Astrologie Guerison

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La consultation astrologique est-

elle thérapeutique ?
Le thème du congrès sur la guérison m’a fait immédiatement me remémorer
les propos que j’énonce toujours aux journalistes qui ont l’art de mettre
toujours « dans le même panier », astrologues et voyants : l’astrologie est
une science humaine et de ce fait, elle est beaucoup plus proche de la
médecine qu’elle ne l’est de la voyance…

Pourquoi cette association entre médecine et


astrologie ?

Si l’on se penche sur les liens existants entre


médecine et astrologie, les points communs
abondent :

· Comme l’Astrologie, la Médecine est une


science fort ancienne qui, ne l’oublions pas, a
connu depuis l’Antiquité, de longs siècles de
nuit obscure, d’empirisme simpliste, de
superstition et de charlatanisme. Le Diafoirus,
décrit par Molière n’est pas si éloigné.

Rappelons-nous le ton grinçant de Sganarelle,


s’adressant au médecin dans Le Médecin Volant :

« Je ferai aussi bien mourir une personne qu’aucun


médecin installé dans la ville. »

Et le ton de Voltaire, vis-à-vis de l’astrologie n’est


guère plus encourageant, lorsqu’il démontre qu’un
astrologue ne saurait se tromper toujours1 :

« Que deux astrologues consultés sur la vie d’un


enfant et sur la saison, l’un annonce que l’enfant
vivra âge d’homme, l’autre non ; Que l’un annonce
la pluie, et l’autre le beau temps, il est bien clair qu’il
y aura un prophète »…

L’Astrologie est une science plus lointaine encore que


la médecine, mais en définitive plus jeune parce que
moins beaucoup moins défrichée, et quand c’est le
cas, pas toujours par les personnes les plus expertes...

· La Médecine et l’Astrologie participent à la fois à la science et à l’art.


Le médecin fait de longues années d’études qui lui apportent les
connaissances indispensables pour pratiquer, ce qui n’en fera pas
pour autant un bon thérapeute. L’intuition et l’écoute, lui sont
nécessaires pour démêler le subjectif de l’objectif chez son patient
et l’expérience sera indispensable pour y parvenir. Et si le médecin
opère avec des données fort précises (température, scanner, IRM,
bilan sanguin etc…) ce ne sont là finalement que des facteurs très
incomplets d’une synthèse à faire, laquelle n’a rien de figée,
d’automatique ou de systématique. Ce n’est pas tant d’une maladie
qu’il s’agit, mais d’un malade, avec son soma certes, mais aussi son
psychisme, son histoire et sa généalogie … bref, avec toute sa richesse
et sa complexité… chaque cas étant spécifique.

De même, si chaque astrologue trace le même thème que son collègue, et


utilise de mêmes méthodes prévisionnelles, n’ayant pas la même sensibilité,
il n’aura pas la même approche que son confrère ; de ce fait, son
interprétation sera nuancée et parfois même différente.

· L’art intervient dès lors que le praticien interprète : le thème comporte


de nombreux symboles à clefs multiples qu’il conviendra d’interpréter
sur plusieurs plans; Cependant, ces symboles, qui ont une signification
universelle (Vénus est le symbole universel de l’amour) vont se
moduler selon la dominante et le tempérament (comme le soulignait
déjà Hippocrate) et selon l’ensemble sur lequel il s’inscrit (la Vénus
en question est maître de la maison II ou de la VI ). Aucun Larousse
médical ni dictionnaire astrologique aussi complet soi-il ne permettra
de donner le diagnostic !
L’astrologie est loin de n’être qu’un art divinatoire ou une mantique,
même si elle participe à des traditions ésotériques et même si elle
traite du destin et de l’avenir; l’astrologie poursuit, en définitive, la
même finalité que toute science humaine, à savoir la connaissance
des mécanismes humains. Il est certain que la notion de destin en
fait partie, mais elle appartient également aux philosophes, aux
psychologues, aux poètes et elle se retrouve aussi en biologie. La
science de l’homme ne saurait se désintéresser de l’univers. Une
biologie ne saurait se passer d’une cosmogonie…

