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Le sport a-t-il un sexe ?

Face aux prouesses du coureur jamaïcain Usain Bolt, les médias et les athlètes se félicitent d’avoir pu assister à l’envol d’un pareil
phénomène, qui a marqué à jamais l’athlétisme. Toute autre est la tonalité des réactions face aux exploits d’une athlète kenyane. Les
commentaires passent de l’admiration - elle a assommé la concurrence - à la suspicion du fait de son physique androgyne. À l’exception
notable de la médaille de bronze Britannique, les autres participantes n’hésitent pas à alimenter les rumeurs et s’emportent avec virulence
jugeant que ce genre de personnes ne devrait pas pouvoir concourir à leurs côtés. Bref, l’invraisemblable gamine de 18 ans qui a plané sur la
piste bleue sera donc soumise à des tests de féminité. Mais que peuvent-ils signifier puisqu’ils résultent d’un processus complexe mélangeant
biologie, génétique, psychologie et endocrinologie ? Quel est le bon équilibre qui définit immanquablement l’appartenance à un genre
défini ? Avec cette affaire douloureuse, nous voilà revenus au temps où le sport faisait peur car il risquait de masculiniser le sexe faible. Pour
séduire les foules et les sponsors, le sport doit-il accuser les stéréotypes ou les dépasser ? Le sport n’est-il pas devenu une machine à produire
de la ségrégation ? Il est de notre devoir de protéger les droits de tous, et de veiller à l’éthique du sport. Rappelons que la pratique intensive
du sport peut provoquer des modifications hormonales importantes. Le problème est complexe, même les scientifiques se contredisent. La
jeune femme ne correspond certes pas aux canons habituels, et ses performances sont impressionnantes. Mais celles de Bolt ne le sont-elles
pas ? Remettrait-on en cause les performances d’un sauteur dont la légèreté et la grâce lui permettraient de repousser toutes les limites ? Le
soumettrait-on lui aussi à de tels tests ? Ces derniers n’ont pas fait leurs preuves dans la détection des fraudeurs, et ont fini par être stoppés en
1996, alors ne faisons pas machine arrière. Soumettons l’athlète kenyane à des analyses et des contrôles médicaux renforcés liés à la prise de
produits dopants. Comme tous les autres athlètes.

D’après Le Monde

1-Cet article dénonce

A le fait que tout sportif de haut niveau est systématiquement suspect.


B le sexisme, ainsi que le rejet et la condamnation des différences.
C l’engouement pour les records battus sous l’effet de stimulants.
D le manque de fair-play et d’intégrité d’une athlète kenyane.

2-Les tests auxquels sera soumise l’athlète kenyane sont peu probants car
A ils ne retiennent que certains facteurs pour déterminer le genre.
B les essais n’ont pas été concluants pour les athlètes masculins.
C les scientifiques s’accordent à dire que le sport virilise le corps des sportives.
D l’appartenance sexuelle est le résultat de l’interaction de nombreux facteurs.

3-D’après l’article, le milieu sportif devrait


A renforcer les contrôles afin de surmonter les stéréotypes.
B faire preuve de plus de déontologie en allant au-delà des clichés.
C véhiculer des valeurs éthiques fortes en réformant la sélection des athlètes.
D se reposer sur l’expertise scientifique pour éviter ce type de dérives.

4-L’auteur propose
A de soumettre certains sportifs à des contrôles aléatoires.
B de n’effectuer que des tests anti-dopage sur l’athlète kenyane.
C de soumettre les athlètes au physique atypique à des tests de genre.
D de ne reprendre les tests de genre que lorsqu’ils seront concluants.
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À la caisse, restons groupés !

La réinvention du commerce est une quête perpétuelle d’innovation. Mercredi, au centre commercial parisien des
Quatre Temps de la Défense, l’opération « Achetons groupés » vient d’être lancée. Sur le prospectus, le concept
semble simple : on forme un groupe d’acheteurs pour payer moins cher un produit. La réalité est plus complexe.

