Mon Rapport de M2 2021
Mon Rapport de M2 2021
Mon Rapport de M2 2021
Dédicace
A ma famille
L’entrée dans cet établissement se fait par concours pour les élèves professeurs et sur étude de
dossiers pour les cours de promotions sociales (BTS, Licence professionnels et Master
professionnel. La formation se fait en deux cycles sanctionnée par un diplôme de de
professeurs d’enseignement technique tel que suit :
C’est dans le souci de doter les entreprises camerounaises des ingénieurs qualifiés, compétent,
et directement opérationnels, que l’ESET, institution étatique à crée en novembre 2005, trois
autres cycle de formation purement professionnels dirigés par le CPS (Cours de Promotion
Social) sous l’autorité du directeur de l’ENSET.
Cycle licence
Génie civil (GCI)
Gestion Technico commerciale (GTC)
Génie mécanique (GME)
Génie électrique (GEL)
Génie Informatique (GI)
Gestion des ressources humaines (GRH)
Banque et micro finance (BMF)
Industrie Textile et d’habillement (IH)
Master professionnel
Génie civil (GCI)
Gestion Technico commerciale (GTC)
Génie mécanique (GME)
Génie électrique (GEL)
Génie Informatique (GI)
Gestion des ressources humaines (GRH)
Banque et micro finance (BMF)
Industrie Textile et d’habillement (IH)
Pour parfaire la formation des étudiants, l’ENSET de douala a prévu dans sa palette de
programmes des stages en entreprise aux étudiants leurs permettant de développer l’esprit de
recherche et de travail en équipe pour adapter les compétences acquises durant la formation
dans le milieu professionnel.
Résumé
La technologie 4G-LTE est une nouvelle technologie de téléphonie mobile sans fil
issue de l’évolution des réseaux de téléphonie qui l’ont précédé ; avec une architecture
entièrement numérique et à intégration de services. Elle dispose d’un ensemble de techniques
de transmission d’ondes hertziennes permettant de connecter un utilisateur distant au réseau
IP par l’intermédiaire d’équipements radio. Son rôle, consiste à offrir une qualité de service
(QoS) meilleure et une véritable augmentation du débit que celle des réseaux qui l’ont
précédé. Dans ce travail de recherche nous avons étudié le réseau 4G-LTE dans le but
d’accroitre la capacité et d’optimiser la bande passante des utilisateurs d’un réseau cellulaire
en mettant en œuvre un modèle d’étude basé sur deux quartier de la ville de douala avec des
résultats de transmission prévue pour une valeur négligeable d’interférences et de
chevauchement de cellule ; tout ceux si seront obtenue en simulation grâce à un outil de
dimensionnement conçue pour ce type de prévision.
Historiques..........................................................................................................................2
Le réseau GSM...................................................................................................................6
Le réseau LTE-Advanced.....................................................................................................33
: MATERIELS ET METHODES..........................................................................35
Pré-dimensionnement.......................................................................................................35
Dimensionnement de la couverture...................................................................................36
Dimensionnement de la capacité.......................................................................................36
Optimisation.....................................................................................................................36
Cahier de charges.....................................................................................................................47
Résultats attendus.............................................................................................................48
Introduction générale
L’évolution de la téléphonie mobile de nos jours ne cesse de subir une traversée de
phases liées aux progrès technologiques, ceci ce faisant remarqué par une génération
successive de réseaux de télécommunication tels que la téléphonie fixe, ensuite par une autre
génération de téléphone dites mobile à savoir les réseaux de première génération(1G) qui étais
uniquement un réseau de téléphonie basée sur un modèle analogique, en suite le GSM, dit
réseau de seconde génération(2G) ; suite au développement de l’internet et au désir de son
incorporation dans les téléphones mobiles l’UMTS dit réseau de troisième génération(3G) vue
le jour.
Cependant les utilisateurs et abonnées des dits réseaux précédent se plaignant de la lenteur,
d’absence de services et de la non accessibilité de certains services dans des zones reculées
dite non couverte, due à des problèmes de capacité, de rendement, de débits et de bandes
passantes. Afin d’apporter des solutions pour palier à ces exigences, d’autre types de réseaux
ont vu le jour à savoir la quatrième génération(4G-LTE), réseau essentiellement numérique et
par la suite la cinquième génération.
Accroitre les déficits des réseaux prés-existant étant le but des opérateurs des réseaux
de télécommunication, la planification et le dimensionnement de ceux-ci restes le défi majeur.
C’est dans cet optique que se définit notre travaille à savoir << DIMENTIONNEMENT ET
PLANIFICATION DUN RESEAU 4G-LTE>> et pour cela, nous avons structuré nôtres
travail en une somme de quatre chapitre qui tourneront graduellement au tour d’un axe définit
telque suit : dans un premier temps nous parlerons des généralités et évolution sur les réseaux
mobiles ; dans un second nous détaillerons le réseau mobile 4G-LTE, à la suite nous
présenterons les méthodes et matériaux ayant permis l’aboutissement de notre étude, et par la
fin nous ferons une études de cas de planification et de dimensionnement basé sur la zone
combiner de Bonamoussadie et de Denver deux quartiers de la ville de Douala.
Préambule
Historiques.
En 1854, l’inventeur français Charles Bourseul fut le premier à imaginer un système de
transmission électrique de la parole. En 1877, l’américain Alexander Graham Bell construisit
le premier téléphone capable de transmettre la voix humaine, tout en respectant sa qualité et
son timbre.
Pour fournir une réception de bonne qualité, les antennes relais doivent être situées près
des utilisateurs de téléphones mobiles. Un réseau de téléphonie mobile est généralement
conçu selon un modèle de « réseau cellulaire » couvrant une zone géographique. Les antennes
relais sont placées au centre de chaque cellule ou à la jonction d’un groupe de cellules. Le
nombre d’antennes relais requis pour une zone donnée dépend du terrain et du nombre de
personnes utilisant un téléphone mobile.
Les réseaux de téléphonie mobile ont une capacité limitée, c’est-à-dire qu’ils ne peuvent
pas gérer plus d’un certain nombre d’appels simultanés. Plus le nombre de personnes utilisant
un téléphone mobile est important, plus la capacité sollicitée est importante. Cela implique
généralement d’installer plus d’antennes relais dans la zone. Les réseaux de téléphonie mobile
doivent être conçus en fonction de la population locale et du nombre de personnes utilisant le
réseau.
Apparue dans les années 70, la 1G, qui est la première génération de réseaux mobiles est
uniquement dédiée aux appels vocaux. Elle repose sur une technologie dite « analogique ».
