Pfe GM 0505
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Pfe GM 0505
REPUBLIQUE DU SENEGAL
UNIVERSITE CHEIKH ANTA DIOP DE DAKAR
Cr ~ 0505
Amadou WATI
M. Gaskel GNINGUE
-
PRo,ln DEFIN D't;T(IIJI> PRt;SENTf:l'AR : L.~M[I\E N[)AO & A'IIAOOl' WATT ESP/CCIS (,Wlu,,::-r 2007)
DEDICACES
.Jtmadou W.JtTT
Je dédie ce travail à :
./ :Mes yarents ;
./ :Mon onde .Jtbdou{O. W.JtTT;
./ :Mon oncie .Jtmadou :M 'DIMLO ;
./ Mes frères et sœurs;
./ La [amiûe Diallo à 'Dakar;
./ La [amiûe Watt à Thiès,
Lamine :N'D.Jto
Je dédie ce travail à :
./ :Mon Père;
./ :Ma Mère;
./ :Monfrère, J{abibou :N'D.Jto.
Pour tous les sacrifices qu'ils ne cessent de déployer pour que je réussisse.
REMERCIEMENTS
Au terme de notre projet nous aimerions adresser nos sincères remerciements à tous ceux qui
~ M Gaskel GNINGUE, professeur à l'ESP pour son aide précieuse, ses conseils avisés
et sa disponibilité,
~ M Banda NDOYE professeur à l'ESP pour son aide, son soutien et sa disponibilité
~ M Matar NDIAYE chef de la maintenance à la CCIS qui n'a ménagé aucun effort
Nos remertciements vont également à toutes les personnes, qui nous ont de près ou de loin
soutenue.
ii
1
PRo.mI DE FIN D'ÉTCDE PR~SE'iTÉ l'AR; L....., tI';E è\DAO & .\MADOC W.~TT ESPlCCT& I..JULUT 2007.1
SOMMAIRE
Le but de ce projet consiste à étudier une installation de groupe de production d'eau glacée à
la C.C.I.S. Pour une bonne gestion de la maintenance, une base de données sera proposée à
l'usine. Pour les industries chimiques et pétrochimiques, le froid intervient dans des
procédés comme: liquéfaction du chlore, rectification de l'éthylène en vu de son utilisation
dans la fabrication des matières plastiques. Cette étude va permettre à l'entreprise d'une part
de diminuer considérablement d'une part sa consommation d'energie et d'autre part d'avoir
un système de gestion informatisé pour la maintenance. Dans l'usine de la CCIS, l'eau glacée
est utilisée pour le refroidissement des tuyaux PE et PVC à la sortie des extrudeuses.
Dans la première partie, nous faisons un rappel sommaire des modes de production de froid,
et ensuite à la présentation et à l'analyse du système actuel par un diagnostic du circuit.
Et enfin dans la dernière partie nous mettons en place une base de données pour la
maintenance avec l'aide du l'ogiciel MySQL, que nous avons choisi à cause de sa fiabilité et
de sa gratuité.
La méthodologie utilisée dans cette étude pourra être adaptée à n'importe quelle installation
nécessitant l'utilisation d'un groupe frigorifique. Pour l'exploitation optimale de la machine,
il est important d'effectuer les opérations de réglage, d'entretien et d'inspection énoncées
dans la base de données en respectant les procédures prévues dans cette dernière ainsi que les
indications relatives aux remplacements des pièces et des équipements partiels.
iii
"IIOJF;T /lE nr. o'I,TlmE !'Rf;SENTf; l'AR : L.~MlrŒ NDi\O & AMAOOl.i WA TT ESPiens (.JUlLLET 2007)
iv
PRO.Jn DE FlN D'imiDEJ'R~;SENTf. PAR: LAMINE Nf)AO & AMAllOt! WATT ESP/CCIS (JIJII.L1;T 2007)
PARTIE II 53
CHAPITRE V : LA CREATION DE LA BASE DE DONNEES POUR LA
MAINTENANCE , 54
V.l GENERALITE SUR LA MAINTENANCE 54
V,Ll L'importance de la maintenance dans l'entreprise 54
V,L2 Les différents types de maintenance 55
V.l.2.1 La maintenance corrective 55
V.1.2.2 La maintenance préventive 55
v'l.3 Lesformes organisationnelles de la maintenance 55
V,lA L'organisation des opérations de la maintenance 56
V.l.4.1 Planification des travaux de maintenance 56
V.1.4.2 Gestion des pièces de rechange 56
V.1.4.3 Tableau de bord de la maintenance 57
v'l.5 Les coûts de maintenance 58
v'l.6 L'informatique et la maintenance 58
V.1.6.1 Les options de mise en œuvre d'une GMAO 58
V.1.6.2 Les types de système de GMAO 59
V.l.6.3 L'installation d'une GMAO 59
V.I.6.4 Les avantages 60
V.2 GENERALITE SUR LES BASES DE DONNEES 61
v'2.l Objectifs et avantages des bases de données 61
v'2.2 Les bases de données relationnelles 61
v'2.3 La conception des bases de données 62
V.2.3.I Cycle d'abstraction de conception d'une BD 62
V.2.3.2 Perception du monde réel et capture des besoins 62
V.2.3.3 Elaboration du schéma conceptuel 62
V.2.3.4 Conception du schéma logique 62
V.2.3.5 Affinement du schéma logique 62
V.2.3.6 Elaboration du schéma physique 63
V.2.3.7 La maintenance 63
v'2.4 Le modéle Merise 64
V.3 ANALYSE CONCEPTUELLE DUSYSTEME DE GMAO DE L'USINE DE LA C.C.I.S 64
v'3.l Etude du SGMAO existant 65
v'3.2 Présentation du logiciel 65
v'3.3 Les faiblesses du système actuel 65
V.4 PRESENTATION DES BESOINS DU SERVICE DE LA MAINTENANCE EN TERMES DE GESTION 66
1
1'1l0.fKI" DE F(,~ ()'i:TliDE J'Rf;SENTf: "AR : L,'~IINE NDAO.'I< AMAllOl' WATT ESI'/CCIS (.JUIl.LET 2(0 7 )
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS 87
BIBLIOGRAPHIE , 88
ANNEXES " 90
vi
PRO,JET DI; Flr; D'(,nJlJE l'R.;SENTF: l'AR : L~MIr;E N/)AO & AMA()O!' WATT ESPiens (.flJlI.LET 2(07)
vii
PRO.IET DE FIN D't,TlIOI, PRÉSE,~É J'AR: LAl\>IINE NIM.O & AMADOl' \VA TT ESP/CCIS (,)I)II.LET 2007]
Tableau 4.3 : Caractéristiques des conduites dans la série des tubes en PVC non plastifié 37
Tableau 4.5 : Calcul des courants de court circuit par la méthode du logiciel Ecodial 3 48
viii
1
ESl'iCCIS (JUILLET 2007)
ix
1
ESPiens (.JIILl.EI' 20(7)
HCFC : hydrochlorofluorocarbone
PE : Polyéthyléne
x
l'RO.JET DE .'(~ D'ÉTlIllE PRf:SENTf: ('AR: L.UUNE NI>AO & AMAOOlJ WATT ESPiCCIS (.JlJll.l.ET 2007)
xi
f1k(Ul< 1 PV l<IN l.fl<'ll Vl<' f--'RVM'\ 1 V "':\1-::; I,..\ \'ll'\tf :"IlAO& '-\1\1·\1)01 \\.A 1'1 E~PilTIS(.JIIIL'·1 21111")
INTRODUCTION GENERALE
De nos jours, avec la flambée du prix de l'énergie, qui influe beaucoup sur les coûts
d'exploitation des industries, les entreprises doivent recourir à des méthodes alternatives
visant à réduire considérablement leurs consommations d'énergie. Cette réduction serait vaine
sans un bon suivi des équipements et des installations. C'est dans ce contexte industriel que
nous nous sommes lancés dans l'étude d'une installation frigorifique et d'un système de
gestion de la maintenance à la c.c.I.S.
Pour le cas d'espèce, la production d'eau glacée pour le refroidissement des tuyaux
constitue une charge importante dans la consommation d'energie de l'entreprise. Cette charge
est causée par un mauvaise isolation du réseau de distribution et par une installation dont la
conception est defectueuse.
Pour remédier à cette situation, nous proposons une nouvelle configuration, basée sur le
dimensionnement de l'installation, une bonne isolation des conduites, qui offre un niveau de
consommation acceptable. Cependant, pour une meilleure gestion de la maintenance nous
présentons une base de données.
Dans un premier chapitre, nous commençerons par l'analyse du système actuel, qui nous
permettra par la suite de proposer quelques solutions d'amélioration. Nous procéderons
d'abord à un rappel concernant la production de froid et nous étudierons ensuite le système
en déterminant la charge réelle de l'installation.
En deuxième lieu, nous préconiserons des mesures sur le système, notamment une
meilleure configuration, une bonne isolation des circuits et des consignes pour réduire la
consommation d'énergie. Après cela, nous aborderons l'installation du groupe qui va
constituer le dimensionnement du circuit électrique et celui de l'eau glacée.
1
PIlO.IET 1)1;: FIN Il'f:T1.iIJE l'IU;SENTf: "AR: L\MINE NDAO & AMAllO\.' WATT ESP/CCIS (JUll.LET 2007)
PARTIE 1
1
PIIO.ŒT DE FIN n'in'I)/)/:: l'R~:SENTF; l'AR : L~M1NI:: NDAO & AMADl)\: WATT ES\'/CCIS (.J\.1Il.l.ET20(7)
Chapitre 1 : GENERALITES
Créée en 1972, la C.C.I.S est une structure familiale qui se situe sur la route de Front de
terre à l'angle de la rue du Service géographique à Dakar Hann au Sénégal. C'est une société
anonyme au capital de 1 969 550 000 FCF A.
La C.C.r.S est une compagnie transformatrice de polymères. Elle produit une gamme
complète des tuyaux PVC et des tuyaux PE du diamètre 20mm au diamètre 400mm pour
l'irrigation, l'assainissement, les télécommunications, etc. Elle produit aussi la matière
utilisée dans la fabrication des chaussures en plastique (granulation) et dispose également
d'un département Injection.
Bien qu'étant présente sur le marché local, la C.C.r.S exporte également vers des pays de la
sous région tels que le Mali, la Cote d'Ivoire, la Mauritanie, la Guinée Conakry, la Sierra
Léone, le Cap Vert, etc. C'est une compagnie certifié Qualité ISO 9001 Version 2000 et
l'Environnement ISO 14001 Version 1996.
