Fiches QGIS V2 4
Fiches QGIS V2 4
Fiches QGIS V2 4
http://www.sigea.educagri.fr
Site officiel
http://www.qgis.org/
Vous pouvez donc réutiliser le document dans son intégralité, ou fiche par fiche si besoin,
selon la licence cc by-nc-nd 2.0.
L’utilisation de ces fiches est simple, il faut comprendre le sommaire pour retrouver les
manipulations du logiciel.
La classification des rubriques est totalement arbitraire. Je suis ouvert à toute proposition de
modification.
Les fiches ont été réalisées avec la version 2.4 (Chugiak) du logiciel.
Les captures d’écran sont issues du logiciel QGIS (GNU – www.qgis.org), associées à des
données personnelles et au SCAN1000 – IGN (www.ign.fr) téléchargeable gratuitement.
http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr/
Contact : fabien.guerreiro@gmail.com
Fiches d’aide à l’utilisation de QGIS
F. Guerreiro 2
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_A - Présentation du logiciel
Le principe directeur d’un SIG est le suivant : nous avons d’un côté les données géométriques
et de l’autre les données attributaires, liées à ces données géométriques. Ces données sont
stockées sous format numérique et organisées par couches.
QGIS est sous licence libre (GPL) téléchargeable en français sur le site http://www.qgis.org/.
Vous trouverez d'autres logiciels libres en géomatique tel que GvSIG, OpenJump, Udig,
Grass...
QGIS installe des logiciels tiers qui possèdent leur propre licence. Liste des logiciels
installés :
1. QGIS
2. MrSID Raster Plugin for GDAL
3. SZIP compression library
4. OGR FileGDB Driver
5. ECW Raster Plugin for GDAL
6. Oracle Instant Client
F. Guerreiro 1
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_A01 - Utilisation et possibilités du logiciel
Les modules précédés d’une croix sont activés par défaut. Les
extensions en ROUGE ont été mal installées (raisons techniques).
Cette liste est disponible depuis le menu Extension > Installer/Gérer
les extensions :
F. Guerreiro 2
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_A02 - Environnement du logiciel
QGIS est classiquement composé d’une barre des menus et de barres d’outils variées selon les
besoins.
C’est à partir de la barre des menus que l’on accède à la plupart des fonctions de QGIS.
Du fait de son historique à orientation cartographique, QGIS possède des menus orientés vers
cette dernière, et des menus complémentaires, traitant plus spécifiquement des SIG.
La plupart des actions de ces menus sont repris sous formes de barres d’outils (cf. fiche A03).
Le menu Projet (nouveau, ouvrir, fermer ou enregistrer des projets…) est classique des
logiciels couramment utilisés. Le projet est le fichier dans lequel les travaux seront
enregistrés. Reportez-vous à la fiche A04 pour en savoir plus sur le projet.
Le menu Editer (copier, coller, ajouter ou supprimer…) permet d’accéder à toutes les
fonctionnalités d’édition d’entités géographiques fiche C04 et C05).
Le menu Vue permet d’accéder aux outils de déplacement et d’interrogation des données
géographiques.
Le menu Couche gère la possibilité d’ajouter ou retirer des couches (vecteurs, rasters ou
WMS) du projet, ainsi que les actions classiques de gestion des couches (voir les attributs des
couches ou activer l’édition de couche…).
Le menu Couche, accessible par sa barre d’outils qui reprend les actions, est aussi
partiellement accessible depuis un clic-droit sur le nom de la couche.
Les outils relatifs à l’accès aux informations (cf. barre d’outils Couche> Accéder aux
informations de la fiche A03 si besoins) ont une action sur la couche ACTIVE donc
surlignée en gris !
Le menu Préférences referme l’accès aux propriétés du projet et celles logiciel en général.
A partir du menu Extension, vous obtiendrez les extensions du logiciel installées sur votre
ordinateur. Ceci permet notamment de les activer ou les désactiver. Des extensions
supplémentaires sont disponibles, par exemple sur le site officiel http://pyqgis.org/ .
Les menus situés après le menu Extension sont issus des extensions justement actives ; par
exemple, le menu Vecteur, issu principalement de l’extension FwTools, intègre des
fonctionnalités de géotraitement sur les couches vectorielles, alors que le menu Raster intègre
les fonctionnalités de traitement des données raster.
Les menus Base de données et Traitements viennent compléter les menus des versions
précédentes ; le premier reprend les diverses extensions (BD Manager, Evis, spit…) qui
offrent des options différentes de connexions aux bases de données, alors que Traitements
permet d’utiliser la boite à outils de géotraitements (anciennement SEXTANTE), désormais
installés par défaut.
F. Guerreiro 3
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_A03 - Interface et barres d’outils
Interface
QGIS est à l’image de nombreux logiciels SIG, composé :
- d’une partie supérieure avec les Menus et Barres d’outils,
- d’une partie gauche qui contient les noms des couches ouvertes,
- d’une partie droite pour l’affichage géométrique des entités des couches,
- d’une partie supplémentaire en bas à gauche (par défaut : Chemin le plus court ; je conseille de le
décocher depuis le menu Vue >Panneaux, et de cocher Navigateur).