Ceci à la différence des générations suivantes de téléphonie mobile (2G, 3G, 4G, 5G) qui,
elles, exploitent la technologie « numérique ».
AMPS (Advanced Mobile Phone System), apparu en 1976 aux Etats-Unis, constitue le
premier standard de réseau cellulaire. Utilisé principalement Outre-Atlantique, en
Russie et en Asie, ce réseau analogique de première génération possédait de faibles
mécanismes de sécurité rendant possible le piratage de lignes téléphoniques.
TACS (Total Access Communication System) est la version européenne du modèle
AMPS. Utilisant la bande de fréquence de 900 MHz, ce système fut notamment
largement utilisé en Angleterre, puis en Asie (Hong-Kong et Japon).
ETACS (Extended Total Access Communication System) est une version améliorée
du standard TACS développé au Royaume-Uni utilisant un nombre plus important de
canaux de communication.
NMT (Nordic Mobile Téléphone) fait son apparition en Scandinavie en 1981
Les réseaux cellulaires de premières génération ont été rendus obsolètes avec l'apparition
d'une seconde génération entièrement numérique.
Technique d’accès
La méthode d’accès utiliser ici est La méthode d’accès FDMA (Frequency Division
Multiple Access) ou Accès Multiple par Répartition de Fréquences (AMRF) repose sur un
multiplexage en fréquences. Un tel procédé divise la bande de fréquences en plusieurs sous
bandes. Chacune est placée sur une fréquence dite porteuse ou carrier qui est la fréquence
spécifique du canal. Chaque porteuse ne peut transporter que le signal d’un seul utilisateur.
Cette allocation est généralement statique dans les réseaux fixes et dynamiques dans les
réseaux mobiles.
Comme dans tous les cas de modulation, le message est un signal à basse fréquence (BF), et la
porteuse un signal à haute fréquence (HF).
C’est ce qui a donné naissance à d’autres générations afin de compléter et de dépasser ces
limites.
Le réseau GSM
La seconde génération de réseaux mobiles (notée 2G) a marqué une rupture avec la
première génération de téléphones cellulaires grâce au passage de l'analogique vers le
numérique. Grâce aux réseaux 2G, il est possible de transmettre la voix ainsi que des données
numériques de faible volume, par exemple des messages textes (SMS, pour Short Message
Service) ou des messages multimédias (MMS, pour Multimedia Message Service). La norme
GSM permet un débit maximal de 9,6 kbps.
Architecture du GSM
Comme le montre la figure 4, le réseau GSM est composé essentiellement de : la station
mobile(MS), le sous-système radio (BSS), le sous-système réseau (NSS), le sous-système
d’exploitation et de maintenance (OSS)
Le téléphone portable est identifié par le numéro IMEI. Ce numéro renseigne sur le
type d’équipement, l’identité du constructeur et le numéro de série. La carte SIM contient le
numéro IMSI, mais aussi une clé secrète pour la sécurité, ainsi que d’autres informations. Les
numéros IMEI et IMSI sont indépendants, ce qui permet la séparation du téléphone portable et
de l’utilisateur. De plus, la carte SIM protège l’abonné des connections frauduleuses par
l’introduction d’un numéro d’identité personnel (code PIN) lors de l’accès au réseau.
Caractéristiques du GSM
Le réseau GSM se caractérise par un certain nombre d’élément dont nous pouvons énumérer
tel que suit
i- Concept cellulaire
Les réseaux de première génération possédaient des cellules de grande taille (50 [km] de
rayon) au centre desquelles se situait une station de base (antenne d'émission). Au tout début,
ce système allouait une bande de fréquences de manière statique à chaque utilisateur qui se
trouvait dans la cellule qu'il en ait besoin ou non. Ce système ne permettait donc de fournir un
service qu'à un nombre d'utilisateurs égal au nombre de bandes de fréquences disponibles. La
première amélioration consista à allouer un canal à un utilisateur uniquement à partir du
moment où celui-ci en avait besoin permettant ainsi d'augmenter le nombre d'abonnés. Mais
ce système nécessitait toujours des stations mobiles de puissances d'émission importantes (8
[W]) et donc des appareils mobiles de taille et de poids conséquents. De plus, afin d'éviter les
interférences, deux cellules adjacentes ne peuvent pas utiliser les mêmes fréquences. Cette
organisation du réseau utilise donc le spectre fréquentiel d'une manière sous-optimale.
C'est pour résoudre ces différents problèmes qu'est apparu le concept de cellule. Le
principe de ce système est de diviser le territoire en de petites zones, appelées cellules, et de
partager les fréquences radio entre celles-ci. Ainsi, chaque cellule est constituée d'une station
de base (reliée au Réseau Téléphonique Commuté, RTC) à laquelle on associe un certain
nombre de fréquences. Comme précédemment, ces fréquences ne peuvent pas être utilisées
dans les cellules adjacentes afin d'éviter les interférences. Ainsi, on définit des motifs, appelés
motifs ou clusters, constitués de plusieurs cellules, dans lesquels chaque fréquence est utilisée
une seule fois.
Graphiquement, on représente une cellule par un hexagone car cette forme approche
celle d'un cercle. Cependant, en fonction de la nature du terrain et des constructions, les
cellules n'ont pas une forme circulaire. De plus, afin de permettre à un utilisateur passant
d'une cellule
à une autre de garder sa communication, il est nécessaire que les zones de couverture se
recouvrent de 10 à 15%.
Pour éviter les interférences entre cellules utilisant les mêmes fréquences, il est
également possible d'asservir la puissance d'émission de la station de base en fonction de la
distance qui la sépare de l'utilisateur. Le même processus du contrôle de la puissance
d'émission est également appliqué en sens inverse. En effet, pour diminuer la consommation
d'énergie des mobiles et ainsi augmenter leur autonomie, leur puissance d'émission est
calculée en fonction de leur distance à la station de base.
Il faut noter que la taille des cellules n'est pas la même sur tout le territoire. En effet,
celle-ci depend :
Ainsi, dans une zone rurale où le nombre d'abonnés est faible et le terrain relativement
plat, les cellules seront plus grandes qu'en ville où le nombre d'utilisateurs est très important
sur une petite zone et où l'atténuation due aux bâtiments est forte. Un opérateur devra donc
tenir compte des contraintes du relief topographique et des contraintes urbanistiques pour
dimensionner les cellules de son réseau. [12]
Figure 8:descriptif de l'adaptation des cellules en fonction de la densité et des besoin de chacune [12]
ii- Le Handover
Le handover désigne l'ensemble des opérations mises en œuvre pour permettre qu'un
téléphone mobile ou un smartphone (dénommés station mobile - MS en GSM, ou user
equipment dans les réseaux 3G et 4G) puisse changer de cellule radio sans interruption de la
conversation ou du transfert des données.
