Introduction Au Management
Introduction Au Management
Introduction Au Management
2018
ISM / THIES
INTRODUCTION AU MANAGEMENT
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MANAGEMENT
Management1 est un terme dont la signification mérite d'être précisée, tant ses domaines
d'application se sont multipliés et étendus avec l'usage.
En français, on note que l'usage courant ne dissocie pas toujours les termes « management »
et « gestion ».
La nuance perceptible entre les deux termes ferait plutôt :
1
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2
4. FONCTIONS DE GESTION
4.1. Planification
4.2. Organisation
4.4. Contrôle
5. GESTION
6. MANAGEMENT ET SERVICES DE L'ORGANISATION
8. NOTES ET REFERENCES
9. VOIR AUSSI
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I. ÉTYMOLOGIE
d'abord, pour signifier l'idée d'une gestion des relations à autrui « menée de
façon réfléchie et pondérée »,
pour finalement donner à l'époque moderne naissance aux termes ménager et
ménagement.
Bien qu'adopté par l'Académie française avec une prononciation francisée, l'Office
québécois de la langue française ne recommande pas l'emploi de cet emprunt intégral à
l'anglais qui n'ajoute rien de plus aux significations usuelles de termes tels que gestion ou
administration.
4
Le management opérationnel qui autorise le meilleur pilotage des actions dans tous
les lieux et toutes les phases de leur mise en œuvre.
Le contrôle de gestion qui définit la capacité à disposer du niveau nécessaire et
suffisant de contrôle interne. Qualité qui dépend à son tour du positionnement concret
d'une telle fonction au sein de l'entité, pour mesurer et évaluer les synergies,
cohérences et liens effectifs entre ces deux types de management.
Dans une optique moderne, en supposant que la production est seulement induite par la
demande, le management se réduit aux grandes fonctions suivantes : marketing (et vente),
logistique, finance, organisation par la gestion de la qualité, le management du système
d'information et celui de la gestion des ressources humaines).
Même si la pratique «managériale» existe depuis que les hommes font société, la
formalisation du « management » est relativement récente.
Fin du XIXe siècle et début du XXe siècle, plusieurs précurseurs méritent d'être signalés :
III.1.1.Henri FAYOL
Selon les idées émises par Henri Fayol, dans son ouvrage Henri Fayol, Administration
industrielle et générale paru en 1916, le management est porté par une fonction transversale
qu'il nomme "Fonction administrative" et qui a pour objectif de veiller aux 5 grandes
fonctions spécifiques et verticales que sont :
De même, Fayol indique que le management suppose que ceux qu'il appelle les
administrateurs soient capables de mettre en œuvre la palette des compétences essentielles, à
savoir : «Prévoir, Organiser, Commander, Coordonner, Contrôler» 2 Le souci de précision et
de rationalité doit donc présider dans l'administration et l'organisation bureaucratique. Il
comprend que le prix des approvisionnements, la fiabilité des outils, la disposition des lieux
de travail et la qualité de l'encadrement comptent tout autant que la quantité produite par
l'entreprise.
Ainsi naît « l'administration moderne », qu'on préfère désigner sous le terme -plus dynamique
et moins connoté- de « gestion ». Le travail du dirigeant n'échappe dès lors plus à la
systématisation : chaque élément doit être optimisé, depuis la prévision jusqu'au contrôle en
passant par la décision.
On reconnaît sous les principes de gestion énoncés par Fayol (prévoir, organiser, commander,
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coordonner et contrôler) les termes repris aujourd'hui sous l'acronyme « PODC »:
« Planifier, Organiser, Diriger et Contrôler » (voir Roue de Deming).
III.1.2.Frederick TAYLOR
En France, Louis RENAULT s'efforce de réorganiser les méthodes de travail dans son
entreprise et réalise les premières tentatives de travail à la chaîne dans le secteur automobile.