Boite à outils
Fenêtres
Supplémentaires
Barres d’outils
Les barres d’outils reprennent les fonctionnalités présentes dans les menus.
Barres d’outils
F. Guerreiro 4
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_A04 - Le projet QGS
La mise en forme des différentes fenêtres, l’ordre de superposition des couches, le choix des
styles pour les objets cartographiques, le positionnement des étiquettes, la légende etc. sont
autant d'opérations qu'il est intéressant de sauvegarder pour ne pas avoir à les reproduire à
chaque ouverture de QGIS.
Ces éléments ne sont pas enregistrés dans les couches. Le projet de travail (Projet QGIS) vous
permet de sauvegarder une session de travail (format du fichier : *.qgs).
Voici un exemple de fichier .qgs ouvert avec un éditeur de texte :
Etendue de la vue
Paramètres de la vue
Projection de la vue
Paramètres de la
légende
Propriétés et chemin
d’accès de la couche
Paramètres de la
première couche
Projection de la couche
Pour enregistrer l’état d’avancement de votre travail dans un projet, allez dans le menu Projet
>Sauvegarder le projet.
Le projet est un fichier unique contrairement à une couche, composée de plusieurs fichiers. Il
ne contient pas de données géographiques. Il renferme simplement une série d'instructions qui
est donnée à QGIS et qui précise les couches géographiques utilisées dans la session, l’état
des vues (fiche B02) ou mises en pages (fiche F01), la mise en forme des objets, etc. Le projet
peut être assimilé à une macro des logiciels bureautiques.
Ainsi il peut exister un grand nombre de projets qui utilisent les mêmes couches de données
dans des mises en forme différentes.
Cependant, comme le document contient des instructions sur les couches à utiliser (il
enregistre le chemin d’accès aux fichiers utilisés, relativement au projet), il est indispensable
de préserver ces couches telles qu’elles sont lors de l'enregistrement du projet. Si, par
exemple, une couche est déplacée ou renommée (sans déplacer tout le dossier du projet et des
couches) et que le projet n'est pas réenregistré pour prendre en compte la modification, ce
dernier ne s'ouvrira pas.
F. Guerreiro 5
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS B - Gestion des couches
La gestion des couches est essentielle pour bien démarrer l’apprentissage du logiciel.
Bien comprendre comment s’organisent les couches les unes par rapport aux autres et
comment s’organise l’articulation entre la donnée géographique et la table attributaire qui lui
est associée, est la base de la compréhension des logiciels SIG.
Une gestion approximative des couches peut générer de nombreux problèmes d’analyse,
affichage…
F. Guerreiro 6
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_B01 - Ouverture et fermeture d’une couche
Pour ajouter un vecteur, allez dans le menu Couche >Ajouter une couche vecteur
( ou ). Choisissez le fichier que vous voulez ouvrir en
fonction de son type à partir du bouton Parcourir, sous le type de source Fichier.
Pour ajouter un raster, allez dans le menu Couche >Ajouter une couche raster
( ou ). Choisissez le fichier que vous voulez ouvrir en
fonction de son type.
L’ajout d’une couche se réalise aussi directement depuis la barre d’outils Couche (fiche A03).
Types de rasters
Attention : Si le système de projection du fichier à ouvrir n’est pas renseigné, ou s’il est
différent de celui de la Vue, sans que la projection à la volée soit activée, il se peut que
vos données ne soient pas superposées correctement ! (Reportez-vous à la fiche B04).
Il est à noter que les rasters n’aiment pas la projection à la volée et nécessitent souvent
de travailler dans un système de projection unique et adapté…
Pour les images raster géoréférencées, les informations de localisation géographique sont
chargées automatiquement lorsque vous ouvrez l’image.
Pour ouvrir une image NON calée et la caler à partir de QGIS, reportez-vous à la fiche G02.
Le choix du Type de fichier lors du parcours des fichiers influe sur le type de fichiers visibles
dans le dossier courant ! Exemple : si vous choisissez Fichiers de type : ‘ESRI shapefiles
SHP’, les fichiers de type DXF ne seront alors pas visibles pour l’ouverture.
F. Guerreiro 7
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_B02 - Gestion visuelle des couches (propriétés du projet et d’une couche)
Vue Projection
Superposition
des couches
- La superposition des couches se gère par glissement du nom des couches les uns sur les
autres. L’ordre de visibilité des couches dans la vue est lié à l’ordre des noms.
- Les couches visibles dans la vues sont les couches cochées .
- Les actions du menu Couche ont une incidence sur la couche surlignée en gris (active).
Propriétés d’une couche
Un clic droit sur le nom de la couche, puis Propriétés permet de gérer les onglets suivants :
Général
Modifier l’alias du nom de la couche Apparence
Modifier la projection de la couche Modifier le rendu de la
couche, sa transparence
Étiquettes
Rendu Champs Étiqueter les entités en
Simplification du Paramétrer les champs fonction d’un champ présent
rendu visuel de la table attributaire dans la table attributaire
Infobulles Actions
Information Lancer des scripts Métadonnées
affichée dans d’exécution sur la couche Lire les caractéristiques de la
les infobulles
couche (emplacement,
projection…)
Jointure Diagrammes
Créer des liaisons entre Ajoute des diagrammes en
attributs de tables bâton ou camembert à
l’apparence de la couche
F. Guerreiro 8
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_B03 - Affichage des données attributaires à l’écran
Dans la vue (fiche B02), à partir du menu Couche (ou par clic-droit sur le nom de la couche
ou depuis la barre d’outil Couches - Fiche A03), sélectionnez Voir la table d’attributs pour
afficher les données attributaires d’une couche. La couche doit être ACTIVE (surlignée en
gris). Observez les données puis fermez la table lorsque vous avez fini.