Premier essai, du 2 au 5 avril. Six points d’accueil occupent des places stratégiques dans ce gigantesque complexe
commercial. À chaque borne, des jeunes gens expliquent aux clients intéressés le fonctionnement de l’achat groupé.
Car il ne s’agit pas de débarquer en bande dans une boutique et d’exiger un rabais. D’abord, il faut s’annoncer à un
négociateur. Reconnaissable à sa chemise noire et à sa cravate violette, celui-ci remplit un coupon avec le nom de la
boutique et l’heure d’arrivée du groupe. Il conduit ensuite les gens jusqu’au magasin. Plutôt utile vu l’immensité de
l’endroit. Les clients disposent alors d’une heure en boutique pour effectuer leurs achats. Au passage en caisse, on
présente le coupon pour bénéficier d’une remise, de 20 à 40 % selon les enseignes.

Le concept, inconnu en France même s’il intrigue les clients, nécessite une éducation sur cette nouvelle manière de
consommer. La difficulté de l’opération réside en ce que le groupe doit avoir envie du même produit au même
moment. Une mission délicate lorsqu’il s’agit de réunir dix personnes intéressées en vue d’acquérir pour 17,90 € au
lieu de 25,60 € un lot de moules de cuisson en silicone orange. Car la sélection des produits est restreinte et le nombre
de personnes exigé rédhibitoire. La majorité des enseignes limitent en effet l’opération à une sélection drastique de
produits. Quelques rares marques jouent le jeu sur tout le magasin. 30 % à la clef si l’on vient à trois. Visiblement, il
en faut plus pour attirer le chaland et dans la journée, la formation de groupes complets se fait rare.

D’après Libération

Cet article rapporte

A le lancement d’un nouveau concept marchand.


B une journée de formation au métier de vendeur.
C l’organisation des soldes dans un grand magasin.
D l’ouverture de nouvelles boutiques dans un centre commercial.

L’expérience consiste à

A accumuler les coupons de réduction.


B s’unir en vue d’acheter à meilleur prix.
C acheter uniquement en périodes de soldes.
D marchander avec l’intention d’obtenir un rabais.

Pour participer à l’expérience, les consommateurs

A sont vêtus de manière identique.


B se connaissent tous de longue date.
C sélectionnent la veille les articles à acheter.
D se rassemblent selon un nombre fixé à l’avance.

L’expérience

A a été critiquée par les marques de prestige.


B a remporté un faible succès auprès des clients.
C s’est étendue aux produits de première nécessité.
D s’est soldée par un échec complet pour les commerçants.
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La chemise

1. À partir du XVIe siècle, elle devient un vêtement de "dessus", exclusivement porté par les hommes.
2. Au début du siècle, chemisiers et corsages deviennent enfin des vêtements courants.
3. Avant 1480, la chemise était considérée comme un sous-vêtement et n'était donc pas visible.
4. Ce n'est qu'au siècle dernier que les femmes commencent à porter des corsages à encolure montante.

A 1-4-3-2

B 2-4-1-3

C 3-1-4-2

D 3-4-1-2

RE : CANDIDATURE au poste de vendeur

1. Quel jour vous arrangerait le mieux ?


2. Dans l’attente de votre réponse, nous restons à votre disposition.
3. Madame, votre candidature a attiré notre attention.
4. Nous souhaiterions vous rencontrer la semaine prochaine.

A 3-4-1-2

B 3-2-1-4

C 1-4-2-3

D 4-1-3-2

Rubrique sportive

1. Certains d’entre eux ont été éliminés en raison de problèmes techniques.


2. Ils n’étaient plus que trente à l’arrivée.
3. La course automobile de dimanche a connu un grand succès.
4. Au départ, les concurrents étaient au nombre de trente-cinq.

A 3-4-1-2

B 3-2-4-1

C 4-2-1-3

D 1-3-4-2

Chère Madame,

1. Cette réunion aura lieu le mercredi 6 septembre dans l’Amphi A.


2. J’ai le plaisir de vous convier à la réunion sur le programme d’intégration des étudiants étrangers.
3. J’espère qu’il vous sera possible d’être présente.
4. Ce sera aussi l’occasion d’une dernière mise au point sur le déroulement de ce stage.

A 3-1-2-4

B 3-2-1-4

C 2-4-1-3

D 1-3-4-2

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