1
PRO,JET 1>1; n~ Il'i:n;Dl:: PRF;SENÜ; l'AR: LAMINE NIMO & AMAllOl' WATT f:SI'/CC IS (.Hill,LET 20(7)
l r Tireuse ..J
Marqueuse scie
l l J
Tulipeuse (PVe) ou
[ Stockage l Contrôle
enrouleur (PEHD)
J qualité
1.1.3 L'injection
prermere
....
...
injecter
1
PRO.JET"" ~'I~ Il't'rl)/)'' PRF;SENTF; PAR: LAMt~E ]'\iDAO & AMAIlOl' WATT ESI'/CCIS (JI.'ILLI'T 2007)
1.1.4 La granulation
Le froid industriel est obtenu essentiellement par deux modes de production qui sont:
Notre étude portera sur les groupes de production de froid par compression, qui sont les plus
répandu. Cependant il faut noter l'existence de groupe de production de froid par absorption.
1
PRO.JET ilE FIN l)'l:l,JI)[ l'RI~SENTf; l'AR : L~!\1LN[ NDAO & ""Al)OI' WATT ESP/CCIS (-/UU.ET 2()(l7)
La nécessité de faire circuler de façon continue, d'une part, la solution pauvre en réfrigérant,
depuis le générateur à température élevée jusqu'à l'absorbeur à basse température, et d'autre
part, la solution riche en réfrigérant, à contre-courant, suggère l'installation d'un récupérateur.
Ce dernier est un simple échangeur de chaleur méthodique qui minimise les pertes de chaleur
associées au transfert de fluide entre les deux composants. En l'absence de récupérateur, la
charge thermique sur la source de chaleur et le rejet thermique associé à l'absorbeur seraient
augmentés, d'où une diminution du coefficient de performance du système. Le système de
réfrigération par absorption comprend cinq (5) échangeurs de chaleurs et une pompe, ainsi
que la tuyauterie et la régulation nécessaires.
Les performances d'un réfrigérateur par absorption sont déterminées par les températures de
ses différents composants. Les températures du condenseur et de l'absorbeur dépendent
essentiellement de la température disponible pour le rejet de chaleur. La température de
l'évaporateur doit être suffisante pour produire le refroidissement et les effets de
déshumidification voulus dans l'espace à refroidir avec les trois (3) températures prescrites, la
température du générateur et par suite la température de la source de chaleur nécessaire pour
un fonctionnement convenable sont fixées par des considérations thermodynamiques.
Deux combinaisons, absorbant réfrigérant, ont déjà trouvé un emploi étendu dans les
applications de conditionnement d'air:
1
f:SI'/CClS (.IPlLLET 20(7)
Avantages
Les possibilités de pannes sont presque nulles. Si un déséquilibre se produit dans le système
par suite d'entrainement d'eau résultant d'un chauffage trop poussé, ou s'il y a obstruction
dans une tuyauterie de faible diamètre par dépôt de produit utilisé contre la corrosion
intérieure, il suffit de renverser l'appareil pendant quelques minutes pour obtenir à nouveau
un bon fonctionnement. Mais ces incidents sont extrêmement rares et ne doivent pas être pris
en considération.
Enfin, cette machine peut rendre de grands services là où on ne peut disposer de courant
électrique, ou lorsqu'on veut réaliser des économies d'énergie électrique avec une
disponibilité d'énergie thermique bon marché.
lnconvénien ts
A rendement fonctionnel égal, la consommation d'énergie est plus élevée pour ces
machines que pour celles à compression. Ceci a de l'importance pour les machines à « froid
domestique ». En ce qui concerne les machines de grande puissance il est souvent possible
d'utiliser des sources de chaleur économique comme la vapeur d'échappement à basse
pression provenant de turbine à vapeur par exemple.
La méthode de réfrigération par compression fait appel à une substance que l'on appelle
réfrigérant. C'est une substance chimique dont la température d'ébullition à la pression
atmosphérique est inférieure à la température ambiante. Aujourd'hui, l'utilisation de ces
réfrigérants est remise en question à cause de leurs effets sur la couche d'ozone. Certains
seront retirés du marché pour être remplacés par de nouveaux composés moins agressifs vis-
à-vis de la couche d'ozone.
1
ESI'/CCIS (,WH,LET 2007)
En effet sans compresseur, il est impossible de porter les vapeurs de fluide frigorigène sortant
de l'évaporateur d'un bas niveau de température (et donc de pression) au niveau de
température (et donc de pression) plus élevé nécessaire pour qu'il puisse y aVOIr
condensation, c'est-à-dire évacuation de chaleur vers le milieu ambiant (eau ou air).
Ce n'est donc pas sans raison que le compresseur frigorifique est considéré comme le cœur de
toute installation frigorifique à compression de vapeur.
La façon dont le fluide frigorigène est comprimé dans le compresseur permet de classer celui-
ci en deux grandes catégories :
Le condenseur
12
PRO.lET rn: Ft~ O'(:TI)/)E j'Rii,SENTFi 1',\1\: LAMINE NDAO ,1'< .\MAOOl' WATT t:SI'/CClS (.IUl.tET 2007)
Enfin, dans la troisième zone, c'est-à-dire côté sortie, il y a sous refroidissement du liquide,
c'est-à-dire de liquide saturant, donc en équilibre avec une bulle de vapeur (de titre x=O), le
fluide frigorigène passe à l'état de liquide homogène, à une température inférieure à la
température de condensation.
Nb: quelle que soit la zone du condenseur dans laquelle on se trouve, la pression reste
constante et égale à la pression correspondante à la pression de condensation.
Le détendeur
Son rôle est de réduire la pression du fluide frigorigène avant de l'introduire dans
l'évaporateur. L'alimentation en fluide frigorigène devra être assurée par un organe dont le
débit, réglé automatiquement, doit répondre à tout instant au besoin de l'évaporateur,
besoin dépendant uniquement des apports calorifiques extérieurs à celui-ci. Nous disposons
pour ce faire :
13
1
PRO.IKI' m: FL~ l)'j,TI)J)E PRf:SENTF: PAR: LAMINE NDAO & AMAno..' WATT ES\'/CC\S (.II'ILLET 20(7)
Le bac est constitué d'une cuve en acier inoxydable renforcée d'un châssis mécano-soudé
supportant la cuve et les différents éléments tels que pompes, marchepieds, etc.
D'une longueur totale de 6 mètres, la cuve est séparée en deux zones totalement autonomes.
• Fonctionnement du refroidissement
Chaque zone possède un circuit de recirculation d'eau indépendant. L'eau est puisée en fond
de cuve, sous un filtre, par la pompe de recirculation. Via un système à deux filtres by-pass
par zone, l'eau est alors filtrée avant d'être réinjectée dans la cuve à travers les buses
d'aspersion. Le système de filtration de type by-pass permet à l'opérateur de nettoyer un
filtre commençant à être colmaté sans avoir à stopper l'aspersion. Le différentiel entre les
manomètres d'entrée et de sortie montés sur chaque filtre permet à l'opérateur de détecter un
éventuel colmatage des filtres. Chaque zone est alimentée en eau à travers une vanne quart
(1/4) de tour (annxe A21).
• Fonctionnement du vide
Les deux (2) bacs sont totalement indépendants, chacun étant doté de sa propre pompe à vide
à anneau liquide. Chaque pompe à vide permet de contrôler l'arrivée d'eau dans l'anneau
15
PRO.JKI' ilE FIN Il'[;TIJIlE PRf;SENT~; "AR; LAMINl:: N1HO & AMADOI' WATT ES\'/CC\S (JULI..ET 20(7)
liquide, Le réglage du vide s'effectue dans chaque zone par une vanne située sur le dessus du
bac. Les valeurs de vide de chaque zone sont affichées sur un manomètre.
Les charges sont constituées essentiellement par les dégagements ou gains de chaleur et
d'humidité à l'extérieur des bacs et des bassins de stockage de l'eau froide. Nous allons
considérer dans nos calculs que ces dégagements sont constants pendant la période
d'occupation à l'intérieur de l'usine.
Dans le souci d'avoir une idée sur la puissance actuelle du groupe, afin d'estimer la quantité
d'énergie consommée par ce dernier, nous calculons les différentes charges thermiques du
système. Pour une meilleure précision de nos calculs, en tenant compte des données, de la
configuration, nous scindons ce système en cinq sous systèmes :
(2.1)
16
1
PROJET l)l,n~ n'ÉTl)IJE PRF;SW'iTF; PAR: LAMINE NDAO & AMAnOl' \V ATT ES\'/CC\S (JI'ILU,T 2007)
Après la détermination des charges thermiques dans les différents soussystèmes, nous
calculons la charge globale Qr, qui représente la somme de ces dernières.
QT=368116.767 W
Qr=386522.606 W
Qr = 386.52 kW
La puissance du groupe étant de 484 kW, nous constatons que le groupe est surdimensionné,
ce qui entraîne une consommation d'énergie conséquente. La facture d'énergie électrique qui
est estimée à environ 21,954.300 en moyenne, représente cependant plus de 45% des charges
d'exploitations de l'usine.
23
1
PllOJKf /JE FIN D'(:TI!/)J,: l'Rf;SE.~Tf; l'AR ; L~MINE NJ>r\O & AM,"1l01.' WATT ES\'/CCIS (.WILl.ET 2(07)
Le froid est d'autant plus couteux à produire que la température à laquelle il est produit est
basse. Il est donc indispensable d'économiser le froid produit en garantissant les enceintes
refroidies contre les entrées de chaleur, Pour réduire la consommation d'énergie dans les
installations frigorifiques, deux conditions doivent être remplies, En premier lieu, les
installations doivent être bien dimensionnées ; cette partie est du ressort des frigoristes qui
doivent en tirer le meilleur rendement. En second lieu, l'installation doit fonctionner
efficacement dans le temps; sur cette question de pérennité, c'est l'utilisateur qui est en
première ligne,
Des économies d'énergie dans les installations frigorifiques sont souvent possibles: cela peut
commencer par la mise en œuvre d'actions simples. Mais avant de se lancer, il est impératif
de faire un diagnostic de l'installation.
24
1
PRO.JET IJE FL\ Il'(:1TIJI: l'IU;:SENTf; ('AR; L\MINE ND.\O "" AMAIlOI- \V i\TT ESI'/CCIS (.JULtE'!' 20(7)
Après avoir étudié le système existant, un certain nombre de problèmes ont été soulevés.