Ce mécanisme peut être complété par un service d'itinérance, qui se manifeste dans le
cas où la station mobile quitte une cellule gérée par un opérateur pour une autre appartenant à
un autre opérateur, qu'il y ait, ou pas, une conversation en cours.
Le handover peut également avoir lieu entre des canaux ou cellules radio gérés par une
seule BTS ou un node B (on parle alors de handover intracellulaire), par exemple lorsque la
station mobile passe d'un canal radio vers un autre, à cause d'une détérioration du lien radio
(trop d'interférences dans la bande de fréquence du canal d'origine) ou change de secteur (les
antennes sont souvent regroupées par trois sur un pylône où chacune émet dans un angle de
120°, soit 360° au total, ces 3 secteurs sont gérés par une seule BTS ou un seul Node B).
Différentes interfaces du GSM
Tableau 2:tableau relatant le rôle des différentes liaisons de l'architecture d'un réseau GSM.
Supervision de la BTS.
Activation/désactivation des
A-bis BTS-BSC ressources radio. Cette
interface n’est pas normalisée.
Etablissement et libération de
la communication Allocation
A BSC-MSC des ressources et gestion du
Handover.
Echange d’informations usager
et mis à jour de zone de
localisation. Cette interface est
B MSC-VLR non normalisée car les
fonctions du MSC et du VLR
sont souvent intégrées dans un
seul
équipement.
Interrogation du HLR pour
joindre un abonné mobile.
C GMSC-HLR
Vérification de l’identité du
terminal.
F MSC-EIR
Architecture du GPRS
L'intégration du GPRS dans une architecture GSM nécessite l'ajonction de nouveaux noeuds
réseau appelés GSN (GPRS support nodes) situés sur un réseau fédérateur (backbone) :
Le SGSN (Serving GPRS Support Node, soit en français Noeud de support GPRS de
service), routeur permettant de gérer les coordonnées des terminaux de la zone et de réaliser
l'interface de transit des paquets avec la passerelle GGSN.
Le GGSN (Gateway GPRS Support Node, soit en français Noeud de support GPRS
passerelle), passerelle s'interfaçant avec les autres réseaux de données (internet). Le GGSN
est notamment chargé de fournir une adresse IP aux terminaux mobiles pendant toute la
durée de la connexion.
Les caractéristiques minimales requises pour assurer le démarrage de l’UMTS portent sur
trois domaines: Les services, le réseau d’accès radio et le réseau de transport.
Étude de l’existant
Les réseaux qui précèdent la4ème génération de réseau mobile sont, connue pour leurs
évolutivités croissantes notamment en terme de débits, d’innovation technologique, de
nombres
d’outils lier et regrouper par unité de surface et aussi par leurs architectures devenue de moins
en moins complexe ce qui place la 4G a une place de choix dans la communication et le
transfert de donner ceci grâce au différents éléments qui constitue son ossature (architecture
interne qu’externe).
Critique de l’existant
Les limites de débits imposées par les réseaux préexistant appel à la nouvelle génération de
systèmes à débit croissant, Ces évolutions apportent et apporteront les bénéfices suivants :
des débits plus élevés sur les liens montants et descendants du réseau, grâce à
l’agrégation de porteuses ;
des performances radios accrues au niveau d'une cellule pour servir plus de terminaux,
grâce aux évolutions de la technologie MIMO ;
La possibilité de déployer des relais radio à coût plus faible qui viendront étendre la
couverture d'une cellule ;
Une plus grande souplesse en termes de capacité de trafic et de nombre de terminaux
supportés par le réseau.
Moins d'interférences entre 2 cellules radio mitoyennes.
Problématique
L’évolutions proposées par le 3GPP apparaissent pour les acteurs du marché des
télécommunications comme un excellent moyen de rétablir l’équilibre concurrentiel ou de
prendre le dessus. Dès lors se pose toujours les difficultés liées aux opérations de planification
et d’optimisation des réseaux basées sur ces technologies 4G. La planification et le
dimensionnement des réseaux mobiles est un processus itératif composé de plusieurs phases,
présentant chacune un degré de complexité différent ; pour ceci il est important de définir les
critères, les normes et les besoins qui sont nécessaire aux résolutions des problèmes rencontré
dans le fonctionnement des technologies qui ont précédé le réseau 4G-LTE. De nos jours, l’on
assiste à de nombreux outils permettant de palier à ces difficultés. Ils sont pour la plupart
proposés aux opérateurs par leurs équipementiers. Toutefois, il nous est a noté que certains de
ces outils sont fortement basés sur des données de cartographie qui ne sont pas toujours
exacte, Ajouté à cela, il y a aussi le problème lié à l’identification et la classification des
objets se trouvant dans la zone d’étude et qui constitue des éléments majeurs à prendre en
compte dans le calcul des atténuations ou du niveau de puissance reçu.
Objectifs
L’objectif pour nous ici est qu’à base de données recueillis, d’outils et de calculs opéré
que nous proposerons par la suite nous puissions établir une cartographie détaillée d’une zone
couverte par la technologie réseau 4G-LTE que nous prendrons soin d’implémenter et qui
puisse desservir la zone choisit avec les différents paramètres prédéfinit.
Description du projet
L’objectif de notre travail ici est d’étudier les réseaux qui ont précédé le réseau 4G-
LTE, de donner quelques aspects du réseau 4G-LTE notamment dans les plus-values apporté
par ce dernier ; simuler une couverture géographique d’une zone que nous prendrons le soin
de présenté. Pour le faire il faut commencer par le dimensionnement et la planification de
couverture et des fréquences de ce réseau ainsi de faire une étude des performances en terme
de capacité ; ces travaux ne nous seront possible par l’intervention d’un outil de planification
nommer Atoll.
Pour mener à bien notre travail nous suivrons une démarche bien définit qui débutera
par le dimensionnement par couverture et par capacité qui précisera ainsi le nombre de spectre
de fréquence utilisé ainsi que les tailles permises par celles si. Ensuite nous effectuerons une
validation des résultats obtenue grâce à l’application suscité pour pré visualisé nos résultats.
Par la suite nous effectuerons un travail de planification de notre réseau afin de démêlé
les différents problèmes susceptibles d’entacher la propagation de notre réseau ; les résultats
de tout ceci seront discuter et commenter par la suite.
: LE RESEAUX MOBILE 4G-
LTE
Préambule
L’une des évolutions importantes de la 4G est la VOLTE (Voice over LTE) qui assure une
qualité supérieure des appels vocaux sans trop consommer de bande passante et permet de
garder active la connexion 4G pendant la communication téléphonique, cela nécessite des
terminaux compatibles. La norme LTE-Advanced aussi nommée 4G est une version
améliorée de la norme 4G, celle-ci permet d’améliorer les performances d’une
communication radio- mobile.