Lien entre les données graphiques et attributaires
Vue active
Un clic-droit sur le nom de la
couche pour
Montrer dans l’aperçu
Permet d’obtenir une
miniature de l’étendue de la
couche
Table attributaire
Lorsque l’on sélectionne une entité sur la vue, à l’aide de l’outil Sélection du menu Couche
(ou depuis la barre d’outils correspondante - fiche A03), la ligne correspondante à l’entité est
sélectionnée dans la table (et inversement).
Toute table attributaire ouverte à partir de la vue est ensuite accessible sous forme d’onglet de
la barre des taches du système d’exploitation.
Les outils de la Table attributaire (disponibles lorsqu’une table attributaire est ouverte) :
- Outils de sélection :
Lorsqu’une sélection est activée par sélection sur la carte ou sélection d’une entité (simple
clic sur une ligne) ou plusieurs lignes (à l’aide des touches CTRL ou MAJ lors de clics
suivants), vous retrouvez au-dessus de la table attributaire (respectivement des boutons ci-
dessus) : Sélection par expression, Désélectionner, Placer la sélection au début de la
table, Inverser la sélection, Centrer la vue sur la sélection, Centrer et zoomer la vue à
l’échelle de la sélection, Copier la sélection dans le presse-papier.
- Outils d’édition :
Lorsque le « stylo » (premier bouton) est activé, soit Basculer en mode édition, les boutons
suivants (respectivement, Sauvegarder les modifications, Effacer les entités sélectionnées,
Supprimer un champ/ une colonne, Ajouter un champ/ une colonne, et Ouvrir la
calculatrice de champ) sont alors accessibles.
F. Guerreiro 9
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_B04 - Connaître et modifier la projection d’une couche
Vous devez œuvrer dans un système de projection unique dans la mesure du possible.
Les projections sont exprimées dans QGIS selon leur nom et les codes EPSG1 correspondants.
1 – Recherchez le
code désiré
2 – Sélectionnez la
projection correspondante
3 – Validez
la projection
NB. : En cas de reprojection Française, préférez les codes IGNF (recherchez dans (1) le code désiré) au lieu de
EPSG, pour la couche de départ et pour la couche d’arrivée. Ces codes utilisent la grille centrimétrique de l’IGN
plus précise pour la reprojection.
1
Codes EPSG utiles à connaître (http://www.epsg.org/) utilisés dans les logiciels :
2154 : RGF93 Lambert 93 ; 4326 : WGS84 world geographic 2D ;
27571 : NTF Lambert zone I ; 27572 : NTF Lambert zone II ; 27573 : NTF Lambert zone III ; 27574 : NTF Lambert zone IV ;
NB : Le menu Vecteur> Outils de gestion de données offre aussi la possibilité de renseigner la projection d’une couche
(Définir la projection courante) et de modifier la projection d’une couche (Exporter vers une nouvelle projection).
Le menu Raster> Projection, offre les mêmes possibilités pour les rasters.
F. Guerreiro 10
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_C - Structure des couches
F. Guerreiro 11
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_C01 - Création d’une couche
La création d’une couche doit être précédée d’une étape de réflexion sur la modélisation du
phénomène à intégrer dans le SIG. Il s’agit d’un aspect fondamental qui permettra une
utilisation rationnelle et aisée du SIG. Une étape à ne pas négliger !
Tous les objets d’une même couche doivent être du même type géographique (point, ligne
ou polygone).
Chaque objet géographique stocké dans une couche est doté d’un certain nombre d’attributs
(ou champs), qui sont définis lors de la création de la couche, puis modifiables lors de la
modification de la structure de la couche.
Manipulations
A partir du menu Couche, choisissez Nouveau, puis Shapefile, Spatialite ou couche GPS
(shapefile par défaut si vous ne possédez pas de base de données) :
Créer un champ
-Texte
-Entier
-Décimal
Liste des
champs
3 - Enregistrement
Lorsque la couche est créée, elle est automatiquement ajoutée à la Vue. Cette couche est
vierge. Son nom est noté dans la table des matières de la vue (partie gauche de la vue), au-
dessus des autres couches.
Pour rendre la couche éditable, reportez-vous à la fiche C02 ; pour créer des entités, reportez-
vous à la fiche C04 ; pour remplir les champs correspondants aux entités créées, reportez-
vous à la fiche C05.
F. Guerreiro 12
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_C02 - Éditer des données
Toute action de modification sur une couche, que ce soit au niveau de sa structure, des entités
ou de la table attributaire passe impérativement par l’activation de l’édition.
Terminer l’édition
Pour arrêter l’édition, procédez de la même façon, menu Couche> Basculer en mode
l’édition. Ceci a pour effet d’arrêter l’édition de la couche ACTIVE (surlignée en gris !).