Cependant des solutions seront proposées afin de minimiser les pertes, dans le but d'avoir un
fonctionnement optimal du système. Ainsi ces solutions seront abordées comme suit:
Dans les secteurs de l'industrie comme la C.C.LS, la production de froid représente un poste
de dépense important pouvant aller jusqu'à 50 % de la facture d'électricité.
Pour réduire la consommation d'énergie, deux pistes doivent être explorées:
- dès le départ les installations doivent être bien dimensionnées par le frigoriste qui
doit en tirer le meilleur rendement,
- ensuite, l'utilisateur doit assurer la pérennité d'un fonctionnement efficace dans le temps.
Des économies d'énergie dans les installations frigorifiques sont souvent possibles. Un
diagnostic de l'installation permettra de mettre en évidence les gisements d'économies liés à
la production et à l'utilisation du froid en milieu industriel et d'envisager ensuite les actions à
mettre en œuvre en fonction de leur coût et de leur rentabilité.
Pour remédier à cette augmentation d'énergie nous proposons trois étapes fondamentales.[23]
25
1
PROJET I>/::.-t" 1)'(:TI)/)E l'Rf;SENÜ; l',''R: L'MINE N[MO & AM,"DOI \\,\'1''1' ESPiens (.lI 'Il.LET 2(07)
Le froid est coûteux à produire d'où la nécessité de bien isoler les parois et les conduites.
L'efficacité isolante d'un matériau varie en raison inverse de masse volumique, On doit
employer des matières de faible densité, ayant une très faible conductibilité thermique, non
26
1
PRO.JET /)1; t'IN ()'(;TJ)J)J:: PRf;SENÜ; l'AR: LAMl!';E Nf)t\O & t\MA()()I,· WATT ESI'/CCIS (.J"ILLET 2007)
D'après les valeurs ci-dessus, la série Le 1400 est la plus adaptée pour cette installation
(annexe AIS).
, .
Le débit d'eau glacée: Qc = PfcXO.86
!J.T Xk
~P : résistance au passage de l'eau suivant courbe (annexe A16), pour la valeur du débit
corrigé (Qc) correspondant.
32
ES!'!CClS (.IUU.ET 20(7)
Introduction
Le groupe CIATCOOLER série LC est livré complètement assemblé et prés à être installé
dans le local de destination y compris le raccordement des tuyauteries, le raccordement des
appareillages d'automatisme et enfin le raccordement électrique des appareillages de
fonctionnement et de sécurité au tableau de commande.
Le groupe doit être installé sur un socle en béton de dimension 4m*4m, placé à une certaine
hauteur. Il est necessaire de prévoir un dégagement de 2 m tout autour de l'appareil pour le
passage d'air au condenseur et pour effectuer les opérations de service et d'entretien (annexe
A17).
Aucun obstacle ne doit géner l'aspiration de l'air sur la batterie et au refoulement des
ventilateurs. Etudier avec soin l'implantation du groupe, choisir un emplacement compatible
avec les éxigences de l'environnement (niveau sonore, intégration dans le site, etc.).
33
1
PRO.IET DI:: FIN D'i:'I'ODJ:: "RESENTf. ['AR: l.AMINE NIl;\O & AMADO\.' WATT ESPICCIS (.luLLEr 20(7)
L'entreprise CCIS dispose d'un transformateur de 800 kVA et d'un groupe électrogène de
secours de 630 kVA qui alimentent le parc machine (extrudeuses, marqueuses, tireuses, scies
etc.), l'éclairage, le groupe d'eau glacée, deux compresseurs et six pompes centrifuges.
Cependant dans notre étude, nous nous limitons au circuit comportant le groupe d'eau glacée,
les compresseurs d'air et les pompes dont les puissances sont respectivement 119 kW, 75kW
et 7.5 kW.
38
PRO,JET /JE FI:'; Il'f:TU/JE l'RlisENÜ; l'AR: LMlINr,; l'DAO & AMAIl(Jl' WATT f:S!'!( 'ns (,IULLET 20117/
Ir
choix du
dispositif
deprotection
sen a TT
40
1
Pno.JET DE ~17'; Il'ETI)JJ[:: l'Rf:SrSrr "AR : LA~tlM: ND r\() & A \1 A1l0\. WXrT ESP/cClS (.JI:n.LET 2007)
Pour les disjoncteurs réglables, il est conseillé de choisir Iz égal ou juste supérieur au calibre
ln nominal de l'appareil de protection. Les conséquences d'un réglage thermique Ir inadapté
ou d'une évolution du courant d'emploi lB seront sans risque.
Pour prendre en compte les conditions dans lesquelles est installée la canalisation des facteurs
de correction sont appliqués. Ils tiennent compte du mode de pose, du type de câble mono ou
multiconducteur, de la nature de l'isolant et de l'âme des conducteurs, du regroupement des
circuits, et de la température ambiante.
43
PIlO,IKf DE t'IN Il'i::TtHJE PRÉ;SElliÜ: l'Ail: LAMINE NDAO & AMAllïJl' WATT 1,:SI'ICCIS (,II'ILLET 2(07)
Si les câbles sont disposés en plusieurs couches il faut appliquer à K2 un facteur multiplicatif
du tableau Tl (annexe A3). En triphasé, le nombre de circuits à considérer est le nombre total
de lignes triphasées placées dans la canalisation.
2 câbles multiconducteurs
Simple couche sur tablette perforée.
K2=0.88
IV.3.2.3 Facteur de correction lié à la température ambiante K3 :
La température ambiante et la nature de l'isolant ont une influence directe sur le
dimensionnement des conducteurs. La température à prendre en compte est celle de l'air
autour des câbles (pose à l'air libre), et celle du sol pour les câbles enterrés.
Choix du facteur de correction K3 (annexe AS)
44
1
PROJJ::r nE t'IN l)'i:TIJIJI::PRf;SENTF; PAR: LAMINE NDAO & AMADOI' WATT t:S\'/CC\S (JI.'IU.J::T20(7)
Quand tous les facteurs spécifiques de correction sont connus, on calcule le coefficient
global K de correction égal au produit de tous les facteurs spécifiques,
K = Ki * K2 * K3 [6] (4.8)
K=O.91
1z 1 -- Iz [6] (4.9)
K
Iz = ln = 400 V
t; = 439. 56V
La connaissance de Iz' permet alors de se reporter aux tableaux de détermination des
courants admissibles (annexe A6) qui permet de déterminer la section nécessaire (en mm"),
S=95mm2
45
1
1 PRO.lET HE n~ ll'i::Tl)/)J, l'Rf;SENTf; PAR: LAMINE N1>AO & AMAllO!' WATT ESI'/CCIS (.JI-n.LET 2(07)
Nous considérons que les charges de l'installation sont équilibrées et que le taux
d'harmoniques est inférieur à 15%.
Choix de la section section du câble (annexe A7)
Si la chute de tension est supérieure aux valeurs limites admises, il y a lieu d'augmenter la
section des conducteurs jusqu'à ce que la chute de tension devienne inférieure aux valeurs
prescrites.
Cette chute de tension peut-être déterminée par calcul ou directement à l'aide de tableau.
En triphasé équilibré (avec ou sans neutre), elle est de :
en pourcentage on a
lOOLlU
[7](4.11);
R = 22,Sn.mm
2/km
[7](4.12)
S(section en mm 2 )
pour le Cuivre.
Is : courant d'emploi en ampère (A).
L : longueur du câble en km.
R : résistance linéaire d'un conducteur en a/km,
R : négligeable pour S > 500 mrn-.
X: réactance linéique en a/km; négligeable pour S < 50 mm-.
Comme il n'y a pas d'indication sur la réactance linéique, nous prenons X = 0,08 a/km.
Un : tension nominale entre phase (volt).
<I> : déphasage du courant sur la tension.
100LlU = O. 5%
Un
46
PRO,JETilE FIN l)'tn;m: l'RF;SENTi: l'AR: L'MINE NDAO & AMADOI.'\Vi\TT ES)'!CClS (,Il'Il,LKJ' 2007)
Cette chute de tension est inférieure à la limite admise qui est de 8 %, donc la section du cable
choisie est bonne (annexe A8).
R, et X, exprimées en mn
Important:
• Un = tension nominale entre phases du transformateur (400 V)
• m = facteur de charge à vide = 1,05
• c = facteur de tension = 1,0
47
1
ESPiens (.MLl.E!' 2()1)7)
Liaison transfo 30 30
R3 = 22.5 x 3 x 185 X3 = 0.13 x 3
disjoncteur
3*(1 *185mm 2 ) Cu
R3 = 1.21 X3 = 1.3
par phase L=30 rn
Tableau 4.5 : Calcul des courants de court circuit par la méthode du logiciel Ecodial 3
48
1 PR(I.!t;T m: FIN ll'f::T1.1/)J:: PRF;SJ::NTF: PAR: LAMINl:: NDAO & AMAll(Jl' WATT ESPiens (JUILLJ::T 2007)
49
PRO,JKr f)/, FIN O'tTl)J)E PRf;SENTF;PAR: LAMINE l'DAO & AMAOOl' WATT ESI'ICCIS (.WILLET 20(7)
[9] (4.14)
50
PRO,IET /lI:: FIN l)'i::TUIJE l'RI;SENl'E l'AR: LMlINE )'I;/)AO.(; AMAI)OI' WAlT ESPiens (.)liIl.LET ZO(7)
PARTIE II
53
1
PRO,JET /JE FIN (l't'rl)))I: PRf;SJ::NTf; PAR: l.MlINE Nf)t\O & AMADOI' WAIl' ESI'/CC IS (.JI'ILLET 20071
Définition
La norme AFNOR NFX 60-000 définit la maintenance comme l'ensemble des actions
permettant de maintenir ou de rétablir un bien dans un état spécifié ou en mesure d'assurer un
service déterminé.
La fonction maintenance qui a pour vocation d'assurer le bon fonctionnement des outils de
production, est devenue une fonction stratégique dans les entreprises. En effet, elle a été
souvent méconnue, sous-estimée voire méprisée et jugée trop coûteuse pour toutes sortes de
raisons qui aujourd'hui tiennent davantage de perceptions non fondées. Cependant, elle a pris
une importance croissante et se révèle de plus en plus une des fonctions clés de l'entreprise.
Il suffit de penser aux différentes tendances vers un degré plus élevé d'automatisation et une
complexité accrue des machines. Ceci ne fait que renforcer les besoins d'une entreprise
d'avoir une approche formelle et structurée concernant la fonction maintenance.
