Notion de La RSE: La RSE Est Constituée Par Trois Termes
Notion de La RSE: La RSE Est Constituée Par Trois Termes
Notion de La RSE: La RSE Est Constituée Par Trois Termes
La responsabilité est :
Sociétale est :
Entreprise est :
L'ensemble des activités d'une ou plusieurs personnes qui mettent en commun leurs
biens et leurs travails pour le but de fournir des biens et services pour leurs clients
afin de réaliser un profit
L’idée que les entreprises doivent faire de la RSE, doivent être responsables, prend
ses racines dans les travaux de certains managers américains dans les années 1950.
Leur idée ? Si les entreprises ne se concentrent plus uniquement sur leurs profits
mais aussi sur l’impact qu’elles ont sur la société, elles en tireront bénéfice. Par
exemple, si une entreprise paie mieux ses salariés, elle contribue à leur donner du
pouvoir d’achat, avec lequel ces derniers vont peut-être acheter les produits de
l’entreprise. Si une entreprise gère mieux son impact sur l’environnement, elle fera
des économies à long terme en évitant de devoir gérer des catastrophes naturelles.
La RSE est actuellement souvent évoquée dans une perspective de triple résultats
qui conduit à évaluer la performance de l’entreprise sous trois angles :
environnemental (compatibilité entre l’activité de l’entreprise et le maintien des
écosystèmes), social (conséquences sociales de l’activité de l’entreprise) et
économique (performance financière),
https://journals.openedition.org/communicationorganisation/3269
Organismes Verbatims 1. Gérant de fonds éthique A « Une société qui est bien avec ses salariés, avec
son actionnariat, avec ses clients, ses fournisseurs et puis avec tous les gens qui travaillent avec elle,
doit normalement assurer des bases solides pour croître durablement et avoir des performances
financières élevées » 2. Gérant de fonds éthique B « Je pense qu’une société qui gère de manière
intelligente des problèmes sociaux et environnementaux est une société dans laquelle il y a une
dynamique beaucoup plus forte, où les gens sont plus productifs, et cela a une influence énorme sur
la rentabilité des sociétés. Pour le social c’est une évidence, une société qui est bien gérée sur le plan
social ne peut pas faire autrement que d’avoir des bonnes performances, enfin on va dire des
performances économiques au moins supérieures à ses concurrentes mal gérées, ça ne veut pas dire
que ce sera extraordinaire mais ça sera supérieur, ça c’est tout à fait évident. » 3. Gérant de fonds
éthique C « C’est un jugement sur des sociétés qui allonge leur durée de visibilité, c'est-à-dire qu’on
pense que ce sont des sociétés qui se projettent non pas sur les résultats financiers des six mois
prochains mais qui se projettent à long terme. Et comme nous on est des investisseurs très
fondamentaux, comme ce qui nous intéresse c’est d’investir dans des sociétés qui ont des
fondamentaux très solides, on pense que ça nous donne une vision plus complète de la société » 4.
RSE Europe « Pourquoi la RSE ? Les récompenses sont énormes. Il a été démontré que la RSE est une
stratégie qui fonctionne. » Un encadré liste ensuite l’ensemble des bénéfices que la RSE est
susceptible de procurer : performance financière accrue, des coûts de gestion réduits, un
renforcement de la valeur de l’entreprise et de sa réputation, etc.. 5. Business for Social
Responsibility Le document disponible sur le site Internet de l’organisme et intitulé « Introduction à
la RSE » commence par détailler l’ensemble des impacts positifs susceptibles d’être générés par la
RSE, au premier rang desquels figure l’idée d’un renforcement de la performance financière. À
l’appui de chacun des impacts, un grand nombre d’études empiriques montrant l’existence d’un
impact positif de la RSE sont citées. 2.3.2. La mixité de l’impact de la RSE dans les recherches
empiriques
. - . Entre les deux termes "SOCIAL" et "SOCIÉTAL" il n’existe pas qu’un rapport de
différence.
. - . Le français qui les a secrétés l’un après l’autre étant issu de la première langue que
parlaient les homo-sapiens depuis Noé le Débarqué lunien gbaya du Lac Tchad, le gbaya
« UNIQUE ET LES MÊMES MOTS » (Ge. 11 : 1) qu’aujourd’hui en RCA-Cameroun,
venant du latin (né après la fondation de Rome en 753 av. J.-C.), lui-même ayant muté du
grec venu d’Égypte (vers 2200 av. J.-C.) et non langue indoeuropéenne, a suivi pour cela
des règles dont l’évolution conduira à la formation de la sionique* dite la franchaise*, la
langue d’enseignement du second Christ et du Jugement dernier à la charge de ce céleste
Juge divinement désigné en vertu d’Act. 17 : 31.
. - . Afin de faire ressortir les différences existant entre les deux vocables (II), il convient
de retracer au préalable ce qui les rapproche et qui a suscité l’intérêt de les opposer ici (I).
. - . Le rapport de communauté qui existe entre ces deux adjectifs procède de leur
appartenance à la même famille comme venant tous deux du mot "SOCIÉTÉ" (A) et
d’une tatillonne évolution du sens du premier adjectif lié à ce terme d'origine : SOCIAL
(B).
. - . Défini comme un ensemble que forment les « Sociétaires » (Féraud, 1788) et dit «
sociétariat » (Larousse, 1871) en commençant par un individu qui en appelle un autre
pour marquer le début de la « sociogenèse » (Delay, 1961), un « sociologisme »
(Larousse, 1907) admis par la plupart des « sociologues » (Larousse 1904), du moins en
toute « sociométrie » (Larousse, 1964), "SOCIÉTÉ" est entré dans le vocabulaire français,
sous la plume de « Gaut. D’Arras, au sens d’"association" en 1165 », que La
Rochefoucauld a étendu à la « compagnie religieuse ou commerciale » depuis le latin «
societas, de socius, compagnon, associé » (Dictionnaire étymologique et historique du
français, Larousse 1994, p. 714). De là, l’on a tiré le premier adjectif, "social", avec un
sens un peu plus évolué.
