt;),
1.
. chtr.
KTHp
Le
est
m,
bos, de
^^l ^
de
le
ka-rouqi, taureau
2.
comme
j'aurai occasion
montrer par
la suite
de
que
les
variantes de l'criture
comme
moi,
la
patience
les recueillir, se
trouvera possder du
mme
moins pour
poques moyennes de
la
langue.
la
vocalisation
du mot nu sans
suffixe
comme
noqpe,
ci.55pi,
n.pi,
Je
me
bornerai
et
pour
le
moment
du genre
M.
INl.
T<=>
[1
(1
n.pi;
et
dans
les
^ > n
,
[1
1
o
o o
'^
o
w^
PAKHRi'T, PAKHR'T,
ce.*pi, n.^pe
(deveuu masculin).
autoriss transcrire
i^
p..
(]
haoutIri;
iP
jl
KHAOUPRiT, KFiOPRT,
DOSHRT,
<c=>^
ousHRT, ouosHRiT,
^ KHOPlROU,
OO /'^'^^ DOSHlROU,
v\
"l}^
DOSHiRi;
oushIrou^ oijshIri
AOUPIROU, -AOUPlRI,
dans
les substantifs
BANRT, BENRT.
Pour
il
le pluriel, la
j'ai
publie
y a
pithte
d'Amon-R\
Il
mot dieu
faisait
la
au singulier
nout'[ri], NOUTifR],
avec un
[],
etauplurielNOUTiR[ou],avec unf[], et
r[l]
tomba au
:
singulier,
mme
l'on eut
Le mme
passe pour
l.
Rponse
la lettre
de M.
Edouard
89
e^o. OTO.
(|iii
^Tiop, le
r perdn an
sin<4nliei". Ai)|)n\
('
sur ces
piccclenis, je jjrononcerai
AQiKOU,
I I
SZI
/V^
I I
UOSUiROU. DOSHR,
1P
l)our le
OUOSlROU, OUOSlR,
I
l'minin
:
masculin
'=^
])luriel. et
pour
le
NAl'RiTOU;
<r=> NOFRiTou
I
'='
0-=>
PAKMRlTOU.
lu
Je suppose que
Vi
qu'elle joint la
marque ordinaire du
bons;
(2
tant
un
bref.
On
avait donc
T
i\
0\\ /www
[
<=> (p
mmi
\\
\i>i\Roi]\, les
deu.r pie/-res.
Cette manire de
voii' est
confirme par
le
copte,
si,
comme
C|ui
langues o
tonique de
les
l'accent
I
ne, ciel,
g^pe,
nourriture.
s'allonge
-tic,
/
la A'oyelle
nHi*-e,
Pour
le
haut
et
du fminin
noms
d'agents
suffit
:
le
nous montrer
offrir
on
prononcera probablement
NOFRiTi, comme on prononce mirIti, meriTI. [1(1 < 3> \\ Runissant tous ces lments en un seul tableau, nous aurons pour la vocalisation des
,
<=> Ci W
la srie
suivante
Fminin
^ <=> NOUFrIt, NOFRiT, NOFRi
Singulier
)
[
0<=>
^
Pluriel
T^\
NOUFlROU, NOUFlR, NOFlR
'^
Duel
0<=>\\
NOUFRTI, NOFRTI
Les
comme
parl de l'article de
RECUEIL, XVI.
90
parce que
je n'ai
ici
mcanisme de
la
chute de <=>.
Fr.-V. Scheil, O. p.
V.
Deux
briques de Sippara.
les
L'inscription
de Nabonide
(WAI,
I,
69^ col.
II,
32, etc.)
mentionne
dubav d'Agan;
voici le
Il
suit,
se
lit
fouilles
le
Gouvernement ottoman,
comme
il
en assyrien cursif
^y
^y
^:5
tE3S
tyyj
^yyy^
<m
-II
<iiy
-TTA
^Tv
tt
<iEy
'
^^y
10
-m
s.yyyt<.
yi
Afl
-^y
^yy<y
it
^yj
t^-y
^y
^
-y
tyyy^
-^y
">
^m
ET
ti
91
A4f
<IU
i:^
lil
-^
-^T
-ITA
Sumer
et
amas,
roi
de Sippara, son
roi,
d'Accad, roi des quatre rgions, noble prince, rconome des dieux,
et
favori de
Samas
(?),
ayant
le
vieilli.
il
lui
re-
remit en place.
telle ville,
Notes.
Ligne
2.
Le
titre
de roi de
attribu un dieu,
me
parat
sacerdoce Sippara.
Ligne
singulires.
8.
La
place du dterminatif
AN
au milieu du mot
UB-DA
On comprend
une case,
comme
Sir-la-bour et Sir-
Samas-soum-oukin nous a
le
laiss
au
mme
mme jour.
<tE
^i
ji tiss
-y
-yy^i.
-^i
<iu
tE5s
-y<y^
<m
^v^ <m
s?:
^y<
-Ey
^ey
y?
1
?!!
-T<
"-y
tE:5
t^
A
:e]
^
mj
t^
'
s^y
tyyy
-^
92
p-w^
^l
:e!
ti
Samas,
et
roi
de Sippara, son
roi,
Samas-soum-oukn,
la vie
vice-roi
de Sou-nnna,
roi
de Sumer
En
de
Cv?
a))rgeant involontairement
la
le texte,
le
sens
document dans
Zeitschriftfur Asst/riologie,
p. 415-417.
RECHERCHES
SUR
Suite
'
PAR
Victor Loret
XIII.
et
L'ANIS
de
la
n"'
XLIII
XLIV
:
AiKH
/
,'
.nH-acon
^'Vl -^
-
(iMsc.
XLIII,
fol.
57
UC/-SO).
^CAIKH
4
]
(Msc.
XLIV,
fol.
82 recto).
On peut remarquer
deux mots grecs
Thophraste'
voisins,
et iv.Tov, confusion
et
;.
Mais ce qui
est
pour nous
le
mention d'un
pharaonicjue.
nom
1.
Pour
les
t.
VU,
p. 101-114,
t.
XV,
p.
105-130, et
t.
XVI,
p.
1-14.
2.
Thophraste
nomme
1866, p. 532--):).
RECHERCHKS
SUIi IMX'SIKURS
PLAN IKS
93
i);i.s
On
ne
rencontre
l'tat
spontan,
que dans
les les
En Egypte,
parmi
*.
est
seulement cultiv.
Ni Prospcr Al])in
Delile ne
l'a
Forskal ne mentionnent
les
j)lantcs gyptiennes.
herboristeries
11
est vrai
la
rpandue dans
la
Haute-Egypte
et
A. Figari dsigne,
comme
principaux centres de
le
Fayoum \ On
trouve,
chez les auteurs classiques, des traces plus anciennes de l'existence de l'Anis en Egypte.
Dioscoride et Pline, se servant peu prs des
mmes
immdiatement ensuite
tombes gyp-
l'Anis d'Egypte \ J'ajouterai qu'on n'a pas encore dcouvert, dans les
tiennes, des restes antiques de cotte plante.
Le nom copte de
la philologie. J'ai
s'il
:
dans
ma
collection
en
tait
ai
trouv deux
v\
^:z:^
mki,
et y
mqa.
quelle impression, sans doute uu peu subtile, m'a fait supposer a priori
le
caikh. Il
pour rpondre au
que
le
pour rpondre au
Au
contraire, le
et la
lettres e et h.
textes, d'ailleurs,
nom
de matire
graine ou gomme-rsine,
et
pour
le
Mqal, dont on
est vident
que deux
fois
au Papyrus Ebers,
et
Mqa une
^.
le
mot Maki
est
employ dans
fois
expression
^==^
nomme deux
comme
une architrave, une poutre de plafond, un linteau de porte. Puis, le sens prenant de dsigne un plafond, et enfin, d'une manire gnrale, un endroit l'extension, le terme
couvert.
Ce mot
est
'wwva
(]
1. 2.
3.
4.
t. II,
p. SfiG.
illustr.. n"
Mb.
t.
5.
Illustr. de la Flore d'Egypte, p. 80. A. Fi(iARi-BEY, Studii scienti./lci sull'Erjitto e sue adiacenze, Luca, 1864-1865, Diosc, De mat. medic., III, 58; Pline, Hist. nat., XX, 73.
AscHERsoN
et G.
Schweinfurth,
II, p. 97.
94
ro qui ne peut signifier que poussire, salet de poutre ou de plafond , OUI ^^ ^ tnou devant tre rapproch de S:^:^ aaaaaa et de eiTcn, xoiroa, stercus, '^ fmus. L'expression ^^
I ,
I
Qo
_
iiira
1
^C\
'^cz^
\\
_CH^
A^^A^^
Mki
le
prototype de MKoem,
x-po<;,
stercus, Jimus.
Dans
les
deux
s'agirait d'un
le J^jtl
des mde-
cins arabes', ou
fiente
l'on retrouve
galement dans
la
nom
de
o)c:ip*.a*.,
i^l^ljl!
^^^yj
Jjj^,
Schizraq,
c'est-
)).
visit
Thbes
le
rebord de
la
haute colonnade
de Louqsor, se
ou
est,
au dire d'Ibn-Baithar,
gure employ qu'
n'est
mme
mme
y^ \I/ chose. C'est, en tout cas, l'avis de L. Stern qui, dans le Glossaire
Le Mki
n'est prconis
que contre
les
^^
Peut-tre est-ce la
du Papyrus
Ebers, a traduit
Si,
u/
"^Sk
P^*^ "
.
,
au
lieu
mot
^^^^^=^3:^
on prfrait en
on arriverait sensiblement au
.
Il
mme
rsultat.
Le
radi-
-n signifie
couvrir, recouvrir
V" 8
II
exem ple,
>
r >^
-^
^n bois d'acacia ml
Le
Mla de plafond
si
elles
ou simplement de suie ou de
sont enregistres dans
qu'il
la
toiles d'araignes.
effet,
859
et 1592).
Quoi
en
soit,
que
le
terme
Il
y U
comme
la
l'unique exemple
connu du mot peut confirmer cette hypothse. LeQ^^n ^ ^ll'tr^ "^r^ (Pap. "6^9, XL,
llll
C30 O
,
II
L=/]
broy
et tritur
est
^^
'
{Ib.,
.^
4-5),
1 L==fl
le
"^^
or,
v^
une
du Mqa;
encore
la principale proprit
L'Anis
En
Baithar, on verra que ces crivains servent, en quelque sorte, de traits d'union entre
les
mdecins pharaoniques
1.
et les thrapeutistes
modernes
PL L
11-
7-8, d'aprs L.
Papyrus Ebers,
p. 13.
2. L.
3.
4.
par Ibn
188.
t.
l,
p. 10.
95
{III,
Aoijiei o
"p; -
-zx
loS jXu
twv
^ioiov y.a".
-p
iji7T>'j[jLa-:')J'.;.
mcdetur.
les
Foliis
Ikn-Baithar
(n" 159)
Il
combat
foie et
gargouillements et rintumescence.
causes par les humeurs.
Il
est
du
de
la rate
Sa dcocet dsigne
tion avec
du bois de rglisse
^^^it
la
Anisum
XVIII" dynastie.
XIV.
fait
On ne
la
si
l'on
songe
la
prodigieuse richesse de
les
langue arabe en
de termes
relatifs
la
au dattier,
fronde et
ils
ce que
la feuille
anciens gyptiens
noms spciaux
auquel
devaient attacher
plus d'importance
d'ailleurs,
parmi
les
J'ai
pu
'^ieni
3^^'
Le
Dattier.
nicomi^
iie^eA^couj
ccDinid.
Ol^Vl
^p-.)
Ji^l
Jb
Zj^
Pte de dattes.
L'inflorescence
niTte
.lla!l
du Dattier avant
la
formation du
fruit.
nA.T
nig^ii.-y
i>>-l_^]l
fleurs)
du Dattier.
rcijlc^l
dl*
tikAcooT'i
Mme sens.
Les spathes (enveloppes des spadices).
ni.cn&-i
niK&c&.-si
nii.i
ls)\
!l
^jjSCTI
-^
j^'
4ll
^^ nervure mdiane de
la
fronde.
ni*.pi(oT
Mme
se?is.
ni-x&m-^i
,_.l!l
Les filaments de
la
niHT
ht^Kon
^Jl
La fronde,
la
palme.
js^
Feuille de la
palme \
Scala magna dite par Kircber.
1.
B.i(x>n se rencontre
XLIV,
fol.
66 recto.
m
Parmi
pour
0.1, fiHT
nous occupei'ont
Le sens des quivalents arabes ([ui servent rendre ces mots est gnralement bien dfini. Tous ceux qui ont tant soit peu parl l'arabe en Egypte savent que le
l'instant.
mot
des
j^j>-
y dsigne
la
nervure mdiane de
la
la
fronde dpouille
de ses
feuilles.
lits.
Pourtant,
mot
de ses
feuilles.
Le mot
",
de l'arbre;
d'aprs R. Delile
il
dsigne
les
deux
sens. Enfin,
js^
s'applique, do l'avis
unanime
de palmier.
le
En
lisant
soigneusement
documents coptes,
j'ai
relev
il
est (jucstion
du
i.i
et
du
Aht.
On y
(ujfewT
Aifi*.i,
fi*.i
p. 3, 43, 229),
(p. 165),
peut avoir
le
y-
fronde dpouille
est question
lui
en agitant des
feuilles.
(p.
232. 258);
il
est
On
sait
que
les
209,
moyen de
la
feuilles
ou changer Tranh.
ils
la ville
nilotique
fabriquent avec
la
mme
221)
ou des cordes
(cxo'A^>.KI, p. 2S1),
Les dtails de
la
minu(p. 97,
tieusement dcrits. Les moines prennent une faucille et s'en vont, par
dattiers de la
bosquets de
maigre
oasis,
ils
reviennent
le
dos charg
isoles,
mais
palmes garnies
la
d(^
leurs feuilles,
fois,
utiliser
le
galement
nervure.
Une
du
reste, l'objet
avec
le
Dans ce
palme.
est dit
mme, en deux
il
km
pendant quelque
fois,
temps dans
pourtant,
immdiatement avant de
sont faites en
iie>i
les
que
les corbeilles
(p.
209);
est certain
que
l'cri-
ici le
(la feuille).
On
voit,
en somme, que
et Aht sont
deux termes
diffrents,
mais dont
les sens
L
2. 3.
pars sccunda, p. 17 (Lugduni Batav., Dans la Description d'cjypte (2' dit.), t. XIX, p. IIU. Annales du Muse Guimet, t. XXV, 1894.
1735).
97
ti^c
iht est la
du
feuillaue. Aussi
feevi
])eul-il
no dsigner
(pie la n(>rvure
i*.i
comme
.ht
peut
la hniille.
En
tradiiisanl
])ar Jj
>
et fiHT ])ar
^^,
l'auteur de la
deux mots.
On
i.i
et im-r,
dans
les
livres bibliques
les sens
fie.
les variantes
(Z., 317)
pour
1*^1,
pour Aht.
Quant au mot
ie.uoit,
i*.i
A*.i,
nous
le
et
ils
se renconA0.1
les
mots
et kn-v
prsentent les sens 'bien distincts de nervure et de feuille et que, par consquent, ce
n'est
que par extension ou contagion que -les deux mots coptes ont pu confondre plus
Dans
la
dime sur
de
la
expdier aux greniers royaux, on voit figurer, entre autres fonctionnaires de bas
1^
tage,
III
|VQii<r=>j
1^1
U.-Z_i]i NUI
J 03
(Anast., V, 16/5-6),
^
,
.
((
les
les
Nous voyons
mme
rapprochement que
et
:
A..
De mme dans
le texte
suivant
\ ^
<=> K
\>
,
,^_
^\
Q
_^,
l,
'^
'^^^z^
Ik
B^^
\]'\y^-7k
.
^"=^
(1(1^
n n
I^^J
lo|l
^X
11
:.
(G.
Masp., ^^.
dans
(7?//)^.,
234-235),
dans
la terre
la terre
Comme
on
le
les
deux
cas,
mises en
Un
une
spcialit thiopienne
.
J |0 ziT
1
Ms
J^
^^ Y'
"
prsents adresss
Amon
Le mot
me
dispenserai de traduire
^^ ^
'
-im(lll
et 74/9),
Vs
<=> J -n^
\\
il
est fait
13
98
mention de
| '^^
, le
<<
cannes de palmier
ct de
aaa^^
ul
jj
^'
*'
^^^'^~
ments de dattier
^1
des Arabes, le
-xe^ni-xi
Voici, rmiis l'un la suite de l'autre, les (iuivalents liiroglvpliiques des mots
copte...
OT-:^.
...:_j^ioi-Ay:'jz:^i^'A^^i:j^^z^^ Le sens de ou nervure (de palme), canne (de palmier), que attribu ces III ... de toute critique mots me semble
et
jj
>-
j'ai
l'abri
me
',
mot
-^^"^
l\N\N\l\
ici
OOO la dmonstration.
qu'au
Un mot
gyptien Oatou ou
a fort bien
Out, vocalis en
et
prononc Witou, ou
pu
runis du
mot
[^"^
prouveront, au sur-
que
le
sens
le
feuille
de palmier
On
trouve
mot mentionn
le
sur un ostracon du
Muse de Turin
'
qui contient, en
La matire de
v^
et des
des nattes,
et surtout ces
filets
dos de chameau \
Dans un papyrus du
inm( Muse',
le
il
de nouveau
|
fait
tout on
1.
est liourtuLii
une
friti(iue
que
d'avance
l'e-veniple
du
l'a/).
Uarris a t
transcrit
il
par
(1
'^
et celui d'/V/ia.?;:.,
V, par
;
(j
Uans
de
(J
un aa/ww qu'un ^
trs
=1
j
mais
la \ariante
1.
donne un
a1j>oluniciit iiidiscuiable, et le
il
nettement l'orthographe
dans
le
second
la partie
trs prononce droite. Mais peut tre un /ww\a, avec gauche du signe va s'emptanl, et il sutlirait d'un point, qui a pu disparatre avec un grain du et les /wwv\ se confondent souvent dans papyrus, pour faire un suffisamment clair. D'ailleurs, les ics papyrus, aussi souvent peut-tre que les <rr> et les o, et si nous ne nous en apercevons pas toujours, d'habitude, nous devinons les mots plutt que nous ne les lisons. Nous transcririons bien cerlainec'est tiue, '
NUI
fl
mJ ^
...
^
LJ
le
<^
::>
AAAAA^
ment,
{Sali.,
/c-.^iinile,
J)
{Anast., 1,6/6,7/2),
/^^w^aa
y
nous ne
IV, 2/S),
f
i
{(b.,
G/7),
i (2
(ib.,
y\
11,6),
I
^\
{ib.,
'9).
F=^
,
I
A^AAA^
[ib.,
7/5),
si
reconnaissions
et
2.
3.
QQQ
Recueil,
PI.
et si nous /VWVAA
ne dchiffrions machinalement
les
mots
J|
AAAAAA
i
AA/V^AA
^
L
J^
Y^ ( O
4
'
/WVNAA A/^W^A
t.
XV.
p. 106.
CL.
le
seul qui
que
le
^
I
'^
Un
lit,
en
4.
que 3660 coudes de corde galent 36 lycnitog^ 1/2, plus 30 coudes. R. Dp;lile, in Descr. d'Egypte (2' dil.), t. XIX, p. 445.
Pi. CL!.
5.
PLANTES
-<2>-
0!)
in(>sur(M>s
on coudes
(1.
9)
^ v\
yjj
^AAAA^ ^^
<
-fV
ta <=>=>\ (p (J
\>
1
C^m
.
rt
J ^^
i.
tViiiUcs
do
dattior
.'}()()
qad d'argent
Mmes
indications aux
s'agit ensuite
Il
feuilles de dattier: grands cordages deux fois bons pour les bateaux ^^^ r^ royaux . Mme texte aux lignes 5 et (>. Enfin, il est fait une seule fois mention (1. S)
'
**
emplir
est
/)rdi-i .
Ce dernier mot,
(jui
fee^ipi,
les corbeilles
que
fabriquaient
moines de l'Ouadi-natroun.
Des cordages de
Harris.
9 On ht. en etiot IG h A) T a^AAAA^j -^"^^ X (3(nnii ^ ^oxTTaaaa^ enfin Mais ce (71 6/14).
^
excannnn
i
au dernier
lieu,
;
'^
puis
'
i^sio
mme document
eXnniii
^
Oyc/2), et
nous
fait
connatre
:
en outre
ti-ois
i^
7)0
lls^'nnni^l
^
:
)).
Ce dernier
l'aide
mot
les textes
les
hiroglyphiques,
le
cordeau
duquel
Safelcli,
une corde de
la liste
des libralits de
Ramss
,
III.
Le mot
"k
^Jm^^'
^1^^^
signifiant
porter, transporter
moyen
duquel on opre
les
)l(l
vraisemblablement
feuilles
le filet
de dattier.
Quant
l=:z>-=*^
^,
ce
mot
pos y voir
le
<Ttp,
sira, qui,
des mots d'origine gyptienne et dsignent des choses tresses en feuilles de dattier'.
Le mot arabe
sir ha
lj\,as>-,
qui est
le
ou sirah.
^"^^
et Aht
me
un sens
terme Outou ne semble pas pouvoir dsigner autre chose qu'une guirlande de
o oY
<^7-f
R^
[Miss,
du
Caire,
I,
26),
dans lemphis
De mme dans
ce passage
-^^
'J
/v^^AA ^^A^AA
Ci
T ^,
lapis-lazuli,
le
do fleurs au cou
mot
fleurs est
exprim, nous
fleurs,
prouve du moins
cjue
ncessairement compos de
M. H. Brugsch, qui
traduit
1.
Cf.
p. 56.
s.
v. fiip.
100
outou par
fleurs ,
(p.
295)
les
deux
sa
exemples suivants
gorge,);
Y "v\
^xY^'v^^^ (Stle 55 de
Vienne),
un outou
est
au S.-O. de Deir-el.
mdineh),
la
Le mot outou
de palmier
et,
d'autre part,
guirlande
relle.
.
Il
Au
fond, la diffrence entre ces deux sens est beaucoup plus apparente
suffira,
que
nous
les
momies,
les
entre autres,
celles
de D;nr-el-l)aliari,
la poitrine.
avec
Or,
M.
W.
l'a trs
y a jointes.
tire
On
prenait d'a])ord,
enfilait, les
sur elles-mmes et on y appliquait, soit de petites fleurs entires, soit des ptales de
tir
fil,
employ comme
ou
feuilles plies et
les fleurs
imbriques
contre
les
autres
et,
les ptales.
Une
[^^"^
h-m, feuille de
|^^ servait
tlite,
Le [^\
proprement
en taient
la
les
ornements
pourquoi l'auteur
^"^ du
pharaon
tait
orn
Que
le
mot, ensuite,
ait pris
ait lini.
l
la
mme,
il
n'y a rien
les
que de
langues et toutes
poques.
T
Ce second sens de
^"^.
loin
de dtruire
le
le
rapprochement que
effet,
je
propose entre
conlirmer. Si, en
faites
en feuilles de palmier, du
moins toutes
que
les
guirlandes dcouvertes
mon
Malheureusement,
qui
reste d'autres
[^"^
j'ai
et ils
semblent anantir ce
les recettes,
me
parat
si
bien tabli. Le
Or, un ingrdient ^l^.i;;;,^, m;,, Wl'^^^l, |||. Matires mdicales coptes, grecques, latines ou arabes que
pu
trouver, jamais je
1.
Leyde, 1884
(extr.
p. 4, 17-18, et pi.
XXIV-XXV.
101
on i)ourrait se
attril)u6
la
dii'c
que ce
Icniiiles
n'est pas
l uni;
aux
Mais
est
le
mot
|^
et
au Papyrus Ehcrs,
et
il
recommand pour
avons reconnu,
Ce
n'est pas l
supposer
ou bien que
le
mot
j^'^,
avait un sens tout autre et servait dsigner queUpic plante spciale; ou bien, plutt,
qu'il
y a eu confusion, chez
le scribe
qui a recopi
sert
le
papyrus, entre
les sign(^s
T
et Y, et
(jue le
mot
j
du Papyrus Ebei's
dnommer
:
l'Oignon,
v\
Bien des
L'Oignon, sous
Il
le
nom
papyrus.
serait
absolument trange
si
abondant en Egypte
et auquel les
mdecins grecs
la
employ dans
2"
.
mdecine gyptienne.
le pluriel
En
hiroglyphes,
du mot
v '^
temps, crit
.
YYY
Pt
j ]
Or, c'est
le pluriel,
le
reprsente
, et
J
/c^
"^ (](1
galfe
remonter un courant
),
un nom de plante
et
prendre
le
pluriel YYY,
tandis que
3
lnitif,
ne
le
peut pas.
Le
du Papyrus Ebers
il
est
il
mollient;
excite l'apptit;
est
recommande pour
les
et
emmnagogue;
il
est
calmant;
il
excite l'apptit;
les
En somme,
pro-
du
j
sont identiques.
il
On
sait que,
dans
mention de
le
ttes
VfN^fois, ce
I^^ux
fois, le
mot
A^\
propos
du
v>
Une
dans
,
v\
rC^
une tte
utiliser
j
la confection
fois, c'est
^
|
sortir.
Les signes Y
et
pourrais donner plusieurs exemples. Je prfre n'en citer qu'un seul, qui se rattache
directement
la
dit,
^n
\ /www J\ (J. DiJM., Kalend. Inschr., 36/42-43), il est bien vident qu'il s'agit de -U 21 oo o p=&=ct tresser pour Osiris des guirlandes et non des oignons. D'autant plus que le mot**,
de prfrence tout
.
une couronne)
102
Dans
les trs
intressants
Erman
la
a dresss propos
du Papyrus Westcar',
la
X^'II^' dynastie,
Papyrus
Ebers,
le
et Y,
, est crit
^^
|
De tout cet ensemble de faits, il rsulte bien nettement que le nom de Papyrus Ebers n'a rien voir avec le mot qui fait l'objet de cette tude.
([ui
fiHT,
plante du
L'obstacle
|
^^
et
cordages, des nattas et des corbeilles); 2" bande troite, lanire de feuille de palmier
(servant de monture aux guirlandes);
feuille
3*^
de palmier).
mot copte
te^iwit,
C'est l
lia',
en
etet, et
son diminutif
paiov
ont t,
comme
Hsychius explique
oov'.xo.
y.oTTj
mot
pa'.;
par
poo; oo'v./.o;;
7),
xXiSo;
;
Cha}remon (Porfhyr.,
ex
De
Abstin., IV,
,
o' ay-ioT
twv
(Titao'jciov
to
(sovtxos;
; xaXo-ja'. ^y-U
--;t/.to.
Ce SOUS
est
exactement
(I,
celui
que
les
mot
(jO
3-4),
13;
Marc,
Macch.,
palme
&.i.
est
rcmaniucr
(jue
fi*.iion
est rentr
[1^, dont
les
Je signalerai, l'occasion,
tirs
de l'gyptien,
les
mots correspon-
1.
II,
Schrifltafel
W, M
73-74.
103
SUR
U.N
FKAGMKNT UE
PAl^VllLS
GKCO-COPTE
PAlt
Victor Loret
j\I.
(0'"
IG de
lieu
haut sur
il
co[)ie.
Le
mais
le [)apy
rus
serait tent
de croire, cause des premiers mots des lignes 2-4. qui commencent exactement l'un
sous l'autre, que nous avons
l.
le
qu'il
semble exister un
blanc devant
les s
des lignes 2-3. Mais la partie copte du texte montre qu'il man(|ue
la lin
manuscrit de
l'an
Flavius Hraclius
le
Jeune,
surnomm Constantin;
la partie
prtendait ainsi
pu
lire
sur ce manuscrit,
:
# ^/
OU
^/
/^^
#
2 3 4
5 6
7
^^
W' W/
W^/
^//
'
"V
[o"noTOi>
xa^]
^W
.v.
.lvhlV.%.
.^
TCO
a.66(x
cpota{jt.Gv.t
tou opo[u]
. .
^
.
^B["^o]h-0'^
Eizi
coavvou
auci tou
irpwTOxwiJ.^
^H2_oo'y
Gtc
9
10
11
...
^Bop
Tpoc
nujHpe ilKTpiivROc
*.Trai
Te
cjs.iHe
nie'\d.|)(^ic[TOc
[npecTTjTepoc
...
nnpoecTOic XnTonoc
<^\
eToir^dife
12
[Xic g_]epA*[o]iT
14
^ii^m^mmmmmmmm
'k':s.\\i,
C'tait
et
du Louvre que
M. Rvillout
Lyon,
7
mars
1894.
104
Georges Bndite
Au nombre
le
Magharah et. qui ont pris place dans monuments gyptiens de la. Pninsule Sinatique,
le
p^
nom
d'pervier
du
^^b
=]
le style
Gcnayh entre
la
quatrime et
la
cinquime mine.
Comment
ce petit texte
a-t-il
et Lottin
de
Laval, c'est ce qu'on comprendra sans peine en apprenant qu'il se trouve engag
au milieu d'un groupe de dessins d'un style galement des plus archaques et de
graffiti
aux
du
jour.
La ComMais
la
planche
III,
la suite de
the Siirveij,
montre que
Cju'a la
le
groupe ne
lui
ne s'tre attache
selon
mon
la
habitude,
tout
estamp
premire
fois les
si
et
sr dans
me
suis
rendu
la lecture in-
auH
et
:
la
dgradation de
il
la
roche en ce point
le grs.
en tombant, a
contresens
dtermin un creux,
comme
ne
fait
arrive
frquemment sur
difficult,
La gravure
du
mme
signe
=-<
ds que
l'il
prvenu en retrouve
Ce nom
l'oyal
sur lequel
la stle
du fondateur de
la
ma
du Louvre.
L.
MARCEAU.
TARIETTE-PACHA. Monuments
de 108
fr.
divers lecucillis en
Kiiyptc et en
Nul)ie.
LAS
liv.
in-i".
Au
1
lieu
fr.
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1
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le
manuscrit de
par
>5 fr.
Les Mastabas de l'ancien empire. F'rairments de son dernier ouvrage, publis d'aprs par G. Maspero. 9 Livr. Au lieu de 9tj fr.
le
manuscrit 47 fr. 50
JPERO
(G.). In-4".
et la
Hymne
Une
au Nil, publi
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le
Papyrus Abbott.
-^
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Au
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Au
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Italie.
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et de six planches.
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les fascicules,
c
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et
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du tome
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les
la
grammaire assyrienne.
2" d. In-8.
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(P.).
PIERRET
tudes gyptologiques comprenant le texte et la traduction d'une stle thiopienne et de divers manuscrits religieux, avec un glossaire gyptien-grec du dcret de 10 fr. Canope. In-4. Au lieu de 20 fr.
indite
Recueil d'inscriptions indites du muse gyptien du Louvre traduites et commentes. Premire et 30 fr. deuxime parties avec table et glossaire. 2 vol. in-4. Au lieu de 50 fr.
Vocabulaire hiroglyphique comprenant les mots de la langue, les noms gographiques, divins, royaux et historiques classs alphabtiquement accompagn d'un vocabulaire franais30 fr. hiroglyphique. Gr. in-8. Au lieu de 60 fr.
;
7 2
fr. fr.
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incantation contre
les
coptes. Actes et contrats des (E.). 1" fasc. Textes et fac-simils. In-4. lieu de 20
Papyrus
et
du Louvre.