54
1
PROJET lm t'IN Il'tTIJlJE PR~;SI;NT.; PAR: 1..MIL'Œ)Ii/)AO & AMAIlOl.' WATT ES\'/CC\S (Ji.'lU.ET 2007)
./ la maintenance palliative
./ la maintenance curative.
C'est une maintenance effectuée à des intervalles de temps déterminés ou selon des
critères propres à l'entreprise ou au fabriquant de l'équipement (nombre d'heures
d'utilisation, nombre d'unités produites ... ).
Elle permet de réduire les risques qu'un outillage ne réponde pas au standard d'utilisation.
Elle se subdivise en deux catégories:
./ la maintenance systématique;
./ la maintenance conditionnelle.
V.1.3 Les formes organisationnelles de la maintenance
Pour répondre à ses attentes une entreprise peut choisir entre plusieurs modèles
d'organisation pour sa fonction maintenance.
La maintenance peut prendre plusieurs formes selon ses besoins spécifiques. Il existe
plusieurs modèles théoriques qui peuvent être adoptés tels quels ou alors qui peuvent être
combinés:
la maintenance centralisée
la maintenance décentralisée
la sous-traitance
l'organisation mixte
la concentration et la déconcentration
55
PRO.JET nr "'L~ l)'(:ITIl"'I'Rf:SI:Xrf; l',\R : L\\II"'" NIHO & AMAllOI WklT ESPiens (JULLET 20(7)
C'est une répartition annuelle homogène de toutes les activités de maintenance y compris
l'arrêt annuel.
56
PIlOJET /JE FIN n'i:Tl:lJE !'RisENTE f'.\Il: L\MLNE l'DAO & k\L~lJ()l' WATT ES\'/CC\S (.wILLEr 2007)
Ce tableau de bord est destiné à juger de l'activité de la maintenance par rapport aux objectifs
à moyen et à long terme. Les données qui le composent sont issues d'une consolidation des
données du tableau de bord de gestion courante. En fonction des objectifs assignés, il
présentera la valeur absolue des indicateurs pour la période considérée et leur évolution sur
les périodes précédentes.
Ce tableau de bord est un outil de pilotage destiné à une utilisation à court terme. Il est suivi
par les techniciens et agents de maîtrise qui sont ainsi responsabilisés et guidés dans les choix
de priorité. Il est mis à jour en temps réel par les actions et transactions quotidiennes de la
GMAü.
57
PllO.ŒT /JE t'IN Il'(;TU/JE t'R.;SJ::NÜ; "AR: 1..,v,IIM: NDAO & AMAll(H' WArr ESI'ICCIS (JPILLET 20(7)
La GMAO est un outil informatique structuré autour d'une base de données permettant de
suivre et d'organiser toute l'activité d'un service de maintenance, sous les aspects technique,
analytique et fonctionnel.
En mettant l'accent sur la gestion de la maintenance préventive, ce type de système permet de
maintenir une meilleure gestion des équipements, des ressources humaines et techniques
(stocks) et des dépenses budgétaires. Dans les pages qui suivent nous présenterons
successivement les types de GMAO et leur installation.
moindre pour l'exploitation à long terme. Cependant sa mise en œuvre requiert l'implication
de tous les acteurs et prend beaucoup plus de temps.
~ La standardisation : elle consiste en une adoption des progiciels disponibles sur le
marché. Ces progiciels sont souvent sous forme modulaire. Comme le souligne L.D Miles,
fondateur de l'analyse de la valeur après la deuxième guerre mondiale : « si je ne peux obtenir
un produit, je dois obtenir les fonctions du produit ». En effet, ici on n'achète que les
fonctions utiles pour l'entreprise; malgré qu'elle semble plus rapide, cette option présente des
inconvénients; par exemple le temps d'apprentissage des utilisateurs, l'apparition de
dysfonctionnement nés de la volonté d'adapter la structuration et le mode de fonctionnement
de l'entreprise au progiciel.
V.1.6.2 Les types de système de GMAO
• monoposte,
• multiposte client/serveur,
• multi-sites,
• ou globales intégrées dans un PGI (Progiciel de Gestion Industriel ou ERP).
Dans les trois (3) derniers cas, le système de GMAO doit s'intégrer dans un existant:
• PGI,
• logiciels de comptabilité,
• logiciels de gestion du personnel,
• logiciels de gestion clientèle.
59
PJW.ŒT ilE FIN Il't'l'UIlE l'RF:SENTF: "AR: L\MINE NDAO "" AMAI)()I' WATT ESI'/CCIS (.11.111.1..1:'1' 20(7)
L'implication des personnels concernés doit être forte. C'est principale à eux de définir leur
besoin:
maintenance préventive,
gestion des interventions,
gestion des stocks de pièces de rechange (état, achat, payement... ),
gestion de l'équipe,
gestion des formations.
Sept (7) conditions sont nécessaires à la réussite d'un projet de GMAO, il s'agit:
Selon une étude réalisée par l' A.F .I.M.E (Association Française de l'Industrie Mécanique) en
2003, les effets de la GMAO dans les entreprises l'ayant mise en œuvre sont les points
suivants:
60
l'no.JET DE FIN Il't:TUD!:: l'RliSI::~ n: l'AR: LIMINE NDAO & .\MAnOI' WAll' ESI'ICCIS (.n:ILLET 1007j
Il faut noter qu'il existe dans la fonction maintenance un autre type d'usage de l'informatique.
Il s'agit de la M.A.O (Maintenance Assisté par Ordinateur) appelé aussi «système expert ».
Ce dernier est surtout orienté côté opération de maintenance. En effet, c'est la mise en place
de système capable de diagnostiquer et de reconfigurer un équipement en cas de défaillance.
Un système d'information peut toujours être réalisé sans outil spécifique. On peut alors se
demander quels sont les objectifs et avantages de l'approche SGBD par rapport aux fichiers
classiques.
./ indépendance physique;
./ indépendance logique;
./ manipulation par des non informaticiens;
./ accès aux données efficaces;
./ administration centralisée des données;
./ non redondance des données ;
./ cohérence des données;
./ Partageabilité des données;
./ Sécurité des données.
Remarque: ces neuf points, bien que caractérisant assez bien ce qu'est une base de données,
ne sont que rarement réunis dans les SGBD actuels. C'est une vue idéale des SGBD.
61
PROJKI' /)E t'IN Il'l:Tl)/)E !'Rf;SENTf; PAR: l.AMINE l'DAO & AM AllO!.' WATT f:SI'ICCIS (.wILLEr 2(07)
Cette succession d'étapes est appelée cycle d'abstraction pour la conception des systèmes
d'information.
Cette étape consiste à étudier les problèmes des utilisateurs de la base de données et à
comprendre leurs besoins. Elle comporte des entretiens, des analyses, des flux d'information
et des processus métier. Comme il est difficile de comprendre le problème dans son ensemble,
le concepteur réalise des études de cas partiels. Le résultat se compose donc d'un ensemble de
vues ou schémas externes qu'il faut intégrer dans l'étape suivante. Ces vues sont exprimées
dans un modèle de type entité-association ou objet, selon la méthode choisie.
Cette étape est basée sur l'intégration des schémas externes obtenus à l'étape précédente.
Chaque composant est un schéma entité-association ou objet. Il résulte d'un modèle de
problème représentant une partie de l'application.
Une question qui se pose est de savoir si le schéma logique obtenu est un « bon schéma ». A
titre de première approximation, un « bon schéma» est un schéma sans oublis ni redondances
62
PROJKl /JE .1N Il'(,TIJIlf: PRf;SENTf; l'AR: LAMINE NIHO & AMAll()l' WATT ES\'/enS (nn.i.er 2(07)
d'informations. Pour caractériser plus précisément les «bons» schémas, le modèle relationnel
s'appuie sur la théorie de la normalisation, qui peut être avantageusement appliquée à ce
niveau.
Cette étape est nécessaire pour obtenir de bonnes performances. Elle nécessite la prise en
compte des transactions afin de déterminer les patterns d'accès fréquents. A partir de là, il faut
choisir les bonnes structures physiques: groupage ou partitionnement de tables, index, etc.
C'est là que se jouent le plus souvent les performances des applications.
V.2.3.7 La maintenance
Elle consiste à faire évoluer les applications en fonction des besoins des utilisateurs, de
l'environnement et des progrès technologiques.
Processus de
Phénomènes
conception de la
réels
base de données
Schéma
Processus de
création et de
Base de maintenance de la
nnnn6~ base de données
Figure 5.1 : Processus de conception dans le cycle de vie d'une base de données
63
FSP/('Cl:, (,JI,IIJ.E1 2(07)
La première version de MERISE date de Mai 1978 et fait suite à une consultation nationale
lancée en 1977 par le Ministère français de l'Industrie dans le but de choisir des sociétés de
conseil en informatique afin de définir une methode dl' conception de Système d'Information.
./ niveau conceptuel,
./ niveau organisationnel,
./ niveau logique,
./ niveau physique ou opérationnel.
La description des données du SI suit un formalisme de représentation précis, simple et
rigoureux. Ce formalisme a été normalisé au plan international par l'ISO sous le nom de «
ENTITE RELATION ».
Merise permet d'établir une description détaillée de la structure de travail à mettre en place
pour mener à bien le développement du SI.
Cependant il existe un autre modèle appelé modèle UML (Unified Modeling Language), qui
est une méthode de modélisation orienté objet développée en réponse d'appel aux
propositions lancés par l'OMG (Object Management Group) dans le but de définir la notation
standard pour la modélisation des applications construites à l'aide d'objets.
64
PRO.JET DE l'Ir> Il'i:TUlJE l'RI':SENf~: ".\R : L\MINE !'DAO & AMADOI WATT
Partant de ces données, il nous est maintenant possible de faire l'analyse conceptuelle du
système d'information qui nous permettra d'améliorer davantage le système de maintenance
actuel.
Cette étude comportera une présentation du logiciel existant suivie d'une analyse critique de
ses fonctionnalités au regard de la spécificité de la CCIS ct des règles de gestion d'un service
de la maintenance définies par la théorie de la fonction maintenance. Il sera donc de donner
les différentes faiblesses de ce SGMAO.
Depuis quelques années, (2001-2002) la CCTS s'est lancée dans une informatisation de la
gestion de l'entreprise en général, et particulièrement du service de la maintenance, ceci suite
à la certification ISO qui impose certaines exigences au service.