Le débit de cellule doit être atteignable au moins par 95 % des utilisateurs de la cellule.
Efficacité QOS
Le réseau LTE offre ces applications citées, qui ont des besoins QoS. Puisque c’est
réseau tout paquet, il est nécessaire de disposer un mécanisme pour faire la différenciation
entre les flux de paquet selon exigences de qualité de service. Le QOS des flux appelés
porteurs EPS sont établies entre l'UE et le P-GW : c’est un support radio qui transporte les
paquets d'un porteur (bearer) EPS entre un équipement utilisateur et un eNodeB. Chaque flux
IP est associé à un porteur différent EPS et le réseau décide la priorité du trafic. Lors de la
réception d'un paquet IP à partir d'Internet, P-GW effectue la classification des paquets en
fonction de certains paramètres prédéfinis et lui envoie un porteur approprié EPS. []
Le LTE a défini les classes de services qu’il peut offrir et qui dépendent de la QoS désirée par
l’utilisateur. La qualité de service est généralement définie par les critères suivants :
L’interface X2 : c’est une interface logique, introduite dans le but de permettre aux e-
NodeBs d’échanger des informations de signalisation durant le Handover sans faire
intervenir le réseau cœur. L’e-NodeB est relié au cœur du réseau à travers l’interface S1.
L’interface S1 : c’est l’interface intermédiaire entre le réseau d’accès et le réseau cœur,
elle peut être divisée en deux interfaces élémentaires qui sont la S1-U (S1 usager) entre
l’e- NodeB et le SGW, et la S1-C (S1 contrôle) entre l’e-NodeB et le MME.
- SGW « Serving GateWay » : cette entité est responsable du transfert d’un relai à un autre, il
gère tout l’aspect Handover inter-eNodeB et effectuer ce transfert vers un réseau 2G ou 3G.
- PGW « Packet data network Gateway » : c’est la passerelle vers les réseaux externes,
responsable du routage en assignant une adresse IP au mobile au moment de l’attachement au
réseau. PGW est un point pour faire le filtrage des données, il participe aussi à l’opération de taxation.
- HSS « Home Subscriber Server » : cette entité est contient le profil de l’abonné pour les réseaux :
2G, 3G et LTE.
- PCRF « Policy Charging Rules Function »: cette entité fournit au PGW les règles de taxations
nécessaires pour différencier les flux de données et de les taxer d’une façon convenable.
i- Plan de contrôle
Le plan de contrôle transmet des messages de signalisation telles que la signalisation de
gestion de ressource radio, de gestion de mobilité, des services NAS (Non Access Stratum),
des autres procédures entre mobile et réseau cœur.
La pile protocolaire à l’interface radio est presque la même que celle du plan utilisateur.
Mais les paquets du plan contrôle sont transmis avec la priorité supérieure et une protection
radio supérieure grâce à la couche MAC qui transmet des canaux logiques vers les canaux de
transport correspondants.
Les données sont transmises par un tunnel GTP-U. GTP-U est une partie du protocole
GTP, l’autre partie est GTP-C liée au plan contrôle. Autre la fonction d’établir une connexion
de bout en bout entre le mobile et le serveur d’application, le protocole GTP s’occupe
d’acheminer les paquets vers l’eNodeB correspondant pendant un déplacement de
l’utilisateur. Le protocole GTP est transmis via UDP/IP. La pile du protocole GTP/UDP/IP
ajoute donc 36 octets d’entête (20 octets d’IPv4, 8 octets d’UDP, et 8 octets de GTP). [5]
La fonction principale de la deuxième couche est de donner un transport fiable entre deux
équipements du réseau. A côté de MAC et RLC, deux sous-couches de la couche de liaison
traditionnelles, 3GPP ajoute une sous-couche PDCP comme le confère la figure si dessous.
Figure 16: La deuxième couche de l’interface radio au sens descendant [6].
i- La couche physique :
La couche physique ou encore appelée layer 1 (L1), son rôle est d’assurer la transmission
des données sous une forme capable de se propager dans l’air en résistant aux différentes
perturbations du canal radio mobile. Cette dernière offre un service de transport de données
sur l’interface air de la couche MAC. Parmi ces fonctions nous pouvons citer :
Le codage de canal, qui protège les bits d’informations contre les erreurs de
transmission, en introduisant de la redondance dans la séquence de bit transmis.
Le traitement spatiaux (MIMO), qui précodent les symboles de modulation pour les
transmettre sur plusieurs antennes.
La modulation qui associe les bits à transmettre à des symboles de modulation capables
d’imprimer une onde électromagnétique.
La modulation multi porteuse permettant d’associer le signal à transmettre sur chaque
antenne à des porteuses multiples, selon le principe de l’OFDM pour la liaison montante et de
SC-FDM pour la liaison descendante.
La sous-couche PDCP :
La sous-couche PDCP se compose des entités PDCP. Chaque entité est rattachée à une
entité de la couche supérieure (Data Radio Bearer), et une ou deux entités de la couche
RLC. La figure ci-dessous représente les fonctions d’une entité PDCP
Utiliser RoHC pour compresser/décompresser des entêtes de paquets.
La sous-couche MAC :
La sous-couche MAC regroupe des fonctions qui résolvent des problèmes spécifiques liés
à la couche physique pour assurer le couplage entre la couche de liaison et la couche
physique, telles que : multiplexage des canaux logiques vers canaux de transport
correspondants (selon la
pré-configuration), ordonnancement selon la priorité (« priority handling »), et correction
d’erreurs sur le mécanisme de HARQ qui est héritée de 3G HSDPA. [5]
Technique d’accès
Dans LTE, l’interface radio est basée sur l’OFDM (Orhtogonal Frequency Division
Multiplexing) pour la partie montante (terminal mobile-eNodeB) et sur le Single Carrier
Frequency Division Multiple Access (SC-FDMA) pour la partie descendante (eNodeB-
terminal mobile). Ces techniques sont bien adaptées pour la flexibilité de la bande passante.
