Conductivité Thermique - Wikipédia

Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 38

Conductivité

thermique
grandeur physique caractérisant le
comportement des matériaux lors du
transfert thermique par conduction

Conductivité
thermique
La conductivité
thermique est l'aptitude
d'un matériau à
transférer la chaleur.

Unités SI watt par


mètre-
kelvin
Autres W·m-1·K-1
unités
Dimension M·L·T -3·Θ -1
Nature Grandeur
scalaire
intensive
Symbole ou
usuel
Lien à =
d'autres
grandeurs
Pour les articles homonymes, voir
Conductivité.
La conductivité thermique ou
conductibilité thermique est une
grandeur physique caractérisant le
comportement des matériaux lors du
transfert thermique par conduction.
Notée λ ou K voire k, cette grandeur
apparaît notamment dans la loi de
Fourier. Elle représente l'énergie
(quantité de chaleur) transférée par unité
de surface et de temps sous un gradient
de température de 1 kelvin ou 1 degré
Celsius par mètre.

Généralités
Dans le Système international d'unités, la
conductivité thermique est exprimée en
watts par mètre-kelvin, (W·m−1·K−1) où :

le watt est l’unité de puissance ;


le mètre est l’unité de longueur
(épaisseur/surface, m−1 = m/m2) ;
le kelvin est l’unité de température.

Un matériau a une conductivité


thermique de 1 watt par mètre-kelvin si
un gradient thermique de 1 kelvin par
mètre induit (par conduction thermique)
un flux thermique de 1 watt par mètre
carré (de sens opposé au gradient).

On peut utiliser le coefficient de


conductivité thermique d'une paroi
(mesuré en laboratoire et donné dans les
documentations des fabricants) et
l'épaisseur du matériau pour calculer les
déperditions thermiques au travers de
cette paroi sur une période (un an, un
hiver, etc.).

Le watt est une unité de flux d'énergie et


non de quantité d'énergie. Il équivaut à
1 joule par seconde. Un flux de 1 kW
pendant une heure équivaut à 1 kilowatt-
heure, soit 3 600 kilojoules (unité de
quantité d'énergie).

Exemple : une paroi d'un mètre carré de


surface et d'un mètre d'épaisseur, de
conductivité thermique 0,5 W m−1 K−1
(aussi écrit W/(m.K)) est soumise à un
flux de chaleur de 0,5 watt pour 1 kelvin
de différence de température entre ses
deux faces, soit une déperdition de
0,5 watt-heure en une heure.

Plus la conductivité thermique est élevée,


plus le matériau est conducteur de
chaleur. Plus elle est faible, plus le
produit est isolant.

Par exemple : le cuivre, avec une


conductivité thermique de 380 watts par
mètre-kelvin, est plus de dix mille fois
plus conducteur de chaleur que le
polyuréthane, avec 0,035 watt par mètre-
kelvin.

La conductivité dépend principalement


de :
la nature du matériau ;
la température ;
d’autres paramètres comme l’humidité
et la pression.

En général, la conductivité thermique va


de pair avec la conductivité électrique.
Par exemple, les métaux, bons
conducteurs d'électricité sont aussi de
bons conducteurs thermiques. Il y a des
exceptions, comme le diamant qui a une
conductivité thermique élevée (entre
1 000 et 2 600 W m−1 K−1) alors que sa
conductivité électrique est basse, tandis
que le graphène (5 300 W m−1 K−1) est
meilleur conducteur thermique et bien
meilleur conducteur électrique (du moins
dans certaines directions).

Au niveau atomique
D’un point de vue atomique, la
conductivité thermique est liée à deux
types de comportements :

le mouvement des porteurs de


charges, ions, électrons et trous ;
l’oscillation des atomes autour de leur
position d’équilibre.