NB. : Lorsque vous terminez l’édition d’une couche ou d’une table, QGIS vous demande
automatiquement si vous voulez enregistrer les modifications apportées. Ceci est très utile en
cas de d’erreur ou de mauvaise manipulation.
Il est possible de commencer l’édition de plusieurs couches en même temps ; il reste
cependant recommandé de ne faire qu’une seule chose à la fois !
La fenêtre ci-dessous est un exemple de message lors de la fermeture du logiciel ; certaines
couches ont été modifiées, le logiciel vous demande si vous voulez conserver ces
modifications :
Éditer une table attributaire qui ne possède pas d’entités (dbf, csv…)
Ouvrez la table à éditer comme une couche vecteur (fiche B01 si besoin) en spécifiant
, pour voir votre fichier dbf par exemple.
La table est alors accessible dans la liste des couches à gauche de la vue
(même s’il n’existe aucune vue associée à cette table), avec un pictogramme
spécifique, comme présenté ci-contre :
Pour démarrer l’édition, procédez comme pour une couche vectorielle (ci-dessus).
Depuis la table attributaire, les outils d’édition (cf. fiche B03), sont alors accessibles.
F. Guerreiro 13
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_C03 - Création de champs attributaires
La modification de la structure de la table attributaire d’une couche est à éviter dans la mesure
du possible, car l’ajout ou le retrait de champs peut ‘perturber’ la table. Il est donc important
de vérifier les données attributaires après ce type d’intervention.
QGIS gère différents types d’attributs : texte, nombre entier ou décimal, date.
F. Guerreiro 14
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_C04 - Création d’objets graphiques
La couche sur laquelle vous voulez créer des entités doit être présente sur la vue (soit par
ajout de couche -fiche B01- soit par création d’une nouvelle couche -fiche C01-).
Rendez la couche éditable (fiche C02) si elle ne l’est pas.
Attention ! A partir de maintenant, pour utiliser les outils d’édition sur la couche éditable, la
couche concernée doit être active (surlignée en gris).
Utilisez la barre d’outils Editer /Créer des entités pour ajouter des entités. Selon le type
d’entité de la couche, l’outil Créer est différent :
Créer un polygone
Capturer la ligne
Créer un point
NB. : Pour créer des entités parfaitement synchrones (limite commune, nœuds communs…)
reportez-vous à la topologie de la fiche C05.
Lorsque vous avez terminé la création de vos entités, choisissez de Terminer l’édition (fiche
C02) et sauvegarder le travail.
F. Guerreiro 15
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_C05 - Modification d’objets graphiques
La modification d’un objet d’une couche requiert que la couche soit modifiable (fiche C02).
Quittez l’éditeur, en enregistrant les modifications une fois le travail fini !
Modification
Les outils de modification sont disponibles depuis les barres d’outils Editer (fiche A03).
Vous pouvez librement créer des entités (fiche C04), déplacer une entité , couper ,
copier , coller ou supprimer .
Remodelez les entités selon une construction voulue.
D’autres outils de modification sont disponibles , depuis le menue Vue >Barres d’outils
>Numérisation avancée :
Vous retrouverez respectivement : Pivoter, simplifier, ajouter un anneau, ajouter une partie,
supprimer un anneau, supprimer une partie, remodeler, décaler en XY, séparer, fusionner des
entités, fusionner des attributs, rotation de symboles de points.
Les entités doivent être préalablement sélectionnées – fiche D02 si besoin.
Nœuds
L’outil de nœud permet de déplacer les nœuds. Un premier clic sur le nœud fait
apparaitre tous les nœuds de l’entité (en rouge). Un clic sur un nœud le fait apparaître
en bleu , un clic-glissé le déplace.
Un clic sur un segment sélectionne les deux nœuds d’extrémité (en bleu) ;
un clic-glissé déplace ce segment.
Topologie
A partir du menu Préférences> Options d’accrochage ; vous pouvez afficher
l’environnement de capture :
Sélection des
couches
concernées par la
capture
La liste de vos couches ouvertes s’affiche alors ; en cochant la couche désirée, la topologie
d’accrochage sera active pour cette couche. Choisissez la Tolérance d’accrochage. ; cliquez
sur OK pour enregistrer les paramètres.
Lors de la saisie d’une nouvelle entité (en rouge lors de l’édition), à l’approche d’une entité
existante pour laquelle l’accrochage est activé, la nouvelle entité vient se coller en fonction de
la tolérance d’approche/ d’accrochage. La limite entre les deux entités est alors exactement au
même emplacement dans l’espace !
Topologie des polygones
A partir de Options d’accrochage, vous accédez désormais au bouton ;
ce dernier à cocher permet de choisir les couches (de polygones) pour lesquelles il ne peut pas
y avoir de superposition entre polygones (utile pour les contours des départements par
exemple…).
De plus, en bas de la fenêtre Options d’accrochage, vous pouvez Activer l’édition
topologique. Cet outil vous permet de détecter les limites communes entre polygones, ce qui
a pour effet de déplacer automatiquement la limite des deux polygones lors du déplacement
d’un nœud.