Il est principalement utilisé par lopératcu. rj,' saisie. rarement par le responsable du service de
la maintenance ou son adjoint. Le seul poste qui lui est alloué principalement est l'ordinateur
de l'opérateur de saisie
Les insuffisances du système actuel SlT011l de types conceptuel (d'ordre général), structurel, et
fonctionnel
Il est pratiquement impossible de dire quel type de programmation a été appliqué lors de
l'édition de ce système. Seul l'opérateur de saisie dispose d'un PC qui est alloué
principalement à la OMAO. Le responsable du service de la maintenance, son assistant et le
directeur technique font des visites rares il partir de leurs postes .
Sur le plan fonctionnel la seule force de ce système est le stockage des données. A ce jour,
même les mises à jour du stock en fonction des entrées et des sorties se font manuellement
c'est-à dire que lors d'une sortie de pièce, il faudrait faire le calcul manuellement et saisir la
nouvelle quantité en stock.
La notion de tableau de bord, qui est en fait l'un des principaux objectifs d'un système de
gestion de la maintenance, est quasi inexistant dans ce système
L'objectif de ce chapitre est la présentation des tables qui seront nécessaires à la base de
données qui constituera le futur système de gestion de la maintenance.
66
PRO,IET DE l'l" [)'i:TLDE "RfSE:>n; l'AR: LMH:>E "<DAO & ,\MA[)OI' WATT ESI'ICCIS (,WILLET 2007)
Aussi avant la mise en place, étudier au besoin avec l'aide d'un acousticient, la meilleure
position du groupe. Installer si necessaire entre la machine et le massif béton des plots
antivibratiles et équiper les tuyauteries de manchons souples.
Groupe Ballon
froid
N'2
Ballon
N'l
NB: sur le schéma ci-dessus les autres bacs de refroidissement ainsi que les conduites
d'évacuation de l'eau ne sont pas représentés.
34
PROJET DE FIN Il'j,:T1J1JEl'Rf;SENÜ; l'AR: IAMINI:: NDAO & A~"\I)()I' WATT ESI'/CCIS (.n'ILI.ET 20(7)
~ de diminuer les coûts liés au stockage des pièces de rechange : optimisation du stock
maintenance, optimisation des achats;
Nous allons définir les principales caractéristiques des données à inclure dans la base
constituera le futur système d'information.
Les équipements doivent être structurés en lignes de production. Chaque ligne sera défini
par :
• son numéro,
• sa désignation,
Ainsi nous pourrons disposer d'une arborescence suivant des lignes de production, le process,
la section et le secteur.
• ces caractéristiques techniques: capacités (débit, tonnage, ..), vitesse, poids, ... ;
67
PROJKf IlE t'IN Il'{,TlJllE PRF;SI,:NTF; PAR: LAMINI,: NDAO & AMAllOl; WATT ESI'/CCIS (.II.'ILLE'I' 2007)
• ces spécificités électriques: ce sont les divers paramètres décrivant les moteurs pour
faciliter leur remplacement, leur maintenance, leur dépannage et les besoins du coté
alimentation électrique;
• les informations concernant son suivi comptable: les types d'amortissement, les
charges d'amortissement;
Elle concerne les pièces de rechange, les outils et les consommables (graisse, huiles, etc.). Un
article en stock sera déterminé par :
• l'équipement de destination;
• la caisse de stockage ;
• sa sortie : les références de la personne ayant effectué la sortie, les références du bon
de sortie, la date et l'heure, la quantité sortie;
68
1'1l0.JET DE FIN Il'(,:TUDE l'Rl:.sE.Wf: l'AI! : LHIINE NJ.),,\O & :\ M.\ 1101.' W.'\'I'T f:SI'/CCIS (WILLET 2007)
Elle concerne tous les travaux effectués sur les équipements de l'usine. Pour la réussir il nous
faut des informations sur :
Elle doit permettre d'optimiser l'utilisation des ressources humaines, de connaitre les
compétences et la disponibilité de chaque employé. Elle aidera également à l'évaluation du
personnel de la maintenance. L'employé sera déterminé par:
• son matricule ;
• son nom;
• son prénom ;
• sa fonction.
Après avoir défini les besoins du service de la maintenance en termes de gestion, il nous
est maintenant possible d'établir le dictionnaire des données. Il permet de recenser toutes les
69
PRO,IET Ill, ru.. ll'i::TIJrm PRÉ:SENTFJ PAR: LAMINE NDAO & AMAllO!; WATT ESl'/CC1S (,II'ILI.ET 2(07)
72
1
PRO.lET m:: FL~ D'(:'I'I)/)" l'Rf;SI::NTf; l'AR: LAMIM: 1'I)AO & .\MADOI' WATT ESI'/CCIS (."'Il.L1::'I' 2007)
73
PRO.JET m: F(;~ I)'[:TI)I)E "R~;SISri: PAR : L~MINE NDAO.l< A~f.\I)Ol WATT ESI'/CCIS (.lIm.I.E r 2007)
Les règles de gestion du MCD précisent les contraintes qui doivent être respectées par le
modèle. Elles expriment les contraintes d'intégrité du modèle, Celles-ci représentent les lois
de l'univers du discours modélisé dans le système d'information. Pour le système que nous
étudions, les principales règles de gestion sont:
• un article est stocké dans une seule caisse et une caisse peut stocker plusieurs types
d'articles;
• un article peut figurer sur plusieurs commandes et une commande peut contenir
plusieurs type d'articles;
• une commande donnée ne peut être effectuée que par le magasinier avec l'approbation
préalable du directeur technique ou du responsable de la maintenance;
• une livraison peut concerner plusieurs types d'articles mais ne provient que d'un seul
fournisseur. Ce dernier peut effectuer plusieurs livraisons;
• une demande de travail ne peut être établie que par le responsable de la production ou
par un des chefs d'équipe de production;
• l'agent devant effectuer une intervention doit disposer de toutes les informations
concernant les moyens et équipements de protection individuelle nécessaires pour
travailler sur l'équipement concerné;
74
1
PROJKf /JE t'IN l)'I;TI)J)E PRF;SENÜ; PAR: LAMINE 1'DAO & AMAl)ot' WATT f.:SI'/CCIS (,JULLET 20(7)
Une entité (ou individu) est un objet concret ou abstrait dans l'univers du discours.
Autrement dit, une entité est un concept qui présente un intérêt pour l'étude en cours.
Une entité a une existence propre, elle est identifiable et utilisée dans l'univers du discours
(par exemple l'équipement). Elle est présentée par un exemple.
Une relation est une association perçue entre entités dans l'univers du discours, Elle n'a pas
d'existence propre, elle est subordonnée à l'existence préalable des objets qu'elle regroupe,
relation ou association est représentée par une ellipse. Elle représente un lien entre 1 ou
« n» entités. Elle est bordée d'autant de "pattes" qu'il y a d'objets concernés par la
relation.
Une propriété est un attribut que l'on perçoit sur une entité ou sur une association entre
entités dans l'univers du discours (exemple la matricule d'un employé). Une propriété peut
avoir une valeur.
75
PRO.IET /lI; t'IN Il'(mmI; l'Ri;SENÜ; l'AR: LAMINE NllA() & AMAllOl' WATT ES\'/CC\S (.WILLE!' 2007)
La cardinalité minimum est le nombre de fois ou chaque occurrence d'une entité est
impliquée dans une occurrence de relation.
• La valeur 0 signifie qu'une occurrence d'une entité peut exister sans être impliquée
dans aucune occurrence de la relation;
• La valeur 1 ou « n » signifie qu'une occurrence d'une entité ne peut exister sans être
impliquée dans 1 ou « n » occurrence de la relation.
La cardinalité maximum est le nombre maximum de fois ou chaque occurrence d'une entité
est impliquée dans une occurrence de relation.
• La valeur 1 signifie qu'une occurrence d'une entité ne peut exister au maximum que
dans une occurrence de la relation;
• La valeur n signifie qu'une occurrence d'une entité peut être impliquée dans n
occurrences de la relation.
Le MCD est représenté sur la page suivante, il a été construit sur la base des règles de gestion
énoncées.
Le passage du MCD au MLD se fait en fonction de règles que nous énoncerons à la page
suivante. Celles-ci sont adaptées selon que l'on s'oriente vers un système de gestion de
données ou autre. Les règles d'un tel passage examinent les cardinalités des associations entre
les entités et l'existence éventuelle de propriétés dans l'association.
76
PRO.JET DE F(;~ l)'i',TtIlE l'RiiSE.,yI'E l'Al\; L'MINE NDAO & AMADUI' WATT ESPiens (J"'LLET 2(07)
Sous-traitant Sous-traitant
~ Relation binaire (... , n) - (....,1) : la clé primaire de l'entité reliée par (... , n) devient
clé étrangère de l'entité reliée par (....,1).
Caisse
code article
n° caisse designation_article
qte_eco_
seuil
ete stock
article_stock
caisse
Code article
nO_caisse designation_article
qte_eco_
seuil
qte_stock
nO_caisse
Figure 5.3 : passage du MCD vers le MLD dans le cas d'une relation binaire (...., n) - (... ,1).
• Relation binaire (0,1) - (1,1) : la clé primaire de l'entité reliée par (0,1) devient clé
étrangère de l'entité reliée par (1,1).
77
PIlO.IET /JE FIN l)'i:TLlH:: l'RI:SENn: 1'.\R : L~MINE "DAO & AMAl)OI wA TT ESPiens (.)\ILLEr 2(07)
Lorsque la relation contient elle-même des propriétés, celles-ci deviennent attributs de la table
supplémentaire.
• Relations réflexives: nous appliquons les règles générales avec la seule différence
que la relation est deux fois reliée à la même entité,
L'application de ces règles de passage nous a permis d'obtenir le MLD (Modèle logique de
Données) qui figure sur la page suivante.
Consommer (nOéquipement, nOspec elec, HP, volt, phase, amps, MPS, RPM, kVa, KW)
element.nîéquipement)
78
PROJET /JE t'IN Il'i:TU/JE PRi;SENTi; "AR: LM'IINE NDAO & AMAllOl, WATT ES\'/CC\S (n.n.i.er 2007)
Caisse (nOcaisse)
V.S Les critères de choix d'un système de gestion de base de données relationnelles
(SGBDR)
Les logiciels que sont les systèmes de gestion de bases de données (SGBD) cherchent à tirer
le meilleur parti des progrès de l'informatique et des réseaux pour assurer une gestion
efficace et efficiente des données, Le SGBDR choisi pour implémenter notre application
doit:
79
PROJET /JE m'I)'j,Tl)J)/o: PR.;SENT"; l'AR: L\MINE l'DAO & AMAllOI' WATT ESI'/CCIS (JUILLET 2007)
MySQL est devenue le système de gestion de base de données open source la plus
populaire grâce à sa performance, sa haute fiabilité et sa simplicité d'utilisation.