Dans les métaux, le mouvement des


électrons libres est prépondérant alors
que dans le cas des non-métaux, la
vibration des ions est la plus importante.
La conductivité thermique est donc liée
d’une part à la conductivité électrique
(mouvement des porteurs de charge) et
d'autre part à la structure même du
matériau (vibrations des atomes). En
effet, dans un solide, les vibrations des
atomes ne sont pas aléatoires et
indépendantes les unes des autres, mais
correspondent à des modes propres de
vibration, aussi appelés « phonons » (on
peut faire par exemple l’analogie avec un
pendule ou une corde de guitare, dont la
fréquence de vibration est fixée. Ces
modes propres de vibration
correspondent à des ondes qui peuvent
se propager dans le matériau, si sa
structure est périodique (organisée).
Cette contribution sera donc plus
importante dans un cristal, ordonné, que
dans un verre, désordonné (d’où par
exemple la différence de conductivité
thermique entre le diamant ci-dessus et
le verre dans le tableau).

Mathématiquement, la conductivité
thermique λ peut donc s'écrire comme la
somme de deux contributions :

où :

λe est la contribution des porteurs de


charge (électrons ou trous) ;
λp est la contribution des vibrations
des atomes (phonons).
La contribution des porteurs de charge
est liée à la conductivité électrique σ du
matériau par la relation de Wiedemann-
Franz :

où L est appelé facteur de Lorentz. Ce


nombre L dépend des processus de
diffusion des porteurs de charge (ce qui
correspond plus ou moins à la façon
dont ils sont gênés par des obstacles
lors de leurs déplacements, voir aussi
diffusion des ondes) ainsi que de la
position du niveau de Fermi. Dans les
métaux, on le considérera égal au
nombre de Lorenz L0, avec :
où :

k est la constante de Boltzmann ;


e est la charge de l'électron.

En réalité, L varie selon la température et


le métal considéré :

Facteur de Lorenz[1] Facteur de Lorenz[1]


Matériaux (x10−8 V2·K−2) (x10−8 V2·K−2)
à 0 °C à 100 °C

Aluminium 2,14 2,19

Argent 2,31 2,38

Bismuth 3,53 3,35

Cuivre 2,20 2,29

Fer 2,61 2,88

Or 2,32 2,36

Plomb 2,64 2,53

Sodium 2,12

Évolution avec l'humidité


Pour les matériaux de construction, il est
courant [réf. souhaitée] d’utiliser la relation
suivante :

où :

k est un coefficient de dimensions ;


λ0 est la conductivité thermique du
matériau sec ;
H est l’humidité relative en
pourcentage ;
e représente la fonction exponentielle.

Mesure

État stationnaire M…
La détermination de la conductivité
thermique d’un matériau repose sur le
lien entre le gradient de température et le
flux de chaleur qu'il génère dans ce
matériau. Le principe est illustré sur la
figure suivante :

L’une des
extrémités
de
l’échantillon
de section A
est fixée à un
doigt froid
(bain
thermique) dont le rôle est d'évacuer le
flux thermique traversant l'échantillon, et
l’extrémité opposée à une chaufferette
dissipant dans l’échantillon une
puissance thermique Q obtenue par effet
Joule, de manière à produire un gradient
thermique suivant la longueur de
l’échantillon. Des thermocouples séparés
par une distance L mesurent la
différence de température ΔT le long de
l’échantillon. Un troisième thermocouple,
calibré, est également fixé à l’échantillon
pour déterminer sa température
moyenne (la température de mesure). La
conductivité thermique est alors donnée
par :

.
Si ΔT n’est pas trop important (de l'ordre
de 1 °C), la conductivité thermique
mesurée est celle correspondant à la
température moyenne mesurée par le
troisième thermocouple. Le principe de la
mesure repose alors sur l’hypothèse que
la totalité du flux de chaleur passe par
l’échantillon. La précision de la mesure
dépend donc de la capacité à éliminer les
pertes thermiques, que ce soit par
conduction thermique par les fils,
convection par le gaz résiduel, radiation
par les surfaces de l’échantillon ou
pertes dans la chaufferette : la mesure
s'effectue donc dans des conditions
adiabatiques. Pour assurer la meilleure
précision possible, l’échantillon dont on
souhaite mesurer la conductivité
thermique est donc placé dans une
chambre de mesure sous vide (pour
minimiser la convection). Cette chambre
est elle-même enveloppée dans plusieurs
boucliers thermiques dont la température
est régulée (afin de minimiser les effets
radiatifs). Enfin, les fils des
thermocouples sont choisis de manière à
conduire le moins possible la chaleur.

