Audit Interne Des Marches Publics RAMSA PDF
Audit Interne Des Marches Publics RAMSA PDF
Audit Interne Des Marches Publics RAMSA PDF
REMERCIEMENTS
conditions.
DEDICACE
REMERCIEMENTS
AVANT PROPOS
INTRODUCTION GENERALE………………………………………………………….....8
I. Définition……………………………………………………………………………..11
I. Le contrôle interne…………………………………………………………………....16
II. L’inspection…………………………………………………………………………..16
I. Définition……………………………………………………………………………..18
I. Missions……………………………………………………………………………....26
IV. Organigramme………………………………………………………………………..29
CONCLUSION………………………………………………………………………………51
Annexes……………………………………………………………………………………….52
Bibliographie………………………………………………………………………………….63
AVANT PROPOS
L'un des aspects les plus enthousiasmants de l'évolution scolaire et universitaire est sans
aucun doute le rapprochement ou la synergie université-entreprise. La rencontre des
« professionnels » et ceux qui sont en pleine formation constitue un atout majeur. Le dialogue
constructif est engagé, mais il ne faut pas oublier que le travail des élèves et étudiants ne sera
efficace que s'il est suivi constamment par les professeurs et les cadres d'entreprise.
Ainsi, dans la suite logique des études que nous poursuivons à l’ENCG, nous nous sommes
orientés vers le thème de l’audit afin de nous imprégner de sa pratique et de nous outiller pour
notre future vie professionnelle.
En effet, ce rapport entre dans le cadre du stage approfondi que nous sommes amenés à
effectuer et représente le second élément du quatrième module de la 4ème année.
INTRODUCTION GENERALE
Face à ces enjeux, les administrations publics sont appelées à gérer leurs ressources de
manière rigoureuse et efficace afin d’assurer leur pérennité et leur survie.
Elles se trouvent ainsi dans l’obligation d’assurer la maitriser de leur couts, de leurs
compétences….en recourant au plus efficace des modes de gestion, l’initiation de formes
nouvelle de bonne gouvernance et au développement de mécanisme d’audit et de contrôle en
vue de veiller à leur bonne marche et à la réalisation de leurs objectifs d’après des principes
d’efficacité, d’efficience, d’économie, et ce dans le respect des droits aussi bien des citoyens
que de ses partenaires.
Par ailleurs, les orientation économiques qui s’inscrivent désormais dans le cadre de
l’ouverture de libre échange, impliquent le développement d’autres formes d’intervention de
l’Etat dans la vie économique et une approche plus dynamique de soutien aux entreprises et à
l’investissement privé qu’il soit national ou étranger. Dans ces nombreux domaines, le rôle et
les missions des entreprises publiques sont importantes et obligent ces dernières d’être au
niveau demandé. Au nombre de ces entreprises, la Régie Autonome Multiservices d’Agadir
(RAMSA) en ce qui concerne la distribution d’eau dans le grand Agadir.
Pour ce faire, les marchés publics sont, l’outil fondamental à travers lequel ces entreprises
mettent en œuvre leurs politiques. En effet, le domaine de l’achat public est l’un des domaines
sensibles qui nécessite un système de contrôle et d’évaluation très efficace.
A cet égard, l’entreprise apparait comme un lieu où se situent des intérêts souvent
convergents, mais parfois contradictoires. Pour cette raison, elle est intrinsèquement vouée à
rendre des comptes.
Elle est ainsi amenée à produire des informations (sociales, financières, environnementales…)
répondant aux diverses préoccupation qu’elle suscite.
Il est donc clair que l’apparition de l’audit interne est directement liée à l’accroissement en
volume des informations (surtout financières). Et de cet accroissement découlaient en effet
des risques d’erreurs et de fraude.
Dans un tel contexte, les besoins d’assurance croissante demandée aux directions générales
par les actionnaires, les régulateurs et les autres parties prenantes, ont conduit à affirmer la
fonction d’audit interne comme un outil incontournable de bonne gouvernance dans les
entreprises.
Au vu de ce qui précède, une question nous traverse l’esprit : comment l’audit interne
contribue t-il à assurer une exécution qualitative et effective des marchés de la RAMSA ? En
d’autres termes, quel rôle joue l’audit interne dans l’atteinte des objectifs de la RAMSA en
matière de marché public ?
Pour mieux répondre à cette problématique, nous aborderons dans une première partie les
concepts généraux de l’audit interne et des marchés publics, puis une seconde partie sera
consacrée à l’analyse du processus d’audit interne des marchés dans laquelle il sera question
de diagnostiquer le processus d’audit de la RAMSA et de relever les apports de ce dernier
dans l’exécution des marchés.
PREMIERE PARTIE
Le concept d’audit pose un véritable problème car, les définitions sont différentes en fonction
des usages qui en sont fait. Il peut s’agir d’un ensemble d’outils ou de pratiques divers utilisé
à des fins variées, comme il peut être l’œil ou l’oreille du maitre. Aussi, il peut servir à
l’examen de l’exactitude des comptes, l’application des règles et procédures ou la mise en
œuvre des objectifs.
