Cours Informatique - 01 - Le Clavier Et La Souris
Cours Informatique - 01 - Le Clavier Et La Souris
Cours Informatique - 01 - Le Clavier Et La Souris
Thomas Bourdon
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Pour communiquer avec un ordinateur, l’être humain a besoin de plusieurs périphériques. Les
plus importants sont le moniteur, le clavier et la souris.
Le clavier et la souris sont appelés périphériques d’entrée car ce sont eux qui permettent d’envoyer
des informations vers l’ordinateur. Le moniteur est un périphérique de sortie car il affiche le résultat
du travail de l’ordinateur.
1 La souris
Elle permet de déplacer le curseur de la souris, visible sur le moniteur sous forme d’une flèche
dans la plupart des cas, vers la gauche, la droite, le haut et le bas. Elle possède deux boutons et une
molette :
– bouton gauche : il s’agit du bouton principal, et permet différentes actions en fonction de
l’objet pointé par le curseur. Par exemple, un simple clic sur une icône va la sélectionner, et un
double-clic va exécuter le programme associé à celle-ci.
– bouton droit : il permet d’afficher un menu contextuel qui va lister les différentes actions
possibles en fonction de l’objet pointé.
– molette : elle est située entre le bouton gauche et le bouton droit. Elle s’utilise en la déplaçant
vers le haut ou le bas, et permet de se déplacer dans une fenêtre. Par exemple lorsque nous
lisons un long article qui n’est pas visible totalement sur le moniteur, elle nous permet d’afficher
la suite facilement.
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2 Le clavier
Pour saisir des caractères, il est nécessaire de se trouver dans une zone de texte. Comme vous pou-
vez vous en douter, une pression sur la touche «A» va afficher un «A». Mais chaque touche contient
plusieurs caractères. Par exemple chaque lettre peut être saisie en minuscule ou en majuscule en
utilisant la même touche
Le caractère situé :
– en bas à gauche se saisit uniquement en pressant sur la touche «E».
– en haut à gauche se saisit en maintenant la touche MAJ enfoncée et en pressant la touche «E».
– en bas à droite se saisit en maintenant la touche Alt Gr enfoncée et en pressant la touche «E».
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2.1.3 Suppr arrière ou Backspace
Cette touche permet d’effacer le caractère situé à gauche du curseur.
2.1.4 Entrée
Cette touche est fondamentale. Elle sert d’une manière générale à valider une action en cours.
Dans un logiciel de traitement de texte, elle permet de revenir à la ligne.
2.2.1 Suppr
Comme la touche Suppr arrière, elle permet d’effacer un caractère, mais agit sur celui qui est
placé à droite du curseur.
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Il permet de saisir une série de chiffres plus aisément qu’avec la partie gauche du clavier. La
touche NumLock (ou Verr Num doit être activée pour utiliser ces chiffres Le voyant à gauche est
allumé lorsque le pavé est bien activé.
Extrait de Derniers contes d’Edgar Allan Poe, traduit par Félix Rabbe. Source : http://fr.wikisource.org/wiki/La_Cryptographie
Il nous est difficile d’imaginer un temps où n’ait pas existé, sinon la nécessité, au moins
un désir de transmettre des informations d’individu à individu, de manière à déjouer
l’intelligence du public ; aussi pouvons-nous hardiment supposer que l’écriture chiffrée
remonte à une très haute antiquité. C’est pourquoi, De la Guilletière nous semble dans
l’erreur, quand il soutient, dans son livre : «Lacédémone ancienne et moderne», que les
Spartiates furent les inventeurs de la Cryptographie. Il parle des scytales, comme si elles
étaient l’origine de cet art ; il n’aurait dû les citer que comme un des plus anciens exemples
dont l’histoire fasse mention. Les scytales étaient deux cylindres en bois, exactement
semblables sous tous rapports. Le général d’une armée partant, pour une expédition,
recevait des Éphores un de ces cylindres, et l’autre restait entre leurs mains. S’ils avaient
quelque communication à se faire, une lanière étroite de parchemin était enroulée autour
de la scytale, de manière à ce que les bords de cette lanière fussent exactement accolés l’un
à l’autre. Alors on écrivait sur le parchemin dans le sens de la longueur du cylindre, après
quoi on déroulait la bande, et on l’expédiait. Si par hasard, le message était intercepté,
la lettre restait inintelligible pour ceux qui l’avaient saisie. Si elle arrivait intacte à sa
destination, le destinataire n’avait qu’à en envelopper le second cylindre pour déchiffrer
l’écriture. Si ce mode si simple de cryptographie est parvenu jusqu’à nous, nous le devons
probablement plutôt aux usages historiques qu’on en faisait qu’à toute autre cause. De
semblables moyens de communication secrète ont dû être contemporains de l’invention
des caractères d’écriture.