Étant donné qu’il est d'autant plus


difficile de minimiser les pertes
thermiques que la température
augmente, cette technique ne permet la
mesure de la conductivité thermique qu’à
des températures inférieures à la
température ambiante (de 2 à 200 K sans
difficulté, et jusqu’à 300 K (27 °C) pour
les meilleurs appareils de mesure).

Méthode dite « Laser Flash » M…

Pour les températures supérieures à la


température ambiante, il devient de plus
en plus difficile d’éliminer ou de tenir
compte des pertes thermiques par
radiation (conditions adiabatiques), et
l’utilisation de la technique à l’état
stationnaire présentée ci-dessus n’est
pas recommandée. Une solution est de
mesurer la diffusivité thermique en lieu
et place de la conductivité thermique.
Ces deux grandeurs sont en effet liées
par la relation :

où :

λ(T) est la conductivité thermique en


W⋅cm−1⋅K−1 ;
a(T) est la diffusivité thermique en
cm2⋅s−1 ;
d(T) est la masse volumique en
g⋅cm−3 ;
Cp(T) est la chaleur spécifique en
J⋅g−1⋅K−1.

Si l’on suppose que la masse spécifique


ne varie pas avec la température, il suffit
de mesurer la diffusivité thermique et la
chaleur spécifique pour obtenir une
mesure de la conductivité thermique à
haute température.

La figure suivante schématise


l’appareillage utilisé pour la mesure de
conductivité thermique par la méthode
dite « laser flash »[2] :

Un
échantillon
cylindrique
dont
l’épaisseur d est nettement plus faible
que son diamètre est placé dans un
porte-échantillon qui se trouve à
l’intérieur d’un four maintenu à
température constante. Une de ses faces
est illuminée par des pulses (de l’ordre de
la milliseconde) émis par un laser, ce qui
assure un chauffage uniforme de la face
avant. La température de la face arrière
est mesurée, en fonction du temps, à
l’aide d’un capteur de mesure infrarouge.
En l’absence de pertes thermiques de
l’échantillon, la température devrait
augmenter de manière monotone. Dans
une situation réelle, l’enregistreur
mesurera un pic de température suivi
d’un retour à la température du four. Le
temps t nécessaire pour que la face
arrière atteigne la moitié de la
température de pic (par rapport à la
température du four), permet de
déterminer la diffusivité thermique
suivant :

Il est alors possible de calculer la


conductivité thermique grâce à la masse
volumique et la chaleur spécifique.

La difficulté de cette technique réside


dans le choix des paramètres de mesure
optima (puissance du laser et épaisseur
de l'échantillon).

Dans la construction

Résistance thermique d'une paroi M…


 Article détaillé : paroi (construction).

En thermique du bâtiment, la valeur λ de


la conductivité thermique rentre dans le
calcul de la résistance thermique d'une
paroi. Pour qualifier les matériaux
hétérogènes au travers desquels la
chaleur se propage en même temps par
conduction, convection et rayonnement,
la donnée de la conductivité thermique
n'est pas suffisante. Pour les qualifier, on
utilise une valeur de résistance
thermique déduite d'essais en
laboratoire.

Comme la conductivité thermique d'un


matériau varie en fonction de la
température et de l'humidité de celui-ci,
les documentations technico-
commerciales des matériaux doivent
préciser, avec la valeur de λ, les
conditions dans lesquelles cette valeur
est obtenue. Cette valeur λ déclarée doit
être éventuellement certifiée par un
agrément technique.

D'autre part on opère une distinction


entre λi, la conductivité thermique d'un
matériau dans une paroi intérieure ou
extérieure lorsque le matériau est
protégé contre l'humidité due à la pluie
ou à la condensation, et d'autre part λe,
la conductivité thermique du même
matériau non protégé contre cette
humidité.
Normes et règlements M…

En France, ont été promulguées des


normes successives pour inciter les
bâtisseurs à une isolation thermique
maximale des bâtiments. Par exemple, la
norme RT 2000 puis les normes RT 2005
et RT 2012.