· L’anamnèse est une démarche utile et nécessaire tant pour le médecin


que pour l’astrologue, pour pouvoir affiner le « diagnostic ». Sans
investigation préalable, il peut être aléatoire et risqué de « prévoir
». Il est donc souhaitable de prendre en compte le passé pour éclairer
l’avenir. La connaissance des transits décisifs du passé permet de
mieux comprendre le présent, de percevoir les réactions du sujet
face à un certain type de transits et par-là même de mieux
appréhender ses futures réactions.

Quatre siècles avant JC, Hippocrate avait déjà une perception


particulièrement ouverte de la médecine et de l’astrologie qui pourrait
paraître révolutionnaire actuellement :
«Nul ne peut se prétendre médecin s’il ne connaît
les bases de l’astrologie. »
« Le médecin qui se double d’un sage est l’égal
des dieux »
« Ce qui me paraît le mieux pour le médecin, c’est
d’être habile à prévoir. Pénétrant et exposant au
préalable, près des malades, le présent, le passé
et l’avenir de leurs maladies, expliquant ce qu’ils
omettent, il gagnera leur confiance…. »

Et, certains médecins ou chirurgiens pourraient en prendre de la graine


lorsque cet homme génial se penche sur la formulation du diagnostic :

« Ne rien lui laisser apercevoir de ce qui arrivera ou de ce qui le


menace, car plus d’un malade a été mis à toute extrémité pour cette
cause… »

II) Mécanismes en jeu lors d’une consultation

· Le premier mécanisme en jeu est le transfert que fait le consultant


sur l’astrologue, souvent investi d’un pouvoir qu’il ne possède pas.
C’est le même type de transfert qui se produit entre le malade et son
médecin.

Il arrive fréquemment que le seul fait de consulter son médecin guérisse


des maux avant même que ne soit posé le diagnostic ou prescrite
l’ordonnance. De même la simple écoute attentive et bienveillante de
l’astrologue suffit à dynamiser un sujet et lui donner envie d’agir et
d’entreprendre…
Combien de fois me suis-je sentie perplexe voire confuse lorsqu’un
consultant me félicite d’une consultation qui lui a fait « tellement de bien »
alors que, disponible certes, je n’ai pratiquement pas ouvert la bouche !
Ce n’est pas un scoop, l’effet « placebo » est partout dès lors qu’il s’établit
une relation affective, pour les uns, de confiance, pour les autres.

· Le second mécanisme est celui du contre-transfert c’est-à-dire


de celui du thérapeute pour son consultant.
Ce contre-transfert provoque un certain type de projections (positives ou
négatives) du praticien qui perd ainsi sa « neutralité bienveillante ».

De plus, l’astrologue, lors de la consultation, aborde nécessairement des


sujets qui sensibilisent fortement le consultant, lesquels résonnent au plus
profond de son être, notamment lorsque sont abordés certains thèmes
clés (la famille, les parents, le couple ou à la fratrie…).

· La consultation peut avoir un effet cathartique, notamment lorsque


l’astrologue, en suivant son fil d’Ariane arrive à donner une explication
à un certain type de comportement :

Afin d’étayer ces propos, les exemples concrets sont les plus parlants :

III) EXEMPLES :

« J’ai mal à mon père » (28 juin 1944, 12h30, F34)