F. Guerreiro 16
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_C06 - Modification d’objets sémantiques
La modification des données attributaires se fait en concordance avec les objets graphiques
correspondants. Lors d’une modification (ou d’une création) des données attributaires, il faut
sélectionner l’entité sur la carte pour savoir à quelle ligne de la table correspond cette entité.
La sélection de l’objet sur la carte se matérialise par un jaune fluo (couleur modifiable dans
les Propriétés du projet, onglet Général). Dans la table correspondante, la sélection se
remarque en gris foncé ( ). La sélection de l’objet entraîne la sélection de la ligne dans la
table, et inversement.
Fonctions
de calcul
Colonnes de Aide
référence si Inactive actuellement
besoin
3 - Calcul du champ
Saisie des données attributaires Tapez l’expression ici
La saisie des données se fait dans la table
en fonction des éléments graphiques
Exemple : Pour calculer l’aire, appuyez sur Géométrie> $Area, il apparaît dans la zone de calcul (valable pour
des polygones – longueur est actif pour des lignes). Les ' ' (guillemets simples) sont nécessaires dans
l’expression pour les chaines de caractères (texte).
F. Guerreiro 17
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_D - Analyse spatiale
L’analyse spatiale participe au traitement même des données à partir de requêtes spatiales
bien définies ou d’actions qui permettent de répondre à un questionnement précis.
Une requête est une opération qui consiste à interroger une partie de la table de données (ou
table attributaire).
Les requêtes peuvent porter aussi bien sur des données attributaires que sur des objets
géographiques.
F. Guerreiro 18
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_D01 - Sélection par attributs (requête attributaire)
La sélection attributaire se fait sur une seule couche et sur un ou plusieurs attributs de cette
couche (attention, ceci concerne donc la couche active / surlignée en gris) :
Sélection de type 1 :
Le constructeur de requêtes est accessible depuis la table attributaire (fiche B03 si
besoin) ou la barre d’outils Couche (fiche A03 si besoin) en cliquant sur le
bouton . Attention : avec cette Sélection, on observe le résultat de la sélection
en surbrillance jaune fluo, mais les autres entités sont toujours présentes. Dans ce
cas, vous pouvez désélectionnez les entités sélectionnées de la couche active avec
l’outil Effacer la sélection de la barre d’outils Couche.
Exporter la sélection
Vérifiez que la couche sur laquelle vous venez de réaliser la sélection soit bien active (en
gras), puis choisissez le menu Couche> Enregistrer la couche vectorielle sous… (ou par
clic-droit sur le nom de la couche> Enregistrer la couche vectorielle sous…). Sélectionnez
« N’enregistrer que les entités sélectionnées ». Déterminez le nom de la couche de sortie (le
type de fichier et la projection si besoin).
Sélection par attributs La couche concernée par la sélection
est la couche ACTIVE
Choix des Aide
Champs contextuelle
et des
fonctions
1b Choix des
Valeurs
1 connues
3
Opérateurs
de sélection
2
Requête
4 : Vérification
5 : Méthode de sélection
Exemple
Sélectionner les départements qui ont leur chef-lieu dont le X est à moins de 5100m de l’origine (attribut « X »)
et n’appartenant pas à la Bretagne (attribut « NOM_REGION ») dans la couche ‘deparement.shp’ :
Couche : DEPARTEMENT.SHP (à activer en gras dans la vue)
Critères (requête) : X <= 5097 AND NOM_REGION != 'BRETAGNE'
X et NOM_REGION (noms des colonnes) sont à sélectionner dans le menu champs, <=, != et AND dans les
Opérateurs. 5097 et 'BRETAGNE' peuvent être saisis directement dans Valeurs connues.
Les valeurs en texte sont à saisir entre guillemets simples ('…'), contrairement aux nombres.
And :"vrai" lorsque ses deux arguments (les expressions qu'il relie) sont vrais. Un enregistrement doit donc satisfaire ces deux conditions
pour être sélectionné.
Or :"vrai" lorsque l'un au moins de ses arguments (les expressions qu'il relie) ou les deux sont vrais. Un enregistrement ne doit donc
satisfaire qu'une seule de ces deux conditions pour être sélectionné. Il est aussi sélectionné s'il répond aux deux conditions.
Sélection de type 2 :
Depuis la vue, choisissez le menu Couche ou par clic-droit sur le nom de la couche,
choisissez Filtrer. Entrez l’expression de sélection ; seuls les objets correspondants à la
requête apparaissent à l’écran ; il est possible d’effacer la sélection à partir du
Constructeur de requête (filtre) : laisser la partie requête (Clause SQL WHERE) vide.
Tant que le filtre est actif, le logiciel ne considèrera que les entités filtrées !
F. Guerreiro 19
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_D02 - Sélection géographique (requête géographique)
Sélection
Les outils de sélection géographique sont disponible par appui long
sur l’outil sélection Sélectionner de la barre d’outils Couche>
Accéder à l’information (fiche A03), ou depuis le menu Vue>
Sélection de la fenêtre Vue. Une liste de sélections s’offre à vous
pour la couche ACTIVE (en gras) :
A l’aide de l’outil (ou autre type de sélection), cliquez sur
l’entité que vous voulez sélectionner (plusieurs sélections en
maintenant Ctrl). L’entité sélectionnée apparaît en jaune.