Conductivités thermiques de
quelques matériaux
 Article détaillé : Liste de conductivités
thermiques.

Ordres de grandeur des conductivités


thermiques de quelques matériaux :
Métaux M…

Les métaux ont des conductivités


élevées, entre 20 et 418 watts par mètre-
kelvin.

Conductivité thermique
Matériaux (W·m−1·K−1)
à 20 °C

Acier doux 46

Acier inoxydable (18 % chrome, 8 % nickel) 26

Aluminium (pureté de 99,9 %) 237

Al-SiC 150-200

Argent 418[3]

Cuivre 390[3]

Étain 66,6

Fer 80[4]

Fonte 50

Or 317

Platine 71,6

Plomb 35[4]

Titane 20

Zinc 116

Pierre naturelle M…
Les pierres naturelles employées dans la
construction ont des valeurs de
conductivité thermique entre 0,15 et
3,5 W m−1 K−1.

Conductivité thermique Conductivité thermique


Matériaux (W·m−1·K−1) (W·m−1·K−1)
à 20 °C à 95 °C

Ardoise (parallèle) 2,50[5]

Ardoise (perpendiculaire) 1,4[5]

Basalte 2[5]

Calcaire (2 g/cm3) 1[5]

Craie 0,92[5]

Granite (2,8 g/cm3) 2,2[5]

Grès (2,2 g/cm3) 1,3[5]

Marbre 2,08 à 2,94

Mortier de chaux 0,87

Pouzzolane 0,15

Schiste

Terre M…
Conductivité thermique
Matériaux (W·m−1·K−1)
à 20 °C

Adobe (terre crue) 0,32

Brique (terre cuite) 0,84[3]

Terre (sèche) 0,75

Bois M…

À densité et humidité égales, le bois


résineux est plus conducteur que le bois
feuillu. Plus un bois est dense et plus il
est humide, plus il est conducteur.

Conductivité thermique
Matériaux (W·m−1·K−1)
à 20 °C

Bois de chêne 0,16[5]

Bois de noyer (0,65 g/cm3) 0,14[5]

Bois de pin (parallèle aux fibres) 0,36

Bois de pin (perpendiculaire aux fibres) 0,15

Contreplaqué 0,11 - 0.15[5]

Aggloméré 0,15[5]

Isolants M…
En termes de bâtiment, selon la norme
française RT2012, un matériau est
considéré comme isolant si sa
conductivité thermique est inférieure à
0,065 watt par mètre-kelvin[6].

Conductivité thermique
Matériaux (W·m−1·K−1)
à 20 °C

Carton 0,11

Laine 0,05

Laine de roche 0,033 - 0,040[7]

Laine de verre 0,030 - 0,040[7]

Liège 0,04[3]

Mousse de polyuréthane rigide (PUR) 0,025

Mousse phénolique 0,018 - 0,025

Ouate de cellulose 0,041

Paille (perpendiculaire aux fibres) 0,04

Fibre de bois 0,036 - 0,042

Perlite 0,038

Polystyrène expansé (EPS) 0,036

Polyisocyanurate (PIR) 0,023

Roseau (en panneau) 0,056

Dérivés du carbone M…
Si le diamant a une conductivité
thermique très élevée, celle du diamant
bleu naturel l’est encore plus. On peut
donc examiner des gemmes pour
déterminer si elles sont de véritables
diamants en utilisant un appareil de
contrôle de la conductivité thermique, un
des instruments standard utilisé en
gemmologie. Les diamants de n'importe
quelle taille paraissent toujours très
froids au toucher en raison de leur
effusivité thermique élevée.
Conductivité thermique
Matériaux (W·m−1·K−1)
à 20 °C

Carbone vitreux (1,5 g/cm3) 0,05[8]

Charbon de bois (0,2 g/cm3) 0,055[5]

Diamant 1 000-2 600

Graphène 4 000-5 300

Graphite sens plans graphène 1 950[9]