Aux États-Unis, Henry FORD développe le système fordiste et apporte la preuve qu'une
augmentation des rendements peut être obtenue par des réorganisations mais aussi en
contrepartie de bons salaires.
L'analyse du pouvoir auprès de sociologues comme par exemple Max WEBER8 et Michel
CROZIER, puis de la stratégie de l'entreprise sont enfin devenus des thèmes de management
que des auteurs comme Peter DRUCKER, Henry MINTZBERG et Michael PORTER
parmi d'autres, ont participé à explorer.
Et ce, "malgré tous les efforts consentis". "Le modèle doit évoluer autant en douceur qu’en
profondeur", indique Michel NEKOUROUH.
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Concepts de management supports de l'organisation.
Au carrefour de ces deux domaines, le management cherche par un juste mélange à trouver la
voie d'amélioration de l'organisation :
IV.1. Planification
La planification se définit comme le processus par lequel le gestionnaire fixe les objectifs à
atteindre et dresse les plans de travail devant mener à leur réalisation11. La planification se
fonde en général sur une analyse du chemin parcouru par l'entreprise, des ressources à sa
disposition, de sa situation actuelle et des buts à atteindre11.
Outre la dimension principale qui est le temps(Quand), la planification prend forme selon ses
autres dimensions que sont le périmètre des objectifs du projet (Quoi), les ressources (Qui), la
manière et le chemin (Comment) et les obstacles possibles (Risques) 12.
1. Analyse des possibilités et des dangers ainsi que des forces et des faiblesses de
l'entreprise ;
2. Orientation de l'entreprise ;
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3. Examen des options possibles et choix de la stratégie appropriée ;
4. Établissement des liens entre les stratégies, d'une part, et les plans opérationnels, la
politique et les budgets, d’autre part ;
5. Préparation des plans détaillés ;
6. Analyse des plans visant à assurer la réalisation des objectifs13.
IV.2. Organisation
IV.4. Contrôle
Le contrôle se définit comme l’examen par lequel on s’assure que les résultats obtenus sont
conformes aux buts et qui permet d’apporter, au besoin, les corrections nécessaires pour
réorienter l’entreprise vers ses objectifs16. Le contrôle est un processus critique qui incite les
employés à questionner la pertinence des objectifs et des normes de l’organisation.
Mesurer les progrès accomplis selon les plans, normes et politiques établis pour atteindre un
objectif;
V. GESTION
Il est important d'étudier la gestion et de bien employer ses quatre fonctions pour trois raisons.
Premièrement, pour permettre aux entreprises de devenir plus concurrentielles sur les marchés
internationaux. Deuxièmement, pour améliorer la qualité des biens et des services et la
productivité des organismes. Troisièmement, pour fournir des connaissances de base sur les
concepts et les techniques de gestion aux nouveaux diplômés désireux de devenir
gestionnaires19.
Les deux composantes externes relatives au marketing (avec l'aide du contrôle de gestion) et
la vente induisent la production et les économies d'échelle.
Ce sont :
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L'outil privilégié du service commercial est la comparaison des ventes aux coûts trouvés en
comptabilité analytique.
Service financier
La finance d'entreprise est une composante interne qui recherche la rentabilité induisant
aussi une limite en termes de ressource de l'entreprise et qui utilise les informations fournies
par la comptabilité générale. Les composantes externes de l'entreprise en lien avec ces
services sont :
Les composantes internes relatives à la gestion de la qualité de l'organisation dont l'objet est
l'amélioration des synergies (ou de la flexibilité) source de capital immatériel sont :
les employés (avec la gestion des ressources humaines gérant le capital humain)
les flux d'informations (avec l'urbanisation du système d'information et le
management du système d'information)
les flux physiques, les bâtiments, les outils, etc. (par la logistique)
Toutes ces composantes doivent trouver une satisfaction dans leur association, elles doivent
travailler en symbiose autour du projet entrepreneurial et y trouver, toutes, un avantage
important. C’est une sorte de « contrat social » incarné par l’entreprise. Ceci est vrai à toute
échelle collective, aussi bien au niveau de l’entreprise elle-même (regroupant tous les
collaborateurs) que du service (regroupant certains collaborateurs) et de chaque employé.