Exemple : polygones
Sélectionner les éléments de la couche ‘riviere.shp’, qui intersectent le département du Nord de
la couche ‘departement.shp’ :
Vous devez, dans un premier temps sélectionner, le département du Nord dans la couche
‘departement.shp’ (A) (A l’aide d’une sélection simple fiche D01).
Dans l’interface de requête spatiale (cf. ci-contre), Vous devez choisir la couche ‘riviere.shp’
(B), puis la couche ‘departement.shp’ (A) (seule la sélection préalable sera prise en compte
dans l’opération si vous cochez ‘1selected geometries’).
F. Guerreiro 20
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_D03 - Jointure attributaire/ Jointure spatiale
Jointure attributaire
La jointure de tables est généralement utilisée pour adjoindre des attributs supplémentaires à
la table d’une couche géographique (couche de départ). Pour joindre deux tables, le type des
données du champ joint doit être identique entre les tables (nombres, chaînes…).
Faites un clic droit sur le nom de la couche à laquelle vous voulez associer des données
supplémentaires, choisissez Propriétés, puis l’onglet Jointure . Pour ajouter une nouvelle
jointure, cliquez sur le bouton , puis paramétrez la jointure :
Jointure attributaire
Renseignez la couche
ou table à joindre,
puis le champ de
jointure pour cette
2 : Champ de jointure 1 : Couche jointe table attributaire.
De la couche jointe Possibilité de joindre une Entrez ensuite le
simple table attributaire champ de jointure de
(DBF)
la couche d’origine
( !! Un champ à
Champ de jointure joindre peut porter un
de même nature! nom différent dans
(texte, nombre…)
les tables).
3 : Champ de Ce sont les attributs
jointure de la table jointe qui
De la couche d’origine viendront se greffer
sur ceux de la table
de départ.
Lorsqu’il n’y a pas de correspondance de champ pour la table d’origine, des valeurs nulles
seront attribuées aux champs joints :
Champs de la couche de départ Champs de la couche jointe
Exemple :
Vous disposez d’une couche ‘comm.shp’ représentant le contour des communes ; la table attributaire de cette
couche ne contient que le code INSEE de chaque commune (nommé IDINSEE). Vous disposez, d’autre part,
d’une table attributaire ‘comm_attr’ (sans données graphiques) contenant le nombre d’habitants (attribut « hab »)
et d’autres champs pour chaque code INSEE ; ce dernier s’intitule CODE sans la table.
1. Joindre la couche comm_attr ; 2. Joindre le champ : CODE ; 3. Champ ciblé : IDINSEE
Jointure spatiale
Pour opérer une jointure spatiale (selon l’emplacement et la superposition des (1)
objets) ouvrez Joindre les attributs par localisation du menu Vecteur> (2)
Outils de gestion de données. Dans la boîte de dialogue, sélectionnez
d’abord la Couche d’entrée (1) qui contiendra les objets du Fichier de
sortie (3), puis la Couche à joindre (2) qui contiendra les attributs joints. (3)
Vous pouvez faire un résumé statistique des données jointes (si elles sont
plusieurs par entité de jointure), et conserver toutes les entités de la couche de
départ ou seulement celles qui ont une correspondance avec la couche jointe.
F. Guerreiro 21
Mise à jour : Décembre 2014 – cc by-nc-nd 2.0
QGIS_D04 - Outils d’analyse spatiale
Les outils d’analyse sont nombreux, il convient de réfléchir à la finalité du travail avant de se
lancer dans les modifications. Les outils d’analyses sont dans le menu Vecteur> Outils de
géotraitement :
Si vous avez une sélection active sur une des couches qui entre
dans l’analyse, l’opérateur peut réaliser l’analyse uniquement sur
celle-ci ! Il suffit de le préciser dans l’interface en cochant
l’élément correspondant .
NB : L’opération d’analyse ne se réalise que sur les couches ouvertes dans la vue active.
Retrouvez ci-dessous quelques exemples d’outils les utilisés en SIG, présents dans QGIS :
Exemples d’outils d’analyse
Vecteurs> Outils de géotraitement> tampon(s) Vecteurs> Outils de géotraitement> Différencier
Les outils d’analyse et des outils supplémentaires sont intégrés par défaut dans QGIS au
travers de SEXTANTE.
Activez la boite à outils de traitements, depuis le menu Traitements >Boite à outils :
F. Guerreiro 22
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QGIS_E - Analyse thématique/Sémiologie/Symbologie
F. Guerreiro 23
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QGIS_E01 - Symbologie/ Affichage simple des entités
Texture
Options
(3) liées au type
d’entité
Types d’entités
F. Guerreiro 24
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QGIS_E02 - Analyse thématique/ Affichage avancé des entités
L’analyse thématique a pour objectif principal de mettre en forme les données que vous
voulez faire ressortir de la carte. L’analyse thématique répond aux règles principales de la
sémiologie graphique. Reportez-vous à ces règles pour connaître les différents types
d’analyses et/ou méthodes de classification des données (intervalles égaux, seuils naturels,
quantiles).
Par un clic-droit de la couche, sélectionnez l’onglet Style des Propriétés de la couche.