Un consultant vient me voir en m’exposant son désenchantement, sa
déréliction face à ce qu’il nomme « son mauvais karma ». Il parle de sa
malchance chronique qui fait qu’au moment où son destin pourrait changer
positivement, la « scoumoune » s’abat immédiatement sur lui !
Lorsque je me penche sur son thème, je ne suis guère étonnée de constater
la présence d’un Saturne fort, en conjonction du Soleil, symptomatique de
son « complexe d’échec. La conjonction Lune-Neptune du lever, facteur
d’impressionnabilité et d’hypersensibilité renforce le sentiment d’infériorité
déjà présent avec Saturne.
Lorsque je me penche sur quelques transits passés et lui demande s’il n’a
pas eu un cap
professionnel
important à En mettant des mots sur des
trente ans (au
cycle de Saturne), attitudes ou des comportements,
il me répond
derechef : « Vous l’astrologue va donner un sens à
voyez comme je
n’ai pas de chance un certain type de conduites. Il
! J’ai failli changer
de travail et dédramatise et banalise ainsi
accéder à un
poste supérieur, certains schémas répétitifs.
mais le jour où je
fus convoqué
chez mon nouveau patron, vous ne me croirez pas, eh bien mon réveil n’a
pas sonné !… »
Lorsque, continuant l’investigation, je l’interroge sur le passage d’Uranus
au trigone de son Soleil, quelques temps après, la réponse est du même
ordre : Cette fois-ci le malheureux se trompe de train et part pour Lille
alors qu’il était convoqué pour un job intéressant à Saint Quentin !!! Nul
doute pour lui que les méchantes fées s’étaient liguées pour le harceler…
C’est alors que j’expose à cet homme, qui ne connaissait pas la psychologie,
qu’il ne devait s’en prendre ni à « la mauvaise étoile » ni au « méchant
karma », ni non plus à l’envoûteur du coin… mais plutôt à lui-même, son
principal ennemi.
Je lui explique alors ce «complexe d’échec » lié à un père tout-puissant, sa
peur de le dépasser, son auto-punition, sa culpabilité qui le font échouer
au moment où il pourrait le dépasser…

En mettant des mots sur des attitudes ou comportements, l’astrologue va


donner sens à un certain type de conduites. Il dédramatise et banalise
certains schémas répétitifs dans lesquels le sujet s’enlisait qui de plus,
semblaient lui échapper et ne pas lui appartenir. Ces actes ne sont plus
des malédictions sur lesquelles il ne peut rien ; ils sont fondés, ont leur
logique et il peut, de ce fait, avoir une prise sur eux puisqu’il en devient
responsable ; il n’est plus l’objet de persécutions extérieures.
Par la mise en lumière d’aspects clés du thème, par la vérification de
quelques transits passés (comment se sont-ils vécus ?) l’astrologue suggère
une explication à certains comportements, pose un « diagnostic » en quelque
sorte et propose une solution pour éviter cette fameuse répétition, une
thérapie par exemple…
Ainsi, MR X, en bon saturnien, entama une psychothérapie qui lui permit
quelques années plus tard d’avoir la carrière qu’il méritait…

« J’ai mal à mes ancêtres ! » ( Paris le 12 novembre1966, 9h)

Mme Y vient « en urgence » en consultation : sa maternité qu’elle croyait


désirée la panique soudain au point qu’elle en vient à envisager un
avortement.

L’examen du thème me laisse perplexe quant à cette importante maison


XII contenant une Nouvelle Lune en Scorpion conjointe à Neptune ainsi
qu’à Vénus.
Avec Catherine Gestas, nous avons remarqué que les thèmes des personnes
marquées par des histoires généalogiques lourdes présentaient les maisons
XII (celle de l’inconscient générationnel) et VIII (celle des « fantômes »)
particulièrement significatives et chargées de planètes importantes, ainsi
que l’axe IV-X, naturellement.

Cet exemple est à ce titre un « prototype » du genre :

· Une triple conjonction Mars-Uranus-Pluton culminante opposée à


Saturne-Lune-Noire au FC,
· Quatre planètes en XII dont le Soleil et la Lune,
· Jupiter, maître d’ascendant en VIII.

Par ailleurs, la forte dominante neptunienne ne manque pas de rendre la


native particulièrement réceptive à son environnement et le fait que Neptune
soit conjoint au Soleil, à la Lune et au Nœud Sud, (le Nœud qui a trait à
l’ancestralité) la rend véritablement perméable aux « mémoires ancestrales
».