Cela signifie aussi que tout le monde est dans le même bateau. Si quelqu’un fait un trou dans
la coque, tout le monde écope, tout le monde trinque et, éventuellement, tout le monde coule.
Cela signifie aussi que lorsque quelqu’un fait mal son travail, ce sont les autres qui doivent le
faire à sa place, voire qui peuvent pâtir de sa non performance (ex. : mauvais prélèvement des
produits dans une commande, problèmes informatiques initiant des erreurs de facturation,
commandes bloquées, etc.). Tout le monde en supporte les conséquences. L’entreprise
appartient aussi bien aux actionnaires qu’aux employés, même si les actionnaires en sont les
propriétaires légaux, et cela implique une certaine équité. Pour cela, chaque profit de
l’entreprise doit être partagé entre chaque composante interne : les actionnaires, les salariés,
du PDG à l’ouvrier, le renouvellement des machines ou l'implémentation de systèmes
d'information, etc. Cela sans léser les composantes externes : satisfaire le client et ne pas
décourager les fournisseurs.
Cela signifie aussi qu’il est important d’avoir des contrepouvoirs attentifs pour éviter que
l’une des composantes internes, voire externes, par une vision à trop court terme, essaie de
monopoliser l’attribution des profits (actionnaires rapaces, syndicalistes irresponsables ou
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patrons égocentriques, fournisseurs spéculateurs). Le « parasitisme », c’est-à-dire le
dévoiement du projet entrepreneurial collectif par un ou des individus, doit être jugulé.
La stratégie d'entreprise est le choix d'orientation à long terme de l'entreprise et des options
qui lui permettent de s'insérer dans son environnement. Elle constitue donc l'art de diriger
l'organisation et les hommes de l'entreprise d'un point de vue long terme et extérieur.
Une stratégie consiste à déterminer les buts et objectifs qui seront poursuivis, à choisir les
actions à mettre en œuvre ainsi que les ressources à mobiliser. La prise de décision est
précédée par une phase de diagnostic et suivie par une phase de mise en œuvre. La stratégie
peut être envisagée selon deux niveaux : la formulation stratégique et le management
stratégique. La formulation stratégique a pour objet de structurer la démarche de réflexion des
dirigeants pour arriver à des choix stratégiques. Le management concerne les conditions de
mise en œuvre de ces choix et l'organisation des actions collectives qui permettront d'obtenir
la performance attendue.
Les problèmes doivent être résolus « durablement », c'est-à-dire positionner l'entreprise dans
des conditions où une performance accrue a plus de chance d'apparaître. D'où l'importance de
la stratégie qui peut assurer la capacité d'anticipation de l'entreprise. Dans la pratique, la
stratégie donne généralement lieu à la planification d'actions pour atteindre des objectifs
précis sur une période donnée. Tous les outils de la gestion courante vont permettre au
gestionnaire d'atteindre les objectifs définis dans le cadre de la vision stratégique de
l'entreprise. Chaque petite décision prise sur le plan financier, économique, marketing, de la
clientèle et autres, fait partie d'un ensemble plus large que l'on nommera management
opérationnel. Le management devra rester conscient des limites du pouvoir prédictif de la
stratégie relative à toute prise de décision (autoréalisation de la stratégie, difficultés à faire
accepter le changement, etc.) et de son coût.
Le management fait appel à l'audit interne et au contrôle de gestion pour collecter, traiter,
remonter et valider l'information de gestion. Ces informations, essentielles au pilotage de
l'organisation, contribuent aussi à la réduction de l'asymétrie d'information entre les parties
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prenantes. Par cette réduction, il est donc possible d'envisager une diminution des conflits et
des rapports de force au sein de l'entreprise source parfois d'inefficacité.