Dans la partie supérieure de la boîte de dialogue, sélectionnez l’analyse
thématique (Type de légende) la plus appropriée à l’affichage de vos
données. Reportez-vous à l’aide et aux règles de la sémiologie graphique
pour adapter votre analyse.
Utilisez l’affichage Catégorisé pour les valeurs qualitatives et Gradué pour les valeurs
quantitatives absolues (variables brutes absolues) et les valeurs quantitatives ordonnées
(variables continues vers des variables discrètes).
Permet de déplacer légèrement les points qui se superposent.
Permet d’appliquer une symbologie à l’espace non occupé par des polygones.
Exemple de valeurs quantitatives :
Pour afficher un dégradé de couleur pour la superficie d’une couche de polygones (on admet qu’il y ait un champ ‘SQKM’ correspondant à
la superficie dans la table attributaire de la couche en question) :
Dans la partie haute de l’onglet Convention de signes, sélectionnez Symbole Gradué puis Intervalles égaux.
Dans la partie Champ de classification, au centre de la boîte de dialogue, choisissez ‘SQKM’ (surface calculée) dans le menu déroulant,
ainsi que le nombre de classes et le mode de calcul des classes, puis OK. Vous pouvez changer les couleurs des plages ainsi q ue l’étiquette
qui apparaîtra dans la partie droite de la boîte de dialogue.
(2)
(1) Type d’analyse
Champ de thématique
classement
(3)
(4) Nombre de
Couleur de (6) classes
classement Etiquette
de légende
(5) Importation de
Classement la symbologie
des valeurs
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QGIS_E03 – Etiquetage des entités
Dans les propriétés de la couche (fiche B02 si besoin – propriétés d’une couche) sélectionnez
l’onglet Etiquettes (ou menu Couche> Etiquetage).
Assurez-vous que l’étiquetage des entités est actif en cochant la case correspondante
.
Assurez-vous que le champ de l’étiquette est bien celui qui contient les étiquettes que vous
voulez voir afficher !
L’étiquetage se paramètre en premier lieu par le Champ de l’étiquette (apparait sur la carte
finale), la Taille de police, la Police, la Hauteur et la Couleur.
La mise en page de
l’étiquette (retour à la
ligne…)
Le décalage de
l’étiquette pour éviter
les chevauchements.
Le placement de
l’étiquette par rapport
à l’entité.
F. Guerreiro 26
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QGIS_F - Mise en page
Les logos et mentions légales ne sont pas superflus, ainsi qu’un texte explicatif pour éviter
toute mauvaise interprétation de la carte produite.
F. Guerreiro 27
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QGIS_F01 - Création d’une mise en page
La création d’une mise en page permet d’éditer une carte complète pour l’imprimer ou
l’exporter.
Avant de lancer une mise en page cartographique, assurez-vous d’avoir adapté la symbologie
et les étiquettes de vos couches dans les propriétés de chaque couche (fiches E).
A partir de la fenêtre du
composeur, adaptez la page
Composeur de carte (soit depuis le menu
Composeur> Paramètres
de la page, soit à partir de
l’onglet Composition, à
droite du composeur) et
changez la mise en page de
paysage (horizontal) vers
portrait (vertical) si besoin.
Vous pouvez vous déplacer sur la page à partir de la barre spécifique et du menu Vue.
Le menu Mise en page permet d’ajouter et d’organiser les éléments de la lise en page :
Les éléments ajoutés depuis ce menu sont des Objets.
Le cœur de carte, à savoir la Vue, s’ajoute en premier lieu à partir
de ce menu Mise en page> Ajouter une carte .
Pour ajouter les éléments indispensables à votre carte comme le
titre (Texte ), la Orientation , l’Échelle , la Légende
(fiche F02) ou un logo (Image ), allez dans Ce menu Mise
en page et sélectionnez l’item désiré.
Lorsque la carte est terminée, allez dans le menu Fichier, pour
Exporter en image, PDF ou SVG (fiche F04).
N’oubliez pas d’Enregistrer le projet au fur et à mesure de votre
travail (fiche A04 si besoin).
Les objets ajoutés à la mise en page possèdent plusieurs options
spécifiques dans l’onglet Objet, à droite du composeur (fiche
F03).
On supprime un objet sélectionné à l’aide de la touche Suppr ; on (dé)verrouille un objet avec
un clic-droit sur celui-ci.
F. Guerreiro 28
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QGIS_F02 - Création d’une légende
Une commande spécifique existe pour créer une légende décrivant toutes les informations
contenues dans la carte. Menu Mise en page> , puis cliquer sur la mise
en page pour l’insérer. Pour cela, il faut bien évidemment se trouver sur une fenêtre
Composeur (fiche F01 si besoin).
L’ajout d’une légende est totalement lié à la vue active qui lui est associée.
Une fois la légende ajoutée, l’onglet Objet associé à cette légende (partie droite du
composeur), propose 3 sous-onglets cliquables :
Titre de légende
Ajouter/supprimer/grouper les éléments de la légende, les renommer.
Format général et police des éléments (titres et couches).