L’audit interne dans la pratique est régi par des normes professionnelles.
L’audit interne est aussi une fonction d’investigation et d’appréciation du contrôle interne,
exercée de façon périodique au sein de l’organisation pour aider les responsables de tous les
niveaux à mieux maîtriser leurs activités.
C’est donc à l’intérieur d’une organisation une fonction indépendante d’évaluation périodique
des opérations pour le compte de l’organisation.
Selon l’institut of internal auditors (IIA), l’audit interne peut se définir comme : « une activité
indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise
de ses opérations, lui apporte ses conseils pour les améliorer, et contribue à créer de la valeur
ajoutée. Il aide cette organisation à atteindre ses objectifs en évaluant, par une approche
la notion d'indépendance : bien que pratiquée en entreprise, par des salariés de celle-
ci, il est attendu de ces derniers une conduite, une moralité, un professionnalisme, une
éthique à toute épreuve. C'est la raison pour laquelle certaines entreprises font signer
aux auditeurs internes un code de déontologie pour les astreindre au respect des
valeurs ci-dessus citées. Par ailleurs, l'entreprise peut (voire doit) diffuser une charte
d'audit signée par la plus haute autorité de l'entreprise afin de définir et faciliter les
interventions des auditeurs internes;
l'évaluation du dispositif mis en place par l'entreprise pour atteindre ses objectifs par
une approche systématique et méthodique : une méthodologie rigoureuse est mise en
œuvre afin de s'assurer que les objectifs de l'entreprise peuvent être atteints par le
management et l'ensemble du personnel de l'entreprise.
1
Définition de l’institut of internal auditor tiré « La conduite d’une mission d’audit interne, Institut de l’audit
e
interne », 2 Edition, Dunod, Paris, 1995
Aujourd’hui la fonction d’audit interne recouvre une conception beaucoup plus large et plus
riche, répondant aux exigences croissantes de la gestion de plus en plus complexe des
entreprises.
L’audit interne est à l’intérieur d’une entreprise, une activité indépendante d’appréciation du
contrôle des opérations ; il est au service de l’entreprise. C’est dont un contrôle qui a pour
fonction d’estimer et d’évaluer l’efficacité des autres contrôles.
Son objectif est d’assister les membres de l’entreprise dans l’exercice de leurs responsabilités.
Dans ce but, l’audit interne leur fournit des analyses, des appréciations, des recommandations,
des avis et des informations concernant les activités examinées. Ceci inclut la promotion du
contrôle efficace à un coût raisonnable. Le temps est révolu où le déclenchement d’un audit
interne était perçu par les audités comme un signe de suspicion ou de perte de confiance à leur
égard.
En fait, l’audit interne intervient maintenant aussi dans les domaines opérationnels : gestion
des stocks, fonction approvisionnement et logistique, sécurité des actifs, pertinence et respect
des procédures de gestion, etc.
De manière générale, l’audit interne décèle les problèmes et développe des recommandations
aux audités qui leur apportent une solution, son rôle n’est pas de dénoncer ou d’accuser mais
d’arbitrer les «règles du jeu » du groupe et surtout de faire pratiquer et surtout de rechercher,
reconnaître et remédier aux faiblesses de l’organisation.
Dans l’exercice de son métier d’audit, l’auditeur est amené à réalisation des missions d’audit
interne variées. Il s’agit d’audit de régularité, d’efficacité ou de management et concernent
soit des fonctions, soit des services, soit des procédures.
L’audit de régularité est aussi appelé audit de conformité : dans le premier cas, on
observe la régularité par rapport aux règles internes de l’entreprise et dans le second cas la
conformité avec les dispositions légales et réglementaires.
L’audit d’efficacité couvre toutes les fonctions de l’organisation : gestion des ressources
humaines, gestion des dépenses, gestion des recettes, gestion budgétaire, gestion
commerciale, gestion du patrimoine.
Ces types de missions d’audit interne permettent d’avoir une vue complète et synthétique sur
le fonctionnement global d’un ensemble d’opérations : « Adéquation des moyens aux
objectifs, pertinence des méthodes et procédures, rigueur et qualité des performances ».
Par ailleurs, les audits d’efficacité consistent à émettre une opinion, non pas uniquement sur
l’application des procédures, mais également sur leur qualité. On parle également d’audit de
performances parce que l’auditeur est amené à porter un jugement sur les procédures par
rapport à ce qu’il considère comme efficace et efficient en référence à des normes et à des
référentiels en la matière.
L’audit de management est une dimension nouvelle de l’audit qui constitue le stade ultime
de développement de la fonction. Il peut s’agir:
- de la vérification de la façon dont les politiques sont conçues, transmises et exécutées tout au
long de la chaîne hiérarchique,
L’audit interne est souvent assimilé à d’autres notions proches. Il s’agit notamment de :
Contrôle interne
inspection
I. LE CONTROLE INTERNE
Le contrôle interne est défini, globalement, comme étant un processus mis en œuvre par la
direction, la hiérarchie, le personnel d'une entreprise, et destiné à fournir une assurance
raisonnable quant à la réalisation des objectifs.
