La Théorie Néo-Classique de Bernard Guerrien
La Théorie Néo-Classique de Bernard Guerrien
La Théorie Néo-Classique de Bernard Guerrien
Les individus sont appelé « agents », et il ne diffère pas les un des autres sur l'essentiel, les
néoclassique vont donc analyser un « agent type », un paradigme. L'approche néo classique va
donc se concentrer d'avantage sur l'échange et non sur la production (comme chez les marxiste),
d'ailleurs certains modèles néo-classique vont s'attacher à rester dans des économies d'échange
pur qui sont des modèles d'économie sans production.
Pour les néo-classiques l'équilibre se caractérise par une égalité entre l'offre et la demande sur
tous les marchés.
Walras a étudié s'il existait un prix d'équilibre, Arrow et Debreu ont formulé des réponses en
émettant certaines hypothèses sur le fonctionnement du marché et sur les objectifs des agents.
5. TEMPS ET MONNAIE :
La stabilité de l'équilibre général n'est pas abordé avec la question du temps, le temps introduit de
l'incertitude au modèle, or celui tend a écarter toute forme d'incertitude qui pourrait nuire à la
qualité du modèle puisque les principes du modèle comme les relations marginalistes sont remis
en cause, le problème de cette approche est que l'on peut pensé que ce modèle devient trop
formel et ne se rapproche plus de la réalité. Ce problème de l'incertitude sera d'ailleurs au centre
de l'analyse Keynésienne.
Soit une économie comportant n biens, caractérisés par l'indice i (i=1,2,... n). On appelle panier
de biens le vecteur Q=q 1, q 2, … , q i , … , qn ., ou q i est une quantité de bien i ( q i≥0 ).
Ensemble de
consommation
a
1
2
Si on se déplace dans l'ensemble de consommation dans le sens
« nord-Est » on « monte » sur cette échelle, le consommateur
« Nord-Est » cherchera donc a se déplacer dans ce sens. L'ensemble des courbes
d'indifférence d'un consommateur est appelé carte d'indifférence.