Ceci permet aux opérateurs de déployer la technologie LTE dans différentes régions avec
différentes bandes de fréquence et en utilisant des bandes passantes disponibles [7]
i- L’OFDM :
L’OFDM est un procédé de codage de signaux numériques par répartition de fréquences
orthogonales sous forme de sous-porteuses multiples. L’orthogonalité vient du fait que le
produit scalaire pendant la durée de transmission d’un symbole entre chacune des porteuses
est nul. Cela n’est possible que si l’espacement entre deux porteuses consécutives est égal à
l’inverse de la durée d’un symbole. L’OFDM permet de lutter contre les canaux sélectifs en
fréquence en agréant une égalisation de 14 faible complexité. Elle est utilisée pour exploitée
au mieux la bande de fréquence disponible de manière:
L’SC-FDMA
En LTE, un concept différent est utilisé en technique d'accès. Bien qu’on utilise encore
une forme de technologie OFDMA, l'implémentation est appelée Single Carrier Frequency
Division Multiple Access. Elle offre des performances et une complexité globale similaire à
l’OFDMA 15 mais utilise en revanche une technique de multiplexage fréquentiel à une seule
porteuse. Dans la modulation SC-FDMA, le multiplexage des utilisateurs du système est
effectué dans le domaine fréquentiel. La différence majeure entre ces deux techniques réside
dans le fait que l’OFDMA est une technique de transmission multi-porteuse tandis que la SC-
FDMA est une technique monoporteuse [7].
La technologie MIMO
MIMO (Multiple-Input Multiple-Output, ou « entrées multiples, sorties multiples » en
français) est une technique de multiplexage qui consiste à utiliser plusieurs antennes pour
l’émission et la réception des données, afin d’augmenter d’autant le débit. En utilisant
plusieurs antennes à l’émission et à la réception on obtient la diversité spatiale dont l’objectif
est de combattre l’évanouissement causé par de multi-trajet. Cette technologie MIMO est
utilisée dans le but d’augmenter le débit et la portée des réseaux sans fil. Lorsqu’un système
comprend une antenne en émission et plusieurs antennes à la réception, on parle de SIMO, s’il
comporte plusieurs antennes à l’émission et une antenne à la réception, il est nommé MISO et
si les deux cotés (émission-réception) comportent une antenne chacune on parle de SISO.
Figure 19: différente configuration d'antenne en transmission radio. [11]
Le réseau LTE-Advanced
Le LTE Advanced est une (version) évolution de la norme LTE lui permettant
d’atteindre le statut de la véritable norme 4G tout en gardant une compatibilité avec le LTE.
Grâce aux fréquences identiques et aux techniques de codage telles que la technique OFDMA
(Orthogonal Frequency Division Multiple Access) pour le sens descendant, la technique SC-
FDMA (Single Carrier Frequency Division Multiple Access) pour le sens montant et la
technique MIMO (Multiple Input Multiple Output) pour l’émission-réception qui sont déjà
utilisées dans le réseau LTE. Le LTE-Advanced permet de fournir des débits descendants
(pour le téléchargement) supérieurs à 1Gbit/s et 500 Mbit/s pour la liaison montante. Le LTE-
Advanced est caractérisé par :
Elle permet d’agréger jusqu’à 32 porteuses par rapport à la LTE-Advanced qui agrège
5, en plus de cela elle intègre plusieurs nouvelles technologies associées à la 5G, telles que
256 QAM, massive MIMO, LTE-Unlicensed et LTE lot qui permettent l’évolution des
réseaux vers la prise en charge de la norme 5G. [13] Elle est caractérisée par :
Pré-dimensionnement
Le pré-dimensionnement nécessite la collecte des informations qui interviennent sur la zone
de déploiement, comme informations nous pouvons citer :
Dimensionnement de la capacité :
Optimisation :
L’étape d’optimisation a pour but de maintenir les exigences de la qualité de service
préétablis. Dans cette étape on compare les résultats obtenus du dimensionnement de la
couverture et de la capacité et on considère le nombre de sites le plus grand. [20]
Dans la pratique le déploiement d’un réseau 4G-LTE demande l’optimisation des sites,
sous les deux contraintes de types radio et trafic, il s’agit de tester en fonction du type
d’antenne, de la puissance d’émission et de son orientation, la zone couverte par l’émetteur.
Avec une telle approche le réseau convergera vers une bonne configuration. Le principe est de
répartir les émetteurs sur le terrain, établir des zones de couverture et les adapter en déplaçant
les sites, en modifiant les puissances d’émission et en choisissant les orientations. Après une
couverture assurée il faut rechercher une répartition des fréquences en tenant compte des sites
qui sont voisines ainsi à ce moment nous pouvons rechercher une répartition des fréquences
entre les sites. [20]
Exigence de qualité :
L’exigence de qualité de couverture est d’atteindre le débit binaire demandé avec
une certaine probabilité en liaison montante et descendante. Comme par exemple
64 kbps doit être atteint avec une probabilité de 98% dans la zone de couverture.
Dimensionnement de la liaison montante :
La plupart des systèmes de téléphonie mobile sont souvent limités par la liaison
montante (Uplink). Il est donc important de commencer les calculs de bilan de
liaison avec les exigences de couverture de la liaison montante que l’on expliquera
par la suite.
Dimensionnement de la liaison descendante :
Le bilan de liaison descendante est calculé pour déterminer les limites de chaque
lien, déterminer le débit binaire qui peut être pris en charge dans la liaison
descendante. Il dépend de quelques paramètres que l’on abordera dans ce
mémoire.
Bilan de liaison radio
Le bilan de liaison permet de calculer les pertes de propagation maximale admissible
notée MAPL (Maximum Allowable Power Losses) pour un mobile situé au bord de la cellule
qui peut l’atteindre tout en gardant le niveau de sensibilité de la station de base. Il permet de
prédire le rayon de couverture de la cellule en se basant sur la fréquence de fonctionnement, le
modèle de propagation et les paramètres de l'émetteur et du récepteur. Le bilan de liaison
radio se calcule suivant la formule suivante :
IM : marge d’interférence
RXg : gain d’antenne de réception
K : perte de câble
Rx : sensibilité de réception
PTx : puissance d’émission de l’eNodeB au niveau du connecteur de l’antenne (43-49 dBm)
GTx : gain de l’antenne de l’eNodeB
LTx : ensemble des pertes d’alimentation entre l’eNodeB et le connecteur d’antenne
Ce bilan s’établit de l’utilisateur (UE) vers l’équipement enodeB dont les différents
paramètres sont définis dans le tableau si contre.
Tableau 6:récapitulatif des formules et expression lier au calcul du bilan de liaison montant
Emetteur –UE
Limite de la plage de cellules de liaison montante. Les calculs sont effectués selon les
étapes suivantes:
Ce bilan s’établit de l’enodeB vers l’équipement de l’utilisateur (UE) dont les différents
paramètres sont défnit dans le tableau si contre.
Tableau 7: récapitulatif des formules et expression lier au calcul du bilan de liaison descendante.
Path Loss Maximal est La marge de fading nécessaire pour garantir une certaine probabilité de
couverture.