Le contrôle interne est le processus par lequel un organisme règle ses activités pour accomplir
sa mission avec efficacité et efficience.
II. L’INSPECTION
Il s’agit donc d’un contrôle qui repose sur la règle de l'improviste, qui veut que l'agent vérifié
n'ait pas été averti de l'arrivée du contrôleur.
Le tableau suivant donne une idée sur les différences entre ces différentes notions.
Inspection AI CI
Extérieur au
Position Interne Intégrée
service
Opérations,
Objet Système Système
personnes
Bon
But Régularité Efficacité/efficience
fonctionnement
Comme énoncé dans l’introduction, les marchés publics constituent l’outil essentiel de la mise
en place de la politique des entreprises publiques.
A cet effet, la passation des marchés de la RAMSA doit obéir aux principes de liberté d’accès
à la commande publique, d’égalité de traitement des concurrents et de transparence dans les
choix du maitre d’ouvrage.
Selon l’article 3 du règlement des marchés publics de la RAMSA, un marché est : « Tout
contrat à titre onéreux conclu entre, d'une part la régie et d'autre part, une personne physique
ou morale appelée entrepreneur, fournisseur ou prestataire de services ayant pour objet selon
les définitions ci-après l’exécution de travaux, la livraison de fournitures ou la prestation de
services :
Marchés de fournitures : Tout contrat ayant pour objet l’achat, la prise en crédit bail,
la location ou la location vente avec ou sans option d’achat de produit ou matériels
entre un maître d’ouvrage et un fournisseur.
a. Marchés – cadre :
Un marché est dit cadre lorsqu’il concerne un marché pour lequel la qualification et le rythme
d’exécution des prestations, qui présente un caractère prévisible et permanant, ne peuvent être
entièrement déterminé d’avance.
les marchés - cadre ne fixent que le minimum et le maximum des prestations, arrêtées en
valeur ou en quantité, susceptibles d'être commandées au cours d'une période déterminée
n'excédant pas une année budgétaire en cours et dans la limite des crédits de paiement
disponibles.
Ce minimum et maximum doivent être fixés par le maître d’ouvrage avant tout appel à
concurrence ou à négociation.
Il peut être passé des marchés dits « marchés reconductibles » lorsque les quantités peuvent
être déterminées à l'avance par le maître d'ouvrage et présentent un caractère prévisible,
répétitif et permanent.
Il peut être passé des marchés dits « marchés à tranches conditionnelles» lorsque la
prestation à réaliser peut être divisée en deux ou plusieurs tranches constituant chacune un
ensemble cohérent, autonome et fonctionnel.
d. Marchés allotis
Les travaux, fournitures ou services peuvent faire l'objet d'un marché unique ou d'un marché
alloti.
Le maître d'ouvrage choisit entre ces deux modalités de réalisation des prestations en
fonction des avantages économiques, financiers ou techniques qu'elles procurent.
Dans le cas où plusieurs lots sont attribués à un même concurrent, il peut être passé avec ce
concurrent un seul marché regroupant tous ces lots. Le maître d'ouvrage peut le cas échéant,
pour des raisons liées à la sécurité de l'approvisionnement, limiter le nombre de lots pouvant
être attribués à un même concurrent. Le règlement de consultation, prévu à l'article 18 ci-
après, doit comporter à cet égard toutes précisions utiles.
A prix global
A prix unitaire
A prix mixte
Le marché à prix global est celui dans lequel un prix forfaitaire couvre l’ensemble des
prestations qui font l’objet du marché.
Ce prix forfaitaire est calculé, s’il y a lieu, sur la base de la décomposition du montant
global. Dans ce cas, chacun des postes de la décomposition est affecté d’un prix forfaitaire. Le
montant global est calculé par addition des différents prix forfaitaires indiqués pour tous ces
postes.
Le marché à prix unitaires est celui dans lequel les prestations sont décomposées, sur la
base d’un détail estimatif établi par le maître d’ouvrage, en différents postes avec indication
pour chacun d’eux du prix unitaire proposé. Les prix unitaires sont forfaitaires.
Les sommes dues au titre du marché sont calculées par application des prix unitaires aux
quantités réellement exécutées conformément au marché.
Le marché est dit à prix mixtes lorsqu’il comprend des prestations rémunérées en partie sur
la base d’un prix global et en partie sur la base de prix unitaires.
Le prix du marché est ferme lorsqu’il ne peut être modifié à raison des variations
économiques survenues pendant le délai de son exécution.
Le marché dont le délai prévu pour son exécution est inférieur ou égal à une année, est passé
sur la base de prix ferme.
Le prix du marché est révisable lorsqu’il peut être modifié en raison des variations
économiques en cours d’exécution de la prestation.