C'est en reliant les processus aux différentes parties prenantes que l'entreprise peut assurer sa
cohésion et sa cohérence. Le modèle du tableau de bord prospectif (balanced scorecard)
constitue un exemple d'approche formalisée pour intégrer et gérer simultanément les
différentes facettes d'un processus.
L'entreprise a une responsabilité par les décisions qu'elle prend et les actions qu'elle met en
œuvre.
Mais cette responsabilité doit aussi se rendre visible par l'information que l'entreprise transmet
aux diverses parties prenantes. Comme toute responsabilité, celle-ci repose sur la prise en
compte de l'éthique dans les relations avec les autres.
En effet, le comportement des managers ont des répercussions directes sur leurs subordonnés,
et ainsi, sur les résultats de l'entreprise. C'est ainsi que, depuis le début du vingtième siècle, le
management analyse les répercussions qui découlent des types de leadership.
Parmi les outils des services informatiques des grandes entreprises, les ERP (Enterprise
Resource Planning) ou PGI (Progiciel de gestion intégré) permettent le management global
d'une entreprise. En effet, ces outils offrent une couverture de management qui englobe
l'ensemble des services d'une entreprise. Ils sont disponibles, aussi bien pour les très grandes
entreprises que pour les PME/PMI du fait d'une augmentation de la standardisation des
systèmes et donc une baisse sensible du prix d'achat et de maintenance. Il est également
possible, en s'appuyant sur une architecture orientée services de faire communiquer de
façon souple et réaliser un couplage des systèmes de PGI (dédiés à des PME/PMI ou à des
filiales) et un ERP central couvrant l'ensemble de l'entreprise. L'intérêt de ces systèmes est
d'abord une uniformisation par l'intégration et la dématérialisation des informations. En effet,
l'objet de la création d'une base de donnée est surtout de créer une unicité de l'information en
termes de format et parfois de centralisation des données (relativement au niveau de sécurité
ou de qualité négocié entre les métiers et attendu par le système : il faut alors augmenter le
12
niveau de redondance de l'information pour limiter le risque ou la baisse de qualité de
service). Le système nécessite aussi de réussir la mutualisation des processus métiers en
exerçant l'interopérabilité attendue.
Cependant, celle-ci a aussi un coût en termes de parc matériel (besoin de puissance de calcul,
capacité de stockage des entrepôts de données, âge moyen des serveurs) et de parc
applicatifs (nombre de système technique et complexité de l'interconnexion). Le choix d'un
système d'information intégré est donc au cœur de la question de l'externalisation. Faut-il
externaliser cette fonction du fait de son coût et du niveau d'expertise attendu ?
La microéconomie part d'une analyse des marchés voire d'études de marché dont elle déduit
des fonctions mathématiques. Elle cherche à préciser les conditions d'équilibre de l'offre et
la demande sur le marché par l'outil mathématique en prenant en compte au maximum la
rationalité limitée des acteurs dans les situations de marché. Elle se situe principalement en
dehors de l'entreprise qui n'est qu'un acteur du marché. Comme a pu le souligner Henry
MINTZBERG, le management, 1988</ref>. Plus les situations deviennent réelles et plus le
travail mathématique doit devenir intense, long et coûteux. Ce qui est l'inverse de l'intention
du management. Celui-ci se situe dans l'entreprise qu'il s'agit de gérer de façon optimale,
même si H. Simon a montré que cette recherche d'optimisation s'inscrit dans une rationalité
limitée. Il reste que la microéconomie peut rester un outil pour les très grosses entreprises et
surtout pour l'État cherchant à faire des études ponctuelles à partir d'études de marché,
permettant ensuite d'élaborer certaines fonctions explicatives des évolutions des prix et des
quantités produites et échangées.
