TP 5
TP 5
TP 5
AHASBI Anas
FAHMI Mohammed
Objectifs :
Ce TP avait pour objectif de connaitre la technique de microscopie optique et son Utilisation pour l’analyse des
microstructures des métaux et des alliages ainsi qu’illustrer
L’aspect microstructural d’alliage monophasé́ , appréhender la mesure de la taille de grain et analyse les
modifications résultantes du mode de fabrication et les effets du recuit.
c. Conclusion :
d'après les recuits de trombones aux différentes températures, que plus la température à
laquelle on recuit le trombone est élevée, plus la recristallisation de celui-ci est importante.
On se trouve alors dans le cas d’un procédé de recuit de cristallisation.
d. Pour qu’une structure se recristallise il faut lui apporter de l’énergie (thermique dans
notre cas). Le recuit apporte de la stabilité au composant. Lorsque la pièce n’est pas déformée
plastiquement, elle est dans un état stable. Donc, la pièce ne va pas se recristalliser.
b. Représentation schématique
La tête de d’amarrage :
La zone de rupture :
d. La moitié recuite
La tête de d’amarrage :
La zone intermédiaire :
La zone de rupture :
e. Puisque l’échantillon subit de la traction et les gros grains sont les plus sollicité,
alors ces derniers subissent le plus de l’allongement (déplacement). Quant aux petits grains,
ils remplissent l’espace entre les gros grains parce qu’ils ne sont pas assez influencés par la
déformation.
Sur les alliages écrouis, l’adoucissement par recristallisation augmente avec le taux d’écrouissage
avant recuit. L’augmentation du taux d’écrouissage permet d’avoir la température minimale
nécessaire pour obtenir une recristallisation. Un taux d’écrouissage minimal du produit est
nécessaire pour éviter un grossissement anormal du grain lors des recuits de recristallisation. «
l’écrouissage puis le recuit ont pour influence de grossir très nettement la taille des grains ».
b. Les macles sont des groupements de deux ou plusieurs cristaux d’une même
espèce où la disposition des cristaux les uns par rapport aux autres présente une relation
géométrique remarquables.
Une macle mécanique est une macle qui se forme à la suite d’une action mécanique. Elles
sont notamment caractérisées par des lignes parallèles à l’intérieur d’un grain.
c. Oui, on peut observer quelques macles mécaniques très fines après les deux
traitements, on peut donc déduire que les macles disparues en augmentant la
température.
3.1.4 Soudures :
Le matériau brut :
Entre la région formée par le matériau d’apport et le matériau brut, il y a des changements
microstructuraux : la microstructure est plus désordonnée pour le matériau d’apport alors que
pour le matériau brut, les grains sont plus organisés et nets. On remarque aussi que cette zone
devient non-homogène et non-isotrope et plus fragile.
3.2.1 Pb – Sn :
Pour 30%Sn
Pour 63%Sn
Pour 85%Sn
La micrographie ne montre qu’un seul type de grains. Lorsqu’un métal pur en fusion est
refroidi, le changement de phase s’effectue toujours à une température fixe : le point de
fusion. Au point de fusion, les deux phases liquide et solide coexistent. La détermination de
ce point s’effectue en enregistrant la courbe de refroidissement (température en fonction du
temps). Un palier isotherme est d’autant plus marqué que le refroidissement est lent et que la
masse du métal est grande.
Le diagramme de phase est bien connu. La solubilité à l’état solide du plomb dans l’étain est
faible (inférieure à 0,3 % en masse d’étain à la température ambiante). Celle de l’étain dans le
plomb varie beaucoup au voisinage de 150 ˚C, ce qui provoque un effet thermique important
qui a fait l’objet d’études poussées.
4.4.1 Al – Si :
Exemple :
Conclusion :
Ce TP nous a permis d'observer les différentes microstructures que nous avions vues en cours. On a pu voir
les différentes microstructures (allonges, gros/petits grains, ...) en fonction des contraintes mécaniques, les
traitements thermiques, assemblages etc.