Le marché de travaux et des études y afférentes est passé à prix révisable lorsque le délai
prévu pour son exécution est supérieur ou égal à quatre mois. Toutefois, lorsque ce délai est
inférieur à quatre mois, ils peuvent être passés à prix révisable.
Lorsque le prix est révisable, les cahiers de charges indiquent expressément les modalités de
la révision et la date de son exigibilité, conformément aux règles et conditions de révision des
prix telles qu’elles sont fixées par arrêté du Premier Ministre visé par le ministre chargé des
finances.
Le marché est passé à prix provisoire lorsque l’exécution de la prestation doit être
commencée alors que toutes les conditions indispensables à la détermination d’un prix initial
définitif ne sont pas réunies en raison de la complexité de la prestation objet du marché et de
son caractère urgent.
Les modes par lesquelles les marchés peuvent être contractés peuvent être classés en trois
catégories :
Les concours
La procédure négociée
A. L'appel d'offres
L’appel d’offres est la procédure par laquelle le maître d’ouvrage, attribue le marché, sans
négociation, sur la base de critères objectifs préalablement portés à la connaissance des
candidats. Le marché est attribué sur proposition de la commission d’appel d’offres.
Le maître d’ouvrage peut choisir librement entre l’un des types ou formes d’appel d’offres
ci-dessus, selon la procédure applicable pour chaque mode de passation.
L’appel d’offre peut être national, international, ouvert, restreint ou avec présélection.
L’appel d’offres est dit international si sa publicité est étendue à des pays étrangers.
L'appel d'offre est dit "ouvert" lorsque tout candidat peut obtenir le dossier de
consultation et présenter sa candidature.
L'appel d'offre est dit "restreint" lorsque seuls peuvent remettre des offres, les
candidats que le maître d’ouvrage a décidé de consulter.
L'appel d'offres est dit " avec présélection " lorsque seuls sont autorisés à présenter des
offres, après avis d'une commission d'admission, les candidats présentant les capacités
suffisantes, notamment du point de vue technique et financier.
B. Le concours
Lorsque des motifs d’ordre technique, esthétique, financier justifient des recherches, il peut
être passé un marché sur concours.
Le concours met en compétition des candidats sur des prestations qui sont appréciées après
avis d'un jury et qui préfigurent celles qui seront demandées au titre du marché.
C. La procédure négociée
la procédure négociée est un moyen par lequel le maitre d’ouvrage choisit l’attributaire du
marché après consultation des candidats et négociation des conditions du marché avec un ou
plusieurs d’entre eux dans des conditions prévues. Ces négociations qui ne peuvent porter sur
l’objet et la consistance du marché peuvent concerner notamment le prix de la prestation, le
délai d’exécution ou la date d’achèvement et de livraison.
Cette procédure de passation des marchés ne peut être utilisée que dans des situations très
précises.
L’utilisation des marchés par commande est une exception de la procédure de passation des
marchés publics. Il est utilisé pour les fournitures, les travaux ou les services et pour les
marchés dont le prix est inférieur ou égal à 200000 DH.
DEUXIEME PARTIE
I. MISSIONS
La RAMSA est un établissement public crée par arrêté du ministre de l'intérieur n°3402, le 16
octobre 1980. Elle est régie par les dispositions du dahir n°1-59-315 du 23 juin 1960 relatif à
l'organisation communale et le décret d'application n° 2-64-394 du 29septembre 1964 relatif
aux régies communales dotées de la personnalité civile et de l'autonomie financière.
La mission qui lui a été confié selon le cahier de charge qui la réglemente est :
Le nombre du conseil d'Administration qui ne peut être inférieur à six ni supérieur à douze,
est proposé est proposé par la délibération institut ive de la régie.
8 membres élus.
Les membres du conseil d'Administration élisent parmi eux leur président et un ou plusieurs
vice-présidents.
Parmi les membres désignés par le Ministre de l'intérieur figurent obligatoirement les
représentants du Ministre des travaux publics ou du ministre compétent et du Ministre chargé
des finances.
Les membres du conseil d'Administration sont nommés pour une durée de trois ans. Leur
mandat est renouvelable.
Le conseil d'administration étant l'organe suprême de gestion, se réunit au moins deux fois par
an sur convocation de son président et, en outre, chaque fois que celui-ci le juge nécessaire. Il
doit être réuni également à la demande du gouverneur ou à celle de la majorité de ses
membres. Ses séances ne sont pas publiques. Assistent aux séances aux séances avec voix
consultatives le directeur et le contrôleur de l'Etat désigné par le ministre chargé des finances.
Le second organe de gestion est le comité de direction. Il est chargé de suivre la gestion de la
régie, de formuler des avis sur tous les problèmes intéressant l'activité professionnelle,
éventuellement, de régler les questions pour lesquelles il aura reçu délégation du conseil. Le
comité de direction comprend:
Le contrôleur de l'Etat
Le directeur de la régie
Le comité de direction est chargé, dans l'intervalle des réunions du conseil, de suivre la
gestion de la régie et, éventuellement, de régler toutes les questions pour lesquelles il aura
reçu délégation du conseil d'administration.