10
10
Au
In-4''.
Au
lieu de 25 fr.
vol. in-4".
Au
40
RITUEL
funraire des anciens gyptiens. Texte complet en criture hiratique, publi d'aprs le Papyrus du muse du Louvre, et prcd d'une introduction l'tude du Rituel, par le 12 fr. vicomte E. de Roug. Liv. 1 5. Gr. in-f; la livr. au lieu de 25 fr.
(F.).
ROBIOU
Mmoire sur l'conomie politique, l'administration et la lgislation de l'Egypte au temps 6 fr. des Lagides. Gr. in-8% orn d'une carte.
le
Recherches sur
9
fr.
fr.
La Question
50
ROUG
(E. de). Chrestomathie gyptienne ou choix de textes gyptiens, transcrits, traduits et accom100 fr. pagns d'un commentaire et d'un abrg grammatical. 4 vol. gr. in-8.
Recherches sur les monuments qu'on peut attribuer aux six premires dynasties de Manthon, prcdes d'un rapport adress M. le Ministre de l'instruction publique sur les rsultats 20 fr. gnraux de sa mission en Egypte. Gr. in-4, accompagn de 8 pi. dont 5 doubles.
Inscriptions hiroglyphiques copies en Egypte pendant sa mission. Publi par le vicomte
J.
de
fr. fr.
Roug. 4 vol.
in-4.
Au
lieu de 120
fr.
1
60
vol. in-8.
SAULCY
..
du Ministre de l'instruction publique par les professeurs et les lves de l'cole. Pour le dtail du contenu des 50 premiers fascicules, consulter la notice spciale qui envoye sur demande.
Les principaux monuments du Muse gyptien de Florence, par W. Berend. Premire partie Stl Bas-reliefs et Fresques. Pet. in-fol. br., avec 10 pi. photograves. 50| 52. Les lapidaires franais du moyen ge des xii', xiii" et xiv sicles, par L. Pannier. Avec une ne ' prliminaire de G. Paris. 10] 53 et 54. La religion vdique d'aprs les hymnes du i?ig-Vda, par A. Bergaigne. Tomes 11 et III. 271 15' 55. Les tablissements de Rouen, par A. Giry. Tome I". 56. La mtrique naturelle du langage, par P. Pierson. 10 57. Vocabulaire vieux-breton avec commentaire contenant toutes les gloses en vieux-breton, gallois, corniqt 10 armoricain comuies, par J. Loth. 58. Hincmari de ordine palalii epistola. Texte latin, traduit et annot par M. Prou. 4 59. Les tablissements de Rouen, par A. Giry. Tome 11. 10; 5 60. Essai sur les formes et les effets de l'affranchissement dans le droit Gallo-Franc, par M. Fournier. 61 et 62. Li romans de Caril et Miserere du Rendus de Moiliehs, publ. par A.-G. van Hamel. 2 vol. 20 ti. 63. tudes critiques sur les sources de l'hisioiro mrovingienne, deuxime partie. Compilation dite de Frdi51.
:
i
64.
65. 66.
67.
68.
69.
70.
71.
gairo , pai' G. Monod et ])ar les meml)r('s do la confrence d'histoire. 6 fi tudes sur le rgne de Robert le Pieux (9%1031), par C. Pfister. 15 tr. Nonius Marcellus. Collation de plusieurs maimscrits de Paris, de Genve et de Berne, par H. Meylan. Suivi d'une notice sur les principaux manuscrits de Nonius pour les livres I, II et III, par L. Havet. 5 li Le livre des parterres fleuris. Grammaire hbraque on arabe d'Abou '1-Walid Mersvan Ibn Djanah Cordoue, publie par J. Dorenbonrg. 25 n Du parfait en grec et eu latin, par E. Ernault. 6 l] 1" f r Stles de la xii" dynastie au Muse gyptien du Louvre, publies par E. Gayet. Gujasiak Abalish. Relation d'une confrence Ihologique prside par le Calife Mmoun. Texte pehh pul)li pour la premire fois avec traduction, commentaire et lexique, par A. Barthlmy. 3 fr. jD tudes sur le Papvrus Prisse. Le livre de Kaqimna et les leons do Ptali-Hotep, par Philippe Virex
il
i
8
72.
l!
73.
74.
75.
76. 77.
78.
79.
80.
81.
82.
83.
84.
85.
86. 87.
88. 89.
91.
Les inscriptions bahyloniemies du Wadi Brissa, par H. Pognon. Ouvrage accompagn de 14 pi. 10 Ir Jobannis de Cajnia Diroctorium vitic humana. Alias paral)ola antiquorum sapientium. Version latine du Livie de Kalilh et Dimnh, publie et annote par J. Derenbourg. 2 fascicules. 16 li Mlaufics Renier. Recueil de travaux pul)lis par l'cole prati(iue des Hautes tudes (Section des Scienc historiciues et philologiques) en mmoire de son Prsident Lon Rnier. Avec portrait. 15 li La Bibliothque de Fulvio Orsini. Contributions l'histoire des Collections d'Italie et l'tude de la Renaissance, par P. de Nolhac. 15 fi Histoire de la ville de Noyon et de ses institutions jusqu' la fin du xni* sicle, par A. Lefranc. 6 li lude sur les relations politiques du pape Urbain V avec les rois de France, Jean II et Charles V, d'apn les registres de la Cliancollerie d'Urbain V conservs aux Archives du Vatican, par M. Prou. 6 ii Lettres de Servat Loup, abb de Ferrires. Texte, notes et introduction, par G. Desdevises du Dzert. 5 ii Simon Porlius, Grammatica lincuae graccae vulgaris. Reproduction de l'dition de 1638, suivie d'un commentaire grannuatical etliistonque, par \V. Meyer, avec une introduction par J. Psichari. 12 fr. .")0 7 fr. ."iH La lgende syriaque de saint Alexis, l'homme de Dieu, par A. Amiaud. Inscriptions antiques de la Cte d'Or, par P. Lejay. 9 ti Le livie des parterres fleuris d'Abou '1-Walid Merwan Ibn Djanah, traduit en franais sur les manusci'ii> 15 fr. arabes, par M. Metzger. Le roman en prose de Tristan, le roman de Palamde et la composition de Rusticien de Pisc, analyse cri18 fr. tique d'aprs les manuscrits de Paris, par E. Lseth. 18 fr Le thtre indien, par Sylvain Lvi. 6 fi Documents des archives de la Chambre des comptes de Navarre, publis par J.-A. Brutails. Commentaire sur le Sfer Yesira ou livre de la cration par le Gaon Saadya de Fayyoum, publi et traduit 10 fi par Maycr Lambert. 7 fr. ,')0 lude sur Geoffroi de Vendme, par L. Compain. 13 U Les derniers Carolingiens. Lothaire, Louis V, Charles de Lorraine (954-991), par F. Lot. La politique extrieure de Louise de Savoie. Relations diplomatiques de la France et de l'AngleteM pondant la captivit de Franois 6 ii (1525-1526), par G. Jacqueton. Constitution d'Athnes par Aristote. Traduit ])ar B. Haussoullier, avec la collaboration de E. Bourgur
>
J.
Ptrarque
\>
essai
aM
16
ii
92.
p;
..n
J. Psichari.
fr.
93. 94.
95.
Les chroniques de Zar'a y 'Eqb et de Ba'eda Mrym. rois d'Ethiopie de 1434 1478 (texte thiopien ol traduction), prcdes d'une introduction, par J. Perruchon. 13 fr. La prose mtrique de Symmaque et les origines mtriques du Cursus, par L. Havet. 4 fr. Les lamentations de Matheolus et le livre de Leesce de Jban Le Fvre, de Resson, publi par A.-G. van
Hamel. Tome
97.
I".
10
fr.
Le
livre
98.
99.
G. Jquier. Les fabliaux. tude de littrature compare et d'histoire littraire du moyen ge, par Eudes, comte de Paris et roi de France (882-898) par E. Favre.
Ddier.
puisi s
fr.
et orientale
de L. Mauce.\u
RECUEIL
DE
TRAVAUX RELATIFS
A LA
PHILOLOGIE ET A L'ARCHOLOGIE
GYPTIENNES ET ASSYRIENNES
POUR SERVIR DE BULLETIN A LA MISSION FRANAISE DU CAIRE
MASPERO
l'
INSTITUT
PROFESSEUR AU COLLGE DE FRANCE, CRECTEUR D'TUDES A L'COLE PHATIOUE DES HAUTES TUDES
PARIS
LIBRAIRIE EMILE BOUILLON, DITEUR
67,
RUE DE RICHELIEU, 67
M DCCC
XCIV
Le Recueil parat par volume compos de quatre fascicules. Les abonnements se font pour le volume entier, il n'est pas vendu de
Paris
fascicules spars.
francs.
30 32
Un sommaire
dtaill
premiers volumes pris la fois, au lieu de 490 francs, 380 francs. du contenu des dix premiers volumes est envoy gratuitement sur demande.
OUVRAGES
relatifs
d').
50
sainte
fr.
(E.). In-4.
Fragments de
la
version
thbaine de
l'criture
(Ancien Testament).
15
fr.
AURS
(A.).
Trait de mtrologie assyrienne ou tude de la numration et du systme mtrique assyrien considrs dans leurs rapports et dans leur ensemble. In-8. 6 fr.
(A.). Le dcret de Memphis une planche.
et les inscriptions
BAILLET
BAR-BAHLUL
.3
(H.).
cum
glossis
syriacis
et
I,
arabicis
Il et
complectens.
vol. gr.
IIL
fr.
in-4'.
60
in-8.
BERGAIGNE
et
(A.).
Manuel pour
grammaire. Gr.
Chrestomathie-Lexique-Principes de 12 fr.
12
fr.
HENRY
(V.).
Manuel pour
in-8.
Lexique. Gr.
BERTHELOT.
BOISSIER
(A.).
Histoire des
M. Rubens
Sciences. La Chimie au moyen ge. Publi avec la collaboration d Duval pour l'alchimie syriaque, et celle de M. O. Houdas pour l'alchimie arabe.
le texte.
45
I".
:
fr.
fr.
BRUGSCH
1
(H.).
fr.
Documents assyriens relatifs aux prsages. Tome Examen critique du livre de M. Chabas intitul
en
Palestine, etc.,
1"
liv.
In-4.
12
in-8.
en
Phnicie,
au xiv'
sicle
avant notre
Gr.
Au
lieu de
50
(H.). Essai sur les formes des pluriels arabes. Gr. in-8.
le
DERENBOURG
DUTENS
fr.
(LE), Papyrus du Muse de Turin publi en fac-simil par R. V. Lanzone, de Turin, 11 planches et 2 pages de texte. In-f.
professeur
30
6
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fr.
DUVAL (R.).
GUIEYSSE
grammaire syriaque. Gr. in-8. Les dialectes No-Aramens de Salamas. Textes sur l'tat actuel de populaires, publis avec une traduction franaise. In-8. Au lieu de 8 fr.
Trait de
20
la
fr.
Perse
et
Contes 4 fr.
(P.). Rituel funraire gyptien, chapitre 64'. Textes compars, traduction et commentaires d'aprs les Papvrus du Louvre et de la Bibliothque Nationale. In-4% pi. Au lieu de ^
fr.
20
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INSCRIPTIONS
hiroglyphiques copies en Egypte pendant la mission scientifique de M. le vicomte E. de Roug, publies par M. le vicomte J. de Roug. 4 vol. in-4. Au lieu de 120 fr. 60 fr.
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LEFBURE
(E.). Le Mythe Osirien. Premire partie Les Yeux d'Horus. In-4. Au lieu de 20 fr. 15 fr. Deuxime partie Osiris. In-4. Au lieu de 20 fr. 15 fr. LEPSIUS (C.-R.). Les mtaux dans les inscriptions gyptiennes, traduit de l'allemand par W. Berend,
:
avec notes
et corrections
pi.
12
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LIEBLEIN
Index alphabtique de tous les mots contenus dans le Livre des Morts publi par R. Lepsius d'aprs le Papyrus de Turin. In-8. Au lieu de 12 fr. 6 fr.
(J.).
MARIETTE-PACHA.
Denderah. Description gnrale du grand temple de cette pi. ace. d'un vol. de texte in-4. Au lieu de 390 fr.
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TRAVAUX RELATIFS
A LA
PHILOLOGIE ET A L'ARCHOLOGIE
GYPTIENNES ET ASSYRIENNES
POUR SERVIR DE BULLETIN A LA MISSION FRANAISE DU CAIRE
PUBLI SOUS LA DIRECTION DE
G. MEMBRE DE
MASPERO
L'
INSTITUT
PROFESSEUR AU COLLGE DE FRANCE, DIRECTEUR D'TUDES A l'COLE PRATIQUE DES HAUTES TUDES
SEIZIME ANNE
PARIS
LIBRAIRIE EMILE BOUILLON, DITEUR
67,
RUE DE RICHELIEU, 67
M DCCC XCIV
Tous droits rsercs.
CHALON-SUR-SAONE
IMPRIMERIE FRANAISE ET ORIENTALE DE
L.
MARCEAU
Pages
Rc'cheielies >ui- [)lu-it.'uis IMaiites coiiiuu:'s des anciens gyptiens, par Victor
Loret
planches
i,
92
14
Manuiuents gyptien!, do
la
Moret, avec
trois
24 2H
Fr.-V. Scheii,, O.
Notes
37
42, 123
60
Wilhelm Spiegelberg
64
68 74 77
Maspero
103
104
Le Livre de protger
105
#" ^B = n; =
"l/ov-;, par
Lieblein
d'Isis sur
un
relief crtois,
1G2
167
Une
statue
du dieu
Set, par
ot'
169
176
182
184
191
Eine neue
art der
Livres parus
198
RECUEIL
DE TRAVAUX RELATIFS A LA PHILOLOGIE ET A L'ARCHEOLOGIE
GYPTIENNES ET ASSYRIENNES
XVI
17)
Vol.
Fascicules
III et
IV
Contenu
a barque
JVt
diviii<>.
par E. Chassinat.
J.
18)
Notes
et
Remarques, par
G. Daressy.
tienne,
19)
'HTP
V22
= =
MiJ^ovis, par
Lieblkin.
20|
Louet. 21) Scne d'initiation aux mystres d'Isis sur un relief crtois, avec une planche, par Andr JouniN. 22) Une statue du dieu Set, par G. Legrain, avec quatre vignettes. 24) Stle de Bl-Harrn23) Gleanings from the land of Egypt, by A. -H. Sayce. 26) Extrait d'une Bl-Utsur, par Fr.-V. Scheil, O. P. 25) Nachtrag, von W. Spiecelberg. lettre du P. Scheil. 27) Notes d'pigraphie et d'archologie assyriennes, par Fr.-V. Sciieil, O. P. 28) Eine neue art der Nominalbildung, von Wilhelm .Spiegelbero. 29) Livres parus.
par Victor
E.
Chassinat
les
Le
rle
que
la
le
et surtout
dans
aux formules
Un
texte,
du
les rsultats
acquis
me
en
parait prsenter
effet,
un
rel intrt.
la fois
ne
de
la prire et
Neshmit qui
tait
morts Abydos
par son
titre
,
qui se rencontre
D^/nU
barque [divine]
dans
le
premier
catalogue de
la
et
Brugsch 1. Mariette, Dendrah, IV, pi. LXXIV b, Chambre de la terrasse, Osiris du Nord, chambre n" 1 DtJMiCHEN, Recueil de Monuments gyptiens, IV, pi. XXX-XXXIII. BnuGscH, 2. J. DE RouG, Inscriptions et Notices recueillies Edfod par le V^' E. de Roug, II, pi. CXXI
; ;
recueil, XVI.
14
106
du
livre est
malheureusement mutile.
Il
en reste
encore assez cependant pour que, nous aidant de l'un des passages de
la fin
du
texte,
titre
faut.
si
Nous
nous
en haut de
la
"-s;,
_m-^^B;
:
la
colonne 35
^/wwva^u>.
Ln^
du
titre
du
livre
mentionn dans
la
le
catalogue d'Edfou,
>Jn\<
le
mot
ini
dtermin
signe
IQJ-,
ou par
la
La lacune qui
entier. Elle
la
ne
dbut de
la
formule elle-mme et
tions prliminaires
d'une autre, trs courte, qui parat avoir contenu des indica-
ayant
trait
au
rite suivre
et
pour
la
destruction
par
le
feu de la figurine de cire reprodui.sant les traits de l'ennemi que l'on voulait
d'un passage de
rien prciser,
la clausule
l'tat
du
texte, col.
y avait l une sorte de rptition trs abrge 30 sqq. Il m'est cependant impossible de
vu
mme
dans
les recueils
font
commencer
difficile
d'ordinaire la formule
immdiatement aprs
en aient
le titre
'.
En
tous cas,
la
me semble
les
d'admettre que
encore
lisibles,
le titre se soit
colonne et que
dbris
mm(<M
/^,
le titre
lement
trs court.
texte, la copie de
Au-dessous du
ligne horizontale,
MM. Brugsch et
en colonnes et prcds du
r),<=^lQ
nom d'Anubis
conue ^
La premire lgende
est ainsi
*^Q_\i
V
I I
Ull^IcLI
v\^
^h qH ^ /www aaaaa^^
" "
"
\7:^ lOl
(litt.
:
III
:
o
I
"
ils
La seconde renferme
V
I
ce qui suit
^1
O'S?
''^''^
.ft
(0
y^ii
-^
I
-d2>~ ri'i
:
le
en
t^te,
r|j
et
^Y?
''
puis,
^"
pour
la
premire
^'2^1'
==|.
M^'
U
|,
*!
r:^
est cit
2^ *
],
*.
partie. T
1.
_m
..
un signe
o,
premire
lettre
du mot
top,
barque.
2.
le recueil
On
the hieratic
3.
4.
le
papyrus du British
v>
Musum
publi par
M. Budge,
J^^
La copie porte
.^^
d'aprs la formule ordinaire.
107
dans
le
' ;
le
Edfou.J^-^^|,
et
en compagnie de
de
Les
cin(| divinits
nom
se retrouve
(pii
Edfou api)artiennent
l'une de ces
par
la
Ce sont
ici
sous
la
du disque',
*.
homme
sont d'ordinaire au
nombre de
On
comme
autant d'perviers tte humaine, sur un sarcophage d'poque saite conserv au Muse
du Louvre';
pris la
ils
couvrent
la poitrine
mme du
Ils
dfunt qui a
sont
mme forme
:
nomms
en bloc
J_J'^''^''^''^''^'^^^^^^QD"y
,
C^^^^^^-
ces septperviers
:
de Mehorit
ou encore
nom
O
1
'
^Sf
f]
P t l^l"
L^^^' ^^^^^'
les
accomle
cette fois,
et
Hobsanou ont
de chacal
^^y;
yX
A'ai est
un
l'image de
Monqab
humaine,
^\
la
^^.
\.
trs
(q^ (?). " XXXVH, col. 76; Loret, Recueil de Tracau, IV, p. 28. 2. De Rochemontei.x, Edfou, pi. XXIX a, Ls. 2g; Dijmichen, Altq. Temp.-fnschr., pi. XXV. 'fVK deux djasoH qui compltent la srie sont Ji et w. V\ i
branchu
semblable \y/. Le dernier nom, dans cette copie, a t corrig en
pi.
I,
Les
I)
3.
4.
5.
6.
III, p. 4, et
Reue gyptologiquc,
I,
p. 28.
Sarcophage
7.
III, p. 4.
Ma
dlicat cause
de
la petitesse
dchiffrement de ces noms est trs des hiroglyphes et de l'clatement souvent maladroit du basalte sous le ciseau
M. Pierret. Le
du graveur.
7.
Ce nom
est
mal grav
et fautif.
Il
Le premier signe
I
est
Le graveur
a oubli
n" 1
faut corriger en
la
forme du djas
d'Edfou, 1
=^.
\\
<=:>^
U S w
<^37 C3IZI
10.
Ce signe du nom.
est
en
fort
mauvais
tat; je
ne
le transcris
par
J que
lisibles
14
108
et
'.
Je n'insisterai pas davantage sur ce sujet dont j'aurai m'occuper plus longue-
ment dans un
travail
que
je
la parole
un rouleau de papyrus
la
manire dont
prononce,
il
tait naturel
l,
que
dieu de
la
parole et de
la
accompagn
personne de
mme
la rcitation
en
la
Je
me
suis servi,
pour tablir
mon
et
texte, des
t ac-
cessibles, l'une de
MM. Brugsch
le
Dumichen',
de M. Mariette*. Elles
J'ai pris
de
du
TEXTE
D^^^^ 7j<=>(2
^';>^
J\
^'*
+0^
.^^Z^is!2^^."^-^y^y^i
1.
L'd/'n,
dans
la
Zcitsc/iri/t, 1872, p. G;
dk Rociiii.MONTiiix, Edfou.
Ls. 2g, pi. XXIX a. DuMiciiEN, Alt'j. Tcinp.-Inschr., I, pi. XXV. Voir aussi, pour les DJa.<ou, Naville, Das (jypt' Todt., Bl. LXXXIII. 1. 16. 2. Tliot tait saus doute considr comme l'auieur de ce livre. Il tait, comme on le verra plus loin, le
protecteur des barques. 3. Buur.scii et Dijmichen, Recueil de Monuments c;ji/pticns, 4. MAHiiiiTE, Dendrah, IV, pi. I.XXIV b.
,
IN', pi.
XXX-XXXIII.
Brugsch
.
ce que la copie de
corrige en
w=a3
<^j\
,
forme que
.,
ai
adopte.
j\.
Les
^^_...^..^........
-...w..^^
jy
Le texte du Recueil
Khar-tou ahoni ^
que
celle
^B
l
(3
'
P'"
^''^^
7.
La leon de Brugsch
et
Diimichen
de Mariette
fin
e\j
:
JI^LJ
^EZia^l
^-^-f-'^
Elle reste
la
copie de BRUciscn.
'
109
J\
lls=>
-[&] ^^
B
'='0111
W
I
=^
lu
h^.m
t;
vv
^.
^^AAAAAApg
T Y ^^'
"
'
<
iH^HHM;,^i^-,:s''.'?fe
nom'
/ v^ V
,
iIM
"^
/vwv\A
ti
^YD W
sa
I
A, Y n
W
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D W
w
"^ AAA^^^
'
II
'^i
/|
^O
"^
I
ft
(^
<2>.
JO
o jTxii:;: :^
sa
I
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no
=^^5a 1-^^
fc\
LLzi [^^
^
Vf
Cli
[^1
c^^
w rD'^^ D ^ OHolll
TT
^=>D
U
ra
o
,\!:
^ll
D
1
I
ra
ra
^^3^=:^
Il
^
[=B=i
fl
II!
_^ ^^^^^
>
v\
^s^
ra
en
raura^'^ raora^
I
I'
iTw^ Lr,^v
^'ss.^
'
(a ^
^ O
^= ra w
'^
c^
CKi^ 1=^
\;=^
ll
'^^
I
5ak
1.
Marie TE
I .
n'iuclique pas
de lacune entre
trs
<2^
Tj\ et v.^;
l'autre copie
donne
nnH/
le texte
suivant
/vS^^g
serait-il naoins
Le sens
s'il
n'est pas
fallait
clair
dans
les
se/tet;
peut-tre le
encore
une prposition,
,
2-^
3.
dans BRU(iscH.
Brugsch
nH"^
J.,
^^
n ^z^D
l
ra
__
La leon de Mariette
4.
dans
le Recueil.
comment combler
celte
lacune,
si
elle existe.
la
Ce
13.
passage
5. 6.
me semble
Brugsch
et
le scribe
colonne
Du.michen
'^^^
SI
/]
au
lieu
de
le pluriel.
7.
,8.
Mariette a omis
La copie de Mariette
.
^111
diftere
pi.
:
9.
^
/i,
''^?^,
Recueil,
la copie
XXXI;
ranra^ra^ o V raorao D
I
la
lacune indique
ici
la
le
comme
dans
de Mariette.
110
20 ?f^?f
ra
U ^^-i4i:ro7^i^^su T-^^lMU.^^C^o^^A
AAAAAA
I
21
ici
1^0 ^Q:^
U c
1==/] Ci
Do
I
1
/!
03 7T
C^
A^^^^/V
(^
Ci
Ci
no
(
'^cz^oCi^
s^opisi:^;;i^cQ^i:Zsi^^ikc^5,
AAA^^W
11
gh
Ci
ii__J]-
Di
^=>^ Ci
Q.
D D
ra
5
o D
n w
1'
A w ra A
2-
w1
1
(?
*^
.r^
2g AftA/^A
1
2^
7\
B<
X D
^^
ii^9
u
I
L ^^
5SD
^
izz]
*
<o<
-I
^.=_
III
33
r-vn ^*>^
Q.
W D
i^
Ci
o
D rn W ra A
I
\!\
1.
Brug.^cii
ri-
io<Q
2.
3. 4.
5.
La copie de Mariette
est fautive et
il
a,
aprs la barque,
7i
1
I
Mariette
^C^
jj
W.
.
Brugsch
a-t-il la
Brugsch donne
La copie de Brugsch donne
Passage mutil dans
les
o
r
^ n'
l'ai
8. 8.
deux
copies. Je
d'aprs rtabli re
un
texte de
mme
cit.,
Mariette
intercale
ici
un groupe assez
indcis,
qui
me
l'indique pas.
111
<5i'
III
n AA/WW
AAAAAA
(^
Ili
Ci /
1^
/-i
34
I
>A>^
AAAA/V\
CX 35
J23^
vy
[]
V\
A^/^AN
Ci
Devant
d'hiroglyphes, dont
des fragments,
texte,
on ne peut affirmer
si,
du grand
ou
si
ce
Pour ma
:
rj^K^.
H'
II
... vers
la
in
TRADUCTION
mal
:
les
ennemis
le
ta face;
!
cadavre
retourne vers
[ta place]
Nouher
Il
a dsir le
ne
soit plus;
que son
nom
ne subsiste plus
la face est
en deuil
il
"
est furieux
il
coup en morsacrifice
car
s'est dress!
a pntr dans
du
\ et
a vu la place mystrieuse.
Oh! renversez-le, Sit dont la face est courrouce! saisissez-le, Nehabous li, frapp, tu ne descendras pas dans la barque Neshmit, la grande, Tombe, ennemi
'
!
et tu n'entreras pas
dans
le
Ro-staou
1.
2.
3.
le texte
Brugsch
II s'agit
a pass le
,
Brugsch donne ^
la
-^
sans doute du corps du mort qui faisait d'une faon fictive le voyage dAbydos bord de la Neshmit. La barque qu'on utilisait pour le transport de la momie durant la crmonie de l'enterrement prenait
4.
le
nom
5.
de
la
barque osirienne.
fk
JL
""^^^i voir
(1
"^^^S
3st
c'est la transcription
exacte du dmotique
/Oy^O'
6.
-M
et
X
de
plus bas.
7.
6U2
I
Pour
le
Le
mme
11
UN
(.sic)
D O
col. 35.
112
les
Djeritious
te
la
tu
Oh
anantissez-le,
Anantisseurs,
telle est la
car
il
s'est
la
barc^ue
Neshmit%
lois! Saisissez-le,
Porte-couteaux %
que
l'on
mne
Klionti-Amenti,
le
Allons'
la
{bis),
la nuit,
lanant
la
(la
barque) dans
place mystrieuse,
R
si
n'a pas
ordonn de
le faire
R
de
le
cause
chose mauvaise de ce
Nehas
qu'on
renverse!
Tes
paroles ne sont pas celles d'Horus, et ce n'est pas Doutit, gardienne " des dieux, Thot
!
comme
^*5>^
1
Le mol
me
V\
SuppL,
le
'!_/]
^
[
p, 32, et
p. 221,
p. 285.
^^^.
^^.O
Bhugsch,
L^'
Je rapproche
p.
etc.
Brugsch,
SuppL.
3.
1090.
:
Litt.
la r^tolution. le
4.
Le verbe
.^^
-A
^^^
le
^rg ^
^^ place
du
^^^.
Si cette variante n'est pas fautive et due seulement la mauvaise transcription de l'hiratique, ce qui est peu probable, elle nous donne une vocalisation toun, tounou, twoonoc qui se rapproche trs sensiblement
du copte tojoth.
Je crois qu'il faut comprendre comme s'il y avait oM//-n(y /( ni ne.thmit et rapprocher h ni neshmit phrase /i h-e{t) neshmit. L'expression h nes/mtit, h ni neshmit. signifie l'avant, la proue (litt. la face) de la barque Neshmit. 6. Les (lieux ou gnies Porte-couteaux sont reprsents Dendrah, dans le petit temple consacr Osiris iDend., t. IV, pi. LIX-LXIV) et Edfou, dans la l" chambre de .Soka ris, pa roi sud, 3' et 4* registres (de
5.
de
la
RocHEMONTEix, Ed/ou,
pi.
XXIV
a).
M c^^^
dit qu'il
a livr le mauvais
pi.
LXI
mme
personnage
se retrouve
nom
de -
Q^
oTl
de Dendrah
7.
'^^
Cfe^
l^^'^^'''''"^'- ^'il
?!
la traduire par ce
8.
dgotant
la
cette
ordure
S^^-^fev-^,"
Le nom de
barque Neshmit
est crit
deux
dans ce
texte,
rigueur
la
valeur
:
aaaaaa,
elle
dK =
10.
p.
^^:^
^ ^^^ ^-
Brugsch, Dict.
hier., p. 542.
11. Cf.
les __
(J(J
vSl
i,
113
))
Oh
les paroles
de cette Smaitit
lie
Oh
la
tlamme rugit
Annihil, tu es annihile, tu es
li,
tu es annihil, annihile-
toi
Grce
ta vigilance,
taill
en pices
les
ennemis
qui voulaient
elle
Rugisseur
vous enveloppe
es
compltement
{bis)
t'a
Tombe
',
{bis)
il
Tu
tomb
abattu
et
ne
Ta proue
bataille,
barque Neshmit,
car c'est
protge,
!
Ha,
et
Thot a loign de
mauvaise influence
Il
tu as vu, tu as
vu?
c'est le
Nouher!
!
et
il
s'est dress;
il
opprim*
la
la terre
par sa violence'
son
nom
ne subsiste plus! Et
ce
voix de
mal que
commet
Nehas! Li
et
charm durant
impie!
barque a triomph de
toi,
Voici,
que
l'on frappe
toi
de mort, impie de
l'on frappe
!
la
que
de mort,
lacet, liez-le
d'une
les
un couteau, tranchez
lui
M Plac
t.
IV,
pi.
XXV;
tav.
CCXXXXIII,
fig.
1 et p.
hier,,
1.
SuppL,
p. 750.
Je traduis
comme
la
ra
s'il
fv
fl
y avait
m A y\ ^
D
^^37
col
2.
Comparer
phrase
,As
&
II
27-28
3.
4.
- n
<2
loAe, oAe,
Brugsch, Dict.
hier., p. 169,
SuppL,
p. 194.
5.
Le mot
D ra
i3s
^
tiv,^
les dictionnaires.