Modèle de propagation :
Le modèle de propagation est une formule mathématique utilisée pour caractériser la
propagation de l'onde radio entre émetteur et récepteur, selon certains facteurs que nous
pouvons citer ainsi que suit:
Type de terrain.
Les hauteurs des antennes d'émission et de réception.
Fréquence de l'onde.
Distance parcourue par l'onde.
Caractéristique et densité des bâtiments.
Avec :
F : la fréquence en Hz
C : la célérité de la lumière
d : la distance parcourue en Km
FORMULATION :
L0=69.55 +26.16 log (f) – 13.82 log (hb) + (44.9-6.55 log (hb)) log(d)
Le modèle d’Okumura-Hata ne tient toutefois pas compte des reliefs précis tels que les
masques de diffraction. De plus la bande de fréquence interdit son utilisation pour des
applications comme la planification du DCS ou de l’UMTS. A cet effet un modèle amélioré a
été proposé, c’est celui de COST231 de HATA.
Formulation:
a(h2)=(1.1log(f)-0.7)h2-1.56log(f)+0.8
Rayon de la cellule
Après le calcul de l’affaiblissement de parcours maximal (MAPL) par l’établissement
d’un bilan de liaison, on peut déterminer le rayon de la cellule noté R cell en utilisant un modèle
de propagation adéquat. Le rayon de la cellule s’exprime par la formule suivante :
Rcell = 10MAPL
Le nombre de site
Après avoir déterminé le rayon de la cellule qui s’exprime en (Km), on peut calculer
maintenant la superficie de couverture de cellule noté 𝑠𝑐𝑒𝑙𝑙. Cette dernière dépend du nombre
de secteurs par site noté 𝑁𝑠𝑒𝑐𝑡𝑒ur. La configuration sectorielle est représentée comme l’indique
l’image suivant:
Pour obtenir le nombre de sites on procède en faisant le quotient entre la surface de la zone et la
surface du site :
Avec :
𝑥𝑙
S𝑑𝑒𝑝𝑙𝑜𝑖𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡
𝑁𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑢𝑟𝑒 = 𝑥𝑙
𝑆𝑐𝑒𝑙𝑙
Après le calcul de Ncouverture, pour la liaison montante et la liaison descendante, on doit choisir le plus
grand entre les deux pour que les deux liaisons soient équilibrées alors on aura :
𝑢𝑝
𝑁𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑢𝑟𝑒 = 𝑚𝑎𝑥(𝑁 ; 𝑁𝑑𝑙 )
𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑢𝑟𝑒
Le LTE permet de délivrer des débits très élevés pour la liaison montante et descendante,
comme tout système de communication à large bande, grâce à une efficacité spectrale
améliorée et une largeur de bande disponible. L’efficacité spectrale dépend du type d’antenne,
du débit requis et de la largeur de bande. Elle s’exprime par la formule suivante :
𝐷é𝑏𝑖𝑡𝑟𝑒𝑞
𝜂𝐵𝑊 =
𝐵𝑊
Avec
𝐵𝑊 La largeur de la bande.
𝑥𝑙 C𝑐𝑒𝑙𝑙
𝑁𝑎𝑏𝑜𝑛𝑛é/𝑐𝑒𝑙𝑙 = 𝑥𝑙
𝑇𝑟𝑎𝑓𝑖𝑐/ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡𝑒
Avec
𝑥𝑙
𝑁𝑎𝑏𝑜𝑛𝑛é/𝑐𝑒𝑙𝑙 Le nombre d’abonné par cellule en liaison montante ou descendante.
𝑥𝑙
𝑇𝑟𝑎𝑓𝑖𝑐 La durée trafic par heure de pointe en liaison montante ou descendante.
/ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡𝑒
Dans ce cas précis on calcule le nombre d’abonnés par site en fonction du nombre d’abonnés par
cellule en prenant trois (3) cellules par site dans les deux liaisons (sens montant et descendant).
𝑁𝑥𝑙 = 𝑁𝑥𝑙 ∗3
𝑎𝑏𝑜𝑛𝑛é/𝑠𝑖𝑡𝑒 𝑎𝑏𝑜𝑛𝑛é/𝑐𝑒𝑙𝑙
𝑥𝑙
𝑁𝑎𝑏𝑜𝑛𝑛é/𝑠𝑖𝑡𝑒 Étant le nombre d’abonnés par site en liaison montante ou descendante.
Le calcul du nombre total de site est traduit par la relation qui suit
𝑢𝑝
𝑁𝑎𝑏𝑜𝑛𝑛é/𝑠𝑖𝑡𝑒 = min < 𝑁 ; 𝑁𝑑𝑙 >
𝑎𝑏𝑜𝑛𝑛é/𝑠𝑖𝑡𝑒 𝑎𝑏𝑜𝑛𝑛é/𝑠𝑖𝑡𝑒
𝑒𝑁𝑜𝑑𝑒𝐵
:
𝑁𝑐𝑎𝑝𝑎𝑐𝑖𝑡é C’est le nombre d’eNodeB requis pour satisfaire la contrainte de la capacité
Pour déterminer le nombre d’eNodeB final requis nous devons prendre en compte le
nombre minimal d’eNodeB requis pour établir la couverture demandée noté 𝑁𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑢𝑟𝑒 ainsi
que le nombre minimum d’eNodeB pour satisfaire la demande en termes de capacité
noté 𝑁𝑐𝑎𝑝𝑎𝑐𝑖𝑡é
𝑒𝑁𝑜𝑑𝑒𝐵
. Dans ce cas le nombre de sites demandés pour satisfaire la contrainte de
couverture et de capacité est donné par l’expression suivante :
𝑒𝑁𝑜𝑑𝑒𝐵
𝑁𝑒𝑁𝑜𝑑𝑒𝐵 = max < 𝑁𝑐𝑎𝑝𝑎𝑐𝑖𝑡𝑒; 𝑁𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑢𝑟𝑒 >
Dimensionnement de l’interface S1 et X2
Le dimensionnement de la capacité et de la couverture n’est pas assez suffisant pour
établir un bon dimensionnement. Le dimensionnement de la couverture et de la capacité est
une étape préliminaire c’est-à-dire un accès vers le reste de dimensionnement. Comme
seconde partie, nous allons nous s’intéresser à la capacité des interfaces entre les eNodeB.