13
VII.6. MANAGEMENT ET SUICIDE
Conformément à la règle selon laquelle il faut "expliquer le social par le social"20, Émile
DURKHEIM utilise la méthode des variations concomitantes, afin d'établir un lien entre le
suicide et d'autres faits sociaux. Le management a pour objet la mise sous tension de
l'organisation et par conséquent il peut être une cause de suicide si les responsables ne
prennent pas en compte les sensibilités des divers partenaires de l'entreprise.
Emile Durkheim distingue certains types de suicides21 pouvant être reliés au management22 :
Il est difficile de lier statistiquement le management et le taux de suicide, car les causes
peuvent être externes à la vie dans l'entreprise. Il semble néanmoins prouvé que le besoin
d'être intégré à un groupe peut causer un suicide par l'usage du management. Le résultat peut
représenter un stigmate23 pour qui ne sait pas éloigner son identité sociale virtuelle et réelle.
Le management doit donc intégrer ce risque et revoir sa communication interne par un audit
interne préalable et une gestion des ressources humaines responsable (durable).
Pour l'étude des liens entre la pédagogie et le management, voir : Management et pédagogie.
VIII. NOTES ET REFERENCES
↑ Selon le Journal officiel du 14/05/2005 (voir France Terme), ce terme est accepté en France
par la DGLFLF, qui précise qu'il ne doit pas être prononcé à l'anglaise. Au Canada, les termes
« administration » et « gestion » sont recommandés par l'OQLF (voir le Grand dictionnaire
terminologique)
14
7. ↑ Max Weber, Économie et société, 1922
8. ↑ (fr) Michel Nekourouh, Les 100 du Management Moderne (Les 100 Règles d'or,
Astuces, Conseils & «Best Practices» ), collection cahiers des performances, 3e
édition, Ed. Katamaran Entreprise, Paris, 2010, (ISBN 978-2-9534365-2-5 )
9. ↑ a et b Pierre G. Bergeron, La gestion dynamique, Canada, Gaëtan Morin, 2006, 653
pages, p. 11
10. ↑ a, b et c Pierre G. Bergeron, La gestion dynamique, Canada, Gaëtan Morin, 2006, 653
pages, p. 12
11. ↑ Michel Nekourouh, Les 100 du Management Moderne (les 100 Règles d'or, Astuces,
Conseils & « Best Practices »), collection cahiers des performances, 3e édition (ISBN
978-2-9534365-2-5 )
12. ↑ Pierre G. Bergeron, La gestion dynamique, Canada, Gaëtan Morin, 2006, 653 pages,
p. 189
13. ↑ Pierre G. Bergeron, La gestion dynamique, Canada, Gaëtan Morin, 2006, 653 pages,
p. 12
14. ↑ MOUVEMENT QUÉBÉCOIS DE LA QUALITÉ, Montréal, Recueil d’outils en
gestion des ressources humaines, 2006, 126 p.
15. ↑ a, b, c et d Pierre G. Bergeron, La gestion dynamique, Canada, Gaëtan Morin, 2006, 653
pages, p. 13
16. ↑ Pierre G. Bergeron, La gestion dynamique, Canada, Gaëtan Morin, 2006, 653 pages,
p. 421.
17. ↑ MOUVEMENT QUÉBÉCOIS DE LA QUALITÉ. Recueil d’outils en gestion des
ressources humaines, Montréal, 2006, 126 p.
18. ↑ Pierre G. Bergeron, La Gestion dynamique, Canada, Gaëtan Morin, 2006, 653 pages,
p. 36
19. ↑ Émile Durkheim, Les règles de la méthode sociologique 1895
20. ↑ Émile Durkheim, Le suicide 1897
21. ↑ Pour les besoins de l'article, Durkheim ne traite pas du sujet.
22. ↑ Erving Goffman, Stigmate, les usages sociaux des handicaps, 1975
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BIBLIOGRAPHIE
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