C'est
mot
tique
ra
"=>
^-'^fcv_,
^^'
ra
Rhind par
~
le
dmoZ'^^y
^^jQ>P-teh,
et
/^\lj)f0A
l'on
comme
A^,
Brugsch,
Dict. hier.,
Sit,
il
Employ
O ra
mot
\KL^
^^
dont
la
forme simple
nH
hier.,
ce qui indique une certaine parit de sens entre les deux mots. Il parait exprimer le malheur que St rpand sur la terre par suite de sa rvolte continuelle, ou quelque ide analogue voisine, je crois, du sens
AAAA/V\ AAAAAA
qu'on attribue
.
-<^^^--
H j^;^
CJ
prfixe,
-^^
^^^Z_^.,
La ^ forme
est usite
deux
24 et col. 32.
Le
bis,
me
parat
dans
n
!
^^^ ~
bras, ou
=
ciiQ.<=.i<.
qIq.
^\^
0,
comme
dans
RECUEIL, XVI.
15
114
cire soient dtruites par la fusion, cet impie, ce pcheur, cet impie de R, cet impie
do
la
barque
))
' !
Approchez
[Il
(bis),
voyez sa chute,
celui-l!
crie] la
:
tes chairs ne
tel
cju'il
ne se manifeste plus
Quoi!
fait-il
opposition? qu'on
au
lieu
de supplice qu'il
lieu
s'est construit
pour lui-mme,
mal!
de supplice qui te
mne
que
te le disent tes
R
:
deNouit,
compagnons
le
est juste
et Osiris Khonti-Amenti,
St, le vil, le
fils
dieu
de voix contre
de Nouit, et
Abyelle;
l'envelopper dans
un
filet
poissons, les
'
de pierre
de
tes noir; la
1.
Ce passage
Voir I
col. 19-25
t traduit par
/lir.. p.
p. 94.
2.
BiiUGScii, Dict.
176.
3.
phrase
II
comme
s'il
v avait Y
^^ (Jm
ist
'"^,.^
p^
avec
la
c'est--dire en supprimant
Q.
et
eu corrigeant
het'iti,
en
et la traduit
Vernichtet
dieser Feind.
llfe*
>.
ne se rapporte pas
pour
correspondant
t.
i^i
V
Il
AU
^^ ^
,
-^
Vjr-
Devria,
^^ ^
<=
itlli'
IV,
p. 256.
^m
4. La traduction de ce passage est embarrassante. Je ne me suivante du grand Papyrus magique du British Musum o il est
suis dcid la
^7~^
fS
1\
-^
'<:=:>
?V
Kbnoum
trane tes
est
son billot,
Budge, On
:
the
hieratic
papyrus of iXesi-Amsu,
p. 144.
La valeur de
"^^^^ ^.
elle a t
conteste avec raison (Piehl, Proccedings of tUc Society of Bihlicl Arch(Colo;jy, XV, p. 266), mais beaucoup un seul exemple ayant plus cause du manque absolu de preuves convaincantes que pour tout autre motif, amen M. Brugsch i\ cette lecture. C'est une forme trs lgitime en elle-mme. Les deux passages suivants,
tirs des textes du temple d'Edfou, serviront peut-tre non pas du moins engageront-ils ne point abandonner irrvocablement
<1
valeur prcite.
1"
^^ ^
^^^^ ^^' ^^ "-"'' ^ '^"^ ^^^ dieux, en sa transformation de HorV (? " eu eux. Les chapelles Houdi'ti! Il est aux'pFtes des naos de tous les dieux pour protger ses fils qui sont aux grands noms de double de Sa Majest. (Edfou. Mcsnit, paiss. du divines sont sculptes son nom
\
^*^
^^
^^iJ]
fils
1.
de
te
servent
ils
6).
(Edfou, 2
chambre de
.
,
.^^'''J^'!^'
eTLe
li
^%^ ^'^
T^
q^rexemple
,
^l_MlIi;^;g>i:'o
1878, p. 90.
llll^^lll
c^^u
ciu-
Naville, Zcitsdirift,
les bois odorifrants
pi.
lihasi te trouve
mentionn parmi
ci
^Hv^p-^
(Mariette. Dt'(>
Bahari,
du bois
(J^{|
115
Si [queUiLi'un] rcite ce livre durant les ftes d'Osiris, la cuisse de la victime sera
accorde son
Si [quelqu'un]
me dans
le
le
(ju'il
aura donne.
la
rcite le jour
du passage de
la
Barque
Abydos,
:
il
descendra dans
de l'ennemi;
ce [livre].
et le
rayonnement
la
d'Osiris [deviendra] le
la
C'est
protection de
hanjue divine
On
est frapp, en
examinant
de
la place
consid-
vieux
la chasse, la
pche, la ncessit continuelle de se rendre d'un point un autre dans un pays souvent
coup de marcages,
tien
monde, calqu
une barque
sur
aussi emportait-il
et son
quipage avec
lui
dans
le
tombe
'.
Souvent on
le voit
traversant un des
qu'il
nombreux
royaume
d'Osiris,
conduit la
pagaie ou qu'il dirige simplement par la vertu des paroles magiques qu'il prononce.
Il
n'tait pas
le ciel, seul
ou en temple
Les astres eux-mmes suivaient leur cours monts sur des barques qu'un
l'eau.
Des
tres
et
malde
la
nuit des
embches
Et
funest'^s
les
aux dieux
aux hommes
'.
Chaque tang,
si
petit ft-il,
en
tait peupl.
que l'inondation
laisse
en se retirant
et
que
le soleil tarit
bouche
les
les crocodiles
le
ou
:
les
frappent d'aveuglement
'.
danger
dent du
si>-7*-.
L'orthographe de son
Irf
nom
1
U'^iJ'^Ti
Cn]
V\
.
//
H^ ^
p. 2S'i).
Tr\
^fc^
MM. Brugsch
'
_CE^
r^'
peut-tre
AAAAAA
I
''
(Lvi,
Vocab. copo-gero'/t.
et
O=>
t.
VJI,
-f!
17^
^\
HH
Yr\
M. Loret, dont
comptence en matire de flore gyptienne est connue, a bien voulu me donner sur cette plante les renseignements que je rsume plus bas et qu'il compte dvelopper en temps opportun. Le khasi est une plante arabe dont la fume est odorante. Tout porte croire qu'il s'agit d'une varit de cannelle, celle que les Greqs
la
ont
nomme
.
,
xajTa
nom
-
1
d'origine transcrit
,, khasi par
les
.
*^=nn
1
ny^p
"<
,
U^J ><fe
seraient les
-.^ii ^
canneher
1.
t.
K; Maspero, Mmoires de la Mission franaise, Trois Annes de fouilles, la planche o sont reprsents quatre des bateaux de Hori. 2. Les Egyptiens croient encore actuellement que le Nil recle un serpent gigantesque qui, de temps autre, cause des accidents. Maspero, tudes de mythologie et d'archologie gyptiennes, t. H, p. 412.
3.
t.
P- 75;
t.
H,
p.
passim
116
crocodile
'.
Aussi
les
formules magiques et
les
l'iiumme en ces
moments
critiques abondent-ils
aucun cependant,
ma
connais-
sance, n'tait, d'une manire absolue, destin la protection d'une barque divine ou
autre.
Le
mchant
quand
elle portait
un dieu
barque divine,
elle tait
combien nombreux
enne-
mis. Les lgendes taient pleines de leurs exploits, et les textes religieux racontaient
comment
tait
Sit et ses
un
pril continuel. Si
s'tait
l'hippopotame drang
le
montaient
faisait
fait
l'intervention de St.
elle aussi, tait
Il
en tait de
l'uvre de l'ennemi
On
ses
renverse
^^
:^^>
\^ '^
M5i
csu)
Les textes nous ont conserv quelques allusions malheureusement peu nombreuses
et parfois
peu
claires, relatives
:
je n'ose dire
comme
patron,
des barques
elles suffisent
les
mme temps
ni halages ,
aux incantations
d'Isis et
mme
temps qu'elles
permettaient
la
qu'il
de sa route et
le
magiques que
lev,
la
tempte
les
Durant
Thot rcita
celle
et les
transports de Masnitiou,
pour calmer
la
mer son
instant,
dans sa fureur.
AAAA^A ^^v\^^^
pas dans son sens gnral qui est parfaitement net, mais cause du passage
Maspero, tudes qyptiennes, t. I, p. 43, note 1. M. Maspero rapporte qu'eu 1878, une bourrasque ayant fuit chavirer une dahabih, les indignes racontrent que le serpent du Nil avait caus l'accident en frappant le bateau d'un coup de queue. Maspero, tudes de mythologie et d'archologie gyptiennes, t. II, p. 412-413. Une ide analogue se retrouve col. 7-8 de notre texte o le mauvais est accus d'avoir submerg la barque divine. 3. Naville, Mythe d'Horus, pi. I. 4. Maspero, ibid., t. II. p. 78sqq.; Jquier, Le Licre de ce qu'il y a dans VHads, p. 103. 5. Naville, Mythe d'Horus, pi. XVIII, 1. 4.
1. 2.
117
,^\
>._<.
se traduire
lui
un une
verbe mk,
/^.
protger; un
mot
mclk,
/^ >^^ =
<
l)arnue, ou encore
forme abrge du
les
L
nom
est <-=
^^\ ^J^
',
yOA
*
;
je
ne
l'ai
Quant
me
mot mk
du
dsi-
le bl
\ ce qui n'est
reste
.e
protger qui
appuy par
du
livre
:
de
la
bibliothque d'Edfou
et
^^^ ^
'
y ^U
du passage
T .7-^
:
".
Thot a renvers
sortilges.
ennemis; Thot a
fait la
protection de ta barque
J'en conclus
donc
la
lecture suivante
roou ni
mk
ou
hou^ ni masnrtiou,
etc.
me
exact qu' cause du renseignement prcieux qu'il nous donne relativement la protection des barques en gnral.
comme on
aurait
pu
le croire,
d'aprs
le
texte de Dendrah,
la
Neshmit. Les
livres de pro-
tger la barque
le sien
dont
commun
taient-ils runis
en un
.
comme
sitions
le
sont les
livres
de renverser Apopi
Nous ne pouvons
faire
procd
employ pour
Par son
livres
composition de ces
crits.
la
esprit,
le livre
de protger
barque
se rattache
il
aux nombreux
ayant les
de renverser Apopi
comme
la
de suivre,
comme pour
le sacrifice ordinaire, la
marche de
cette crmonie;
si
malheureusement
muets, et
les
1.
2. J.
3.
p. 47
du
tirage part.
:
pL XVIII. Thot eu
est
nomm
le protecteur
^^g <'<='
-=
I
I
^
"
.
^,
Na VILLE,
4.
5.
6. Il s'agit
7. 8.
d'une barque monte par un dieu. Le mot employ en pareil cas est
(J
^rL5
U_o
Naville, op.
cit., pi.
VIll.
9.
.^
(DIjmiciien, Altng,
Temp.
Jnachr.,
pi.
CXII,
1.
9).
11
faut
donc
lire
/^\ +
118
En examinant
chacun d'eux
il
le texte
mais
manquent.
Un
nous fournit quelques renseignements trs courts, mais prcieux, sur une partie de ce
sacrifice;
il
de
le signaler
l\
fl
p^
>% <==^
V\
^^ V=^ ^M
'^TT'
'9'
\ T
III
"='.!
A/^VA'SA
A/VVA/W
oi.-z"!..'!'..n^.^iA^prt^;
;_j].^^[U=zi]u
l(E
(?)
1111
^^!ll
n'^D
,(|^l
A^/\A/V\
La premire
au moment o
quatre
l'on
fois.
commune
Le .sotmou prend
le
houa
et l'agite
le voit, la
forme exacte du
pour
l'envotement. L encore, au
l'abaisse quatre fois,
moment du
le signal
.sacrifice, le
donnant
de regorgement de
Les restes de
la
victime, dans l'un et l'autre cas, sont livrs la flamme. Mais l'analogie de ces
rites ne s'arrte pas l; nous en verrons un nouvel exemple plus loin.
deux
son
la figure
de cire jusqu'au
le texte
liste
moment de
de Dendrah, d'aprs
une sorte de
place
comme une
copule
efficacit.
elles sont
les livres
On
liait la
figurine
au
moyen de cheveux
brement
mieux,
noirs, puis
on l'enveloppait dans un
poissons.
Son dmem-
j'ai
enfin,
on
1.
2.
Devria, Catalogue des manuscrits gyptiens, VII, 3, entre 5353, p. 170. Je compte publier ce pap\'rus dans un prochain article.
LE LIVRE DE PROTGER LA
BARQUE DIVLNE
119
avec
les
branches d'un arbre ou d'un arbuste qui est toujours employ cet usage,
:
le
k/iasi
une
fois la statuette
dcoupe,
Les
livres d'abattre
Apopi
de
de papyrus neuf, en
mme
la figurine
cire.
le
Pour toutes
la perte
les
formules d'envotement,
rsultat tait le
mme
elles
causaient
'.
les
La
ce
cuisse de la victime,
don
n'est pas
mentionn d'autre
la
part.
Une
le
les
Ces
elles
flicits
et
pour un gyptien,
l'on
songe qu'elles ne se
La possession d'un
vulgaire;
et,
ment devait
pour
le
vol et l'emploi
les lois.
d'un de ces livres pleins de formules terribles taient svrement punis par
clausule d'un grand
La
nombre de
'.
textes
l'il
d'un
homme
ne devait
les
contempler
Le
lieu
s'effectuait la destruction
nomm
Il a,
khohit,
dans tous
du
reste,
un sens
assez
vague
qui
fait
que tantt
il
ralit
l'un de l'autre.
Le mot
IL
J r
n'
^ctbourer la terre,
comme je l'ai dit, l'endroit o gte St, ^^^^''^' ^^ frquemment nomm JM^t^^ Jr^''^SK
dsigne,
'
Il
du
reste
valeur
on ne voit plus
exactement en quoi
l'on pouvait
comparer ce trou au
lieu
la
1.
^-=>
p. 120.
(3
fl
^
Exception
faite,
BuDGE, On
pyrus 0/ Nesi-Amsu,
2.
et purifi.
\R
BuDGE,
3.
ht\fj^t^
I 1
o
Ci
,
Wi
I \
I.
I
BuDGE,
ihid., p. 174.
c^
cli
prtres.
4.
Var. i]\^
L^
M^'
X,
'
'^
r^
la variante
avec radoucissement du
eu nU est assez
commune.
5,
V^oir
1.
Tracaux,
t.
XIV,
p. 15.
120
C'est
ici
que
les
M. Mas-
l'ouverture de la terre
, le M
^^,
lierrainette, creuse
un trou dans
lequel, quelest
les offrandes
seront incinres.
Ce trou
loin,
nomm
(?)
'
endommage.
ils le
s^=*
deux hommes
on
vers la khobit
prcdemment,
la
et
accompagn des
jet
'l*- Enfin,
nous arrivons
mme trou qui, cette fois, renferme un buf entier et divers objets la lgende explicative est celle-ci ^3 es>>J 1. la victime atteint le lieu du sacrifice .
:
'
fait
voir dans le
mot
ment avec
tirs
ficielle
le
mot
babat,
un
trou, se trouve
exemples
du tombeau de Montouhikhopshouf.
Il s'agit,
'
;
un usage bien
dfini,
de la
nomm
par
il
les textes
eux-mmes
le
textes o
est dit
que
,1
mauvais
^^
^^^^^
^^ jKlO
^ Jni
(A
jet la khobit,
lui,
lui
et
qu'un feu
fi
dvorant
^^ ^
s:
en ses os,
Une
o dans
U
*^
^^^^^ w
a
h nn H ir^
Y V^\
H
il
le
passage suivant o
fK^^"^"''^ Il
le trou,
I'
nf*-
^^
La
rprouvs
Le nom de
dcoupage de
la
la vic-
il
bouchers de
khobit et de
^^^(1
g>[^
1.
les
Mmoires de
que
la
t.
V,
p. 450, fig. 6.
M. Maspero me
fait
remarquer
qu'il se pourrait
la
photographie
est
peu uelte cette place et ue permet pas de lire avec certitude. 2. Maspero, op. cit.. p. 452, fig. 7, registre infrieur. 3. Maspero, ibid., p. 462, fig. 11.
4.
Il
deR:l
iJy^MoJl
C^'
^^'^^^'
^^
^^^
Ibid., p. 68.
p. 140.
pi.
Tombeau de Rekhmara,
le
paroi F. G,
10.
pourquoi aussi
le
121
Il
me
mots
relatifs la
parat avoir t la plus ancienne des barques sacres; peut-tre fut-elle le prototype des
baris consacres
les
temples,
et,
avant d'tre
la
barque considrable
faire
ces barques lgres en corce de papyrus ou en joncs semblables celle sur laquelle Isis
s'tait
embarque
la
^
.
Ds
le
Moyen-Empire,
la
les textes
des Pyramides
men'
tionnent dj. Elle recevait un culte trs suivi Abydos, tant sous sa forme de barque
que sous
les traits
d'une jeune
femme
'
*.
comme
barque,
elle avait
un
c|uipage
qui ser-
manuvre
Elle jouait
un
d'Osiris,
"T^^,
mot de passe
posaient
'; ils
prtaient la
main
manuvre
avec
la
pendant
d'Abydos \ La
la
la suite
similitude
S^ \
, Isis,
Ce
fait s'tait
dj
produit pour
le
bac des champs d'ialou^". Son quipage ordinaire se composait des prin;
c'tait
fils
d'Osiris
Nephthys,
et,
avec
1.
Pj.utarqu, De Iside
t.
et
Osiride, 18. Les barques employes dans les ftes d'Osiris au mois de Khoiak que 0" 656 de long. Loret, Recueil
la
de Tracaus,
2.
IV,
15
p. 28.
du Louvre. A cette poque et aux poques postrieures, son nom entre dans du nom d'un certain nombre de ses dvots. Nous trouvons dans Mariette, Abydos, III,
Stle
composition
tre le
^^\
etc.
Il
de M. Liedlein, Procecdings, X,
p.
p.
349, et
n-^
1033, p. 369,
parat,
.
j'ai
relevs,
que
le
nom de
la
barque
ait t
souvent crit
cit plus
"une manire abrge par '^rtV. seulement, ou par l'une de ses variantes,
haut, o le doute n'est pas permis; ainsi, par exemple, dans le
n" 713 dj cit).
3.
4.
comme
nom
dans un exemple
Abiidos,
M. Lieblein. Proceedings, X, p. 302, est de cet avis. Mariette, Abydos, III, p. 499, n 1314; Maspero, Guide du Visiteur, Mariette, ibid., p. 451, n 1200; Mas pero, op. cit., p. 46, n" 293.
Mariette,
ibid., n" 1139, p. 426,
==]
(1
]
5.
^^ ^ ^JnK
le
titre
1300, p. 493,
^^ ^^.
I
6.
Une
stle
suivant
F==3
Y
/)
\\
--r^
Daressv, Recueil de
Travaux, XI, p. 92. 7. Maspero, Trois Annes de fouilles, dans les Mmoires de la Mission franaise, t. I, p. 177. 8. Voir Maspero, tudes gyptiennes, I, p. 122; Daressy, Recueil do Traoauas, XI, p. 84. Cette formule est assez rpandue dans les stles de la XIP dynastie. Voir, par exemple, Mariette, Abydos, III, p. 133, n" 602; Daressy, Recueil de Travaux, XI. p. 4; V. Scheil, Tombeau de Montou-m-hat, dans les Mmoires de la Mission franaise, t. V, p. 614. 9. Voir plus haut, p. 111, ligne 34 du texte. 10. Maspero, tudes de mythologie et d'archologie gyptiennes, t. I, p. 375.
RECUEIL, XVI.
16
122
eux, Tliot,
((
le
qui
repousse
[les
ennemis
de] la
barque
osinenuQ
et protge la
barque^
On
et
coups de
St,
pendant
ses navigations.
Nous
combien
tait
procd qu'ils employaient pour y parvenir, l'envotement du mauvais, voisin du rite du sacrifice sanglant. La mme forme d'abatage de la victime, les
le
mmes moyens
les
de destruction par
le feu, le
mme mode
deux
cas. Je crois
en
effet
que
la
du sacrifice sanglant. Le
en
mme
temps
qu'il four-
au dieu
la
et ce n'tait pas
la
moindre de
ses vertus.
Mais
il
tait
le
reprsailles, sa
l'atteindre.
videmment,
ces
mais, l'poque
gypla
De mme qu'on
avait suppl
tombe de
humaine de
h ses traits
'.
en
os,
une image de
cire faonne
:
Par
la
les
et,
lorsque le
moment de
l'anantissement dfinitif tait venu, lorsque, las de l'injurier et de la frapper, les prtres
lanaient l'image au milieu du brasier, c'tait St lui-mme qui disparaissait dans la
flamme
du
foyer.
mars
1894.
t. I, p. 137, note 3. passage de Pluiarque, De Iside et Osiride, 73, ne laisse subsister aucun doute sur ce point. 3. Je crois bon de mentionner en passant l'emploi des statuettes funraires au Japon. On plaait dans les spultures ou dans leur voisinage de petites figurines d'argile nommes tuti nin-gyau ou encore honiwa, broussailles d'argile y), qui reprsentaient les serviteurs enterrs vifs prs de la tombe de leur matre, d'aprs les anciennes coutumes. L'introduction de cet usage date exactement de l'an 3 aprs J.-C. (Voir Reue orien-
1.
2.
Un
NOTES ET REMARQUES
123
NOTES ET REMARQUES
G. Daressy
CVII.
ment
r (8^
^imiw.
et
Dans D
le
cintre on
lit
verticale-
\(\l\.
ffll
I
Aur
m.S: r-vr-\
o n
I
AVVAAA
*g
i^llv w.
I I
nn
^^H
A
7
^^^ i7\<=>^^^
la
CVIII.
Dans
la
le cintre, le roi
r;;^
roggj^^J (^"JHlfl
^:
desse JHlathor
AAAA/V\
Ci
Dm
I
I
fl-E^
du corps de
la stle est assez fruste, voici ce
L'inscription
que
je crois
lire
H
Ci
il
1=300
A/WW\
/WVA/V\
~r
I
I
III
^
D
| I
AA^AAA
^
I
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Il
III
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21
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soit
21^
( /wwv\ /wwva
<:^>l
vUl
est regrettable
que ce texte ne
il
est parl k la
se
se pourrait
en
apport ce dernier
le
droit la couronne.
s'est
CIX.
appropri ce
monu-
ment
Sur une
\._^
>
1
un
autel
V
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/ 01
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^ \/ li
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(
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1
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10
I
'^'^'^
^^ -jU ^M
1
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*i^
Li
m
fille
et
trouve la seconde
====.
du
roi
plus bas des personnages embrassant la terre. >\ <=i u^ Ci wAAftA Ci / V ^ n ^ ;k n ^^^^^
1 I
1 I
Parmi eux
1
I
se
I
<^v.
\\
i]
/wwvv
"^^S -^^f
martel
j.
124
NOTES ET REMARQUES
Les inscriptions anciennes de
la face
seuls,
nouveaux.
Au sommet
V ^
plane
Hor-m-lieb
lait a
n
(j
^^
IJ
^^^^1
Toum
bas, le
>
de vin et de
ca
au dieu
Cjicir
i:ii
et
Hathor
ciDo
coiffe
de
la
couronne
d'urseus.
Au
ingale.
est figur
deux
fois, les
l'atti-
tude de l'adoration. Le texte de ses prires est inscrit en colonnes verticales de longueur
droite
1 Al
mt...
p^i^W'^ir-csEEil
I
yB-^1\IW[if]^n^^^WT;'!zWi"^H^ o
^3:7
^
^^o^:
1
gauche
7\
000
fl
PJ^^-^i<e=<o
AA/VAAA
MW^^ 2j^ p
I
U=Z]T
[1^^
La situation de
Mariette
Tliinis, la patrie
^S7
ex,
prsent.
l'avait
vaguement
Brugsch-Pacha, dans
la place
M. Dmichen
hameau
(le
fixer
Girgh.
Le
terre, produit
tell
a t
sebakh
Il
NOTES ET REMARQUES
125
basse poque, construit en grs, dont les matriaux ont t employs dans les maisons
arabes. Les traces d'une vaste enceinte en bri(|ucs crues, assises ondules, se montrent
en plusieurs endroits.
J'ai
stle
II
parle de
construction de monuments.
Un fragment
le ct
du
milieu du
tell,
un pervier en
pierre, de plus d
un mtre de hauteur,
est rest
aban-
donn
c'est sans
la statue.
Je pense que ces indices sont suffisants pour permettre l'identification d'El-Birbh
avec
la patrie
de Mens; enfin
il
la
route
la plus courte
pour se rendre
l'oasis
Comme
,
les
gouverneurs de
Thinis '-=^
s=3
'^^
1^^^^, remplace-
Dans
le
l'poque romaine entropies colonnes de la salle hypostyle. L'un des passages avait t
stle
Fragments de Gizh
o o o =
"
:=
1
ra
^^
Un autre morceau
Voici
le texte
^ ^rj
fl
de
la partie infrieure
.2irj
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I
HZIW^aM^,f,^^1kO?W!i:i!(l!
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1 I
AA/WVA
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AAAAAA
11
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11 A/v!!wV
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Jl ^-^-^
XT
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126
NOTES ET REMARQUES
^^37
1cn
CXII.
En
1887,
M. Naville
signalait l'existence
Samanoud d'une
le
statue
un prtre d'Anhour,
nomm
Akanocli,
comme
prince contem-
En
voici les
Ct droit du sige
r|
1^1^^
D
I I I I
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1^1
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Dos de
la statue.
la
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^^
CXIII.
"^^^
i'^-.
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le
nom du
gris,
Muse du
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Louvre, 2 partie,
On
lit
au dos de
la statue
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Il
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AA/VV\A
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A/SAA/VA
CXIV.
Dans
la
face
du
village de Ghabat,
une
ciel ouvert.
Au-dessus du texte,
Nectanbo I"
fait
=(^3 ^ (^^] Af ^
S
1
A
|
^^
E
J
,
''^'"^ '
une libation
* P A^/wvv en
face d'Osiris
et
H'^
ft
^3:7
d'Horus
^.
d'Isis
ri
^^
V\
de Nephthys
,
lui accor-
dent
;x$^ difrents
dons ^-^r
etc.
NOTES ET REMARQUES
Au-dessous,
dcret est n-rav en colonnes verticales
127
le
( o
I I
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C30
/WWV\
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AAAAAA
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CXV.
^^^
D X
il
^
Les cartouches du
l'extrieur
=1
PI
du temple deKhonsou
M. Bouriant. Le Muse de
Gizh vient d'acqurir une pierre provenant d'un grand monument, sans doute d'une
chapelle, sur laquelle les
noms de
m
CXVL
Au-dessous du disque
ail,
^
Ptolme
o ^
%^ QUI
A
(
/v^A/^^A,
-)
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:
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les
et
un
de
1'^
plumes
et le lotus
Nefer-tum
les
^3^
4
^ M "T
un pervier
coiff
^ perch
.
^.
f=;iI<l=^
gende
Ces
^^'^^^pQi;
5*^
un scorpion
et
deux plumes
W 3^1
Lgende
ymil
trois derniers
munis de
I
bras.
Le
m
1
oniii
128
NOTES ET REMARQUES
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AAAA^v
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(3
gr.)
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(3 gr.)
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CXVII.
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1^1-
tranche
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CXVIII.
Un passage de
la satire
nomm
II, pi.
8, et
Anastasi VII,
:
pi. I,
1.
9;
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il
apporte
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NOTES ET REMARQUES
129
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CXIX.
dont
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I
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A^m. D
CXX.
inscrit
RECUEIL, XVI.
130
NOTES ET REMARQUES
couvercle, la place du chapitre xvii du Livre des Morts,
le
sous
le
texte suivant
AAAAAA
^ ^
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AAAA^
AAAAAA
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les
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panneaux de ces
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B
En
I I I
U=^
Des textes analogues sont inscrits sur
cercueils.
voici
dmix
que
j'ai
trouvs en double
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132
NOTES ET REMARQUES
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133
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AA/VW\
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CXXI.
Cl
^^l^
monument, trouve en
Une
du
face de Siout
sur
la
rive droite
un
O
'^^^'O'I
Le
nastie).
style
du
bas-relief indique le
Moyen-Empire (commencement de
une pierre avec
les
la
XIIP dy-
En mme temps, on
avait dcouvert
cartouches d'Usur-
tesen
P*".
PAR
J.
LiEBLEIN
Je crois que
les
^'roupes
Air^^
Hiauii,
(E
et
,^,
et
les
^^
Ioniens.
et lus
Heaun ou
est,
nom
et 'lj^ovs,
Le
fi
gyptien
'"iipo;,
""
(1
dans
les
un
esprit
le
rude \
e.
comme
car
(1^
comme
le
"A6lj?t.
(1
(2
se
lit
dans
copte
et
mme
Nous pou'l/ove.
vons donc
lire 'SjK
ou
\]/
^^
h^ ou hi et supposer
la
transcription grecque
dans
^'^ziP,
quand seulement
les
contours sont
la tra-
donns,
comme
c'est le cas
dans
les
tromp
par
le
nom
ethnique
"W ^^,
134
^vi>'
mme
le
souponner
lit
aussi
avn, ou auii,
Dans
pour
le
moment,
groupe des textes religieux J^^ ^U '-^*^"^ *^ 8[) Qf) le nom de la ville m On, se trouve quelquefois crit
,
'*^
m'occupe
en hirap. 40,
tique T\
pour
.
le
(\y^^nom
[il
,
Aussi
Al.
l'criture
{Sj^,--^
^1^^
Mais
il
avec
ni.
Dans VZeilschrift
j
Jir Agyptische
p.
129 sqq.).
'ai
d onn pour
(1(1
;
le
nom d'homme
la
variante /www
n*
(1(1
ou,
comme
je lis
aujourd'hui, /www
cf.
mon
donne
Dictionnaire de
noms propres,
^::3:7,
je
outre
Car
il
ou
correspond
l'hbreu
fs.
On, Hliopolis,
et
par consquent
le
la
mme, d ans
"W vj^
nom
semble assez au
6,
note
6), et
au
'liovs;
ou, avec le
.
digamma,
'l/ove;.
Qu'il corresponde aussi au copte oTeiii(in). cela n'est pas certain mais seulement probable.
Christiania. 31
mars
1804.
LORET
I.
L'EXTR.\IT LIQUIDE
SURFIN DK STYRAX
une
La
paroi
recette de parfumerie qui fait l'objet de cette tude se trouve grave sur
M.
J.
Dmichen en 1806\
en 1877
.Je
Le
est
se
eflfacs
l,
interromj)re
le
En
ralit,
ces lacunes n'existent pas, et l'tude de l'inscription prouve que ce sont des endroits qui
Le temple d'Edfou
la
compose
de sable
reli
pai"
gravure
et
prsente souvent,
ct de parties sablonneuses trs tendres, des partiesde cimentation tellement dures que
le
ciseau n'y peut pntrer. Dans ce cas, les sculpteui-s gyptiens passaient simplement
1.
H. Bitufjscii
et J.
efiijiiliens,
t.
IV,
pi. 8'J.
2. J. DiJ.MicHKN,
Die Oa.-i<n
KTLDl'lS
DL'l
DHOCiUKlilK KLiYrTlMNNK
135
lii
|)arti(>
dure
cl.
rcpicnaiciit
riiisci-iption
le gi's
rcdcvciiait pnctral)Ic
leurs
instruments.