Non seulement MySQL est SGBDR open source la plus populaire au monde, mais elle est
également devenue le choix de prédilection de toute une nouvelle génération d'applications
construites sur la plate-forme LAMP (Linux, Apache, MySQL, PHP / Perl / Python.) MySQL
fonctionne sur plus de 20 plates-formes, notamment Linux, Windows, OS/X, Solari, HP-UX,
AIX ou Netware, une polyvalence nous permettant de maîtriser toutes les situations.
80
PROJET DE FIN U'(:IIlJI: l'RESl::,yrf, Hl( : L\Mlr>E 1\/)AO & AMADOI WATT ESP/CCIS (.JI'ILLET 2(07)
• INTEGER: ce type permet de stocker des entiers signés codés sur 4 octets,
• BIGINT: ce type pennet de stocker des entiers signés codés, sur 8 octets,
• REAL: ce type permet de stocker des réels comportant 6 chiffres significatifs codés
sur 4 octets"
• DOUBLE PRECISION: ce type permet de stocker des réels comportant 15 chiffres
significatifs codés sur 8 octets,
• NUMERIC (précision, longueur) : ce type pennet de stocker des données numériques
à la fois entières et réelles avec une précision de 1000 chiffres significatifs, longueur
précise le nombre maximum de chiffres significatifs stockés et précision donne le
nombre maximum de chiffres après la virgule,
• CHAR (longueur) : ce type de données permet de stocker des chaines de caractères de
longueur fixe, longueur doit être inférieur à 255, sa valeur par défaut est 1.
• VARCHAR (longueur): ce type de données permet de stocker des chaines de
caractères de longeur variable, longueur qui doit étre inférieur à 2000, il n'y a pas de
valeur par défaut,
• DATE: ce type de données permet de stocker des données constituées d'une date,
• TIMESTAMP: ce type de données permet de stocker des valeurs constituées d'une
date et d'une heure,
82
PRO.IET /JE fiN Il'/;1'I)/)/:: PRf;SENTf; PAR: L\MINE NDAO & AMAIlO!, \VATT ES\'/CC\S (JI;(L1..ET 20(7)
83
!'Ro,/Kr ilE .-11'< Il'i::TIJIJE j'Ri:;SE1'<Ti:; PAR: LAMI1'<J:: NIHO & c\MAllOl' WATT f:SI'/CCIS (.WIl.LET 2007)
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
Le travail de projet de fin d'étude (PFE) présenté dans ce mémoire a porté sur l'étude et
l'installation d'un groupe de froid et la création d'une base de données pour la gestion de la
maintenance à la C,C.r.S. Nous avons proposé une démarche simple et efficace pour
l'analyse du système de production d'eau glacée par compression. En effet, partant des
connaissances théoriques acquises lors de notre formation sur la production de froid et la
gestion de la maintenance, et en passant par une étude du système actuel de l'usine, nous
avons établi des recommandations très pratiques et faciles à mettre en place.
En premier lieu, nous avons commencé par un bref rappel des modes de production de froid,
puis nous avons effectué une analyse du système actuel en vue de déceler les problèmes aux
quels il est soumis.
Dans la deuxième partie, nous avons apporté quelques propositions de solutions pour réduire
la consommation d'énergie du système et avons procédé à un dimensionnement de
l'installation afin de déterminer le groupe approprié.
En troisième lieu, nous avons abordé l'installation du groupe. Dans cette partie nous avons
effectué un dimensionnement du circuit électrique mais également du circuit d'adduction en
eau glacée pour le refroidissement des tuyaux.
87
l'ROJKr /JE FIN l)'i::TUIlI:: PRi::SEiliTI:; "AR: L'MINE 1'I>AO & AMAllor WATT ESI'/CC\S (.JI:ILLET 20(7)
BIBLIOGRAPHIE
[1] Technologie des installations frigorifiques 8 0 édition Pierre RAPIN Patrick Jacquard
[2] Aide - Mémoire (Formulaire du froid) 110 édition Pierre RAPIN Patrick Jacquard
[8] E.C.S l'eau chaude sanitaire dans les bâtiments résidentiels et tertiaires (collection des
guides thématiques de l'AICVF, par Gilles OLIVE et Alain TRIBOULET)
[15] PFE : conception d'un système de maintenance et de gestion des stocks à l'usine de
KIRENE SIAGRO (Michel D SENE et Jeanine AKOSSI) 2005/2006.
88
PRC)Jf;r 1Jt.: FIN Il'j,:rUOE PRF;SENTF; PAR: LAMINI: NDAO & ;\MAIlO[1 WATT ESP/eCIS (JIiILLI:T 2007)
[16].PFE: conception et pré développement d'une application web intégrant une base de
. ;:,:~:~,f.\
données MYSQL pour l'aide à la conception de projets de production industriel (par
c " ••
[19] www.bepconcept.fr
[22] www.ucio.fr
[26] www.mysql.fr
[27] www.sqlpro.developpez.com
89
PRO,lET ilE FIN,Il\i::T1HlI::PRi;SENTf: 1',\1\ : L \Ml\E !'iJ)AÜ & AMAnOl' WATT ES\'/CCIS (WILLEr 2007J
ANNEXES
. ~.
90
PRO.JET /JE l'L~ [J'LTI.iIJE l'Rf.:SE'' ri: l'AR: L\MINE NDAO '" A\L\1l01 WATT ES\'/CClS (JI.iILLET 2007)
détermihation des
co9ffïcleots K
et de lèlettre de choix d'un courant admissible t z pour la canalisation, qui
séleetlon corres~nd à une section de conducteur Que le dispoSItif
de pro action saura protéger
l
fusible
l
disjoncteur
Iz~ l,311n5i In~ 10 A*
Iz,= 1,2'1 1"51 ln> 10 A
et 1" ~25A" Iz::. In"
IZ:= 1,10 Insi ln> ~tI A
1
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J'RO,JET ilE FI!> n'rrunr; l'RI:SE''n.I'\R; 1.•MILV '1) \(),~ \\i.\ll(\1 \\ \ 1 r E:-l'WCI;'; (.11 Il li, 20117i
102
PROJET /JI' FIN Il'j,TU/JE PRF;S"Nn: PAR: L\MINE l'DAO & AMAIlOl WATT ~:Sl'/CCIS (./Ii/LU::T 2007)
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Les groupes CIATCOOLER serie LCconstituontur1l' 'Vu" 1'0 The elATeOOLER series Le units are part 01 a newgenera·
génération de relroldisseurs de liqUIde à ccncense.» ,1 a" 115 liOn OII.Quld ctuners witn an etr-cootea condenser. They benelit
bénéficient des demières évolullons technoroçiouos 01 ~,,,,, Irom Ihe tnst tecnnotoçicet devetooments and are equrpped
équipé. de composants performants. .<"II! performll1g components.
- Compresseurs semi-hermétiques delype DISCUS SelTlll'ermollc compresser. OtSCUS type.
- Evaporateur multitubulaire éqUIpé de tubes hflut .." portor- '- SMIf and lube eveporetot tlttso witn high performance tub-
mances. II1g.
- Condenseur à air équipé de batteries à lubes cuivres qum- - Atr-cooied condensers üttea wilh coits. steççered cooper
quoncés, ailettes gaufrées à bords ondulés, ventilateurs à tooes. noplet: eaçes corruqeteo fins. extruaea blades lans.
pales profilées.
- Régulation, surveillance et gestion du groupe par "" rnodule - coouoi and survey 01 the unit by microprccessoretectrontc
électronique il microprocesseur. module.
L'ensemble de ces innovations technologiques tont ces rch ,),. W,ll) .1// tnesc tecrmotoçicet innovalions. Ihe elATeOOLER
disseurs de liquide CIATCOOLER série LC (les ensernbte sone» Le /igllld chll/ers combine reliabifily. wilh performance.
fiables et performants.
Ces appareils peuvent être fournis avec l'équipllOlCfll hydrloU'
IIque Incorporé (gamme LCH) se reporter il la fl,>ticl'IElI:hniq m
Thesn units Clin be suppttea witt:ttie hydrauflc equrpmenl inte-
9'<lle(/I~CH rnnçe). Reter 10 tectmicst brochure RZH· LCH. .:)
RZH • LCH.
Ils sont fabriqués en conformité aux. directives They are rnnruttsctured in conlormily wilh the directives.
- Machines (89/392 CEE modifiée). .. Ull,ls (89,. 392 CEE moditied}.
- CEM (89/336 CEE). ,. CENt (l/9 1336 CEE)
Gamme Range
• CIATCOOLER série LC • CIATCOOLER series LC
- 2 compresseurs, 2 circuits frigorifiques, - 2 compressors, 2 relrigeranl ctrcuits,
2 modèles: 1000, 1202. 2 mooeïs : 1000, 1202.
- 3 compresseurs, 2 circuits frigorifiques. - 3 compressots, 2 relrigerant circvits,
4 modèles: 1203 • 1400 • 1600 • 1803. 4 modets : 1203 - 1400 - 1600 - 1803.
- 4 compresseurs, 2 circuits frigorifiques. - 4 cornpressors, 2 retriçersn: circuits,
4 modèles: 1804 - 2000 • 2200 • 2400. 4 mooete .' 1804 - 2000 - 2200 - 2400.
Description Description
~)
Le CIATCOOLER série le standard est livré avec' The standard elATeOOLER series Le unit is detivered with:
- Compresseurs seml·hermétiQues. - Semt-bermetic compressors.
- Condenseur à air il ventilateurs hélicoïdes - Alr-cooted condenser wilh propeller lans.
- Evaporateur mullitubulaire. - Shell and tube evapora/or.
- Fonctionnement été el demi·saison (T' exlorio"rl' m'''I- - Summer .na mui-sesson opetsûon (minimum extetior tem-
mum : +12 'Cl. oersture » 12 •C)
- Armoire électrique de puissance et do lolécomrnill1rlp - Etectricet uowet and controt panel.
• Alimentation électrique: 400 V :,g:.; ·3 ph . liO Hl' !"f,. • Eleclr;':i:ll ~uJlP/~' .' 400 V :,~~ ·3 ptt- 50 Hz + earth.