i- L’interface X2
Avec une architecture de réseau d’accès plate en LTE, les eNodeB sont connectés deux à deux à
l’interface X2 alors le nombre d’interface X2 est donnée par :
𝑒𝑁𝑜𝑑𝑒𝐵(𝑁𝑒𝑁𝑑𝑒𝐵 −
𝑁𝑥2 = 𝑁 1)
2
ii- L’interface S1
L’interface S1 est une interface qui transporte les données et la signalisation. Pour le calcul de
sa capacité, on décompose cette dernière en somme d’une capacité sur le plan utilisateur et
d’une capacité sur le plan contrôle. Elle s’exprime comme suite :
𝐶𝑆1 = 𝐶𝑢𝑠𝑒𝑟−𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒
𝑆1 𝑆1
+ 𝐶𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑜𝑙−𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒
Préambule
Cahier de charges
Contexte
Le désir de mieux échanger et le flux de population grandissant au jours le jour crée un
encombrement et un ralentissement dans le processus d’échange et de communication en
réseau mobile 3G ; et comme ces causes ne cesserons de grandir il en revient que l’évolution
de ce système est à envisager au plus vite afin de remédier à ces problèmes
Objectif :
Nous envisageons ici de proposer une étude a l’aide d’un outil adapter au
dimensionnement et à la planification d’un réseau 4G-LTE (cas de la zone combiné entre
bonamousadie et Denver). En garantissant un taux plus élevé de satisfaction en terme de
qualité de communication, de capacité, et de couverture tout en détaillant les procédés et
procédures ayant permis le déroulement de cette étude
Besoins et contraintes liés au projet
Besoins fonctionnels :
Pour l’aboutissement de notre projet nous avons besoin d’outils tels que, logiciels de
simulations, de planification et de dimensionnement du réseau 4G-LTE (ATOOL) et de l’un
des logiciels de cartographie (google Earth Pro, Open Cities MAP, Carto Lander, Edipoket…)
; des paramètres de terrain tels que
Contraintes :
Nous pouvons avoir dans le cas de notre étude la difficulté à connaitre la capacité
maximale d’utilisateurs afin d’effectuer une planification optimale, et donc le reste ne se feras
que sur estimation ; le défis suivant serais de définir les limites exactes et officiels des zones à
étudier et donc cette zone de travail sera prise à la limite visuelle que nous pourrons nous
permettre
Résultats attendus
A la fin de l’exercice nous devons retrouver le nombre d’eNodeB déployer pour la
couverture de la zone, la surface d’une cellule et ressortir les étalages de propagation des
différentes liaisons détaillant les amplitudes des signaux dans les différentes orientations des
antennes mono-bi-tri-sectoriel(s) recouvrant la zone de couverture.
L’écran d'Atoll est divisé en deux zones visibles simultanément, un espace de travail et une
fenêtre d'explorateur. En plus de ces deux fenêtres ouvertes au démarrage, viennent s'ajouter
en cours de session, les fenêtres "réception, mesure"…etc.
Différents éléments sont disponibles pour le déploiement d'un réseau. Les stations ou sites
sont dans Atoll des équipements sur lesquels sont placés un ou plusieurs émetteurs équipés
d'antennes aux caractéristiques particulières. Il est possible en affichant les propriétés d'une
station de créer rapidement une station multisectorielle donc la création d'autres émetteurs sur
le site. Il est possible de créer des antennes et d'en paramétrer les caractéristiques. Un grand
nombre d'antennes est disponibles par défaut (plus de 300 antennes), avec le modèle et le
constructeur.
L'orientation de chaque antenne est déterminée dans les propriétés de l'émetteur, mais elle
peut aussi être ajustée directement sur la carte.
Figure 23:figure montrant le choix du model de propagation, et le rayon de couverture de chaque antenne
Figure 24: disposition des sites illustrer par leurs rayons de couverture.
Planification en couverture
Ici l’on définit les paramètres généraux de la planification et on peut spécifier les
paramètres avancés en choisissant ceux proposés par le système. Par exemple, le choix de la
bande passante ou le choix du type d’antennes. Celle-ci consiste essentiellement à déterminer
la capacité en termes de couverture de la zone. Ses étapes d’exécution s’illustrent bien au
travers des figures suivantes :
Figure 25: illustration de la configuration de la zone de couverture.
Planification en capacité
Celle-ci consiste à déterminer la capacité en termes de débit pour les stations de la
zone. Et pour le faire l’outil s’appuie sur le modèle de trafic défini par l’utilisateur et sur des
paramètres de capacité liés à la technologie choisie (pour notre cas c’est le LTE Advanced
Rel. 11). Les étapes de cette fonctionnalité sont décrites par les figures suivantes :
Figure 26: figure montrant les différents détail constituant les différents sites de planification.
Résultats obtenue après simulation
Après exécution des différentes étapes liées à la création d’un projet et au chargement des
couches obtenues du jeu de données, nous avons les rendus
Les prédictions de couverture sont utilisées pour analyser la qualité du signal, ainsi dans
Atoll nous avons deux types de prévisions de couverture LTE :
Branchement
Le branchement ici nous permet de voir les différents types de liaison inter commune
aux site
Figure 27: capture résultante du type de branchement effectuer entre les différent sites
Le constat fait ici est que la zone de couverture est recouverte par des signaux dont la
puissance est strictement inférieure à 140 décibel en liaison descendante impliquant une forte
réceptivité des fréquences émises par les panels aux unités de communication ; le tableau qui
vient par la suite nous montre les intervalles des rayonnements en fonction de leurs puissances
émises.
Il est à noter que la couverture par niveau de champ en liaison montante nous est presque
impossible à déterminer du simple fait que nous ne pouvons pas déterminer ni la position ni le nombre
exact d’EU disponible pour l’étude
Figure 34: récapitulatifs des valeurs perdu des signaux de propagation en fonction des milieux traversé.
CONCLUSION GENERALE
Etant donné que le nombre de personne nécessitant des besoins de services et de qualité dans
l’exercice mobile de télécommunication ne cessais de croitre, cela a causé auprès des équipements des
réseaux préexistant une dégradation de la qualité des services auxquels ils avaient besoin. Tout ceci a
donc engendré une suite de recherche sur l’évolution des services et technologie lier à ces problèmes.
Suite à ce cas de figure, les ingénieurs se sont pencher sur le problème qui par la suite a aboutis à la
mise sur pied d’une technologie nouvelle dite de quatrième génération(4G).
Et donc pour palier a ce type de problème définis dans nôtres quotidien, le choix de notre étude
c’est porter sur la zone combinée de deux quartiers de douala à savoir Bonamoussadie & Denver. Dans
le but d’apporter un plan détailler de la planification et du dimensionnement de ce réseau de nouvelle
génération à savoir la 4G-LTE, nous avons entrepris des exercices et actions à l’aide d’un outil conçu
pour effectuer ce type de travail nommer Atoll. Tout d’abords, nous avons procédé à la phase de
géolocalisation de la zone à étudier, en suite à la récolte des paramètres de la zone, que nous avons
ensuite entrer dans le logiciel de simulation à l’aide de l’outil de géolocalisation Google Earth ; une
estimation de la population a par la suite été faite pour pouvoir choisir les éléments de configuration
qui devrions servir à déterminer le mode de propagation d’onde, de qualité de signal à mettre en place.