Ou
a renia
i'(|nt' (li'j.
mme
matire, un grand
nombre d'exemples de
absolument complte.
ce
tail.
L/a
comme
A
clien a
le
il
y a une vingtaine
d'annes
part poui'
l(v>;
nonr-;
doute
qu'un parfumeur
comme
mettre excution
oA
C'est qu'il y
manque en
deux ou
efet
un
l-
ment
trois renseigne-
ments minimes
(pi'il
n'avait
gens du mtier, et
(|ue
mots du texte,
doit,
Le
texte
le dit
peine
M. Dmichen ne
l le
le dit
pas.
Pour ma
mentalement
la
la recette
gyptienne tout en
la traduisant, et l'uti-
au moins,
charme
de ce genre de textes
le
on ne peut
les
le
reconnatre soi-mme ou
sans
gyptienne
mathmatique. Si
les
mthode de
travail,
n'tant
:
la
Adoptant, pour
autrefois pour l'tude
la
la
traduction de ce texte, la
mme mthode
que
j'ai
employe
du
rsumerai
le
mesures modernes.
o ^^ MW O
AAAAAA
<
<^.^
CX^
le titre
de
la
recette
-*
:
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/VAAA/V\
...
..
-<2>- h [}
/la/i
J)
^u
I
^=5
AA(VW\
LA
^ '^ ^O
'"'
'*
Ci
'^C^s,
il
parfum dont
s'agit est
de consistance
liquide. D'abord, le
solides
:
le
Kyphi, par exemple^ qui est un compos sec destin tre brl, se mesure
l'odeur que
>
136
le
II
^Tf
.
est
amsi qu
il
qui, entre parenthses, des extraits liquides. Ji\\^ s'applique toujours ^ Q ^^-J- Q i^^ \}Jn\ a ^-71 d'un on-uent <c=> J^
mot lui-mme,
\
h
fi
>>:^
(3
(I
^^3:^ Afi
'^ss^ '^::z^
>
(Br. et D.,
Rec, IV,
\l o ni & <zz> ^^zz::^ <r=> Ji <S c^ c^SiJ _f^ _Hf^ <=:=> h _M^ V 97/10-17). j)longes-y un Imion; si tu le trouves mou, paissis-le
Il i
.
((
'
si
4fi
moyen
d'extrait
lunude de Caroube
graphe
1
a5?
Ce mot
11
l)
Yih\
6,
'I-. ^^--ni,
17.") c/,
^n li 200
les textes.
cause de l'ortho-
et
de
la transcription dmotique
Q oo
{Pap.
Rhind,
La
cpii
doivent
I
entrer dans
parfum
^
Tr oooULVJ DllLI J .=
8 o
_M
(j
^ n
1
1 r=
>
Deill^zzr D
II
n
I
<=>
AWA.
AAAAAA
^^=^
H H
ii
ll\
[H]
:;iI[TOfoVo:^f_#W,^^
1.
AVSA^^
En
produit A Jian
3/."3.
en exprimer
1
le
1/4 sous
han 3/20.
'
Encens
[10]
(en, 1 qad.
ten.
6
2
1
1
4. 5. 6.
qad
qad.
qad.
[1/2J
'.
Aspalathe
Lentisque
(iraines de
7.
8.
Tekh
bon de l'Oasis
qad
han.
1/2.
Vin deux
fois
1/2
1
9.
Eau
dtermin par ailleurs"
et
les
han 1/20.
les
J'ai dj
ingrdients n*
1, 4.
5 et
(3;
noms gyptiens
de l'encens, du vin
tudier, la
fin
'.Il
ne
me
restera
donc
do ce travail, que
Styrax et
la
graine de Tckh.
la
On
proportion de
la
puli)C de Caroube
la
ma
moment
cion,
vrifier ])ar
exprimentation
1.
Le mot nouveau
est l'quivaleiU
fi--:'.v,
ix^i-K-zzv/,
immergere.
*^~~^
3. 4.
5.
<
.
le calcul
prouve
II
<m>;
paralllisme et
le
Le
ni
.
employe au cours de
la recette
montre
^^^
n
;
on verra par la col. 6 que c'est l un oubli du graveur. 7. Pour le Caiamua aromaticus, l'Aspalathe et le Lentisque, cf. V. Loret, le Kyp/H. parfum sacr des anciens gyptiens, p. 39, 42-44, 47-49; pour le Caroubier et son emploi en parfumerie, cf. V. Loret, Recherches sur plusieurs plantes connues c/es anciens Egyptiens, n" VllX, p. 7-12 (= Rec., t. XV, p. 111-116). 8. Une interprtation nouvelle, propose rcemment par M. J. Krall au sujet de YAnti, m'amnera pourtant examiner plus loin la question de l'encens.
6.
Le texte passe
137
il
ne
soi'a
i)as
sans intrt de
rai)))eler cjik
la
Vau(|uelin,
famille (pie
tudiant
le
la
gousse de
la Casse^ plante
mme
grammes
351 55
70 31
132 82
Semences
Pulpe
445 32
1.000 00
le
voit.
])lus
la
la
pulpe do Caroube,
proportion de 3/5
indique par notre texte, d'autant plus que \'auquelin parle des 2/5 du poids, tandis cpie
les
II
la liste dtaille
la
composition de
un
deCaroube:^lxtr""']M*^=ISO'^"^
' ^ /wwvA /vwsAA
/vwvAA
= ''"IV
i
cette pulpe
m U=^
pl]
AA/vwv Ji
-^
D
'^n nraol
r\
I
n
^
^^'''<]=
.
.
/vww^ra
1
c^do
ru <=:=>
^-r--^
^-^,
le
le
premier lour o
on commence
suc de Caroube.
ajouter
han 1/20
d'eau pour
le
rduire au feu.
il
La diminution
hanl/lO
1
-.
de han 1/20,
Ce
employer
(de suc).
han
d'eau.
reste 1
han
On comprend
Avant
que
le
han 3/20 de suc han. Ce sont donc 3/20 de han d'eau que
l'opration,
y avait
l'opration termine,
l'on a extraits
il
il
du
h
mme
il
jour,
mais en deux
de
fois
.
la
premire
l
fois,
s'agit
de
^^ jSs. [1
la
seconde
fois,
est question
le
|1
Sont-ce
le
deux procds diffrents? Certes non. Seuleest plus vulgaire et plus grossier.
il
ment,
le
second
Le verbe
du
en effet, est
signifie,
ai
ici, Jaire
de
l'huile,
de
la rsine,
1.
Annales de chimie,
t.
t.
VII,
p.
275, d'aprs
7' dit.,
2.
III,
p 373.
la
Remarquer que
et d'eau.
uou sur
le
mlange
de suc
RECUEIL, XVI.
18
138
mme faire
en style religieux. Le mot djar, au contraire, est un terme technique trs prcis et trs
spcial.
Partout o
je l'ai
va employ \
il
signifie chauffer
un corps
rduire au feu
se
rapprocher du copte
-xtoA,
-xep, "xwp,
dissipare, disper-
se retrahere, retrahi, et
-xepco,
non
comme
En
l'a
fait
M.
ardere,
accendere,
sens.
-xcAev,
finale forte
tien djar.
Le rapprochement que
du sens
de
la
phontique.
Sur
Casse,
grammes 32 de pulpe
148 44
(pectine)
GlaUne
31 25
Gomme
Glutine
15 62
7 92
5 10
Eau
236 99 445 32
D'aprs
les
recherches du
mme
appartenant au
mme
groupe que
chimique
'
Acide citrique
9 40
1
Acide tartrique
55 45
Acide malique
Surtartrate de potasse
3 25
Sucre
12 50
4 70
.
Gomme
Glatine vgtale (pectine)
6 25
34 35 27 55
Parenchyme
Eau
100 00
La premire de
de
donc plus de 50
% en eau, et
la
seconde plus
25%.
ce qui
la possibilit d'extraire
du suc de
Caroube 13
% en eau, comme
t.
gyptiens.
1.
I,
47 b.
2.
3.
Annales de chimie,
7' dit.,
t.
III,
p. 375-376.
139
il
reste une question de chimie pratique que l'on ])eut se poser ce sujet.
1
Voulant, sur
Iian 3/;80 de suc, enlever lian 3/20 d'eau, pour quel motif les gyptiens,
le
au
ils
lieu
pens d'abord de
la
navet ou de la maladresse. Je
me
suis
demand
ensuite
si le
vive au feu et
n'tait pas
songea
d'utilit,
fin
la
moindre raison
En
de compte,
me suis
des lments volatils qui ne peuvent s'liminer, par vaporation au feu, qu'au bout d'un
certain temps.
un demi-litre de
liquide,
il
faut quelques
minutes peine. Ce laps de temps n'tant pas sufBsant pour permettre l'vaporation
d'lments volatils autres que l'eau,
la
au
lieu d'tre
serait au contraire la
preuve de certaines
connaissances chimiques de
des gyptiens.
Je dois faire remarquer, pour terminer l'examen de cette premire section, que
1
a t
employ pour
la
liste
des ingrdients mentionne prcisment 1 haji 1/20 d'eau. Toute l'eau indique se trouve
donc au
utilise, et c'est l dj
tenir compte.
se trouve
Quant
de
la
mme
liste,
il
maintenant
volume
d'extrait
III
(mme)
jour, prendre
pour
lui (c'est--dire
pour
l'extrait)
Calamus aromaticus
Encens sec de premire qualit
2
1
qad
gad.
1/2,
Imbiber de vin
Faire macrer avec lui (c'est--dire avec
le suc).
qad
2/3.
On remarque, dans
s'explique aisment.
les recettes
La chose
en rien
On
facilement
la
gomme,
le vin,
elle n'agit
sur la rsine. Mais la rsine est soluble dans l'alcool, lequel constitue une partie du vin.
la
gomme
de
la
gomme-rsine
qui^
la
en plus
fois la
de
l'alcool,
peut dissoudre
gomme
et la rsine.
140
les
recherches de
ici,
qu'il
56
de rsine
part, possde en
moyenne de
le
pour l'emploi
deux
fois
bon de
l'Oasis.
En admettant que
celui-ci
possd
15%
qad d'encens)
5 gr. 6
2 ce. 5
On comprend
renfermait
elle tait
la
cpie cette
Quant aux 3
le
08 de
gomme que
mme
quantit d'encens,
en valuant toujours
qadk
10 grammes,
facilement dissoute dans l'eau, qui constitue en gnral les 9/10 du vin^ ce qui,
dans
le
Le
matires vgtales ligneuses et gommo-rsineuses pour 1 ,'4 de vin, devait tre une sorte
^ ^
han
faire
macrer
Peut-tre signifie-t-il
si
c'est
bien
le
mme
mot,
dtermin par
"^
Il
nombre
de substances (pesant 9 ten en tout), mles 2 han de vin et 3 han d'eau (pesant en
tout 25 re/0. que l'on doit
(Br. et DiM.,
[1/5], la 2"
d^l
.^."^ ^
(1
V @*X*
/.v"?v,
^^^^^^^"^^
:
Rec
la
IV, 90/9),
3"
la
1''-
de
de 2/5,
de 2/5
Le dterminatif
ip&p, fiepfccp.
\\
W",
effervescere. ebul-
calidus. Mais
il
est toute
une
srie d'autres
:
oKoO'aOat. ejicere,
abjicerc, projicere
vakiv,
o'.a) .JE'.v
,
x-'.vxt-'.v,
excaiere;
dissolcerc
,
ii%, ficA.
WA,
fiioA, Xjstv,
ixX'JEiv,
jTToktv,
/.aTajc'.v,
sohet'e
dispergere, destmerei
seul ces sens divers de
les
ip&opT,
TC5tpa).j;j.vo;,
dissolutus, scssus.
En
coiidensaut en
un
deux signi-
presque opposes de
soit
d'une dcoction
chaud,
d'une macration h froid. Notre mot infuser, qui s'applique aussi bien
un mlange
froid (infusion
de
1, 2.
Annales de chimie,
t.
LVIII.
p, 60,
d'aprs N. Guibouit,
le
o/y. cit.,
t.
III, p. 520.
du
qad dix grammes, bien qu'en deux quantits reste mathmatiquement le mme.
ralit
il
141
plus
|)r()pi'(>
rendre
a la
t'ois
lo deux
luiaiices (pie
donnent
rgvi)tien
<'l
[1.
Pendant
dans
jour.
le
({ue
la
]M'('pare,
encore
le
mme
IV
'ww^^
.
^^^
iln^^37._
=3loii^
I
<=^AAA/v^^
:(-=>
^^vv
o
:
((
faire
pour
^
lui (c'est^
Encens sec
2 ten
Eau
J'ai,
han 1/15
(\\.(''cul
))
i)ar curiosit.
(M1
;
la
1
Deux
ten
Il
d'encens reprsentent
,
::;?()()
.uia
mu u^s
d'eau rpond 33
grammes
la
1/3.
est vident, a priori qu'une aussi faiMe quantit d'eau ne ])eut gure agir sur
masse
d'encens.
Le
rsultat
que
j'ai
celui-ci se dissout peine, s'amollit trs lgrement l'extrieur, puis l'eau s'incorpore
et s'vapore trs vite,
mme
l'meri, et
il
commencement de dsagrgation de
la
la rsine
amen par
la dissolution
gomme.
Le nom de
appropris.
J'ai
corps sec
cpie
masse
est
voulu ensuite
me
les
gyptiens en se
servant de corps secs d'encens dissous en partie, plutt que d'encens intact en larmes ou
en poudre.
J'ai
se dissoudre dans
partie, puis dessch.
un
liquide,
En somme,
Nous
comment on
mettait en
uvre
Prendre pour
Aspalathe Lentisque
lui
qad
qad
qad 1/2
1
1
Graines de Tekh
Imbiber de vin
qad
2/'S
142
le
le
lendemain,
comme
la suite
la mettait
comme
il
Le
le
nom de
dont
la partie rsineuse,
Avant
Le premier contient 1 han de suc concentr de Caroube, dans lequel est en infusion un mlange de Cakifinis et d'encens imbib de vin. Le second, le troisime et le quatrime renferment les trois corps secs. Dans le cinquime
se trouvent les ingrdients
dont on vient de
lire la liste et
corps sec.
VI
o
^
II
><
m ( n <=> \u Q
>
r-,
..
!L
O o ^="^<=> ^
jsoc
A\\\o
'-^^-'
"^^
I
\7
((
-,
ii^^iio
A >
I
n,
le
mettre
les
2 ten d'encens
jour.
Cette manipulation est des plus simples comprendre. Les deux ten d'encens que
l'on doit
les
deux
partie de cet encens, c'est qu'elle s'est vapore pendant la nuit. Les aromates que l'on
doit mettre dessus sont ceux que
mentionne
la section "\^ et
macrer dans
indiqus
Il
le vin.
la section III.
le
dans
le
communiqu
non pas de
han,
comme nous
la
mais
de
han (un
I,
section
n 2-7,
qad
l'auteur
de
la recette
il
sous-entend
dcantation, ou peut-tre
la
le filtrage
un
sac,
<=>5- Mais
est d'autres
le
preuves de
chose.
extrait
Le suc de Caroube
mortier est
nomm
ts/e/DS?
1. Le texte porte tort ^-= au lieu de 0=. L'expression sam r menl.h de parfumerie (cf. Bk. et Dum., Rec, IV, 92/17, 93/24, 94/36, 95/42).
est
143
et (le
hi
In
section VIII.
l'tat (les
Nous constaterons
(pi'il
aucun
on doit
laisser
macrer
le
les
Un
((
seul
nuc w
la
a t traduit
tropfenweise
par Dmichen
{loc. cit.,
Il
p. 5) et
<(
nacli
par
Brugsch
le
est certain,
place qu'occupe
mot dans
phrase, mais encore d'aprs son emploi dans d'autres recettes de par((
et qu'il doit se
,
rapprocher
COncutei'e,
:
du copte
x-rtvatretv, colXv'je'.^i
tir
le
prouve surabondamment
AAAAA\
150
rt),
la terre
crainte
VII
Ci
((
C^
[Il
^^ Ci
T /WV^A
III
AAAA(V\
WJWW
Jj
I I
D
:
)'<
AA/Vv/V\
OX
A^VW\ (
(1
(111
agir de
Cjui
mme
pour
tout,
les
ce
donne (en
Encens
pour
corps secs,
6 ten
Eau
Jours
han 1/5
60
Le
total
donn
la
fm de
X3
= 6 ten
20 jours X 3^ 60
jours) nous
prouve que
macration de
l'extrait
trois
corps secs devait durer vingt jours. Donc, aprs infusion de vingt jours dans corps sec, on dcantait ou l'on
filtrait la
premier
l'on avait
mis pralablement
laissait
le
second corps
On
la
au
mieux, puis on
nouveau
la lic[ueur,
on
comme
Le
on avait
fait
pour
le
que
pour
le
second et
le
troisime corps,
premier, avec
les
la diffrence
que
l'on
ne doit pas y
sauf le
la liste initiale,
1.
Tout au plus
,
pourrait-oii admettre
que
c'est aprs le
le
Calamus
2.
et l'encens,
fait
en
liquide
me
prfrer
extrait
144
corps, de sorte qu'il ne s'agit pins que de donner l'extrait une odeur d'encens en la
faisant infuser successivement dans le second et le troisime corps sec.
VIII
iRvNr-i
(attendu que)
le
.,
gain rsultant des
(j
l/\o
tcn
i,
compte
han 1/5
han
1/5.
Comme
avec
le 1
le
11
texte additionne le
est
le suc.
Tous
les
t, aprs
liltrage.
Le mot masculin D T- P^' ouah, (Br. et D., Rec, IV, 94/40, 9.j'4.5),
crit AK^ Y dans d'autres recettes analogues du mot fmmui ^ Llzi, qui signifie
est roi)i)os
11
se rapporte
et
videmment au copte
la
oir*.g^,
ovog^, oTiog^,
o-s-o^,
TTpojT'.Ovai,
conjonction
et,
avec
((300
grammes),
fait
le
l
j'ai
un
dont
la possibilit
nous
est
IX
n
.--
-dire pour
fait
^M
:^ l mod
jours,
'l
^37'
.
^*
^"^ ^^^^
comme
jour.
"^ ^^
il
^^ a ete
est vident
demand soixante
jours,
reste
120 jours
les
trois
chacun d'eux.
il
ne
dit pas
,
La
dernire partie de la
phrase,
les
en toute similitude
comme
corps d'encens, de 2 ten de Styrax et de han 1/15 d'eau. Cela ferait les G ten de Styrax
la liste
mentionns dans
voir,
dans
la
4 nouveaux
ten de Styrax.
Nous devons en
de Styrax ne
demandent en
tout que 2 ten de cette substance, soit ten 2/3 pour chacun; ou bien que
145
faut
ten. ]o ])r(;f('ro
m'arrter
la
premire supposition
et considrer
comme compos
de ten
2/3 de Styrax
+ han
mots
en toute similitude
s'appli-
queraient seulement
trois fois et
la
mlang
avec
le
pour
manipulation
finale.
X
g^j.^o lll^g^ AA ^^ o M M W /wwsA ^^m o
I
I
^r<j:p>
1 1
I
,i
ajouter (c'est--dire
'
l'extrait)
Encens
Vin
4 ten. 4 ten.
2 ten, 1
Poudre de styrax
qad
2/3.
Comme
la
il
est
vident que
le
parfum
est considr
comme
le
mlange de
le
l'extrait
avec
le
vin et les
dcanter ou
le filtrer
quand
moment,
les
dfinitif.
Tous
Encens,
ingrdiens de la
(sect. ni)
ont t utiliss.
En
effet
qad
Styrax, 2 ten
(sect. ix)
(sect.
+ 6 ten (sect. vn) + 4 ten + 4 ten (sect. x) ^ 6 ten ; ni) + 1 qad 2/3 (sect. v) + 2
indique pour
le
(sect. x)
=: 10
ten, 1
qad;
=: 2
ten, 1
qad 2/3
(sect. x)
ten, 5
qad.
la
En
Le
ralit, la liste
vin,
non pas 2
la
ten, 5
grammes,
le
volume
le
est de
25
au
mme
comme ayant
mme
au sujet de
la relation
le
un prcieux renseignement
Nous avons vu
han
1/5 au
moment de
la
les
volume de
de
l'extrait
le titre
mme
la recette
nous
faisait prvoir.
XI
AAAAAA
/I\ jooofnDiiiiD
r-,
nnn
, /wwsA <^=2_
,
I
le
gam
(rsultant de
emploi)
19
RECUEIL, XVI.
146
liaii
(=
1 licm 1/5
Cette proportion du
gain
Y-
effet,
^
-^
= han 2/15.
Mais l'auteur de
gain
la recette
va nous faire
est
perte
styrax.
XII
LJ
\\ AA/WV\
MliU
ru
AJW\rj\
U Jd-U
AAAAi
il
reste 1
/la/z
grande,
dame de Ten-
pour toutes
les desses
du Delta
et
de
la
Tlibade
On comprend
en augmenter
le
ml
la solution
gomme
que
le
et
de
la rsine
On comprend
comme on
le
XIII
Avant d'tudier
d'une opinion mise
l'encens, dont le
les
il
^^jo
J.
et
Jt^
X^,
je dois,
cause
M.
orthographique 1
Dans son
que Vnti
travail trs
document sur
l'encens,
(ju'il
pays de Pount', M.
Ao
o,
J.
AA/wv^
>
o et o
/wwvs o.
est,
non pas
comme on
gomme
.dl) (l(lo
A^A/w^
'^
o,
gomme
de Souakim
et de
draient en partie l'ancien pays de Pount) crot en quantit V Acacia Sngal, d'o
l'on tire la
gomme
arabique.
2 Untif tait
l'eau,
par
scribes,
pour
comme on
servait
gomme
U nti Qnt
utilis
gomme
1.
J.
^gypten, IV
147
Egypte
partir de la
XMIP dynastie,
de
mme
que
se sont acclimats
la
au Caire
et
produisant de
5
gomme.
est
]
11
Q
,
souniii'.
le
mme
arguments
Le mot ^y O
o,
>c|ji|jli
gommes proprement
effet,
comme
latin. Si,
en
gomme
^
d'Acacia (c'est--dire
s^
U(J
Il
{ioia.,S7/6),
.
M. Krall lui-mme,
ilijo
devrait signiHer
/wwva
gomme-rsine d'encens
dnomination ziU
une
gomme
Afrique
et se rencontre
le
justement dans
'.
les
com-
prendre sous
2 L'encens, tout
arabique,
on
l'a
vu plus haut,
peut fournir
les
le
en solution dans
a,
et
amalgamer
couleurs;
il
de plus, l'avantage de
but cherch
Quoi qu'en dise Pline, qui du reste parle prcisment de/alsifications d'aromates,
mme
froid, tandis
que
la
gomme
est certain
fut plant
Thbes sous
XVIIP
dynastie
il
la culture
de
le
Mais
est-il
certain,
et
comment
savoir?
que
rsultats? Et puis, qui peut affirmer que le Boswellia ne russirait pas en Egypte,
l'on avait
5**
quelque raison de
l'y
/VWW\
l,
que
le
|
11
le
mot
la
forme
coit'^, ccon-f ,
rsine,
pr.ivri
L.),
j'.y^l (Kir., pp. 175, 265), d'o l'on pourrait conclure avec quelque vraisemblance que
le
sountir est
la
rsine
du Pin d'Alep. M.
la
J.
le
trouve en
Arabie
et
en Afrique.
je crois,
l'a/i?;?
J'ai russi,
dmontrer que
ncessairement
les
J.
Krall ne
soit
la
gomme
arabique. Mais
il
reste
un
fait
1.
Sur
Cf.
la transcription et la lecture
tort
par
/^^
(JIJ
,9,
M. H. Schfer dans
XXXI.
pp. 118-119.
148
auquel
il
absolument impossible
c'est
que
yiiti se brlait
c'est l
la
un des caractres
distinctifs des
gommes-rsines;
Il
gommes
pures,
comme
je
gomme
me semble donc
lui
aa^o
fait
le
sens d'en-
cens qu'on
me
ne modifie en
le
M.
J.
pays
le
XIV
J'ai
le
signe
le
phontiques 20
est par
-r
^w =
(J
>
et
le
que
;^> se compose des deux lments nom d'ingrdient dans lequel il entre
p,
n:^'?
qn
et
J^Qoj
M. H. Brugscli
dsignent
le
'
mots de l'hbreu
de l'arabe ^^I,
{)ui
Styrax, et
ne puis que
me
malgr certaine
monter.
Tantt,
rsines
le
difficult qu'il
mot
>
est rang,
,
dans des
,
listes
gommes-
IK f 1K i^^^ tantt, il fait o ou A/wvAA O Sv^v (] o j^ rv vooo (SWooo g -c^ooo _M^ooo 71 o partie d'ingrdients entrant dans la composition de parfums sacrs. Dans ces deux cas,
1
^ ;
o\ Mu
4\ /*!
formes
d'exemples
,
00 J |
^^^^^^ ^'- Brugsch, mais non accompagnes SS Ji J ainsi qu'un groupe dmotique dont la transcription donnerait >/>/ J
> '
^ ""' ''l'SPl'^.
>
faut jo.dreles
le
mot
N'nb
textes dats
et
mme
la
d'affirmer
que
gyptiens
connaissaient
ds
le
dbut
de
la
XVHP
dynastie.
Ce dernier document,
nomme.
le
plus ancien,
ma
connaissance, o
la
la
plante soit
^^^^^
UU^
^=y (98/13) et
mentionne dans
-fL
1.
Auprs d'Amnophis
tenant, devant
Araon. nn
encensoir alluna
a^vw'a
^\
o^
O
registre, tableau 5,
N. GuiBOURT, op. cit.. t. III, pp. 516-521. V. LoRET, Recherches sur plusieurs plantes connues des anciens gyptiens, n' VI-IX,
0.2=:
Rec,
t.
XV,
p. 115, n. 2.
4.
5.
6.
Dictionnaire hirogli/phirjue, Supplment, p. 661. Br. et D.M., Recueil de monuments gyptiens, t. IV, 80/3, 6; 91/2; 93/26,29; 94/34; 97/18.
Ibid
,
A. M.\RiETTK, Dendr'ah, t, I, pi. 48 a. 8. Br. et DOm., Rec. de mon., t. IV, 80/7; 93/26, 27; 94/34, 39. 9. Dict. hirogl., p. 781 1= Mar., Dend.; DiJM., Temp. Insc/ir., 10. H. Brugsch. Dict. hirogl., Suppl.,p. 661.
7.
I,
64/2, 52/5.
ETUDES
une reoottc de
Har/'is
1)L:
droguerie EGYPTIENNE
Le X/ih
noinuK' trcus
149
[)ai'l'uni
a l)ilor,
|jl
est
fois,
au Gi'and
Papyrus
((>|)()(|iie
de Karnsos
III).
sous
Jj^ -^
ou -^^^M
J"^ ^^
noms de
la
aromatiques
tels
que
le
Cinuamoine.
Cannelle,
Calamus
a/'omaticus, etc.
On
sans
n'\Q\w
peut
tirer,
/wv/vvA
(inal.
e>t
l'autre,
Xniiboun), Xiiehni.
ailleurs'
combien
cette finale en
A''
est frquente
dans
les
smitiques.
On
R ou au L.
L'identifica-
XnriboKu, Xnebiii
voir,
On
pourrait
mme
dans
la
forme sans
mot
dont
ni-A*.i<.o,
(|ui est
traduit
r//;^s^
la signification
le
exacte ne peut
assure (pi'aprs
employ dans
mauiserit copte.
le
njis'^,
que Ton doit se garder de confondre avec mot lequel dsigne l'Encens, ne se rencontre que dans deux passages de
Le mot
nja'?,
(ar.
\J),
la Bible. Il
y est
employ pour dsigner, non pas une gomme-rsine, mais un arbre de Palestine dont
les caractres
le
contexte.
nj;!'?
Dans
le
par
axjpaJ;
dans
le
second exemple
{Hos.,
la
IV, 13), la
xjxr,,
peuplier blanc
. Il
est vident
que
c'est
est la
la plus
mot
nj?'?
l,
d'ailleurs, l'avis
le
de K. RosenmUer
sens
Xejxt)
',
bien que
au sens
axjpa?
le
on Xniibouti dsigne
le
bois odorant.
je
miner
si
la
dtermination que
M. Brugsch,
arbre, et
Nniibou
est effectivement
un
|
ou un
[I
le /wwv, o,
par exemple, ou
:
le
Le mot
mme dans
les recettes
de parfumerie, o
il
de
la
noms
noms
'
2o
Les
trois passages
:
il
du Nniibou
1.
2.
3.
V. LoRET, Rec/>. sur /j/us. /'lant., w'' VI-IX. p H. Tattam, Lexic. (l'iju/'t. -latin ., p. 841.
6. n.
fiec,
t.
XV,
p. 110, u. 1.
4.
150
XV 6,
'^
\^
(l(j
J ^ -A^ o
^
1 1
^^'vws
I
Xniibou, 3 bches
Cannelle. 1 bche
LUI
-=W'
a
^A^^
/wvw^
mm]
= ten = ten
610,
800.
^(^(^(S
3:
OQ
M
11%^ ^^^^^"
A>?/?6o?/.
?m 625,
-=t3^ 'wvA^
LXXI '
1^
"7^,(j()
J^ ^
f
,
^ ^ ni^
j
^ ""
-^''^"'-^o''
D'une
part, le
rapprochement avec
trois
la Cannelle,
corce odorante,
,
nous prou""05^
dterminatif
kilos.
tait
"^
Trois
ten,
le
^ H ^^
"^ ""
Nniibou
^^ n.
(cf.
A^^
feco,
import en
Temp. Inschr.,
et
66/1),
du bois
to,
.
ftgnuni)
de Nniibou,
40
procure
(= ^
(W))
Aouisha
amne
toujours un gain,
^, dans
augmente
ces liquides de tout ce qu'il leur cde par solution, la poudre de Nniibou, au contraire,
-i\
c'est--dire en absorbe
la
Ce
fait
le
poudre de Nniibou de
il
sciure
de bois. Si
l'encens.
Nniibou, en
effet, tait
une gomme-rsine,
n'agirait pas
autrement que
il
reste rechercher
si l'identi-
le
mot
nsa'?
gomme-rsine. Je ne
biblique
la Bible,
est,
dans
cet
pij
et
nK3?\
En
le
arabe,
^J
dsigne l'arbre,
la
gomme-rsine porte
nom
spcial de ^\
Et mme, en franais,
latin le
donnent en
le
nom
de Styrax l'arbre,
nomment
mot Styrax
n'est
gomme-rsine
non
le
gyptiens employaient
bois de l'Aliboufier et
1.
s.
p. 529-530, 548.
2.
(Francof..
1675).
t.
II,
t.
p.
532-5o3.
O. Celsius, Hierobotanicon,
t.
Blbl. Naturgesrh.,
I.
p. 163-165.
151
(r.\.inori([ii(''.
s'extrait
aujouid'luii de
le
Ljiiidanibar orientale
*;
}kh\.L.. (|ui
'L.,
occidentale de l'Asie-Mineurc
le
Styrcuc officinale
se
septentrionales et orientales de
la
Or, d'aprs les indications que nous ont fournies les anciens sur leur
certain qu'il provenait
est
se
du
St///-a.r et
non du
Lif/i(idar)iha/'.
D'abord, Tarbre au
j-rjpa?
du
est vrai
du
Styrax, mais ne
nullement
du.