• • Module électronique de régulalion, survernancc. '.ll": ., 1 • OisJl'ay 1'1<1 Cflnlrol etectronïc module wilh MRS', -4.1
microprocesseur MRS1-4.1. .nicrooro«...sor.
Pour d'autres alimentations électrique:. flOUS ';1If::''''!el 'orotno: ,. ocm.ist slIpplies. coosuu us
- Ensemble monté sur un chassls en profilé d'HcrOl Yi,lv"n .;,. AS~;l"nllll f1)(1111!fed Oll a galvanized stoet treme.
Composition Composition
• Compresser.ors semi-hermétiques • Semt-nermettc compressors :
- Alternatif il pistons type DISCUS. Reci/Jf(OC<1lmg. OISCUS tyoe. ~
- Moteur Incorporé. relroidl par les gaz aspirés. motor, cooted by suc/ion gas.
Inlcgt[jl
)
- Lubrification SOus pression contrOlée par pressostat Pres:'we Ilibricii/ion controneaby a âtttorentiet pressostet.
différentiel.:
- Protection électronique intégrale du moteur. - Inleg ra/ oiocnomc protecucn 01 motor.
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lOS
PR(J.It:T lIE nN 0'(: l'lIlE l'RESEXn. \',\R : L~MI ',r' "IHO .'1;\ 'HOUI \\-\'1'1 ._ .. . ESPICCIS (.Jl'iLl,ET 20(7)
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• Ev~~orateur : • Evaporator :
- Faisceau tubescuivres. - Ooooer tube bundle.
- Plaques tubulaires en acier. - Steel tubutar plate
..,Viroleen acier. <Steet sren.
- Chicanes anti·corrosion. - Anti-corrosion baffles.
-Isolation thermique. - Thermal insulation.
Nosévaporateurs sontagréésparlesorganismes officiels sui- Our evapora/ors are eoproveti by the following official orga·
vants: . nisstions :
o DRIR(Service des Mines) : FRANCE. • DRIR (Service des Mines) : FRANCE.
o TUV (SelfInspection) : ALLEMAGNE. • TUV (Self inspection) : GERMANY.
o SA (Sell inspection) : SUEDE. • SA (Self insoecüoo) : SWEDEN.
o VERITAS : ESPAGNE. • VERITAS: SPAtN.
o ISPESL : ITALlE. o ISPESL : tTALY.
Sùr demande. Ils peuvent être conçussuivantd'autresregle· On request. /hese evapora/ors can be bultt to other stenoeras.
mentations.
• Accessoires: • Accessories :
- Filtresdéshydrateurs. - Filter arvers.
- Voyants hydroscopiques. - Hygroscopic sight glasses.
- Détendeurs thermostatiques. - Thermostatic expansion valves.
- ContrOleur de c,;.;ulation d'eau. - Water flow switch.
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Ilh
~LAIEUR=9501<VM'NEN slANDARD 'VANNE D·ASPIRAllON CQMPRESSEURoSANS INUMEAOIAllON DES F1lSoSANS rPRESCR,PTlON SPECIAlEoSANS .=MMUNICATION AVEC lE MRS=SANS
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pompe Il eau
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débitmétre
108
PIIOJET /JE FIN 1)'(,:TlJlJE PRi,SENTF, P,\R: lAMINE ]'I;OAO & AMADOI WATT ESI'/CCIS (.n'ILLET 2(07)
court rolard 1m
l"moorlsation
_uil ill5lonioné 1
98
PIl( w : r J)L FlN n'i:',Tt:lJI: Plü:sn ü l' AR : L\ )J I ~L :'\1)0\0 & .\ \l ADO I \\ A T T ESI' ICCl S (,Jl ILl .ET 2007)
Le fluide de travail du sy stème est une soluti on contenant un fluide de réfrigération (un
réfrigérant) et un absorbant, qui ont l'un pour l' autre une forte affinité.
40" C
~r""
7"C
Ev aporat8.J r
Le réfrigérant liquide est accum ulé dans le condenseur pour ensuite être détendu de cette zone
à haute pression vers un évaporateur à basse pression, où il s 'évapore en effectuant la
réfrigération.
6
ESI' /C CI S (JI 'I U .I':r 2007 )
Afin d'assurer une continuité de service pour les installations existantes, les producteurs de
fluides frigorigènes ont élaboré des mélanges dit de transition à base de HCFC (R22, R124,
R142b, 152a) ayant une durée de vie d'une quinzaine d'années et des fluides définitifs (corps
purs ou mélanges) : R23 , R32, R125, R134a, R404A, R407c, etc . Ces produits permettent une
conversion du fluide d'origine par un produit à faible ( ou sans) action sur la couche d'ozone.
Cependant, il faut noter que ces réfrigérants ont des températures d'ébullition peu élevées
(négatives) à la pression atmosphérique. Ce qui leur confère par conséquent les propriétés
suivantes:
~ durant l'ébullition, la température du fluide demeure constante. C'est aussi vrai pour
l'eau qui se maintient à 100° C pendant toute la durée de l'ébullition. Cette caractéristique
permet de stabiliser l'effet réfrigérant à une température précise (voir tableau 1.1).
~ c'est durant l'ébullition qu'un fluide absorbe le plus de chaleur. A titre d'exemple,
examinons les quantités de chaleur nécessaires pour chauffer ou refroidir un (l kg) de liquide
de 1 "C et pour évaporer et condenser un (l kg) du même liquide à une température constante
(voir tableau 1.2)
9
Pno,lE'T' J)J ,: FIN I) ' (:TI HH.' l'IU : SEXn, 1',,1(: L\ ~11.'ir: ~m V ) S. ,Ü 'i.\ I)OI' w.vrt: ESI'/( '(' IS ( ,Ii' IU ,FT 2007)
On constate que pour l'eau, la quantité de chaleur absorbée durant l'évaporation est
équivalente au fait d'avoir élevé la température de 578 "C environ. Dans le cas des
réfrigérants, c'est l'équivalent d'avoir élevé leurs températures d'environ 165 "C, Cette
donnée démontre qu'on peut transmettre beaucoup plus d'énergie si on parvient à les faire
vaporiser que si on ne les fait chauffer de quelques degrés.
~ l'évaporateur ;
~ le compresseur ;
~ le condenseur ;
~ le détendeur.
10
l'llO,IET DE FIN Il' (;T UDE PRf:SIXrf: P,\ R : LMlINE '\DAO,~ A ~IAIlOI,' WATT ESPiens (,III LLCT 2007)
Co rnpre s s eur
D etendeur
L'évaporateur
Le passage du flux thermique, du fluide frigorigène au milieu extérieur, régi par les mêmes
lois physiques quel que soit le type d'appareil considéré (condenseur ou évaporateur) dépend:
La classification des évaporateurs peut être faite en prenant pour critères discriminatifs les
fonctions dévolues à l'évaporateur: refroidissement d'air, refroidissement de liquide,
congélation d'un liquide, mais quelquefois leur rôle est multiple (refroidissement d'air et
congélation de liquide), c'est notamment le cas des évaporateurs d'armoires ménagères.
Aussi, après avoir distingué les évaporateurs ménagers et les évaporateurs pour machines
« commerciales» nous adopterons pour ces derniers la classification suivante:
11
PROJET [JE " [N n' Cr e' '''; "R~;SEiliÜ; "A il : L "II:'. E :\flAO ,1'.: A 'I Anor · " k l T r:SI' /CClS (.11 '11.1.101' 200?)
L'usine est composée de sept (7) lignes de production, dont chacune est composée d'une
extrudeuse, et de trois (3) bacs de refroidissement. Le premier bac joue également le rôle de
calibreuse de tubes. Avant son arrivée dans les bacs de refroidissement, l'eau glacée passe par
plusieurs points. Dés sa sortie du groupe, l'eau est stockée au niveau du bassin N° 1 situé à
côté du groupe et aussitôt elle est envoyée au niveau du bassin N° 2 par des pompes
centrifuges, A ce niveau, l'eau descend par gravité et par la suite elle est envoyée par sept (07)
pompes jusqu'aux bacs.
15.3 oc
Bassin
9.2 oC
W2
14 oc
14.8 oc
i
17.4°C
Les 7 bacs
l
. - '---- -Y
.- ' - - - - - - - - - - - - - "
.- '---- ---Y
14
[ " P/C O S (.Jl'I I. I.I :r 2007)
ha=11. 35 W/m2.K
he =85.35 W/m2 .K
ee = 0.005m Àe = 0.05 W /m K
em = 0.15m Àm = 1.75W/m K
Les relations (2.7) et (2 .8) ont été tirées du ESC (Ea u Chaude Sa nitaire) .
2 2 2 2K/W)
matériau he(W/m K) e(m) ha (W/m K) el}.. (m K/W R(m
bassi nl ~ béton 85,35 0,15 0,185 5,08
basslnê béton 85,35 0,15 11,35 0,185 3,51
D'où Q4=166.083 W
21
Pr W ./ET Il E FI" Il' I:r U )E l'IU,Sr;Vf' '' ,\ R : \.. \\11" 1-: :'01) \ 0 ,1; "'M AIlO]' W A rt f Sl' fCCIS (.J1 I1 LET 2(11)71
Tronçons l Irn} : Nbre r2(mm) rl(mm) r3(mm) Sg (oC) SI (oC) k (Wjm°C) Q(W)
!
QJ = 384.496 W
Système bassins
.'matériau A (m )
2
",
, Sg (oC) Sj (oC) ~S Os (W/K)
1
Q (W)
1 bassin 1 béton 32,8 14,3 36 21,7 5,080 110236
1 bassin 2 béton 23,4 15,3 37 21 ,7 3,510 76,167
186,403
Q4 =186.403 W
Système bacs
Qs= 315428.718 W
Qr=316876.279 W
Q~ = 332.991 kW
30
PROJET VE FI:' D'tTUVC T'Rf;SIX f f; l'AR: (., " 11:' 1: l'DAO ,'( A\1ADOI ' IV ATT ESP/ CC IS r.nu.urr 2007)
~ .