· Et si l’on se penche sur le jour de la consultation : le 7 avril 2004,


c’est le moment important du carré de Pluton à lui-même et à la
triple conjonction Mars-Uranus-Pluton natale. Sachant que Pluton
est maître du Soleil et de la Lune, on comprend que le carré de
Pluton soulève un questionnement familial. De plus, en ce mois d’avril,
la Lune Noire et Mars en Gémeaux étaient dans le ciel en opposition
à Pluton et au carré d’Uranus en Poissons, reproduisant ainsi la
dissonance natale ! Neptune à 15° Verseau commençait son carré à
la Lune natale et à sa configuration de naissance. Quant au 7 avril, la
Lune était en Scorpion en conjonction du Nœud Sud comme au natal
! N’est-ce pas impressionnant ! Nul doute que le 7 fut un jour J !

Mon sentiment était celui d’une forte imprégnation familiale, d’un probable
secret de famille qui pèserait sur sa vie, même et surtout si elle n’en a
aucune conscience. En l’interrogent sur ses antécédents, ses parents et
grands-parents, il semblait pourtant ne pas y avoir, à sa connaissance, de
problèmes.
Pourtant, elle me dit avoir subi trois avortements, dont le premier à 19 ans
au moment du retour des Nœuds Lunaires et du carré d’Uranus à Mars-
Pluton-Uranus… Ces grossesses non désirées seraient survenues, selon
elle, « au mauvais moment ». Mais à présent, ce n’est pas le cas. Elle est
avec un compagnon depuis quelques temps et a désiré cet enfant. Enceinte
de quatre mois, elle est brusquement confrontée à un état de panique
compulsif : il faut qu’elle avorte !… Elle ne comprend pas ce qui lui arrive ;
manifestement quelque chose lui échappe complètement : « Suis-je
envoûtée ? J’ai peur d’être folle ! » me confie-t-elle angoissée…

Je suggère à cette consultante de me fournir l’Etat-Civil de ses parents et


grands-parents et lui propose de la revoir ensuite, lui suggérant d’interroger
ses parents.
Parmi les thèmes des ancêtres qu’elle m’a donnés, je suis attirée
immédiatement par celui de sa grand-mère maternelle, constatant
d’importantes résonances avec le sien.

Sa grand-mère maternelle née le 8 septembre 1929 à 14h15 à Brest et les


similitudes entre leurs thèmes sont impressionnantes :

· La même angularité Mars-Uranus-Pluton sur l’axe IV-X,


· Le même ascendant Sagittaire,
· La même Lune en Scorpion conjointe au Nœud Sud quasiment au
même degré.

· Saturne angulaire.
.
La maison VIII de sa grand-mère contient Pluton, maître de XII mais surtout
Vénus, maître de V. Sa grand-mère aurait-elle perdu un enfant ? Mme Y
n’en a aucune idée, sa mère non plus. Je lui conseille de mener l’enquête
de son côté…

Un mois après, Mme Y me téléphone et me raconte l’histoire suivante :


Marguerite, sa grand-mère maternelle, « fille-mère », accoucha à 19 ans
d’une petite fille qu’elle ne put garder : ses parents, face au scandale
d’une grossesse hors mariage, l’ont obligée à accoucher loin de son village
et à abandonner son enfant. Elle se maria ensuite et eut trois enfants,
gardant son terrible secret au plus profond d’elle-même.

Mais le fantôme était bel et bien là, présent dans le thème de la petite fille
: sa Lune-Scorpion conjointe au Nœud Sud était en complète résonance
avec celle de sa grand-mère. Comme son aïeule, madame Y est tombée
enceinte à 19 ans, moment crucial du cycle des Nœuds à leur Lune et a
avorté la première fois, à l’âge où sa grand-mère dut abandonner son
enfant,.
C’est au deuxième cycle des Nœuds que mme Y décide d’avoir un enfant
et vit cet épisode de compulsion.
La consultation fut dans ce cas précis particulièrement éclairante à plusieurs
niveaux. D’abord, elle comprit le sens de ses compulsions, ces pensées
parasites qui ne lui appartenaient pas. Elle put continuer calmement sa
grossesse et mettre au monde une petite fille quelques mois après. Mais
ce qui est important et dépasse son cas personnel, c’est la levée de ce
secret de famille qui permettra d’arrêter la chaîne sur les descendants…