Le troisième organe de gestion est le directeur qui est l'exécutif. Il assure la gestion
quotidienne de la régie et exécute les délibérations du conseil d'administration et les décisions
du comité de direction. Le directeur de la régie est nommé suivant les formes prescrites par le
dahir n°1-63-132 du 16 novembre 1963 relatif aux emplois supérieurs et de direction de
diverses entreprises.
Pour mener à bien la mission qui lui a été confiée, la régie a adoptée une structure de type
fonctionnelle.
Cette structure reste temporaire, avec notamment l’entrée en vigueur d’une nouvelle structure
regroupant quelques services dont les domaines de compétences sont proches.
Directeur
Comptable
La prise de connaissance consistera en une étude de la procédure d’audit interne des marchés
au sein de la régie. Elle nous permettra de relever notamment les forces et faiblesses de la
procédure de l’audit interne (élaboration des FRAP, des TFfA), et d’élaborer les flows chart
correspondant à chaque volet du processus.
L’audit interne des marchés publics se veut une activité indépendante et objective qui donne
à l’organisation une assurance sur le degré de maîtrise dans l’exécution de ses marchés, lui
apporte des conseils pour les améliorer, et contribue à créer de la valeur ajoutée… Il aide cette
organisation à atteindre ses objectifs en évaluant, par une approche systématique, ses
processus de management des risques, de contrôle et en faisant des propositions pour
renforcer son efficacité et ce dans toutes les phases d’exécution des dits marchés.
L'audit interne n'est donc pas simplement un contrôle de conformité ou de régularité qui
s'attache uniquement à vérifier si la réglementation, les règles et procédures ont été
correctement appliqués, mais il s'agit là d'un contrôle beaucoup plus aigu.
En matière des marchés publics, l'audit permet aux services concernés de se faire une vision
sur la pertinence des procédures de passation en vue de déterminer si les fonds disponibles ont
été utilisés de façon efficace et si l’exécution du marché a été effective.
La procédure d’audit interne des marchés telle que réalisé au niveau de la RAMSA, nous
suggère une catégorisation en trois parties distinctes et complémentaires. Il s’agit notamment
d’une première phase qu’il conviendrait d’appeler phase préparatoire, d’une deuxième phase
appelée phase d’audit administratif et enfin la troisième phase qui concerne l’audit technique.
7
Economiste n° « Audit interne : Pour une bonne gestion de l’achat public », Mars 2008
Cette estimation est réalisée par les techniciens du service pour lequel le marché sera lancé
(Service eau, Service assainissement, service approvisionnement…).
Le dossier d’appel d’offre : il est également élaboré par la RAMSA et servira de base
pour la commission d’appel d’offre lors du choix des candidats.
Un montant sera calculé à la fin (offre confidentielle) et servira de base au choix du candidat.
Non Oui
Définition du bésoin
Rédéfinition du Préparation du
bésoin réglement
Réglement de
consultation
Commission
d'appel d'offre
Préparation de l'offre
Publicité d'appel d'offre
confidentielle
Choix de l'attributaire
reprise des travaux. Ce nouvel ordre de service prendra en compte la durée d’arrêt des travaux
pour le calcul de la date de réception des ouvrages.
Reception des
dossiers
Non Oui
Controle de
Rappel la régularité des
piéces/documents
Non Oui
Elaboration
Début des de l'ordre
travaux de service
La bonne exécution des travaux objet des marchés est incontestablement assurée par les
vérifications opérées lors de l’audit technique. Ces vérifications doivent toucher les aspects
qualitatifs mais aussi quantitatifs des ouvrages. Il s’agit notamment à ce niveau, d’assurer un
certain respect des clauses contractuelles, des délais d’exécution, de la réception des
prestations, des modes de règlement….
Pour ce faire, les techniciens chargés du volet technique de la procédure doivent procéder au
travail suivant:
Une fois les plans réceptionnés, les techniciens vérifierons les aspects ayant trait à la
longueur, la hauteur et la profondeur des ouvrages (tranchés pour les égouts d’évacuation des
eaux usées, les droits de regard…) afin de s’assurer que ces plans sont conformes aux cahiers
des charges tel que convenus avec le RAMSA.
Soit la vérification à déceler des erreurs de mesure : dans ce cas, l’entreprise chargée
de l’exécution des ouvrages sera contactée pour corriger les erreurs observées.
Une fois l’attachement reçu par les techniciens chargé du volet technique de l’audit, une
comparaison est effectuée entre les quantités mentionnées dans l’attachement et les plans des
ouvrages pour s’assurer que ces quantités correspondent réellement à celles figurant sur le
plan, en fonction du niveau de réalisation de l’ouvrage.
TOTAL
Pour ce faire, le technicien chargé du volet technique de l’audit doit tout d’abord s’assurer que
les quantités sont bien écrites et que les prix correspondent aux matériaux qu’ils sont censés
représenter. Une copie du décompte est envoyée à l’entrepreneur.