Stj/iri.r.
Enbn,
le
^^
un Styrax;
de
la
sonfruit.
du Styrax,
donc
compose d'un
Il
et enchsses sur
tait le
un rceptacle commun.
est
Styrax
ou d'Arabie.
:
le
Styrax
li([uide,
le
que
mme
le
Styrax
que
l'on obtient
en faisant
bouillir le
en recueillant
nager
la surface.
dcrites dans la
pharmacope arabe
Dans
les
Scal
*.ju.iii*.Ko-y,
.AxmdwKOT
jj-sj
;
-i^L-l
_J Ja^l
f]
ia^l
styrax
cT-yp*.^,
cTcpi^
^ mme sens
R&.jii.nTiTon, RCJULoitTiKort
r= 1^\^
aju^,
((
styrax liquide ;
,
Atu.^
styrax
jy^
liu^
styrax brler
i,^
*i,
corce styrax
"
On
s'explique aisment, dans ces conditions, que les gyptiens aient pu employer.
styracijlua L., qui fournit le Styrax liquide que 1. C'est une espce amricaitie, le Liquidambar vendent nos droguistes. 2. E. BoissiER, Flora orientalis, t. II, p. 818. Pour distinguer ces deux produits, les droguistes donnent au premier le nom 3. Ibid., t. IV, p. 35. de Styrax et au second celui de Stora, 4. HROD., III, 107. Diotic, De mat. med., I, 79. Pline, Hist. nat., XII, 40, 55. Athn., Deip-
Strab., Geogr., XII, 7/3, XVI, 4/13, 26. Cette comparaison devait tre trs juste, car le Styra porte, en grec mo5. Diosc. et Pline, loc. cit., derne, le nom de YP'.a x'jowv. (C. Fra.\s, Synups. plant. Jlor. class., p. 194; E. Boissier, op. cit., t. IV, p. 35). 6. Cf.. pour le Liquidambar, H. Billon, Hist. des plantes, t. III, p. 398, fig. 471-474 et, pour le Styrax, t. XI, p. 414, tig. 488-493. 7. D'aprs Ibn-B.\thar, loc. cit., n- 2196.
nos., IX, 67.
8. Ibid.
9.
Seal, copt., n"* 141-142, 161-162, 498, 548 (ces rfrences se rapportent
la partie
une
dition,
que
je
prpare
en ce moment, de
des
Scal qui
traite
des vgtaux).
152
il
est
mme
^'
vrai-
commode pour
Touthms
le
mot
Jn
que
n'est pas
le roi
une variante de
III
Om^
roseau
mais bien de
[1(1
s=
A, on constate
en
l'an
XXIV
de son rgne, en
etc.,
fl
mme temps M
fi
"^x
{Rec,
II,
150),
le
Styrax liquide,
le
;JL
a^ ?
Oui, et
le
nom
qu'ils
Nnirbou
'^^'^^
Le Papyrus Ehers, en
la
AA
Ei.
(ju
\\
11 -M.
^
AAVVV\
^v'
(^3/18), c'est--dire
le
Arabes,
C'est
donc par
le
l)ois
ou
qu'il
convient de traduire
.
dsormais
gomme-rsine de Styrax
le
les
Styrax
le
que renferme
Papyrus de Bologne
Thbes.
Il
n 1094,
curiosits de
hotep, de
la terrasse
d'Amen-hotep. de
A^
"^
'^'^-
Q.
Karnak, etc. Bien que la copie cursive du papyrus, i)ublice par Chal)as, porte
les
le
mot
le
rapprochant
la
mot du copte
le
.tt*.,
le
J| traduit par
M. A. Lincke
transcrit
.
Il
prtre'
faudrait,
pour dcider
question, avoir
manuscrit sous
les
yeux. Nanmoins,
comme
nomms dans
et
que
ma
transcription
{Nnb) d'Hthor.
XV
Je dois avouer que je n'ai pu russir encore dterminer la plante
j'aie relev
soigneusement tous
hirogl.,
p.
les
nom
se rencontre.
M. Brugsch
le
{Dict.
plante
comme
tant
y a vu
la
a confondu avec un
nom
de plante
mot
^>.,^, ivresse ,
le
^^^Ti
1.
joie .
Il
se peut, d'ailleurs,
que
nom
de
la
le
mme
texte, 12/34),
(Leps.,
Ausw.,
Nib
est
2. 3.
et
non
le
nom du Roseau.
p. 2-26.
Ml. cuyptol., .S' srie, t. II. pi. 12 et p. 165. Beitrge zur Kenntrdss der altagyptisc/icn Brieflittcratur,
TUDES DE DROGUERIE GYPTIENNE
racine
le fruit
153
^ ,
mais
il
la
^'igno dont
agisse sur
cerveau
espces,
la
peut produire
ici,
mme
elet.
Quoique
exemples que
je
possde du mot
runir
fourni aucun
rsultat, je tiens
nanmoins
les
dans l'espoir
tirer
le
la
dtermination de
plante.
le
appartient
plus loin,
le
la
comme nous
le
verrons
Papyrus Ebers
La
plante,
I,
elle
tait
du moms
cultive en
Egvpte
U U U
^i ^^
les
-M
(Mar., Dend.,
18),
un champ,... dont
.
de Tekhi
Un
texte range cette espce au milieu de plantes aquatiques, sans nous donner
d'eau
''^
Il
I,
15),
((
le
le Nil,
le
Dekhoii dont
la
qu'aime
Ma
Majest,
les
Men]ii dans
Les
d'aspect agrable
/\
"^^(1
J .
{Ibr'd.,
IH, 66),
Une
des
annuellement Tentyris^
tait
nomme
:
la
Fte
Tekh Quelques
^nn
/
inscriptions
^
d
c--^
Jl
poaaaa^a
00
\\\\\m
c^
<tTt
j'ai
la pis-l azuli,
IDA
(^iir
la
i
i,
^^^^ cc.
Fte des
offrir
I
Dekhou
<=>
;
p. 1566), le
jour
,,.^
AAA^^A
(il (Ibid.),
((
le
.
ciel
^
sa
^^^^-^
bonne
Tekh
Les
fruits,
ou
I
les
graines,
du
est d'abord
ov ^,Mo>C^Oil^^&Pmli^
Parfum Sti-heb
encens
frais,
:
l,,''^-
du]
cia,
plantes
As
et
Hm
Ce parfum
faire
tait
connu en Egypte ds
les
temps
supposer que
la
propre l'Egypte.
la recette
le
On
si
du parfum Sti-heb
les
pu
se modifier avec le
temps
et si
on y
faisait entrer
Tekh, sous
premires dynasties,
comme
on
le
faisait
l'poque ptolmaque.
La
Syrie et
20
154
d'Arabie,
la recette
du parfum Sii-heb a
une
:
remanie aprs
r Ancien-Empire.
De
eau
r|
les
"^^^^
couleurs pour certaines crmonies liturgiques ^ '^^^ r=E [ O 1^ Afi O .1? , ''^^^^ (Masp., Pan. \> ^^,,.11^ "''^
Ofx^
(In
Louvre,
p.
37),
Isis et
Nephthys
t\ J^
(l'toffe),
de Tek hou
Enfin,
V
^
^ ^, piii=D=iiio
j-L,,,
le
Tekh
Pi
(2
les
cnn o ^
<=>
\/ Is^
n
^ U <rr>
,,,
tait
employ en mdecine: V\ pour ciL^lll^ <3>^^=:_ _m^ (2a#n (Pap. mdic, XI, Autre gurir =
<=>
^^
0.
^^
<o c^
III
r-
2),
recette
les
en frotter
le
^^3^
(2
<cr>
(3
=o
on
C3
^
:
M
les
(luid.),
.
((
mme
r-^x-^
nn^ ^
J!iJi\\\
:
objet)
mastic,
en frotter
Comme
le voit,
il
est difficile
nom
^ .
le
n'est
nom
Tekh, c'est
le
copte
compos suivant
Tix's^^'ion
ry-'^ ^j*i
Huile de violette,
Iderii
^
jeA*.ion
*b
et d'un
mot non
grec, Tix""",
les
si je
termes
^^IJI
-Ai
4il
Huile de Moringa
',
,'\^
"
Ju.ocxo'i\.iou.
,
Axocxt^^Jon
Idem
'.
t/f^^
-"^ v^
Il
i.cAieA.ioit
Ou l
/yi
Huile de Jasmin
<t\
*,
""
(j[;U<c*'
est vident
i.cA*.c),
et i>*>-.l (copte
|^''^c**'*^\v
te^cjuLi,
suivis
du grec
Xaiov.
Le mot
le
\\i<xy
le
nom
gyptien, ou
de
la Violette.
Mais
x copte
^w^
^^^.^"^
KJ^^
"^
(s5,
ig),
et c'est l
une
difficult
\y^
'
j^
La chose
le
de
la Violette
plante Tekh.
La
mais
on
la
1.
Sval.
Ibid.,
f-opt...
Il"
n-
500-dOI.
2.
3.
332.
4.
lUd.,
n 518.
155
les
premiers temps
en
les
Romains
l'introduisii-ent-ils
Egypte,
comme
ils
la
bords du
',
XXI,
mdecins grco-latins
la
et arabes
comme
plante Tekii.
"^j
la
et
il
prudent d'attendre de
dtermination de
plante gyptienne.
XVI
Nous [)Ouvons maintenant, en guise de conclusion et de rsum^ donner
entire, paraphrase, de la recette
la
traduction
dtails.
Nous
avons vu
5
ten,
(sect.
X) quel
dit 1
est le rapport qui existe entre le ten et le est 1 ten ce qu'est 1 litre
han
autrement
han
200 grammes.
Au lieu
au han sa capacit
96^'"46875,
Les proportions, on
ment
simplifis.
les
ingrdients suivants
'
Suc de Caroube
0^575
1 .010 gr.
3.
600
gr.
4.
5.
L.)
25 gr.
10
10
gr. gr.
6. 7.
8.
15 gr.
0^5
Vin
trs alcoolique
9.
Eau
Q. S.
Premier jour.
Le premier
l**
Prendre
le
ce
rduire
0'5 d'eau,
faire
0^5 de suc de
Pline. Hist. nat., XXI, 76. Ibn-Bathar, Mat. md., n 353. le sur de Caroube, prendre 3 I. 835 de gousses fiaiches de Caroube. de pulpe. Presser cette pulpe dans un sac de crin et en retirer 01. 575 de suc.
1.
2.
Pour prparer
En
extraU'e 21.3
156
Prendre ce
0'5
et
y mettre en infusion
les
25 gr.
16^"^
65
200
gr.
Eau
01035
trois rcipients
Enfermer dans
4"
bouchs;
:
Prparer
le
mlange suivant
Aspalathe
Mastic
10 10
gr.
gr.
15 gr.
Deuxime jour.
Le matin, prendre un des
y ajouter
le
trois
le
tout,
Vingtime Jour.
Ouvrir
le
un mortier.
et
mlanger au
Quarantime Jour.
Ouvrir
mortier.
le
la partie liquide.
Verser dans un
Soixantime Jour
Faire les deux oprations suivantes
1''
:
'
Ouvrir
le
partie liquide'
pour
les trois
corce de Styrax
200
gr.
Eau
Diviser en trois corps secs.
01100
En
1.
demand
La quantit de liquide
doit tre de
1.
1.
de l'encens tant
de
I.
500
+ encens
dissous,
1.
100
01. 600).
157
tiquement. Motti-o
lo
Y ajouter
le li(|ui(lo
dcant prcdem-
Ouvrir
le
le
liquide.
Enfermer
Cent
Ouvrir
ajouter
le
le
<!
uarantime jour
le
liquide.
dans un large vase bouch, jusqu'au cent quatre-vingtime jour. Cent quatre-vingtime jour
Ouvrir
suivant
:
le
le
liquide.
verser le mlange
Encens
Sciure d'corce de Styrax
400
gr.
gr.
400
Vin
216gr. 65
suffisante^ dcanter
Aprs macration
litre^
nouveau
le
un demiTentyris.
grande,
dame de
ainsi
de
la
Basse et de
la
Haute-Egypte.
tre arriv la rendre claire et
moi-mme
par
le
parfum,
si je n'avais t arrt momentanment par plusieurs difficults, qui n'ont du reste rien d'insurmontable. D'abord, nous ne sommes plus l'poque o l'on trouve encore des
Caroubes fraches,
et j'aurais
d remplacer
le
caractre
du
du parfum. Ensuite,
je n'ai
pu me
du parfum demande
six mois.
La chose en
vaut-elle la
peine?
Je
la
II.
S'il
est
livrent
journellement en
La
01 065,
I.
lo liquide, de la solution de ces 400 gr. nouveaux d'Encens tant de de liquide se trouve porte 01. 665. Mais, d'autre part, la sciure de Styrax absorbant 1. 500, soit au demi-litre d'extrait annonc au dbut de la recette. 165 de liquide, celui-ci se trouve rduit
t'r>8
plupart des momies, corps d'iiommes ou corps d'animaux, sont emplies de cette substance, au point que
le
mot momie a
le
mme
les
encore aujourd'hui,
chez
les peintres,
dsigner
dans
dictionnaires hiro-
en
est.
je crois,
fait
que
le
seul
(pii
:
serve
La cause dnommer
a7a^o;,
<jzk%p,
asphall.iis, bitumeti,
o
fait,
avec grande
raison, driver de
j=l-
-^''^i-^
c<3
gnrale, dsigner
le
bitume, et on
le
huile
Pom^tant ce sens,
citer
dans
la
serait difficile,
pom* n'en
qu'un
la recette a t cite
la poix,
dans
On
y trouve de
',
des
gommes-
du sable quartzeux
le
sacrs, et l'on
si
on
la recette
l,
non
une
huile. C'est
demande
tre
ment
les
sens i^aaXTo;,
le
le
-
copte
.juipH^e.
En
d'examiner de prs
mot
j=p
j^ serais assez
dispos
le
driver du verbe
^^ X
et lui attribuer,
sens gnral de
enduit
Cette diivation, qui amnerait une transcription mourhi, servirait expliquer la forme
a*,
rpondrait au
de
""=^1.,
et k
au
en
soit,
le
mot merhi
bitume
et c'est ailleurs
qu'il
nom
les textes le
nom
lieu
de prendre au hasard un
le
nom
hiroglyphique de subs-
ya
afin
mthode,
en besogne. Plus
les
noms dtermins
c'tait
dans
le
M. G. Maspero', que j'avais le plus de chance de rencontrer le nom gyptien du bitume. Que ce nom se trouve dans d'autres textes, c'est possible; mais il est presque certain qu'il
doit tre
le trait
funraire. Or,
la
plupart des
noms
d'ingrdients
\e
prs. Seul, le
mot
/www
^VW^A
que
rsine
m'a
III
paru prsenter un sens assez peu sr pour pouvoir tre tudi spcialement.
1.
2.
H.Bruosch et J.DCmichen, Rcc. de mon. i-gypt., t. IV, Mmoire sur quelques pa/itjrus du Louvre, pp. 14-57.
pi.
85 B.
159
AAAWNA
Avant d'exposer
est
le
les
t'ont
eroire
que
le
mot
/wnaaa
A/v^^^^
nom du
sait
III
les textes
ne
s'oppose eelte identilication, mais (pi'au contraire tout nous y amnt^ naturellement.
On
que
le
bitume,
principalement de
les
la
Jude' et de
la
Babylonie'. Le bitume de
Phnicie, d'o
il
bords de
la
Idumens
les
Sabens,
qui l'utilisaient dans leurs fumigations". Peut-tre ces derniers recevaient-ils galement
du
/wwvv
A^yV^A
moins souvent.
lent
OUI
de Svrie et de Phnicie,
lll l llllll.
VvAAAA
excel-
/wwvv
AAftAAA
de Coptos, du
III
nom
de en
la
ville
venaient
])lus loin,
'
effet,
qu'on
trouve dans
h
les inscriptions
I
d'une part, du
Mennen
de T
k\
;
fni
de Syrie, de
ra
V\
iln
ou de Phnicie, de
ou de Thabor
d'autre part,
du Mennen
de ^^^ ^ ou des rives de la mer Rouge, et de 5j (vs ou de Coptos. Les lieux de provenance sont donc bien identiquement les mmes pour le Mennen et pour le bitume.
Le mot gj'ptien est le plus souvent dtermin par le groupe ooo, qui s'applique aux noms de substances granuleuses ou pulvrulentes mais on le trouve une ou deux fois
;
suivi
du signe
O.
noms de
liquides.
Le bitume, on
que par
la
le sait, est
un
mme
et ce n'est
chaleur qu'il
A
le
nom du bitume
/wvnaa
^
En
recueillant
les
j'ai
mesur parfois en
dM
parfois en
II] "pj"-
Or,
le
^''^^
sert
ordinairement mesurer
il
Quant au Mesta,
j'ai
s'appliquait
et partout,
dans
trente-et-un passages o ce
mot
est
employ,
etc.
Le mot Mesta, en
corbeille
consistance solide du
:
Mennen
dans
la
Mennen, 5
;
litres
s'appliquer qu'au
Le suc de Caroube est liquide le broyage et le criblage ne peuvent donc Mennen, malgr le signe D qui en dtermine le nom et malgr la
1.
2.
3.
4.
5.
II, 48; XIX, 98-99. 6tr.\bon, XVI, 2/42-43. Dioscoridi, De mat. mcd., Hrodote, I, 79. Diod., II, l^i. Strabon, XVi, 1/15. Diosc, 1, 99. Diosc, I, 99. Diod., XIX, 99. Strabon, XVI, J/45. Diod., II, 46; III, 47; XIX, 96-99. Strabon, XVI, 4/19.
DioDORE,
I,
99.
160
employer. Le
/wwv\
A^^^AA
tait
III
solide,
comme
l'est l'asphalte.
Dans
la
le
Rituel de Vembaumeinent,
I
le
Mennen
()|/wwv^
en paralllisme avec
poix
un
Boul.atj,
;
^,
^<=^ ^
1.
Pap. de
t. [il
I,
pi. 7,
V> == Masp.,
le
<=> t\
A. Mar.,
Mm.,
p. 21),
des Genvriers
vient
I
toi.]
1
^l^lra^OQ
Masp.,
la
p. 21),
il
vient
Mennen provenant de Thabor ; IJu (Mar., 1, 7/1-2 = |\ !r; ^I toi, le Mennen provenant de Plinicie; [elle vient toi,]
les
Mennen
^r
I
est
range ct du natron,
j ]
*"""
I I
AAA/NAA
AAAA/W
O
III
et
III
O Ankh-in,
/wwvA
III
_
AAAAAA
II
7j:^:ii[i J\ W Ji^ XI o
I
D ni
n (Mar.,
I,
11/78
Masp.,
p. 33),
la
1;
Mennen
~
main
^A/VSAA
^-'^^fik:ip o
Masp.,
p. 33),
III
Awwv
OUI X
-dJ^
III
,.
de
\'nl,lt-ni,
foin
nouveau
ifr
(Mar.,
I,
12/17-18
et
sa
droite de Vnkli-ni
du natron
D
I,
13/3-4
T <;2r>
7:;:j:;z.o
iii
(Mariktte,
*
U
tll
f
j).
est purifie
et
reoit
du Mennen excellent
Masp.,
-fTnr^v.
\y O
II
.o
III
(Mar.,
I,
13/1G-17
.
de natron
et
de Mennen,
quatre (parties)
le
mot dans
la liste
fiN
suivante
^-^^^
ocrzD
:
EL
aa^a/^v
^\Ic^^\TM^\\\'^^[\''ZZo 111^
C^^STl
(-^^-'^f^'
-
n^^^
t\
^^^^f\
jo
r*^
[3Z3
14/16-17
o
a
<z^^
j\
wiii
<=\
Ms
vo.
o
AAA/WA
I
O O
III
III
J\
Masp.,
p. 50),
pi'ovenant d'Eilithyia,
Vnkh-m
.
issu
d'Osiris, le
Mennen
du dieu grand,
la
gomme
1
issue d'Oun-noufir
la
D'autre part,
mme
Entre
:
la
grenadine,
T 1110
la
colors
/wwNA /wwvA
-^^ D /wwsaQ^:^
''^^^^
(XXXllL
(2
B, 12),
i1/tv?/ze/2
aniD
kilos) ;
|]
,
ou grains
3*'
Entre plusieurs pinntes, la rsine sountir, le ^\ et divers fruits ,iiiumu. /VWV\f\ /ww 4, n "\ n ^ n n Ji^ fD o M\ Ul fj- 1^|| (LXIV, C, 12), Mennen, 32 corbeilles ^^^^A^ O nu Entre la rsine <oantir, la grenadine, le vin, et les amulettes et sceaux en pierres
:
^^
^llllllllll^
III
,"m""| ^W\AAA
(3(9
AA/VWA
.iii
iiii.
Awvw
prcieuses
-n.
.
a^^w
AA^A^A
Mennen
OUI,
/wwsA r^>^-o
mini,
/vvwv^
(LXX, B,
14-15),
lUIilUU.
A/WW\
AV\A^^ O III A-B), se trouve rang dans diffrentes recettes de parfumerie ou dans des
Enfin, le
Mennen, sous
la
mme orthographe
aaaa/vv
(Br. et DUxVi.,
Rec, IV,
listes
85,
d'in-
grdients aromatiques.
En somme,
les
du moins que
le
Mennen
tait
une substance
solide, facilement
161
la rsine, la
poix, l'encens et la
gomme,
et
qu'on
soit indirectement,
la
fort bien
au bitume. Mais
je dois
que
Un
fait,
pourtant, semble
AAftAAA
montrer que
le /wwv\
AAftAA^
sountir, coif^, et
O que
c'est
que
le
nom
q
|
AWA/V\
de
la rsine est
le
mot Meiinen
mmes
f\
f
j
Q
,
[I
Sountir.
On
elles
objectera peut-tre qu'il existe bien des espces de rsines et que plusieurs d'entre
;
si
le
nom
les
du Pin d'Alep,
j^jX^,
con-f
et
dans
de
la
Scal l'arabe
Pinus halepensis,
il
se peut
que Mennen
soit le
nom
Je reconnais que cette objection est srieuse et qu'elle est de nature faire hsiter
les
fait
penser que
:
Mennen
est le
nom du bitume
dans
les
et
non pas
Sountir
1 Il existe
malgr sa dsinence,
le
On
comparer
'non,
humor^
.
huniiditas,
mot
nanmoins de l'gyptien
aaaa^a
,
Ce mot
juLo-vA^g^,
AiioAton, juLioAon
au
mme
,
titre
que
cera, rpond
momie
le
II
-7
non pas
que
le
momie
dans
le sens
de
cadavre
embaum
.
mais
momie
dans
sens
',
mot
c'est-a-dire
la
momification
Ce sens
que
juLioAon,
dans
noms du Jonc
iii i|
A^AAA^ A/wwv
2"
Dans
le
Papyrus Rhind\
le
\\
\\
est
la transcription
.
hiroglyphique serait
fi
soit ewJuLpHpe
de Syrie
cru, le
Ce groupe
nous lavons
pas,
comme on
l'a
nom
la
huile
en gnral.
, c'est qu'il
S'il a pris
en copte, sous
forme
sens de
bitume,
asphalte
mot
Merhi avec
le
le sens aa'^aXTo
Q
du copte
mot
1.
bitume
Seal, copt.,
S.
11"
2. 3.
DE Sacy, Relut, de l'Egypte par Abd-Allatlf, P. VI, 1. 4 (H. Brugsch, DLct. hirogl., p. 651).
RECUEIL, XVI.
21
162
AWVW
mon
la
identification
du
/vwwv /WvW\
:
avec
III
le bi-
j'ai
il
ne rsulte pas,
nom
de
de
Mennen ne
puisse tre le
nom
la
je crois
que
les
que
ma
,
objection, sinon
11.
A^/vvv^
le
mon
opinion
III
actuelle.
Lyon, 2U juin 1894.
D'ISIS
Andr Joubin
(Avec une planche)
Le fragment de
de Constantinople.
Il
relief
ici est
Muse
Il
est
malheureusement
gauche en sont
brises.
la
L'n certain
est
douteux d'ailleurs
qu'ils
l'tre.
1""
est
grossirement
Mais,
comme on
peut
le
monument
limite le
comme
et
l'intrieur d'une
cuve de sarcophage.
Au
milieu^
un arc-ljoutant en
de 0 42. Le
la
ne parait pas
continu au
Sa largeur
est
monument
serait
donc complet en
est
arrire.
Cette disposition de
face postrieure
du monument
intressante signaler,
car on ])Ourrait croire, en raison de la disposition du relief et des personnages qui y sont
figurs,
fait
et t d'ailleurs assez
nombreux sarcophages
la
rigueur se
justifier,
est
rendue
de
la face
postrieure du
monument. Je
croirais
donc que
balustrade, ou
mieux encore
La
sur
face extrieure
du monument
un
Ce
lui-mme
d^me zone
1.
de petits personnages
(h.
16),
Au
centre, on distingue
Lafaye, Dicinits
cV Alexandrie, p.
D'ISIS
16^
la tte
tourne
coiff
du
klaft.
doux
Anubis
deux perviers
mme
le
touche d'un
qu'il copie.
Sur le
l'autre par
l'un
de
arcs.
Le monument
tant
si le relief
nages.
Il
comme
sous la
vote de droite,
D'autre part,
et
si,
est rest.
Isis
comme nous
Horus,
il
que
la
intgrit, se
compos de
Isis,
au centre
gauche
tant
Des
trois
relief, l'identification
aucun doute.
sans dossier.
les traits
A
Il
est figur
de profil
et
tourn vers
Il
la droite.
Le dieu
d'un
homme
tte d'pervier.
est vtu
du costume
la
taille
militaire des
Romains,
c'est dire
dieu porte
la
un pantalon, termin,
flotte
par un clave
tunique est jet un manteau dont un pan appasur l'avant-bras gauche du dieu.
dont
la
masse principale
Les pieds semblent chausss d'une haute bottine. Del main gauche, Horus s'appuie sur
sorte de
pomme. Sur
le
pouce de
la
se
et tte d'perviei".
La main
paume en
dieu.
Le geste
une
statuette
lajromaine
les
anciens dieux
gyptiens se retrouve aussi sur certaines monnaies des nomes gyptiens frappes sous
Trajan, Hadrien, Antonin, Marc-Aurle etDomitien. Sur une monnaie d'Apollonopolis,
la ville
d'Horus,
le
la
hache de
la
1.
I,
p. 23.
Voir la gravure
la p. 24.
164
main gauche.
montre sous
la
Il
humaine; seulement
complet pos sur
l'pervier,
la
dgag de sa personne, se
forme de
l'oiseau
main droite\
Le personnage
est
Dans
l'autre groupe,
on reconnat droite
la partie
la
Isis.
malheureusement
trs mutil.
la situle
La
tte
manque et
que
la desse tient
dans
main
certitude.
La desse
est figure
de face;
debout;
elle est
tunique serre
la taille,
est
tunique entre
les seins.
Sur
un
un bracelet; de
main
nous
Ce type
d'Isis est le
il
est
monuments ^
statues, reliefs
d'Isis,
ou peintures.
A gauche
C'est
la
un jeune
homme imberbe,
le
de type grec.
Il
est debout,
le
un peu
relev, la
paume
dont
la
les plis
s'enroulent autour
les
du bras
droit.
Les jambes et
pos
le
Sur
la
chevelure dont
le dos, est
les
deux cornes
le
Prs
du jeune homme,
en avant releve,
L'attitude
le
droite,
buf Apis,
la patte droite
du jeune
homme
homme barbu
d'ge dj mr.
Le jeune homme
n'est pas
non
plus
un prtre. Sur
isiaciues,
les
monies
les
une robe
du corps;
la
ils
se
moquait Juvnal.
les
Au
mmes monuments,
la
les
mystes, ont
cheveux longs
et portent des
vtements draps
romaine.
Le personnage de notre
Il
relief est
la
certainement un myste.
le relief.
resterait
dterminer
La scne
P""
se passe
dans un
Une colonne
ft lisse, base
thien lourd et charg*, soutient deux votes surcharges, elles aussi, d'ornements trop
riches et pesants, de rais de
cur
et d'oves.
Dans
deux
1.
2. 3.
D'aprs Clermont-Ganneau, Reue archologique, 1876, II, p. 397. Lafaye, Dicinits d'Alexandrie, catalogue mthodique, n" 45 et suiv. Hcrculanuin et Pompi, Recueil gnral, etc., t. II, p. 68 et 69. Lafaye,
op. cit., catal. 1118.
op. cit.,
Helbig, Wandgcmlde Campaniens. 1111, 1112. 4. VI, 526. Voyez aussi un bas-relief du Vatican. Lafaye,
ramonti,
t.
II,
p.
H.
D'ISIS
165
arcs se dctaclie une large Heur panouie au milieu de feuilles. Pai-dessus court une
lin
du W^'
sicle, attribue
au Srapum d'Alexandrie
l'difice, est
Toute
la partie
du pav de
lumire d'en haut par de vastes ouvertures, est divis en vestibules secrets, spars
Au
centre de la surface
magnifiques... Les
Ammien
le
sans doute
la religion
ici le
Srapum,
temple
illustre
de
nouvelle, avec ses riches colonnes et ses votes charges d'ornements^ ses statues de
divinits, d'Horus, disis, d'Apis, d'Osiris, tout tincelantes d'or et de pierreries.
On
o
donnait ainsi aux mystes des provinces une reprsentation du clbre sanctuaire, de
mme
que
les
leurs
reliefs
sont figures la
du plerinage de
Mecque.
Nous avons
mystres isiaques
et les textes,
le
Srapum, les
le
un myste.Les monuments'
isiaque.
principalement
du culte
Ces crmonies
elles diffraient
du culte
ordinaire de la divinit.
bas-relief ?
A quel groupe
la
scne de notre
De
parat,
dePompi, que
de
les
crmonies du culte se
au contraire,
le
myste
la divinit les
mains suppliantes,
les
le dieu, pntr de la tendresse mystique du nophyte qui aborde pour la premire fois le mystre redoutable. Il ne me semble point douteux que la scne^ reprsente ici, ne soit une scne d'initiation aux mystres isiaques. Le commentaire exact de cette scne nous le trouvons dans un passage du
Xle
livre des
les
scnes dont
:
il
a t
tmoin dans
le
J'approchai
les
lments
au milieu de la nuit,
de son blouis-
du
ciel; je les
contemplai face
Hisi. ceci.,
II, 23,
4.
iS.
17. Spirantia signorum figmenta. Surtout les peintures d'Herculanum et de Pompi. Voir le catalogue dans Lafaye, op. Voyez le dtail dans Lafaye, op. cit. Ch. VI.
cit.
6.
7.
166
relatifs
si
rares ou
si
incomplet^, que
la
dcouverte d'un
monument nouveau
un peu ces
mystres, peut passer pour une bonne fortune. Le lelief de Hi('rapytna comble une
si
En
le
on se
fait
dame
avec lequel
le
myste abordait
dj
la
les
rsurrection et l'immortalit.
Ce sont bien
hi
les
le
regard
touchant.
Il
est
impossible, en prsence de cette scne, de ne point songer la scne figure sur l'admirable relief d'Eleusis. L'enfant aux longs cheveux, debout entre
serait-il point, lui aussi,
Dmter
et Cor,
ne
un myste,
le
myste divin,
le
premier
initi cette
Eucharistie
paenne, et
la
juste
du
le
bas-relief
d'Eleusis? Je
me
moment,
pousser plus loin une analogie qui pourrait entraner des conclusions trop incertaines.