Un autre exemple : Mr B (Paris le 17 octobre 1952, 13h30)

« Lève-toi et marche ! »

Un homme vient en consultation en 1993, curieusement chez une


astrologue, pour avoir un diagnostic médical ! Il faut dire que j’étais passée,
quelques jours avant dans une émission de télévision « santé à la une » où
il était question d’astrologie médicale et cela me valut des consultations de
ce type.
Les spécialistes consultés par ce consultant n’étant pas d’accord sur le
diagnostic (problème cardiaque ou pulmonaire) le patient devait être opéré
dans une semaine pour voir ce qu’il avait !!!
Il va de soi qu’il est hors de question que l’astrologue se substitue au
médecin pour faire un diagnostic médical. Cependant, il faut savoir que si
les médecins hésitent c’est que les symptômes ne sont pas d’ordre médical,
naturellement, mais psychique, et que l’astrologue rencontrera
pratiquement toujours une dominante neptunienne chez le patient. Bien
souvent, ces symptômes ne sont pas les siens mais bien souvent ceux
d’un proche…

L’examen du thème confirme la dominante neptunienne : le natif possède


une quadruple conjonction à la culmination Soleil-Lune-Saturne-Neptune
en Balance. Etant ascendant Capricorne, Saturne, le maître d’ascendant
s’identifie à Soleil-Neptune, marquant ainsi l’identification au père.

Je commence l’investigation en lui demandant si sa maladie n’a pas


commencé en 1989 lors de la conjonction Saturne-Neptune en Capricorne
transitant son ascendant. Il confirme cette date comme correspondant au
début de ses symptômes. Lorsque je lui demande s’il n’a pas vécu une
rupture ou une crise affective à ce moment-là, il me répond par la négative.
Venant consulter sous la conjonction Uranus-Neptune sur son ascendant
au carré de la quadruple conjonction natale, je présume que son état de
santé s’est aggravé cette année, ce qui était le cas. De nouveau, je lui
demande s’il n’a pas vécu une rupture affective cette année et il me répond
qu’il n’a jamais eu de vie affective et est seul…

Je commence alors à parler de son thème et de l’importance de son père


dans sa vie (Saturne, maître d’ascendant s’identifie au Soleil). A peine
prononçais-je ces mots qu’il se met à pleurer…
Je comprends alors que ce n’était pas d’une rupture affective qu’il s’agissait,
comme facteur déclenchant de sa maladie, mais que ces troubles devaient
être liés à des événements concernant son père.
Ainsi, en 1989, le père a fait un infarctus, en 1992, il est mort. Et en 1989,
cet homme a commencé à faire de la tachycardie…
En 1992 son père a une congestion pulmonaire. Aussitôt il développe des
symptômes diffus, oscillant entre troubles cardiaques et pulmonaires… Ces
troubles étaient identiques à ceux de son père.

Tout s’éclaire alors : en bon neptunien, cet homme était tellement en


osmose avec son père qu’il a manifesté des troubles psychosomatiques
identiques aux symptômes paternels.
A peine exposée l’explication de cette osmose avec son père, de ses « faux
symptômes » qui expliquent la confusion des médecins, que le consultant
se lève et me dit : « Je suis guéri ! »

Certains jours, l’astrologie est véritablement thérapeutique !

CONCLUSION

La simple lecture du thème astrologique, permet à l’astrologue de mettre en mots ce que le


sujet vit ou ressent parfois plus ou moins confusément. Par-là, il donne sens à certains schémas
ou comportement pas toujours conscientisés.
Et le moment où le sujet expose sa problématique où il vit son questionnement est véritablement
perceptible par n’importe qu’elle méthode prévisionnelle (transits, progressions, RS).
C’est en cela que l’astrologie peut apporter des soulagements à des maux et proposer des
démarches libératrices.

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