Prise de
contact
Réception des
Rapport plans et
d'achevement schémas
Elaboration de la note
de vérification
Réctification
Calcul des
décomptes Début des
travaux
Réception et
vérification des
attachements
Non Oui
Définition du bésoin
Rédéfinition du Préparation du
bésoin réglement
Commission
d'appel d'offre
Fin du processus
Controle de
l'exécution des
ouvrages
Les forces et faiblesses de la procédure d’audit interne des marchés publics de la RAMSA
peuvent être analysées dans le tableau des forces et faiblesses apparentes (TFfa) , en fonction
de la phase concernée de l’audit. Cette analyse sera compléter par l’élaboration des feuilles de
révélation et d’analyse des problèmes (FRAP).
Expérience et
PHASE D’AUDIT motivation du chargé
Examen minutieux
des attachements
CCAG
pour déterminer les
décomptes en vu de
régler l’entrepreneur
L’analyse du processus d’audit interne des marchés publics de la RAMSA nous a amené à
relever des lacunes au niveau de chaque phase du processus. Ces lacunes sont regroupées dans
les FRAP élaboré par nos soins comme suit :
Problème :
Personnel audit insuffisant par rapport au travail que nécessite la procédure d’audit des marchés
publics
Fait :
Accumulation de dossier au sein du service en atteinte de prise en charge
Cause :
Manque de communication
Conséquence :
Risque de non atteinte des objectifs
Recommandation:
Il serait intéressant d’affecter plus de personnel au service audit interne pour prendre en compte
son besoin réel
Problème :
Technique d’audit sur chantier peu fiable
Fait :
Utilisation d’un échantillon pour mener les vérifications des ouvrages
Cause :
Insuffisance du personnel audit
Conséquence :
Risque de ne pas pouvoir relever des problèmes sérieux sur les ouvrages
Recommandation:
Il serait plus prudent de contrôler la totalité des ouvrages pour s’assurer de leur conformité
Problème :
Zone d’action limitée du service audit
Fait :
La comptabilité est une zone hors contrôle du service audit interne
Cause :
Négligence de l’importance du service audit interne dans la structure
Conséquence :
Risque d’un manque à gagner important pour l’entreprise (fraude et détournements)
Recommandation:
Il serait souhaitable d’intégrer le service comptabilité dans la zone d’action de l’audit interne.
Problème :
Temps de travail faible du personnel
Fait :
Aller et retours très élevés au sein du service
Cause :
Manque d’un système de contrôle du travail effectif du personnel
Conséquence :
Manque à gagner important pour la société
Recommandation:
Il serait envisageable de mettre en place un système de motivation (primes) basée sur le
nombre de dossier traité par employé
Problème :
Faiblesse de la procédure d’audit administratif
Fait :
Vérification des pièces demandées sur place sans contrôle au niveau de la source
Cause :
Nombre de marché et de soumissionnaires élevé pour permettre la vérification
Conséquence :
Risque de tomber sur des fausses pièces (documents) ou non en règles
Recommandation:
Il serait envisageable de mettre en place un système de vérification rapide des documents
III. SYNTHESE
D’une manière succincte, les forces de l’audit interne des marchés de la RAMSA réside dans
entre autre :
La qualification du personnel
La structure de l’entreprise
1. La qualification du personnel
Grâce à un personnel ayant la maitrise de leur travail, l’audit interne des marchés de la
RAMSA est fait dans la règle de l’art. En effet, avec plusieurs années de travail dans l’actif de
chacun des membres de l’équipe d’audit interne, ce service a su avoir un savoir faire en la
matière.
2. La structure de l’entreprise
La structure d’une organisation a-t-on coutume de dire donne une idée virtuelle de la manière
dont la gestion est opérée dans cette organisation. Elle définit le niveau d’efficacité de
l’entreprise.
Ainsi, avec la nouvelle structure (non encore officielle) de la RAMSA, on peut dire que cela
contribuera incontestablement à alléger le travail du service audit interne.
Il est possible de dire que l’audit interne des marchés est un dispositif dynamique qui repose
sur une expertise régulière des risques et s’inscrit dans une boucle d’amélioration continue
dans une perspective de recherche d’efficacité dans l’exécution des prestations objet des
marchés.
Grâce au contrôle minutieux mené au niveau de l’audit technique, à travers notamment les
attachements, des erreurs de saisie de prix et/ou quantités sont détecter et permet ainsi de bien
faire les décomptes. Sans ces contrôles, un important manque à gagner serais accusé pour rien
et se chiffrerait à plusieurs milliers de dirhams.
Après analyse des forces et faiblesses relevées ci haut, il est possible de faire les
recommandations suivantes :
Il est également important que la comptabilité rentre dans le champ d’action de l’audit
interne. Une campagne de sensibilisation doit être menée auprès du personnel pour les
édifier sur l’importance de l’audit non seulement pour eux mais aussi pour
l’organisation. En effet, afin que les personnes ne pensent pas que leur travail est mis
en cause, il est important de leurs expliquer que l’audit critique des systèmes et ne
juge pas les hommes.