Longue ur Débitprobable vitesse cP théorique cP normalisé
Tronç on s. N°
. (m) Ils m 3
/h (mis) (m) (mm)
AB - 6 18,667 67,201 2 0,109090 110
Be 28 18,667 67,201 2 0,109090 110
1 5 7,820 28,152 2,3 0,065842 63
2 5 7,820 28,152 2,3 0,065842 63
3 5 7,820 28,152 2,3 0,065842 63
EF 4 5 7,820 28,152 2,3 0,065842 63
• 5 5 7,820 28,152 2,3 0,065842 63
6 5 7,820 28,152 2,3 0,065842 63
"
7 5 7,820 28,152 2,3 0,065842 63
1 14 7,820 28,152 2,3 0,065842 63
2 16,5 7,820 28,152 2,3 0,065842 63
,, FG
3
4
18,3
20,5
7,820
7,820
28,152
28,152
2,3
2,3
0,065842
0,065842
63
63
5 22,3 7,820 28,152 2,3 0,065842 63
6 24J 7,820 28,152 2,3 0,065842 63
r·
7 26,2 7,820 28,152 2,3 0,065842 63
Tableau 4.2 : Les diamètres normalisés cie cha que tronçon du circuit
Caractéristique des conduites choisies dans la série des tubes PVC non plastifiés norme NF T
54-002 : (annnexe A22)
Désignati on Diam ètre Ep aissèu r' PressionS' Prëssions eâû froide M asse
nominal (en mm ) nominale d'é preuve Temp <25°C Linéique
(en m m) s (en bar) (en bar) (en kg/m l
Tableau 4 .3 : Caractéristiques des conduites dans la série des tubes en PVC non plastifiés
37
PllO,JKr 1)[: FIN 1)'(èTlJll E "Ri:SE.,Ü: l'AR : 1. ' MINE 'flA O & AMA I)OI " A T T ESI' ICCIS (Jl 'l l. U T 2(11) 7)
Compresseurs NOl 75 60
0,5 60 54
d'air N°2 75 60
Coffret
NOl 7,5 6 division
~
0,9 159,692 0,86 185,688
'0'
6 naire
N02. 7,5
0,8 0,9
Pompes NOl 7,5 6
1 36 32,4
centifuges N°4 7,5 6
NOS 7,5 6
N06 7,5 6
Cependant, la puissance élec trique abso rbée par le groupe est co mposée d' une part de celle
des trois (3) compresseurs et d 'autre part de celle des six (6) ventilateurs, qui ont chacun une
puissance de 1.5 kW.
S = 185.688 k VA
s
[6] (4.7)
u.J3
I B =268.02 A
42
PRO,JET!JE FIN Il'!è'rUf)I; l'IÜ:SEi'iÜ, l',.\R : L\Mli'i!: )\1)" 0 .\ ,'\ \I.~ Il() I, WATT 1,:SP/CC1S (,JI'IU,El' 2007)
plots
KIT n° 3943059 7u 3850 26950
antivri bratoi res
main d'œuvre
1250500
Partie électrique
51
ES1' ICCI S (-W Il. I.Er 2fJl)7)
Partie plomberie
Ce montant rep résent e le co ût total de l'install at ion . Le pri x des co mposants a été obtenu à
partir de quelques fournissseurs mais également à parti r du net.
52
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données qui vont se trouver dans notre base. Dans les pages qui suivent nous présentons le
dictionnaire de données.
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Méthodo
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réfomnco
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2,5 0920 0,786 0,329 1,480 1:,262 0.525
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Transformateur triphasé immergé dans l'huile (NFC 52· 112· 1 édition de juin 1994)
puissance en kVA
5<J 100 160 250 400 630 eoe 1000 1250 1600 2000 2500
237V
ln(A) 122 244 390 609 974 1535 1949 2436
Icc (kA) 3,04 6,06 9,67 15,04 23,88 37,.20 31,64 39,29
UCo (%) 4 4 4 4 4 4 B 6
pertes cuivre (kW) 1,32 2,1 2,3 3,2 4,5 6,3 10,5 12,7
410V
ln (A) 70 141 225 352 563 8B7 1127 1408 1760 2253 2816 3520
kc (kA) 1,76 3,50 5,59 S.w 13,81 21,50 18,29 22,71 28,16 35,65 44,01 54,16
Ucc{%) 4 4 4 4 4 4 6 6 6 6 6 6
pertes ouvre (kW) 1,32 2,1 2,3 3,2 4,.5 6,3 10,5 12,7 15,6 19,5 24,9 31,2
Nota:La rerno NF C52·112 gsll'aI=ÇJlication fmnçais8 du document d'harmonisation BUro~Q'l HD 428,
Irsnsfcrmateur triphasé sec enrobé TRIHAL (NF C52·115 édition de février 1994)
puissance en kVA
100 160 250 315 400 500 lm eoo 1000 1250 1600 2000 2500
237V
ln (A) 244 390 609 767 974 1218 1535 1949 2436
Icc (kA) 4,05 6,46 10,07 12,66 16,03 19,97 25,05 31.64 39,29
Ucc (%) 6 6 6 6 6 6 6 6 6
pertes cuwre (kW) 2. 2,6 3,7 4,5 5A 6,3 7,6 9,2 10,7
410V
ln (A) 141 225 352 444 563 704 B87 1127 1408 1760 2253 2816 3520
kc (kA) 2,34 3,74 5,82 7,32 9,26 11,54 14,48 18,29 22,71 28,16 35,65 44,01 54,16
Oëc (%) 6 6 6 6 6 6 6 6 6 6 6 6 6
pertes cuivre (kW) 2 2,6 3,7 4,5 5,4 6,3 7,6 9,2 10,7 12,8 15,6 19,5 22,5
Nota: La norms NF C52·115 8St l'appliœtiCfl franç-aisQ du dccument dharmonls8tion Qurcp~n HD 538,
97
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9 mm 13 mm 19 mm 25 mm 32 mm
nom
mm
Rétél1lnce
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AC-OOx0 18' AC-13 x01B'
AC.lf.Jx022 ' AC- 13xD22'
il.C-19xOI8 '
AC- I 9x022 ' /J/:.-25x.022
AC-32 x018
AC-32x022 19 AC- 19-{J9IE
, '1. 28 25 ',. SO,O 20 29.0-30,5 AC-Œl ..028' AG-13x02B' AC-I9x02S' AC25x028 AC-3 2x028 25 AC-2S-99..E
1 '1" 30 25 33,7 31 .0-~3,O AC -OOx030 AC-13x030 AC-I9x030 32 AC-32-00IE
1. 'f. 3S ?2 1 42,4 25 3 6,0-38,0 AC.oox035 , AC-13>dl35' AC-'I9xOSS' AC-25x035 AC-32x035
50 AC-SO-9JlE
1 '/. 42 40 1 '1< 48.3 32 4 ~ .S-45,5 AC·OOxü12' AC- 13xû42' AC-19x042 " AC-2Sxû42 AC-32 xû42
48150 1 tl; 54 ,0 40 49,5- 5 1,5 !'C.(I;Jx04S' AC- 13>:U48 ' AC·19xD48' AC-2 5xùd S AC-32xû48 RO l lI·aux
2 '1. 50 60 ,3
auto -adh âslts
54 55 ,0-57.0 AC ,C~ xDS4 " AC-13 x054' AC- 19xOS4" AC-25x0 54 AC-32x05 4
2 '/. 00 :2 63 ,5 50 61 ,50S3.5 AC.oo.06 0" AC- 13x060" AC -19xOW' Ae-25xOeo 'AC-32x060 6 AUl6- 99JE ·A
2 'h 64 70.0 65,1]-67.5 AC· W >i:6J AC- 13x064 AC.1 9x064 A(:..25 . 0bJ AC-32x06 4
10 AC-l 0-'J9.'E-A
2 '1< 70 76.1 71.0·73 ,5 ftC-OOx070 AC-'13x070 AC-19..o70 AC-:25x070 AC-32x070
3 76,1 65 2 '1> 65 77.0-79.5 JlC-Dj. D76 AC-13x07S" AC-19xü76 " AC-2Sx076 AC-32xD76
13 Ae- IJ-W'E-A
3 '/1 SO SS.9 . 81.G-84,0 AC-13x080 AC-19xOeD Ae-32xOaO
19 ."'C- 19..gg,'E -A
.3 tjJ S8.9 BQ 3 IOl,G~OO SO 90.5-00 ,5 AC-OOxOa9 AC-13xOa9' AC · 19xOOO , AC-25xOS9 AC-32x 089 25 AC-2 5-<l9lE-A
4 102 3 ' />f. 108.0 105.0.108 ,0 l>e .oo xl 02 AG-13xl 02 AC-19x1ü2 32 AC..J2-9WE-A
4 'fI lOS 100 114 .3 100.5 -113 ,0 AC-13 x108 AC-19xl08
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5 125 133,0 127,0-131.0 14>00. 125 AC-13x125 AC- 19x 125
133 139.7 13 5,0-13 9,0 AC·1 9x 1 ~
S '/J 139 .'<' 160,0 115 142,0-146,0 PC ·OO. 1J O AC-13x140 AC-HM4ü AC·25x140 Ae-32x140
159 1:0) 162.0· 167,0 AC-19x l €û AC-32x160
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Systeme en tu bes rv C 1
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1\.. {2.2)
[13] (2,3)
système en tube PE
Pour Je calcul des valeurs du tableau suivant un utilise les formules (2,2) ct (2,]) précédentes.
18
système en tubePvC 2
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Système basûns
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Système bacs de refroidissement
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Cependant pour des raisons de COf]lS et de disponibilité dam; ie vnarchè national, nous
choisissons l'armaûex
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fricories
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Ces derniers constituent une nouvelle génération de refroidisseur de liquide à condenseur &':
air. Ils bénéficient des dernières évolutions technologiques et sont équipés di'; comnosants
fiables et pcrfonnanrs.
Données :
Solution:
3}
rV.2J Détermination du, débits proll:;lhk~
j'cm} est envoyée par sept Cl) pompes centrifuges Dl>.: 242SS-NFF: 44 l Il vers les bacs de
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Ce qui donne
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L' , {4.2}
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fonctionne continuellement)
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39
régulation cL puiss:.lJ:ce.
Le guide lJ'rE C; 15-105 d,scrit UIK~ m0tbol.k de détermination du courant maximal d'emploi
qui s'appuie sur la connaissance de la puissance de chaque circuit dutilisarion pour lequel
sont attribués différents coefficients.
Coefficients minorants :
exemple),
Coefficients majoranrs :
41
Cliqu::r pour
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81
V.sA Inrèrrogation de la hast'
Pour interroger la base de données, sans l' interface il est impératif de maîtriser le iangage
SQL. Mais pour palier il ceci des scripts Pl1P sont été créés afin davoir une interface plus
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