Il
est dillicile
le
la
date de ce
monument. Le
caractre de
l'architecture,
style et le vtement des personnages sont les seuls indices qui nous
permettent d'en
fixer
peu prs l'ge. L'Horus militaire se trouve, nous l'avons vu, sur
des monnaies, ds l'poque de Trajan. Les personnages du relief sont habills la des Romains de
la fin
mode
l'on
du
P""
sicle et
du commencement du
si
H'".
C'est peine
si
peut parler du
chercher dans
au
L'"
sonnages de notre
peu de
grand
Pourtant
la
tte
du myste
avec
soin et le sculpteur s'est efforc avec une conscience touchante de rendre l'air inspir
ai^tistique qui
mit
mode
les
choses et les
monuments d'Egypte.
il
poque
qui.
le relief
de Hirapytna. Ainsi,
monuments
comme
les
alexandrine en Occident au
l'Orient.
La
le culte
',
montre
tabli aussi
la
Hirapytna.
Il
ne serait pas
mme
la
les
dieux
l
premire
fois
dans
la
l'le et
le reste
de
Crte.
1.
2. 3. 4.
16, pi. 2.
p.
69.
L'NE
STATUE DU DIEU
SB:1'
1(7
G. LPXiRAIN
Miiiiliii' (le la
Mission du Caire
Le Catalogue des
la collection
A/i(t'(//'i(s (''f/f/ptien/ies,
grco-ro/naincs
et
l'omaines, composant
les indications
de M. Brugsch,
dcrit ainsi
((
monument
qui
lait l'objet
de cet article
26G. Bronze.
Cette niaguiliqiio
siatut.'tte
i(>[)rcsente la
divinit corps
humain
et tte
de
blier,
))
connue sous
le
nom
de Chiioui)liis. de
la
Le dieu du
Basse-Egypte, et s'avance
munie du fouet
la
La
slienti,
ou tunique courte
qu'il
de
filets
du
tissu
dont
elle est
forme.
Excution soigne
conservation parfaite.
Hauteur
0'"G7.
ce
monument. Lors de
du
souffle vital,
la
vente de
la
Posxo,
la
monta jusqu'
l'enchre de 18,000 francs, puis fut retire par son propritaire. J'ai revu bien souvent
depuis, pendant prs de quatre ans, ce superbe bronze. Je le retrouvai peu de temps aprs chez un antiquaire parisien
bien connu
M. Hoffmann,
la
et,
description de ce
monument unique en
son genre
Set combattant. Cette statue a subi l'poque antique quelques changements qui
l'ont transforme
en
Amon
criocphale ou en
Khnoum.
la tte
Le dieu
pour frapper,
*""*
le
gauche tendu
'
un norme serpent
couvre
tte
humaine
(fig. 1)
V La shenti, drape
reins.
D'autres ornements
mtalliques ornent
les
l'i'-
surmonte du pschent.
1-
Aujourd'hui,
oj/isia, pi.
CCCLXXVllI.
168
paru
on peut reconnatre
substitution antique.
Les deux cts du pschent portent une rainure anguleuse, place exactement audessus de la place des oreilles. Elle avait t pratique, selon nous,
(fig. 2).
les
encore l'indication,
la
la nais-
sance et
Set.
brisure de l'oreille de
Enfin,
le profil
de
la tte n'est
le
museau
le
est long et
mince,
les
narines petites,
menton nul
et sans barbe.
soigneusement
cette statue,
celle d'un
on
la
comme
Kbnoum.
martelages se livrrent
de Set.
Ici,
moyen
d'insignes parti-
culiers appartenant
un
car
La supercherie
tait
habile
Khnoum
rus,
combat-
nous en croyons
nich.
Cependant,
il
est
toujours
sur
la
tte
le
diadme
atef
et
jamais
le
pschent.
1G9
mme
comment
expli(iuorait-oii
de
*^1l.4U^
Fig.
3.
Fis. 4.
il
est
bon de comparer
une autre
que possde
terminent
Muse du Louvre (fig. 4) et que MM. Pleyte et Lanzone ont publie '. Remarquons que les oreilles du dieu montent droites, accoles la coiffure, et se
le
la partie
si la
res-
me
la
A. -H. Sayce
V.
Between
the First
and
tlie
Second Cataract.
in
v^inter (1893-1894)
hve been
the Second Cataract, and hve there found several inscriptions previously
unknown.
Some
of thse
now
1. Pleyte, Lettre M. Thodule Deoria sur quelques monuments Lanzone, Dizionario di Mitologia egizia, Tav. CCCLXXII.
relatifs
au dieu
Set,
pi,
et
II;
RECUEIL, XVI.
22
lO
I.
is
an isolated
latter
hill,
similar to that
on
itself stands,
On
Seti
hill,
is
Above
the inscription
is
a reprsentation of the
a chariot
of
combat, wliile to
Pharaoh in the act of slaying drawn by two horses which are galloping away the left is a standing human figure. The upper part
now
destroyed.
On
hieroglyphic text, are three vertical lines of inscription recording the narae of
Amen-
m-apt, the royal son of Kush, to the left of which again on one knee and holding the " fan " in his hand.
is
the figure of a
man
kneeling
Owing
ef ceedingly
to the h.eight at
difficult to
which the
stood
stle is erected
I
and
its
inaccessible position
to use a tlescope,
stle,
it is
copy. In order to do so
I
was obliged
and as
which
it is
my
mS^kloPfSM/
s
I
jf
UJl
U=i]
risn i
c^^
KW=>1
O
on X <=^
- Ci Ci ^tar==iJ ^^^AAA
Cx
]miM\,t^rrMK-^,i7%.
(S
mm Ji
iiiv
I/wwvn"^
jr
V\
Q.
'i
Ci
Cli iJ.
AWWi
i ^ /wwvv
\>
171
8
/wv^\
I
I
'^'M%ii^i\ III
I I
zs
/WAAAA AftAAAA
/
(~)
\-U
111
^j^^evp
|(
A/wvv\
'^
i^
9
\>v\>
'
'
AAAAA^
AAftAAA
I
J cs> L=:fl
I
*<^^
tH)
'mm
I
o w ^37
mS
.i-P
ft /WVAAA
A/WAAA
U=^
I
A^^WV\ Ci 3
H'
\>l
I
11
I I
I
'^L\mviLr.^^\\K:in^r~M\x[
\\
I
cf=}ii
\\
AAAA'V^
^>
A/WVV\
luumiii,
I
Ci
Ci
(^
^ j>
On
the
left
side (from
Une 4
to
1.
12)
r
(^^/^^
m
La
I
AA/V^A^
^^
u
^ w
^
I I
\>
hf^Nsr^
B
with a 1
in the
hand.
is
clear,
make
them were
right,
asked Professor
172
me and
is
make independent
my own when
it
The
sculpture over the stle has already been noticed; but, not only has th
I
in
The
the lofty
old city of
clifE
Mm
between the
latter
and
which
rises to the
I
north of
it.
At
found a
name
of
Mentu-
accompanied by thedrawing of a boat with eleven oars, a Hathor cow, a dog, twodncersand several figures with elongated bodies and the enormous posteriors
still
^
^
so
much admired
in Central
'
.
^'^
sH^i" 1
and
EDNA-
CAIC.
of
Mm
seems
it
to
be indicated in the
:
tombs
on which
stands
at ail events
7,
both the
np^fjLi;
fjtr/.p
and the
ixt^fUr^
of
it.
At Kalabsheh
Amon
is
called lord of
To-Kens,
(on the north wall of the ^"^ n r-*^ of Premis and of Pnud
fx
The
last is a
new name.
half a mile to the north of the village of
II.
About
rmenneh, on the
Farg,
I
^^
'^
d O
in the
disco-
cliff
forms a sharp
hundred yards
to the
south of
a rectangular
to the
west
of the
Wadi
it
Halfa.
The tomb
is
are
two
Horus
is
called in the
much weather-woru and the characters are consequently somewhat dillicult to decipher. On the eastern bank opposite rmenneh is the site of a large town of the Roman period; but there are no traces of the " RockThe
stle is
Mm ".
temple
of
it. I
"
marked
as existing there in
found there a palaeolithic diorite axe which had been used by the people of the
period as a haminer, and had probably been discovered by them in the dsert.
Roman
\mi\7:.'^hmX\^'\m^^m\L
1.
Le
graffito est
G.
M.
v\ -a
et
173
A/VWV\
q^EM^^Sl1> In
cQ2
I
^_
7i
^^3^
n
/WWVN
S
:=i
Ci O
Ci
lo
III
(')
m m
AA/VAAA
Below
him, with
offerings,
is
liis
tlie
crown
of
Upper Egypt;
man and
a table of
and
III.
This inscription
is
lies
imme-
\
^
Il
t\
.^
ji
"'**"'
Sehl,andindeedforms
when
W
^^
-A
^_lr*
'^^
n n
O n
^^^
^M ^m
;\[an
his
no other
^j.
Ameni
is
at its
0=0 ador""^^
'
scription
ficial
engraved a
above an arti-
?^=^
A^Aft/V\
ino-.
asz2
!\
discovered
of " the
Ci
AA/\AAA
I
by Mr. Wilbour
royal son " for
AAA/vV\
I
in Sehl.
The name
S'
/V\AAAA
. Il
say for
it
what
reason.
He
caused
^rri
fe^J
festival of
''^dfc7
^
I
-ii>^
I
it
to
be engraved,
_H_
^^
Uza ". This must havc taken place in Sehl where the temple of Anuke stood the temple was visible from the spot where the text is inscribed. Rfrence seems to be made to seven loaves of bread with a particular name.
1. Toutes ces inscriptions sont crites de droite gauche dans modit de l'impression. G. M.
l'original;
on
les a
174
Kubbaniyeh
Al
I I
I
Q^ l^ == ]\ | m
n
AA/SAAA
1
is
called
Hagar el-Ghorb
as long as an oar
like a
Crow
",
and
as thick as a
It is
candie.
when woe
it.
betide
Hippopotamus
standing-.
^^^^
AAAAAA
the
man
or beast
who
falls in
with
It is
evidently
Man
kneelinof.
11"^
was worshipped on
cliff
a
<3I>
1
4
above the
of this
boulder
is
a deep crevice
/^/
f{0
C^)
n c
A.
mThe name
Ghorb by the
upon the
spot,
12"^
^
^y
'
of
Ankh-iu-seneb
is
J
' '
also occurs
vident that
of
ge of the
among them
title
are t"
to
Uil^VW
nkh-ames and
sailors
'
l?>
Jf
where the
seems
".
The
stle is interesting
on account
is
of its dedication to at
is
in
also
mentioned
holy father
Tliere
Khnumu-meri
is
which
is
called
Hin-
dellab in the
map
name, and,
now
One
of
my comtype,
panions picked up two iron wedges close to the Hagar, in a place where the natives had
recently been searching for sebah.
The wedges
modem
Roman
neighbourhood, they
may belong
is
to the
V. This inscription
on a stle which
bought
this
town
of
Bub, south
of Edfu. It
necropolis of Edfu, and, as will be seen from the proper names, belongs to the ge of the
Ces noms soat tracs en hiroglyphes cursifs
de droite gauche dans
1.
et
l'original.
m
wilh
tlie
is tlie
winged
solar disk,
under each
deities Horus,
Kheper
witli
and Nebht.
l^-Ji()^CY2'^ ^
r^-/^^
-^[mM^^l-z^^MtMM
'
B^^^k
:
\t^
At Bub
itself I
to the
Legs
holds
1
of
God
standing; he
Legs
of
man
standing.
and
-r-
in his hands.
J\
The
stle
t.
X,
p.
141-142) as
is
that of
Thothmes
III,
as follows
Ml
A man
ration.
standing,
Cq"
rE^
I
^:
Horus with a
hawk's head,
n
j\
\\\
^^^-^
standing.
VI. This
is
of
Luxor
in 1891. It
is
solar
is
^^.
Below
is
Shes-Ast-Bal making
176
STELE DE BEL-HARRAN-BEL-UTSUR
Horus, two Unes of liieroglyphics being above the picture (A) and six
(B).
an offering
Unes below
to
it
(B)
u
2
c=.
o
o
III
Le?
HH
^1
AA/\AftA
I
o o o
o o o
AAAAAA AAA^^A
'^
'
G'
r^t^
S^fHk
STLE
IJE
BL-HARRAN-BL-UTSUR
Le Pre Y. Scheil
le site
de
la ville
de
III,
roi
Le
pendants
d'oreilles,
carreaux et
un justaucorps
la
en signe
le
pouce
du coude droit
qu'elle soutient.
est
La
partie suprieure
du corps seule
niveau de
la
dans
le cintre, les
pieds posent au
Devant
les
dans
le
champ du
le
mme
:
l'toile
le
ou
Istar;
disque. ail, et
et
STLE DE BKL-HAHRAN-REL-UTSUH
partie massive, d'o retombent
IT"
orne de
glands
trois
la
deux
le lon,^
Le monument mesure environ deux mtres de haut sur un mtre de large; il a t signal au service des Antiquits, et il sera bientt transport au Muse de Constantinople.
L'inscription
compte 30 lignes;
elle fourmille
remonte
l'an
7:;^7,
Le premier
roi
il
nom
royal et
mort de Tglatphalasar de l'avnement de Salmanasar. est simplement nomm roi cV Assyrie. Le graveur s'tait tiomp dans le dut remanier et dissimuler quatre ou cinq signes (dont le premier tait
la
avec des formes archaques et modernes, pour obtenir le nom de Tglatphalasar. ^-J), Si le monument remonte plus haut, il donnera une haute ide de la puissance des
ministres administrant
le
royaume pendant
les
<& -Y^
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23
RECUEIL, XVI.
1~8
STLE DE BL-HARRAN-BL-UTSUR
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STLE DE BL-HARRAn-BL-UTSUU
179
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30
A-TT
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=Tlf
-^
TRANSCRIPTION
1
(Ilu)
Marduk
kalisunu
Nab, tup-sar
u
V
ilni, sa-bit
(ilu)
qn duppi
ellitu, na-si
duppu i-mat
ilni
qa-i balati
(Ilu)
salulu kib-ra-a-ti
siriiti,
(Ilu)
Sin
(ilu)
Nanna-ri sam u
irsiti,
na-si qarn
sa lit-bu-su nani-ri-ri
(Ilu) Istar
b-l-su
pa-lili ilni
10
U-ma-' ru-in-ni-ma bl
ti
u an-ni-su-nu ki-ni.
Alu ina mad-ba-ri ina na-me-e as-bat istu ussu-su a-di tah-lu-bi-su lu-u u-sak-lil
-kur epu-us-ma parak ilni rabti ina lib-bi ad-di
da-ris
15
ilu-u-ti ul-ziz
Man-nu arku-u
sa
Asur
(ilu)
Samas
(ilu)
Marduk u
(ilu)
sumi-
su i-nam-bu-u u-ma-'-ru
mtu
u-dis gis-ru-ba nindab sa ilni su-nu-ti la ta-ba-ti-il
180
STLE DE BL-HARRAN-BL-UTSUR
Sa lusa-a-su za-ku-su as-kun,
20
Tup-sik-ku
la
im-di
la
us-ta-sa-ma
La e-pu-us
Ina
25
as-ri
sa-nam-ma
ana
la ad-di,
idd
Mu-sar
mu-ta-ni
illi-ku risu-u-ka
u sumi-ya Asur
(ilu)
Samas
(ilu)
Marduk(ilu)
Rammn
30
TRADUCTION
1
A
A
roi
les ples
des cieux
les
et
de
;
la terre.
Qui
fonde
temples de tous
dieux
Prince
5
A A
Samas,
rgions;
de l'ensemble des
villes,
et
de la
terre,
A
A
ri Star des toiles, splendeur du ciel, vers laquelle toute prire est bonne, qui agre les
supplications
(|ui
allis, ses
seigneurs;
(Moi) Bl-Harrn-bl-usur, nar/ir du palais de Tglatphalasar, roi d'Assyrie, qui rvre les
grands dieux, 10
Or
les
mand dans
le dsert,
Que
j'apprtasse
une
ville
dans
dans
la
campagne. De
ses
fate, je l'achevai.
Je construisis un
-Kur
et j'y plaai
au milieu
le
Son temen,
nit;
je l'assis
comme une
Et dans
la
nom
Dr-Bl-Harrn-bel-usur,
et je lui traai
une route.
15
J'inscrivis
une
dieux
et la plaai
dans
la
demeure de
la
Divinit.
Rammn, dans
confieront
le
pays.
supprime pas
les
revenus, les
Dans
cette partie
de l'inscription
la
premire
et la
dans
les verbes.
STELE DE BEL-HARRAN-BEL-UTSUK
181
Qu;iui
;iii\
fi'aiicliist's
ne soient
pas
ses
moissons
20
bufs
et
les
planche bri((ues.
Xe Xe
Ne
25
t'occupe pas de leni administration, et cette stle, ne la renverse pas de son lieu.
la
brise pas.
Ne
l'enfouis pas
dans
l;t
poussire,
ne
la
jette
le
l)rle
pas au fmi.
ei les
dieux dont
de
le
nom
crit est
grav sur
la stle.
Dans
le
choc de
la
la
mle
et
la bataille,
dieu de
mort.
Quand
Pour
30
celui qui
changera
mon
inscription et
mon nom,
Rammn,
grands dieux,
pas de
piti
jusqu' l'anantissement.
iNOTES
Ligne
nral
4.
I.
A-!iir =^
ittu,
idtu
g-
commun
Asurn.
de
vague,
tlot , etc.
W.
B. p. 122, 125,
ittu, itti
et
un sens driv
gant, guerrier,
III,
chef
I,
50);
mot
etillu.
Kurmti
Ligne
et
5.
est
pour Kurumti.
Cette lecture
1.
Kibrti =^ UD.
du signe UB,
18
:
IV R. 60
le
bis,
C. 9,
ud-dal-lil kl
crit
UB-RI-LIL
Ligne
7.
Sur
la brique de
Kurigalzu
{Rec.
l'ide
de Trav.,
irnintu.
XVI,
p. 90)
UB-AN-DA.
le feu,
Inninna pour unnnna, comme uvnintu, Ligne 16. Tarrinnu, Idogr. NA-BIL, avec
o
le
dominante de
sacrifice
par
p.
sans
prjudice de l'ide de festin qui parat rsulter d'autres textes [Zimmern, B. P.,
festin,
98, 99).
Le
le sacrifice.
Aux
et
textes
connus o ce mot
se rencontre
((
NA-RI
lustration
avec
GIS-KIN
arbre oracles
(il
s'agit
d'a
NIN DUD,
B.,
NIN-GUL
dont
le
nom
NIN-SUN;
d'aprs
Guda Cyl.
Cyl. A.
XX,
ma, we.
GIS-TUK
et
PI-TUK
= isibbutt
le bl
de l'oracle
Dans
NA-BIL
et
NA-RI
Ligne 19.
sition se innu, bl
bon pour
la rcolte.
182
NACHTRAG
Sabasu, sabasu, sabasu sabasu, aurait
le
Asaki ne peut tre que l'hbreu hosk tnbres. Ligne 30. Adi bas. Ces deux derniers mots sont une redondance,
Ligne 21.
ulli l
(?)
puisqu'ils se
ulli.
Cf.
R. 31, 48 c
et
Del.
WB.,
p. 132.
NACHTRAG
WiLHELM SpIEGELBKRG
Zu don Texten, welche
YhlAO.
die versprochene
'
Ergn-
verfiJber
fentlichten
Artikel
cinige Ostraca
und Papyri
Kurze Begleitworte
gefi'igt.
graphischen
Aufnahmen
welche
in
ilirem
gegen-
Y^iX:^*''^"^*"'
Rsultat
ermglisind nach
chen drften,
Ostracon
III
ist
2.
Recueil de Traiiau, t. XVI, p. 61, Anm. 1. Ich benutzedie Gelegenheit. um hier einige Berichtigungen zu meinen lezten Artikeln nachzutragen. Auf
'm (p. 27) statt <; m uud dnsmn (p. 69) statt dus brauche ich kaum aufmerksam zu machen. Dagegen mchte ich zu p. 68 (Zeile 7 v. u.) bemerken, dass der Ausdruck n^-m s-tni auch in der Titulatur Ramses' X nachweisbar ist. so auf dem Ostracpu 5620 des Brit. Musum (Hieratic Inscriptions. Tafel I)
die Druckfehier
MAk
l'^Vi A^^^'
^'^^'
I.
IV).
menstellung von m s; ro mit IInu]& ziehe ich vor allem auf Gruud einer gtigen Mitteilung Prof. SteinDORFFs als unhaltbar zurck.
NACHTRAG
18S
I
jA^dAnm
f
VttJt^
Jaju^^,1
%jcU
Yw
^^r\ferU
W.
Spiegelberg.
184
P.
SCHEIL
P.
SCHEH.
'
elles ont
dur depuis
le
15 janvier.
les
la bagatelle
An An
Ki Ki
An An An An An
Ki
Ki Ki
Ki
Ki
Su
Su
Su
Su
Su
Su
Su
dieu Sin.
Bon nombre de
que
je crois citolgiques,
nomenclature de signes
et
maxime
^^ masse des
^^^
t^fnA
^^<
textes se
compose de
lettres et
^
'"t
JK=3^
contrats,
si
/s*v
comme
Deux
la
n'et exist
que sous ce
roi.
r^-4 "F?^
moil
dernes. Plusieurs lettres ne laissent pas d'tre curieuses. Dans l'une d'elles,
un fonc-
tionnaire assign Dour-Sin se plaint de l'aridit du lieu qui n'offre rien manger;
adresse donc son pre de l'argent cachet (Aknuk) alin d'en recevoir du bon poisson
et d'autres aliments ncessaires.
Documents
il
y a bien an ub da
non ub an da comme
j'avais lu tort) et
de amassoumoukin,
j'ai
trouv celle de Bour-Sin avec l'inscription TR. 3 n" XII, 2 et un fragment de tablette au
nom
de
Min Dagan
^T
:
c:^
<K
>->-T
Da-gan (Dagan
de
Sumer
et
pasteur fidle,
le
ment,
etc.,
de
:
l'autre ct,
un discours direct
comme
Hammourabi
la
(le
brigue)
ta parole,
l'homme
(l'coute)
etc.
1.
suivent.
cette lettre
sont publis
in-cctcn.^o dans
les
pages qui
P.
SCHEIL
185
Le
Na-bi-um
apal usur
10
mt a-a-bi-ya
sa-la-lam
sarrii
Kadingirraki
iq-ba-am
ni-nu-mi-sii
])t
ma-da a-na-ku
ilu
Temen-an-ki
Ni-nu-um
Marduk
15
e-es-si-is
blu rabu-u
e-pu-us-ma
a-na as-ri-su
u-te-ir.
Kalama u
ni-si-im
Sumer
et
Accad, fondateur de
pouvoir
le
la
patrie, moi.
Aprs que
le
mon
pays
et les
hommes,
neuf
le
et qu'il
m'eut mand
alors je refis
temple de
Temen-An-Ki
remis en place.
Un
poids en forme de canard est dit dans une petite inscription peser 5 mines
La mine
Sippara
grammes
et serait diffrente de la
Lehmann
t.
VIII, p. 146).
poi'te
Un
menne,
en hmatite, forme
de
l'efface
/x
'
k;^ ment.
Parmi
Une douV^J^zaine de
dont
la tte
mobile
remarquable.
Un
^-y
y>- y>-
De
sition
Nabu
et
Marduk y
pu
identifier,
n'ayant
ma
dispo-
aucune carte du
ciel.
De
tout cela,
j'ai
copi rapidement
me
jours sur
le
eu quelques exemplaires.
j'ai
:
un plan de
puisque
eu
le
la
chance de
fermer
mon polygone
grand ct de
mesure un kilomtre
que
la
fallut
donc
se rabattre
RECUEIL, XVI.
24
1B6
Fr.-V. Scheil, 0. P.
VI. Brjue du roi Bahiya.
plaine entre
les
se runissent
dans la
monts Hamrin
principaux a
la
et les
le
monts
dits
Radnu),
droit o
il
l'un des
nom
du N.-E. au S.-O.
l'en-
coupe
entrer dans
troit, la
kurde de Touz-Khurmati. Le
dfil
est
montagne surplombe
pic la rivire.
Au sommet,
sur
la
oit des ruines antiques qui sont le lieu d'originfe de cette brique, trouve, le 13
mai 1894,
pendant
mon voyage
de Bagdad Mossoul
\jf^
^*^
^
^'^
r
^
tt>Pr
Palais de Buhiya,
S^ ^
Pyl-W--^^^
^
A
f
fihd'Asirim,
'^^^^
"^'
'^^^
pays de
la
montagne (sa-ad)
^^00^4^
4 r^
est
de Zirrasitim.
Le nom de Zirrasitim
nouveau
et
Zar'M, Z?>i7<, connu |)our ses mines d'argent (//i?r/fo/m.so, pi. 51, 1, 10).
Dans ces
etc.,
il
comme ceux
de Lullubi.
l'existence de
ML
Idn Darjan \
ce prince date certainement, par l'archasme de ses caractres, d'une poque peu antrieure celle de
l'inscription
En-lil-li dans
me
]a fait attribuer
mme
XII,
2, et
quelques contrats
Au
de Hammourabi,
non moins
1.
Le uom
siguifie hUraleineut
Dayan Juge;
cf.
187
^Tyyy
^^\
x^
&
<II
^,
4A#
.TTrf
:pVv -T
^y<y^
5^^^^^.^.
r
/^^
^yyyt
^m
^^H <Mai
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5
^yiT-^<!! EEAT
^\V^Mm'4J^.MWW/'f
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^y
s.^
--y
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##i//^#f^^
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ll
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-T
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5M V
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W ^^^J
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tTI .tT
ESS -^
pTT?/#*#'#i##^#VJ.^
188
-tH
^TTT^
^tTT
M
E^TT
-II
s="t
*IiD -! -II
tT
<H::""
RECTO
VERSO
Sumer
frre cadet
'
,
rempli
'
(?) la
Idn-Dagan
protection ten[Tes] ordres
la
'
Sumer
due
et
Accad, dieu
sont
comme
volont
'
du dieu
du
Ce qui
ordres du dieu
le
En
l'homme
(l'observe),
'",
Idn-Dagan,
le
ta
le
bouche s'ouvre
le
l'homme
(coute).
(les
prophte
fidle d'Ellil
Tes ordres,
cueille).
dieu En-gub-[ra]
re-
gratifi' par
la
desse Nin-
Voyant au regard
*
attentif
[roi]
gub-ra
(les agre).
Idn-Dagan
des pays
fils
[Tu
es]
le
pasteur d'En-gub-ra",
.
le
mi-
engendr de
Idn-Dagan
mle"
du dieu En
Dah-ha-u><-sa
Sii/-;ii
Dub-bu-u-sa
Dubbusu. Brnnow,
(?),
3942.
pour
si-(fa
-^T =
gdsu. qistu.
Brun., 10747.
serait
Kin
Restitution probable.
ar matti
Brun., ^yy~
Sal-li=:sikaru.
Cf.
zikaru, 5328.
Dug-ga
KA-KA-MA
SU ptka
,
siptu,
amdtu. Brun.,
588.
M-j-^k t+^T
''"^"^"'
comme chacun
Papsukal
(?).
tT\} ^^IT
Pour
lecture
6176.
189
leiti'es
nussices.
la
Parmi
les
nouveaux
tout
le
textes de Sippara, on
compte
beaucoup de
lettres,
dont
comptabilit
fait
deux sui-
et l'autre a [)Our
auteur un fonctionnaire
malheureux, qui
A-na a-bi-ya
ki-be-ma
a-sar wa-as-ba-a-ku
(sir)
u-ku-ul-tum
umma
amas
Zi-im-ri e-ra-am(?)-iiia
u
a-na a-ka-li-ya
u-ul i-ba-as-si
Marduk
da-ri-is
-mi
li-ba-al-li-tu-ka
a-nu-um-ma
ak-nu-uk-ma
lu-u sa-al-ma-a-ta
us-ta-bi-la-aq-qu
sa kaspi su-a-ti
(ki)
nun dam-qu-tim
akala^
ma-am-ma
a-na a-ka-li-ya
su-bi-lum.
sa-ak-na-a-ku
A mon
!
(?).
Que Saraas
et
Marduk
te
fassent
vivre jamais
informe-moi de
o
je
Me
Bitim sikirim
(?).
demeure,
ma
t'envoie
un
tiers
de
Pour
cet argent,
A-na Bi-be-ya
ki-be-ma
u-ul a-mur-ki
ma-di-is az-zi-iq
um-ma
amas
da-ri-is
Gi-mil Marduk
u
ma
te-im a-la-ki-ki
su-up-ri-im-ma
lu-uh-du
a-na arah Arahsamna
ta-al-la-ki-im
a-na su-ul-mi-ki
as-pu-ra-am
su-lum-ki su-up-ri-im
a-na Ka-dingir-ra-ki
as'-sum-mi-ya
lu-ba-al-ta-a-ti.
da-ri-is
-mi
al-tas-kan-ma
Bibya'
soit dit
(Moi),
Gimil-Marduk
Que amas
ne
et
de moi
moi de
Me
1. 2.
3.
Signe If.
Pour ana {uinirja). Le premier signe est M. C'est ici uq nom de femme, comme cela rsulte de
la suite
du
texte.
190
Envoie-moi
la
afin
que
je
me
rjouisse
!
Viens au mois
moi
IX. Papallum.
signifiant, se
fois la
Le fragment S 4 du Muse de Constantinople, par recommande par l'emploi du mot papallum, appliqu pour
:
ailleurs inla
premire
Hmda santisu
Que
que
dans Esaggil,
le
sa race,
que
ses rejetons
Inscription dite
,
(fin)
ruppisi zirim,
Dans
les syllabaires,
Le terme semble emprunt mtaphoriquement, comme d'autres (cf. summuhu mesi'ti) la vie vgtative. Dans Sennachrib (voir Meissner et Rost, p. 16 et 41),
on
lit
:
Naphar
is {.i/iuma
usarri^ papallum
Tous
les arbres
prospraient et multi-
papal karni (Briin., 5632) est un objet appel /jrof? ou rejeton de vigne.
les
Lib-pal-pal sont
rejetons
du cur.
p. 331)
Papallum
baguette
est
conclut un sens de
verge,
tige
binbinum. Le sens
littral
de papallum serait
de
la tige
ou rejeton
X. Un proverbe chalden.
de
lentille, et
lit
contient une sentence ayant eu cours dans les coles de Sippara, au temps
:
de Samsu-iluna
^d<yy
4<^
t:y]r}
-<
<IiI ^]<]^
}
TTTT
""Il
^tJ
"^-^y
B^TT ^^fcJ
^ VcoXe de la Tupsarrutu,
qu'il se lve (tt)
"^Hfl
^^E
^T^T
Que
si
comme
un
le
jour!
Sa ne peut
de
la
optatif,
comme
il
sera
mieux de traduire
la
<(
l'cole
Tupsarrutu
Dan.,
XII,
brillera comme
3
:
Cf.