Graphite sens plans graphène 5.7[9]

Graphite polycristallin 80[10]

Houille (1,35 g/cm3) 0,26[5]

Matériaux divers M…
Conductivité thermique
Matériaux (W·m−1·K−1)
à 20 °C

Air (100 kPa) 0,0262

Amiante 0,16778

Silicium 149

Asphalte (2,1 g/cm3) 0,06[5]

Bakélite (1,3 g/cm3) 1,4[5]

Béton (parpaing) 0,92[3]

Dihydrogène (gaz) 0,18

Dioxygène (gaz) 0,027

Eau 0,6[3]

Époxy 0,25

Hélium (gaz) 0,14[4]

Quartz 6,8-12

PVC (polymère) 0,17

Nitrure de silicium 20-65

EPDM 0,36 à 0,40

Verre 1,2[3]

Cuir 0,088 [réf. nécessaire]

Conductivités thermiques
des éléments
Conductivité thermique des éléments en
W·cm−1·K−1 à 27 °C[11] :
H
Li Be
0,847 2
Na Mg
1,41 1,56
K Ca Sc Ti V Cr Mn
 
1,024 2 0,158 0,219 0,307 0,937 0,0782
Rb Sr Y Zr Nb Mo Tc
 
0,582 0,353 0,172 0,227 0,537 1,38 0,506
Cs Ba Lu Hf Ta W Re
*
0,359 0,184 0,164 0,23 0,575 1,74 0,479
Fr Ra ** Lr Rf Db Sg Bh
  ↓
La Ce Pr Nd Pm
  *
0,134 0,113 0,125 0,165 0,15
Th U Np
  ** Ac Pa
0,54 0,276 0,063

Notes et références
1. G. W. C. Kaye et T. H. Laby, Table of
Physical and Chemical Constants,
Éditions Longmans Green, Londres,
1966
2. A. Degiovanni, Diffusivité thermique
et méthode flash, vol. 185, Revue
générale de thermique, 1977, p. 420-
422
3. J. Ph. Pérez et A. M. Romulus,
Thermodynamique, fondements et
applications, Masson, p. 155
4. Harris Benson, Physique 1 :
mécanique, Saint-Laurent, Québec,
Éditions du Renouveau Pédagogique,
2004, 3e éd., p. 519.
5. Handbook of Chemistry and Physics
6. Dimitri Molle et Pierre-Manuel Patry,
RT 2012 et RT existant :
Réglementation thermique et
efficacité énergétique, Éditions
Eyrolles, 15 septembre 2011 (lire en
ligne )
7. « Recherche multicritères » , sur
ACERMI (consulté le
7 septembre 2017).
8. « Carbone vitreux pour l'industrie et
le laboratoire » , sur Mersen
9. « Propriétés et structure des
céramiques » , sur IUT en ligne
10. « Graphite polycristallin —
Conductivité Thermique » , sur
Netsch
11. (en) David R. Lide, CRC Handbook of
Chemistry and Physics, CRC Press,
2009, 90e éd., 2804 p., Relié
(ISBN 978-1-420-09084-0)

Voir aussi

Articles connexes M…

Conduction thermique
Capacité thermique
Coefficient de transfert thermique
Résistance thermique

Liens externes M…

Conductivité thermique d'un matériau


(λ) sur le site energieplus-lesite.be de
Architecture et Climat de l'Université
catholique de Louvain.
Conductivité thermique des matériaux
(λ) sur le site energieplus-lesite.be de
Architecture et Climat de l'Université
catholique de Louvain.
Attestations de valeurs lambda sur un
site de Plate-forme Maison Passive
asbl.

Portail de la physique
Portail des sciences des matériaux
Portail de la chimie
Portail de l’énergie
Ce document provient de
« https://fr.wikipedia.org/w/index.php?
title=Conductivité_thermique&oldid=165425759 »
.

Dernière modification il y a 2 mois par HEP

Le contenu est disponible sous licence CC BY-SA


3.0 sauf mention contraire.

Vous aimerez peut-être aussi