Les résultats que nous avons pu recueillis suite à ces opérations été consigner dans l’élaboration
même de ce rapport ; ils en résultent qu’au terme de l’étude, nous avons pu produire des résultats tel
que les fréquences utiliser, les pertes liées à la propagation des ondes dans le temps en fonction de la
morphologie et du type de milieu étudier. Des captures de différentes simulations de couvertures de
débit en liaison montante ainsi qu’en descendante ont été produite, les zones d’interférence aussi, les
directions de propagation également en suite du nombre d’Enode-B finale utiliser. Les largeurs de
canaux utiliser ont été énumérer et enfin une carte finale de couverture de la zone a été produite. Ain si
donc nous avons pu permettre à quiconque voudrais par le billet d’un outil adéquat accéder aux
contenue d’une information et de services dont il en aurait besoins de les avoir à une vitesse
considérablement plus élevée qu’avant à travers le même réseau.
TABLE DE MATIERE
: GENERALITES ET EVOLUTION DES RESEAUX MOBILES............................2
Historiques..........................................................................................................................2
Technique d’accès..............................................................................................................4
Le réseau GSM...................................................................................................................6
Architecture du GSM..........................................................................................................6
i- La station mobile(MS).....................................................................................................7
ii- Le sous-système radio(BSS)............................................................................................7
iii- Station de base (BTS)......................................................................................................7
iv- Contrôleur de station de base (BSC)...............................................................................8
v- Le sous-système réseau (NSS).........................................................................................8
vi- Le centre de commutation mobile (MSC).......................................................................8
vii- Le registre de localisation nominale (HLR)..................................................................9
viii- Le registre de localisation des visiteurs(VLR)..............................................................9
ix- Centre d’authentification(AUC)....................................................................................10
x- Enregistreur des identités des équipements (EIR)........................................................10
xi- Le sous-système d’exploitation et de maintenance (OSS)............................................10
Caractéristiques du GSM..................................................................................................11
i- Concept cellulaire.........................................................................................................11
ii- Le Handover..................................................................................................................13
Différentes interfaces du GSM.........................................................................................14
Architecture du GPRS......................................................................................................16
Architecture de l’UMTS...................................................................................................18
Étude de l’existant............................................................................................................19
Critique de l’existant.........................................................................................................20
Problématique...................................................................................................................20
Objectifs...........................................................................................................................21
Description du projet........................................................................................................21
Efficacité QOS..................................................................................................................23
Architecture protocolaire..................................................................................................26
i- Plan de contrôle............................................................................................................26
i- La couche physique.......................................................................................................28
ii- La couche 2 qui ressemble à la couche liaison du modèle OSI......................................28
iii- La couche RRC...............................................................................................................30
Technique d’accès............................................................................................................30
i- L’OFDM.........................................................................................................................30
ii- L’OFDMA ET L’SC-FDMA................................................................................................31
La technologie MIMO......................................................................................................32
Le réseau LTE-Advanced.....................................................................................................33
: MATERIELS ET METHODES..........................................................................35
Pré-dimensionnement.......................................................................................................35
Dimensionnement de la couverture...................................................................................36
Dimensionnement de la capacité.......................................................................................36
Optimisation.....................................................................................................................36
Modèle de propagation.....................................................................................................40
Le nombre de site..............................................................................................................43
i- L’interface X2................................................................................................................46
Cahier de charges.....................................................................................................................47
Contexte............................................................................................................................47
Objectif.............................................................................................................................47
Besoins fonctionnels.........................................................................................................48
Contraintes........................................................................................................................48
Résultats attendus.............................................................................................................48
Planification en couverture...............................................................................................52
Planification en capacité...................................................................................................53
Branchement.....................................................................................................................54
Références bibliographiques
[1] https://routeur-5g.fr/guide-dachat/comparatif-entre-3g-4g-et-5g/
[2]https://i0.wp.com/www.xavierstuder.com/wp-content/uploads/2015/10/1-2-3-4-5-
G.jpg?w=1200&ssl=1
[3]http://biblio.univ-antananarivo.mg/pdfs/randriamananaAndriantsoa_ESPA_MAST_2017.pdf
[4] https://LTE/SaadTassadit_TalebThiziri.pdf
[5]https://wikimemoires.net/2013/07/evolution-lte-architecture-de-lte-et-interface-
radio/#:~:text=La%20pile%20protocolaire%20%C3%A0%20l,les%20canaux%20de%20transport%20
correspondants.
[6] https://wikimemoires.net/wp-content/uploads/2013/07/image014-1.jpg
[7] http://biblio.univ-antananarivo.mg/pdfs/RakotoaNyAD_ESPA_MAST_2018.pdf
[8] https://www.researchgate.net/figure/The-Network-Architecture-of-NB-IoT-I_fig4_332889489
[9] https://fr.wikipedia.org/wiki/OFDMA#/media/Fichier:OFDM2.png
[10] https://brop1.com/go/my4wcntdmi5dgmjsgi?sub1=aio
[11]https://www.5gtechnologyworld.com/more-antennas-faster-data-transfer/
[12]https://tpetelephonesante.wordpress.com/partie-1-definition-dune-onde-electromagnetique-et-
fonctionnement-des-reseaux-cellulaires/les-differents-types-de-reseau/#jp-carousel-103
[13]https://www.researchgate.net/figure/LA-TECHNIQUE-DACCES-MULTIPLE-
FDMA_fig5_339460389
[14]https://lafibre.info/free-mobile/itinerance-differences/12/
[15]https://www.memoireonline.com/11/19/11181/m_Conception-et-realisation-d-un-outil-de-
dimensionnement-de-planification-et-de-parametrage-d17.html
[16] https://fr.wikipedia.org/wiki/General_Packet_Radio_Service#Architecture
[17] https://www.researchgate.net/figure/The-architecture-of-GPRS_fig1_228348152
[18]https://www.commentcamarche.net/contents/1120-edge-enhanced-data-rates-for-gsm-evolution
[19]https://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/technologies-de-l-information-
th9/reseaux-cellulaires-et-telephonie-42288210/reseaux-cellulaires-te7364/evolution-vers-edge-
te7364niv10010.html
[20] https://fr.calameo.com/read/001912413bdb574ff3616
[21] http://www.supcom.mincom.tn/Fr/upload/1402481354.pdf
ANNEXES