Mener des formations régulières pour le personnel de l’audit interne. En effet, Sous
l'effet de l'accélération des changements, une compétence rare et utile à un moment
donné en l’occurrence celle liée à l’audit, peut à terme, devenir banale ou totalement
obsolète et perdre sa valeur. Car comme tout patrimoine, les compétences du salarié
ont besoin d'entretien et de maintenance, quel que soit le niveau d'entrée de celui-ci
dans la vie professionnelle.
CONCLUSION
A la lumière de ce qui précède, nous somme en mesure d’affirmer que les marchés publics
constituent un levier d’activité économique de taille et une part substantielle de la dépense
publique. D’où l’urgente nécessité qu’ils soient régis par des règles qui visent à en assurer la
rigueur, l’efficacité et l’équité. En vue d’inciter à la bonne gestion de l’achat public tout au
long de la phase de préparation, de passation et d’exécution des marchés, la réglementation en
vigueur soumet les marchés et leurs avenants, en dehors des contrôles institués par les textes
généraux en matière de dépenses publiques, à des contrôles et audits internes qui sont
obligatoires pour les marchés dont les montants excèdent 5 MDH. Toutefois, ces audits et
contrôles ne peuvent être fiables que grâce à des mécanismes de suivi efficaces afin de
pouvoir les appliquer dans les meilleures conditions.
A noter que les marchés se distinguent par leur envergure, leur durée d’exécution, la
complexité des relations entre les intervenants dont la gestion nécessite rigueur et clarté.
Un autre point non moins important est le seuil de 5MDH pour les contrôles.
En effet, ce seuil a-t-il la même importance pour tous les organismes pour déclencher à
chaque reprise un audit ?
Es ce que ces contrôles et audits qui encadrent les marchés publics sont suffisants pour assurer
leurs efficacité et leur transparence ?
ANNEXES
*****
n°...............................
Objet………………………
-…………………………
- liste des concurrents évincés à l’issue de l’examen des dossiers administratifs et techniques :
-…………………………
-……………………………
-……………………………
Fait à
Signé : le président de………………………
******
...........................
le…………….....................
Monsieur.......................................... (1 )
Monsieur................................ (2)
Monsieur,
Suite à l'avis d'appel d'offres avec présélection (ou concours) (3) n°..............du ...............
relatif à........................... (5), j'ai (nous avons) l'honneur de vous demander de bien vouloir accepter
ma ou notre candidature dans le cadre de la procédure précitée.
Vous voudrez bien trouver, ci-joint, mes (ou nos) dossiers administratif, de qualification et
additif (4) constitués conformément aux indications du dossier de présélection (ou concours)(3).
(1) Le candidat
******
Le dossier du concours peut être envoyé par voie postale aux concurrents qui le demandent dans les
conditions prévues à l’article 19 du présent règlement.
A titre d’information, le prix d'acquisition des plans et des documents techniques est fixé à..............
(en lettres et en chiffres) dirhams (7).
Le contenu ainsi que la présentation des dossiers des concurrents doivent être conformes aux
dispositions des articles 51 et 53 du présent règlement
- soit les envoyer par courrier recommandé avec accusé de réception au bureau précité ;
Les pièces justificatives à fournir sont celles prévues par l'article 51 du présent règlement, à savoir :
b) la ou les pièces justifiant les pouvoirs conférés à la personne agissant au nom du concurrent ;
c) l'attestation ou copie certifiée conforme délivrée depuis moins d'un an par l’administration
compétente du lieu d’imposition certifiant que le concurrent est en situation fiscale régulière ;
d) l'attestation délivrée depuis moins d'un an par la CNSS certifiant que le concurrent est en situation
régulière envers cet organisme ;
N. B. Les concurrents non installés au Maroc doivent fournir l’équivalent des pièces visées aux
paragraphes c, d et e ci-dessus, et à défaut, une déclaration faite devant une autorité judiciaire ou
administrative, un notaire ou un organisme professionnel qualifié lorsque de tels documents ne sont
pas délivrés par leur pays d’origine ou de provenance.
a) une note indiquant les moyens humains et techniques du concurrent, le lieu, la date, la
nature et l’importance des prestations qu’il a exécutées ou à l’exécution desquelles il a
participé ;
b) les attestations délivrées par les hommes de l'art sous la direction desquels lesdites prestations
ont été exécutées ou par les bénéficiaires publics ou privés desdites prestations avec indication de la
nature des prestations, le montant, les délais et les dates de réalisation, l’appréciation, le nom et la
qualité du signataire (9).