. - . B. ÉVOLUTION DE L’ADJECTIF "SOCIAL" À PARTIR DE "SOCIÉTÉ".
. - . Il fallut attendre l’an 1375 pour voir apparaître le tout premier adjectif français lié à
SOCIÉTE. Ce fut l’œuvre de R. de Presles qui alors écrivit « vie socielle » à cette époque.
. - . SOCIAL prit alors son envol, avec une valeur politique à partir de 1831, notamment
avec Lamennais.
. - . Ce n’est qu’en ce moment que linguistes et grammairiens prirent fait et cause pour le
nouveau mot et obtinrent d’en retracer l’origine latine « socialis, fait de société, ou fait
pour la société », de "socius", compagnon.
. - . S’en suivirent les expressions « question sociale, parti social, 1834, avec V.
Considérant. Puis vinrent, en 1848, la "sociale" et la "république sociale".
. - . De là, l’on eut "socialiste", XVIIIe s., avec la même évolution que "socialisme" au
XIXe s. (en anglais en 1822) ; "démocratie-socialiste", 1869, "parti-socialiste", dans le
rapport du préfet du Nord, "socialisant", adjectif, 1840, C. Pecqueur et enfin, "antisocial",
1776, d’Holbach.
. - . Il convient d’inférer SOCIÉTAL d’une évolution similaire mais plus récente et même
actuelle voire futuriste dont le sens fait toute la différence avec SOCIAL.
. - . Les principales différences existant entre les deux adjectifs "SOCIAL" et "SOCIETAL"
sont de deux ordres selon que l’on les envisage sous l’angle du néologisme (A) ou de celui
du barbarisme que constitue le second terme (B).
Exemple.
. - . Les troubles qui endeuillent les deux régions administratives d'expression anglaise
dites par extrapolation "anglophones" du pays de Samuel Eto'o Fils sont partis d'un
désordre SOCIAL sécrété par l'incapacité du régime en place de donner suite à l'évolution
constitutionnelle du Cameroun pour aboutir sur des revendications SOCIÉTALES
récupérées par des forces assoiffées du gain individualiste avec l'occasion de profiter de la
situation aux fins de légitimer, par l'usage de l'arme appuyé sur des velléités
d'autodétermination encouragée par le droit international qui a tout intérêt à voir un
Cameroun, Char des Dieux, émietté pour que le divin projet eschatologique de son nom
initiatique ne soit pas concrétisé en ce temps de la fin où il a plu à Déesse-So Allah, la
Véritable, de faire descendre le Troisième des Dieux YHWh attendu après Moïse qui
reçut Dieu-Y et fut << FAIT DIEU >> (Ex. 7 : 1) et Jésus qui accueillit Dieu-h << VENU
SUR LUI >> (Mt. 3 : 16), quand, dit le << CONSOLATEUR >> (Jn. 16 : 7), Dieu-H gardé
pour la fin vient de “venir” sur un Camerounais pour le constituer le Christ attendu
depuis plus de 2000 ans.
étant donné qu’en définitive, les responsabilités éthiques qui constituent cette aire
sontdésirées par la société, malgré qu’elles émanent de sa bonne volonté.
•
Responsabilité discrétionnaire, volontaire ou philanthropique: la décision
d’assumer des responsabilités de ce type est poussée exclusivement par
le désir de contribuer volontairement à la résolution de quelques
problèmes sociaux, sans s’occuper desréglementations d’aucun type, ni à
aucun ordre formel de caractère éthique. Il s’agitd’une responsabilité désirable par
une partie de la société.En définitive, la RSE recouvre « (...) les perspectives
économiques, légaux, éthiques etvolontaires de la société en ce qui concerne les
organisations à un moment donné » (Carroll,1991, p.45). Ces composants ne
sont pas autonomes mais ils sont en relation et ils créentcertaines
tensions aux managers quand ils essaient de les obtenir tous
simultanément.
Par conséquent, la séparation a seulement une intention conceptuelle, p
uisqu’en réalité lesmanagers sont constamment amenés à prendre des
décisions et s’impliquer en actions qu’ilssoient rentables, conforme à la loi et à
l’éthique.Cette définition de la RSE à partir de quatre niveaux de
responsabilité est partagéeaussi par d’autres auteurs, entre autres
Fraedrich et Ferrell (2000) qui distinguent entreresponsabilités
économiques, légales, éthiques et philanthropiques. Selon ces auteurs,
cesquatre catégories de responsabilités résument aux grands traits les attentes de
la société enversl’entreprise. Néanmoins, il est nécessaire de marquer que
chaque catégorie de responsabilitéreprésente seulement une partie de la RSE.
C’est pourquoi, nous pouvons décrire la RSE noncomme un procès statique à
part, mais comme un concept dynamique qui inclut tous cesconsidérations
de type économique, légal, éthique et discrétionnaire
objectif
Certes, toutes les entreprises n’ont pas un baby-foot à montrer au JT de TF1 pour convaincre de
la bonne ambiance au travail. Par contre, toutes savent dorénavant l’impact fort en externe
comme en interne qu’apporte la démarche RSE.
Cette dernière devenant un levier efficace pour aider les entreprises à s’adapter aux évolutions
de leur marché.
Le Pa
La liste de ces objectifs est la suivante :