191
WiLHELiM SpIEGELBERG
Bekaniitlich bildet
man im AHagypihchen von Substantiven und Prapositionen Endung (spater koptisch e)^ Eine neue Adjectivbildung,
/
worden
ist,
will ich
Erman
die
ist in
H h
selir
V^.
v\ und O'^
'^
stelien,
dme
jedochauf dise Tliatsache wieder zunickzukommen. Ich selbst suchte mir die letzteren
eines
"^
von dem bislang noch rathselhaften negativen Adjectiv, hntiw und mitiw
Dise
nnn
definitiv aufzugeben,
denn
:
fiir
il
Zu
1/432
t(ot
ntr
Shm
i(n)
ntr ml[w)t{i)k
es giebt keinen Gott
Du
bist
Gott
Shm,
bietet
T 269
die Variante
twt ntr
Shm
ist
[i(n) nti^
m\ wtik
Damit
der
die
Lesung
m'iioti
ist
gesichert
und
Adjectivs erklrt.
Von
(|
w gebildet An
'.
Hand
dises Ergebnisses
iczbildungen hierhersetzen.
imtiu zwischen erwhnt, fur welche Erman nach den PyramidenMv"^ yi^ imwti angiebt, die indess nicht genau ist. Es ist m. W. bislang Lesung texten die
-Vr-
libral),
wo
es sich in
zu lesen
ist,
(jHh^
II'
1.
Erman, Gram.,
jE. Z., 81/52,
132 S.
1.
2.
3.
4. 5.
Anm.
Nachtrglich sehe ich, dass dises auch Die Ergnzung ist sicher.
Ermans
(Z.
c, 137)
Anuahme
^
ist.
Es
ist
V^
entstanden zu erlilren.
6.
7.
Natiirlich schreibt
maa
(1
^\
1/474
B. P.
1/903.
M.
P. 11/1063,
als
varr.
Qotiere ich
(]-][-'
P. 11/898, P. 1/253,
und
(]
JL-
"^ q
\V./580, P. 1/185.
192
Ferner
(?)
\J
^
J\
^^
" wpiot'i
))
der Bote'
'-^\
j\ h'wt)) der
Erste
.
(kopt.
'
s^ottit).
V:>
phwt
der letzte
Q^x'^r
Vlwj^i
alteii
mnnlich
{2poT-x)\
Ob wpwt
liierher gehrt,
oder nicht
ist,
Annahme
Adjectivbilduiig auf
von wpwt
/?'(?)
Botschaft
abgeleitet zu sein,
=^.
"O"
lit
es nichts zu thun,
denn
Wortes
ist
uns ja in -"^^
/Vierlialten*.
Phwt ht \ on p h dasEndeerreichen
Als Beleg
,^.
abgeleitet undheisst
Musums
ist.
-^^^
>r-i?
I
'=^
S!
AWftAA
=^
I I
tk
ri
CSN
<=^
'^
(?)
offnet einen
Pltze"!
Daneben
ist
als
Zeuge
(eigentl.
der
v^^elclier
belegt.
Streit-
bare
zurckgefhrt.
Die angefhrten Beispiele lassen sich gewiss noch erheblich vermehren, aber im-
merhin werden
sie einst-
will, als
beweisend gelten
^,jl. 1|(]
Iwtl*,
Lesung
i.
Ich setze
Sehr zweifelhaft erscheint mir indess der Nachweis der phonetischen Schreibung
-^
1.
in
z.
B. W./511
V
D
\
w/>{w)t(l)
2.
Demot.
a^]^
B- Chron. demot.
'
x)
>>
??''
E^^"-
3.
4.
Aus
'h'-ict.i
und
;.
^.
Z.. 82/51.
5.
Plural
W.^.
30
_^^^^^p/,a.a, geschrieben
(vgl.
il
Danacb habe
6.
7.
^^^
ntiu, P. 1/440).
B. 6/19.
Z., 93/82
i.
8.
9.
^.
vgl. jetzt
Erman, Gram.,
369
ff.
10. Recueil.
Aum.
1.
193
in s
N.
dbli m',f
tw
Nicht N.
bittet,
erschliessen zu drfen
glaubte.
gefugt.
P. 1/582-583.
AAAAAA
A ^
CS:^
A^W^\A
in
Is
n hk]
Nicht dieser N. sagt dises euch, Gtter (sondern) Hk] sagt dises euch, Gtter.
jedoch in beiden Fllen durcli
letzte positive Satz
.-ju.
^
Nun wird
legt
(Il das
1
1
Subject hervorgehoben,
AAAAAA
dem
l AAAAAA
I /W\/^A
q H das
I
I
1
AAAAA^
(1
Orthographie .ju.
man sich mit gutem Gewissen zu dieser Annahme Auch vor einem anderen Beispiele mchte ich warrien
P. 1/335
M 1/638
imi
iwtf
{w)f
w'b
nicht mit
in
w''b
n R^ r
N
von dem
in als Fragepartikel'
Hier darf man H AAAA^NA Tempus sdmnf nie einn fassen und bersetzen
:
zeigt,
Maspero
Lass ihn
kommen Er
!
(etwa)
i?*
reiner als
N?
Sethe hat nun die Beobachtung gemacht, dass nachder Negativpartikel -a^ niemals
sich ein
[1
prostheticum findet,
(1
j'a
Man
im
schreibt Z. B.
wo
sie
wissen
aber _n_^
AAAAAA
^:ii:^
du weisst nicht
z.
Dageefen
*=
fehlt es berall,
erwarten
B. da,
wo
.ju.
Sinne von ^_^ steht. Daraus h-i Sethe* zweifellos mit Recht gefolgert, dass ju. auf ^< setzen einen Vokal endigte, welcher das prosth. vertrat. Danach wird man also
(1 (1
mssen.
Ich mchte mich nur noch kurz gegen die zuletzt von
Wiedemann*
vertretene
varr. der
Totenbuchs
bei
1. Beilufig mchte ich hier andeuten, dass auch im Aegypt. zwischen den Partikeln der Frage und Verneinung manche Verwandtschaft besteht. Ich denke pter einmal darauf zurck zu kommen.
2.
3.
4.
De aleph
L.
c.
prosthetico, 14.
21.
ff.
RECUEIL, XVI.
25
194
voii ru.
und
aaa/^
fur unsre
M.
4-4- ""^ ^ ^^^ '^^^' ^*^'^ z!!iZ^^^^' Allein ich glaube, dass hier ledigUch ein Irrtum des Steinmetzen vorliegt. Eine von Dumichen nicht verzeichnete var.
ist
^y
sich
^^
"^""^^
:
11.
Der Irrtum
'^
'wwvv
ist
illustriert.
lsst, so
Da
nun
die Schreibuny;
f^ c^p
mchte ich glauben, dass auch hier einer von den vielen Transcriptionsfehiern der
Steinmetzen anzunehmen
[n ins Feid zu fuhren.
ist
wo
nicht der
man
die defective
durch
.ju.
determinierte.
4
Fur das M. R.
phonetische Sclireibung
man
.
^) kann
(
sehr
wohl
als diakritischer
Punkt
gefasst werden.
Was
den
aber
ist
die
Grammatik
295)
inf. z.
T.
Stamm
auf v\ endigen lassen. Ich zitiere dafu" folgende Beispiele aus den Pyra:
midentexten
Spr nf bhc- t(i) -/'(() nb Zu ihm kommt jeder, der sich umwendet
hctisn
nk
in
ksiict{i)s/i
kommen
als solche,
P- 1/600
^ -^ ^ ^
Dumichen
ist
(?)
(11^
_-
Nicht
sei
1.
a.
Dise fehlerhafte
Schreibung
auch
Der Grabpalast des Patuamenemap, Tafel XXIIl. in den Pap. Ebers libergegangen. brigens wre es sehr
beiilen urspr.
"'*^''"
und
' '
J^j
<^
inm schon
zusammengeworfen wurden.
f iir
(I
ci.
Le Page Renoue
Egyptian grammar.,
p. 41.
weiches man allerdings nach correcter Orthographie -^'-^ erwartet. Indess wird die Unterscheidung der beiden beregten Forraen nur in wenigen Texten consquent durchgefhrt. Im grossen und ganzen steht .,J\_ fur i und in, ^^-^ fur in. Spier sind beiianutlich auch .,JL und ^^ zusammen geworfeu.
5.
6.
einsetzt, fur
z. D.
M.
G.
XXXI,
467. in
\\
lieyt
195
Den Verben
III'"" iiif.
scliliosst sicli
nun
uucli
(l;vs
aiioinale
ndr
an,
cl".
P.
11/7'.)!).
rk (w)
((
ndrwii
V.'
//
IlnCi-timiOio
//. ei'^i'cif(3n
l'iir
Die phonetische
darf mail das
worden. Vieil.
aul'
deii
/;
'
Einlkiss des
seliwachen Radicals
[1
ziiiucktiilircii, d;>iiii
wiirde
\-irfi-J'] zii
.sein
lesen haben.
zwischen dieser wti bildg. bestimmter Verbalklasscn und der wti bildg. der sog.
Adjectivbildung eine Veiwandtscliaft oder gar eine Jdentitilt besteht. Freilich vermisst
man
ein
bei der Adjectivbildung das Suifix, welches indess kein integrierender Bestandteil
Aber
hier liegt
daraut' mochte
ich selbst
hinweisen
Bewei.sfiihrung.
Inder That lassen sich eine Reihe von den beregten Adjectivbildungen auf Verben
zurckfhren. Abgesehen von
dem
Stamm
II
I"*^
inf.)
und h\ot (vieil, gleiclif. von einem Verbum III'"' infirme) knnte fur die anderen Worte "lwtnn phw, falls nicht 7i' als Anomale zu betrachten ist, auch Analogiebildung in Frage kommen. Dise knnte nun insbesondere da massgebend gewesen sein,
wo
der
Stamm
auf ein
(l
inf.,
und
Iwtl
Dagegen
sichtig
ist
auch ihnen die verbale Bedeutung eigen, welche bei IwtV und mlwtl durchbei Imlwtl liegt wenigstens in
ist.
Aber auch
Wort
P. 11/903
ty ^3^
Jl
(j
^1 n
:
/wvwv
smk limwlUn
[i.
e, Isis
und Nephthys]
(bist)
ebenso P. 1/253
M.
1/474
P. 11/1063.
?
sein,
bildung nur
fiir
gilt.
Nehmen wir
titiit
des Verbaladjectivs und unsrer Bildung an, so werden wir folgerichtig, da ja die
lo bildung beim
Verbum nur
ich
die
tl
ist,
auch fur
Verbum
zu
1.
Beilufig
mochte
m
ft
und tm
ein
haben wir
in
der
.Stelle 7/3.^8
^
''u>\ii)(l)
^
n
hast,
^
itk
U
rint_
^.
l|.
mit-)
tiv
iict
N ^
der Gttin)
rmt msti-{oder
vieil.
rnsi-Uo ihre
(se.
Hnde
Menschen
in iujt
dem
Infiaitiv
welche dich gebiert, weil du keinen Vater unter den Meuschen des Negativverbums f vor uns.
hast,
196
iinsre
tl
formen ahnen.
z.
Und
in der
B. wbtl
(eigtl.
der Antworter
die
bekannte Bez. der Totenstatuette und zwei Worte, welchen bereits Maspero^ ihre
redite
Stella
angewiesen hat, wie denn iiberliaupt der genannte Gelebrte der hier
k-=w
besproclienen Bildung auf der Spur gewesen zu sein scbeint. neneciTHc ist gewiss
\\\
Kiifii
ist p*.55ithc
p^^g^T
:
auf p.^iT
((
Fiir letzteres
Wort
liegt
ausserdem nocb
in
p*.s5t
Was
t
iibrigens das
'.
Verbum
mit radicalem
ist
zuriick
Das
e in pwg^c ist
wie
ein
(1
ani
Ende
ausgefallen.
Das Pseudoparticip.
IIP*'
p*.^e
und der
infirma?,
nur der
dagegen
(1
besltigen, so wiirde
nun
in
Form
;^;;;(J33;^
darstellt'.
Beilufig
in
^^
(alte
Defectivschreibung
^^f^^-
^^
-^gyptiscben wie in andren Sprachen giebt es unter den Eigennamen auch Titelbildungen, vgl.
z.
B. P. Anast.
ri
<=>
il()
IJ
So
findet sicb
aucb ein
Name ^'^^^(J
vieil, die
indieselbeKlassederEigen
^^
enthlt
'.
Zum
Scbluss
sei
Es
ist
Form
V;^
geliebt
sei
Erman
kann
eine
mrwt
Liebe
ich
s'
pw
N.
mrll-wtlw
ist
hrl nst
Gb
Ein Sobn
N.
'
dem Thron
des
Gb
sitzt.
1. 2.
3. 4. 5.
6.
tudes gyptiennes,
1/91
Demot.
V /^
;
4 3r
'
^^^' ^'/>^
ty^
170.
"^^*
ro
^^^
It
S. Steindorff
Kopt. Grammalik
Z. B. in den Smtexten.
Auch
iv^ti
einzig mchte ich mit einem Fragezeichen hierhersetzen. I. Tafel I Z. 11 (Im Druck).
7.
L. D. 11/114.
8.
i
(1
(j
.^
in
dem
Wortspiel, 7/336
V^ N.
?)
'^
_^
9.
N hn^k
n'-ic es
kommi
Kommender
Zu der Wortstellung
vgl.
Erman, Gram.,
EINE
191
ist
Masculin
legt es
Form
Uebrigens
auch sonst
z.
B.
P. 1/162
Ml/412
vom Orion
gestiitzt
wird.
))
Also ganz wie beim Part. pass. wird hier das logische Subject verbindungsios
angehiingt. Ferner citiere ich
ni'b-Jx
p(r
lts{l'i)
wtl
Als
einige
einen
Nachtrag
zu
den
vorstehenden
^''^^^
Ausfhrungen
mochte
ich
noch
Worte
iiber die
Stadt 1^^
eines
"^ V
t
hinzufiigen.
aus.
M. E.
Annahme
fem. in
dem Prototyp
So mochte
ich
immerhin
Vermutung wagen,
Habe
ich
activisch oder
passivisch
Form
Da
dises
ein
wurde meine obige Vermutung daran einen neuen Hait gewinnen. Von dem Verbum IIP*' inf. ru?' wrden sich dise Formen so darstellen
endigte, so
:
inractl
mrliwtl
wird
Fasse ich das Rsultat dieser Studie kurz zusammen, so ergiebt sich folgendes.
Von
einem Verbum kann durch die Endung^t* ein nomen agentis gebildet werden. Ebenso wie nun bei dem vermutl. mit unsrer Bildung identischen Verbaladjectiv der Verba
IIP* infirm
dise
Endung
ein
tritt,
ti
bilden auch
dise
Verbalstmme
nomen
wie
an das particip.
act. tritt.
Sinn abgeleitet. Nach Analogie dieser Formen werden nun die obigen Formen auch
tritt
\\
die
Endung
aufzunehmen, wie ich mir berhaupt bewusst bin, in diesem Versuch mehr Fragen
angeregt
als gelst
zu haben.
1.
2. 3.
Cf.
W/532
Vgl. jetzt auch Sethe yE. Z., 93/112. Die vocaliserte Form S'.'ict'l wrde fur unsre Bildg. voa
:
M\l
V^
IJII
Au
(*''s
Bedeutung
sein.
tl
4.
Ob und
in
welchem Zshg.
dises
AH
mit
steht,
198
LIVRES PARUS
LIVKES PARUS
C. Brockelmann, Lexicon Si/riacum auctore C. Brockelmann, prfatus est Th. Nldeke, und Reichard. Fasc. 1-2, 4 marks, 5 fr. le fascicule. Le Lexique de M. Brockelmann contient tous les mots qui se rencontrent dans les crivains connus jusqu' prsent. Sont seuls excepts 1" les noms propres; 2" les formes drives des mots qui tiennent plus de la Grammaire que de la Lexicographie; 3 les nombreuses gloses grecques qui ne se rencontrent que chez Bar-Al et Bar-Bahll; 4 les mots trangers donns expressment comme tels. Les matires sont classes par racines, le verbe en tte quand il est usit encore dans l'usage courant, puis ses conjugaisons diverses et les noms qui en drivent. Le systme de vocalisation employ est celui des .lacobites, auquel on a joint la notation nestorienne pour marquer les sons o et e. Le prix total de l'ouvrage ne dpassera pas 40 marks ou 50 fr.
in-8o, Berlin, 1894, lieuther
A. Erman, A^(/j/ptische Grnmmatik mit Schrifttafel, Lilteratur, Lesestcken und Worterrerzeichnis (forme le tome del Porta Linguavum Orientaliiun). Berlin, 1894, Reuther et M. Erman a pris pour type de l'gyptien classique Reichard. Prix: 16 marks ou 20 fr. les inscriptions et les uvres littraires du Moyen-Empire Thbain: il a rejet dans des annotations places la suite de chaque paragraphe les formes particulires aux textes religieux de l'Ancien Empire, aux textes va lis du Nouvel Empire Thbain. Le livre est destin aux commenants, et il a t rdig de faon les mener graduellement par les diverses phases du dchiffrement. L'lve tudiera d'abord les paragraphes marqus d'un astrisque puis il eu appliquera les lments la lecture et la traduction de la premire partie des morceaux choisis il trouvera audessus de chaque forme un numro qui le renverra au paragraphe o cette forme est traite. Cette tentative de traduction et les analyses qu'elle ncessite lui donneront occasion de revoir dans le dtail toutes les rgles ([u'il avait apprises, de les confronter et de les coordonner ce travail fait, il passera la seconde partie de la Chrestomathie, o l(;s numros des paragraphes ne sont plus indicjus. Les morceaux choisis sont trs corrects et le Glossaire qui les accompagne Bien que la Grammaire de M. Erman s'adresse suffit pour en permettre la traduction complte. plus spcialement aux dbutants, tous les gyptologues gagneront la lire et l'tudier de prs elle renferme, avec plus d'une hypothse hardie, un grand nombre de faits nouveaux, bien tablis, G. M. qui lui assurent une valeur durable.
XV
S. Levi, Vocaholario Geroglijfco-Copto-Ebraico, vol. VIII, Supplemento II. Torino, 1894, Prix: 30 fr. Le second supplment du Vocaholario contient plusieurs Litografia Salussola. milliers de mots qui ne se rencontrent pas dans les volumes prcdents du mme ouvrage. Ce sont les textes des Pyramides qui lui ont fourni le plus gros contingent, et qui le rendent particulirement prcieux. On sait l'importance qu'ils ont pour l'histoire de la langue. Le recensement que M. Levi en a fait et les renvois qu'il a attachs chacun d'eux font de ce nouveau volume un livre indispensable pour tous les gyptologues. Ils y trouveront catalogue toute une partie de la vieille langue qui ne figure ni dans le Dictionnaire de Brugsch, ni dans aucun des Lexiques parus jusqu' i)rsent. C'est un service rel que M. Levi rend nos tudes, et dont il faut le
remercier sincrement.
G. M.
G. Steindorff, Koptiache Grammatik, mit Chrestomathie, Worterverzeichnis und Litteralur (forme le t. XIV de la Porta Linguarum Orientalium). Berlin. 1894, Reuther et Reichard. La Grammaire Copte de Steindorff est comme la suite de la Prix: 13 m. 20 ou 17 fr. Grammaire hiroglyphique d'Erman. Elle procde de la mme mthode, est imprgne du mme esprit, et s'eforce de montrer par quelles voies les formes de la langue antique en sont arrives celles de la langue moderne. Les questions que soulve le passage de l'gyptien au Copte y sont agites pour la plupart, sinon toutes rsolues. Le terrain sur lequel M. SteindorflE s'est aventur est un terrain presque entirement vierge on ne devra point s'tonner si beaucoup de solutions qu'ils donnent ne lui apparaissent lui-mme que comme provisoires. Le dialecte qui a servi de base ses recherches est le Thbain, et dans le Thbain il a fait un choix parmi les morceaux qui lui ont sembl reprsenter la forme la plus ancienne ou la plus pure de la langue. Ici encore, les dbutants ne seront pas les seuls bnficier du travail de M. Steindorff: tous les savants qui s'intressent au Copte y trouveront des faits et des thories nouvelles qui leur donneront G. M. matire de srieuses rflexions.
L.
MARCEAU.
INDEX
DES SEIZE PREMIERS VOLUMES
DU
RECUEIL DE TRAVAUX
RELATIFS A
Il
des mots
le travail ainsi
compris est
si
me
suis
born k
mme
nom
de chaque auteur
annes coules
M. Chassinat
mon
place
d'diter
tenait
en 1870,
la
nom
et de sa science, substitua
au Recueil
lui
les
Mlanges
d' Archologie
gyptienne
et la
sante, les
temps
me
Vieweg assuma
depuis
lors, la
grce au dvouement de
M. Holzhausen
a
de M.
et je
Marceau
compte bien
Amiaud, mais
il
Anglais, Allemands, Hollandais, Russes, Scandinaves, tous ont tenu honneur d'y
collaborer avec les Franais, et aujourd'hui encore,
il
y a peu de nos
fascicules o l'une
la
la ntre.
G.
MASPERO.
1.
M.
le
Pages
1-9
10-18
18-40
2. 3.
^^
tudes dmotiques,
I,
par G.
Maspero
4.
Prceptes de morale extraits d'un papyrus dmotique du Muse du Louvre, par P. Pierret
(avec deux planches) Le papyrus Mallet, par G. Maspero (avec six planches) Recherches philologiques sur quelques expressions accadiennes
Fr.
40-46
47-59
et assyriennes, I,
5.
6.
par
Lenormant
tir des rcits dats des
J.
59-62
guerres pharaoniques en
7.
dans
les
Lieblein
62-69
70-72
72-87
solaire,
par E. Grbaut
iO.
87-88
11. 12.
Le papyrus de Luynes, par Ledrain (avec une planche) Sur un nouvel argument chronologique tir des rcits dats des guerres pharaoniques en
Syrie et dans
les
89-95
pays voisins
(fin),
par
J.
Lieblein
et assyriennes, II,
95-103
par
13.
Lenormant
XIIP
dynastie, par E. Naville (avec une planche)
solaire (suite), par E.
et
103-107
14.
Un
fonctionnaire de la
107-112
112-131
15.
Grbaut
16.
17.
18. 19.
Le Jk^ Le Souphis
Les
II
"''v
^^ papyrus Ebers
132
133-138
138-139
comme
Lieblein
et d'Iiistoire,
141-152
A, par G. Maspero
152-160 160-180
180-190
20. 21.
La grande
Maspero
22.
23.
Une
inscription bilingue de
i-iii,
Varia,
par Loret
190-196
196-205
anne
(1880)
1. 2.
Du
rle de ^\
Ceugney
1-9
10-13
III
3. 4. 5.
5.
tablette appartenant
i-iv,
Notes assyriologiques,
13-18
18-21
21-26
27-32
7. 8.
9.
Maspero
32
les
Assyriens, par
J.
Oppert
III,
33-47
par G.
Le
rcit
do
la
Maspero
48-56
11. 12.
13.
II,
par Victor
Loret
60-65
par Jacques
Krall
66-70
70
Maspero
14.
71-75
(avec
15.
Une
de Babylone, par
.T.
Menant
des
deux
76-85
16.
Ostrakou
Louvre, von
D'Arthur Lincke
17. Les antiquits gyptiennes
85-89
89-94
D-M, par
G.
94-105
planche)
20. Petites notes de critique et de philologie, 21-.30, par Karl Piehl 21.
105-120 121-129
.
Sur
le
129-133
134-139
24. 25.
Guyard campagne contre Mageddo sous Thoutms III (suite), par G. Maspero. Monuments gyptiens du Muse d'antiquits de Rouen, par Victor Loret Rapport sur une mission en Italie, par G. Maspero
Le
rcit de la
139-150
151-158 159-199
200
Maspero
3e
anne
(1882)
1.
Notice sur
un
texte
hiroglyphique de
Stabel Antar
(Spos
Artemidos),
par
W.
1-3
Golnischeff
2. Notice sur
W.
planches)
3.
3-7
Essai sur
le
8-27
27-31
4.
Deux
Auguste Baillet
32-42 43-57
au mois de Khoiak, par Victor Loret Sur un papyrus indit du British Musum, par W. Pleyte
57-64
65 72
Piehl
Le temple d'Apet, par M. de Rochemonteix (avec une planche) 10. Observation sur une date astronomique du haut Empire gyptien, par F. Robiou 11. Rapport sur une mission en Italie (suite), par G. Maspero
12.
72-86
....
86-102
103-128
)te
13.
de la bibliothque du patriarche copte-jacobite du Caire, par U. Bouriant Der Sarkophag des Petupep in der Sammlung gyptischer Alterthraer des sterreichischen Kaiserhauses, von E. VON Bergmann
129-147 148-152
14.
des
15. 16.
(suite),
par A.
Aurs
155-177
177-224
La pyramide du
IV
4"
ANNE
(1883)
1.
2. 3.
I,
par U. Bouriant
....
1-4
5-11
Sur
Les
Auguste Baillet
(suite),
II
12-20
4.
au mois de Khoiak
21-33
33-38
.
5. 6.
7. 8.
Bergmann
le
Monuments gyptiens de la collection de Schackenborg, par La pyramide du roi Ounas (suite et fin), par G. Maspero
Relies from the
comte de Schack.
38-40
41-78
tomb
by Amelia B. Edwards.
79-87
87-89
9.
Wiedemann
Karl Piehl
II,
10.
89-117
117-124
125-151
12.
l'-i.
Italie (suite),
par G. Maspe;ro
par U. Bouriant
Fragments de manuscrits
Note complmentaire sur
th bain s
le /WNAAA N
du Muse de Boulaq,
,
152-156
14.
156
par A.
Aurs
157-220
ANNE
(1884)
1.
2.
La pyramide du
Notice des
roi Teti,
par G.
Maspero
1-59
60-70
3. 4. 5. 6. 7. 8.
9.
Muse Boulaq, par U. Bouriant Les statuettes funraires du Muse de Boulaq (supplment), par Victor Loret Die Wiener demotische P-apyrus Nr. 31, von Dr. J. Krall Les ftes d'Osiris au mois de Khoiak (fin), par Victor Loret Un dernier mot sur les doubles dates du papyrus Ebers, par F. Robiou Fragments coptes du Nouveau Testament dans le dialecte thbain, par E. Amlineau.
coptes du
monuments
70-76
76-85
85-103
103-104
.
104-139
139-156
Essai sur
le
La pyramide du
Pepi
10.
par G.
157-198 199-216
6'
anne
(1885)
1.
La
stle
et l'inscription
planche)
2.
1-20
Grande inscription de Stabel-Antar (Spos Artmidos), avec une planche, par \V. Golnischeff
20 20
21-35
par M. de Rochemonteix (avec une planche)
3.
4.
5.
Le temple d'Apet
(suite),
6.
7.
8. 9.
10.
Fragments des Actes des Aptres et des ptres de saint Paul et de saint Pierre aux Romains, en dialecte thbain. par G. Maspero Rapport sur les fouilles du Fayoum adress M. Auguste Mariette, par L. Vassalli. A Thbes, par U. Bouriant (avec une planche) Der Kalender des Papyrus Ebers, von J. Krall Neue koptische und griechische Papyrus, von J. Krall Ueber einige demotische Gruppen, von J. Krall
.
35-37
37-41
41-56
57-63
63-79
79-81
(suite),
par A.
Aurs
Bouriant
81-96
97-115
Rome
(suite),
par U.
Wiedemann
115-124 125-130
14. L'bne
Loret
in der
Sammlung
Bergmann
le dsert,
131-165
par E. Amlineau
16.
166-194
7'
ANNE
(1886)
1.
monument
(suite),
de Chalouf, par G.
Maspero
(avec une
planche)
2. 3.
1-8
par A.
la
Essai sur
le
Auuks
8-15
Mgr
Bsciai
et la
4.
Le tombeau d'Am-n-teh
fonction de
fl
fi
32-46
4o-4o
5. 6.
7.
Fragments coptes publis par G. Maspero, Mil Essai sur le systme mtrique assyrien (suite), par A. Aurs
Fragments memphitiques de divers
Revision des
livres indits de l'criture et des Instructions
49-82
pas-
Bouriant
III,
82-94
listes
gographiques de Thoutms
par G.
Maspero
94-101
10.
Recherches sur plusieurs plantes connues des anciens gyptiens i-v, par Victor Loret Petits monuments et petits textes recueillis en Egypte, 1-25, par U. Bouriant ....
101-114
114-132 132-140
11.
De
l'ge de pierre
12.
Maspero
140-141
du rgne de Thotms
l'\
par E.
Grbaut
.
142
Fragments coptes publis par G. Maspero, iv-vi La pyramide du roi Ppi I" (suite), par G. Maspero
Inschriftliche
.'
142-144 145-176
des osterreichischen
Denkmler der Sammlung gyptischer Alterthmer Kaiserhauses, 1-18, von E. von Bergmann
la version
177-196
17.
Fragments de
197-217
218
18.
anne
(1886)
1. 2.
On
et
1-9
Fragments de
version
thbaine
de l'criture (Ancien
Testament),
par
E.
Am10-62 63-69
69-73
74-83
lineau (suite)
3. 4. 5.
6.
Wiedemann
La
7.
8.
Medoum, par Daninos- Pacha A propos de l'article de M. Wiedemann, par le Dr. Karl Piehl Les Ilim, par G. Maspero La pyramide du roi Pepi l" (suite et tin), par G. Maspero
dcouverte des statues de
der sogenannten saitischen Formel, von Dr. A.
esssai de reconstitution, de
84-86
87-150
120-143
9.
Zu
Wiedemann
du texte de
la troisime
143-150
10.
Nouvel
Petits
traduction et d'explication
monuments
petits textes
12. 13.
Deux
Max Muller
N-0, par G. Maspero
14.
15.
et d'histoire, ^
179-192
Nummuli,
1-2, par
M.
192-202
9'
ANNE
(1887)
1.
Fragments
et
documents
relatifs
aux
fouilles de
1-20
VI
2. 3. 4.
Max MuLLER
Thbes, par Philippe Virey
.
21-26
.
la ncropole de
27-32
Denkmler der Sammlung gyptischer Alterthmer des Kaiserhauses 1-33, mit Nachtrag, 1-9, von E. von Bergmann
sterreichischen
32-83
5.
Lettre
M.
le
A. AuRs
6.
7.
Petits
monuments
de
la
....
Am-
81-100
Fragments
LiNEAu
version
thbaine
de
E.
(suite)
J.
101-130
8.
9.
La
stle
de Chalouf, par
Menant
131-157
10.
11.
Max Muller Bemerkung iiber einige Knigsnaraen von Max Mller La pyramide de Mirinri I", par Ci. Maspero
Zu
der sogenannten satischen
157-176
176-177
177-191
Formel
13.
191-196
196
10"
anne
(1888)
1.
La pyramide de Mirinri
2.
3.
Assyriens, par A.
Maspero Aurs
et
1-29
29-50
50-60
signe L ou
4.
note
sur
le
par
60-66
Paul GuiEYSSE
5.
Fragments de
LiNE.^u
la
thbaine de
l'criture
(Ancien Testament),
par E.
Am67-96
(suite).
6.
7. 8.
On
the marne
les
G. H. ToMKiNS
par E. Amlineau
97-98
tude sur
d'Amenemht
I",
99-121
in Great Britain,
of
Egyptian Antiquities
by Miss
121-133
9.