3) Dossier additif, comprenant les pièces complémentaires exigées par le dossier de concours
(9)
(2) Heure fixée pour la tenue de la séance publique d'ouverture des plis
(3) Lieu et adresse fixés pour la tenue de la séance d’admission ainsi que l'autorité qui en procède
(5) Le ou les bureau (x) et l’adresse du maître d'ouvrage où l'on peut retirer le dossier du concours
(7) Dans les conditions prévues par l'arrêté du Ministre chargé des finances, à supprimer le cas
échéant
(*) Pour les marchés de travaux auxquels s'applique le système de qualification et de classification
des entreprises de bâtiment et de travaux publics, le certificat de qualification et de classification
dispense de la fourniture du dossier technique, sauf stipulation contraire au niveau du CPS.
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------- :
Préciser que les entreprises non installées au Maroc doivent fournir le dossier technique composé
des pièces prévues aux a) et b)
Pour les marchés de services portant sur les prestations d’étude et de maîtrise d’œuvre, le certificat
d’agrément dispense de la fourniture du dossier de qualification sauf stipulation contraire du
règlement de consultation.
- préciser que les entreprises non installées au Maroc doivent fournir le dossier technique composé
des pièces prévues aux a) et b)
******
- Objet du marché………………………………………………..
n° de patente........................(1)
1 - m'engager à couvrir, dans les limites fixées dans le cahier des charges, par une police
d'assurance, les risques découlant de mon activité professionnelle ;
2 - que je remplie les conditions prévues à l'article 22 du présent règlement fixant les conditions et
les formes de passation des marchés ainsi que certaines règles relatives à leur gestion et à leur
contrôle ;
- Etant en redressement judiciaire j’atteste que je suis autorisé par l’autorité judiciaire compétente à
poursuivre l’exercice de mon activité (2) ;
- à m'assurer que les sous-traitants remplissent également les conditions prévues par l'article 22 du
présent règlement ;
- que celle-ci ne peut dépasser 50 % du montant du marché, ni porter sur le lot ou le corps d’état
principal du marché ;
4 – m’engager à ne pas recourir par moi-même ou par personne interposée à des pratiques de fraude
ou de corruption de personnes qui interviennent à quelque titre que ce soit dans les différentes
procédures de passation, de gestion et d’exécution du présent marché.
5 – m’engager à ne pas faire, par moi-même ou par personnes interposées, des promesses, des dons
ou des présents en vue de l’influer sur les différentes procédures de conclusion du présent marché.
- certifie l'exactitude des renseignements contenus dans la présente déclaration sur l'honneur et
dans les pièces fournies dans mon dossier de candidature.
- reconnais avoir pris connaissance des sanctions prévues par l'article 24 du présent règlement,
relatives à l'inexactitude de la déclaration sur l'honneur.
Fait à.....................le...........................
(1) pour les concurrents non installés au Maroc, préciser la référence aux documents équivalents
lorsque ces documents ne sont pas délivrés par leur pays d’origine ou de provenance.
(*) en cas de groupement, chacun des membres doit présenter sa propre déclaration sur l'honneur.
***********
ACTE D'ENGAGEMENT
(1) Appel d'offres ouvert, au rabais ou sur offres des prix n°........... du (2) ................
(1) Appel d'offres restreint, au rabais ou sur offres des prix n°........ du (2)................
(1) Appel d'offres avec présélection, au rabais ou sur offres des prix n° ….du (2)...
- du…………………………(1)
n° de patente........................(5) et (6)
après avoir pris connaissance du dossier (d'appel d'offres, du concours ou du marché négocié) (1)
concernant les prestations précisées en objet de la partie A ci-dessus ;
après avoir apprécié à mon point de vue et sous ma responsabilité la nature et les difficultés que
comportent ces prestations :
La régie se libérera des sommes dues par lui en faisant donner crédit au compte .............(à la
trésorerie générale, bancaire, ou postal) (1) ouvert à mon nom(ou au nom de la société)
à..................................(localité), sous relevé d’identification bancaire (RIB)
numéro…………………………………….
Fait à........................le....................
Bibliographie
Ouvrage :
EL GADI Abdelhamid: « audit des performances et contrôle de gestion dans le secteur public
», 1ère édit travaux et recherches, 2006.
RENARD Jacques : « Théorie et pratiques de l’audit interne », édit d’organisation, 4ème édit
2002.
Mémoires et travaux :
BOUKHARI Khalid : « perspective d’audit et contrôle des marchés publics ».mémoire du cycle
normal, ENA 2005.
CHAHBI Zuhair : « audit des marchés publics », mémoire de fin d’étude, cycle normal, ENA
2006.
LHAHI Nezha et AGHZER Yassine : « le contrôle des marchés publics », mémoire de fin
d’étude, cycle normal, ENA 2005
Wébographie
Textes juridiques
Cahier des clauses administratives générales applicables aux marches de services portant sur
les prestations d’études et de maitrise d’œuvre passés pour le compte de l’Etat, décret n°
2332-01-2 du 22 rabii i 1423 – 4 juin 2002
Cahier des clauses administratives générales applicables aux marches de travaux exécutés
pour le compte de l’Etat Publié au BO n° 4800 du 1er juin 2000
Règlement relatif aux conditions et formes de passation des marches de la régie, Juin 2008