Créer la légende en plusieurs colonnes
Changer l’aspect de la légende : du fond ou des bordures du cadre de
légende…
Création d’une légende Mettre à jour les
1 – Propriétés de la éléments en
légende fonction des
modifications de la
carte, ou
réinitialiser toute la
légende
2 – Sélectionner
l’élément de
légende à
modifier
3 – Réorganiser les
éléments de légende
4 – Créer un groupe
de couches 6 – Afficher le
5 – Renommer nombre d’entités
l’élément de la couche
La légende sur la fenêtre Carte est dynamique ; elle peut se mettre à jour lorsque vous
modifiez les éléments de la couche (nom, figurés…). Il est cependant conseillé de ne créer la
légende qu’après avoir finalisé tous les éléments nécessaires à la carte.
Libellés des éléments de légende
Pour gérer durablement les libellés de la légende, vous pouvez vous reporter aux Propriétés
(fiche B02 si besoins) de la couche concernée, onglet Général. En effet, sous l’onglet
Général, vous pouvez modifier le nom de la couche, C’est sous l’onglet Style des Propriétés
de la couche que vous pouvez modifier les libellés de la symbologie des éléments
(Etiquettes).
NB. : Les éléments de la légende sont organisés par défaut selon l’ordre d’empilement des
couches. Celui-ci ne correspond bien souvent pas aux règles de mise en page d’une légende
(élément principal de la carte en premier, regroupement des éléments de la légende en
fonction de leur type…).
F. Guerreiro 29
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QGIS_F03 - Éléments d’une mise en page
Lorsque cette carte est terminée, vous pouvez Verrouiller les couches pour cette carte dans
l’onglet Objet> Carte à droite du composeur.
F. Guerreiro 30
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QGIS_F04 - Exportation de la mise en page
Avant l’export final, il est indispensable d’observer la carte en taille adaptée qui donne
une visualisation globale de l’image finale qui sera exportée (ce qui inclut la taille des
étiquettes par exemple).
Exemple d’impression :
Générer un atlas
Menu Vue >Panneaux > Génération d’atlas s’il n’est
pas activé.
F. Guerreiro 31
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QGIS_G - Intégration de données externes
F. Guerreiro 32
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QGIS_G01 - Ouverture/Export de données tabulaires (txt, csv, dbf) ou
vectorielles autres que SHP/ Postgis
2
Le fichier CSV est éditable/créable avec un éditeur de texte. La première ligne doit contenir les champs des
colonnes, séparés par « ; » (un point-virgule), les lignes suivantes les données, séparées aussi par « ; ».
F. Guerreiro 33
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QGIS_G02 - Géoréférencement d’images : Données rasters
Ouvrir l’outil
Vous n’avez pas besoin d’ouvrir l’image avant de la géoréférencer.
Utilisez l’extension (installée par défaut) Géoréférencer du menu
Raster> Géoréférencer pour commencer le géoréférencement.
Ouvrir l’image
La partie supérieure contient alors votre image, alors que la partie
inférieure contiendra la Table des points de contrôle (points de géoréférencement).
Dans la nouvelle fenêtre, ouvrez l’image à géoréférencer (menu Fichier> Ouvrir un raster).
Spécifier la projection
A l’ouverture de l’image, une fenêtre apparaît invariablement pour vous demander le système
de projection de votre image (utilisez la fiche B04 si besoin pour attribuer la projection).
Spécifier le type de transformation
Avant de commencer le géoréférencement, vous devez indiquer le type de transformation et le
Raster de sortie dans le menu Paramètres> Paramètres de transformation.
Type de transformation
On utilise une transformation affine lorsque l’image à référencé est dans la même projection que l’image de
référence (4 points suffisent). On utilise les transformations polynomiales lorsque les déformations sont importantes
(cartes napoléoniennes…). Vous avez besoin d’un minimum de quatre points pour une transformation polynomiale
de premier ordre, six pour une transformation de second ordre et dix pour une transformation de troisième ordre.
Remarque : Un grand nombre de points n’améliore pas forcément la qualité du résultat, préférez donc des points
près de chaque angle de l’image à référencer et quelques points au centre. N’alignez pas vos points.
F. Guerreiro 34
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QGIS_G03 - Ouverture de protocoles Internet – WebServices (WMS, WFS…)
Les protocoles Internet cartographiques sont des services qui diffuses (gratuitement ou non),
des cartes et données disponibles au travers du logiciel SIG.
L’avantage certain de ces services est de ne pas devoir stocker les données (souvent très
lourdes) sur l’ordinateur, et de pouvoir superposer ces services aux données locales dont vous
disposez dans votre SIG.
QGIS offre la possibilité d’en afficher plusieurs d’entre eux (WMS, WFS …).
Pour accéder à ces services, il suffit de :
1- Entrer l’adresse Internet du service
2- Choisir les données dont on a besoin
3- Paramétrer le rendu des données
L’ajout d’une couche WMS est accessible directement depuis le menu Couche> Ajouter une
couche WMS.
Connexion aux protocoles de services WMS
1 - Connexion
Format d’image
Projection
3 – Format de restitution
D’autres services tels que l’ajout de couche WFS sont accessibles depuis le menu
Extension.
De nombreux services sont accessibles directement dans QGIS et vous en trouverez
facilement sur Internet.
F. Guerreiro 35
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