133-138
139-150
10.
Remarques
et notes i-xiv,
Aurs
(fin).
151-168
Fragments de
169-187
181-198
198-208
14. 15.
La question des Hrouscha, par Flix Robiou Le pays d'Alasia, par G. Maspero
209-210
11"
anne
(1889)
1.
La pyramide du
tude de
la
roi
Maspero
1-31
2.
3. 4.
5.
31-36
37-51
52-77
Sur
le
J.
Oppert
77-78
79-95
6. 7. 8.
Remarques et notes xv-xlv, par G. Daressy Lettre M. Maspero sur trois petites trouvailles gyptologiques, par tude sur les prceptes d'Amenemht I" (fin), par E. Amlineau
W.
Golknischeff
96-100
100-116
9.
Fragment de l'vangile
Le verbe
cirSiJ et ses
Maspero.
116
117-131
10.
Loret
11.
Notes de voyage
1-6,
par U. Bouriant
131-159
VII
160-171
rtablis en
la eolleclion dj
J.
M. de Sarzec
transcrits,
assyrien
Halvy
III,
171-211
Tout-ankli-Anien.
(ils
d'Amoiiophis
212
12
ANNE
(1692)
1.
Inschriftliciie
Kaiserhauses.
2.
i-xxiv,
1-23
Lettre
M. Maspero
tien, par E.
3. 4.
Ami.ineau
23-47
Monuments
48-53
53-95
recueillies et publies par
5.
La pyramide du roi Ppi II, par G. Maspero Notes de grammaire assyrienne, par A. Amiaud,
O.
V. Scheil,
96-104
P
du tombeau d'Anna, par U. Bouriant
.
6.
7.
Une
stle
105-107
Lettre
M. Maspero
roi
Amlineau
II (suite),
108-135
La pyramide du
O. P
Ppi
par G.
Maspero
136-195
L'inscription de la statue
195-209
les fouilles
10.
Note sur
....'..
209-214
11.
Deux documents
relatifs
aux
fouilles de
Mariette
214-218
13''
anne
(1890)
1.
Hymne
Petits
1-26
2.
3.
tudes htennes
par
J.
Menant
26-47
. .
.
monuments
et
48-52
4.
Etude
explication
des
par A.
5. 6. 7. 8.
9.
AuRs
I-II,
52-61
by A.-H. Sayce
G. Maspero
62-67
68-71
Sur
Maspero
71-72
73-74
75-96
Une Une
tablette de
P
sujet des
10. Lettres de
MM.
M. Golnischeff au
monuments
perses
de l'isthme
11. Stle de
97-99
Darius aux environs de Tell el-Maskhoutah, par \V. Golnischeff (avec une
99-109
de l'Ancien-Empire par G.
planche)
12. 13. 14.
Un monument
Une
Malbrouk dans
Maspero
109-110 110-111
111-112 113-126
126-131
15.
16. 17.
Monuments
Amardian
or
Protomedic
in the British
J.
Menant
de quelques points de son mmoire sur les
131-145
18. Lettre
M. Maspero,
propos
145-149
149-153
Max Mller
recueillies et publies par
'
153-179
21. Notes
V. Scheil,
180-187
O. P. (suite)
VIII
22. 23.
24.
25. 26.
of Egypt, m, by A.-H. Sayce M. Sayce, par G. Maspero Lettre de M. Menant M. Maspero sur une dcouverte faite Le champ des Souchets, par V. LoRET
Note sur
de
194-197
197-201
Une
^tle
201-202
by E.-C. Wilbour
"
202-203
203-204
14*
ANNE
(1893)
1.
tude sur
la
et des
le
systme
1-10
.
.
et
10-17
18-20
Max
Miller
4. 5.
6.
7. 8. 9.
parG.DAREssv
and
their
20-38
39-43
von
W.
Spiegelberg
Decipherment, by A.-H. Sayce
i-
The
43-53 54-66
Textes recueillis dans quelques collections particulires, ^ Notes de voyages, 13-16, par U. Houriant
Pre-Hellenic
par G. Legrain
67-74
74-94
94-96
96-99
Monuments
les
of
10.
11.
tombeaux d'Assouan, par V. Scheil, O. P Notes sur quelques passages de la stle de Kouban, par Ph. ViREY
deux
racine
1
12. Les
13. 14. 15.
DE
Morgan
et
V. ScHEiL, O.
100-106
106-120
La
De
expression
^_
pai
t]
V. Loret
a<Pv
(J
j;;;^^
par A.
Moret
liaubi, par
120-123
V. Scheil, O.
124
125-152
16. 17.
18. 19.
(fin),
J.
153-160
161-164
165-185
186-193
inscriptions liotennes,
J5
remarques,
20.
21.
193-198
15'
ANNE
(1893)
1.
2.
3. 4.
The Decipherment
Textes recueillis dans quelques collections particulire, i (suite), par Georges Legrain. of the Hittite Inscriptions, by A.-H. Sayce
1-20
21-32
32-36
W. Max Muller
de Hagi-Qandil, par G. Daressy (avec une planche)
Tombeaux
Note sur
Varia,
et stles-limites
36-62 62-64
5.
6.
de Naram-sin, par G.
Maspero
65-66
67-69
69-84 84-86
86-87
87-89
trois
7.
8. 9.
Le nombre gomtrique de Platon, par A. Aurs Sur deux stles rcemment dcouvertes, par G. Maspero
Nouvelle inscription de Shargani, par V. Scheil, O.
10.
M. Golnischeff, sur
of
Monuments
Cappadocia,
planches)
13.
14. 15.
89-9"
97-101
102
103-104
IX
plantes
vi-ix,
par Victor
17.
LoRET Amenenih
105-130
III et les
sphinx de
San
W.
131-136 137-138
138-140
18.
Une
V. Scheu,, O.
P
'
Ramman-nirari
I",
par V, Scheil, O.
141-145
21.
22.
von
W.
Spiegelberg
145-146
of
147-148
148-149
25. L'atour et le
26. 27.
150-162
162-172
172-174
Sur deux
stles
d'Abydos au
nom
de Takellothis
I",
174-175
175-176
176-189
189-196
30.
32.
33.
i-iii, par G. Maspero du Muse de Constantinople, par V. Scheil, O. P Le nom gyptien de l'alun, par V. Loret
197-199
199-200
200
16'
anne
(1894)
1.
2.
3.
Monuments
Recherches sur plusieurs plantes connues des anciens gyptiens, viii-xn, par V. 'Loret gyptiens de la collection Dugas, par Alex. Moret (avec trois planches)
.
.
1-14
.
14-23
Deraotische Miscellen,
i-iii,
von
W.
Spiegelberg
par V. Scheil, O.
24-26
26-32
4.
5.
Notes d'pigraphie
32-3"?
6.
7.
37-41
remarques,
lxxxvii-cviii,
par G. Daressy
ii,
42-60
par G. Legrain
8.
9.
60-63
64-67
W.
Spiegelberg
10. 11.
12.
68-74
74-77
Maspero
V. Scheil, O.
77-90
13. Notes d'pigraphie et d'archologie assyriennes, V, par 14. Recherches sur plusieurs plantes 15.
16.
P
par V. Loret
90-92
92-102
103
xiii-xvi,
17.
18.
19.
^ ^S = =
11^
Sur un fragment de papyrus grco-copte, par Victor Loret Le nom d'pervierdu roi Sozir au Sina, par Georges Bndite Le livre de protger la barque divine, par E. Chassinat Not es et remarques, cvii-cxxi, par G. Daressy
'lif o^^ par J. Lieblein
i-ii,
104
105-122
123-133
133-134
par V.
Loret
relief crtois,
134-162
par
'
Scne d'initiation
planche)
aux mystres
d'Isis sur
un
Andr Joubin
(avec une
162-166
167-169
22.
23.
Une
statue
Egypt,
v-vi,
by A.-H. Sayce
169-176
V. Scheil, O.
176-182
25. Nachtrag,
von
W.
Spiegelberg
182-183
184-185
du P. Scheil
V. Scheil, O.
j.
186-190
191-197
W.
Spiegelberg
**
II
E.
AMLINEAU.
Fragments coptes du Nouveau Testament dans le dialecte thbain, IV, 104-139; Voyage d'un moine gyptien dans le dsert, VI, 166-194; Fragments del version thbaine de l'Ecriture (Ancien Testament), VII, 197-217; VIII, 10-52; IX,
101-130; X, 67-96, 169-181;
tude sur
Lettre
du copte
et de l'ancien
gyptien, XII,
23-47, 108-135.
A.
AMIAUD.
180-187
;
Une inscription
B
bilingue de
Hammourabi,
et publies
roi
de Baby'one,
I,
180-190.
P., Xll,
par V. Scheil, O.
93-104; XIII,
L'inscription de la statue
Amiaud
et publie
par V. Scheil, O.
P.,
XJI, 195-209.
A.
AURS.
Nouvel
Lettre
Essai sur
le
III, 8-27,
155-177
IV, 157-220;
V, 139-156,
du texte de
la
troisime tablette de
M.
la
le
M.
Assyriens, X, 29-50.
tude de
tude
tude sur
et des
systme mtrique
assyrien,
XIV,
Auguste BAILLET.
Dialectes gyptiens,
Monuments
tude sur
les inscriptions
htennes,
i-ii,
XIV,
161-164.
Alexandre BARSANTI. Sur deux stles d'Abydos au nom de Takellothis I", XV, 172-174. Georges BNDITE. Le nom d'pervier du roi Sozir au Sina, XVI, 104. E. VON BERGMANN. Der Sarkophag des Petupep in der Sammlung gyptischer Alterthtimer
sterreichischen Kaiserhauses,
III,
des
148-152.
Ein Denkraal aus den Zeit Amenophis II, IV, 33-38. Der Sarkophag des Nesschutafnut in der Sammlung gyptischer Alterthmer Kaiserhauses, VI,
131-165.
Inschriftliche
Denkmler
der
1-18, VII, 177-196; 1-33 mit Nachtrag, 1-9, IX, 32-63; i-xxiv, XII, 1-23. Les proverbes de Salomon, version copte publie d'aprs deux manuscrits RIANT. Urbain
BOU
III,
129-147;
IV, 1-4;
ii,
IV, 152-156;
tl
monuments
coptes
du Muse de Boulaq, V,
60-70.
et l'inscription de Rosette,
VI, 1-20.
Instructions pastorales des
monuments
26-47,
VIL
158-169;
XV,
Une Une
Emile
stle
BRUGSCH-BEY.
VII, 15-31.
Mgr BSCIAI.
C.
On et Onion, VIII, 1-9. Peut-on trouver encore des mots nouveaux dans
Du
rle de
la
CEUGNEY.
V^ m
prfixe en gyptien,
la
II,
1-9.
CHASSINAT.
et
Note sur la lecture d'un signe d'poque ptolmaque, XIV, 193-198. Le Livre de protger la barque divine, XVI, 105-122.
DANINOS-PACHA.
Note sur
La dcouverte
des statues de
Medoum, VIII,
69-73.
les fouilles
Georges
DARESSY.
;
et le roi
Smends, X, 133-138.
;
Remarques
et notes i-xiv,
X, 139-150
xv-lix,
XIV,
20-38
liii-lxxxvi,
XIV, 165-185
Lettre
lxxxvii-lviii,
la stle
XVI,
42-60; cvii-cxxi,
XVI, 123-133
les
M. Maspero, propos
et stles-limites
XIII, 145-149.
Tombeaux
de Hagi-Qandl,
XV,
32-62.
150-162.
Note additionnelle,
XV,
174-175.
Th.
DEVRIA.
Amelia B.
L'expression M-Xerou, 10-18. EDWARDS. Relies of the Tomb of the Priest-kings at Dayr-el-Baharee,
IV, 79-87.
The provincial and private Collections of Egyptian antiquities in Great Britain, X, 121-133. "W. GOLNISCHEFF. Notice sur un texte hiroglyphique de Stabel antar (Spos Artmidos), III, Notice sur un Ostracon hiratique du Muse de Florence, III, 3-7.
1-3.
VI, 20.
M. Maspero,
Une
Stle de Darius
Amenerah
E.
III
aux environs de Tell el-Maskhoutah, XIII, 99-109. M. Golnischeff sur ses dernires dcouvertes, XV, et les sphinx de San , XV, 131-136.
Des deux yeux du disque
87-88.
solaire,
I,
87-89.
GRBAUT.
Varia, 1-4,
I,
72-87, 112-131.
Inscription indite
du rgne de Thotms
Paul GUIEYSSE.
Stle de la faade
L ou E
X,
60-66.
1.
a donns
aux notes
XII
Stanislas
J.
Hymne au Nil, XVI, 1-26. GUYARD. Notes assyriologiques, i-iv, I, 18-21; v-xiv, II, 134-139. HALEVY. Textes cuniformes de la collection de M. de Sarzec, transcrits, rtablis
populaire
et traduits,
en assyrien
XI, 171--211.
HOGARTH
XV,
(et
RAMSAY).
Pre-Hellenic
Monuments
Jaillon
of
Cappadocia,
i-ii,
XIV, 74-94;
iii-v,
89-97.
(et
JAILLON
LEMASSON).
Lettres de
MM.
et
Lemassox M. Golnischeff au
un
relief Cretois,
sujet des
monuments
Andr JOUBIN.
Jacques
tudes chronologiques, i-ii 66-70. Die Wiener demotische Papyrus Nr. 31, V, 76-85.
63-79.
KRALL.
d'Isis sur
XVI, 162-166.
LEDRAIN. Le papyrus de Luynes, I, 89-95. E. LEFBURE. Sur diffrentes formes des mots drivs, G. LEGRAIN. Une stle de Thni,XIII, 2J1-202.
Textes recueillis dans quelques collections particulires,
IV, 5-11.
i,
XIV,
54-66,
XV,
1-20;
ii,
XVI, 60-63;
sujet des
XVI, 167-169. LEMASSON (et JAILLON). Lettres de MM. Jaillon monuments de l'Isthme, XIII, 97-99.
statue
Une
du dieu
Set,
et
Lemasson
M. Golnischeff au
Fr.
LENORMANT.
I,
II,
et assyriennes,
I,
59-62;
103-107.
IsoDORE
J.
LVY.
LIEBLEIN.
en Syrie
pharaoniques,
et
pays voisins,
I,
02-69, 95-103.
comme lments
chronologiques,
I^
141-154.
"^ ^5 = =
n:
"I-i/ovc,
XVI, 133-134.
II,
Arthur LINCKE.
Victor
Miscellanea,
10-13.
II,
Ueber ein noch nicht erklrten Konigsnamen auf einem Ostrakon des Louvre,
85-89.
LORET.
Le
j^
et
l'ebenusde Pline,
I,
132.
i,
II,
21-26: ^
II,
ii,
II.
60-65.
89-94.
II,
d'antiquits de Rouen,
III,
151-158.
au mois de Khoiak,
Les statuettes funraires du Muse de Boulaq, IV, 89-117. V ^( Note complmentaire sur le /wwv\ j I^ 156.
,
AAAA/V\
Recherches sur plusieurs plantes connues des anciens gyptiens, 105-130; viii-xii, XVI, 1-14; xiii-xvi, XVI, 92102.
XV,
Le verbe cis^
et ses drivs,
fils
XI, 117-131.
III,
Tout-ankh-Amen.
d'Amnophis
106-120.
102.
XI, 212.
La racine
Sur
^^,
XIV,
l'arbre
Nrou,
XV,
Le nom gyptien de l'alun, XV. 199-200. Note sur un groupe hiroglyphique de basse poque, XVI, Sur un fragment de papyrus grco-copte, XVI, 103. tudes de droguerie gyptienne, i-ii, XVI, 134-162.
37-41.
XIII
MASPEllO.
tudes dmotiques, ^
I,
i,
I,
18-40.
Le papyrus Mallet,
120;
47-59.
I,
D-M,
11,105-
N-0,
VIII, 179-192.
I,
La grande
Sur une
inscription de Beni-Hassan,
160-180.
II,
tablette
appartenant M. Rogers,
13-18.
III, II,
Le
rcit
de
la
48-56;
II,
139-150.
Varia,
II,
71-75;
200.
Italie, II,
III,
159-199;
III,
La La La La La
pyramide du
roi
Ounas,
Ppi
pyramide du
roi Tti,
V, 1-59.
I",
pyramide du
pyramide du pyramide du
roi
roi
Mirinr
IX, 177-191
X, 1-29; XI,
1-31.
roi
Ppi
II,
XV,
125-152.
Paul
et
monument
Fragments
coptes,
listes
i-iii.
Revision des
gographiques de Thoutms
VII, 94-101.
Le pays d'Alasia, X, 109-110. Fragment de l'vangile selon saint Matthieu, en Sur l'inscription de Zaou, XIII, 68-71.
Sur une inscription
Un monument
Note sur
de
M.
stles
pays de Stou,
XV,
103-104.
i-iii,
A travers
J.
la vocalisation
gyptienne,
200.
XV,
189-196
iv-vi,
XVI,
77-90.
MENANT. Une
La
stle de
nouvelle inscription de
XIII, 26-47
Hammourabi,
roi
de Babylone,
II,
76-83.
tudes htennes,
Lettre
J.
M. Maspero, sur une dcouverte faite Jrusalem, VIII, 194-197. DE MORGAN et V. SCHEIL, O. P. Les deux stles de Zohb, XIV, 100-106. La stle de Kl-i-chin, XIV, 153-160.
A.
MORET.
De
l'expression
()
^^'^, XIV,
la collection
120-123.
W. Max MLLER.
Einige griechisch-demotische Lehnworter, VIII, 172-178. Die demotische Prformativpartikel AieT, IX, 21-26.
1.57-176.
Bemerkung ber
einige
XV,
32-3u,
XIV
Edouard NAVILLE.
Le
J.
Un
I,
107-112.
Nehasi,
XV,
97-101.
II,
OPPERT.
Sur
le
33-47.
PARROT.
II,
Phtah, M, 129-133.
I,
Karl PIEHL.
27-32
21-30,
121-129
Stle portant
Deux
inscriptions de Mends,
27-31
.
propos de l'article de
Zu
der sogenannten
saitischen
Formel
Paul PIERRET.
48-46.
Muse du Louvre,
I,
I,
70-72.
W. PLEYTE. Sur un papyrus indit du British Musum, III, 57-64. RAMSAY et HOGARTH. - Pre-Hellenic Monuments of Cappadocia,
89-97. F.
ii,
XIV, 74-94
iii-v,
XV,
ROBIOU.
Le Souphis
la
II
de Manthon,
I,
138-139.
II,
Les peuples de
mer
56-69.
86-102.
Un
dernier
mot sur
les
La question
d'Apet,
III, 72-86;
VI, 21-35.
E.
DE ROUG.
SAYCE.
I,
1-9.
A.-H.
Egypt,
i-ii,
XIII, 62-67;
m,
XV,
147-148, v-vi,
XVI,
169-176.
Amardian or Protomedic Tablets in the British Musum, XIII, 126-131, The Hittite Inscriptions of Cappadocia and their Decipherment, XIV, 43-53. The Decipherment of the Hittite Inscriptions, XV, 21-32.
Cte
DE SCHACK.
Rhind,
III,
Bemerkung zu Prof.
de
la collection
Dr.
Papyrus
152-154:
Monuments gyptiens
V. SCHEIL, O. P.
L'inscription de la statue
195-209.
Une
tablette de Tel
Amarna,
les
XIII, 73-74.
tombeaux d'Assouan, XIV, 94-96. Note sur l'expression vannique guntisd haubi, XV, 124.
Inscription de Narara-sin,
XIV,
62-64.
XV, XV,
86-87.
Une tablette
palestinienne cuniforme,
XV,
137-138.
Inscription de
Ramman-nirari
I",
1,38-140.
d'archologie
XVI, 32-37;
XVI,
XV
DE MORGAN.
XIV, 153-160. Varia, i-ii, XIV,
Les deux
stles de
La
stle de Kel-i-chin,
W. SPIEGELBERG.
XVI,
26-32.
39-43;
iii-iv,
XV,
67-69; v-vii,
XV,
41-45; viii-xiv,
XV,
145-146.
Demotische Miscellen,
i-m,
XVI,
24-26.
Papyrus
indits
du Louvre, XVI,
68-74.
Johannes Diimichen,
Nachtraj,',
XV,
74-77.
XVI,
182-183.
G.-H.
L.
TOMKINS. Ou the name -0=-^ X, 97-98 VASSALLI. Rapport sur les fouilles du Fayoum. adress M. Auguste Mariette, VI, Philippe VIREY. Le tombeau d'Am-n-teh et la fonction de ](][]' ^'^' 32-46.
,
37-47.
Deux
petits textes
Le tombeau d'un seigneur de Thini dans la ncropole de Thbes, IX, 27-32. Malbrouk dans la musique gyptienne moderne, XIII, 111-112.
A.
WIEDEMANN.
.^JU.,
IV, 87-89.
Zu
E.-C.
WTLBOUR. -
L.
MARCEAU.
RlARIETTE-PACHA. Monuments
de 1G8
fr.
divers recueillis .n
Kgyi.le et en
Nubie. 28
liv.
in-f".
Au^Jieu
___ _
MASPERO
22. en fac-simil. Tomes 1 III, Papyrus 1 Les plpvrusi^gvptiens du Muse de Roulaq publis fr. 400 de 3 vol. in-f"orns de 121 planches. Au heu "' Au lieu de 100 fr. Le tome III. -20 pi. en couleurs, se vend sparment. l auteur ^par de manuscrit le d'aprs publie Le Srapum de Memphis. Nouvelle dition supplment. -1 G. Maspero. Vol. I avec un atlas in-f et un dernier ouvrage, publis d aprs le m^nufcn^ son de Frajrments empire. Les Mastabas de l'ancien car G. Maspero. 9 Livr. Au lieu de V)t) fr. , o temple d'Abydos et la jeunesse de Sesos^ris. Essai sur l'inscription ddicatoire du
' . ,
-
(G.).
Hvm\"Vu Nil, pul>li et traduit d'aprs les deux la Une enqute judiciaire Thbes au temps de
textes
du Muse britannique
le
In-'r.
jr-
Papyrus Abbott.
__ De ^^"::^i!^^^ M-Ha antiquissima. Accedunt nonnuUa -_ M^lV^';:^- Pa;."l": t:v:e. m.., om de U planches
__RapptfVM.
Cartonn,
Jules Ferry, Ministre de
l'instruction
in-8",
de Pedaso
Homeri^.
et fac-simils.
Au li^
mission
et
en Ualie.
de Boulaq. Petit
de six pUinche^^
1"^ fr ^5 H
MLANGES
heu Au ,.
.
de
M h.
-da *
les:Ps;\Xv'al;r:;l^:i\;n!on^Ut,''o.X'so,a
etc., et
te\nciet Egyp.i.;s,
OPPERT^Mt::.:':;",!; ::;::;' ae
^Egypte
et
Le'pAPYRuTdF NEB-QED
rep,.oa,t,
ont
et
--
Reeu^raTsea.Lt^"a"u::rL,s.e.gypen an
VeaM:i:ewLg.yphi,ne
royaux
et
I.n
AU
lieu ae OU U.
P-l^je.
_-
-Pl-af
'-
pi 2 fr! 50 g:JrmaUaisats. en Maaate. Gr. in-8-, avec 1 POGNOnIhT r^^aaUcS;::": Bonla, et an Louvre. ae gyptiens .' .uses aes con^ts coptes Actes et REvS1oS^\e" 1" fasc. Textes et fac-simils. In-4. Au heu de ^0 tr. 10 fr. de 25 fr. Testament. Textes. 1" fasc In-4. Au heu
^^
^^
_-
HOB.ou;fMLi%r^ori:t:.;tSu;,^
__ __
^^.:^^'^^Z:^^^^^
La Question
des mythes, 1" fascicule
:
et s., ia
9 ..
ROUG
Egypte, Asie antrieure. In-8 traduits choix de textes gypiens transcrits, ou gyptienne Chrestomathie (E. DE). 8 grammatical. 4 vol. gi. abrg d'un et commentaire pagnes d'un
et
accom^
Manthon
-_
SAULCY
penaant sa mission. Pubii par inscrtttonrhrogiyplriques copies en Egypte fr. de 120 Roug. 4 vol. in-4". Au heu ^ . o abrg de la Terre-Sainte, l vol. in-8 (F. DE). Dictionnaire topographique
.
le v.ecmte^J^.
ae
fr
du Ministre de l'instruction publique par les professeurs et les lves de l'cole. Pour le dtail du contenu des 50 premiers fascicules, consulter la notice spciale qui envoye sur demande.
51.
:
Stles Les principaux monuments du Muse gyptien de Florence, par W. Berend. Premire 'partie 50 ti Has-reliefs et Fresques. Pet. in-fol. br., avec 10 pi. photograves. 52. Les lapidaires franais du moyen ge des xir, xm' et xiv sicles, par L. Pannier. Avec une notic^ " 10 fi prliminaire de G. Paris. 27 fr 53 et 54. La religion vdique d'aprs les liymnes du fig-Vda, par A. Bergaigne. Tomes II et III. 15 fi! 55. Les tablissements de Rouen, par A. Giry. Tome I". 10 frj 56. La mtrique naturelle du langage, par P. Pierson. 57. Vocabulaire vieux-breton avec commentaire contenant toutes les gloses en vieux-breton, gallois, corniquel 10 frJ armoricain connues, pari, Lolh. 4 fr| 58. Hincmari de ordine palatii epistcfla. Texte, latin, traduit et annot par M. Prou. 10 fr. 59. Les tablissements de Rouen, par A~?"Giry. Tome II. 5 fr. 60. Essai sur les formes et les eflets de l'affranchissement dans le droit Gallo-Franc, par M. Fournier. 20 ir.j 61 et 62. Li romans de Caril et Miserere du Kentlus de Moiliens, publ. par A. -G. van Hamel. 2 vol. 63. tudes critiques sur les sources de l'histoire mrovingienne, deuxime partie. Compilation dite de Frdi
'
6 fr.' gaire , par G. Monod et par les membres de la confrence d'histoire. 15 fr. tudes sur le rgne de Robert le Pieux (996 lOSl), par C. Pfister. 65. Nonius Marcellus. Collation de plusieurs manuscrits de Paris, de Genve et de Berne, par H. Meylan. Suivi 5 fr. d'une notice sur les principaux manuscrits de Nonius pour les livres I, II et IlL par L. Havet. 66. Le livre des parterres fleuris. Grammaire hbraque on arabe d'Al)ou '1-Walid Merwan Ibn Djanah de 25 fr. Cordoue, pul)lie par J. Dorenbourg. 6 fr. 67. Du parfait en grec et en latin, par E. Eruault. 17 fr. 68. Stles de la xii" dynastie au Muse gyptien du Louvre, publies par S. Gayet. 69. Gujastak Abalish. Relation d'une confrence thologique prside pat le Calife Mmoun. Texte pehlvi publi pour la premire fois avec traduction, commentaire et lexique, lye.r A. Barthlmy. 3 fr. 50 Le livre de Kaqiuma et les leons de Ptab-Hotep, par Philippe Virey. 70. ludes sur le Papvrus Prisse. 8 fr. 10 fr. 71. Les inscriptions babyloniennes du Wadi Brissa, par H. Pognon. Ouvrage accompagn de 14 pi. 72. Johannis de Capua Directorium vitae hunianse. .\lias parabola antiquorura sapientium. Version latine du Livre de Kallh et Dimnh, publie et annote par J. Derenbourg. 2 fascicules. 16 fr. 73. Mlanges Rnier. Recueil de travaux puldis par l'cole pratique des Hautes Etudes (Section des Sciences historiques et philologiques) en mmoire de son Prsident Lon Rnier. Avec portrait. 15 fr. 74. La Bibliothque de Fulvio Orsini. Contributions l'histoire des Collections d'Italie et i l'tude de la Renaissance, par P. de Nolliac. 15 fr. 75. Histoire de la ville de Noyon et de ses institutions jusqu' la fin du xiii* sicle, par A. Lefratlc. 6 fr. 76. tude sur les relations politiques du pa])e Urbain V avec les rois de France, Jean II et Charle*,V,. d'aprs les registres de la Chancellerie d'Urbain V conservs aux Archives du Vatican, par M. Prous, 6 fr. 77. Lettres de Ser\ at Loup, abb de Ferrires. Texte, notes et introduction, par G. Desdevises du Dzert. 5 fr. 78. Simon Portius, Granunatica linguae graecae vulgaris. Reproduction de l'dition de 1638, suivie d'un commentaire grammatical et nistorniue, par W. Meyer, avec une introduction par J. Psichari. 12 fr. 50 7 fr. 50 79. La lgende syriaque de saint Alexis, l'homme de Dieu, par A. Amiaud. 9 fr. 80. Inscriptions antiques de la Cte d'Or, par P. Lejay. 81. Le livre des parterres fleuris d'Abou '1-Walid Merwan Ibn Djanah, traduit en franais sur les manuscrits arabes, par M. Melzger. 15 fr. 82. Le roman en prose de Tristan, le roman de Palamde et la composition de Rusticien de Pise, analyse critique d'aprs les manuscrits de Paris, par E. Lseth. 18 fr. 83. Le thtre indien, par Sylvain Lovi. 18 fr 84. Documents des archives de la Chambre des comptes de Navarre, publis par J.-A. Brutails. 6 fr. 85. Commentaire sur le Sfer Yesira ou livre de la cration par le Gaon Saadya de Fayyoum, publi et traduit par Maycr Laml)ert. 10 fr. 7 fr. 50 86. tude sur Geoffroi de Vendme, par L. Compain. 87. Les derniers Carolingiens. Lothaire, Louis V, Charles de Lorraine (9.54-991), par F. Lot. 13 fr. 88. La politique extrieure de Louise de Savoie. Relations diplomatiques de la France et de l'Angleterre pendant la captivit de Franois I"" (I2b-lb26), par G. Jacqueton. 13 fr. 50 89. Constitution d'Athnes par Aristote. Traduit par B. HaussouUier, avec la collaboration de E. Bourguet, J. Bruhncs et L. Eisenmann. 5 fr. 90. Le pome de Gudrun. Ses origines, sa formation et son histoire, par A. Fcamp. 8 fr 91. Ptrarque et l'humanisme, d'aprs un essai de restitution de sa bibliothque, par P. de Nolhac, avec 1 portrait et 3 pi. de fac-simils. 16 fr. 92. tudes de philologie no-grecque. Recherches sur le dveloppement historique du grec, publies par
64.
J. Psichari.
^
22
fr.
50
93.
94. 95. 97. 98.
'99.
Les chroniques de Zar'a y 'Eqb et de Ba'eda Mrym, rois d'Ethiopie de 1434 1478 (texte thiopien et traduction), prcdes d'une iutroductiou, par J. Perruchon. 13 fr. La prose mtrique de Symmaque et les origines mtriques du Cursus, par L. Havet. 4 fr. Les lamentations de Matheolus et le livre de Leesce de Jehan Le Fvre, de Resson, publi par A.-G. van
Hamel. Tome
I".
qu'il
10
fr.
Le
livre
de savoir ce
y a dans l'Hads.
G. Jquier. Les fabliaux. tude de littrature compare et d'histoire littraire du moyen ge, par Eudes, comte de Paris et roi de France (882-S98) par E. Favre.
y
J.
fr.
Bdier.
puis.
fr.
Marceau